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Le prof d'histoire

Chapitre 1

Chloé et Amandine

Hétéro
Je m’appelle Bernard, j’ai 55 ans et je suis professeur d’Histoire et Géographie au lycée de la petite ville balnéaire de Charente-Maritime où je vis maintenant depuis plus de vingt ans.J’aime cette fin du mois d’août, lorsque Parisii, Bellovaques, Bataves, Allamans, Saxons, Francs et tant d’autres sont rentrés chez eux. Il reste quelques vacanciers, bien sûr, et les habitants du coin qui profitent comme moi de ces quelques jours de très beau temps avant la rentrée. Mais le bord de mer n’est plus surpeuplé.
J’étais allongé nu sur le sable de cette magnifique plage naturiste depuis une bonne demi-heure, la « guerre des gaules » de Jules César à la main, lorsque deux jeunes filles vinrent déployer leurs serviettes à moins de cinq mètres de la mienne. D’habitude, c’est plutôt le contraire : un homme d’âge mûr qui vient presque se coller à côté d’une jeune femme seule que sa proximité importune. Plus d’une fois sur deux, elle va s’installer ailleurs. Mais là, je n’allais certainement pas bouger.
L’une était blonde, les cheveux mi-longs, bien en chair, avec des seins de belle taille et le pubis entièrement rasé. L’autre était brune, un peu plus petite et plus mince. Une toison brune faisait contraste avec sa peau blanche. A voir leur pâle bronzage, je me posais la question : où étaient-elles ces deux derniers mois ?
Je m’en posai bien vite une autre : quel âge avaient-elles ? En clair, étaient-elles majeures ? Je m’étais tourné vers elle et les examinai ouvertement. La brune me retourna un sourire un peu forcé qui ne se voulait cependant pas décourageant. Mais quel âge avaient-elles ?
Je délaissai les mémoires de Caïus Iulius, focalisant toute mon attention sur l’anatomie de mes voisines. Je n’avais jamais pris le temps de le lire sérieusement (je parle de Jules, bien sûr) et je m’étais lancé cet été. Il n’y avait franchement pas urgence, j’avais pour l’instant mieux à faire.
Ce fut la brune qui vint vers moi, un tube de crème à la main et qui me demanda.
— Vous voulez bien nous passer de la crème ?
Comme elles étaient deux, elles pouvaient parfaitement se passer de moi. Mais naturellement, j’acceptai.La brune s’allongea sur le ventre, les jambes légèrement écartées, ses mains remontant sa chevelure pour dégager ses épaules et son cou. J’attaquai par les épaules. Quel âge avait-elle ? Elle était bien jeune, mais ne me semblait plus être une adolescente. Etait-elle majeure ? Je n’avais toujours aucune certitude, mais je décidai que oui. Lorsque j’attaquai son postérieur, j’y allais franchement. Sous mes paumes, je sentais deux boules de chair bien ferme. Depuis combien d’années n’avais-je pas pétri chair aussi ferme ? Je sentais ma verge se durcir. La jeune fille ne me laissa pas le temps de m’attarder sur ses cuisses. Elle se retourna, pointant ses petits seins dans ma direction, comme une invitation. Je passai vite de ses épaules à ses seins, bien durs. Quel plaisir !
— Vous n’êtes pas très bronzées, mesdemoiselles, remarquai-je.— On vient d’arriver, me confia la blonde qui semblait impatiente de prendre son tour.
Je sentis une main jouer avec mes bourses. C’était la brune. Mon sexe était maintenant bien dressé. Ma main descendit vers son nombril puis sur son mont de Vénus. Je passai mes doigts sur sa fente. Elle gémissait doucement. C’en fut trop pour sa copine.
— A moi, maintenant, déclara la blonde.

Je souris à la brune, en enfonçant légèrement un doigt dans son vagin.
— Chacun son tour...
Elle referma ses cuisses, comme pour conserver ma main prisonnière. Je me retournai vers la blonde, qui s’était à son tour allongée sur le dos, les jambes écartées.
— Vous vous appelez comment ? demandai-je.— Chloé, répondit la blonde.— Amandine, dit une voix dans mon dos.
Je sentis une main caresser mes fesses et progresser jusqu’à mes bourses.
— Moi c’est Bernard.
Le tube de crème cracha un peu de sa semence sur les seins de Chloé. Je les pétris aussitôt. Ils étaient de belle taille et fermes à la fois. Ses pointes étaient dressées. La jeune fille dirigea sa bouche vers mon sexe et l’engloutit. Mon sexe était complètement enfoncé dans sa gorge. Mes bourses arrivaient en butée de ses lèvres, mon gland pilonnait le fond de sa cavité buccale. Je gardais une main à jouer avec ses seins, l’autre s’immisçant dans son entrejambe.Je ne me posai plus de question sur leur âge. J’étais divinement bien. Je ne m’étais jamais marié par choix et j’avais connu de nombreuses aventures. Mais je ne m’étais jamais intéressé à de très jeunes filles. Cette situation était toute nouvelle pour moi, et j’en profitais.Soudain, Amandine lâcha mes bourses, prit sa serviette qu’elle secoua devant Chloé et moi :
— Chloé, sors la bite du monsieur de ta bouche, y a tes parents qui se pointent.
Nous réagîmes au quart de tour. La jeune blonde recracha littéralement ma verge et se redressa en position assise, comme si rien ne s’était passé. Amandine faisait de grands mouvements avec sa serviette, empêchant les deux silhouettes qui arrivaient vers nous de distinguer le détail de notre groupe. Plié en deux, je regagnai fissa mes affaires. Je m’allongeais, le dos tourné vers les deux jeunes filles, et fit celui qui s’était assoupi. J’étais trop près d’elles, mais je n’y étais pour rien et surtout n’y pouvais plus rien.Le vent venait de leur côté, et j’entendais assez distinctement ce qui se disait.
— Il est un peu près, lui, non ? dit une voix féminine.— On est arrivées les premières et il s’est installé là, répondit Amandine. On n’a pas osé lui demander de s’éloigner.
J’étais estomaqué. Quel aplomb ! Le monde à l’envers.
— Mais il ne nous a pas dérangées, précisa Chloé.
Merci !La curiosité finit par l’emporter. Je fis celui qui s’était réveillé et me tournai dans l’autre sens. J’avais repris mon livre qui dissimulait en partie mon visage. Je déchiffrais les mots sans en comprendre le sens. Je n’y étais pas. Mon attention s’était focalisée sur les deux arrivants. La femme devait avoir entre 45 et 50 ans. C’était Chloé en femme mûre. Elle avait des seins massifs qui s’épanouissaient sur sa poitrine. Je la trouvai plutôt sexy. J’aurais donné à peu près le même âge à l’homme qui se tenait à ses côtés. Il était assez fluet et n’avait rien de particulièrement remarquable. Je n’avais pas encore entendu sa voix.
Une conversation sans intérêt se poursuivit quelques minutes, puis ils décidèrent d’aller se baigner. Chloé se laissa glisser en dernière position, se retourna et me fit un petit signe de la main, accompagné d’un sourire complice. Brave fille. Je focalisai mon attention sur la silhouette de sa mère. Elle progressait avec difficultés dans le sable, dandinant son postérieur. Ma verge reprit un peu de hauteur. Je me surpris à avoir envie de me caresser, mais cela ne me sembla pas très prudent.
Ils revinrent un par un aux serviettes, Monsieur en premier, Amandine en dernier. Le soleil les sécha et ils quittèrent la plage. J’abandonnai ma lecture et allai me baigner. Une demi-heure plus tard, je quittai à mon tour le bord de mer.
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