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Le prix à payer

Chapitre 8

Hétéro
Sa prise de fonction se passa formidablement bien. Irène, en bonne professionnelle comprit vite ce qu’elle avait à faire, et s’acquitta de ses tâches avec brio.Elle apprit vite ce qui tenait à cœur à Fabrizio dans l’organisation de ses déplacements, comme la gestion des clients, notamment quand il y avait des aléas.Fabrizio, de toute façon, l’avait déjà vue à l’œuvre quand il était le client de SETI et il savait combien elle savait se mettre en quatre pour arranger les choses, arrondir les angles ; c’était la parfaite petite secrétaire.
Bien entendu, tout n’était pas toujours facile, surtout pour le patron, qui, bien que se montrant toujours cool, encaissait une pression énorme par moments.Il s’efforçait de ne pas le montrer, mais Irène, qui le connaissait bien, savait quand il était stressé. Elle essayait tant bien que mal de le détendre, ce qui n’était pas toujours totalement possible dans les moments les plus difficiles.Mais il lui était reconnaissant des efforts qu’elle faisait pour qu’il se sente bien.
Même dans les pires moments de stress, il était content quand il pouvait prendre un moment pour se retrouver avec sa petite Irène dans son bureau, pour se faire cocooner. C’était une vraie détente, un précieux moment de paix où il pouvait décompresser alors qu’elle s’occupait de lui.Ils fermaient les portes et tentaient d’oublier le monde extérieur et tous leurs soucis.
Un jour, le P.D.G. lui avait mis une pression énorme, avait critiqué sa stratégie, remis en cause tout ce qu’il faisait, et il avait dû encaisser ça devant tout son staff.Il s’était défendu, avait serré les dents, mais il était retourné en fin de matinée dans son bureau très remonté.Même dans ces moments-là il ne passait pas sa mauvaise humeur sur Irène.Elle aurait bien essayé de le calmer, de le cajoler, mais il ne tenait pas en place, il tournait en rond dans son grand bureau en vociférant.Les injures contre son P.D.G. pleuvaient. Heureusement la pièce était parfaitement isolée.Irène assistait à ce triste spectacle, impuissante. Elle essayait de l’apaiser, mais il était comme un lion.Elle n’essayait même pas de le toucher, ni de lui proposer un massage.
Il finit par tarir son flot de récriminations envers son bourreau. Il était à court d’arguments et de propos acides.Irène tenta de le consoler, lui caressa le cou, les épaules. Il se laissa faire, mais ses mâchoires étaient toujours serrées, et il avait un regard dur.Alors, elle se laissa tomber à genoux devant lui et commença à lui caresser les cuisses en remontant, et guettant sa réaction. Elle avait peur qu’il l’envoie balader.Mais il la laissa faire, alors elle se sentit encouragée et continua en massant son entrejambes. Elle pensait qu’il n’avait pas trop la tête à ça et elle aurait compris qu’il la repoussât gentiment.Mais il ne le fit pas, et caressa les cheveux d’Irène, un peu distraitement.

" - Mon pauvre Fabrizio. Vous ne méritez pas ça, je le sais. Laissez-moi faire, je vais vous détendre."
Elle ouvrit sa braguette. Elle avait peur de l’échec. Elle savait que les hommes, quand leur esprit est préoccupé, perturbé, leurs réponses physiologiques sont parfois stoppées ; même si elle savait que Fabrizio était plutôt un étalon toujours prêt pour la bagatelle.Il lui avait montré à maintes reprises, quand, notamment en débarquant le matin après une mauvaise nuit passée dans l’avion, il l’avait saillie sur le canapé du bureau, témoignant d’une forme étonnante pour un homme fatigué.C’est vrai que leurs retrouvailles après quelques jours d’absence pour ses déplacements à l’étranger commençaient souvent par ce rituel.
Aussi ne fut-elle qu’à moitié surprise de constater que la queue de Farbrizio durcisse, et très rapidement, dans sa main, il est vrai sous l’effet des caresses dont elle était devenue experte.Elle le prit rapidement en bouche et se mit à le sucer comme elle savait si bien le faire, d’abord lentement en pressant bien le membre entre ses lèvres et sur sa langue, puis en augmentant l’amplitude de ses va-et-vient.
Fabrizio commençait à se détendre dans le même temps que son vit continuait à se tendre, à durcir dans la charmante petite bouche d’Irène.Il lui caressait la tête, le visage, en murmurant :
" - Hum, Irène… Ma petite Irène… Heureusement que vous êtes là… J’ai de la chance de vous avoir…"
Elle continua de le sucer longtemps, son membre ne mollissait pas, mais l’acte était parti pour s’éterniser. Irène ne savait pas quoi faire d’autre que de continuer.
Alors, à un moment, Fabrizio, prenant le menton d’Irène dans sa main, l’invita à cesser sa fellation, et lui dit :
" - Venez Irène, venez sur le sofa."
Elle se releva et il l’entraîna vers le canapé en la prenant par la main, puis il lui intima d’une voix calme :
" - Mettez-vous à genoux sur le bord."
Elle s’installa comme il lui avait demandé, appuya ses mains sur le dossier, et attendit.Fabrizio, soudain surexcité, remonta la jupe de sa secrétaire un peu brutalement et la replia sur ses reins, dévoilant la croupe sublime d’Irène, bien mise en valeur par un collant-porte-jarretelle noir super sexy.Bien évidemment, se conformant aux consignes de son patron, elle ne mettait plus de culottes depuis qu’elle travaillait avec lui.
" - Hummm, ma chère petite Irène, vous m’avez gâté aujourd’hui !" et ses mains confirmant le ravissement qu’il éprouvait à une telle vue, se mirent à couvrir de caresses le beau fessier ainsi dégagé par l’échancrure du nylon noir.Il se mit à lui palper nerveusement les fesses, les pressant, lui pelotant l’intérieur des cuisses au passage.
Puis soudain, d’un geste rageur, il arracha à deux mains les parties du collant qui servent de jarretelles, remonta avec violence la partie du haut, libérant ainsi totalement la croupe jusqu’au bas des reins, et descendit brutalement les lambeaux de collant qui couvraient encore le haut des cuisses et les hanches, et pelota d’une main ferme et puissante les chairs ainsi mises à nu.
Puis, sans autre forme de procès, il présenta son vit à l’orifice de la conque, et d’une seule poussée la pénétra à fond.
Irène poussa un cri de surprise. Son vagin était heureusement moite, mais elle sentit toute la longueur du phallus en elle, qui se mit aussitôt à la pilonner à grands coups de boutoir.Elle se mit à pousser de grands cris aigus de femelle, sous la saillie du vigoureux étalon.Elle s’accrochait au tissu du canapé qu’elle avait agrippé du bout des doigts, mais devait contenir les poussées du mâle qui ébranlait sa chatte comme s’il voulait la perforer.
Il se retira au bout de quelques instants puis dit d’un ton bas :
" - Je suis désolé Irène, mais aujourd’hui je veux plus de vous. J’en ai besoin."
Et, lui écartant les fesses, il se mit à lui lécher sa rosette à grands bruits.Elle avait compris, elle serra les dents. Ce qui ne l’empêcha pas de pousser un long râle quand Fabrizio lui força sa petite pastille et lui enfonça lentement mais sûrement sa pine longue et raide dans le cul !Il ne fit même pas de pause dans sa progression : d’une seule poussée il l’avait embrochée jusqu’à la garde, jusqu’au fond de ses entrailles !
Ça faisait longtemps qu’il ne l’avait pas enculée, mais les fois précédentes il avait pris son temps, il lui avait lubrifié longuement la rosette avec du gel, il l’avait sodomisée puissamment et avec fougue, et elle avait pris son pied, étonnée de jouir par le cul, chose qu’elle n’avait jamais ressenti avant !
Elle avait l’impression, là, d’être empalée, sacrifiée comme une grosse poule.Fabrizio, conscient de la brutalité de la pénétration, avait attendu un peu avant de continuer, s’était retiré lentement, l’avait lubrifiée davantage avec sa mouille, puis avait commencé à la pilonner, lui perforant littéralement le petit trou.Elle sentait son canal qui s’ouvrait, l’absorbait ; la sensation qui lui avait coupé le souffle au début s’était estompé, et elle commençait à apprécier, malgré la brûlure au niveau de l’orifice.
" - Vas-y mon grand" lui dit-elle, "défoule-toi, baise-moi, sodomise-moi, venge-toi !"
Et tout heureux de cet encouragement, déculpabilisé soudain - parce qu’il avait eu honte une seconde d’avoir fait mal à sa Irène - il se mit à l’enculer à grands coups de reins, longs et souples.Il lui avait mis les seins à l’air, par-dessous le soutien-gorge, et les malaxait avec passion ; il la baisait par le cul, se sentait bien serré, éprouvant une sensation incroyable et libératrice.
" - Ah c’est bon de t’enculer ! Tu prends bien, tu es bonne par le cul…!"
Il l’avait fait se redresser un peu, lui léchait le cou, lui suçait les oreilles, et en bon baiseur, avait glissé deux doigts dans sa fente. Il la baisait par le fondement, l’enculait à une cadence accrue, et il la branlait en même temps avec fougue.
Elle retrouvait son Fabrizio, son mâle italien, son patron bienveillant et tendre, et sous l’effet conjoint de cette caresse et du pieu qui lui ramonait les entrailles et appuyait sur sa zone G, elle se mit à partir bruyamment, dans un long roucoulement, une plainte déchirante de femelle touchée, achevée par le plaisir.
La voir ainsi jouir sous son action, sous ses caresses, flatta son ego de mâle, de séducteur conquérant qui possédait sa petite blonde - celle qu’il avait tant et longtemps désirée, et qui lui appartenait maintenant au-delà de ce qu’il aurait pu imaginer auparavant, cette jolie secrétaire quinqua, féminine et raffinée, qui prenait tellement soin de lui.Ceci fit enfin et rapidement monter le plaisir en lui, et il déchargea en poussant des cris de bête blessée, lui envoyant son foutre tout au fond de ses entrailles.
Il resta un moment imbriqué en elle, encore haletant, son nœud coincé par le petit sphincter d’Irène, lui caressant doucement les seins et son cou.Son bras derrière elle, elle lui caressait les cheveux, toute heureuse d’être à lui, profitant de ce moment de tendresse.
" - Ma petite Irène" lui murmura-t-il amoureusement, "merci d’être là pour moi. Vous me faites tellement de bien. Heureusement que je vous ai…— Oh vous me faites du bien aussi, Fabrizio. Même si le début était un peu brutal… J’aime vous sentir ainsi en moi, j’aime vous voir à l’œuvre, mon grand mâle fougueux… C’est si bon, Fabrizio. Nous n’aurions pas de telles baises, nous n’aurions pas de telles séances de plaisir si nous étions mari et femme."
Il sortit à regret de son petit trou, la libéra de son étreinte.Il manquait une douche dans ce grand bureau, ils s’essuyèrent avec les serviettes en papier. Irène se rafraîchit le visage avec de l’eau minérale.Puis ils retournèrent à leurs activités, avant le déjeuner.
— - -
Quelques mois après, elle passa cadre, bien que n’ayant aucun salarié sous ses ordres, et cela grâce à Fabrizio, bien entendu.Cela allait avec de nombreux avantages et une augmentation plus que conséquente. Elle était ravie.
Elle ne manquait aucune occasion de montrer sa reconnaissance à Fabrizio, son patron chéri, pour qui elle était toujours disponible, tant physiquement que sexuellement.Elle acceptait d’être dérangée le samedi, voire le dimanche, d’être appelée la nuit - ce qui arrivait très rarement, et encore c’était souvent pour pas grand-chose, pour qu’elle l’écoute s’épancher, passer son vague à l’âme, évacuer son stress. Elle était toujours attentive et tendre, chaleureuse, presque comme une mère.
Le mari d’Irène se plaignait, maugréait, lui reprochant d’être une esclave pour son patron. Mais Irène le faisait vite taire quand elle lui rappelait quel salaire elle touchait (deux fois celui que lui avait avant de partir en retraite.)Et elle souriait intérieurement, pensant : "Oui, je suis une esclave, et si tu savais… même une esclave sexuelle, mais j’aime ça…! Je l’ai choisi. Et mon "maître" est un amour pour moi, il me comble, à tous points de vue, et surtout sexuellement !"
Elle était toujours prête et apprêtée pour lui, toujours disponible, son cul et sa chatte à portée de main sous sa jupe ou sa robe (elle ne portait des pantalons que lorsqu’il était en déplacement), toujours bien maquillée, élégante, féminine et sexy.Elle avait un gros budget coiffure et son mari s’étonnait de la voir aussi coquette. Il se disait simplement qu’elle refusait de vieillir, et qu’elle faisait des efforts désespérés pour plaire encore.Mais il faut bien dire que c’était réussi.

Le rituel du matin quand elle arrivait au bureau, après le bonjour, était le café qu’elle faisait couler pour eux deux, rien qu’eux deux (sauf quand il avait, rarement, des rendez-vous très tôt), puis souvent une pipe qu’elle lui prodiguait pendant qu’il dégustait la deuxième tasse.Elle s’était habituée à avoir ce goût sucré dans la bouche après avoir avalé sa semence blanche juste après le café.
Souvent, quand il avait besoin d’elle et qu’elle recevait ses consignes debout à côté de son bureau, il passait une main sous sa jupe et faisait glisser ses doigts entre ses fines lèvres sexuelles ; avant de la libérer il suçait ses doigts goulûment.Il allait parfois jusqu’à glisser un doigt dans son sillon fessier, jusqu’à trouver son œillet et l’y enfoncer avec félicité. Irène se tortillait, gloussait, se laisser branler le cul avec joie.Ils avaient toujours des lingettes dans leur bureau, désormais.
Si à la fin de journée, ils étaient restés tard pour travailler, ils profitaient que les bureaux étaient presque vides, et il la prenait, lentement, puis passionnément, et ils se donnaient du plaisir ; et cette explosion orgasmique les vidait, les lavait de tous leurs soucis de la journée, de tout le stress accumulé.
C’était un méditerranéen, plutôt autoritaire, assez traditionnel, l’archétype de l’étalon séducteur, mais il n’était pas avare quand il s’agissait de lui donner du plaisir.Il faut dire qu’il la trouvait toujours appétissante ; après plusieurs années elle lui faisait toujours autant d’effet : rien qu’à la voir en bottes, avec ses bas noirs ou fumée, en jupe marquant bien sa croupe et avec un pull moulant bien ses gros roploplos, il bandait déjà !Elle savait aussi ce qu’il aimait comme tenue vestimentaire, et elle n’en se privait pas.
Il lui arrivait donc souvent de lui ordonner de fermer la porte, les sourcils froncés, sans lever les yeux de son écran ; il allumait le petit feu rouge discrètement. Quand elle s’en apercevait, elle en frémissait d’avance.Puis il se levait, faisait le tour de son bureau, la renversait - plutôt qu’il l’asseyait - dessus, lui remontait jupe ou robe, et il lui bouffait littéralement la chatte comme un affamé.Parfois ça se terminait par une bonne levrette, penchée sur le bureau, et elle se faisait saillir avec force, en admirant le magnifique panorama par les baies vitrées.
— - -
Fabrizio resta en poste pendant plus de huit ans. Puis il fut mis sur la sellette. Il négocia son départ, sachant qu’il allait retrouver un job dans une entreprise importante.
Le patron qui lui succéda était un type un peu plus jeune, sans état d’âme, plutôt indifférent. Au bout de six mois il voulut la remplacer par une assistante plus jeune et moins chère.Mais ça leur aurait coûté bonbon de lourder Irène ou de lui faire signer une convention de rupture, vu son salaire, et on n’avait rien à lui reprocher - elle avait continué à faire son boulot avec zèle, les prestations sexuelles en moins.
On la reclassa à un poste subalterne, sans intérêt, mais au même salaire. C’était une mise au placard, un poste ennuyeux, mais on lui foutait la paix.
Elle s’accrocha, travailla jusqu’à sa retraite à l’âge de 62 ans.
Elle continua à venir sans culotte, et les journées lui paraissaient moins longues quand elle glissait sa main sous sa jupe, sous son bureau, et se caressait la chatte en repensant à cette magnifique carrière au service de Fabrizio, à ses éteintes et à ses coups de boutoir.Dans son bureau pour elle toute seule, petit mais tranquille, entre deux orgasmes, elle essuyait une larme d’émotion.


FIN
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