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La Prof d'Espagnol

Chapitre 2

Hétéro
J’étais allongé sur un matelas de vinyle et refusais d’ouvrir vraiment les yeux. Il fallait réfléchir…Non, rien à faire, on n’allait certainement pas m’oublier tranquille ici pour que je puisse enfin me réveiller et m’évader vers un pays où personne ne me connaîtrait. C’était foutu, il fallait que je me résigne à ouvrir les yeux, affronter la police, les journalistes, la télé, assumer la déception de mes parents, la méfiance de mes autres profs, la mutation ou le licenciement de Madame Hug… Hu… oh non je pouvais pas le dire, même pas le penser… Elle allait se retrouver à la rue, divorcée ou veuve, elle allait revenir à la vie de bohème qui avait dû être la sienne dans sa jeunesse, qui remonte au temps où la bite qu’elle venait de sucer faisait pipi dans des couches. Elle allait certainement me demander en mariage. J’étais trop jeune !!! Je n’étais pas prêt pour être père, je refusais que mon fils soit obligé de parler espagnol au petit déjeuner, je…«Monsieur Delacroix ? Une voix étonnamment musicale venait de surgir de derrière moi, du côté de la porte entre la salle d’infirmerie et le bureau des consultationsOu… oui ?Bonjouuuuuur ! sourit l’infirmière, rayonnante et hilare. «Vous savez que vous nous avez fait une belle frayeur Monsieur Delacroix ! Vous faites souvent des syncopes ?N…Ne vous en faites pas pour vos deux collègues, ils sont en ce moment avec leurs parents qu’on a convoqués chez le censeur. Vous avez de la chance que Madame Huguenot ait remarqué votre malaise et nous ait averti. Nous avons l’habitude aussi que de mauvais plaisants inventent des histoires à dormir debout pour compromettre un de leurs camarades et leurs profs, Et Messieurs Philippe Larive et Régis Royest en sont de parfaits exemples. À ne pas suivre !» ses lèvres roses et maquillées avec goût encadraient un sourire digne de Miss Univers. «Je suis mademoiselle Cazalet, l’infirmière stagiaire ! Ma petite soeur est dans votre classe et elle m’a beaucoup parlé de vous !» son sourire était si charmant que je souhaitais qu’il ne soit pas évocateur de ce que je craignais.Elle… ah bon ? Et… Sophie a dit quoi ?Hum hummmm !» lança la stagiaire avec des yeux qui cette fois rejoignaient complètement ce sourire de fée bienveillante. «Il en ressort que vous êtes un charmant garçon ! D’ailleurs elle te le dira sûrement un jour, qui sait… tout de suite ? C’est avec moi qu’elle rentre à la maison ce soir, elle ne va pas tarder à nous rejoindre, le dernier cours vient de finir. Ça te dérange pas si je te tutoie ? Hmm ? Je suis à côté, j’ai des dossiers à compléter. Ne t’enfuis pas !»
Merde… oh merde jaune, si je pouvais m’enfuir ça serait une option salvatrice ! Comment vivre sans me dire que c’étaient peut-être mes derniers instants ? À cause de moi notre prof d’espagnol avait dû faire passer les témoins pour des menteurs et je n’avais plus qu’à attendre de découvrir le jour où ils décideraient de me casser la gueule à la sortie. Quant à Sophie, je pouvais tout simplement pas la regarder en face. Je pouvais même pas lui…
«Salut !Euh… salut Sophie…Alors ?Euh… alors quoi ?Alors elle est comment ?… !Elle est comment, la prof d’espagnol ? Elle baise bien ?… !!!!!!!» j’étais sidéré. Sophie était là à me parler, à moi, le ver de terre, la crasse au nuok mam, le nul fini ; elle me parlait et attendait ma réponse. «On… on a pas baisé.» je ris bêtement, gênéJe déconne, Alban ! Je sais bien que t’es vierge, tout le monde le sait. Simplement… quelques uns ont vu ton outillage alors… apparemment t’as eu une crise de spasmophilie ? C’est rare les mecs qui font ça… Il parait que ça démontre d’une grande sensibilité. En plus, ça fout un peu la honte, je sais, dommage que t’aies montré ton intimité à cause de ton malaise, tout ça, genre… tu devais étouffer ou ché pas quoi… Y’a déjà plein de filles qui t’en veulent, tu sais ? De leur avoir caché ça si longtemps !Je souriais niaisement, et osais par soubresauts embarrassés lever les yeux vers elle, qui passait une main dans ses mèches de cheveux pour les passer au dessus de son oreille. Elle était magnifique et s’était assise sur le coin du matelas d’où je m’étais relevé pour y rester moi-même assis également. Elle avait terminé sa phrase en baissant le regard vers ce que notre prof à elle et moi s’était approprié, dieu sait si c’était il y a une demi heure ? Une heure ? Plus ? J’avais les idées en vrac et le fil du temps s’était arrêté pour moi. Le paradis semblait succéder à l’enfer sans que je comprennes vraiment ce qui me valait d’un coup ce renouveau dans mon karma.
«Tu peux me le dire, ce qui s’est passé, tu sais, je dirai rien… Elle t’a fait un truc ? C’est une vieille salope, je le sais. J’ai bien vu comme elle te regarde des fois alors qu’elle s’en prend à toi tout le temps. Moi je dirai rien si tu veux. C’est juste que ça aide. C’est pas parce que je le fais pas voir, genre… comme si je t’aime pas, parce que les autres ils buzzent trop !
Je… Sophie…Oui… ?Je…Dis le… Allez, dis le !Sophie, je t’aime. Oh putain… oh putain non, enfin si ! Enfin j’veux dire…Je t’aime !
Sophie Cazalet venait de me tuer. Ça faisait la deuxième fois aujourd’hui mais cette fois-ci c’était la bonne. Cette fois-ci était trop bonne, j’avais tant rêvé cet instant et ces mots et voilà qu’ils arrivaient là, comme ça tout cuits? J’avais tout raté, même pas tenté une seule manœuvre d’approche vraiment réfléchie et honorable, et il suffisait que je fasse une syncope avec la prof d’espagnol autour de ma queue et puis voilà, ma vie commençait !Nos visages se rapprochèrent, j’ai senti son souffle doux et tiède, court, baigner mes lèvres, et les siennes s’y posèrent. Goût de chewing-gum malabar et de barre de mars, cheveux de soie qui se posent sur mes mains, mes mains sur ses épaules et mes doigts qui tremblent. Éléphants aux couleurs caméléon qui courent à l’envers au plafond et dressent mes doigts à la tâche de découvrir ses clavicules, sa peau claire et parsemée de quelques grains de beauté si différents des miens. Je la désirais lentement, voulais lui offrir des fleurs avant, voulais mettre un costume et l’emmener dans un restaurant manger un excellent sandwich et des litres de coca cola, mais elle interrompit ma rêverie.Vite… ma sœur en a à chaque fois pour genre une demi-heure… viens ! Elle prit ma main et m’emmena droit vers les toilettes de l’infirmerie, verrouilla la porte, s’agenouilla devant moi (décidément !) et précipita mon pantalon à terre pour la seconde fois aujourd’hui. Ses doigts soupesaient ma longueur, s’affairaient autour de mon gland, et elle l’enfourna entre ses lèvres d’un mouvement décidé, tout en branlant la longueur d’une main. Elle était tour à tour hésitante, et décidée, un peu maladroite, accrochant plusieurs fois l’arête de mon gland gonflé à bloc de ses dents. Je la trouvais si belle, et je l’aimais tant ! Je trouvais absurde, tant de beauté au bout de ma tige de chair pâle et à moitié dépucelée par une vieille sorcière complètement allumée. Je sentais une tour de plaisir s’amonceler pierre après pierre sur la base de ma queue et je me mettais à caresser les cheveux de Sophie, à lui masser la tête à la limite de m’y agripper et pousser ma canne à sucre au fond de sa gorge comme je me l’étais si souvent joué le film. Je voulais faire l’amour à sa bouche comme un chien en rut, m’enfoncer dedans à grands coups de reins malgré les «je t’aime» tremblotants que j’étais déjà en train de lui murmurer, et vider mes couilles jusqu’à la dernière goutte de tout mon jus qui n’existait que pour elle depuis les tout premiers poils qui avaient poussé dessus.Mais elle me sentit venir et me repoussa, extirpant mon gland épais de l’étreinte de ses lèvres.Waouh ! T’es gros ! T’es super gros !!! Allez viens, baise moi, chéri ! Vite !
J’étais aux anges… elle s’accoudait au lavabo, croupe tendue, ses longues jambes de cheerleader écartées, et les reins cambrés. Je relevais sa jupe et faisais descendre sa culotte de fin coton blanc aux ourlets finement brodés. Mes mains avaient découvert le trésor que ma queue attendait depuis que j’étais né, et elles se refermaient à présent sur sa taille de petit félin. Je poussais ma bite comme un fou entre ses fesses, et elle poussa un cri en précipitant sa main pour me guider en elle. Je sentis la chaleur, l’humidité glissante et douce toucher le dessus de mon chapeau luisant comme une capsule de jouet en plastique. Je me sentis m’y enfoncer doucement, oh dieu qu’elle était bonne ! Sa chatte me prenait, m’avalait lentement, j’y étais, dans la chaleur de Sophie Cazalet, qui allait me croire ? Je ne le dirais pas, de toutes façons, Nous allions le dire, Elle et moi et nous nous marierions… ooOH ! Que sa chatte était douce et étroite, accueillante à la fois, cette sensation était enivrante et ma grosse barre pâle disparaissait bientôt en elle. Je posais mes mains tremblantes sur ses hanches, pressais sur sa peau le fin voile de sa jupe bleue et ne pouvais retenir mes coups de reins. Je voulais la besogner comme un chacal, un chien en rut, je chevrotais mon plaisir alors qu’elle grognait son inconfort, mon nœud serré à mi-longueur pas sa petite chatte.«Sophiiiiiie ! Je t’aiiiiiime ! Oh oui je t’aimerais toujours !Doucement ! Aïe ! Mais aïe ! Arrête, tu me défonces, là !Pardon mon amour… par… hhHHHNGNNN !!!!
Un voile sombre s’abattit sur le monde et j’empoignais ses reins à pleins bras, la couvrant comme un taureau, encouragés par ses gémissements, je poussais mon TV-Bar loin dans sa vulve chaude et l’emportais dans mes coups de hanches, mes couilles insinuées à chaque long va-et-vient fiévreux à la déchirure rose de sa chatte. Le plaisir, implacable, montait, grossissait comme une énorme boule, enflait ma bite entre ses lèvres que ma chair retroussaient à chaque fois que je me retirais d’elle pour m’y enfoncer aussi profondément que je pouvais. J’ignorais sa pilule, les préservatifs, les autres garçons qu’elle avait pu embrasser, convaincu de sa pureté, et déchargeais une épaisse purée collante et chaude entre ses cuisses. Je perdais ma virginité entre ses longues jambes de gazelle en heurtant de mes couilles son petit clitoris que je n’avais même pas embrassé ni touché.Sophie… Sophie je t’aime tant… si tu savais !Retire-toi, ma sœur va pas tarder.
Docile, je laissais mon sexe devenu instantanément mou dégager son tunnel et éclabousser de sperme le plancher. Je remontais mon slip à la hâte et entreprenais d’aider Sophie à remonter sa jupe et replacer son soutien-gorge. Elle esquiva d’une volte, et se dirigea vers la porte, puis la sortie :
Julie, j’m’en vais, Alban prend le bus et moi, c’est bon, je rentre avec Alex !OK fifi ! À tout à l’heure, embrasse papa et maman quand tu rentres !Oui, bisou ! Ajouta t-elle dans un grand sourire qui s’effaça sitôt mon regard croisant le sien alors qu’elle refermait derrière elle la porte de l’infirmerie pour rejoindre son amie Alexandra qui l’attendait juste derrière, son téléphone portable ouvert à la main.
Je remballais mes attributs non sans avoir recherché les traces de sang si caractéristiques de la défloration d’une jeune vierge. En vain. Elle ne devait pas avoir saigné beaucoup, ou bien tout simplement, j’avais pris suffisamment de précautions pour lui faire l’amour avec suffisamment de douceur pour ne pas déchirer son hymen.Je souriais aux anges en refermant à mon tour la porte derrière moi, traversant la cour du lycée vers le parking, mon sac de toile sur l’épaule.
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