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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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La progression d'Amélie

Chapitre 1

SM / Fétichisme
La préparation

Comme indiqué sur le texto, je l?attendais entièrement nue dans notre salon. J?avais bandé mes yeux d?un foulard noir et fixé comme à chaque fois dans ce genre de circonstances les bracelets à mes poignets et chevilles et le collier à mon cou, ces trois objets étaient munis d?un anneau.
Depuis plusieurs semaines, je m?étais progressivement abandonnée à Sa volonté, n?existant qu?au travers de Ses envies et de Son plaisir. Cet abandon m?avait amené d?un caractère farouche et indépendant doublé d?une libido quasi inexistante à une soumission de plus en plus poussée et d?une constante envie de satisfaire Son désir. Mon plaisir et mon désir augmentaient de semaine en semaine
De même, j?avais changé toutes mes habitudes vestimentaires pour obéir à Ses ordres. Exit les tenues décontractées, jean, pull, lingerie en coton, basket... Je devais être toujours habillée de manière à être facilement utilisable (le terme était de moi) donc en robe, éventuellement jupe. Les culottes étaient prohibées sauf pendant mes règles ainsi que les soutiens gorges et les collants. Seules les bas, guêpières, corsets (j?en possédais un depuis peu) et combinaisons étaient autorisés. De même, mon sexe devait être en toute circonstances lisse, et je devais m?asseoir directement sur mes fesses quel que soit l?endroit. Je devais également me laisser pousser les cheveux, pour les couettes, nattes, chignons...
Je développais également selon Ses directives une garde robe spécifique pour notre intérieur, qui permettaient à mes fesses, mon ventre et mes seins d?être tout ou partie visible.
Je n?avais plus le droit d?acheter des vêtements quels qu?ils soient sans qu?Il les ait validés. Mais rapidement, je ne me trompais plus, je savais qu?il aimait me voir et me prendre dans des robes ajustées en haut et assez évasées en bas qui se retroussait facilement, qu?il aimait également les robes de jeune fille, à petites fleurs ou vichy. Parfois, quand je croisais les femmes de mon age, habillées à la mode, décontractées, je me trouvais particulièrement cruche dans mes robes et mes bas mais Le satisfaire passait maintenant avant tout. Lui voulait d?une part que je me sente toujours disponible, et répondant par mes tenues à Sa volonté et uniquement Sa volonté ?
La nature de notre relation était de mon fait, c?est moi qui Lui avais manifesté mon désir de devenir son esclave sexuel, et visiblement, cela représentait chez lui des envies secrètes.
Et rapidement, je me suis soumis à ses moindres désirs. Le jour où il me demanda d?enlever la petite culotte que je portais sous ma longue robe imprimée fut le premier acte de soumission auquel je me suis livré. J?avais terriblement honte de faire glisser mon slip au bas de mes chevilles, surtout que c?était plus ou moins en public, mais j?étais surtout terriblement excitée. Je me suis rendue rapidement compte que j?avais plus honte de mon désir de ne plus être qu?une chose, sa chose que de cette petite exhibition.


Je m?agenouillais donc au milieu du salon, et attendis, cuisses écartées et les mains sur les cuisses. Ce genre d?attente pouvait durer, car Il ne me précisait jamais quand Il rentrait. Je devais être disponible, à tout moment, et j?adorais cela. Alors que j?étais très pudique et farouche, je devenais petit à petit désinhibée par ma nudité, devenue au fur et à mesure une seconde nature. Nue ou presque en privé avec Lui, nue sous mes robes (tout du moins ventre découvert)
Cette fois-ci, il rentra assez vite. Je n?avais pas le droit de faire quoi que ce soit d?autre que d?attendre qu?Il m?équipe, me prenne ou me punisse, selon ses envies. Je reconnus le bruit de la chaîne qu?Il fixait habituellement au collier de mon cou (ce moment constituait toujours un ravissement pour moi, j?étais pleinement ce que je voulais être pour lui, une esclave).
Sans un mot, il fixa la chaîne à l?anneau de mon cou, puis il tira sur la chaîne pour que je me lève, sans douceur. J?obtempérais sans attendre, puis il saisit mes poignets qu?il fixa également à l?aide d?un mousqueton à l?anneau du collier. C?est à ce moment là qu?Il m?embrassa fougueusement, passant Sa main entre mes cuisses et sur mon ventre lisse, découvrant comme à chaque fois que je me retrouvais entravée un désir intense.
Sans ménagement, Il tira sur ma laisse et m?emmena je pense dans notre chambre, où Il avait installé un anneau dans une des poutres du plafond. J?allais probablement être punie, car en général, j?étais entravée à cet anneau pour recevoir le martinet ou la cravache. Il détacha les poignets de mon cou pour les rattacher dans mon dos. Puis je senti la boule en plastique d?un bâillon s?approcher de ma bouche. Je l?ouvris pour accueillir cette autre entrave. Je savais que très rapidement j?allais saliver fortement et que ma salive finirait par se répandre sur mon buste et mon ventre.
Mes poignets furent à nouveau joints dans le dos et fixés à un crochet par le mousqueton, lui-même relié çà une corde qui passait dans l?anneau. Les bracelets fixés à mes chevilles furent reliés chacun à des cordes permettant d?écarter mes cuisses et d?ouvrir mon ventre et mes fesses. Puis Il tira sur la corde, ce qui eu pour effet de me faire pencher le buste en avant, si bien qu?au bout du compte, je me retrouvais cambrée, le visage au niveau de mes fesses. Cette position, je commençais à bien la connaître et je savais qu?il adorait me voir comme cela.
Je sentis Ses doigts parcourir mes fesses et mes cuisses, probablement sur les marques laissées par ma dernière punition. J?adorais voir ces marques, elles me rappelaient que je Lui appartenais.
— Ce soir, je vais te présenter à une vieille amie, à qui tu obéiras comme à moi-même. Je vais te préparer pour que tu sois la plus belle te la plus désirable. Je vais également refaire des marques fraîches sur ton corps, pour que tu comprennes que cette nouvelle étape est des plus sérieuses et que j?attends beaucoup de toi.
Je ne pouvais pas répondre à cause de ce bâillon mais je n?avais pas le choix. Ou alors soit j?acceptais sans réserves ses nouveaux jeux, soit je partais et quittais définitivement ce statut. Il m?avait toujours dit qu?il voulait m?offrir à une femme et que j?apprenne à donner autant de plaisir à un homme qu?à une femme. Qu?il voulait me voir soumise à une maîtresse. Je n?avais aucune expérience homosexuelle mais j?acquiesçais en me disant que cela n?arriverait jamais...
Mais nous y étions. Soit je devenais bisexuelle certainement dés ce soir en acceptant que ma soumission à mon Maître ne soit plus connue que de nous deux, en me soumettant à une autre personne qui allait me demander des choses compétemment nouvelles pour moi, sois je partais.
J?avais honte car j?étais plus excitée par cette nouvelle étape dans ma déchéance et par aller encore plus loin dans Sa satisfaction que dégoûtée par être contrainte à des attouchements contre nature. Mais je savais que je me conformerais à Ses désirs.
— Je vais commencer par te faire de nouvelles marques, que ta future maîtresse puisse rapidement constater ta soumission et ton obéissance.
Il n?y avait plus de doute, j?allais être soumise à une femme. Qui ? Comment ? A quoi ressemblait-elle ? Allais-je aimer de devenir une lesbienne ? Qu?allait-elle me demander ? Comment donne-t?on du plaisir à une femme ?
Le premier coup de cravache interrompit mes pensées. En général, j?en recevais une quinzaine quand j?étais suspendu par les poignets, mais un peu moins dans cette position. C?était deux sur chaque fesse et deux sur chaque cuisse. Même si rapidement les larmes coulaient de mes yeux, mon ventre était de plus en plus brûlant. Car Il avait l?habitude de me prendre (de m?utiliser comme je me plaisait à Lui dire) une fois punie, pour compenser la douleur par du plaisir.Partout où j?avais été punie je souffrais. Les bracelets à cause des réactions à la cravache m?entaillaient les chevilles te les poignets. Pour sur j?allais avoir des marques....
tuo_54@yahoo.fr
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