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La Prof d'Espagnol

Chapitre 3

SM / Fétichisme
CHAPITRE III – « Domination »
J’étais libéré de deux immenses fardeaux. Sans pouvoir dire lequel me soulageait le plus par sa chute : le fait que je sois enfin hors de portée de Mme Huguenot, ou que je ne sois plus puceau. Et – double détente – en quelques heures, en plus !Je souriais aux anges en me dirigeant vers le parking des bus, mais… Plus de bus ! Trop tard : j’avais loupé l’heure. Je comptais passer un coup de fil pour qu’on vienne me chercher, mais la poche de mes jeans était vide. Ou presque. À la place de mon portable, je trouvai un petit post-it roulé, que j’ouvris :
« J’ai envoyé un SMS à tes parents pour leur dire de ne pas s’inquiéter ; c’est Mme Roger qui t’accompagnera chez toi après t’avoir aidé à réviser ta biologie. Ce matin, tes parents ont été mis au courant de ta mauvaise conduite et ont convenu avec ton professeur principal de la pertinence d’organiser pour toi quelques cours du soir avec tes différents professeurs. Bon courage, et travaille bien ! Mme Roger t’attendra sur le parking dans sa voiture, une Honda jaune clair.
Andréa Huguenot »
Je paniquais. Ma vie devenait un scénario entre rêve et cauchemar, sauf que c’était le cauchemar qui contaminait tout le reste. Avoir joui entre les cuisses de Sophie venait de rejoindre subitement le paquet de souvenirs que j’aurais voulu effacer en même temps que le reste. Huguenot m’avait tendu un traquenard ; c’était évident et prémédité. Je me revoyais en train de niquer la bouche déformée de cette harpie. Je voulais imaginer autre chose, mais je ne pouvais pas. J’étais effrayé au point de me sentir prêt à vider un chapelet de Balisto dans mon froc, et je la vis. Une petite voiture jaune pâle qui m’attendait. La seule voiture sur le parking. Ma seule chance était d’y entrer sans que personne d’autre ne me voie, afin de sauver le peu d’honneur que je pouvais encore espérer me payer un jour à crédit.Je trottinai vers la bagnole et, arrivé contre la portière, me baissai pour observer à travers la vitre. Mme Roger était seule à l’intérieur, et essuyait précipitamment ses yeux avec un mouchoir en tissu (qui donc de nos jours utilisait encore des mouchoirs en tissu !?). Elle me fit signe de monter, sans même me regarder. Je m’installai à côté d’elle, et compris immédiatement qu’elle n’était pas dans une situation plus fière que la mienne. Sitôt ma portière refermée, elle éclata en sanglots. Je ne savais absolument pas quoi faire. « Madame Roger, je… vous savez, je peux descendre, je veux pas vous embêter !— Non ! » elle posa sa main sur mon avant-bras pour me retenir, toujours sans me regarder.« Reste, s’il te plaît. Ce n’est pas ta faute, c’est… c’est rien. Au contraire, il faut que tu sois là. Je n’ai pas le choix non plus, vois-tu ? » Puis enfin elle me regarda droit dans les yeux.« Cassandre. Appelle-moi Cassandre, même si c’est un peu difficile. Mais pour ce qui va suivre, ça irait mieux. Pour toi et moi.— Ca… hem ! Oui, Cassandre. »Il me sembla à ce moment qu’une vague de vodka-tonic chaude s’abattit sur moi. J’eus un peu pitié d’elle, mais en même temps, il me semblait que ce choix qui nous était imposé, à elle comme à moi, était le plus rassurant que j’aurais pu souhaiter dans mon malheur.
Son prénom aussi était rassurant. Son allure, sa façon de s’habiller. Si j’avais été en train d’écrire un roman de cul, j’aurais été obligé de la décrire depuis le début : une grande femme rousse aux longs cheveux lisses, à peine sortie de l’institut des maîtres. Sa poitrine remplissait honorablement les bonnets C de son soutien-gorge blanc à larges bandes de dentelle, et un corps de déesse qui contrastait avec sa robe imprimée à petites fleurs pastel. Une tenue champêtre d’un autre temps. Son visage était si finement ciselé qu’il avait quelque chose d’intimidant, d’irréel. Elle avait l’air si sérieux d’une travailleuse acharnée, passionnée par son job. Quelques rides prématurées sur son visage de jeune femme cherchaient à dévoiler une vie pas toujours rose.Tout en elle faisait penser qu’elle avait été jetée ici depuis le siècle dernier par une machine à voyager dans le temps. En vérité, elle était superbe.« Merci, Alban. Bon, autant être franche : nous devons coucher ensemble. Si je n’acceptais pas, je me ferais virer. Si tu n’acceptes pas, je me ferai virer. Alors j’aimerais que tu acceptes, s’il te plaît. Même si c’est affreux. Je ne t’embêterai plus jamais ensuite, et on oubliera tout ça. Nous devrons également nous filmer. Je sais que c’est compromettant, mais je ferai ensuite ce qu’il faut pour trouver un poste dans un autre pays. Quant à toi, tu ne devrais pas avoir à craindre cet aspect des choses. Si c’est quand même le cas, je ferai de mon mieux pour t’aider à te sortir de leurs griffes. Madame Huguenot tire les ficelles, dans ce bahut. Elle a le proviseur dans la poche et, à ce que je sais, notre chance est que toute cette bande de pervers se lasse assez vite de chaque victime prise dans leurs filets. Si on marche, ils nous laisseront rapidement tranquilles. Et je… — C’est d’accord, Mad… je veux dire Cassandre. Je veux bien, et si c’est affreux, c’est pas non plus de votre faute. Vous êtes quelqu’un de génial.— Ok… je suis contente que ce soit quelqu’un comme toi, à vrai dire. »Cassandra me tendit la main, et je la pris sans vraiment la serrer. Sa franchise me touchait et rendait les choses tellement plus simples. Elle se racla la gorge.« Autre chose, Alban, je… En fait, voilà : je suis très complexée par mon corps, et je… enfin je te jure que je n’ai pas le choix ; je regrette que ça nous soit imposé. Et je n’ai pas si souvent fait l’amour, à cause de ça. J’ai du mal à trouver quelqu’un, et je n’ai jamais vraiment aimé ça. Sache que ça n’a rien à voir avec toi.
— Cassandre, vous êtes superbe, vous êtes magnifique, comment vous… » elle me barra la bouche de deux doigts, et je me tus un instant, mais devais en rajouter, tant ça me semblait injuste.« Je suis sincère. Moi, je vous trouve mais… trop belle, quoi. Franchement ! C’est moi qui complexe tout le temps parce que je ne suis qu’un idiot plutôt laid et que ce matin j’étais encore puceau.— Je sais. Je sais ce qui s’est passé, et cette vieille salope a profité de ta conduite approximative d’ado. Mais franchement, tu es pas si mal, je t’assure ; et si t’es sincère, je te remercie.— La vieille salope… » je souriais, et elle aussi s’était mise à sourire. On commençait même à en rire. Me marrer avec ma prof de biologie avait quelque chose de singulier. J’avais l’impression tout à coup d’être sorti de l’adolescence ; j’en oubliais ma connerie et mes boutons. Et surtout, je bandais déjà un peu, à penser qu’elle serait mienne.Nous sommes arrivés chez elle perdus dans nos pensées. Je la suivis dans l’escalier qui montait jusqu’à son appartement dans un immeuble clean et moderne, éclairé de lumières douces. Tout comme son salon, un endroit qui contrastait vraiment avec sa façon de s’habiller.
« Viens, je vais te montrer la salle de bain. Après une journée comme ça, on a tous besoin d’une bonne douche. » me dit-elle comme si tout était normal. Elle me laissa à moi-même dans sa salle d’eau, et je lavai de moi toute trace de mes aventures. J’insistai à m’en rougir la peau. Je sortis de la salle de bain nu, seulement enveloppé dans une de ses grandes serviettes de bain dont le parfum était si particulier. Fleuri. Il me transportait dans son monde et j’avais l’impression d’être son invité dans cet univers qui faisait tellement partie d’elle.
Lorsque je l’eue rejointe dans son salon, elle avait déjà installé la caméra sur son trépied, et me fit un sourire.« C’est mon tour, maintenant ! Tu peux te détendre, t’installer où tu veux. »Lorsqu’elle revint de la douche, elle embaumait littéralement la pièce. C’était comme si le printemps était arrivé d’un coup avec tout son lot d’images-cliché, mais c’était si agréable… Elle portait un long peignoir de couleur beige, et semblait tout à coup extrêmement gênée.« Alban, je t’en ai parlé tout à l’heure : je suis vraiment complexée par mon corps, et tu comprendras pourquoi. Si tu veux en rire, j’aimerais mieux que ce ne soit pas tout de suite, ni même avec qui que ce soit, ça serait sympa… » murmura-t-elle.Elle ouvrit son peignoir sur un corps à tomber par terre, et le laissa glisser, dénudant une peau couleur de lait, constellée de nombreux grains de beauté, de la taille d’une noix pour la plupart. J’étais sidéré et ne pouvais détacher mon regard d’elle. Ça avait vraiment quelque chose de fascinant de contempler ce corps d’une telle finesse, constellé de taches comme un dalmatien. Il était impossible de ne pas comprendre qu’elle complexe là-dessus, mais en vérité, je trouvais ça d’une beauté étrange et à couper le souffle. Elle rougit et me demanda de ne pas la regarder avec tant d’insistance.« Non seulement je n’en parlerai à personne, bien entendu, mais je vous trouve tellement belle… je n’ai jamais vu une femme aussi belle que vous… »De nouveau, je bandais comme un âne, et cela se voyait tant sous la serviette que j’avais empruntée, que Cassandre sourit et m’invita à me lever.« Je voudrais que tu me tutoies ; franchement, on n’est pas là pour faire de la biologie, à part celle de nos corps, semble-t-il. Viens… je crois que c’est le moment d’allumer cette caméra, et j’aimerais que tu te laisses faire au début. Ensuite, on fera durer si c’est nécessaire, puisque… (elle piqua un nouveau fard, puis appuya sur le bouton de la caméra ; le voyant rouge s’était allumé) …puisque nous devons faire la totale. » Ce fut mon tour de passer à la couleur pivoine. Elle avait beau dire, mais d’elle ou moi, le plus complexé n’était peut-être pas qui elle pensait. Pour moi, elle était d’une beauté à couper le souffle.À ses ordres, je quittai la méridienne que j’occupais et entrai timidement dans le champ pour m’approcher d’elle. Ce fut elle qui fit le reste du chemin, d’une démarche féline que ses longues robes imprimées cachaient. J’étais subjugué, bouche bée. Sophie Cazalet ne lui arrivait pas à la cheville, c’était clair. Elle ôta la serviette de bain qui m’habillait encore, et je me retrouvai nu devant elle qui s’agenouilla lentement, ses mains glissant le long de mes hanches.
J’en frissonnais de plaisir, et ma queue brandie comme une matraque pulsait et se marbrait, de plus en plus proche de son visage. De sa bouche. Ses lèvres teintées de gloss couleur saumon étaient si proches de ma tige que je pouvais sentir son souffle chaud contre mon gland. C’était déjà une telle sensation qu’il ne me semblait pas pouvoir tenir éternellement sous cette caresse-là. Cassandre était une reine de beauté, et portait en elle une autre personnalité que celle qu’on avait pu supposer au quotidien. On s’était trompé sur son compte.
C’était la troisième fois dans la même journée que j’étais sur le point de me faire engloutir le gland, et là je comptais les secondes qui me semblaient durer des années. J’en mourais d’envie et je redoutais de ne pas tenir le choc. La caméra tournait. Je la regardai en espérant que le lot d’intimidation qu’elle m’imposait contrebalancerait la tension terrible qui me montait dans les couilles. J’avais l’impression qu’elles étaient pleines comme des outres. Comme si, depuis le début du trajet dans la voiture de Cassandre, quelqu’un avait fait le plein. Ça ne pouvait être qu’elle. Elle déposa un baiser sur mes valseuses, et mon braquemard s’arqua un peu plus, comme prêt à sortir de sa peau comme l’incroyable Hulk sort de sa chemise trop serrée.
Je ne me comportais déjà plus comme le puceau de ce matin, si fier de ce rendez-vous arrangé, tellement mis en confiance par mon palmarès de la journée digne d’un acteur porno. Mais dans les faits, mon corps désobéissait. Je sentais monter la lave en moi, je la sentais prête à me consumer. Cassandre dut s’en rendre compte et me prit en pleine chaleur. Elle referma ses lèvres loin sur ma hampe qui se dilatait, et je ne savais que faire. Ma queue était posée sur sa langue, et ses mains derrière mes cuisses. Elle m’attirait dans sa bouche, et guida mes mouvements, les provoqua. Elle me tirait, puis me repoussait, de plus en plus fermement, malgré les protestations que je grommelais. J’avais honte de jouir dans sa bouche, et pourtant j’en avais furieusement envie. Elle m’incitait à la baiser, et je posai pour la première fois mes mains sur elle, sur ses cheveux couleur de feu, si doux, si fins. Je me laissai aller de plus en plus aveugle, et m’enfonçais dans sa bouche de plus en plus, heurtais sa gorge que je sentais se contracter, comme… Cela me rappela la vieille harpie qui m’avait enfourné avant, mais la sensation était si différente.
J’étais envoûté, et me mis à tenir sa tête entre mes mains pour aller et venir dans sa gorge si loin que je sentais régulièrement sa poitrine se gonfler contre mes jambes. Je débordais. Je sentais un ruisseau me traverser la bite et venir petit à petit noyer sa langue et sa gorge. Puis après que le monde soit devenu noir une seconde, j’éclatai dans sa bouche, la queue crachant d’épais blocs de sperme noyés dans un flot abondant qu’elle avalait. Je continuais de baiser cette bouche de rêve et d’y planter ma bite jusqu’à la garde pendant que la poitrine de Cassandre luttait, au bord de l’asphyxie. Elle continuait cependant de lécher le dessous de mon gros nœud. Je sentais sa langue aller et venir contre ma hampe alors que ses dents en serraient légèrement la base. Aussi soulagé que coupable, je glissais mes mains dans ses cheveux, alors qu’elle me caressait les cuisses, me massait les bourses. Elle ressortit lentement ma mèche de mulet de sa gorge, et m’en embrassa le bout, essoufflée.
« Viens ; il faut qu’on utilise quelque chose. Tu dois utiliser quelque chose sur moi. Faisons vite, ça tourne… » souffla-t-elle.Cassandre était tremblante ; je le sentis clairement lorsqu’elle me prit la main pour m’emmener vers une commode dont elle ouvrit le plus grand tiroir. Dans ce tiroir, il y avait une mallette qu’elle sortit et me demanda d’ouvrir.« Tu dois me passer ça. Il faut vraiment le faire, et avec ça me traiter comme tu le comprendras quand tu auras ouvert la mallette. » La mallette ouverte me dévoila une sorte d’attirail de dompteur. Il y avait un large collier de cuir, avec un anneau, un médaillon et un grelot. Ça contenait aussi une laisse et un fouet assortis.« Non, j’peux pas ! Je peux pas te faire ça, c’est pas possible !— S’il te plaît, ne fais pas de résistance ; dis-toi que j’aime ça !— Mais…— J’en ai besoin. Ça me ferait plaisir ! Je voudrais que tu me mettes le collier et la laisse. S’il te plaît, vraiment. »
J’ouvris le collier, et alors que Cassandre soulevait ses cheveux pour dégager sa nuque, je le plaçai autour de son cou. J’étais si près de son dos constellé de ces larges grains de beauté que j’en sentais tous les parfums. C’était comme si je surfais sur sa peau. J’attachai le mousqueton de la laisse au collier, et Cassandre laissa retomber ses cheveux. Une enveloppe se trouvait dans la boîte, découverte par les choses que j’avais déjà prises. Il ne restait plus que ça et le martinet. Cassandre était visiblement nerveuse, et me caressait le sexe qui rebandait comme une canne de combat ; mais ses doigts étaient tremblants, maladroits.
Dans l’enveloppe, une lettre soigneusement pliée disait : « Mets-lui le collier, attache-lui la laisse, donne-lui du fouet pour qu’elle se mette à quatre pattes. Elle ne fera rien si elle ne reçoit pas tes ordres. Si elle ne fait rien, elle sera renvoyée. Si tu lui parles pour communiquer tes ordres, elle sera également renvoyée. Ne lui communique rien par écrit non plus. N’oublie surtout pas : quand elle te fera jouir, tu devras braire comme l’âne que tu es, au moins une fois. Quant à elle, tu ne devras pas la laisser crier sans la punir. Dans le cas contraire, vous seriez aussi tous deux en échec. Sois un bon maître et prends ta chienne. »
J’étais entre rage et excitation. Certes, j’avais envie de cette chienne, et pourtant transgresser le respect que je lui vouais et qu’elle méritait me blessait. D’un regard, Cassandre me fit signe que la partie commençait, et m’encourageait. Je sortis le fouet et l’abattis légèrement sur son dos… sur ses épaules et derrière ses jambes. Il fallait qu’elle comprenne, et elle tournait en rond, m’interrogeant du regard. Elle savait que nous ne devions plus rien dire, mais n’avait pas lu le même message que moi. Elle ne savait pas qu’elle devait se mettre à quatre pattes, alors j’envisageai de mimer. Ses yeux s’écarquillèrent et, affolée, elle me saisit le bras avec un hochement de tête de négation. Rien d’autre n’était donc possible.
Je me servis donc encore du martinet pour la fouetter, à contrecœur, jusqu’à ce que le poids des lanières finisse par lui indiquer la posture à prendre. Je tirai la laisse vers le bas pour l’aider à saisir rapidement, et elle se mit à quatre pattes. Sa taille d’une telle finesse ressortait à outrance, les os de ses hanches légèrement saillants. Son ventre plat et tacheté restait nu jusqu’à la fente de son sexe épilé. Un dernier gros grain de beauté sur le côté droit de son mont de Vénus trônait comme une invitation à l’embrasser. J’en mourais d’envie, mais sa position la rendait peu accessible en cet endroit.
Elle me jeta un regard qui me sommait de prendre l’initiative. Elle frotta sa croupe contre mes jambes, plaqua sa chatte contre mon tibia. C’était trop difficile de résister à ça, et je m’agenouillai derrière elle, le vit tendu comme une perche. Elle le regarda d’un air un peu inquiet, et je touchai son sexe. Sa vulve était toute lisse, toute douce comme une pêche de soie. Toucher la grosse tache sombre de son grain de beauté me rendait dingue. Elle en avait tant d’autres sur le dos… Je les embrassai un par un, tout en passant deux doigts le long de sa fente. Je n’avais plus aucune assurance ; je la découvrais en territoire inconnu. Même si elle était bien galbée, cette chatte offrait une courte fente, serrée entre des lèvres charnues et claires. Si petite que je n’étais pas certain de pouvoir la pénétrer. Elle n’était pourtant plus vierge ! Même l’intimité de Sophie semblait nettement plus propice à me prendre, et tout à coup je me sentais énorme. Huguenot m’identifiait régulièrement à un âne, et je me sentais si disproportionné et idiot dans cette situation par rapport à Cassandre que je convenais que la comparaison était juste.
Il était trop tard pour faire machine arrière, et je continuai de caresser cette chatte tandis que mes doigts s’engraissaient de son abondante humidité. Ce qu’elle coulait ! Ça en devenait inquiétant ; je m’essuyais par réflexe sur ma jambe, mais dès que j’y remettais la main, c’était plus inondé que la seconde d’avant. Ça commençait à couler en fines rivières qui progressaient le long de l’intérieur de ses cuisses. Je voulais connaître le goût de sa cyprine ; ça devenait carrément facile, tant elle coulait. Je portai les doigts à ma bouche et découvris son goût légèrement acidulé. Comme je voulais regarder son sexe de plus près, je lui écartai les jambes d’un ou deux légers coups de martinet, déjà presque machinalement. Docile, elle s’étira, formant entre ses cuisses un angle droit. Sa vulve très légèrement entrouverte débordait. Ce n’était pas la pression de mes doigts qui faisait s’échapper son liquide clair : simplement l’effleurer la faisait sourdre de plus en plus abondamment !
Je m’affaissai contre le sol jusqu’à amener ma bouche contre cette fente et la léchai, provoquant un écoulement si abondant qu’il échappa au contact de sa peau pour s’étirer en plusieurs grosses gouttes filantes, tombant lentement par terre. Cette fois je plaquai ma bouche ouverte contre ce gisement de cyprine, et aspirais, avalais, laissais le goût de Cassandre me recouvrir la langue. Je réalisai d’un coup que les sales coups de la prof d’espagnol faisaient qu’à ce moment, j’étais là où je voulais être plus que tout au monde, et nulle part ailleurs. J’adorais cette saveur et son abondance, j’adorais Cassandre ! Et surtout, je la désirais sans plus pouvoir me maîtriser. Je me redressai sur les genoux, écartés de façon à porter mon vit à la hauteur de son sexe. Je lui fouettai doucement la croupe pour lui annoncer le début de ce que je voulais et commençais à exiger si naturellement. C’est en tirant sur la laisse que je l’ai amenée à reculer contre mon sexe. Elle avait redressé le cou sous ma traction, portant fièrement sa tête comme une danseuse étoile qu’on tenterait d’humilier. Elle recula trop, et ma longue barre glissa entre ses cuisses, plaquée sous son ventre. Je sentais sa chaleur m’inonder, ma tige en une seconde huilée de sa liqueur. Il était bon de coulisser sous elle, sentir mon gland caresser la peau douce de son ventre, et toucher son nombril. Ses fesses reposaient au creux de mes hanches, et comme d’un fouet, je fis claquer la laisse le long de son dos, sans plus la tirer. Cassandre ne bougea pas, et j’accompagnai le même geste d’une aide du martinet ; et elle fit deux pas sur ses genoux pour se retrouver avec mon gland à l’entrée de sa fente.
Elle était si juteuse et trempée de partout que la tête de ma queue glissait et ne parvenait pas, sans que je m’aide avec précision, à se caler contre son entrée. Plaquer mon champignon contre la peau de sa vulve me tenait comme une morsure déjà au bord d’un nouvel orgasme, mais je ne voulais pas, je m’interdisais de décharger trop tôt. Je respirais lourdement, je faisais de mon mieux pour reprendre mes esprits et garder le contrôle de moi-même. Je dus rester immobile, alors que le moindre mouvement de Cassandre me poussait vers l’arête. J’abattis le fouet sur le creux de ses reins et le maintins là, pressé sur sa peau tachetée. Elle devait comprendre qu’elle ne devait surtout pas bouger. Rien dans la pression qu’elle maintenait sur mon gland n’apaisait cette sensation de morsure qui se propageait jusqu’à la base de mon nœud. Je palpitais ; mon cœur battait la chamade, et lorsque je sentis enfin la pression s’atténuer quelque peu, j’avançai un peu mon bassin et tirai davantage sur la laisse. Ça ne rentrait pas. Si Sophie Cazalet était vierge, alors qu’en était-il de Cassandre ? Comment se pouvait-il qu’elle soit si difficile à pénétrer ? J’avais toutes les peines du monde à me concentrer, à lutter contre mon plaisir qui me tenaillait les couilles. Mais qu’importait après tout ? Ce désir était devenu un besoin impérieux. Je n’avais pas de capote, qui sait même si elle prenait la pilule ou quoi ? Ça ne comptait plus. Si quelque chose devait arriver, tant pis !
Je tirai comme un fou sur la laisse, forçant son cou à se redresser de nouveau ; mais ça ne rentrait toujours pas : je m’encastrais entre ses lèvres blanchies à m’en déformer le bout, la bite arquée sous la pression, mais je restais à l’entrée mouillée de ma belle prof de bio. J’en avais tant envie que je tirais comme un forcené sur la laisse, oubliant la douleur que je pouvais provoquer. Elle respirait mal ; l’air ne passait presque plus. Sa gorge ronflait, sifflait, mais je tenais bon, tirant encore plus fort, et tenant ma queue de l’autre main pour qu’elle ne ploie pas sous l’effort. Cassandre ne touchait même plus le sol de ses mains, et ses reins s’étaient cambrés si creux que c’en était surréaliste. On eût dit que son dos aurait pu se rompre tant sa taille était fine, et la traction incontrôlée que j’exerçais sur la laisse déclenchait chez elle une toux qui ne passait pas davantage que son souffle. Elle risquait de s’étouffer, et portait déjà une main à son collier. J’y mis toutes mes forces et me sentis enfin m’enfoncer en elle.
Je n’y croyais plus ; et si j’étais bien en train de me planter en elle, je la sentais me serrer avec la force d’un rouleau compresseur. Plus j’entrais en elle, lentement, plus sa chaleur se confondait avec la pression colossale dont elle m’entourait. Je relâchai la traction sur la laisse et, fichée à mi-chemin sur mon vit, elle respira bruyamment, à bout de souffle, le cou allongé vers le sol entre ses deux omoplates, les mains plaquées sur son tapis. Elle descendait lentement pour reposer sa poitrine contre les mèches persanes. Je fis encore claquer la laisse dans son dos ; elle sursauta, mais rapidement s’allongea un moment vers l’avant, sa chatte si étroite me tirant avec elle.
Une nouvelle traction l’empala de nouveau un peu plus profondément, et c’est là que je me sentis m’échapper à moi-même. Le pic revenait plus vif, plus dur, et je laissai tomber le fouet, et la laisse. Je saisis les hanches de Cassandre et d’un brusque soubresaut, je bondis en avant en elle pour la pénétrer jusqu’à la garde. Certes elle était étroite, mais si grassement lubrifiée que même serré si fort en elle, je coulissai jusqu’au bout. Je ne pouvais plus retarder l’orgasme qui pointait et s’imposait, piquant et vaste. Cassandre commençait à gémir, de plus en plus fort, et je la besognais maintenant comme un taureau en rut… comme un âne… elle gémissait… braire… elle allait jouir… non, fallait pas… silencieuse… et braire comme un âne… ça me convenait.Elle gémit si longuement, d’une voix tremblante, que ça ne laissait plus de doute. De plus en plus fort. Elle m’écrasait dans ses abysses, m’arrachait des larmes de plaisir noué en haut d’un mur de pierre bâti d’épines, déroulait à toute vitesse la lance à incendie qui venait de mon ventre. Elle me tenait et j’allais braire… Oh oui, j’allais braire entre ses côtes, et elle qui jouissait et se faisait remarquer devant l’œil rouge de la caméra… Je saisis de nouveau la laisse, sur le point de perdre l’équilibre. Je tractais comme un damné dessus, la faisant ronfler et étouffant le cri que sa jouissance poussait dans sa gorge tenue. J’allais braire tout le plaisir qu’elle me donnait. « ÎÎÎÎH !!! HAAAAAAAN ! ÎÎÎÎÎHH ! HÂÂÂÂÂÂÂÂÂN !!!!!!!!!!! rrh ÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎHHHHHHHHHHhhhhhh… … … AAAAAAAAAAAAAAAANHHHHHHHHH !!! »
J’ai laissé tomber la laisse sur son dos, et me suis affalé sur son dos plein de beaux grains de beauté… Et j’ai continué de pomper, mollement, les dernières longues giclées râpeuses de sperme qui me faisaient vibrer la queue. Ma grosse queue que je faisais glisser comme un long trombone à coulisse dans son vagin tellement étroit. Je la sentais souffler sous moi, alors que je posais mes lèvres sur ses grains de beauté, l’un après l’autre, avec les couilles qui balançaient entre ses cuisses, tout contre son clitoris qu’elles touchaient à chaque fois que je m’enfilais en elle jusqu’à sentir son fond bousculer mon gland.
On n’avait pas le droit d’avoir fini. Elle était si magnifique et j’étais si endiablé par mon envie d’elle que je ne débandais pas. Je restais pris en elle et fis tomber les lanières souples du fouet sur sa croupe. Elle avança, et je la guidai vers là où semblait se trouver sa chambre à coucher. Le parcours était long, laborieux, sur les genoux… Je fis frapper les lanières de cuir sous son ventre qui se creusa, et elle entreprit instantanément de se relever. Je devais suivre : je voulais rester en elle, et elle dut marcher ainsi, les reins cambrés, les jambes tendues et légèrement écartées, ses fesses serrées sur ma tige branchée en elle. Au passage, je pris la caméra et la soulevai pour filmer celle que j’étais chargé d’abuser.
Le trépied enfin posé non loin du lit jonché de quelques peluches ornées de rubans écossais et pastel, je me poussai en avant pour m’y écrouler sur le dos de Cassandre. Je fis passer la laisse sous son bras et tirai dessus pour qu’elle roule sur le flanc ; mais elle ne comprenait pas, levait le bras tout en restant allongée sur le ventre. Je dus faire claquer le martinet sur sa peau qui se zébra de rose pour qu’elle se place sur le côté. De mon genou, je lui fis remonter les jambes ; elle se retrouvait en chien de fusil, les fesses au bord du lit, ma batte toujours prise en elle.
Sa vulve s’était détendue et me laissait librement aller et venir, et chaque coup de piston chassait d’elle une vague de cyprine contre la peau de mon nœud. J’en goûtai la sensation délicieuse encore quelques secondes, et je me retirai d’elle. Je recueillis sa mouille pour en sur-enduire ma queue que je faisais passer et repasser doucement dans la raie de ses fesses. Cassandre tressaillit car elle comprit immédiatement ce que je préparais, et c’était tellement logique ! J’étais pressé ; sa chaleur me manquait déjà et je comptais bien profiter de toute cette onction grasse sur la peau de ma bite devenue plus glissante qu’un gros poisson. Je me plaquai contre son dos, la laisse tenue très courte, mon autre main tantôt crispée sur son collier, tantôt appliquée à ajuster mon mat contre sa petite porte.
Ça semblait compromis tant sa chatte s’était montrée étroite. Mais, contre toute attente, elle s’assouplit rapidement, et je n’eus pas de mal à m’enfoncer en elle. Elle oscillait entre râles et soupirs aussi profonds que l’était ma pénétration, et je ne devais pas la laisser trop se manifester. Ses entrailles me massaient, m’aspiraient, semblaient parfois vouloir me cisailler, et je la sentais vivre, réagir par une série de contractions à chacun de mes coups de reins que je poussais en elle lentement. Elle gisait sur le côté, et la regarder me rendait fou à chaque fois. Ses ongles crochaient son couvre-lit. Elle saisit un gros lion en peluche et en téta l’oreille, commença à la mordre, à l’étreindre avec une grande force. Je sentis à cet instant l’anneau qui m’enserrait se mettre à battre, à palpiter. Cassandre gémissait de plus en plus fort. Je tirais sur la laisse pour la faire arrêter, mais rien n’y pouvait. Sa voix me tirait le plaisir du tréfonds de mes couilles, et j’allais encore jouir. Tout au fond d’elle ! Elle devait rester silencieuse, et je devais la bourrer pour lui injecter ma semence au plus profond. Alors je tirai sur la laisse comme un fou, la forçai contre moi, la soulevai du lit, et m’enfonçai avec une frénésie démesurée dans son trou qui m’étreignait en spasmes convulsifs. J’avais déjà joué mon rôle de baudet, et ce fut dans un râle éperdu que je vidai par saccades une bolée de sève chaude dans le fond de son ventre. L’œil rouge s’éteignit. La batterie de cette caméra devait être aussi à plat que Cassandre et moi l’étions, ou était-ce la fin de la bande ? Tout en restant pris en elle, je m’allongeai contre le dos de la beauté que j’avais possédé, et m’endormis contre elle.
Ce fut tard dans la nuit qu’elle me réveilla, et m’invita à enfiler mes vêtements. Comment expliquer qu’un cours particulier ait pu durer si longtemps ? Elle me raccompagna chez moi, et je descendis de la petite voiture jaune. Je poussai la porte d’entrée ; seul mon père veillait dans la lumière tamisée avec la télévision en fond sonore, un livre beige et mauve entre les mains.
« Bien travaillé, fiston !?— Euh… Ah ouais, ouais ouais… Ouais ouais, bien bossé, oui…— Ah ! Ça t’apprendra à faire des conneries en classe ! Mais faut bien que jeunesse se passe, hein ? Heureusement que t’as une prof qui veille sur toi ! Enfin une qui est vraiment bonne !— Hein !?? Euh… bonne ? Laquelle ?— Ta prof d’espagnol, voyons ! Bonne nouvelle en plus : elle devient proviseur, et puis celle qui se fait chahuter, là, euh… ta prof de bio, elle lève le camp demain à ce qu’il paraît !— Quoi !!!? Ils vont la virer ? — Nan ! Pas besoin ! Elle quitte l’enseignement ; on dit qu’elle va bosser comme chercheur dans un Marineland on sait pas où. Tsss… connerie. Je m’demande si elle va trouver quelque chose là-bas, finalement. Et oublie pas ton portable, cette fois-ci, heureusement que Madame Huguenot est passée nous le ramener.— Ouais… merci p’pa. »
Je remis machinalement le téléphone dans la poche arrière de mon jeans, mais mes doigts rencontrèrent un bout de papier. Quelques mots étaient griffonnés :« Alice Langlois, zoo de Grandby. Prends garde à toi, et détruis ce message. »
Quelques mois plus tard, j’avais mon bac en poche, et pleins de souvenirs à laisser derrière moi. Je me réveillai la face collée à mon hublot dans cet avion sous lequel se dessinait le fleuve Saint Laurent. Derrière moi, un couple de retour au pays lisait les dernières nouvelles. « Tabarnak d’caliss de gang d’assassins ! J’ter une pau’v fille dans la cage du lion pi s’crosser sur une girafe, maudits innocents ! »Ce nouveau pays pouvait encore décidément réserver bien des surprises.
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