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Professeur particulier

Chapitre 3

Cours n°7 & n°8

Hétéro
COURS N°7
Toute la semaine, j’avais fait monter un peu plus la pression. La journée, j’envoyais des textos à Anna, des textos pour le moins équivoques, dans lesquels je lui disais ce que je voulais lui faire, dans quelle position, à quel endroit. Ni elle ni moi n’y croyions, mais j’écrivais ces messages en anglais et faisais passer ça pour des devoirs. Dans le même temps, je lui disais d’y répondre, toujours en anglais, en me racontant ce qui la faisait mouiller.
Puis, le soir, je la chauffais un peu plus encore. Là, je l’appelais. Je lui parlais en anglais et lui disais de se masturber au son de ma voix. C’était tellement excitant de l’entendre gémir, d’entendre les sons humides de ses doigts sur son sexe, que je finissais par me masturber aussi. Mais je ne la laissais pas jouir. Elle grognait, mais je ne cédais pas. Je lui demandais seulement d’aller dormir après m’avoir envoyé une photo suggestive d’elle.
Et ainsi tous les jours de la semaine.
Autant dire que lorsque je suis arrivé chez Anna le samedi matin, elle ne tenait plus. Elle a attendu que sa mère soit partie de la chambre pour se jeter contre moi, frottant son corps contre le mien, me suppliant de la prendre et de la faire jouir. C’était tentant ! Surtout qu’elle avait fait attention à remettre sa tenue d’étudiante modèle, jupette et chemisier. Mais je me suis retenu. Ça l’a rendue folle, mais je lui ai simplement dit d’aller s’asseoir à son bureau.
Puis nous avons commencé à travailler, comme si de rien n’était. Bien sûr, je prenais bien soin d’entretenir cette tension qu’il y avait en elle. Je la frôlais tandis qu’elle travaillait sur des exercices de grammaire que je lui avais donnés. Je posais mes mains sur ses épaules, sur son cou. Je m’approchais d’elle pour vérifier son travail, chuchotais les réponses à son oreille, mon souffle sur sa nuque la faisant frissonner.
— Monsieur, m’a-t-elle dit d’une voix tremblante, s’il vous plaît... J’ai envie que vous me preniez... Je n’en peux plus...— Continue ton exercice, Anna.
Elle s’est résignée à continuer, tandis que, toujours derrière elle, je glissais mes mains le long de son corps, jusqu’à ses cuisses, que j’ai écartées en grand. Comme elle s’arrêtait d’écrire, j’ai dû lui rappeler qu’elle devait continuer à travailler. Ma main avait déjà glissé sous sa jupe, et mes doigts s’activaient contre le tissu trempé de sa culotte. Penché au-dessus de son épaule, je voyais bien qu’elle avait de plus en plus de mal à écrire. Elle a cependant lâché son stylo quand j’ai glissé mes doigts sous le coton de son sous-vêtement.
— Continue, Anna.— Mais Monsieur, c’est trop dur.— Continue...
Anna a repris le stylo. Je commençais à bien connaître la sensibilité de son corps. Aussi, j’évitais soigneusement son clitoris, qui ne demandait qu’à être titillé, et je concentrais mes caresses autour de son sexe, puis à l’entrée de celui-ci. A peine avais-je glissé deux doigts entre ses lèvres que ma jeune élève lâchait à nouveau son stylo, ainsi qu’un long gémissement.
— Anna, sois silencieuse, je te prie.— Pardon, mais... Aaaah...

Coupable. Je venais d’enfoncer mes deux doigts en elle. Je n’y ai fait qu’un ou deux allers-retours, avant de me retirer d’entre ses cuisses. Instinctivement, j’ai porté mes doigts englués à sa bouche, les glissant contre sa langue, jusqu’à l’entrée de sa gorge.
— Tu as gagné, Anna, ai-je chuchoté à son oreille. Je vais te baiser. Tu m’excites bien trop. Lève-toi.— Merci, Monsieur.
En un rien de temps, Anna s’était levée et me faisait face, les joues roses, mordillant sa lèvre inférieure. D’un geste rapide, je l’ai fait se retourner, puis se pencher contre son bureau. J’ai relevé sa jupe sur ses hanches, puis baissé sa culotte à ses chevilles, et me suis accroupi pour la récupérer. Le visage au niveau de ses fesses, j’ai eu du mal à résister à l’envie d’en profiter un peu, alors, j’ai juste glissé ma langue entre ses cuisses pour la goûter. Anna s’est immédiatement mise à couiner, alors, j’ai dû m’arrêter.
— Anna, ta mère est dans le salon.— Pardon Monsieur, je vais être silencieuse, promis...— Je ne pense pas non. Je crois que quelques précautions devraient être prises.
J’ai commencé par défaire ma ceinture et la retirer de mon pantalon, puis, après avoir demandé à Anna de passer ses mains dans son dos, je m’en suis servi pour les attacher. J’ai ensuite attrapé ses cheveux, et tiré doucement dessus pour qu’elle relève la tête.
— Ouvre la bouche, ai-je dit.
Anna s’est exécutée, et j’ai enfoncé sa culotte dans sa bouche. Complètement offerte, docile, elle était encore plus belle à présent. Doucement, j’ai relâché ses cheveux pour qu’elle repose sa tête contre le bureau, puis j’ai glissé mes doigts entre ses cuisses. Elle était tellement trempée que j’aurais pu pénétrer trois doigts en elle d’un seul coup. J’ai eu envie, mais je me suis retenu. Je me suis contenté de la caresser, caresser sa fente, caresser le haut de ses cuisses, caresser son petit trou. En regardant un instant vers la porte, je me suis mis à espérer que sa mère ne viendrait pas nous proposer de la citronnade. Si on nous trouvait comme ça, je passais directement par la case prison.
Ça ne m’a pas arrêté pour autant. D’une main, je suis allé fouiller dans mon sac pour en sortir un préservatif, que je me suis empressé d’enfiler. Une fois la protection en place, j’ai écarté ses cuisses, et me suis faufilé entre. Je me suis remercié d’avoir enfoncé la culotte d’Anna dans sa bouche, car à peine l’avais-je pénétrée que déjà, elle se mettait à gémir longuement.
J’y suis d’abord allé doucement, m’amusant à la pénétrer lentement, mais le plus profondément possible. Mes mains passaient sur ses fesses, montaient le long de son dos, sous son chemisier, passaient sous elle pour malaxer ses seins, redescendaient le long de son ventre, jusqu’à ses hanches, jusqu’à ses fesses à nouveau. Ses fesses étaient tellement belles. J’ai accéléré mes coups de reins en m’agrippant à ses jolies fesses.
Anna devenait de plus en plus folle, remuant son bassin pour frotter son clitoris contre le bureau, couinant de plus en plus fort. J’ai dû me résigner à me retirer avant qu’elle ne se mette à crier, ou bien que le bureau ne finisse par céder sous notre assaut. Anna a gémi à nouveau de mécontentement, et je l’ai tirée par les cheveux pour l’aider à se relever.
— Mets-toi à quatre pattes sur le lit, lui ai-je chuchoté à l’oreille en malaxant sa fesse.
Anna s’est précipitée sur son lit, se mettant en position sur sa couette défaite, au milieu de ses peluches. Pour ma part, j’ai sorti une petite enceinte de mon sac que j’ai branché à mon téléphone. J’avais l’habitude, dans mes leçons, de diffuser des conversations en anglais lors de certains exercices de compréhension. Cet enregistrement tombait à point nommé et allait, je l’espérais, dissimuler un peu les bruits que nous allions faire.
Une fois la bande-son lancée, j’ai rejoint Anna sur le lit. La tête dans l’oreiller, les mains toujours attachées dans le dos, elle avait d’elle-même écarté ses cuisses en grand, comme une invitation à la prendre de nouveau. Mais avant d’accepter cette invitation, j’ai fouillé dans sa boîte à sex-toys, qu’elle cachait dans son placard. J’en ai d’abord sorti le vibromasseur, que j’ai jeté sur le lit, mais j’ai également attrapé le plug anal. D’une taille plus que modeste, j’ai eu envie de l’essayer. Anna me regardait avec un air un peu surpris.
— Tu l’as déjà essayé ? ai-je demandé.
Incapable de répondre à cause de la culotte dans sa bouche, elle s’est contentée de hausser les épaules. « Pas vraiment », ai-je traduit.
— Tu aimerais l’essayer ?
Anna a regardé un instant le plug, puis m’a regardé, moi, et a acquiescé d’un hochement de tête. Je suis alors retourné derrière elle, et sans plus attendre, me suis accroupi, le visage entre ses cuisses. Je l’ai léchée, encore, et encore, cette fois-ci, en insistant un peu plus sur son anus. Ma langue, mes doigts s’y baladaient, décontractant lentement l’anneau étroit. J’ai fini par y glisser un doigt, préalablement enduit de sa mouille. Millimètre par millimètre, phalange après phalange, je l’ai enfoncé entre ses fesses tout en la léchant et en l’embrassant. Puis j’ai repris le plug. Comme je n’avais pas de réel lubrifiant avec moi, je me suis servi de son sexe débordant de jus, dont j’ai enduit le sex-toy. J’ai ensuite posé la pointe sur son anus, et très lentement, j’ai poussé. Anna grognait, mais restait en position, cuisses écartées, fesses relevées. Le plug était en place.
Je me suis reculé pour admirer le beau spectacle. Anna, fesses offertes et désormais comblées par un joli petit bijou, gémissait doucement. On l’entendait à peine, grâce à l’enregistrement qui tournait encore. Je savais, cependant, qu’il ne tournerait pas éternellement, et qu’il fallait tout de même que je me dépêche. Et de toute façon, je n’avais plus envie d’attendre. Mon sexe, encore dans sa protection, n’avait pas débandé, et j’avais encore plus envie de la pénétrer. En un coup de reins, j’étais à nouveau en elle, au plus profond d’elle, et Anna couinait à nouveau. Mes mains sur ses hanches, je la besognais sans retenue. Parfois, quelques fessées se perdaient, et la peau de son derrière prenait une jolie couleur.
Sentant l’orgasme pointer le bout de son nez, j’ai attrapé le vibro à côté d’Anna, l’ai mis en marche, et je suis allé le plaquer contre son clitoris. Elle s’est mise à grogner comme un petit animal, se contorsionnant dans tous les sens. Elle se retenait encore. Elle attendait l’autorisation. Alors je me suis penché vers elle, et à l’oreille, lui ai dit de jouir. Il ne lui en fallait pas plus. Son corps s’est mis à trembler plus fort encore et malgré sa tête dans l’oreiller, malgré la culotte dans sa bouche, malgré la piste audio qui tournait toujours en anglais, je l’entendais crier son plaisir. J’ai eu du mal à retenir mon plaisir également, et très vite après elle, j’ai fini par jouir à mon tour, remplissant le latex, grognant comme une bête sauvage tout près de son oreille.
Pendant une minute, je suis resté en elle, à embrasser et mordiller son épaule, son cou, son oreille. Mes mains se baladaient sur son corps et la touchaient de partout. C’était un instant de calme après la tempête. Puis l’exercice audio s’est arrêté. C’était le signal, il fallait que je m’active. J’ai commencé par retirer la culotte de sa bouche, puis j’ai défait la ceinture autour de ses mains. J’ai hésité un peu, puis me suis finalement résigné à retirer le plug entre ses fesses.
— Tu n’as pas eu trop mal avec le plug ? ai-je demandé.— Non, m’a répondu Anna désormais libre de tous mouvements, pas du tout. Il nous reste combien de temps de leçon ?— Plus ou moins dix minutes. Pourquoi ?
Anna n’a pas répondu. Elle est simplement venue se mettre à genoux face à moi, puis a retiré la capote de mon sexe qui débandait doucement. Puis elle a posé sa bouche sur mon gland. Elle a commencé à me sucer tout en me regardant droit dans les yeux. Et elle m’a avalé, centimètre par centimètre, jusqu’à coller son front contre le bas de mon ventre. Elle toussait un peu, mais s’était largement améliorée depuis nos derniers cours ! Autant dire qu’il m’a fallu moins de cinq minutes pour jouir à nouveau, cette fois dans sa gorge. J’ai bien essayé de me retirer, mais Anna ne m’a pas laissé le choix. Puis elle a lentement retiré mon sexe de sa bouche avant d’essuyer la bave au coin de ses lèvres et une larme au coin de son œil, et m’a dit :
— Je me suis entraînée avec mon gode cette semaine.— Ça se voit ! C’était parfait !— Merci Monsieur !
L’heure étant terminée, nous nous sommes tous les deux rhabillés, et j’ai rangé mes affaires dans mon sac.
— La semaine prochaine, c’est notre dernier cours, ai-je dit sur le pas de la porte de sa chambre. Je vais essayer de nous faire faire une activité qui change. Je te tiens au courant par SMS, comme d’habitude.— Oui Monsieur, merci pour tout !
Nous nous sommes embrassés, et je suis parti, saluant chaleureusement la maman qui, je l’espérais, n’avait aucune idée de ce que je faisais à sa fille.
°°°
COURS N°8
En milieu de semaine, j’ai appelé la mère d’Anna.
— Ce sera notre dernier cours ce samedi, lui ai-je dit, et les progrès d’Anna sont remarquables. J’ai rarement eu une élève aussi appliquée et motivée. Pour fêter ça, j’aurais aimé faire quelque chose qui sort de l’ordinaire, et j’avais pensé à l’emmener voir un film. Il y a un cinéma proche de chez moi qui diffuse des films en VO, non sous-titrés. Ce serait l’occasion d’améliorer encore un peu sa compréhension. Il y a une séance samedi à seize heures. Bien sûr, vous êtes la bienvenue si vous désirez être présente, je le comprendrais entièrement.
Ce coup de fil était à la fois un gros coup de poker, parce que je prenais le risque qu’elle accepte l’invitation, mais également un gros coup de bluff, puisque j’avais vu au préalable avec Anna, et je savais que sa mère n’était pas disponible à cette heure-ci. Mais la mère d’Anna m’adorait, et m’a laissé aller au cinéma avec sa fille. Je n’étais même pas sûr qu’elle ait trouvé ça étrange. Elle me mangeait dans la main, et tant mieux pour moi. Quand j’ai expliqué à Anna le programme, elle était folle de joie, et elle, comme moi, étions impatients d’être à notre leçon.
Le samedi, à quinze heures trente, j’étais déjà devant le petit cinéma. Quatre mariages et un enterrement était rediffusé à cette heure-ci, et j’avais déjà pris deux places quand Anna est arrivée, dix minutes plus tard. Elle était habillée plutôt sobrement, avec son legging et son tee-shirt long et échancré au niveau des bras, qui laissaient voir sa brassière Calvin Klein. Jolie comme un cœur, comme d’habitude. J’ai attendu d’être entré dans le cinéma pour, discrètement, l’embrasser, puis n’ai pas su résister quand elle m’a demandé si je pouvais lui acheter des bonbons avant la séance.
La salle était presque vide. C’était un tout petit cinéma, et personne ou presque n’y venait, encore moins quand il faisait un grand soleil d’été comme ce jour-là. Nous nous sommes tout de même installés au fond de la salle, dans un coin, au cas où. Une fois installée, ma main a doucement commencé à caresser la cuisse d’Anna tandis que celle-ci mangeait ses bonbons. Quand la lumière s’est éteinte et que les premières publicités ont été diffusées, je me suis penché vers elle.
— Tu as suivi mes instructions ? ai-je demandé.— Bien sûr, Monsieur.
Puis elle a posé ses bonbons, et discrètement, a baissé son legging à mi-cuisses. Puis elle a tourné ses fesses vers moi, et écarté le string Calvin Klein assorti à la brassière pour m’exhiber fièrement le plug planté dans son petit trou.
— C’est bien, me suis-je contenté de répondre en admirant le bijou.
Toute la semaine, j’avais axé mes instructions sur le travail de son anus. Je voulais qu’elle s’habitue, car je voulais, à terme, la prendre par ce trou-ci. Aussi, je ne l’avais autorisée à jouir que si elle jouait avec ses fesses en même temps, ce qu’elle n’a pas rechigné à faire. Selon ses propres dires, elle avait joui au moins deux fois par jour, et à chaque fois, avec le plug en elle. J’avais de quoi être fier.
Le film a commencé quelques minutes plus tard, et nous avons regardé les premières minutes calmement, comme deux véritables clients. Mais très vite, mes mains ont eu envie d’être baladeuses. J’ai commencé à caresser les cuisses d’Anna, puis mes doigts sont montés, et se sont finalement collés à son entrejambe, que j’ai caressé à travers. Il aura fallu moins de cinq minutes supplémentaires pour que je sente l’humidité de son sexe, même à travers le legging.
— Tu mouilles tellement vite, lui ai-je chuchoté à l’oreille.— Je sais, désolé Monsieur.— Ne t’excuse pas, j’adore ça. Tu as amené ton vibro comme je te l’ai demandé ?— Oui, il est dans mon sac.— Donne-le-moi.
D’une main, Anna a fouillé dans son sac et m’a donné le petit sex-toy vibrant. Je l’ai actionné, au volume le plus faible, avant de le glisser à l’intérieur de son string, le collant à son clitoris. Anna n’a pas pu s’empêcher de couiner de plaisir, mais heureusement, les quelques personnes présentes dans la salle n’ont pas réagi et ont continué à regarder le film.
— Contrôle-toi, ai-je dit à Anna, ou je devrai encore te bâillonner. — Pardon Monsieur.
Mais le vibromasseur était plus fort qu’elle, et malgré sa main devant sa bouche, Anna continuait de gémir. Tant que cela restait aussi peu audible, ça allait, mais quelques bruits plus forts que les autres m’ont fait dire qu’il fallait que cela cesse. J’ai retiré ma main d’entre ses cuisses, où le tissu de son legging était trempé, et en l’attrapant par la main, l’ai fait venir entre mes cuisses, à genoux par terre.
— Je t’avais dit que je finirais par te bâillonner si tu continuais, ai-je dit en défaisant la ceinture de mon pantalon.
Rapidement, mon sexe, excité, était sorti de mon boxer, et Anna, sans hésiter une seconde, l’avait pris en bouche. Alors qu’elle attrapait mon membre à sa base du bout des doigts, je lui ai dit de garder ses mains dans son dos, et j’ai attrapé ses cheveux pour prendre le contrôle. Lentement, je faisais monter et descendre sa tête entre mes cuisses. Mon sexe s’enfonçait jusqu’au plus profond de sa gorge, et je me suis dit qu’elle avait continué son entraînement à l’aide de son gode, car ses talents étaient grandissants de jour en jour. Elle n’a pas toussé ou tenté de recracher mon sexe, à aucun moment. C’en était presque dommage, j’avoue que j’aimais la voir s’étouffer légèrement en m’avalant.
J’ai pris tout mon temps, jouant avec la bouche d’Anna comme si elle était mienne, passant mes mains sous son tee-shirt pour aller caresser ses seins, titiller ses pointes. Le vibromasseur entre ses cuisses continuait son travail, et j’entendais Anna geindre doucement malgré mon sexe planté en elle. Je me suis finalement retiré lorsque j’ai senti que je me rapprochais doucement, mais dangereusement, de l’éjaculation.
— Tu as envie que je te prenne ? ai-je demandé à Anna, toujours assise entre mes jambes.— Oui Monsieur ! Oui s’il vous plaît !— Viens t’asseoir sur moi.
J’ai attrapé mon sac et en ai sorti un préservatif, que j’ai ouvert le plus discrètement possible. Dans le même temps, Anna s’est relevée et est venue s’asseoir sur mes cuisses, son dos contre mon torse. D’un geste rapide, elle a baissé son legging et son string d’un seul coup, faisant tomber le vibromasseur sur le sol, puis a pris mon sexe entre ses doigts pour le guider vers le sien. Dégoulinante de plaisir, elle n’a eu aucun mal à m’accepter en elle. Agrippée au siège devant elle, elle montait et descendait lentement sur mon sexe, gémissant à chaque pénétration.
Ma main gauche est restée sur sa bouche tout le long, afin qu’elle n’alerte personne. Ma main droite, elle, est allée se balader. Sur ses seins, son ventre, entre ses cuisses. J’ai caressé son clitoris un instant, mais voyant qu’elle devenait de plus en plus bruyante, j’ai remonté ma main sur sa hanche, puis redescendu sur ses fesses, puis entre ses fesses. Du bout du doigt, je jouais avec le plug encore planté dans son anus, et contre toute attente, cela ne faisait qu’augmenter l’intensité de ses gémissements.
— Attendez, attendez... l’ai-je entendue dire à voix basse.
Ses mouvements se sont arrêtés, et sa main est passée derrière elle. Très lentement, elle a retiré le plug d’entre ses fesses. Puis, elle a retiré mon sexe du sien. Et d’un subtil mouvement du bassin, elle est venue poser la pointe de mon sexe contre son petit trou.
— Anna, lui ai-je dit alors qu’elle ondulait lentement pour m’accepter en elle. Tu es sûre de ce que tu fais ?— Oui Monsieur, j’ai envie. Est-ce que vous pouvez juste me toucher ?
Comment dire non ? Ma main a glissé à nouveau entre ses cuisses, tandis que l’autre reprenait sa place sur sa bouche. Mes doigts se sont activés sur son sexe, la faisant de gémir de plus en plus. Anna était trempée. Mes doigts coulissaient avec une facilité déconcertante en elle, et je m’amusais à sentir mon membre la pénétrer petit à petit, de l’autre côté de la cloison entre ses deux orifices. Mais c’est sur son clito que je m’acharnais le plus. Mes deux doigts, tout juste sortis de son sexe, l’ont branlée énergiquement, et je me suis félicité d’avoir mis ma main sur sa bouche, car ses grognements de plaisir étaient de plus en plus audibles. J’ai eu l’impression que quelqu’un dans la salle s’était retourné, mais emporté par l’excitation, j’ai continué le travail.
Anna, qui allait et venait de plus en plus vite sur mon membre, a mis très peu de temps pour jouir. Ses doigts se sont crispés sur le siège devant elle, ses cuisses se sont mises à trembler. Cette fois, ses cris s’entendaient, c’était presque certain. Les contractions de son corps étaient sur le point d’avoir raison de moi, mais lorsque j’ai dit à Anna qu’elle allait me faire jouir, elle s’est arrêtée de bouger et m’a supplié d’attendre. J’ai fait de mon mieux, tandis qu’elle retirait mon sexe d’entre ses fesses, et j’ai dû redoubler d’efforts lorsque mon gland, ultra-sensible, a passé son anneau serré.
En un rien de temps, elle était à nouveau à genoux entre mes cuisses, et ses doigts retiraient le latex de mon sexe. Puis j’étais à nouveau dans sa gorge. Anna était devenue sacrément douée en si peu de temps, c’était impressionnant. Cette fois-ci, malgré tous mes efforts, je n’ai pas réussi à me retenir, et j’ai joui, abondamment, directement au fond de sa gorge. Elle s’est étouffée une seconde, mais a continué à me sucer, à avaler ma semence, comme si de rien n’était. Elle n’a lâché mon membre que lorsque celui-ci commençait à ramollir.
— Merci Monsieur, m’a-t-elle dit à voix basse, essuyant ses lèvres du revers de la main.— Tu veux rire ! Merci à toi, c’était génial !
Le sourire aux lèvres, Anna s’est relevée après avoir récupéré le vibromasseur au sol, réajustant à peu près son legging, et s’est assise à nouveau à sa place. Nous en étions au milieu du film. Nous avons passé une dizaine de minutes à nous embrasser et à nous toucher encore un peu, avant que je lui propose de quitter la salle et d’aller prendre un verre pour fêter la fin de nos séances de cours particuliers.
Nous avons été dans un café en face du cinéma, où elle a commandé un Coca, et moi une bière. Nous avons bien sûr discuté de ce que nous avions vécu ensemble.
— J’aimerais qu’on continue à se voir, si ça ne vous dérange pas, m’a-t-elle dit.— Ce serait avec plaisir, Anna. Tu as été ma meilleure élève, et de loin ! ai-je répondu en souriant. Mais parlons sérieusement. Tu te sens prête pour le bac d’anglais ?— On verra bien. Mais je pense que oui.
En y repensant, si elle réussissait son épreuve, ce ne serait sûrement pas grâce à moi. Nous avions peut-être passé quinze pour cent du temps à travailler réellement. Le reste du temps, nous l’avions consacré au plaisir.
°°°
Dix jours plus tard, je recevais un SMS de la mère d’Anna. « Je vous remercie encore pour votre travail avec Anna, elle a eu une très bonne note à son épreuve d’anglais. Par contre, elle ira quand même aux rattrapages à cause de ses notes dans les autres matières. Par hasard, donnez-vous également des cours d’histoire-géographie ? »
S’il le fallait, ce serait avec plaisir...
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