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Un prof bien sympa

Chapitre 1

Erotique
Bonjour à tous et à toutes, je suis Catherine, ou Cath par mes amis. J’ai 26 ans.
Je suis plutôt belle, plutôt bandante. Ma silhouette élancée a des courbes là où il faut. Mes seins 90C sont ronds et fermes. Mes hanches sont, comment dire, assez attirantes, et mes fesses très sexy, sans exagérer.
J’ai un beau visage ovale et de fins cheveux blonds vénitiens qui tombent dans le bas de mon dos. Je possède une douce peau claire, un nez et des oreilles discrètes, de jolies lèvres minces, et des yeux bleus.
Commençons l’histoire, je pense que vous en avez un peu marre de ma présentation. Au moment de cette histoire, j’étais en terminale et j’avais 19 ans, mais je vais vous la raconter au présent pour que ce soit plus clair.
— Catherine, es-tu en train de m’écouter ?
La voix grave de M. Martin, mon prof de français, me tire hors de ma rêverie. Il se lève de son bureau pour avancer jusqu’à ma table. Il se penche sur ma feuille de note complètement blanche et son visage affiche soudain une expression exaspérée.
— Catherine, tu dois prendre des notes, qu’est-ce que j’ai dit au début de la classe ? (Il se redresse et dit à toute la classe) Je vous rappelle tous que le baccalauréat aura lieu dans moins d’un mois ! (Il se repenche vers moi) Catherine, j’aimerais que tu commences à noter les informations importantes, cela t’aidera à te focaliser dessus lors de tes révisions.
M. Martin retourne à son bureau et tape avec ses doigts agiles sur son clavier d’ordinateur. Les informations importantes, il a dit ?
J’attrape mon stylo et griffonne rapidement sur ma feuille six mots qui veulent tout dire : M. Martin est le plus beau.
C’est vrai, ça. Il doit être dans la trentaine. Sa silhouette musclée à la peau bronzée est très attirante. Il porte tous les jours une chemise et un pantalon banals, du genre prof sérieux. Un visage constellé de taches de rousseur est encadré par des cheveux châtain coupés pas trop court. Ses yeux noir de jais et son nez bien dessiné le rendent charmant.
Je pose ma tête sur ma main, le coude appuyé sur la table. Je fixe sous le bureau de mon prof, il ouvre ses cuisses. Je sais que c’est seulement son habitude, mais je continue à le regarder. J’imagine un bel engin dissimulé sous un boxer.
Je ressens une chaleur au niveau du bas-ventre et mes battements de cœur s’accélèrent : je suis excitée. De temps en temps, je jette un coup d’œil à l’horloge et l’heure passe lentement. Finalement le cours se termine et quand je m’apprête à franchir la porte de la classe pour me diriger vers la cantine (c’était le cours juste avant manger), le professeur m’appelle :
— Catherine, je sais que tu as très faim, mais je voudrais te voir un peu.
— Oui Monsieur.— Assieds-toi, s’il te plaît.— Oui Monsieur.
(J’étais une jeune femme très obéissante, car je tenais à ce que mes parents ne croient pas que leur fille était mauvaise à l’école.) Je m’installe à ma place et j’attends ses instructions.
— Catherine, je te donne un texte et tu prends tes notes sur une autre feuille. Ensuite, montre ta feuille et je validerai si tu as compris comment prendre des notes correctement.
Il pose un long texte ennuyeux et une feuille blanche sur ma table.
— D’accord Monsieur. J’ai compris.
Je suis assez agacé par l’exercice, et mon regard se dirige automatiquement vers l’entrejambe de M. Martin. Je n’en crois pas mes yeux : en continuant à travailler sur son ordinateur, il infiltre une de ses mains dans son pantalon, et je distingue sa main masser discrètement son membre.
Il me fixe d’un air étonné et dit calmement :
— Tu continues ton devoir, Catherine ?— Oui Monsieur.
Je me force à baisser mon regard vers mes feuilles. Ça commence à m’exciter, cette affaire... Mon cerveau ne se concentre plus du tout sur le texte et met en place une ruse. Je fais mine de ne pas comprendre un des longs paragraphes et lève la main, tel un élève de primaire.
— Oui Catherine, une question ?— Oui Monsieur, je ne comprends pas le sens du cinquième paragraphe.— Viens me montrer un peu.— Oui Monsieur.
Ma ruse fonctionne et je m’avance vers son bureau en me penchant et en lui montrant le texte, le doigt sur le cinquième paragraphe. M. Martin retire discrètement sa main de son pantalon gris et prend la feuille à deux mains. Lorsqu’il relève sa tête en ouvrant la bouche pour me parler du paragraphe en question, je saisis sa tête et pose mes lèvres tendrement sur les siennes, nous plongeant dans un baiser romantique.
J’entrouvre ma bouche pour que ma langue timide vienne effleurer la sienne. Nous fermons les yeux et nos langues se caressent, s’entortillent autour d’elles-mêmes. Je resserre mon étreinte et il se lève de sa chaise de bureau, en maintenant le baiser. M. Martin m’entoure de ses bras et ma poitrine se compresse contre son torse.
Je descends délicatement mes mains vers son dos. Soudain, il semble réaliser la situation et me repousse brusquement.
— Catherine, qu’est-ce qui te prend, enfin ? Es-tu folle ? Je suis ton professeur de français, tu ne peux pas...
Je l’attire contre moi une nouvelle fois avec un peu plus de fougue. Il semble aimer ça malgré ses protestations. Nos langues recommencent à danser, mais cette fois-ci, je continue ma ruse qui a l’air de marcher. Je la repousse au bout d’un moment et je dis :
— Oui Monsieur, vous avez raison Monsieur. Vous êtes tellement beau et musclé (je ne sais pas comment j’ai pu prononcer ces mots), mais vous êtes aussi tellement inaccessible. Je ferai mieux de partir, la pause-déjeuner va être finie.
J’attrape mon sac à dos contenant mes livres et cahiers de cours et je fais semblant de sortir de la classe sans un regard en arrière. J’attends juste son signal.— Non ! Catherine, reste ! Enfin, je veux dire...
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