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Prochain arrêt

Chapitre unique

SM / Fétichisme
Elle entra dans le wagon de première classe. C’était un de ces trains un peu désuets qui circulaient encore entre quelques grandes villes non reliées par le TGV. Les banquettes se faisaient face par rangées de deux.Le wagon était presque désert, à l’exception d’une banquette occupée par deux hommes ; des quadras en costume cravate, affaires autour d’un ordinateur portable auquel était fiché une clé USB bleue avec un logo argenté qui se reflétait au soleil de la vitre. Elle s’avança et s’assit sur la banquette face à eux. Quoi de plus normal qu’une jeune femme dans un train cherche à ne pas se retrouver seule et isolée ?Elle sentit en s’asseyant le bruit des doigts sur les touches de clavier et les voix devenir moins intenses. Elle pensait savoir pourquoi : le regard des deux hommes devait s’attarder sur sa magnifique et longue chevelure blonde et sur son corps souple mis en valeur par sa jupe courte et moulante ainsi que son chemisier cintré d’où perçait son décolleté et sa poitrine généreuse. Elle finit de s’installer et les chuchotements professionnels reprirent. Elle ferma les yeux et s’abandonna au bercement du train qui filait vers sa prochaine destination. Dans une heure elle serait arrivée ; une heure c’était long et court à la fois, tout dépend de ce que l’on a à faire.
Tout en continuant à taper sur leur clavier et à discuter, les deux hommes ne manquaient pas de porter des coups d’œil furtif à la jeune femme face à eux. Quand elle sembla assoupie, les regards se firent moins discrets, et ils n’hésitèrent pas à échanger entre eux des clins d’œil complices en pointant le beau décolleté qui s’offrait à eux ; la jeune femme ne portait visiblement pas de soutien-gorge...Dans son sommeil, la jeune femme remua et sa jambe droite remonta sûr le côté. Cela eut pour effet de dévoiler aux deux voyeurs la lisière d’un bas noir et le début de l’attache d’un porte-jarretelles. En remontant, la jupe courte ne cachait plus non plus la petite culotte de dentelle noire que portait la belle blonde. La cuisse s’ouvrit encore lentement dans le sommeil, la vue devenait « insoutenable » pour les deux hommes… l’un d’eux finit par poser le PC et sa clé USB sur le côté de la banquette ; il vint s’asseoir, l’air de rien, à côté de la belle endormie. Son collègue le regardait d’un air de défi, comme pour dire « tu n’oseras pas ! ».Mais il osa… sa main se posa sur le nylon et remonta lentement, caressant sans brusquerie. Il passa sur la peau douce de la cuisse en souriant. Son collègue ne quittait pas des yeux le spectacle. La main remonta la jupe et arriva sur la culotte qui s’avéra être plutôt un string, renforçant encore l’excitation des deux hommes. Il massa doucement, pour ne pas la réveiller, le sexe au travers du tissu, mais très vite il s’enhardit et glissa son doigt sous la dentelle pour y rencontrer un sexe lisse et doux. Il joua d’abord avec la petite fente avant de remonter doucement vers le clitoris. Il crut percevoir un début d’humidité sans trop vouloir y croire. Mais au fur et à mesure qu’il appuyait ses caresses, la jeune femme semblait remuer dans son sommeil et des soupirs s’échappaient de ses lèvres. Son collègue venait de sortir son sexe et il se masturbait devant le spectacle offert. Il décida d’en avoir le cœur net et il écarta plus fermement les grandes lèvres. Il ne s’était pas trompé : l’humidité était bien là, la mouille coulant lentement le long du sexe qui s’ouvrait sous les caresses. La jeune blonde ondula légèrement du bassin dans son sommeil, sous la caresse. N’y résistant plus, il enfonça son majeur dans le vagin brûlant.
Sous l’effet de cette pénétration, la jeune femme ouvrit les yeux. Elle semblait perdue. La vue du sexe de l’homme en face d’elle, tendu et érigé lui arracha un cri de surprise. Puis elle dut sentir la main de l’homme sur son entre-jambe et elle fit mine d’y échapper. Mais elle était contre la vitre et n’avait nulle part où aller. Elle tenta de se lever mais elle se prit les jambes dans son sac et elle bascula à la renverse, se retrouvant en travers des genoux de l’homme qui la caressait. La main de cet homme se posa alors fermement sur le creux de ses reins, la maintenant ainsi fermement. « Pourquoi vouloir nous quitter ? Nous passion un bon moment », demanda l’homme sur un ton badin. Elle essaya de bouger en protestation mais la main ferme l’empêchait de bouger et l’autre main remonta sa jupe pour dévoiler ses fesses et replonger presque aussitôt dans son sexe toujours humide. Elle poussa malgré elle un long gémissement de plaisir. « C’est bien ce que je pensais, dit l’homme sur un ton ironique. Mais peut être voulez-vous être un peu « attendrie » avant ma chère ? ». Attendrie ? Se demanda-t-elle. Et elle comprit quand la main ferme de l’homme s’abattit sur sa fesse. Elle sursauta et poussa un léger cri sous le coup. Elle entendit l’homme s’adresser à son collègue : « A toi ! ». Et la main de l’autre homme vint claquer sa fesse à son tour. Ils alternèrent tous les deux un long moment. L’homme lui dit alors : « Que fait-on, on continue ma chère ? ». Ses fesses étaient rouges et brûlantes.Pour seule réponse, elle creusa ses reins davantage, relevant son bassin, et offrant son sexe aux deux hommes. Satisfait de cette preuve de docilité, les claques cessèrent et les mains revinrent, mais cette fois caressantes. Le petit tissu de son string fut rapidement au bas de ses chevilles et les doigts de quatre mains la fouillaient sans retenue, ne se donnant aucune limite. Son anus fut lui aussi bientôt envahi par des doigts inquisiteurs qui poussaient au plus profond d’elle. Sous l’effet conjugué de la situation et des caresses entêtantes, elle sentir tout son corps « lâcher » et un orgasme vibrant la terrassa. Elle cria encore et encore tandis que les doigts la pénétraient sans relâche.
Elle n’eut pas le temps de se remettre de son plaisir ; l’un des deux hommes la fit mettre à genoux face à eux assis sur la banquette. D’un ton ferme, il s’adressa à elle : « A toi de nous montrer ce que tu sais faire maintenant ».Et ils sortirent leurs sexes tendus, les présentant à la jeune femme. Elle s’approcha d’eux et décida de leur « montrer ce qu’elle savait faire ». Elle empoigna l’un des deux sexes qu’elle caressa doucement, tandis que sa langue venait lécher les testicules du second avec application. Après quelques instants, elle alterna, caressant le chibre tendu et venant laper les bourses gonflées de l’autre.Mais ce petit jeu les lassa rapidement. L’un des deux empoigna la blonde chevelure et vint enfoncer son sexe entre les lèvres pulpeuses. Elle l’accueillit en jouant avec sa langue sur le frein et le bout du gland, allant et venant sur le sexe dressé, tout en ne cessant pas de masturber l’autre homme. Mais cela ne semblait toujours pas suffire, et la main appuya davantage sur sa nuque, le sexe dur vint alors buter contre sa luette, l’étouffant presque ; mais l’homme ne s’en soucia pas et appuya encore, forçant, et le gland s’enfonça davantage, tout au fond de sa gorge. Elle manquait d’air et la pression se relâcha pour la laisser reprendre son souffle, mais très brièvement, car la poigne ferme la ramena très vite sur le sexe, plaquant à nouveau ses lèvres sur le pubis, la faisant saliver sans relâche. Il continua ainsi plusieurs fois, pressant et la maintenant jusqu’à la limite de l’étouffement sur son sexe. Il relâcha une fois encore son emprise et elle recula en respirant bruyamment ; de la salive coulait le long de son cou, entre ses seins qui fusaient du chemisier que les deux hommes avaient entre-ouvert. L’autre homme attira à son tour le beau visage vers son mât tendu et elle subit immédiatement le même traitement, prenant simplement la précaution de lâcher un jet abondant de salive sur le sexe pour faciliter son introduction au fond de sa gorge. Pendant ce temps elle masturbait sans relâche l’autre sexe humide de sa salive. L’autre homme avait une technique différente ; plutôt que de maintenir longuement son sexe dans sa gorge, il préférerait lui imposer de rapides mouvements de va et vient jusqu’au fond, qui lui arrachaient des gargouillis de plus en plus obscènes. L’un des deux hommes avaient définitivement fini de déboutonner son chemisier et ses seins étaient désormais recouverts de salive qui ruisselait abondamment sous l’effet des gorges profondes sans relâche qu’elle subissait. Les mains de l’homme accélérèrent le mouvement imposé à sa bouche, de plus en plus vite ; elle ne contrôlait plus rien. Elle sentit soudain les chaudes giclées de son foutre venir tapisser sa gorge et son palais. L’homme libéra la contrainte, la laissant aux mains de l’autre qui sentait lui aussi venir le plaisir. Il choisit de la renverser, assise par terre, tête contre la banquette et il se positionna au-dessus d’elle ; il inséra son sexe luisant entre ses lèvres. Ce furent alors de véritables coups de boutoir incessants que sa bouche subit. Heureusement l’excitation était grande, et l’homme jouit rapidement, fichant son sexe tout au fond de sa gorge, son sperme coulant directement dans son œsophage, sans autre possibilité pour elle que d’avaler toute cette semence crémeuse.
Elle pensait en avoir fini avec eux, mais l’un des deux hommes la saisit par les poignets et la fit mettre à quatre pattes, entre les banquettes. Au moyen de leurs cravates, ils attachèrent ses mains aux barres sous les sièges, la maintenant en position de levrette. Elle pensait à cet instant au prochain arrêt où elle devait à tout prix descendre…Elle entendit l’homme pianotait sur son téléphone sans trop comprendre. Quelques instants plus tard, le bruit caractéristique de la porte du wagon qui s’ouvre retentit. Des bruits de pas, deux personnes apparemment. Un sifflet admiratif. L’un des deux hommes pris la parole : « Et voici, faites-vous plaisir les gars ! ». C’était sans doute des collègues…Ces derniers ne se firent pas priés : pour se faire plaisir ils se firent plaisir… elle sentit ses fesses être écartées sans ménagement par deux mains vigoureuses. Un crachat atteignit son anus complètement exposé. Presque immédiatement un gland puissant vint se présenter à l’orée de sa corolle, forçant sans ménagement ses jolies fesses. Elle n’était pas en position de demander un peu de douceur alors elle creusa ses reins au maximum et se détendit pour faciliter l’introduction. L’homme derrière elle poussa un cri de satisfaction quand il vit son sexe disparaître entièrement entre les deux fesses offertes et rebondies. Il la saisit aux hanches et il commença un mouvement de va et vient intense. Il en profita ainsi plusieurs minutes avant de laisser la place à l’autre collègue qui ne se fit pas prier. Pendant ce temps, l’un des hommes qui avait déjà joui retrouva sa vigueur et vint à nouveau s’emparer du visage de la jeune femme pour y enfoncer une fois de plus son sexe dur. Comme pour la première fois, il ne lui laissa aucune l’attitude, gérant tous les mouvements. Un nouveau changement s’opéra derrière elle sans que son anus reste trop longtemps vide pourtant. Les hommes alternaient sans relâche. Alors que l’un d’eux la sodomisait avec vigueur, un second vint se placer à l’orée de son sexe et s’y enfonça sans grande difficulté tant elle mouillait sous les assauts. La double pénétration était rendue encore plus intense de par le sexe qui allait et venait sans relâche dans sa bouche. Tous ses orifices étaient remplis et les 4 hommes se succédaient en elle, alternant chaque trou.
Le plaisir devenait intense. Les hommes redoublaient de coups de boutoir dans tous ses trous grands ouverts. L’un d’eux exerça à nouveau une pression forte sur sa nuque et d’un coup de rein enfonça son chibre énorme tout à fond de sa gorge, lui arrachant de nouveaux filets de bave. Cette dernière pression déclencha un nouvel orgasme, encore plus dévastateur que le premier. Tout son corps s’agita en tous sens pour le plus grand plaisir des deux hommes qui la pénétraient. Le troisième faillit jouir entre ses lèvres simplement au son de ses hurlements de plaisir étouffés par le sexe fiché entre ses lèvres. Sa tête tournait mais elle reprenait petit à petit ses esprits ; le train arrivait presque en gare, il fallait qu’elle descende à cette station. Des mains étaient en train de détacher ses poignets. Ces mêmes mains la mirent à nouveau à genoux, et elle se trouva face aux membres dressés, que leurs quatre propriétaires masturbaient à l’envie. Un des hommes jouit très rapidement et sa semence vient s’étaler en plusieurs giclées sur son sein droit. Le second voulut arroser le gauche, mais il ne contrôla pas les jets qui atterrirent un peu sur sa poitrine mais surtout sur son ventre. Les deux derniers, les deux hommes du début, mirent un peu plus de temps pour cette seconde jouissance mais ils finirent aussi par exploser à la vue des seins maculés de sperme et ils vinrent à leur tour couvrir sa poitrine et son ventre de leur foutre chaud. Les quatre hommes poussèrent ensuite le vive à venir essuyer leur sexe sur les tétons encore dressés de la jeune femme. Son ventre et ses seins étaient couverts de longues traînées blanches et crémeuses ; le sperme des quatre éjaculations s’étalait sur tout son corps. Le train ralentissait et entrait en gare. Elle ramassa son chemisier sur la banquette et l’enfila rapidement, le reboutonnant à la hâte. Elle s’appuya sur le PC sur la banquette pour se relever et elle fila rapidement vers la sortie, l’arrêt en gare était court. Elle n’échangea aucun mot avec les quatre hommes qui se rhabillaient, repus et satisfaits ; ils descendaient au terminus.
Elle arriva sur le parking de la gare, prenant le soin de se recoiffer alors que le train reprenait sa course. La voiture l’attendait. Elle monta à l’arrière. Un homme en costume se trouvait déjà dans le véhicule. Il s’adressa à elle dès qu’elle entra :« Alors ?— Et voici, dit-elle en sortant de son sac à main une clé USB bleue avec un logo argenté. Toutes les caractéristiques du prochain produit révolutionnaire de votre principal concurrent.— Merci ma chère ; voici pour vous, dit-il en lui tendant une enveloppe d’où dépassait un grand nombre de billets violets. On m’avait vanté votre efficacité, mais je suis impressionné. Pas trop dur ?— J’ai connu plus… dur… », répondit-elle en souriant, pensant au sperme qui au même moment ruisselait le long de sa poitrine et de son ventre.
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