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Le prisonnier à la ferme. Un français, une allemande et ses jumelles.

Chapitre 4

les fruits de la coopération

Avec plusieurs femmes
LE PRISONNIER A LA FERME. 4
Un Français, une Allemande et ses jumelles.

— Nettoie avec ta bouche le sang qui fait de ta sœur une vraie femme.
Gilda se jette sur l’offrande pour rendre une virginité à l’outil.
— A toi maintenant.
Gilda s’étend au côté de sa sœur et Gabriel recommence son œuvre, la déflorant elle aussi. Sa sœur n’attend pas et dès que Gabriel lui présente son engin, elle se précipite pour lécher le sang de sa sœur.
— Les filles... Vous venez de signer un pacte de sang, rappelez-vous-en toute votre vie !

Suite.Gabriel est au-dessus de Gilda, l’empalant en poussant à chacune des pénétrations un « han » de bucheron, accompagné d’un gémissement de sa partenaire. Gilda ne résiste pas longtemps avant qu’un déferlement d’une jouissance paroxysmique ne l’emporte. Le tison incandescent a mis le feu en elle, mais la brûlure ne fait pas mal, au contraire... Elle accompagne de son bassin le rythme de l’homme. Mais Gabriel est très résistant, passant régulièrement d’une fille à l’autre, d’une chatte à l’autre jusqu’au moment où le plaisir atteint un tel degré d’intensité que les filles ne peuvent retenir leur orgasme qui déboule, tel un torrent en furie.Il intensifie alors ses coups de boutoir quand leur respiration devient rapide et saccadée quand elles jouissent, continuant à faire aller et venir son sexe dans chaque vagin inondé.
Elles n’en peuvent plus, le suppliant d’en finir, n’attendant qu’une chose, qu’il se vide dans l’une d’elles, qu’il répande son sperme fertile dans une matrice à féconder, ce qu’il fait enfin avec force et volume dans le vagin d’Eva. Il se retire et sa semence coule de la vulve pour se répandre le long des cuisses de la fille. Gabriel reprend ses esprits, couché sur le lit entre les jumelles, mais elles ne lui laissent même pas le temps de récupérer. Comme des droguées en manque, elles s’activent sur lui pour une nouvelle dose. Il doit s’activer avec sa bouche sur la chatte d’une jumelle pendant que son double pompe sans relâche sa verge et quand enfin il sent venir la libération, il arrive à les prévenir pour que cette fois, ce soit Gilda qui se fasse ensemencer par ses spermatozoïdes.
Pendant trois semaines, chaque soir, il les honore et multiplie les chances de les mettre enceintes.Mais le jour fatidique arrive et elles doivent suivre en pleurs, les soldats qui viennent les chercher pour les conduire au « Lebensborn ».Quelques mois ont passé et une nuit après des ébats torrides, Gertrude insiste pour que Gabriel s’évade pour ne pas être pris par l’arrivée proche des Russes. Le jour du départ est arrivé et Gabriel la console :
— Gertrude, tu verras, ton mari te surprendra peut-être par son empressement quand tu lui montreras comment faire et il se peut que vous révolutionniez tous deux votre sexualité.
Gertrude le dévisage encore un moment avant d’éclater de rire.
— Tu me taquines, s’exclame-t-elle. — Peut-être un peu, mais permets-moi d’accorder sa chance à ton mari.
Elle s’avance encore plus près et, sans hésitation, il la prend par ses bras. Elle est en pleurs, lui place un doigt sur les lèvres qu’il embrasse doucement.
— Est-ce que tu ne préférerais pas m’avoir toute à toi, Gabriel ? souffle-t-elle.
Il murmure, tout aussi doucement.
— Si, j’aimerais mieux, si je pouvais vous avoir, Gertrude, mais je ne peux pas, nous ne pouvons pas. Dans quelques semaines, si tout se passe bien, j’aurai quitté ce pays et il est impossible que tu viennes avec moi, pas plus que je reste ici... Je ne te reverrai sûrement jamais, mais jamais je ne t’oublierai. De toute façon, nous serons obligés de nous dire adieu bientôt.
Elle appuie sa tête contre l’épaule du français.
— Ah, Gabriel, tu es venu dans ma vie par pur hasard. Mais moi non plus, je ne t’oublierai jamais.— Alors, ne permets pas que ce souvenir te prive de bonheur. Accepte ton mari s’il revient indemne, rends-le heureux et laisse-le te rendre heureuse. Et rien ne t’empêche de m’écrire à l’adresse que je t’ai donnée.
Je te le promets, Gabriel. Et tu me répondras ?
— Certainement, Gertrude.

Quelques jours plus tard :Un silence tombe et, à contrecœur, ils se séparent. Elle reste debout au milieu de la pièce et, quand il arrive sur le seuil et se retourne, elle est toujours là, avec un petit sourire. Les lèvres de Gabriel forment le mot adieu. Et comme cet adieu est muet-, car il n’aurait pas pu parler-, il ajoute: mon amour.Et les lèvres de Gertrude remuent aussi de la même façon : Adieu, mon tendre amour.Il fait alors demi-tour et sort, sachant qu’il ne la reverrait plus jamais sous une forme tangible, qu’il ne la toucherait plus jamais.
Peu après, Gabriel est récupéré par les Américains, et après un long périple, retrouve enfin son foyer, sa femme et l’enfant qu’il tient dans ses bras pour la première fois de sa vie.Pendant de nombreuses années, ils tiennent leur promesse et s’écrivent. Gertrude lui envoie des photos de ses filles qui ont pu récupérer leurs enfants après le scandale des « Lebensborn ». Deux garçons aux cheveux noirs comme ceux de leur père.
Les années ont passé. Gabriel tient avec sa femme et son fils un camping où les Néerlandais et les Allemands dominent. D’ailleurs, il vient de recevoir une réservation pour un grand emplacement.Deux couples avec un ado chacun. Le fils de Gabriel les accueille et les conduit à leur emplacement.Il est intrigué, car les deux femmes se ressemblent et les adolescents de son âge, malgré des parents aux cheveux blonds, ont tous les deux une tignasse noire et un air de ressemblance. Le soir, dans la conversation avec Gabriel, il évoque ces derniers arrivés et la demande que les deux femmes lui ont faite, elles veulent voir son père...
Le lendemain, Gabriel fait le tour de son camping et s’arrête devant les caravanes des Allemands. Sous un auvent sont attablées les deux familles au grand complet. Le visage des deux femmes le frappe. Une bouffée de souvenir remonte à la surface- Gertrude...Il a de la difficulté à paraître naturel, mais réussit à se maîtriser. Les femmes lui racontent qu’il y a 16 ans, un prisonnier de guerre français a passé quelques années dans la ferme de leurs parents et qu’elles se sont mises à sa recherche pour le remercier d’avoir aidé leur mère et leur avoir sauvé la vie. Mais elles attendent une autre occasion de le rencontrer seul pour une conversation plus particulière :L’occasion se présente le lendemain et Gilda lui avoue la raison de leur venue dans ce camping.
— Gabriel-On peut t’appeler Gabriel ? Nous avons retrouvé les lettres de maman après son décès.
Et avec l’adresse, nous sommes remontées jusqu’à toi. Le prétexte de ton camping nous a permis de venir ici sans trop éveiller de soupçons chez nos maris. Bien sûr, ils savent que leur fils n’est pas d’eux et leur drôle d’histoire, enfin drôle... Pas tant que ça. Mais ils ne savent pas que leur géniteur est un Français-toi...Regarde comme ils te ressemblent. Souviens-toi du pacte- Les liens du sang !
Bien sûr qu’il se souvient de ces deux jeunes filles ingénues qu’il a éveillées à l’amour ! Il est triste en apprenant que Gertrude n’est plus, mais fier du tour qu’il a joué aux instigateurs d’une telle ignominie. Ce qu’ils ont de l’être surpris à la naissance de ces deux bébés costauds aux cheveux d’un noir de geai !
Il n’a rien caché à sa femme des années de sa captivité et de son aventure avec Gertrude à son retour. Elle lui avait pardonné. Mais ce qu’il avait omis de lui dire, c’est ces trois semaines folles avec les jumelles, doutant de les revoir un jour.
C’est un homme droit et honnête et pour elle qui l’a connu jeune, il est sûr qu’elle s’apercevra de la ressemblance frappante entre ces deux jeunes Allemands et lui à leur âge.Gabriel prend son courage à deux mains, lui avouant qu’il est leur père, mais qu’il ne troublera pas leur vie et celles de leurs parents, lui expliquant pourquoi il en était arrivé là à la demande de leur mère.
C’est de l’histoire ancienne, sa petite histoire dans la « grande histoire de la guerre » et qu’il ne faut pas remuer le passé.Sa femme l’aime trop et malgré un peu de jalousie, est fière du « pied de nez » que le petit « français » a joué à ces fanatiques.Pendant de nombreuses années, chaque mois de juin, il les a vus grandir et devenir de beaux jeunes hommes.
Fin.
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