Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 74 J'aime
  • 0 Commentaire

La professeur et le désir

Chapitre 2

Erotique
Sans rien dire je sortis son doigt de ma bouche et me laissais tomber à genoux en passant mon chandail par dessus ma tête le jetant sur le lavabo tout près, heureuse de le voir me regarder avec envie, puis dégrafais mon soutien-gorge, mes seins tombèrent, je le retirait et il prit le même chemin que le chandail. Il m’admirait comme figé, tandis que je détachais son jean et baissait sa fermeture éclair rapidement, pressée de voir son sexe. Je baissais jean et slip d’un même mouvement jusqu’au genou et sa bite, longue, droite, sans prépuce bondit sous mon nez, gonflée à bloc, sursautant à chaque battement de son cœur. Je me mis à saliver comme une affamée en le regardant palpiter, regardant aussi ses testicules qui pendaient très bas, sans aucun poils, sans poils non plus sur le pubis ni sur les cuisses, elles étaient lisses et douces comme des jambes de femme. Ça m’étonna qu’il se rase les jambes mais ça me plaisait. Je n’ai jamais aimé les hommes trop poilus. Mon cœur battait à vive allure en replaçant mes cheveux en arrière, en sentant mes seins se balancer et le carrelage de céramique me déchirer mes bas, tant pis.
Alors regardant Pierre droit dans les yeux je pris mes seins, les soulevaient et coinçait son sexe entre eux. Ils l’entourèrent complètement, mes mamelons durcis et sensibles se touchaient et je commençais à le masturber comme ça tandis qu’il me caressait la tête doucement et à chaque aller-retour entre mes seins ma langue venait lécher le bout de son gland qui rougissait déjà.
Et c’est la que je vis dans l’un des grands miroirs au dessus des lavabos, des pieds dans la cabine des WC, juste derrière nous dont la porte était fermée. Mon cœur bondit, mon sang se glaça et je reconnu les baskets vert citron à fleurs blanches de Thérèse. Seigneur il fallait que ce soit une de mes étudiantes en plus, sur le coup je ne pensais qu’à fuir, si elle en parlait je perdais mon emploi, sans parler de la gêne, de mon embarras une fois devant le directeur. Mes joues sont devenues si brûlantes qu’on aurait pu y faire cuire un oeuf. Mais je vis qu’elle ne bougeait pas, elle écoutait, peut être se masturbait-elle, ou qu’elle attendait simplement qu’on en finisse. Et moi paniquée, je continuais mon mouvement de va-et-viens, les doigts enfoncées dans mes seins. Mon cœur voulait me sortir de la poitrine, puis je me dis que comme on n’avait rien dit jusqu’à maintenant, peut être que Thérèse ne savait pas qui nous étions, à moins de regarder et je l’aurais certainement vu faire. Ça devait l’exciter de nous entendre, de deviner ce que l’on faisait et étrangement, de penser à cela m’excita encore plus. Je me sentais sur la corde raide, mais d’un autre coté, Thérèse quittait l’école dès qu’elle sortirait d’ici et les autres étaient probablement déjà tous parti, alors….
Pierre soupirait et geignait faiblement, toujours silencieux, profitant pleinement de la situation sans savoir que nous étions épiés et ça me plaisait maintenant. Il devait croire qu’il rêvait, moi aussi d’ailleurs, ce n’était vraiment pas moi ça, d’être aussi vicieuse dans un endroit public tout en me sachant espionnée en plus. Moi si prude habituellement et soudain, des bruits de talons hauts dans le couloir, je me figeais paniquée. Pierre regardait la porte, quelqu’un tournait la poignée. Dans mon énervement, je ne me rappelais plus si je l’avais fermée à clé ou non. La peur de me faire surprendre cette fois soit par le directeur soit par un autre enseignant me fit dresser les cheveux sur la nuque. Une montée d’adrénaline décupla tous mes sens. Moi à genoux, à moitié nue, coinçant la bite d’un de mes étudiants entre mes seins… La fin de ma carrière dans ce collège.
On tourna la poignée, la secoua, elle était fermée, je lâchais un long soupir… Les pas s’éloignèrent, je me rendis compte que mon cœur s’était pratiquement arrêtée. Pierre souri, visiblement lui aussi soulagée. Je plaçais un doigt contre mes lèvres pour qu’il ne dise rien à cause de Thérèse et je me remis à la tache. Son gland qui surgissait de ma chair tendre semblait avoir redoublée de volume et une goutte claire de liquide séminal s’en écoulait en s’étirant. Je la léchais, il grimaça, c’était salé, si bon. J’avais chaud, je frissonnais, j’étais nerveuse, excitée, troublée, je ne savais plus si je devais aller jusqu’au bout ou filer avec lui chez moi.
Mon cerveau fonctionnait mal, mon corps ne semblait plus m’obéir, mais tout ce que je ressentais était si bon et là, en me penchant pour lécher son sexe, Pierre, qui n’en pouvait plus sans doute, se mit à remuer son membre, ce qui poussa son gland entre mes lèvres. Je le laissais faire un moment, ça me chatouillait les seins et les lèvres. Il devait jubiler, être terriblement excité, autant que moi sinon plus. Il devait rêver de moi depuis longtemps. L’imaginer se masturber en pensant à moi me donna une nouvelle fois la chair de poule. J’avais toujours une sacrée envie de le sentir en moi mais plus maintenant, pas ici, pas avec l’autre juste à côté, oh non. J’allais gémir avec ma voix de petite fille si embarrassante, pas question. J’ai bien cru qu’il me viendrait sur la gorge à le voir grimacer, mais, non, il stoppa les joues rouges.
Je lâchais mes seins et saisi son sexe si dur entre mes petites mains et l’enfonçais dans ma bouche en écartant les mâchoires au maximum, me sentant saliver comme une démente tandis que son gland glissait sur ma langue et contre mon palais jusqu’à ma gorge ou presque.Je le sentis frémir, je serrais les lèvres et commençais à le sucer lentement, donnant de la tête en aspirant, enduisant son membre de salive épaisse. Ça me coulait sur le menton jusque sur les seins qui se balançaient mollement. Mes pointes étaient si dures que ça me faisait presque mal et mon sexe si mouillé qu’il dégoulinait mouillant jusqu’à mon anus. Je n’ai jamais été une bonne suceuse mais là je me dépassais. Sucer un gars dans des toilettes publiques en se sachant espionnée, c’est une sacrée sensation.Surtout que les bruits de succion me semblaient démesurés, amplifiés sans doute par les murs de céramique, avec Thérèse juste là, dont les petits pieds se retournaient par dessus l’un l’autre. Elle ne pouvait pas ne pas entendre, ne pas comprendre ce que je faisais et ça m’excitait terriblement. Peut être qu’elle jouissait en ce moment, une main entre les cuisses. La belle Thérèse, même à 32 ans, faisait tourner les têtes à l’école avec ses cheveux noirs très courts, ses tops moulants laissant son nombril à l’air, son sourire dévastateur, ses seins parfaitement ronds et hauts et ses jeans taille basse. Elle s’habillait comme une ado, mais elle avait le corps pour ça.
J’agitais ma petite langue tout autour du membre en le pompant avidement. Je donnais de la tête, tenant la bite d’une main à présent, caressant ses couilles lourdes et si douces de l’autre. Il y avait si longtemps que je n’avais pas sucé un gars et pourtant, à me voir faire, il devait se dire que je passais mon temps à tailler des pipes. Il grimaçait de plus en plus, mais la situation m’excitait tellement que je ne voulais pas qu’il jouisse trop vite. C’était un peu sadique de ma part je l’avoue. Je la sortis donc de ma bouche, laissant une longue traînée de bave me tomber sur le menton en s’étirant jusqu’à son gland.
J’entrepris ensuite de le lécher tout le long de la hampe à petits coups de langue sans oublier de gober ses testicules tout doucement, les pinçant avec mes lèvres, les étirant, les mordillant, l’entendant gémir et sentant une de ses mains sur ma tête. Je remontais le long du membre veiné et alternais de petits vas-et-vients avec mes lèvres et ma langue tournoyant sur le bout de son gland. Sa bite était si raide que le moindre attouchement la faisait rebondir, puis, langue sortie et bouche grande ouverte, je raidis la nuque et je décidais de gober en entier sa verge. Chose que je faisais rarement à mes amants, je regardais son membre disparaître peu à peu entre mes lèvres étirées au maximum. Narines dilatées pour ne pas étouffer, je sentis ma bouche se remplir de salive qui débordait sur mon menton à nouveau. Je le regardais droit dans les yeux, sa bite enfoncée jusque dans ma gorge comme la dernière des putes et je vis dans les siens le désir brûlant qui l’habitait. Un feu doux bouillonna dans mon ventre me dictant de continuer. Mains sur ses cuisses je tournais la tête de droite à gauche le sentant frissonner, il avait les deux mains dans mes cheveux fins sans essayer de me forcer à quoi que ce soit, mais n’en pouvant plus, je laissais la bite ressortir lentement de ma bouche pour reprendre mon souffle. Je crus entendre Thérèse gémir mais c’était si tenu que je n’en étais pas sur, mais, toujours par le miroir, je vis ses orteils qui se rétractaient dans ses baskets en toile. Du revers de la main, j’essuyais la bave qui me pendouillait du menton en me sentant plus chaude et femme que jamais en fixant son membre rougit et palpitant luisant de ma salive.
Et c‘était moi qui faisait cela, l’enseignante timide et réservée. Habituellement j’avais besoin d’avoir bue pour être aussi cochonne et là, en plein toilettes publiques avec une autre personne juste à coté, je lui suçais la bite comme une pro. Et ça m’électrisait, mon sexe pulsait, Pierre me caressait les seins doucemen, ils étaient à portée de ses mains. Ma fente mouillait plus que jamais, je revins gober son sexe et sans réfléchir je glissais ma main sous ma jupe pour recueillir un peu de ma cyprine sur mon index, j’enfonçais alors tout doucement mon doigt dans son petit trou le sentant se raidir. C’était étroit, chaud et glissant, je poussais mon doigt à l’intérieur jusqu’à la jointure et l’agitais de bas en haut tout en le suçant.
C’est alors que je sentis son sexe se contracter et son sperme gicler avec une puissance telle que je sursautais en avalant vite. Le goût âcre et salé m’emplit la bouche et passait lentement dans ma gorge. Le premier jet fut suivi de plusieurs autres, longs et continus… Son sperme liquide se faufilait partout dans ma bouche, j’avalais au fur et à mesure en femme d’expérience. Il trépignait sur ses pieds en déchargeant, les mains agrippées à ma tête. Mains bien fermées sur son membre je le pompais de plus en plus lentement pour bien vider ses couilles et ça fini par cesser de couler sur ma langue. Essoufflée, je le suçais tout de même encore un peu avant de sortir sa bite de ma bouche. Je gardais les lèvres fermées couvertes de sperme, j’en avais même sur les seins. Mon coeur battait à cent à l’heure. Il se la secoua, remonta slip et pantalon et alla me chercher du papier au distributeur. Tandis que je m’essuyais en me relevant il voulu parler mais à nouveau je lui fit signe de se taire, lui montrant les petites baskets sous la porte. Il fut surpris en jetant les papiers à la poubelle puis m’aida à remettre mon soutien-gorge. J’enfilais mon chandail et je vis mes bas déchirées laissant voir mes genoux rougis. Je les enlevaient et les jetaient à la poubelle avant de me laver un peu le visage. On sortit sans voir personne. Une fois dans mon bureau je soupirais, soulagée, affaiblie et il m’enlaça et voulue m’embrasser mais je tournais la tête en disant :
— Je ne me suis pas brossé les dents.
Mais il m’embrassa quand même, ce fut long et passionné puis il me dit à l’oreille en me serrant fort :

— Merci Lyse !
Je souris, gênée, contre sa joue piquante de barbe. Puis je me reculais et le regardais droit dans les yeux.
— Ouf j’ai chaud, je ne sais pas ce qui m’a prise, dis-je mes bras entourant sa nuque, tu dois me prendre pour une…
— Une femme magnifique… Oui !
Je ris, me sentant soulagée, vidée d’une tension accumulée depuis trop longtemps et là je ne pensais qu’à l’avoir sur et en moi.
— C’était Thérèse dans les toilettes, dis-je, je ne l’avais pas vue, j’espère qu’elle ne parlera pas ! Elle ne savait sûrement pas que c’était nous de toute façon.
— J’espère aussi, pour toi, mais c’est quelqu’un de bien je pense, je ne crois pas qu’elle en parlera. On peut se revoir ?
— Tient, dis-je amusée, il se décoince enfin ? Ouais, ce soir si tu veux, viens dîner.
— Wow, J’ai du mal à croire à tout ça, t’es tellement belle Lyse, je n’aurais jamais cru que tu puisses être intéressée par moi.Je me contentais de lui sourire, il était si charmant, si mignon dans son genre.
Il accepta, je lui donnais mon adresse et on s’embrassa très fort à nouveau avant qu’il ne parte. Je flottais après son départ, j’étais encore pleine d’adrénaline, je ne pensais qu’à me brosser les dents et prendre une bonne douche une fois à la maison. on frappa à la porte de mon bureau, ça m’électrisa. Je me rajustais vite avant de dire « entrez », c’était Thérèse. Je me sentis rougir des pieds à la tête. Elle souriait en entrant, ses petits mamelons pointant sous son top et elle referma la porte.
Mon cœur s’arrêta encore en je m’assois derrière mon bureau essayant de paraître calme croisant les bras et mes jambes nues à présent.
— T’inquiètes pas Lyse j’en parlerai pas ! Tu savais que j’étais là hein ?
Mon cœur reparti mais tout croche et là, j’avais si chaud, comme si j’étais assise sur un poêle à bois.
— Pas au début !
— Hum, désolée, mais ça m’a donné des petites sueurs. Écoute j’ai déjà fait ça aussi , sucer un gars dans un toilette c’est trippant, je ne dirai rien tu perdrais ton job, mais je veux juste une chose !
Là je déglutis, le cerveau embrouillée, j’étais coincée. Je voulais garder cet emploi et éviter la honte de me faire virer pour avoir sucé un étudiant.
Je soupirais…
— Quoi ?
Elle plissa ses jolis yeux bruns pâles et sourit, ses mamelons pointaient toujours sous son haut minuscule et cela me rappela les miens.
— Je veux juste passer une nuit avec toi !
J’ouvris la bouche de surprise mais aucun son n’en sortit, je refermais les lèvres sentant mon cœur battre sous mes seins. Je déglutis à nouveau. Je n’aurais jamais cru qu’elle était charmée par les femmes.
— Je ne suis pas lesbienne Lyse si c’est ce que tu te demandes, j’en pince juste un peu moi aussi pour ma belle prof. C’est juste un fantasme, juste une nuit d’ici à lundi, je fantasme sur des filles parfois même si je préfère les hommes et toi, déjà essayée ?
Oui j’avais déjà essayé mais ça ce n’était pas ses affaires et j’étais saoule cette fois-là. N’empêche que j’y repensais souvent en me masturbant et puis je n’en mourais pas de baiser à nouveau avec une fille, au contraire, et puis elle était mignonne.
— OK, demain soir ça te va ?
— Super Lyse ! Après on se verra plus. Fâchée ?
— Non, surprise c’est tout !
Je lui griffonnais mon adresse sur un bout de papier, ma main tremblait légèrement.
— Demain vers 7 h. Dis-je ?
— OK, je vais apporter du vin, bye !
Je n’en revenais pas et ne pouvait m’empêcher de regarder son joli derrière tandis qu’elle partait. Jamais je n’aurais eu le front de faire ce qu’elle venait de faire et j’allais baiser avec un autre de mes étudiants, une étudiante en plus. Je ne savais plus si cela m’excitait ou non. La tête me tournait un peu. Je ramassais mes affaires et fila chez moi !
Diffuse en direct !
Regarder son live