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Le professeur de français

Chapitre unique

Gay
Le professeur de français

J’écris cette histoire comme une fiction, bien qu’elle s’inspire librement d’une histoire que j’ai vécue. Le fond de l’histoire que vous allez lire est bien réel, mais j’ai rajouté des détails pour agrémenter le récit.
Beaucoup de lecteurs présents sur ce site d’histoires érotiques, toutes aussi bonnes les unes des autres, proviennent de régions européennes, alors que moi je suis du Québec. Cette mise au point s’avère ici nécessaire puisque mon histoire se déroule au Cégep et que le processus scolaire de nos deux nations diffère. Le Cégep, institut d’enseignement post secondaire, peut durer de deux à trois ans selon le parcours choisi. Il permet d’apprendre une profession ou d’avoir un enseignement général avant l’admission à une université.
J’en étais à ma dernière année de Cégep avant d’intégrer le marché du travail, j’ai dix-neuf ans et j’aurais bientôt mes vingt ans. Je sortais d’une relation qui n’avait duré que 3 mois, mais la rupture m‘avait anéanti. Ce même garçon dont j’avais offert une fellation au père dans le stationnement d’un centre commercial. Vous pouvez trouver cette histoire parmi mes autres histoires présentes sur ce site.
J’avais toujours maintenu une performance académique exemplaire, mais depuis la rupture, la tête n’y était plus et mes résultats étaient en chute libre. Je négligeais mes études pour me consacrer à l’art sublime du cœur détruit et de la dépression amoureuse. Mes amis et ma famille faisaient l’impossible pour me sortir de cette phase de ma vie sans succès. Il fut un temps où je remis en doute mon homosexualité, croyant que j’aurais moins de peine avec des femmes.
J’eus à remettre pour mon cours de français une dissertation qui devait faire une analyse sur la pièce de Shakespeare « Roméo et Juliette ». Je produisis donc une analyse sur la déception amoureuse et de la mort comme seule issue à cette déception, un texte dont le moi dépressif était bien fier de sa noirceur. Mes propos eurent comme effet d’attirer l’attention du professeur qui me convoqua à son bureau. Je m’y rendis. À mon arrivée au bureau, je vis qu’il n’était pas seul, il avait également convoqué un psychologue. Mes propos sur la mort lui avaient sonné comme des propos suicidaires. La rencontre eut lieu, avec mon consentement, je leurs racontai ma peine amoureuse dans les moindres détails et leurs assurai que je n’avais aucune intention suicidaire. Le professeur me proposa d’autres rencontres d’une part avec le psychologue pour faire un suivi et d’une autre part avec lui afin de sauver ma session à la dérive. Il trouvait triste de me voir gaspiller mes chances d’avenir pour si peu.
Quelques semaines après cet épisode, je me rendis dans un bar de danseuses nues afin d’y tester ma nouvelle hétérosexualité. Je m’assis à une table, commandai une boisson gazeuse et j’essayai de profiter du spectacle, mais je n’éprouvai aucun plaisir. Mon attention se porta sur un groupe d’hommes attablé non loin, ils devaient être une dizaine et fêtaient ce que je devinai être un enterrement de vie de garçon. Un homme en particulier retint mon attention, il était dos à moi, il semblait plus distingué et réservé que ses amis. Un corps qui me semblait bien musclé se dessina sous un t-shirt moulant, cheveux courts bruns et pour le peu que j’en voyais, sa mâchoire me semblait bien carrée. Une femme nue se caressait les seins sur la scène devant moi et je ne voyais que cet homme. Je compris qu’il en était bien fichu pour ma tentative d’hétérosexualité.
Devant ce constat, je décidai donc de quitter la place, me levai et en prenant mon manteau, je renversai mon verre qui alla s’éclater sur le sol. Tous les yeux se retournèrent vers moi, y compris ceux de l’homme qui m’avait tant attiré ; mon professeur de français !!!
Timide de nature et un peu honteux de m’être fait voir à un tel endroit, je ne me présentai plus aux rencontres avec le professeur. Au cours de français, je m’asseyais à l’arrière et quittai la classe comme un voleur aussitôt le cours terminé. Les vêtements qu’il portait en classe ne laissaient en rien deviner le physique avantageux que j’avais vu l’autre soir. Je le regardais attentivement afin d’y revoir une partie de ce qu’y m’avait autant plu. Au hasard d’un couloir, je croisai le professeur et il n’y avait aucune issue possible, j’allais devoir le croiser.
— Salut Samuel, je trouve dommage de ne plus te voir à nos rencontres. Il ne s’est rien passé de grave, seulement deux hommes majeurs au même endroit au même moment. — Je sais... sais... bien, mais c’est que ben... bredouillai-je.— Allez, je t’attends à la prochaine rencontre, tu étais sur une bonne lancée. Ne gaspille pas tes chances.
Nos rencontres ont repris sans problème et bientôt l’année scolaire se termina ainsi que les rencontres. L’été était arrivé, le marché de l’emploi s’ouvrait à moi et commençait ma nouvelle vie. À la fin de l’été, je me rendis au Cégep récupérer un document et décidai de passer devant le bureau du professeur. Il était là, habillé de façon beaucoup plus décontractée et ne camouflant pas son physique.
— Vous devriez vous habiller plus souvent ainsi, je suis sûr que beaucoup d’étudiants seraient plus assidus à vos cours.

Il rougit.
— Sérieusement, je tenais juste à vous remercier pour ce que vous avez fait pour moi. C’était généreux de votre part.— Ce fut un plaisir, je savais bien que derrière ce gars malheureux se cachait un énorme potentiel. Je n’ai fait que mon travail. Je vais reconsidérer ton commentaire sur mon habillement, promis.
Je rougis à mon tour. Il m’invita à m’asseoir quelques instants et prit de mes nouvelles, comment se passait mon nouvel emploi. Me demanda si j’avais enfin rencontré la perle rare qui ferait battre mon cœur à nouveau. « C’est dommage, » me répondit-il quand je lui dis que non.
Il se leva, ferma la porte de son bureau et vint s’asseoir à côté de moi. Sa cuisse frôla la mienne, je n’avais qu’une envie, d’y déposer ma main. Il me parla de ne pas m’en faire que j’allais finir par trouver, mais je n’écoutais pas... plutôt je n’entendais pas, la proximité de ce corps près du mien me troublait. Et là, sans réfléchir, d’un geste spontané, j’allais déposer un baiser sur sa bouche. Je devins rouge cramoisi, je m’excusai, regrettant mon geste. Je venais de gaspiller une si belle amitié. Il déposa sa main sur ma cuisse, « C’est pas grave » et déposa à son tour un baiser sur ma bouche. Nous nous regardâmes quelques secondes avant de reprendre de plus belle et d’y joindre nos langues.
Pendant que l’on s’embrassait, je déposai ma main sur ses fermes pectoraux, ils étaient aussi agréables à toucher que je l’avais imaginé. Il déposa sa main sur mon entrejambe et palpa ma verge dure. À vingt ans, un simple baiser langoureux suffit à nous faire durcir solide. Je tournai la tête vers son oreille et murmurai :
— Je veux te sucer.
Il se leva devant moi, ouvrit sa braguette et laissa sortir une magnifique queue, pas très longue, mais bien épaisse. Je mis l’engin dans ma bouche et le suçai. Je le sentis durcir dans ma bouche et son gland se décalotta au fur et à mesure que sa bite prenait de l’expansion. Il retira son pantalon, m’enleva mon chandail et je me remis à la tâche pendant qu’il me jouait avec les tétons. J’adorais sucer sa queue qui commençait à dégoutter dans ma bouche, il goûtait tellement bon. Il me releva, j’avais les mamelons en feu, un simple effleurement suffisait à les stimuler. Il retira son chandail, dévoilant une légère pilosité sur son torse qui avait tout le charme nécessaire. J’enlevai mon pantalon et il me prit par le cul et me souleva pour me déposer sur son bureau, il pencha la tête vers mon sexe dur et je sentis son souffle chaud sur mon gland bien humide. Aussitôt, la chaleur de sa bouche enveloppa mon sexe, c’était chaud et humide et il me suça lentement.
J’adorais sentir le va-et-vient de ses lèvres sur ma verge pendant qu’un chaud filet de salive coulait le long de mes couilles. Il enfonça mon pénis jusqu’au fond de gorge, remonta jusqu’à mon gland en suçant profondément. J’avais l’impression qu’à tout moment, j’allais décharger dans sa bouche, mais je réussis à me retenir non sans misère.
Même si j’adorais me faire pomper par mon professeur, j’avais envie de sa queue à nouveau. Je le poussai un peu et descendis du bureau pour me mettre à genoux devant sa queue bien dure et je le suçai à mon tour. J’y allais doucement, j’avais tellement envie qu’il me décharge en bouche, je voulais faire durer le plaisir. J’agrippai ses fesses de mes deux mains afin de diriger le mouvement de sa bite dans ma bouche. Après un bon moment, il me releva, me retourna et me pencha pour appuyer mon torse contre le bureau, relevant ainsi mon cul.
Sa langue s’attaqua à mon trou, le licha et tourna autour de mon anus en faisant de légères pressions. On ne m’avait encore jamais léché le cul, c’était ma première fois et ça ne me déplaisait pas. Il s’y attarda longuement sans jamais franchir la barrière de mon cul. Je sentais ses doigts me frotter l’entrée. J’étais encore vierge du cul, jamais je n’avais été pénétré ni même jamais inséré quoi que ce soit dans mon cul, sinon que le bout de mon doigt. Je redoutais le moment où on allait traverser ma frontière. Il alla à sa mallette, « Bouge pas », et enfila une capote sur son membre. J’étais aussi effrayé qu’excité.
— Je n’ai jamais été pris par le cul.— Relaxe, détends-toi, ça va bien aller, tu vas adorer ça.
Il retourna à mon cul et alla bien humidifier l’entrée de mon sous-terrain, il porta un doigt à sa bouche et le ressortit plein de salive.
— On va commencer doucement par te dilater un peu le cerceau. Respire profondément...
Il ne prit pas le temps de finir sa phrase que le bout de son doigt venait de me pénétrer. Je n’étais pas sûr de la sensation, j’étais quelque part entre douleur et plaisir. Il garda son doigt immobile quelques instants, me caressant le cul de son autre main.
— C’est ça, respire... c’est déjà moins serré.
Il commença à faire de petites rotations contre les parois de mon anus, la sensation était bonne et la douleur moins intense. Je sentis son doigt s’enfoncer davantage dans mon anus, continuant à faire des rotations. Je commençai à ressentir de plus en plus de plaisir à subir ce traitement. Puis, son doigt sortit de moi, son bassin se rapprocha et je sentis quelque chose de plus gros qu’un doigt forcer mon anus. Je me crispai aussitôt.
— Je ne suis pas sûr si je serai capable.— Chuuut, détends-toi, on va y aller tout doucement. Un... deux... trois...— Ha...
Sa queue venait de franchir la frontière. Il ne bougea pas. Je n’avais pas encore décrispé. Je resserrais mon anus sur sa verge.
— T’es serré, ça paraît que tu n’as jamais été fourré. Ça va ? Tu veux que je me retire.— Non, dis-je avec douleur, continue.— Détends-toi, relâche ton cul, ça va bien aller.
C’est ce que je fis, je desserrai mon étreinte anale sur sa queue et il s’avança plus profondément en moi. J’avais mal, mais c’était bon, c’était confus en moi. Il se retira complètement de moi, et je sentis un gros crachat bien chaud atterrir sur ma rondelle, il étendit sa bave sur mon trou.
— Tu vas voir, c’est plus facile la deuxième fois. Mais si tu préfères que je n’y retourne pas, c’est correct.— Non, c’est bon vas-y...
Sa queue me transperça de nouveau, c’était encore douloureux, mais cette fois, je m’y attendais et commençai à y prendre plaisir. Lentement, il commença ses va-et-vient, me labourant le cul de plus belle. À chaque passage, je sentais mon anus se détendre un peu plus et finis par trouver la pénétration des plus jouissives. Il accéléra la cadence, trouvant que sa bite glissait de mieux en mieux en moi. C’était trop bon, que je ne tins pas le coup bien longtemps avant de sentir ma queue déchargée et sentir mon sperme chaud couler sur mes cuisses. Il continua à me pénétrer pendant un moment et ma queue coulait à chaque coup de bassin contre moi. Il ressortit sa queue de mon cul, retira le condom et je sentis ses giclées chaudes sur le bas de mon dos.
Pour la première fois de ma vie, j’avais été pénétré et j’avais aimé ça. Il me donna des mouchoirs pour que je puisse essuyer le sperme que j’avais sur les cuisses et essuya son sperme sur mon dos. Nous avons remis nos vêtements, repris nos places et continué à discuter un moment. Je lui posai la question qui me brûlait les lèvres depuis notre premier échange de salive ; comment un hétéro pouvait baiser un homme de façon aussi majestueuse ? Il me confia qu’il était bel et bien gay, qu’il avait été au bar seulement parce qu’un de ses amis d’Université allait se marier et qu’il avait suivi le groupe. Ce qui expliquait donc la réserve qu’il avait démontrée ce fameux soir.
J’avais vingt ans, il en avait trente-deux, nous nous sommes revus par la suite et notre histoire d’amour aura duré près de six ans. Quand la passion a quitté notre couple, quand l’amour est devenu amitié, nous nous sommes quittés avant que notre relation s’envenime. On s’est aimé par passion, on s’est laissé par amour d’un commun accord et encore aujourd’hui Monsieur Le Professeur demeure l’un de mes plus précieux amis.
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