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Professeure stagiaire

Chapitre 1

Nue devant la classe

Voyeur / Exhibition
J’ai réussi à passer l’agrégation de mathématiques mais rien ne me préparait à ma première année. C’est l’année de stage qu’il faut valider pour être titularisé. Je me suis retrouvé stagiaire dans un lycée professionnel. Mes collègues de l’époque qui ont uniquement un CAPES n’aiment pas les agrégés. Ils ont donc décidé que j’aurais la classe la plus difficile de terminale : douze élèves redoublant ou triplant en situation d’échecs, que des garçons.Donner cours dans cette classe était une horreur. Je n’avais aucune autorité : avions en papier, gomme, chahut, remarques déplacées, ... Je n’en pouvais plus, je pleurais après chaque cours. Un jour, j’appris que ma seconde inspection allait avoir lieu la semaine prochaine avec cette classe.  La première avait déjà eu lieu avec cette classe et cela avait été un enfer. L’inspecteur m’avait dis que je risquai de ne pas être titularisée si je ne reprenais pas les choses en main. Rien n’avait évolué depuis. J’ai donc décidé de les prévenir et leur demander de se calmer.
— C’est pourquoi jeudi. Il faudra vous tenir correctement devant l’inspecteur.— Pourquoi est-ce que l’on doit vous obéir ? demanda Julian— Si on ne le fait pas, elle ne va pas être titularisée, répondit Mohamed.— Oui, mais on n’a rien à y gagner nous, rétorqua Julian.— Je vous en supplie, ayez pitié une fois dans votre existence. Il s’agit de ma carrière.
J’avais les larmes aux yeux. Julian ricana. Cet élève avait 22 ans et était le leader du groupe. J’en avais 24. La différence d’age était minimaliste.
— J’ai une idée. Est-ce que vous seriez prête à ajuster votre manière d’enseigner ? demanda Julian.— Qu’est-ce que vous souhaitez ? demandai-je.— Après cette inspection, que vous donniez cours à poil pour le reste de l’année ! s’exclama Julian.— C’est totalement indécent ... et impossible. Les surveillants passent pour les relevés d’appel. On peut voir depuis l’extérieur.
Ils donnèrent tous des idées à tour de rôle comme :
— Nous sommes au second, il suffit de ne pas s’approcher des vitres.— Vous n’aurez qu’à vous désaper après le passage du pion et en fermant la porte à clé.
Je déglutissais et commençait à avoir des sueurs froides. Comment en étais-je arriver à poser le pour et le contre de cette situation ? Je n’avais pas d’autres options si je voulais être titularisée.
— Je vais le faire ...
Cris de joie des élèves.
— A deux conditions. Pour le reste de l’année, vous déposerez tous vos téléphones dans mon bureau et vous ne parlerez de cela à personne.— Deal.
L’inspection s’est évidement superbement bien passée. La semaine d’après, je tremblais de toute mes jambes en allant en cours. Ils étaient tous à me regarder avec des regards lubriques. Je pris tout leurs téléphones. Dix minutes plus tard, le surveillant est passé. Il me restait une heure cinquante de cours.
— Je vais le faire. Surtout pas de cris. Nous ferrons le cours normalement.— Bien sûr.
J’avais 24 ans, aucun petit ami à l’époque et pour la première fois de ma vie, je faisais un strip tease devant un groupe d’hommes. Je suis blonde aux cheveux bouclées, j’ai un corps athlétique de danseuse. J’ai d’abord retiré mes chaussures, mon pull. Puis, j’ai déboutonné ma chemise. Mon soutien gorge blanc est apparu. J’ai ensuite retiré le pantalon. J’étais en sous-vêtements et chaussettes. En voulant retirer ces dernières, j’ai annoncé : 
— Je vais conserver mes chaussettes et chaussures parce qu’il fait froid sur le carrelage.— Faites donc mais il vous reste deux éléments à enlever.
Je me suis retourné vers le tableau. J’ai dégraphé mon soutien-gorge et poser sur la pile de vêtements. Puis j’ai baissé ma culotte. Ils me voyaient nu de dos. J’ai couvert mes parties intimes et je me suis retourné. La chaleur montait à mon visage. J’ai décidé de laisser glisser mes bras sur le côté. Ils étaient bouches bées et sans voix. J’ai enchaîné d’une voix tremblante :
— Nous allons maintenant reprendre l’exercice 4 sur les équations du second degré.
Le cours a repris. J’ai fais exactement pareil tout les cours suivants pendant les trois derniers mois. Ils étaient beaucoup plus assidus. Ils faisaient leurs exercices et posaient des questions pour que je passe dans les rangs. Que je me penche sur leur travail avec les  seins tombant dans le vide juste sous leurs yeux et une belle vue de mon sexe mouillant. D’autres profitaient d’une vue de ma croupe. Ils n’ont jamais posé la main sur mon corps et par moment, j’étais tellement excitée que j’aurais aimé qu’ils le fassent.Ils ont pleuré lors du dernier cours et m’ont offert des sous-vêtements sexy et une boite de chocolat. J’ai été titularisée et affectée dans un lycée d’une autre académie. Personne n’est au courant mais il fallait que j’en parle. Depuis, je me surprends parfois à donner cours sans sous-vêtements et m’exciter en pensant que certains élèves fantasment sur moi.
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