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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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La prof

Chapitre 1

Inceste
Je venais de sortir de la dernière promo de l’IUFM et avais déménagé en compagnie de mon copain, Nicolas pour ma première affectation. J’étais prof de Français mais affectée dans un lycée de la banlieue parisienne, une ZEP (Zone d’Education Prioritaire). D’aucun qualifieraient de difficile de débuter ainsi une carrière de prof dans l’Education Nationale. Pensez donc : moi, jeune fille d’à peine 26 ans, débarquant de ma province du Nord natale affrontant la banlieue nord de Paris comme jeune prof ? Difficile en effet, mais très courant en vérité aussi nous avions été préparés à cette éventualité en dernière année d’IUFM. Non, non : ma rentrée était réellement difficile venant du fait que, coup de théatre, Nicolas m’annonça, la veille de la rentrée, qu’il me quittait après presque huit ans de vie commune. Il partait s’installer avec ma meilleure amie, Mélissa. Je n’avais jamais cru deux êtres si proches c apables d’une telle trahison : j’étais KO, incapable de sortir du gouffre dans lequel on m’avait fourré la tête la première. Lorsque Nicolas, son sac de sport contenant ses affaires à l’épaule, partit, je me suis surprise, en pleurs, à genoux, à le supplier de rester. Il demeura inflexible. J’étais trop amoureuse et ça se voyait ... La vie n’avait plus aucun sens. Je me suis aperçue avec horreur que pour la première fois de ma vie, j’allais me retrouver seule et le vide était vertigineux.
Le lendemain, j’affrontais une rentrée particulièrement dure. Aucun signe de faiblesse ne doit transparaître aux yeux de ces élèves, pour la plupart incompétents et à moitié délinquants, sous peine de perdre de façon irrémédiable l’autorité que nous, profs, nous devons d’avoir. Pour moi, minée par ma rupture avec Nicolas, c’était perdu. On ne sait comment, mes élèves l’ont détecté : ils ont commencé fort leur travail de sape ... Lancer de portables, de sacs, d’objets en tous genres entre eux : c’était la pagaille totale. A bout, je suis sortie quelques instants de la salle de classe au bout d’une demi-heure pour aller m’isoler et pleurer dans la salle des profs. Pourquoi toutes les catastrophes de la Terre semblaient s’abattre sur moi ?
Les semaines s’écoulaient et rien ne s’arrangeait pour moi. Je n’avais plus aucune autorité sur quiconque. L’effet devenait même plus pervers que ça. Ces chahuts étaient immanquablement orchestrés par l’un de mes élèves (hélas le plus doué), Abdou, un Noir de 17 ans, taillé comme un athlète grec. C’est lui qui faisait la pluie et le beau temps. Aucun recours n’était à envisager contre lui : il était le plus doué de la classe, ce qui fasait rechigner le proviseur ou le principal à sévir contre lui. Ses notes avoisinnaient le 16/20 quelque soit la matière. Il était conscient de son impunité alors il jouait de son pouvoir sur ses camarades. Les garçons l’adulaient et les filles n’hésitaient pas à se frotter contre lui. Je ne tardais pas à éprouver une profonde antipathie vis-à-vis de cet Noir qui sapait mon autorité. Ces démonstrations de pouvoir ne passaient pas forcément par du chahut. Parfois, quand il jugeait ses camarades suffisamment excités, d’un geste, il les faisait tenir tranquile. C’était encore plus énervant pour moi car, moi, je n’avais aucun de ses pouvoirs. Au contraire, il suffisait que je réclame du calme pour que ça soit un facteur déclencheur de bordel. Dans ces cas, c’était Abdou qui gueulait un bon coup pour terroriser ses camarades et les faisait calmer ...
Le week-end suivant, je revis Nicolas, mon ex ... Il passa à la maison soi-disant pour me rendre visite. En fait, la réalité était toute autre ... Mélissa, sa nouvelle petite amie, je le savais, était loin d’être une parfaite femme d’intérieur comme je pouvais l’être. Nicolas lorsque nous étions ensemble n’en foutait pas une, côté tâche ménagère. J’ai failli ne pas lui ouvrir. Je commençais, dès le pas de la porte, à l’insulter tout en pleurant ... Il me caressa la joue avec douceur pour me consoler. Je fondis ... Je le fis entrer. Il s’installa sur le fauteuil du salon et nous parlâmes de choses et d’autres. Il me baratina comme quoi, Mélissa et lui n’avaient pas eu le temps d’acheter des appareils et il me demanda de le dépanner pour la machine à laver. J’étais abasourdie ... Je voulais protester comme quoi, je n’étais pas leur boniche mais j’étais dans un tel desarroi depuis son départ que je me résignais : je pris le grand sac de sport. Je me mis moi-même des oeillères ... Je me dis que c’était pour rendre service et que la séparation ne devait pas nous empêcher de rester bons amis. La réalité est que je n’avais toujours pas fait le deuil de notre relation ... Je passais dans la laverie trainant le sac de Nicolas, trop lourd ... Ce salaud ne leva même pas le petit doigt pour m’aider : il lit tranquillement une des BD qu’ils n’avaient pas emporté tout en fumant une cigarette (il savait très bien que je ne supportais pas la fumée) ... Dans la laverie, je fis le tri des frusques de Nicolas et Mélissa avec un pincement au coeur : à côté des T-Shirts, des chemises et des pantalons, il y avait également leurs dessous. Mélissa avait de superbes dessous dont certains neufs, sans doute offerts par Nicolas qui en était friand. Une culotte en dentelle rouge était encore maculée du sperme de mon ex. Plongée dans mes pensées en observant la culotte de ma rivale, je n’entendis pas Nicolas entrer dans la laverie :
— Alors, tu t’en sors ?
Je sursautais ... Rouge de confusion, je remplis précipitamment le tambour et je lui répondis :
— Oui oui ... J’étais en train de réfléchir si tout passait en lavage normal ...— Tu devrais en profiter pour laver ce que tu mets
Non, mais pour qui il se prenait ? Il poursuivit ...
— Si si je t’assure : tu économiserais un cycle de lavage
Joignant le geste à la parole, il releva ma robe d’intérieur et tira sur l’élastique de ma culotte. Hypnotisée comme une proie devant un python, je ne résistai même pas. Je relevais les jambes l’une après l’autre pour me dégager du carré de tissu à mes chevilles tandis que Nicolas, d’un geste sûr acheva mon effeuillage. Il lança avec désinvolture le carré de coton dans le tambour puis à travers ma robe, il dégrapha le soutien-gorge derrière mon dos. J’écartais les bras pour qu’il puisse le passer sous les bretelles des manches de ma robe. Je me sentais comme libérée d’un joug. Je constatais que la blessure était trop récente pour que je puisse opposer une résistance aux avances de mon ex. J’étais d’autant plus humiliée que je repensais à la culotte de Mélissa que je tenais entre mes mains quelques secondes plus tôt. J’essayais de reprendre mes esprits : je choisis le programme de lavage lorsque Nicolas releva ma robe et mit à nu mes fesses sans que je n’opposais toujours d e résistance. Il se dégagea et s’enfonça comme naguère dans mon sexe martyrisé par la promesse de bonheur. Il me prit comme ça en levrette, tandis que j’étais appuyé sur la machine à laver, les larmes aux yeux de cette aumône qu’il m’offrait. Mon sexe l’accueillit avec volupté tandis que sa fausse brutalité m’arracha un grognement sourd de surprise autant que de contentement. Nicolas n’avait aucune délicatesse : il allait et venait avec une brutalité atténuée, mes seins libres, sous le rythme furent expulsés de sous ma robe et cognaient durement sur le haut de la machine à laver sans que mes bras ramenés devant, coudes appuyés, ne puissent les contenir. Mon sexe était béant et recevait son cadeau sans honte. Un filet de base s’écoula de la commissure de mes lèvres et se mêlait à mes larmes puis tombait sur mon avant-bras droit. Nicolas sans sortir de moi me souleva au niveau des hanches et me porta jusqu’à la salle de bain. Les jambes balantes, je faisais l’effet d’une gargo uille accrochée à son support ... Il entra avec moi, toujours accrochée à son pénis profondément enfoncé en moi, dans la baignoire. Je fis passer ma robe par dessus mes épaules tandis que Nicolas faisait couler l’eau de la baignoire. Toujours ainsi soudés, je m’occupai de retirer le T-Shirt trempé de Nicolas tandis qu’il se tortillait pour nous préparer un bain. Son pantalon fut dégagé difficilement. Nous fîmes ainsi l’amour longuement dans la chaleur de l’eau moussante. Ma peau se ramollit autant que ma volonté tandis que Nicolas, engoncé sous mes fesses usait et ré-usait de mon orifice vaginal durant ce qui me paraissait comme une éternité. Je jouis comme jamais je n’avais joui auparavant. Le vieil adage se vérifiait : ’On n’appréciait pleinement que ce qu’on avait perdu’. Mes yeux se fermaient en se crispant tandis que de la lave en fusion coulait dans mon ventre provoquant le plaisir sur chaque parcelle de ma paroi intime. J’étais heureuse à nouveau même si rien n’était réglé dans ma vie. Nicolas me donna un dernier coup de rein où il acheva de se déverser dans mon ventre, l’inondant encore un peu plus ... Ce faisant, il serra mes épaules graciles de ses mains puissantes, laissant des ecchymoses.
Il sortit le premier de la baignoire et sans s’essuyer, il alla se réinstaller sur le canapé en allumant une cigarette. J’admirais, un peu éblouie par la lumière qui se réverberait dans l’embrasure de la porte de la salle de bain, le corps dénudé de Nicolas. Je pris une serpillère et essuyai les flaques d’eau que Nicolas avait laissé en marchant sur le carrelage. Je tentais ensuite d’aller me blottir entre ses bras en attendant la fin du lavage mais il me repoussa sans ménagement. Finallement, j’allais m’asseoir sur le fauteuil en face, toujours nue, écartant et croisant les jambes pour tenter de susciter à nouveau le désir chez Nicolas avec le spectacle de mon sexe béant mais il resta parfaitement indifférent. Il repartit une heure après, une fois que j’ai rangé et plié leur linge dans son sac de sport.
Jamais ils ne firent l’acquisition d’une machine à laver comme il m’a dit au début. Si bien que je vis régulièrement Nicolas débarquer et me faire faire leur lessive. Mais jamais il ne me refit l’amour durant ses passages. Il prit plutôt ses aises au fur et à mesure que le temps avançait. Les commentaires sur mon ’travail’ fusaient :
— Tu feras attention avec les slips en dentelle ... Mélissa était furieuse la dernière fois, quand tu en as bousillé une ...— Oui mon chéri, me contentais-je de répondre
D’autre part, Nicolas se servit parfois dans mon frigo pour récupérer à manger :
— Je peux t’en piquer ? On n’a pas eu le temps de faire les courses la samedi dernier ... On s’est fait un week-end baise sans sortir de l’appart— Oui mon chéri
Aujourd’hui, en y repensant, j’enrage de m’être laissé autant abuser ...
Cela étant, cet intermède avec Nicolas m’a frustré incroyablement. Je m’étais accroché à la main qu’il m’avait tendue et son retrait par la suite m’avait laissée sur le carreau. Comme s’il m’avait quitté une deuxième fois. Chaque fois que je le revoyais repasser à la maison, j’espérais qu’il me fasse l’amour mais, rien ne venait. Le sexe m’obsédait toute la semaine attendant son hypothétique passage le week-end. Mon attitude au lycée s’apparentait à ceux des drogués en manque : je devenais de plus en plus irritable, ce qui excitaient encore plus Abdou et mes autres élèves. Au moins une fois par semaine, je m’isolais dans la salle des profs pour aller pleurer ... Je devins accro aux calmants pour me faire passer le temps et me déstresser. Un jour, Abdou, me rattrapa dans les couloirs en me tendant une tablette de calmants qui était tombé de mon sac :
— M’dmoiselle, vous avez laissé tomber ça— Merci Abdou— C’est du costaud ce que vous prenez là M’dmoiselle— ...— Ca doit vous couter cher— Ca ne te regarde pas— Moi, c’était pour vous aider ... Je peux vous en fournir pour pas cher— Non ça ira merci ...
Je tournais les talons mais la proposition d’Abdou avait fait son chemin dans ma tête ... C’est vrai que ces calmants ponctionnaient gravement mon salaire. Mais hors de question de négocier avec cette racaille ... Des semaines passaient, j’avais de plus en plus de mal à joindre les deux bouts, je devenais de plus en plus accro aux calmants. Je demandais à Nicolas de me pretter de l’argent mais il refusa sous prétexte que Mélissa et lui économisaient pour l’instant. Malgré tous les services qu’ils me forçaient à leur rendre, aucun retour n’était à espérer. Cela aurait dû me remettre dans la réalité mais rien n’y faisait : le souvenir de l’amour avec Nicolas la dernière fois et l’espoir ténu que cela recommence anesthésiaient ma raison. J’aurais pu ... J’aurais pu essayer de refaire ma vie, en rencontrant d’autres hommes mais le passage régulier de Nicolas chez moi m’empêchaient de me reconstruire, même si plus rien ne se passait à mon grand désespoir ... Je me morfondais .. . Ma banque m’appella un jour pour me signaler un lourd découvert que je ne saurai combler dans l’immédiat. Je partis négocier avec ma conseillère financière qui accepta d’échelonner les remboursement en ponctionnant mon salaire mais, cela signifiait une réduction drastique de mes dépenses ... en premier lieu de mes calmants. Pourtant, j’étais accro ...
Le lundi suivant, après avoir cogité tout le week-end, j’allais happer discrètement Abdou en lui signifiant que finallement sa proposition m’intéressait ’à titre de dépannage’ me crus-je obligé de lui dire ... Cela le fit sourire :
— OK, venez me voir derrière le mur du lycée ce soir à 6 heures, ce sera plus discret ...
A 18 heures, je me présentais derrière le mur du lycée comme convenu, sombre, inquiétant mais effectivement discret. Abdou sortit de l’ombre flanqué de deux inconnus que je ne connaissais pas ... pas du lycée ... Dans la pénombre, le sourire d’Abdou faisait ressortir la blancheur de ses dents :
— On va faire affaire ... Pour la première, c’est gratuit— Non dis-moi le tarif, de toutes façons, ce sera la seule fois, je ne suis pas accro ...— Elles disent toutes ça ... Ca fera 5 euros alors ...
Je ne relevais pas ... Je sortis un billet le lui tendis puis partis récupérer mon RER. J’en avais pour une semaine normalement à tenir. J’étais accro ... J’éspérais que le lendemain, Abdou aurait la délicatesse d’être discret. Il y allait de ma carrière (médiocre mais carrière tout de même ...). Il le fut. Même bizarrement, il tenait ses camarades ou ses troupes devrais-je dire, de telle sorte que j’eus une paix royale durant le cours où je les avais. Cela faisait longtemps que je n’avais pas eu un cours aussi calme et tranquille. Tout de même, je trouvais qu’Abdou me collait un peu trop dès que l’occasion se présentait : à la sortie de la salle de classe ou dans les couloirs. Personne ne semblait s’en rendre compte sauf moi. Peut-être était-ce mon imagination qui me jouait des tours. Il est hors de question que je le fréquente plus que nécessaire : c’est un élève et je suis sa prof, il avait presque dix ans de moins que moi, j’étais blanche et provinciale et lui, noir et zonard. Une semaine se passa ... Nicolas était repassé comme d’habitude avec tout son linge sale. Il resta avec moi dans la laverie tandis que je lavais leur linge. Comme d’habitude, j’espérais qu’il allait me faire l’amour, je faisais exprès de le frôler. Un moment, il esquissa une caresse sur mes hanches et moi je me laissais faire, implorante mais sadiquement, il n’alla pas plus loin. J’étais en manque de sexe également mais les trop fréquents passage de Nicolas insinuaient dans mon esprit que je dois lui rester fidèle. Manifestement, il en jouait :
— Tiens, si tu pouvais repasser les chemises de Mélissa, elle a pas mal d’entretiens à passer la semaine prochaine ... Tu seras chou— Comme tu voudras mon chéri, dis-je en rougissant sous le petit ’compliment’
Je repassais voir Abdou toutes les semaines lui acheter mes cachets. Le moins que l’on puisse dire que 5 euros, ce n’était pas cher. Loin de vouloir arrêter, j’augmentais plutôt mes doses. Ce qui au bout de quelque temps me ramenait au problème initial. Trop d’argent ... Voyant ma détresse, Abdou se prit d’affection pour moi. Il tenta de m’inciter à arrêter mais rien n’y faisait. C’était le monde à l’envers : cette racaille tentait de protéger sa prof, son ennemie de ses propres turpitudes.
— Je peux vous fournir mieux pour pas cher— Qu’est-ce que ça cache ?— Rien, juste que vous me promettez d’essayer d’arrêter en échange sinon ...— OK envoie, dis-je en ignorant la menace
Quelques semaines après, j’augmentais encore mes doses. Un soir, avant le week-end, Abdou parut ennuyé en me voyant :
— Vous m’avez promis d’arrêter M’dmoiselle— Oui ben ça ne s’est pas fait. Envoye la marchandise ...— Je ne peux pas, je vous ai fait un prix en espérant qu’il soit temporaire mais je ne peux pas continuer comme ça— C’est combien le vrai tarif alors ?— 100 euros
Je faillis m’étrangler :
— Qu ... Quoi ? Mais je ne peux pas payer autant. Refile-moi l’ancienne ...— Je n’en ai plus, ça ne se fabrique plus à ce tarif là— File-moi autre chose— Non, vous devez arrêter maintenant— Je n’ai pas cet argent là Abdou, fais-moi une faveur— Moi je ne peux rien mais mon fournisseur pourra peut-être vous faire ça si vous lui en parlez. Mais vous devriez vraiment arrêter avant d’aller trop loin.— T’occupe, emmène-moi voir ton fournisseur ...— Kassim— Emmène-moi voir ce Kassim— Vous ne devriez pas
Il obtempéra néanmoins. Nous traversâmes les ruelles sombres de la cité et dans un immeuble, Abdou frappa à une porte. Un grand Noir d’une quarantaine d’années ouvrit, le visage scarifié et ridé. Pas un poil de graisse même s’il portait une robe de chambre râpée. Abdou lui expliqua mon problème. Kassim, après l’avoir écouté lui aboya quelque chose comme : ’C’est bon, je m’en occupe ... Va attendre en bas’. Abdou me dit qu’il m’attendait en bas, le regard plein d’inquiétude. Je ne l’avais jamais vu dans cette attitude là au lycée. Kassim me fit entrer et asseoir dans un fauteuil. Il jeta sur la table un sac plastique duquel s’échappaient plusieurs boîtes de mes cachets favoris :
— Je peux te les vendre au même prix qu’avant mais je veux autre chose en échange— Quoi ? Dis-je, l’air faussement empreint de défi— Tu sais bien, il faudra juste être très gentil avec moi
Je me levai d’un bond et me précipitai à la porte :
— Jamais
Kassim sourit et me lança, sans chercher à me retenir :
— Reviens quand tu seras décidée ... Mon offre tient toujours.
Sans me retourner, je descendis quatre à quatre les marches de l’escalier de service. Abdou m’attendait en bas, l’air interrogateur.
— Rien, lui dis-je avant qu’il n’ait articulé le moindre son. Tu as raison, je vais arrêter.— Vous avez raison, mais ça ne va pas être facile. Allez voir un médecin.— Pas question, je m’en sortirai seule.
Il eut l’air dubitatif mais ne me contredit pas. Il me raccompagna sagement jusqu’à la gare de RER. A cette heure-ci je ne risquais plus de rencontrer des collègues. Le week-end fut atroce. Il ne me restait plus de cachets, Nicolas ne passa pas comme à l’accoutumée alors que je pensais que rien que sa présence m’aurait réconfortée. Durant deux jours, je fus en proie à des tremblements, des insomnies et des délires. Je pleurais, hurlais ma souffrance. Je restais prostrée dans mon sofa. Le lundi, mon état ne s’améliora pas. Je ne pouvais pas aller travailler. Je téléphonais au proviseur, ayant du mal à produire une voix normale. Je n’en pouvais plus. Il me fallait quelque chose : je retournais à la cité d’Abdou. Je l’attendis à l’entrée de la cité, sachant qu’il passait par là en revenant du lycée. Il ne vint pas ... J’enchainais café sur café mais tout mon être se déglinguait à l’intérieur. Je me résolus à aller voir directement Kassim. Je retrouvais difficilement le chemin dans le dédale des immeubles de la cité. Je ne vis pas grand monde si tard le soir mais les quelques-unes personnes que je croisais (des adolescents) me sifflèrent copieusement. Une blanche sur leur territoire était une attraction ! Je retrouvais enfin l’entrée, légèrement calmée par les litres de café que je bus toute la fin d’après-midi. Je frappais à la porte qui s’ouvrit aussitôt sur le visage inquiétant de Kassim. Aussitôt un sourire barra ses cicatrices :
— Entre, je te prépare ton paquet ...
Je m’assis sur le même fauteuil tandis qu’il s’afférait en cuisine. Quelques minutes plus tard, il revint, ayant troqué son costume contre le même peignoir que je l’avais vu mettre quatre jours plus tôt. On y était !!! Il me saisit le bras, toujours souriant et me força à me lever. Ensuite il me fit asseoir sur le grand sofa, à côté de lui. Les pans de sa robe de chambre s’écartèrent, laissant apparaître son entrejambe nu.
— Je ne couche jamais qu’avec des Blanches me dit-il. Tu sais pourquoi ?
Je secouais la tête en baissant la tête de honte, hésitante.
— Ce sont les seules qui savent sucer. Chez les Noires, y a comme un tabou ...
Je dégluttis avec difficulté. Nicolas adorait ça mais jamais je n’aurais imaginé le faire avec quelqu’un d’autre. Kassim dénoua la ceinture de sa robe de chambre et mit à l’air un sexe à la taille impressionnante, même au repos :
— Allez, bouge, il commence à avoir froid.
J’eus les larmes aux yeux ... J’hésitais encore mais l’état de manque était trop douloureux ... Il me fallait mes cachets. Je relevais une mèche qui masquait ma bouche lorsque je me penchais puis commençais à poser des petits bisous sur le gland circoncis de Kassim. Il me tapotta la tête d’impatience :
— Dépêche, je n’ai pas que ça à foutre
J’avalais fermement alors l’appendice qui commençait à prendre vie. Kassim releva lui-même mes cheveux blonds qui masquaient le spectacle pour pouvoir en profiter. Ma bouche menue eut du mal à engloutir la totalité du pénis rugueux de Kassim. Ma langue eut du mal à se mouvoir, plaquée entre mon maxilaire inférieur et le pénis remplissant ma bouche. Durant une éternité, ma tête fit des va-et-viens, guidée apr Kassim qui me tenait toujours les cheveux dans sa main. Je le sentais venir ... Je n’avais pas envie qu’il jouisse dans ma bouche, mais rien à faire : la poigne de fer noire plaqua ma tête contre son pubis. J’eus à peine la liberté de ne pas m’étouffer par la longueur de son pénis au fond de ma gorge. La première giclée, lourde et puissante se déversa directement au fond de ma gorge. La seconde me tapissa le palais puis le reste inonda ma langue. Je pleurais d’humiliation, craintive : je ne savais pas ce qui trainait comme cochonnerie chez ce Noir alors qu’il se dévers ait sans aucune précaution dans ma bouche. Une fois de plus, j’étais coincée. Une fois achevé, il maintint sa pression pour que ma tête reste en position. J’eus du mal à recracher sa semence, son pénis, à peine dégonflé bouchait toujours mon orifice buccal.
— Avale, sinon tu restes comme ça.
J’avalais finallement, non sans mal non plus. Enfin, il me permit de me relever mais saisit à nouveau mon bras pour m’empêcher de me lever du sofa. Il reprit son souffle durant de longues minutes. Puis :
— Ranime-le, je vais te sauter
J’ouvris des yeux exorbités, terrorisée. Kassim me ’rassura’ :
— T’inquiète ... Cette fois, tu prendras ton pied. Je n’ai jamais déçu mes meufs.
C’était censé me rassurer !!! Mais j’étais toujours coincée, aussi j’obtempérais à nouveau. Je repris son sexe en bouche et il ne tarda pas à bander à nouveau. Je me relevais quand il fut au maximum à en faire mal. Puis il saisit un flacon rempli d’huile et enduit son pénis :
— Vire tes frusques
Je me deshabillais. Ma veste ... puis mon chemisier ... puis mon pantalon tombèrent sur la moquette. Je fis une pause une fois en sous-vêtements, espérant une clémence de sa part. Elle ne vint pas : il tapa d’impatience du pied sur le plancher en continuant à s’astiquer pour maintenir son érection au maximum. Je dégraphai mon soutien-gorge en me cambrant involontairement. Mes énormes seins laiteux tombèrent légèrement quand leur support fut retiré. La fraicheur fit friper mes tétons roses. Je me levais pour retirer ma culotte. J’étais nue tandis que Kassim était toujours en peignoir. Ce n’était pas gênant pour lui. Je me rassis : il me poussa en arrière en se positionnant sur mon corps dénudé, me forçant à m’allonger sur le sofa. Si mes parents voyaient leur petite fille prête à se faire enfiler par un Noir ... Eux qui, bien que n’étant pas trop racistes, excluaient tout mélange des races en amour !!! Presque sans effort, il s’enfonça dans mon vagin. Il avait l’habitude de baiser ainsi, sans aucun doute. Je n’étais pas préparée à le recevoir mais son sexe était couvert du corps gras qui le faisait coulisser sans difficulté. Aussi il atteignit sans me faire mal, le fond de ma matrice. Mon deuxième partenaire sexuel après Nicolas était un sordide dealer Noir. Quelle déchéance !
— Détends toi, tu vas aimer, me dit Kassim
Mais je ne veux pas aimer ça, protestais-je en mon for intérieur. Il opéra un va-et-vient avec ses hanches, explorant largement mon appareil génital. Puis mon corps se souvint des mois d’abstinence sexuelle et commença à se réveiller sous les assauts de Kassim. J’étais toujours raisonnablement horrifiée mais le reste de mon corps répondit petit à petit au coït. Un feu commença à consumer mon ventre accueillant de mieux en mieux ce pénis qui l’envahit, l’ouvrait. Un houlement anima mes hanches, accompagnant les propres coups de reins de Kassim. Il fit monter malgré moi le plaisir dans mon corps. Je me détendis, ouvris mes bras auparavant croisés autour de mes seins pour les cacher. Ce qui était ridicule vu que cette fausse pudeur tombait mal à propos lorsque votre vis-à-vis était fiché profondément dans votre vagin. Je cherchais mon souffle, je gémis sans pouvoir me retenir, le plaisir montant crescendo. Je me mordis la main tout en pétrissant de l’autre les fesses de Kassi m par dessous le peignoir. Son fessier était dur et musclé et c’était une douceur de telles fesses. L’orgasme me faucha ... Mon corps fut saisi de soubresauts ... puis il éjacula ... me clouant au fond du sofa. Sa puissance me balaya, ses lourds jets de sperme furent autant de salves qui firent abdiquer mes dernières résistances, m’arrachant quelques miettes de plaisir supplémentaires. J’étais en nage malgré la fraicheur de cette nuit printanière. Je n’étais plus qu’un animal craintif en plein milieu de cette jungle urbaine qu’est la zone. Mon prédateur, inconnu encore quelques jours auparavant, venait de m’ensemencer avec l’assurance d’un lion dévorant sa proie. J’étais sa victime. Il se retira tout aussi brusquement de moi, laissant un désagréable courant d’air frapper ma paroi vaginale béante de laquelle dégoulinait notre récent plaisir. J’étais exténuée.
— Tu t’appelles comment dit-il— Charlotte— Eh bien Charlotte, tu es bonne— ...— Si ça te dit, tu peux repasser vendredi soir à 22h, j’organise une soirée avec des potes. Tu es invitée et il y en aura beaucoup plus pour toi, m’annonça Kassim en ne me jetant qu’une demi-tablette de mes calmants sur ma poitrine voluptueuse
Je m’habillais, à nouveau honteuse et humiliée de cette aumône. Les larmes me remontaient aux yeux. Combien de temps cette aumône allait-elle me durer ? Je trouvai néanmoins le courage de lui rétorquer :
— Non non, c’était juste pour me dépanner. Je ne suis pas accro ...— Si tu changes d’avis, fais-toi belle et passe me voir ...
Je rentrai à la maison puis commençai à me gaver de calmants. Je pris un bain dans lequel je me frottais tout le corps comem pour me dégager d’une saleté morale. Le lendemain, ça allait mieux et je pus aller travailler. Abdou me lança un regard interrogateur, inquiet, visiblement mis au courant de mon escapade de la veille dans sa cité. Mais il ne pipa mot. Depuis, il tenait correctement ses camarades et je devint la prof qui eut le moins de problème du lycée. Le jeudi soir, je téléphonais à Nicolas : je n’eus que son répondeur. Je lui dis que j’avais besoin de lui, que j’avais besoin d’aide. C’était la première fois que je me confiais. Le lendemain, ce fut Mélissa qui me rappella : elle me dit de laisser Nicolas tranquille, que c’était fini entre nous. Tous les reproches que j’avais à faire à mon ex-meilleure amie sortirent sans que je ne puisse y faire grand chose. Je savais que c’était le meilleur moyen de me couper de Nicolas définitivement mais cet appel fut la goutte qui fit déborder le vase. Je lui reprochais d’avoir régulièrement piqué mes rares petits amis. Il faut dire que Mélissa avait un physique de mannequin auprès duquel je ne pouvais m’aligner. Le seul qui ait échappé durablement à ses appétits de mecs fut Nicolas, jusqu’à il y a quelques mois. Dès le jeudi soir, j’avais terminé la demi-tablette de calmants que Kassim m’avait fourni. Je commençais à ressentir les affres du manque. La nuit fut insomniaque pour moi. Je ne pus aller au lycée le vendredi. Mon corps fut à nouveau saisi de tremblements et une nausée perpétuelle me vint jusqu’au bord des lèvres. Je ne tiendrais pas longtemps. J’étais résolue à oublier Kassim et son commerce sordide mais à 20 heures, je fus saisie d’une série de vomissements qui accentuaient encore plus mon état de manque. ’Pas question de céder’ hurlais-je toute seule dans mon appartement comme pour tenter de faire reculer l’inéluctable. Je n’en pouvais plus. Le téléphone sonna : c’était cette fois-ci Nicolas. Je lui racontais tout, absolument tout. Il compatit mais il était parti en mission dans le sud de la France. Il ne pouvait pas venir m’aider à tenir :
— Essaie de tenir bon jusqu’à lundi soir, je serai de retour et je t’aiderai ...
Tout un week-end en étant stone, c’était impossible. Je pris un bain mais rien n’y changea. En sortant de la baignoire, comme une automate, je me saisis des produits à maquillage dans l’armoire de la salle de bain et commença à me farder les yeux. Je me maquillais complètement le visage. Lorsque je vis le résultat dans la glace, j’eus un choc : j’avais l’air d’une pute !!! Tant pis, tous mon corps se déglinguait ... J’avais besoin d’une dose ... tout de suite. Je farfouillais dans mon armoire et sortit une robe en lamé noir brillant. Je tentais une dernière fois de me soustraire à l’inéluctable en distrayant mon esprit. Pour ce faire, je me vernis les ongles de rouge sang. Je fus à nouveau prise de tremblements, terminant à grand peine ma tâche. J’appelais un taxi puis acheva de m’habiller en passant un manteau et un foulard sur la tête pour masquer ma tenue provocante. J’indiquais au chauffeur surpris, l’adresse de Kassim
— Vous êtes sûre que c’est par là-bas que vous voulez aller ?— Oui
Il était 23 heures lorsque je toquais à la porte de Kassim. Une musique électronique s’échappait de l’intérieur de l’appart. Kassim demanda à travers la porte :
— Qui c’est ?— Charlotte ! Celle qui ...
La porte s’ouvrit aussitôt et Kassim, en tenue de soirée m’invita à entrer avec un grand sourire. Il y avait dans l’appart une vingtaine de convives dont cinq femmes ... Les hommes, tous des Noirs ou Maghrébins étaient en tenue de soirée tout comme Kassim. Il y avait aussi Abdou. Les femmes moyennement jolies mais étaient toutes torse nu avec juste un string à l’aine. C’étaient des putes, deux Noires, deux Maghrébines et une Asiatique. Ca y est : j’étais dans la gueule du loup. Je n’avais aucun doute du ce pourquoi on m’avait conviée mais j’avais tout de même le secret espoir en venant qu’il allait en être autrement. Non, cette fois, c’était sûr ... Personne à part Kassim ne semblait se manifester de mon arrivée mais des regards pervers me détaillaient tout de même.
— Mets-toi à l’aise Charlotte, me dit Kassim en me pelottant les fesses
Je ne me rebiffais plus : ce n’était plus l’endroit ni le moment. Je retirais mon manteau et allais poursuivre quand Kassim m’arrêta :
— Retire ta culotte, ton soutien-gorge et tes bas mais garde le reste.
J’étais dans un état second mais j’obéis. Je retirais mes sandales à talons pour pouvoir retirer mes bas et ma culotte. Tous admiraient le spectacle : applaudissements, sifflets et cris accompagnaient chaque centimètre carré de peau blanche que je laissais apparaître.
— Installe-toi au milieu de la pièce avec les autres chiennes
Pour l’instant, rien de plus ne se passait : les filles se contentaient de se prélasser là où était la table basse lundi dernier quand Kassim m’avait sautée. Je m’allongeais, coude me soutenant, où les filles voulaient me faire de la place. Les autres filles, visiblement jalouses de moi, m’ignoraient et discutaient chiffons entre elles. Ma robe, par les soins de Kassim fut relevée jusqu’en haut du pubis pour mettre à nu ce dernier. Sur ses ordres, je croisais et décroisais les jambes pour exciter toute l’assemblée. Quatre projecteurs puissants éclairaient le milieu de la pièce, où nous étions allongées, nous éblouissant. Les hommes quand à eux étaient assis sur les fauteuils disposés aux alentours et ripaillaient discutant foot, politique nous jettant juste quelques regards de temps en temps. Les éclats de voix, la musique et mon état de manque me donnaient mal à la tête ... Les hommes nous balançaient de l’eau ou du champagne de temps en temps : les autres filles, habitué es prenaient alors leur air le plus salope, se lèchaient entre elles et se passaient la langue sur les lèvres en regardant le fautif avec un air de défi. Moi j’observais médusée. Ces jets avaient pour conséquence de coller ma robe à ma peau et en se refroidissant, le liquide fasait ériger douloureusement les pointes de mes seins qui dardaient, tentant de transpercer ma robe moulée à la poitrine. Je fus à nouveau prise de tremblements si bien que Kassim enjamba les autres filles : il me saisit le menton et me força à ouvrir la bouche. Il y glissa un cachet de calmant qui presque aussitôt avalé, me rendit un peu de lucidité. Je repris mes esprits pour voir que l’une des Noires à moitié dénudée s’était levée et s’était mise à califourchon sur les jambes d’un des invités et lui faisait une danse du ventre obscène. L’homme lui pétrissait les seins luisant de champagne. La fille mimait le plaisir par des cris et des gémissements. L’homme commença à lui enfoncer deux doigts dans la chatte puis poussa encore. Le string de la fille se cassa. La chatte de la fille engloutit le poignet de l’homme sans que celle-ci ne semblait éprouver la moindre difficulté. Je ne pouvais détacher mes yeux du spectacle. Pis, la fille sembla arrêter de mimer pour réellement commencer à être excitée : ses yeux se fermaient et son souffle commença à s’accélérer soulevant précipitamment sa poitrine parfaitement proportionnée. C’était la mieux foutue de nous toutes, objectivement. L’homme fit tournoyer son poignet dans le vagin de la fille qui poussa des petits cris témoignant de l’orgasme qu’elle produisait.
Tout à coup, je vis Kassim et Abdou s’affairer à quelques centimètres de là où j’étais allongée, dégageant les autres filles allongées qui se firent entre temps choisir par d’autres convives. Un accolyte de Kassim héla l’assemblée avec son accent typique du Nord de l’Afrique :
— Regardez, on va raser la chatte de la pute Blanche— Je ne suis pas une put ...— Ta gueule, tu parleras quand on te l’aura demandé
Ceux qui n’étaient pas occupés avec le reste des filles nous regardèrent avidement. Abdou, me saisit une jambe et la leva très haut tandis que Kassim, de son genou me maintint l’autre plaquée contre terre. Ils me forcèrent ainsi à un grand écart qui me fit atrocement mal à l’aine. Le bal commençait pour moi ... Après un deuxième partenaire sexuel dealer, ma troisième expérience après Nicolas allait être l’amour en groupe. J’allais condenser les clichés de la luxure, que je n’imaginais même pas en étant affectée à Paris. Je ne savais plus à qui j’allais en rejeter la faute mais ce qui me faisait peur par dessus tout ce serait d’éprouver du plaisir ici. Mes craintes pouvaient être justifiées vu comment je n’avais su me retenir lorsque Kassim m’avait sautée quelques jours plus tôt.
Le mot ’intimité’ ne rime plus à rien : la mienne était exposée de la manière la plus vulgaire à plus d’une dizaine d’inconnus. La douleur à l’aine disparut bientôt : les années de danse durant mon adolescence m’’aidaient’ en la circonstance. Ainsi écartelée je subis le rasage. Kassim tailla tout d’abord mes poils pubiens blonds aux ciseaux, les coupant à ras puis un des convives spectateurs arrosa mon entrejambe avec du champagne pour que Kassim puisse étaler la mousse à raser. A coups de rasoir mécanique, ma toison blonde qui faisait ma fierté naguère, disparut. Je sentais en même temps des mains m’extraire les lourds globes mammaires de ma robe en lamé et les triturer sans vergogne. C’était parfois d’épaisses mains rugueuse mais parfois, c’était des mains fémininesque j’apercevais triturer mes mamelons. Sous l’incitation des mâles présent, les filles qui me méprisaient, commencèrent à me toucher, à me caresser pour l’excitation de ces Messieurs. Kassim, en maître de cér émonie, orchestrait tout :
— A quatre pattes, Dame Charlotte
J’obéis, dans un état second. Je relevais mes fesses tandis que Kassim, releva bien les pans de ma robe en lamé. Il en déchira les coutures sur le côté. Mon bassin glabre et rougi était mis à nu. Les lambeaux de ma robe ne me couvraient plus que ma ceinture et mon nombril : mes seins balottaient librement à envi, mes fesses était soupesées, écartées sans que je n’arrive à identifier par qui. Mes genoux et mes coudes qui me maintenaient dans cette position offerte rapaient douloureusement contre la moquette. Les succions sur mes mamelons et l’odeur entétante du sexe ainsi que le comprimé que je venais d’avaler ennivrait mon esprit et commençait à m’exciter. Le coup de grâce me fut donné lorsque la première Noire qui s’était pris le poignet de son partenaire dans le vagin bascula en arrière sous la puissance de son orgasme. Ce faisant, elle se retrouva allongée sur le dos, juste sous ma tête au niveau du pubis avec toujours le poignet de son partenaire profondément enfoncé e n elle. Moi je voyais tout en gros plan ... La mouille de la Noire dégoulinait le long de l’avant-bras de son pénétrateur. La pointe de mes cheveux blonds trempaient elles-même dans la flaque formée dans la fleur écartelée et glabre de la fille. J’entendis dans un brouillard la voix grave de Kassim émerger, ricanante :
— Ho Abdou ... Va honorer ta gentille prof ...— Non, ne fais pas ça Abdou, crus-je m’entendre dire
En réalité, mon souffle accéléré m’empêchait d’émettre le moindre son. J’eus la force de tourner la tête quand je vis Abdou me couvrir, les yeux brillants, éméché sous l’effet conjugué de la drogue et l’alcool. Je ne voyais plus que ses abdos et le haut de son corps dépasser de l’horizon formé par mon propre bassin. Sous cette ligne courbe, je ne vis pas mais sentis les poils titiller ma peau délicate fraichement rasée, tandis qu’une massue de chair se frayait un chemin dans ma fente. J’avais atteint le point de non-retour de l’éthique : mon propre élève sur qui je me devais d’avoir de l’autorité dans le processus de son éducation était en train d’assouvir ses besoins sexuels sur mon corps, de me baiser. Le pire, c’est que mon ventre l’accueillait bien. Abdou me transperçais le corps de sa juvénilité ... Il bégayait :
— Putain, M’dmoiselle ... Putain M’dmoiselle ...— Han ... Han ... lui répondis-je, le souffle court— Vous êtes trop bonne ... Trop bonne ...— Han ... Han ... Han
De la lave en fusion s’écoulait dans mon ventre. Je jouis en même temps qu’Abdou ... très vite, comme si braver l’interdit avait décuplé notre excitation ... Il inonda mon puits fécond de semence épaisse, puis se retira, brusquement sans doute happé par un autre des mâles qui attendait impatiemment son tour. En effet, même pas 15 secondes après avoir été abandonnée par Abdou, un autre me pénétra sans préliminaires. Pas grave, j’étais prête ... Cela continua avec des hommes, les uns après les autre : ils furent trois à me sauter après Abdou si j’ai bien compté. Tous m’éjaculèrent dans la chatte, moi, je n’eus plus d’orgasme ... J’étais écrasée, par terre ou plutôt sur un amas de corps, eux-mêmes allongés sur la moquette : des filles, trempées de sueur, de mouille, de sperme comme moi. Ma robe n’étais plus qu’un chiffon me ceinturant vaguement la taille. Nos corps, aux six filles, entremêlés au milieu du salon de Kassim nous faisaient ressembler à un nid de serpent parfois a ttisés par les mâles à peine dénudés qui nous entouraient. J’étais sans doute la seule à n’avoir pas compris la règle du jeu car je voulais m’extraire de la mêlée : il s’en trouvait toujours un des hommes pour me repousser gentiment du pied afin de me remettre dedans.
— Dame Charlotte n’a pas bien compris je crois ... dit Kassim aussitôt applaudi par les autres convives, hommes ou femmes
J’étais rouge de honte de m’être fait remarquée. Kassim me reprit à nouveau la tête dans la paume de sa main et appuya sur mes maxilaires pour m’ouvrir la bouche. De son autre main, il tenait à nouveau un autre comprimé :
— Avale— Je ne veux pas ... L’autre me fait encore de l’effet ...— Avale je te dis ... Ca, c’est autre chose ... Celui-ci te fera atteindre le trip total, le nirvana ...
J’avalais forcée lorsque Kassim me referma de force la bouche, le comprimé à l’intérieur. Je me sentis aussitôt plus légère ; une sensation de bien-être m’envahit tout le corps. Le décor semblait ondulait en rythme. Deux des filles s’étaient relevées et entamaient une danse du ventre sensuelle. Les autres filles restaient emmêlées, s’embrassaient, m’embrassaient, me caressaient. Quelqu’un tonna :
— Dame Charlotte et Simonia cul à cul !!!
Aussitôt, les autres reprirent en choeur, applaudissant :
— Cul à cul ! Cul à cul ! Cul à Cul !
Je ne savais pas ce que c’était. Simonia se chargea de m’apprendre : c’était la Noire qui s’était prise le poignet dans la chatte plus tôt dans la soirée. Elle me saisit à bras-le-corps pour me remettre à quatre pattes. Je sentais ses seins fermes darder mon dos ... J’étais flageollante mais je réussis à tenir la position. Simonia m’enjamba le dos et se mit à califourchon sur mon bassin, tournée vers l’arrière. Au rythme de la musique plus sensuelle et des hurlements d’encouragement, elle ondula sur mon dos, son sexe glabre et ouvert frottait sur ma peau blanche dorsale. Ses ondulations l’amenèrent à glisser petit à petit vers mon derrière jusqu’à descendre et nous coller les fesses l’une contre l’autre, tournée chacune aux deux pôles, à quatre pattes. Les ondulations de Simonia se transmettèrent directement sur mon corps. Nous étions comme un serpent à deux têtes. Je tournais la tête pour juger de visu la situation. Je vis Kassim poser les mains sur l’une et l’autre des p aires de fesses, celle de Simonia et la mienne, les écarter l’une de l’autre puis, une sorte de boudin transparent, un gode à deux têtes, l’appris-je plus tard, fut coincé contre chacune de nos vulves.
— Pousse ... Pousse ... Pousse ... hurlèrent les spectateurs en choeur
Simonia commença à pousser et, instinctivement, je poussais également. Le gode coincé entre nos fentes respectives commença à s’enfoncer dans nos fentes. Mon vagin en avala la moitié et Celui de Simonia également. Bientôt, nos fesses se collèrent à nouveau les unes aux autres, mais cette fois-ci, elles étaient reliées à l’intérieur par une massue souple de caoutchouc de 50 cm de longueur. Nous étions comme deux chiens en plein accouplement, collés fesses à fesses. C’était Simonia, coutumière de la situation, qui dirigeait notre accouplement. J’étais sa femelle ... La jouissance me vint à nouveau, amplifiée par le comprimé de crack que Kassim venait de ma faire prendre. Des flash crépitèrent : nous étions prises en photos positionnées en chiennes comme ça. Ma bouche était entrouverte sous l’effet des secousses de mon orgasme. Une main en profita pour me fourrer un billet de banque dans la bouche, puis un joint. Je refermai les lèvres sur le tout ...
— Pousse ... Pousse ... Pousse ...
Tout à coup, un grand éblouissement puis le noir total ... Plus rien. Paraîtrait-il que je me suis évanouie d’un coup : un trou noir. Lorsque je me réveillais, j’étais seule avec Kassim, allongée toujours sur la moquette, nue à l’exception de mes sandales à talons hauts et à lanières argentées, impeccablament chaussées à mes pieds, puis de ce que fut ma robe à lamé, toujours entourant mes hanches comme une sinistre ceinture. Qu’est-ce qui s’est passé durant mon état léthargique ? Je ne le saurais jamais ... Tout ce que je sais est que l’ouverture de ma chatte me semblait définitivement plus grande et de là s’échappait un liquide transparent ... Kassim était en survet’, assis sur le sofa de nos premiers exploits. De sa voix grave :
— Tu as été sublime ... Ma femme va rentrer cet après-midi mais je voudrais bien que tu restes tout le week-end— Je veux rentrer— Je te fournirai tout ce qu’il te faut en dose, jusqu’à ton départ ... en plus de ce que je te dois pour ton show— Je veux rentrer— Allons, tu n’es pas en état ...
Je me levais pour m’écrouler aussitôt ... Mes jambes étaient comme du coton incapables de me porter. Considérant de ce fait mon prolongement de séjour dans la zone de Kassim comme acquis, il poursuivit :
— Par contre, il ne faut pas que ma femme te voie ...— Je veux rentrer
Kassim me souleva de ses deux bras et sortit, sans qu’il n’ait arrangé mon état. C’est ma nudité au vu de tous ceux que l’on croisait qu’il descendit à la cave, moi jeté comme un sac sur son épaule droite. Il me tenait aux jambes et mes fesses furent matées nues par tout le monde au niveau de sa tête. J’étais exhibée en plein jour dans une cité où sans doute la moitié de mes élèves étaient domiciliés. Ca frisait carrément l’émeute sur notre passage. D’autant que j’étais la seule Blanche dehors à cette heure matinale. J’avais la nausée ... Je vomis sur le bas de survet’ de Kassim mais il ne s’en souciait pas. Arrivée à l’entrée de la cave, il me déposa doucement par terre, sur le ciment froid. Je m’allongeais sur le dos, incapable de tenir une autre position. Apparemment, c’était un lieu de passage car deux ou trois personnes circulaient et me lançaient des regards avides. Mais Kassim devait inspirer la crainte car personne ne tenta quoi que ce soit :
— Merde ... J’ai oublié les clés en haut. Reste-là, je remonte les chercher ...— NoOoOn ... Ne me laissez pas seule comme ça ...
Il ne m’écoutait plus et était déjà parti rechecher ses clés. Je tentais à nouveau de me relever mais inutile ... Au dessus de mes forces ... Et puis quand bien même, ce serait pour aller où ? Nue comme un ver avec juste des sandales à talons aux pieds, je me ferais au mieux embarquer par les flics, au pire, lapider ... Ma tête posée à même le sol était couverte de mes longs cheveux blonds. Ma poitrine nue se soulevait en rythme de ma respiration enfin régulière. Des ecchymoses la couvraient. Des ecchymoses tapissaient également mon entrejambes, au niveau du pubis glabre et exposé. Des gens passaient, détaillaient cette Blonde nue allongée dans cette allée que j’étais. Ils se rincèrent l’oeil abondamment. Je préferais ne plus y penser, impuissante à m’enfuir ... Kassim revint cinq minutes plus tard :
— Tu ne t’es pas trop ennuyée, Dame Charlotte ?— ...
Il ouvrit la porte de la cave, très spacieuse et au milieu, trônait un siège arrière de voiture sur lequel il me déposa. Il me prépara un assortiment de comprimés qu’il me demanda d’avaler ’pour faire passer la nausée’ (me dit-il). La même sensation de bien-être que la veille avant de m’accoupler avec Simonia m’envahit. Cela accentua également mon incapacité à me mouvoir. Chaque geste devint surhumain ... Je restai finallement immobile sur le siège de voiture. Kassim me couvrit d’une couverture puis repartit en fermant à clé la porte de la cave. Un minuscule vasistas laissait faiblement passer la lumière. Je m’endormis d’un sommeil lourd peuplé de cauchemars. Lorsque je me réveillais, j’avais perdu la notion du temps. Mes gestes devinrent moins pénibles : je m’aperçus que je me suis uriné dessus. Je dégageais la couverture pour aérer un peu mon fauteuil lorsque la porte s’ouvrit sur Kassim et Abdou. Abdou tenait en laisse un pit-bull ...
Durant des heures, ils se relayèrent pour me faire l’amour. Abdou fut particulièrement ému lorsqu’il me sodomisa pour la première fois. Pour moi, ce fut la première fois également. Il avait endui son sexe de la même huile dont Kassim s’était enduit le pénis la première fois que nous fîmes l’amour. Pendant ce temps-là, Kassim se posa en dessous de mon corps et me pénétra par devant. Mon sexe déjà béant ne devait attendre que ça. Prise en sandwich entre ces deux Noirs, mes nymphes explosèrent de bonheur.
— Ca doit être foutrement bon d’enculer la salope qui te saque en classe ... hein Abdou ?— Hmmm oui M’sieur Kassim ... Hannnn !!!
Abdou venait de m’inonder les intestins de son sperme à son tour. Kassim ne vint que beaucoup plus tard, de longues minutes après mais il eut la palme du débit de sperme. Telle un pistolet de pompe à essence, Kassim me remplit le vagin de son sperme durant de longs instants.
Lorsqu’ils se reposèrent pour reprendre des forces, la première fois, avant de reprendre, Kassim me fit une intraveineuse. Ce fut mon premier pas dans le monde de la drogue dure. Je devins, bien entendu accro rapidement et pour me procurer mes doses, il fallait que je revienne voir Kassim pour qu’il se sucre sur mon corps au passage. Mon malheur et mes difficultés à décrocher venaient de là : le fait que je sois Blanche et prof d’un de ses meilleurs dealers, Abdou, me procurait un statut à part parmi ses clients. Il pouvait se permettre de me vendre l’héroïne à un prix ridiculement bas, à condition que je lui fasse mes paiements en nature ... Je devins la seule pute Blanche à fréquenter le monde de Kassim.


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