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Professeur particulier

Chapitre 2

Cours n°4, n°5 & n°6

Histoire médaillée
Hétéro
COURS N°4
Le mercredi précédent, notre quatrième cours, j’avais envoyé un SMS à Anna. Je lui demandais, en guise de devoirs, de rédiger un texte d’une page environ racontant ses derniers rêves érotiques qu’elle me lirait ensuite. Je lui avais également donné comme instruction de mettre sa tenue habituelle, ce à quoi elle m’avait répondu par un « Oui Monsieur ».
L’attente jusqu’au samedi, par contre, m’avait paru interminable. J’étais tellement excité à l’idée de retrouver Anna qu’avant de partir de chez moi, j’avais à nouveau utilisé sa culotte pour me faire jouir. L’esprit plus libre, je m’étais ensuite rendu chez elle. Comme d’habitude, c’est sa mère qui m’avait ouvert, me proposant, avec un grand sourire, une boisson fraîche. Mais j’avais décliné l’offre, trop pressé de rejoindre mon élève.
Anna m’attendait à côté de son bureau. Comme je le lui avais demandé, elle avait à nouveau mis sa jupe et son chemisier. Celui-ci était sagement boutonné jusqu’en haut.
— Bonjour Anna.— Bonjour Monsieur.
J’ai posé mon sac sur le bureau, j’en ai sorti toutes mes affaires, puis je me suis planté face à elle. Sans un mot, j’ai déboutonné les trois premiers boutons de son chemisier, jusqu’à apercevoir la dentelle de son soutien-gorge. Anna me regardait sans rien dire. Je ne savais pas si elle était paralysée par le stress ou par l’excitation, mais j’appréciais son obéissance.
Une fois que la tenue m’a paru plus adéquate, je me suis assis à ma place.
— Bien, ai-je dit, commençons. Tu as fait le devoir que je t’avais demandé ?— Oui Monsieur.— Très bien, assieds-toi sur le lit, et tu vas me le lire.
Anna s’est assise face à moi, et a commencé à lire son texte. Celui-ci était assez simple, et racontait un rêve dans lequel elle se retrouvait entièrement nue, dans une piscine, marchant à travers une foule qui touchait son corps, l’excitant progressivement. J’ai noté quelques fautes, et une prononciation un peu hasardeuse, mais pour être honnête, j’étais plus concentré sur sa présentation physique qu’orale.
Je me suis levé, au milieu de sa lecture, et me suis approché d’elle. Comme elle s’était arrêtée de lire, je lui ai demandé de continuer. Et tandis qu’elle reprenait, j’ai ouvert un quatrième bouton de sa chemise. Cette fois, son soutien-gorge était clairement visible, la chemise ne cachait plus rien. Puis du bout du pied, je lui ai fait écarter les jambes. Anna s’est à nouveau arrêtée de lire, et je lui ai dit de poursuivre. Ses jambes écartées au maximum, j’ai simplement tiré un peu sur sa jupe pour faire apparaître une jolie petite culotte.
De retour à ma place, j’ai fini de l’écouter en souriant. Quand elle a eu terminé de lire, je suis resté silencieux un moment, à la regarder, tandis qu’elle attendait, sans bouger, les prochaines instructions.
— Do you have any sex-toys, Anna ?
Ma question était sortie de nulle part, et j’avais bien remarqué sur le visage de mon élève qu’elle était plutôt surprise. Elle a toutefois fini par répondre.
— Euh... Je... Oui, enfin je veux dire... Yes, Sir, I have sex-toys.
Je lui ai demandé de me les montrer, et elle est allée fouiller au fond de l’un de ses placards et en a sorti une boîte à chaussures.
— C’est un peu ma boîte à trésors, a-t-elle dit à voix basse, un peu gênée de me dévoiler ses secrets.
Elle en a sorti un vibromasseur, puis un gode d’une belle taille, et enfin, un petit plug anal, mais elle s’est empressée de me dire qu’elle ne s’était jamais servie de celui-là, qu’elle l’avait acheté avec des copines pour rigoler. J’ai souri en voyant tout ça, j’avais très envie de m’amuser avec Anna et tous ses jouets. Mais pour l’heure, j’ai pris le vibromasseur, et je lui ai dit de retourner à sa place.
— On va continuer à faire de la lecture, ai-je repris. Ce sera un travail de concentration. Est-ce que tu connais les vidéos Hysterical Literature ?
Comme elle ne connaissait pas, j’ai sorti mon téléphone et suis allé sur Internet pour trouver ces vidéos, dont le concept était plutôt simple. Filmées en noir et blanc, assises à une table, des filles lisaient des œuvres littéraires tandis qu’un vibromasseur les déconcentrait jusqu’à ce qu’elles en perdent la raison. Anna a eu l’air intéressée par ces vidéos, un petit sourire s’était collé sur son visage.
— Vous voulez que je fasse ça ?— Exactement. Tiens, lui ai-je dit en lui tendant Le Chien des Baskerville de Arthur Conan Doyle. Lis ça.
Anna a pris le livre entre ses mains, et a commencé à lire à haute voix.
— Mr. Sherlock Holmes, who was usually very late in the mornings, save upon those...
De mon côté, j’ai écarté ses jambes et relevé sa jupe, comme précédemment, et me suis saisi du vibromasseur. Je l’ai glissé dans la culotte grise d’Anna, et l’ai mis au niveau d’intensité le plus faible. Très rapidement, ses mots devaient hésitants.
— ... was engraved upon it, with the... the date 1884. It was... It was just such... a stick...
Tandis qu’elle lisait, je m’amusais à tourner autour d’elle, à la regarder sous les moindres coutures. J’ai fini par déboutonner entièrement sa chemise. Anna avait une poitrine magnifique, d’une très belle taille, et encore sagement enveloppée dans son soutien-gorge en dentelle grise.
— How did you... know what... I was doing ? I bel... I believe you have...
Je lui ai à nouveau fait face un instant, admirant le tableau qui s’offrait devant moi. J’aimais particulièrement voir le tissu gris de sa culotte devenir plus humide et s’assombrir. Je souriais, un brin sadique, en l’entendant lire de façon de plus en plus anarchique.
— ... this acciden... tal souven... souvenir becomes... of... impor... importance. Let... let me... hear... — Ça va, Anna ? lui ai-je demandé.— Je... J’ai envie de jouir, Monsieur.— Pas tout de suite. Je te dirai quand tu pourras. Continue ta lecture.
Tant bien que mal, Anna s’est replongée dans la lecture, tandis que je replongeais ma main entre ses cuisses pour augmenter l’intensité du vibromasseur.
— Ooooh, Monsieuuur, a-t-elle gémi.— Continue la lecture.— I think... al... also that the... pro... probab... bility is... is in...
Oh, Monsieur s’il vous plaît !
— Continue.
Anna n’en pouvait plus. Ses mots étaient de plus en plus incohérents. Sa culotte était de plus en plus trempée. Je savais qu’elle n’en avait plus pour très longtemps.
Je me suis levé à nouveau pour aller me mettre dans son dos.
— I should... guess... that to... to be the Som... the Some... Something H... Hunt...
Mes mains se sont posées sur ses épaules, et je l’ai sentie frémir. Puis elles ont glissé, lentement, sur sa poitrine, puis son ventre, puis ses hanches. J’ai attrapé le vibromasseur, et j’ai mis l’intensité au maximum.
— Aaaaah ! Mon... Monsieur, s’il vous plaît !— Keep reading, Anna.— Ooooh... « Really, Wat... Watso, you... you... exc... you... »
Mes mains sont remontées à nouveau sur sa poitrine, et j’ai délicatement fait sortir ses seins de son soutien-gorge. J’ai joué un instant avec ses deux beaux globes de chair, je les ai malaxés, j’ai titillé ses pointes, érigées par le plaisir. Elle ne lisait plus. Les mots qui sortaient de sa bouche étaient inaudibles, et se rapprochaient plus du gémissement qu’autre chose. J’ai décidé de la libérer. Gardant l’un de ses seins dans ma main, j’ai posé ma deuxième contre sa bouche, et je me suis penché pour lui chuchoter à l’oreille :
— Now you can cum, Anna. Jouis, vas-y.
Je n’ai pas eu à le répéter. J’ai senti son corps se tendre d’un coup, puis trembler comme une feuille. Elle a poussé de petits gémissements un peu plus aigus, et je me suis félicité d’avoir eu l’idée de plaquer ma main sur sa bouche. J’ai éteint le vibromasseur, et je l’ai relâchée au bout d’une minute, quand son corps a cessé de bouger.
— Monsieur, a-t-elle dit alors que je massais toujours son sein, c’était trop dur de se retenir.— Tu as été parfaite, Anna, je suis fier de toi.— Merci Monsieur.
Je l’ai lâchée pour à nouveau lui faire face. Elle était belle. Ses joues avaient rosi, sa poitrine montait et descendait encore au rythme de sa respiration, sa culotte était tâchée de mouille. Elle était vraiment magnifique. J’ai regardé ma montre, me rendant compte qu’il ne nous restait que moins de dix minutes avant la fin du cours.
— Good work today, Anna ! lui ai-je dit en rangeant mes affaires.— Thank you Sir.— Give me your panties.
Sans un mot, elle s’est levée, et a fait glisser le sous-vêtement trempé le long de ses jambes, avant de me le tendre. J’ai attrapé la culotte, touché le tissu trempé de plaisir, gluant. Je regardais Anna droit dans les yeux, et m’amusais de la voir si gênée. J’ai jeté sa culotte sur son lit et me suis approché d’elle. Deux doigts ont glissé entre ses jambes, puis sur son sexe encore brûlant et trempé. Je ne l’ai pas lâchée des yeux. J’ai poussé mes deux doigts à l’entrée de son sexe, puis les ai léchés. Sans jamais cesser de la regarder.
— Delicious, ai-je seulement dit. Je te laisse le livre, lis les deux prochains chapitres pour la prochaine fois, on travaillera dessus.— D’accord Monsieur.
J’ai pris mes affaires et suis sorti de chez elle. Je n’avais même pas pensé à moi dans cette histoire, mais je bandais comme un fou, et j’avais hâte d’être chez moi.
°°°
COURS N°5
Comme la semaine passée, j’avais envoyé mes instructions à Anna par SMS. Jupe et chemisier obligatoires, et rappel des devoirs à faire. Comme la semaine passée, j’avais eu beaucoup de mal à patienter jusqu’au samedi matin, et j’ai eu recours de nombreuses fois à la masturbation afin de relâcher un peu la pression.
Le samedi, j’étais comme d’habitude devant la résidence d’Anna, sonnant au 5C. Mais ce samedi, personne n’a répondu. Pensant qu’on ne m’avait peut-être pas entendu, j’ai sonné une seconde, puis une troisième fois, et enfin, la grille s’est ouverte. Une fois arrivé au 5e étage, ce n’est pas la mère d’Anna qui m’a ouvert, mais Anna elle-même. Elle avait les cheveux en pagaille, l’air encore tout endormi. Visiblement, elle venait de se réveiller.
— Désolée Monsieur, m’a-t-elle dit, confuse. Ma mère n’est pas là et du coup, j’ai pas réussi à me réveiller.— Tu n’es pas en tenue, ai-je répondu en la voyant en legging et tee-shirt large.— Je sais, j’ai pas eu le temps, j’ai enfilé le premier truc que j’ai trouvé et...— Allons dans ta chambre.
Debout à côté de son bureau, Anna ne faisait pas la fière. Elle regardait ses pieds, honteuse, tandis que je m’asseyais sur son lit.
— Tu sais ce qui se passe quand on obéit pas ?— Euh... Non ?— Réfléchis.— On... On est puni ?— Je savais que tu étais une fille intelligente. Viens te mettre sur mes genoux.
Je n’ai pas eu besoin de lui dire comment je voulais qu’elle se mette. D’elle même, elle s’est penchée, posant son ventre sur mes cuisses. Mes mains se sont posées sur le bas de son dos, dans le creux de ses reins. L’une est remontée doucement le long de sa colonne vertébrale, l’autre est déjà descendue. Sur son fessier, délicieusement mis en valeur par son legging. Pendant une minute, je me suis contenté de la caresser, j’ai passé mes doigts doucement d’une fesse à l’autre. Puis je lui ai envoyé une claque.
Anna s’est mise à couiner, à se cabrer, surprise par la fessée. Je l’ai maintenue en position avec ma main sur son dos, et j’ai envoyé une deuxième claque. Même réaction de la part d’Anna. Trois claques supplémentaires sont tombées sur son derrière, avant que je n’attrape l’élastique de son legging, sous lequel elle ne portait pas de culotte, et le tire vers le bas.
L’envie de la toucher étant trop forte, j’ai passé mon doigt sur la peau nue de ses fesses. Le contact était électrisant ! Je l’ai claquée à nouveau. Une dizaine de petites claques sur son joli derrière, qui ont suffi à faire lentement rosir sa peau. Anna couinait toujours, et ses gémissements de petit animal m’excitaient terriblement.
Je me suis arrêté de la fesser pour passer mes doigts entre ses cuisses. C’était trop tentant. Je n’ai pas été si surpris que ça de trouver son sexe humide. Mes doigts se sont glissés entre ses lèvres, puis sont remontés jusqu’à son clitoris, faisant gémir Anna d’une autre manière. Puis je l’ai fessée à nouveau. Son derrière rougissait à vue d’œil.
Ma main, ainsi, alternait entre claques sur ses fesses, et caresses de son sexe qui coulaient de plus en plus. Je ne savais plus si les gémissements d’Anna étaient des plaintes dues à la fessée ou des gémissements de plaisir. Je me suis arrêté quand j’ai senti son corps frémir un peu trop alors que je caressais son clitoris. Je ne comptais pas la faire jouir. Pas encore.
— Debout, lui ai-je dit.
Anna s’est relevée lentement, massant ses fesses endolories. Son legging était encore baissé à mi-cuisses, mais son tee-shirt long était retombé et cachait délicatement son intimité. Je n’avais pas envie de la faire travailler, aujourd’hui. J’avais juste envie d’elle.
— A quelle heure revient ta mère ? ai-je demandé à Anna.— Vers quatorze ou quinze heures, je crois. Pourquoi ?— Ça nous laisse un peu de temps pour travailler alors. Enlève tes vêtements s’il te plaît.
Un peu hésitante, Anna a fini par faire glisser son legging à ses chevilles, puis a soulevé son tee-shirt. Entièrement nue, elle a innocemment caché son sexe et sa poitrine avec ses mains. J’ai trouvé ça mignon. Pourtant, j’avais déjà vu son anatomie, je l’avais vue jouir. Mais elle se retrouvait là, nue, sans défense. Sourire aux lèvres, je me suis approché d’elle, et j’ai pris ses bras pour les mettre le long de son corps. Je voulais la voir. Voir ses seins, lourds et fiers. Voir son sexe, entièrement épilé, encore légèrement brillant d’envie.
— You are a beautiful girl, Anna, ai-je dit en la regardant droit dans les yeux.
Puis je lui ai donné le livre que je lui avais dit de commencer à lire et qui traînait sur son bureau, avant de m’assoir sur le lit, face à elle. Tout en la regardant dans les moindres détails, je lui ai demandé si elle avait des questions sur ce qu’elle avait lu. Elle m’en a posé deux ou trois, auxquelles j’ai répondu, en bon professeur. Mais en moins bon professeur, je dois admettre que je n’étais pas vraiment concentré sur ses erreurs de syntaxe, mais plutôt, sur ce corps nu qui se présentait à moi.
— Now please keep reading. Chapter 3.— D’accord, a répondu Anna en ouvrant le livre. Hmm. « I confess at these words a shudder passed through me... »
Si au début, je l’ai écoutée lire, essayant de retenir ses fautes de prononciation ou les mots compliqués sur lesquels on pourrait travailler ultérieurement, très vite, mon esprit s’est focalisé à nouveau sur son corps. Lentement, je suis venu poser ma main sur sa hanche pour la caresser. Anna s’est arrêtée de lire, mais je lui ai dit de continuer.
— The marks were some twenty yards from the body and no one gave them...
Ma deuxième main est allée se poser sur son autre hanche également, et doucement, tandis qu’elle lisait, je l’ai tirée vers moi, jusqu’à ce que son sexe soit à quelques centimètres de mes yeux. Mes mains toujours sur elle, j’ai approché mon visage. Sentant mon souffle sur elle, Anna s’est arrêtée de lire, mais je lui ai soufflé de continuer.
— ... not actually raining ? No. What is the Alley like ? There are two lines of...
Oooooh...

Je venais de poser ma bouche sur son sexe. J’avais été incapable d’y résister.
— Keep reading, Anna, lui ai-je dit alors que mes lèvres étaient collées aux siennes.— Oh... OK, Monsieur. « There are two lines of old yew hedge, twelve feet high and... im... impenetrable... »
Ma langue fouillait maintenant entre ses lèvres tandis qu’elle essayait, tant bien que mal, de poursuivre la lecture. Et j’étais prêt à parier qu’elle n’avait aucune idée de ce qu’elle était en train de lire. Lorsque ma langue a commencé à titiller son clitoris, alors, la lecture a cessé, et les seuls sons sortant de la bouche d’Anna étaient ses habituels petits gémissements. Très vite, elle a carrément lâché le livre pour venir glisser ses doigts dans mes cheveux. Et très vite, j’ai lâché ses hanches pour venir glisser deux doigts dans son sexe. Les gémissements sont devenus de petits cris, et il n’a fallu qu’une minute avant qu’Anna se cambre, et jouisse contre ma bouche. Je ne l’ai pas lâchée pour autant, j’ai avalé tout son jus dégoulinant de son sexe directement dans ma bouche.
Son clitoris était devenu ultra-sensible, si bien que lorsque j’en approchais avec ma langue, Anna, toujours les mains dans mes cheveux, me repoussait en me suppliant à coups de timides « Monsieur, s’il vous plaît... Monsieur... ».
J’ai fini par la relâcher, et Anna s’est reculée légèrement, me laissant tout le loisir de l’observer. Elle était divinement belle. Ses joues rosies par l’orgasme, sa poitrine se soulevant encore au rythme de sa respiration saccadée, son sexe qu’elle ne cachait plus et qui brillait encore de plaisir.
— Oh, a-t-elle fait soudainement, Monsieur...
Elle avait les yeux braqués sur mon entrejambe. Je ne m’en étais pas rendu compte, mais je bandais comme un fou, et mon érection était bien visible au travers de mon pantalon.
— Laissez-moi m’occuper de vous, Monsieur, m’a-t-elle alors dit en se mettant à genoux face à moi.
Je n’ai pas eu le temps de lui dire quoi que ce soit, et d’ailleurs je n’en ai pas eu envie. Je l’ai regardée défaire ma ceinture, lentement, consciencieusement, puis faire sauter le bouton de mon jean, puis les deux autres. Elle a ensuite pris le temps d’observer mon boxer déformé avant de tirer dessus et d’en faire sortir mon sexe bandé. Je sais que c’est tout à fait futile, mais je n’étais pas peu fier des proportions de mes attributs. Si j’avais quelques complexes physiques, comme tout le monde, mon sexe n’en faisait pas partie. Et je me suis senti flatté en voyant l’air surpris, positivement surpris, d’Anna quand elle l’a découvert.
Je l’ai laissée faire, et rapidement j’ai senti ses doigts fins se poser sur mon membre. Elle me caressait avec beaucoup de précautions, très lentement. Puis à peine plus vite, sa main saisissant à présent mon sexe. Sa masturbation était douce, j’étais comme sur un nuage. Mes yeux se sont instinctivement fermés, et c’est alors que j’ai senti ses lèvres sur mon gland. Douces, comme ses doigts. J’ai poussé un grognement quand sa langue s’est mêlée à la danse. Toujours par réflexe, j’ai posé ma main sur sa tête, glissé mes doigts dans ses cheveux. Anna y a vu une invitation à en prendre plus dans sa bouche, et j’ai senti ses lèvres glisser lentement sur la colonne de chair. J’ai été surpris de la voir descendre si bas, de voir mon sexe disparaître si profondément dans sa bouche. Anna savait y faire, il n’y avait aucun doute dessus.
Pendant de longues minutes, j’ai regardé sa tête monter et descendre sur mon sexe, qu’elle prenait jusque dans sa gorge, écrasant son nez dans mes poils pubiens, et me soutirant par la même occasion un grognement animal de plaisir. C’était bon. Beaucoup trop bon. Je savais que je n’allais pas pouvoir me retenir très longtemps encore, alors j’ai lentement tiré sur les cheveux de ma jeune élève, lui indiquant que j’atteignais bientôt le point de non-retour. Je l’ai vue lever les yeux vers moi, et garder mon gland en bouche avec un sourire. J’ai juste senti sa langue jouer avec mon sexe, et ça a suffi pour me faire chavirer. Les mains crispées dans sa jolie chevelure blonde, j’ai éjaculé dans sa bouche en grognant. Quand j’ai rouvert les yeux, Anna continuait à sucer mon gland tandis qu’un filet de sperme coulait jusqu’à mes testicules.
C’est à ce moment précis que nous avons entendu la porter d’entrée s’ouvrir puis claquer. Nos regards se sont croisés, et après une seconde de panique, nous nous sommes activés. Anna a lâché mon sexe, avalant au passage tout ce qu’elle avait dans la bouche d’une traite, et s’est mis à la recherche de ses vêtements, en boule au pied de son lit. De mon côté, je me suis relevé, rangeant mon sexe dans mon pantalon, remettant un peu d’ordre dans ma chemise.
— Ta mère ne devait pas revenir plus tard ? ai-je demandé.— Si, c’est ce qu’elle m’avait dit, je ne comprends pas, désolé !
Les pas se rapprochaient dans le couloir. Dans un dernier réflexe, j’ai sorti quelques affaires de mon sac pour créer l’illusion, et je me suis assis à table. La porte de la chambre d’Anna s’est ouverte quand celle-ci enfilait un sweat-shirt pour couvrir ses seins.
— Bonjour Marc, m’a dit la mère d’Anna. Désolé, j’ai dû partir, j’espère que vous n’y avez pas vu d’inconvénient.— Pas de soucis Madame, cela ne nous a pas empêchés de travailler, ai-je répondu sur le ton de la plaisanterie.— Anna, a-t-elle continué, j’ai essayé de te joindre pour te dire que je rentrais, mais je suis tombée sur ta messagerie.
Tout s’expliquait. La mère d’Anna nous a laissés tranquilles pour nos dix dernières minutes de leçon, durant lesquelles nous avons surtout repris nos esprits. C’était moins une ! Au moment de partir, je me suis rapproché d’Anna, posant ma main sur sa hanche, puis sa fesse.
— On a eu chaud, ai-je dit. Je m’arrangerai pour que ça n’arrive plus. Je t’enverrai tes instructions dans la semaine.— D’accord Monsieur.
Je n’ai pas pu m’en empêcher, je l’ai embrassée, remontant ma main sous son sweat-shirt pour saisir l’un de ses seins, glissant ma langue dans sa bouche qui avait encore le goût de mon plaisir.
— Bon week-end, Anna.
Et je suis parti.
°°°
COURS N°6
Le matin du sixième samedi, j’étais allongé dans mon lit, et repensais à la relation que j’avais commencé à construire avec Anna. Une relation, il va sans dire, absolument pas professionnelle. Déontologiquement immorale. Merveilleusement perverse. Je me suis levé pour aller me faire un café. Pour une fois, j’ai pris mon temps pour déjeuner, en boxer sur mon balcon. Car aujourd’hui, je n’allais pas aller chez Anna. Non. Aujourd’hui, Anna allait venir chez moi.
J’avais réussi à convaincre sa mère, deux jours plus tôt.
— Il y a eu une fuite d’eau chez moi, lui avais-je dit, et l’ouvrier ne peut passer que samedi, mais il ne m’a pas donné d’heure. Si cela ne vous dérange pas, je peux prendre Anna chez moi pour sa leçon. J’ai un bureau, de l’espace, on y travaillera aussi bien que dans sa chambre.
C’était faux, bien sûr. Pour le plombier, comme pour le bureau spacieux. Mon appartement était minuscule. Mais la mère d’Anna n’y avait vu que du feu. Je crois, sans vouloir paraître prétentieux, que j’avais fait bonne impression, et que j’aurais pu emmener sa fille n’importe où, elle me faisait confiance. Un bon point pour moi.
Du coup, vers onze heures, j’ai entendu l’interphone sonner, et j’ai ouvert la grille de l’entrée quand j’ai entendu la voix d’Anna. J’avais tout de même pris la peine de m’habiller, un pantalon en toile et une chemise dont j’avais retroussé les manches, la chaleur étant encore au rendez-vous ces jours-ci. En ouvrant ma porte d’entrée, je m’attendais à voir la mère d’Anna qui l’accompagnerait, au moins pour savoir où sa fille mettait les pieds, mais visiblement, elle n’était vraiment pas méfiante.
— Bonjour, m’a dit Anna avec un petit sourire en coin.
Sans attendre plus longtemps, j’ai posé ma main sur sa nuque pour la tirer vers moi, puis ai posé ma bouche contre la sienne. J’ai sucé sa lèvre un instant, glissé ma langue contre la sienne, et seulement après, lui ai dit bonjour.
— Désolé, m’a-t-elle dit alors que je la regardais de haut en bas, j’ai voulu mettre la tenue réglementaire, mais ma mère a piqué une crise, elle ne voulait pas que je sorte comme ça. Du coup, j’espère que ça vous va, comme je suis...
Bien sûr que ça allait. Anna avait simplement remplacé la jupe par un petit short en jean, assez court, qui moulait son derrière à la perfection. En haut, la chemise avait été mise de côté au profit d’un tee-shirt court, remontant au-dessus du nombril, et assez moulant pour bien mettre sa poitrine en valeur. J’étais étonné que sa mère ait préféré cette tenue à l’autre. Celle-ci était sûrement encore moins sage que la première.
Je suis passé dans le dos d’Anna tandis qu’elle posait son sac de cours sur la chaise à côté du canapé. Sans plus attendre, mes mains se sont posées sur ses hanches, sont remontées le long de ses cotes, et son passées devant pour glisser sous son tee-shirt. Comme je l’avais deviné, elle ne portait pas de soutien-gorge, mes doigts ont alors pu s’amuser un peu avec sa poitrine, avant de faire remonter son tee-shirt au-dessus de sa tête. Puis j’ai fait pareil avec son short, qui est rapidement tombé à ses chevilles. Sa petite culotte, rose, en dentelle légère, avec un petit nœud sur l’avant, était absolument mignonne, et j’ai décidé de la laisser en place pour le moment.
C’est donc en culotte et en baskets que je lui ai ensuite fait visiter l’appartement. Le salon, la cuisine, les toilettes et la salle de bain. Puis, devant la porte de la chambre, je l’ai regardée avec un sourire et lui ai dit :
— Voilà où nous travaillerons.
J’ai poussé la porte, laissant à Anna le soin de découvrir mon très modeste cocon. La plupart de la pièce était remplie par mon lit King Size, où la couette confortable et les multiples coussins étaient un appel à la sieste. Un peu plus loin, il y avait effectivement mon bureau, mais il était très petit, et surtout encombré d’un milliard de papiers. Un peu plus au fond encore, un petit dressing, et sur la gauche, à côté du lit, une fenêtre donnant sur la cour de l’immeuble.
— Mettons-nous au travail, ai-je dit à Anna. Va t’assoir sur le lit.
Élève modèle, Anna s’est exécutée, et je me suis placé devant elle.
— Tu vas être une bonne élève, Anna ?— Oui Monsieur.— Obéissante ?— Oui Monsieur.— Mets tes mains dans tes dos et ne les bouge pas.
Calmement, j’ai défait les boutons de mon pantalon, puis glissé ma main dans mon boxer pour en sortir mon sexe. Je bandais déjà à moitié. L’idée même de retrouver Anna ici ce jour-là m’avait énormément excité, et malgré les deux orgasmes que je m’étais infligés avant qu’elle n’arrive, j’étais encore dans un état d’excitation intense. Mon sexe à quelques centimètres d’elle, j’ai posé mes mains sur son visage, dans ses cheveux. Je la caressais lentement, du bout des doigts.
— Tu n’imagines pas comme j’espérais pouvoir te faire venir ici, ai-je dit à voix basse. Toute la semaine, je n’ai fait que penser à toi, là, dans ce lit. J’ai pensé à ton corps, à ta bouche... Anna, ouvre ta bouche...
Anna s’est à nouveau exécutée, et j’ai doucement posé mon sexe contre ses lèvres. Ses yeux dans les miens, elle a sorti sa langue, commençant à jouer avec mon gland. Puis, les deux mains sur le haut de son crâne, j’ai poussé, lentement. Très vite, je me suis senti parfaitement à l’aise dans la chaleur humide de sa bouche. Je bandais beaucoup plus fort, à présent, et mon sexe, prenant toute la place, faisait tousser Anna. Instinctivement, je me suis retiré pour la laisser respirer, mais sa bouche ouverte, sa langue pendue, ses yeux rivés sur mon sexe m’ont incité à y retourner aussitôt.
J’ai poussé à nouveau, glissé le long de sa langue offerte, et cette fois-ci, ne me suis pas arrêté quand elle s’est remise à tousser. Je l’ai pénétrée jusqu’à être dans sa gorge, jusqu’à coller mon corps contre son visage. Je me suis retiré pour, tout de même, la laisser respirer, et je l’ai trouvée absolument ravissante. Quelques filets de salive reliaient mon sexe tendu à ses lèvres. La luxure lui allait si bien...
Pendant près de dix minutes, je me suis amusé à pénétrer sa bouche, profondément, les mains posées sur son crâne, jouant avec ses cheveux. Anna continuait de tousser, crachant parfois un peu de salive, qui coulait ensuite sur sa poitrine. Mais elle gardait les mains dans le dos, sagement. J’ai dû m’arrêter, à contrecœur, sentant arriver un orgasme que je voulais repousser le plus longtemps possible.
— Anna, ai-je dit le souffle un peu coupé, tourne-toi et grimpe sur le lit maintenant.— Oui, Monsieur.
Anna s’est mise à genoux sur le matelas, dos à moi, les mains toujours dans le dos. Je l’ai regardée un moment, j’avais envie de passer ma main sur sa colonne vertébrale, dans le creux de ses reins, sur ce si joli fessier. Je l’ai seulement poussée lentement vers l’avant, la forçant à poser sa tête sur la couette, les fesses toujours relevées. J’ai posé ma main dessus. Difficile d’y résister plus longtemps. J’ai glissé mes doigts sur sa dentelle, sentant la chaleur de son entrejambe. Incapable d’attendre encore, j’ai tiré sur l’élastique, découvrant ses orifices, et une belle tâche humide sur le gousset de sa culotte. Visiblement, Anna était aussi excitée que moi, et ça m’excitait davantage.
Je me suis agenouillé derrière elle, et j’ai fourré mon visage entre ses cuisses. Ma langue, gourmande, s’est faufilée entre ses lèvres, j’ai léché son jus, bu son nectar. Mais sa culotte était dans le passage, alors je l’ai baissée, et j’ai écarté ses fesses pour pouvoir y replonger la tête. J’ai passé un long moment à la lécher, glisser mes doigts et ma langue en elle, aller jusqu’à son clitoris pour la titiller et la faire couiner. Quand j’ai estimé qu’elle était sur le point de jouir, quand ses couinements sont devenus des grognements et que son corps s’est mis à trembler, j’ai décidé d’arrêter. Anna a grogné, de mécontentement cette fois, et je me suis contenté d’envoyer une petite claque sur son cul.
— Ouvre plutôt le tiroir de la table de nuit et donne-moi un préservatif.
Obéissante, Anna s’est exécutée, et m’a regardé sortir le latex de son emballage. Puis elle s’est remise en position, à quatre pattes devant mes yeux, mais j’avais d’autres plans.
— Retourne-toi, lui ai-je ordonné en claquant à nouveau ses fesses. Je veux te regarder dans les yeux quand je vais te prendre pour la première fois.
Anna s’est allongée sur le dos. Je l’ai regardée, ses joues roses, ses cheveux blonds en bataille, sa poitrine montant et descendant à toutes vitesses. J’ai d’abord retiré sa culotte, encore baissée à mi-cuisses, et j’ai attrapé ses jambes, les ai ouvertes en grand, puis ai plié ses genoux. Son sexe, ouvert face à moi, trempé de désir, était irrésistiblement beau, et j’y ai glissé le mien. Anna s’est mise à gémir lentement tandis que j’entrais en elle, et je l’ai regardée ouvrir sa jolie bouche en grand.
Une fois au fond d’elle, j’ai commencé à aller et venir. Lentement d’abord. Puis progressivement, j’ai accéléré le rythme. J’ai fini par la prendre avec force et vigueur. Anna couinait de plus en plus fort, tandis que je baladais mes mains sur ses cuisses, sur son ventre, ses seins, dont j’aimais titiller les pointes. Je l’ai même entendue gémir un peu plus fort quand mes doigts sont venus se serrer sur sa gorge. Je n’avais cessé de la regarder droit dans les yeux depuis le début, mais son regard à elle, à présent, était dans le vide. Je me suis finalement approché d’elle, et l’ai embrassée.
— Touche-toi, lui ai-je dit sans m’arrêter de la pénétrer, tu vas te faire jouir pendant que je te baise.— Ou... Oui, Mo... Monsieur.
J’ai alors senti sa main se glisser entre nous deux, et s’activer sur son clitoris. Je suis resté à quelques centimètres de son visage, je voulais être au plus près de son visage quand elle atteindrait l’orgasme. Ce qui n’a pas tardé, d’ailleurs. Je l’ai vue fermer les yeux une ou deux minutes plus tard, son visage est devenu plus rouge, sa mâchoire s’est serrée. J’ai senti son corps se tendre, puis un éclair l’a traversé, et Anna s’est mise à crier. De petits cris aigus, mais tellement excitants. Tellement excitants d’ailleurs que j’ai eu envie de jouir à mon tour.
Je me suis retiré au tout dernier moment, et d’un geste vif, j’ai retiré la protection de latex. J’ai éjaculé à ce moment-là. Mon sperme a jailli d’un coup, violemment. J’ai éclaboussé sa main, encore collé à son sexe, mais aussi son ventre, ses seins, jusqu’à son cou. Les yeux clos, la bouche encore entrouverte, arrosée par mon plaisir, je l’ai trouvée terriblement belle. Je me suis penché à nouveau sur elle pour l’embrasser, avant de l’inviter à venir prendre une douche avec moi.
Il restait encore vingt minutes avant que sa mère n’arrive pour la chercher, et nous en avons passé quinze sous l’eau. Nous étions trop bien pour écourter. L’eau chaude coulait sur nos corps, nettoyant les traces de notre union, mais je n’ai pas pu m’empêcher de glisser encore mes doigts sur ses seins, dans les replis de son sexe, et même jusqu’entre ses fesses, sur son petit trou. Peut-être un peu plus tard, me suis-je dit à ce moment-là.
— Monsieur, m’a dit Anna alors qu’elle se rhabillait dans la chambre, j’ai encore envie...— Tu vas devoir attendre, j’en ai bien peur.— Pourquoi ? On pourrait se voir dans la semaine...— Non, tant que tu auras des cours avec moi, je ne te verrai que pour ces cours. — Mais j’ai envie, a-t-elle insisté en faisant la moue.— Anna, sois déjà heureuse que je te laisse te toucher la semaine.— Oh...
L’interphone a sonné à ce moment-là.
— Je vous l’envoie, ai-je répondu à la mère d’Anna qui venait chercher sa fille.
Avant qu’elle ne quitte l’appartement, j’ai plaqué Anna contre la porte d’entrée, et l’ai embrassée fougueusement en glissant ma main dans son short et sa culotte. Sa fente était encore tout humide, et je savais que ce n’était pas à cause de la douche.
— On n’a pas travaillé aujourd’hui. Pas ton anglais, en tout cas. Mais je vais t’envoyer des devoirs par SMS. — Je ferai tout ce que vous voulez, Monsieur.
Cette fois-ci, c’est elle qui m’a embrassée, avant de sortir de chez moi et dévaler les escaliers.
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