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La progression d'Amélie

Chapitre 7

Inceste
Fin de journée.

Cet ensemble de collégienne allait parfaitement bien à Virginie. Ses seins étaient plus gros que les miens, ce qui fait que le chemisier était encore plus tendu et qu?on devinait très facilement la pointe de ses seins et ses aréoles. Comme elle étaient légèrement plus grande que moi, la jupe lui arrivait juste au niveau de ses genoux et la combinaison à mi cuisses.
C?est drôle, mais elle m?excitait. Comme quoi je devais être depuis toujours sensibles aux plaisirs lesbiens. Ou bien étais-je vraiment devenu un objet de plaisir, j?étais vraiment transformée...
Elle se leva et se regarda dans la glace et en faisant quelques effets, se déclara très jolie. Je me trouvais plantée là, toujours serrée dans mon corset avec les seins et le ventre à l?air, juchée sur mes talons assez hauts. Je me sentais très bête et honteuse, mais j?avais terriblement envie de glisser ma tête sous cette jupe et cet ensemble en soie, entre ces cuisses musclées gainées de blanc et ma langue dans ce ventre lisse. J?avais envie de lui lécher les seins, de l?embrasser. Mon ventre était de plus en plus chaud, ce dont Virginie s?aperçut rapidement (car je me tortillais un peu) et elle le vérifia en fouillant sans ménagement mon ventre. Je jouis instantanément, ce dont elle se rendit compte immédiatement.
— Alors comme ça c?est la bonne qui prend du plaisir dans cette maison...Je t?excite visiblement ??
Je baissais les yeux, honteuse de mon plaisir et du fait que ma Maîtresse s?en était rendue compte. Et moi je réalisais à quelle point ma condition d?esclave était maintenant ancrée au plus profond de moi.
— Vous êtes très belle et désirable, Mademoiselle.
— Mais je ne suis pas pour toi, petite gouine. Toi, tu es la bonne et tu es là pour nous servir, ton Maître et toi, et pour nous donner du plaisir. Mais là, je vais te faire passer tes errements. Tu n?es qu?une petite cochonne de bonniche et je vais te faire passer l?envie de jouir en me matant. C?est ton Maître qui profitera de moi ce soir, et tu nous regarderas, nue, entravée et attachée. Cela te remettra à ta place. Mais passons maintenant aux choses sérieuses. Dégrafe tes bas !
Je m?exécutai, et dégrafai chaque jarretelle pour faire glisser les bas au niveau de mes chevilles. J?avais le ventre noué de peur, de ce que j?allais subir. Le contraste me troublait également. Elle avait l?air tellement douce et désirable dans sa tenue d?écolière (qui n?était plus la mienne, je me faisais une raison) mais affichait une détermination à me punir sévèrement.
Une fois jambes et cuisses nues, avec les jarretelles qui pendaient de mon corset, je restais immobile, les yeux vers le sol, au bord des larmes tellement j?avais honte et peur. Virginie prolongea assez longuement le silence, puis m?ordonna de ne pas bouger, s?éloigna dans un mouvement de plis de sa jupe et revint avec le bâillon. Elle me l?installa en le serrant plus fort qu?au matin. Je n?opposai aucune résistance, sachant que je n?avais pas le choix. Je lui facilitait même la tache en ouvrant bien grand ma bouche pour que la boule puisse bien écarter mes lèvres et coincer ma langue.
Puis elle passa derrière moi et resserra fortement le corset, me forçant à respirer par saccades. Elle mesura ma taille et ajouta qu?on pourrait encore gagner quelques centimètres.... Les baleines pénétraient douloureusement dans mes chairs et les balconnets remontaient vigoureusement mes seins, provoquant aussi gène et douleur. Cette fois, les larmes m?échappèrent mais aucun son malgré cette douleur ne put s?échapper de ma bouche, le bâillon étant bien ajusté. Puis elle m?ordonna de me pencher en avant, ce qui me fut très pénible à cause du corset. Elle me pénétra à nouveau les reins mais sans aucun ménagement, avec un dispositif a priori plus gros que celui que j?avais accueilli le matin. La douleur fut courte mais insupportable, mais malgré ma volonté, je ne pus hurler ma douleur. Enfin, l?introduction du gode dans mon ventre fut presque complément indolore, et je me rendis compte que les larmes et la salive n?étaient pas les seuls liquides qui s?échappaient de mes orifices, car mon ventre était à nouveau inondé par ces contraintes et ces douleurs. C?était d?ailleurs plus des larmes de honte que de véritable douleur.
Elle passa la chaîne dans les anneaux avant et arrière du corset et la tendit à l?aide d?un cadenas. Les deux dispositifs s?insérèrent encore plus profondément en moi, m?arrachant un sursaut de douleur
Elle me ligota très fermement les poignets dans le dos. Je dus me mettre à genoux et cambrer ma croupe obturée en posant mes épaules à terre, et je reçus une série de coups de cravache qui me firent redoubler de larmes. Je ne sais pas ce qui faisait le plus mal, les coups de Virginie ou bien les baleines de mon carcan. Ou alors tout simplement la honte et l?humiliation.
Puis elle me releva sans ménagement et changea d?instrument pour passer au martinet. Elle me fouetta les seins avec application, laissant de belles zébrures rouges sur ma poitrine rehaussée par le corset. Je souffrais le martyr, mon corps n?était que douleur.
Elle me releva sans ménagement en me tirant par le bras sans toutefois me détacher les poignets. J?eu beaucoup de mal à me mettre debout, tant la douleur de la punition et du corset était intense. J?avais de gros sanglots et les larmes coulaient de mes yeux en continu.
— Cela t?a-t-il servi de leçon ?
Entre deux sanglots, je secouais la tête. A ce moment là, je me promis qu?un jour, moi aussi, je dresserais une soubrette.
— Il vaudrait mieux, car tu n?es qu?au début de tes tourments, et tu ferais mieux de rester à ta place de bonniche. C?est ton Maître ou moi qui décidons de ton plaisir. La prochaine fois que je te fouille, retient-toi jusqu?à ce que je t?autorise à jouir. Dans le cas contraire, ta punition d?aujourd?hui ne sera qu?une petite réprimande. Je vais remettre tes bas et ta robe, mais tu garderas ton bâillon. Et dans 2 heures, je resserrerais ton corset d?un centimètre. Et si tu es une gentille bonniche, tu ne seras plus fouettée de la journée. Par contre, je ne t?enlèverais tes godes que lorsque ton Maître sera rentré. OK ?
J?acquiesçais d?un signe de tête, en sanglotant un peu moins. Je suppose que ces écarts de comportement ne seront bientôt plus tolérés. Elle me détacha les poignets et se mis accroupie pour remonter mon bas gauche de la cheville vers les jarretelles. Elle saisit la partie haute, et le remonta très lentement, précédent ses mains de sa langue sur ma peau nue. Puis elle attacha le bas à ses quatre jarretelles, en prenant bien soin de le tendre très haut de le lisser, en me caressant l?intérieur des cuisses. Les sanglots firent place à des frissons, mais même si je sentais à nouveau le désir monter, je ne me laissais pas aller. Alors que je venais d?être battue comme une chienne, j?éprouvais malgré tout du plaisir à ses caresses. Alors qu?elle m?avait humiliée et qu?elle me traitait comme une moins que rien, je ne pensais qu?à mettre ma langue dans sa bouche ou dans son sexe. Mais comment avais-je pu en arriver là ? Je n?arrivais toujours pas à m?expliquer comment mon avilissement, mon renoncement à moi-même pouvait tellement m?apporter de plaisir.
Elle fit exactement les mêmes gestes sur le même rythme avec le bas droit, et une fois celui-ci fixé haut et lissé, elle toujours à genoux devant moi qui n?osait bougé, glissa sa langue entre la chaîne et les lèvres de mon sexe, passant autour du gode. J?en frissonnais mais gardait toujours de la réserve par rapport à cet orgasme.
Elle cessa son manège d?un coup, sans m?autoriser à jouir et me fit enfiler ma robe, en dégageant chaque sein (en les tirant par les pointes) pour qu?ils soient bien visibles, surtout les marques. En plus d?être humiliée et meurtrie dans mes chairs, j?étais en plus frustrée.
Je passais le reste de la journée à m?occuper de Virginie, lui faisant les ongles, lui préparant à manger, servant, débarrassant, nettoyant, repassant.... Elle me glissai fréquemment une main entre les cuisses ou sur les seins et je devais lui lécher après. Mes vêtements et dessous me faisaient souffrir et j?avais l?impression que les 2 godes ne ressortiraient jamais.
A un moment, elle m?ordonna de la regarder se caresser sans rien, puis après un gode de taille moyenne (il me semblait à peu prés équivalent à celui que j?avais planté dans les reins). Malgré les entraves, je n?avais qu?une seule envie, c?était de me caresser également, mais le souvenir de la volée de coups de cravache me faisait garder les bras le long du corps, sentant juste mon ventre s?humidifier, la cyprine coulant le long de mes cuisses et de mes bas. Alors elle m?ôta le bâillon uniquement pour que je la fasse jouir à genoux, faisant s?enfoncer un peu plus encore les baleines du corset dans mes chairs. Mais j?étais trop contente de pouvoir la lécher et lui donner du plaisir. Elle jouit avec force, en criant assez fort et je fus fière de l?avoir amenée à un tel plaisir, rôle d?une esclave sexuelle. Une fois remise, sans rien me dire, elle me réajusta le bâillon et je fis à nouveau tout pour lui faciliter la tache, heureuse d?être ce que j?étais devenue.
Elle s?en rendit compte et une fois la boucle du bâillon serré sur ma nuque, elle m?embrassa dans le cou, en saisissant les pointes de mes seins dans ses doigts.
— Tu es une bonne esclave, tu sais bien me faire jouir et tu ne te plains pas trop des tourments qu?on t?inflige. C?est bien que tu sois heureuse de ta situation, cela prouve que tu es faite pour cela, souffrir, être humiliée, utilisée. Ne plus être qu?une chose, n?exister qu?au travers de tes tourments et du plaisir que tu peux donner...
En continuant à me rappeler ma condition, elle tritura, pinça, tordit mes tétons, ce qui m?était très douloureux.
Puis dans le courant de la journée, elle m?ôta les deux godes mais refixa la chaîne, en la tendant bien à l?aide du petit cadenas, à l?intérieur de mon sexe et de mes fesse. Puis mon Maître rentra et elle se jeta dans ses bras et l?embrassa à pleines bouches. Il lui rendit son baiser en passant une main sous sa jupe (mon ancienne jupe...), saisissant ses fesses à pleines mains, jouant avec ses bas, puis tout en continuant à l?embrasser goulûment, il passait alternativement de son ventre à ses seins, puis à ses fesses, sans même m?avoir jeter un regard. Au moment où il est rentré, j?amenais à Virginie un Thé sur un plateau. Et je suis restée debout, avec mon plateau, toujours équipée du bâillon très serré (la salive coulait le long de mon cou et mouillait mes seins soutenus par le corset.) à Le regarder la caresser sous mes anciens vêtements.
Il s?arrêta et enfin me regarda. Je baissais vite les yeux et il m?ordonna de poser mon plateau. Il avait toujours Virginie dans ses bras, avec une main qui passait sous sa jupe et sa combinaison, au niveau de son ventre. J?obéissais.
— Tu vas nous regarder ! Dit il en s?approchant de moi. Il prit la laisse et me l?attacha à l?anneau de mon collier, puis se ravisa et la passa dans l?ouverture avant de ma robe, et l?accrocha à l?anneau où était déjà la chaîne qui retenait les godes. Puis il tira dessus, pour m?emmener vers la chambre, en tenant Virginie par la main. Elle lui caressait le sexe, que je devinais dur sous son pantalon. Il saisit la chaîne qui passait dans l?anneau de la poutre, y fixa les bracelets de mes poignets et m?ordonna de mettre sur la pointe des pieds. J?avais l?habitude de ce genre de posture, mais en général, c?était pour recevoir une punition, pas pour voir mon Maître prendre du plaisir avec une autre femme, vêtue de mes habits...
Une fois bien fixée à la chaîne, poignets entaillés par les bracelets et pieds douloureux, je Le vis s?approcher d?elle, la reprendre dans ses bras. Il la débarrassa de son gilet puis ouvrit le chemisier, tout en l?embrassant amoureusement. Elle se frottait à lui et lui rendait ses baisers...
Puis Il la guida jusqu?au lit et, une fois son chemisier défait, la fit s?agenouiller afin de le prendre dans sa bouche. Elle le suçait avec application, et comme Il le faisait avec moi, avant que je ne devienne la bonne, Il lui caressait les cheveux. D?un geste, Il lui signifia que la partie buccale était terminée et sans qu?il ait besoin de lui dire quoi que ce soit, elle se tourna, se mit à quatre pattes sur le lit et elle retroussa elle-même la jupe plissée, dégageant une vue imprenable sur ses fesses et, en ayant écartée sensiblement ses cuisses gainées de nylon blanc, l?entrée de son ventre.
J?avais l?impression qu?Il m?utilisait moi, tant ses gestes étaient identiques. Et j?avais l?impression de me voir, tant Virginie, habillée de mes vêtements, reproduisait les mêmes attitudes. Ils devaient coucher ensemble depuis pas mal de temps...Ainsi, Il monta sur le lit, se mit à genoux derrière elle, libéra son sexe et s?enfonça dans son ventre d?un coup. Puis Il la saisit aux hanches et la pilonna régulièrement, allant et venant dans son ventre. Virginie soufflait de plus en plus fort, puis se mit à gémir, avec de plus en plus de violence...
Je me mis à nouveau à sangloter mais ils ne le remarquèrent pas. Il se retira et la coucha sur le dos. Il baissa les bretelles de sa combinaison pour dégager ses seins et remonta la jupette sur son ventre. Elle le guida et il se remit au fond de son ventre, couchée sur elle, une main sur une fesse et l?autre qui caressait un sein. Ils s?embrassaient sans retenue et ils gémissaient très fort...Ils jouirent à mon sens en même temps et restèrent l?un sur l?autre dans l?autre (il aimait rester dans mon ventre également). Mais cette fois-là, ce fut elle qui le nettoya, qui, une fois propre, remis Son sexe qui retrouvait de la vigueur dans Son caleçon et lui referma le pantalon. Alors il se leva, détacha la chaîne qui retenait mes poignets et me prit par la laisse. Il m?ôta le bâillon et me fit m?agenouiller, sans tenir compte de mes larmes et de la douleur provoquée par le corset. Une fois à genoux, je n?attendis pas qu?il m?appuie sur la tête car Virginie avait déjà largement ouvert ses cuisses et je me mis à nettoyer son intimité de la semence de mon Maître...
— Tu vas préparer Virginie avec ta tenue d?hier !
J?arrêtais de pleurer, je voyais que cela ne servait à rien. Mais ne croyez pas que j?étais vraiment maltraitée : tout cela je l?acceptais, car nous avions convenu d?un code pour tout arrêter, et ceci dés la première véritable séance Maître/Esclave que nous avions fait. Aucun doute ne m?habitait, c?était moi qu?Il aimait et ce qu?Il me subir, la douleur que je subissais, les humiliations liées aux vêtements, à ma déchéance n?étaient là que pour éprouver mon amour pour Lui. Mais ce sont des épreuves difficiles que je subissais, bien plus que de porter des guêpières, d?être attachée ou même d?être fouettée en privé...
J?étais maintenant complètement soumise à Virginie, comme à Lui. D?être humiliée, torturée, utilisée en sa présence ou par elle m?était naturelle. Lui donner du plaisir comme je venais de le faire ne la nettoyant de ses ébats me paraissait aussi normal que de prendre Son sexe dans ma bouche.
Je la déshabillais lentement, profitant des contacts avec sa peau. Je baissais les bas avec délicatesse, un par un, pour bien caresser ses cuisses et ses mollets ? J?avais envie d?embrasser ses cuisses, et à nouveau de me retrouver la bouche collée à l?ouverture de son ventre. Puis je terminais par la jupe et la combinaison. Elle se retrouva face à moi, nue et tira sur ma laisse pour m?embrasser à pleines bouches, et nos langues se mélangèrent. J?osais la prendre dans mes bras et ma main glissa timidement vers son sein droit. Elle la saisit fermement et tout en m?embrassant encore plus fort, guida sa main vers là où peu de temps avant j?avais ma bouche et pressa avec la sienne, me faisant comprendre que c?était là où elle voulait être caressée.
Puis elle se dégagea et je n?insistais pas, bien au fait de ma condition d?esclave, à la disposition de ses Maîtres.
Puis je sortis les vêtements que je portais hier soir, et l?habilla dans le même ordre que on Maître l?avait fait avec moi. Cette tenue lui allait divinement bien, s?accordant avec la douceur de ses traits. Ses seins étaient mis en valeur par la guêpière, sa taille était bien resserrée et la robe lui arrivait juste au dessus des mollets. Les bas étaient à la bonne taille pour être parfaitement tendus par les 8 jarretelles.
La soirée se déroula normalement. Je préparais le dîner pendant qu?ils prenaient l?apéritif au salon, amoureux comme 2 amants. Puis, après avoir dîner rapidement seule dans la cuisine, je leurs servis le leur, restant en retrait robe retroussée et ventre ou fesses découvert. Après le trouble des premières 24 heures, du essentiellement à mon dépucelage lesbien et mon exhibition devant une tierce personne, j?étais à nouveau résolue et fière de ma condition d?esclave, maintenant partagée entre un Maître et une Maîtresse, enfin, les propriétaires d?un objet de plaisir...
Avant le dessert, une fois que j?eus débarrassé, Il la coucha sur la table (comme il faisait souvent avec moi), puis retroussa la robe et les jupons, et, debout, pénétra le ventre lisse encadré par les larges jarretelles. Elle se laissa faire et je prenais maintenant du plaisir à les regarder (ils m?y obligeaient) s?en donner mutuellement. Elle était tellement belle dans cette robe, soupirant à chaque aller et venue de mon Maître dans son ventre...
Elle eut un orgasme violent et bruyant. Il se retira et elle resta allonger, la robe et les jupons retroussés jusqu?au décolleté. Puis Il me regarda et d?un geste du menton, me fit signe de le rejoindre. J?avançai toujours en tenant ma robe, ventre à l?air, les yeux vers le sol, pour bien montrer ma soumission. Il me demanda de me cambrer et de placer ma tête à l?intérieur de ses cuisses, ce qui maintenant était un ravissement. Je m?exécutai. Un fois en position, la langue commençant à fouiller l?intimité lisse de Virginie, je sentis les pans arrière de ma robe s?écarter, puis Son pied écarta mes jambes, augmentant ainsi l?ouverture de mes fesses. Il décrocha la chaînette du crochet situé à l?arrière du corset, ce qui fut un soulagement pour moi. Mais je redoutais ce qui allait m?arriver même si je savais que j?allais être prise par derrière. Je n?aimais pas trop cela, car, même si Il m?avait dépucelé par là, nous n?avions fait ça que 3 ou 4 fois, et à chaque fois, j?ai eu mal et je n?ai jamais joui...
Je me concentrais alors sur le ventre de ma Maîtresse, remontant mes mains vers ses seins pris dans la guêpière, et les caressant avec force. Je sentis qu?Il se mit à fouiller mes reins et le froid me fit dire qu?il était en train de me lubrifier. Puis je ressentis la chaleur de son sexe bien dur à l?entrée de mes fesses et Il s?y enfonça d?un coup.
Mes cris étouffèrent ceux de Virginie, qui était en train d?inonder ma bouche de son intimité...Mais le plaisir se mêlait à la douleur, pour la première fois dans ce genre de relations. Il venait dans mes reins avec force, et j?essayais d?insérer ma langue le plus loin possible dans la fente de ma Maîtresse. Je pense que d?avoir été élargie toute la journée facilitait la pénétration.
Pour la première fois de ma vie, j?ai joui par cette voie là. D?une manière très intense. A croire que le secret de mon plaisir était dans ma soumission. J?étais honteuse de mon bonheur, d?avoir dans la bouche le goût d?une femme que je venais de lécher pour la nième fois de la journée et de sentir la semence de mon Maître s?échapper de mes fesses et de glisser le long de l?intérieur de mes cuisses. J?allais devoir laver mes bas, car ils devaient être largement salis par cette journée de dépravation et plusieurs types de liquide s?étaient échappés de mon ventre et maintenant de mes reins.Je reçus l?ordre de rester souillée (interdit d?aller me nettoyer) mais mon Maître ne me demanda pas de le nettoyer, alors que je le redoutais. Mais Il n?était pas porté sur les trucs vraiment crades, et je pense que je n?aurais pas pu de toutes façons...Je servis le dessert puis Virginie, radieuse dans sa robe qui était la mienne, m?accrocha la laisse et me conduisit sans ménagement dans ma chambre (mon réduit). Elle m?ordonna de me déshabiller et ne m?aida que pour délacer le corset, après avoir mesurer mon tour de taille pour mieux le réduire encore demain. Une fois nue, je pus alors constater l?effet que la punition et le corset avait eu sur mon corps. Il était meurtri ou des marques rouges de la cravache, ou des bleus causés par les baleines du corset, qui, pour certaines, s?étaient enfoncés douloureusement dans mes chairs. Les poignets accrochés à mon collier, elle m?embrassa tendrement et me coucha sur ma litière, en accrochant la laisse au crochet prévu à cet effet. Puis elle quitta la pièce sans un mot et je m?endormis, comblée de bonheur et ivre de plaisir...
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