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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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La progression d'Amélie

Chapitre 17

Orgie / Partouze
17 - Chez Bérangère : début de soirée
Perdue dans mes souvenirs du début de mon aliénation, et déchirée entre excitation et douleur due à ma posture, je ne fis pas à attention à Céline, qui avait interrompu ses travaux de ménage pour s’approcher de moi. Elle planta ses doux yeux noirs dans les miens. Et alors que je ne m’y attendais pas du tout, elle me caressa les seins et l’intérieur de mes cuisses, remplies par la ceinture et les godes. Elle se mit à m’embrasser dans le cou, puis à me lécher sans retenue, s’arrêtant sur ma poitrine. Elle me mordillait les tétons et tournait autour avec sa langue.J’essayais de gémir, mais le bâillon empêchait tout son de sortir. Je tremblais de tout mon corps, amplifiant encore un peu plus les tourments des diverses entraves. Chaque spasme de plaisir était immédiatement suivi par de la douleur principalement due à ma position suspendue et à mon corset qui m’empêchait de reprendre ma respiration. Cette douce torture était terrible, surtout lorsqu’elle reprit ses caresses au niveau du ventre, puis de mon pubis entravé par les liens qui retenaient les 2 godes...Puis elle se remit debout, et se mit à parler à mon oreille :— Je me souviens du jour où j’ai été amenée ici par mon Maître, tu as de la chance de vivre cela. J’ai été dépucelée ici, par tout les orifices. Elle ponctuait ses phrases de baisers, tandis que ses mains torturaient mes seins.— Tes seins sont petits, probablement qu’on te les fera refaire, comme Aurélie et moi. Tu seras beaucoup utilisée les premiers jours, c’est toujours une fête d’avoir une nouvelle. Après, tu seras plus une bonniche qu’autre chose, mais le fait d’être prise moins souvent est plus riche en plaisir.Ses caresses reprenaient de plus belles, sa langue parcourait maintenant mon cou, mon menton, l’arrière de mes oreilles...— Tu es en binôme avec Aurélie. Moi je suis avec Frédérique. Tu as de la chance Aurélie est très bonne, lèche très bien et désobéit suffisamment souvent pour que vous soyez punie régulièrement. Frédérique est bonne aussi, même si elle a un autre goût. Par contre elle n’aime pas être punie, alors je désobéis pour nous 2, comme ça elle goûte au fouet aussi. Moi, ça me rend folle les punitions...Elle continuait l’exploration de mon corps avec sa langue...— J’aurais bien aimé fouiller ton ventre avec ma langue, peut-être qu’Ils nous le demanderont, Ils aiment bien voir les esclaves se donner du plaisir...Ils sont très vicieux, comme moi je le suis devenue...J’espère que je pourrais bientôt dresser une jeune femme comme toi, je serais très dure....Elle m’abandonna à ma potence, sans avoir oublié un dernier passage de langue. Je n’en revenais pas que cette jeune femme au physique si doux soit aussi vicieuse. Je pense que si elle avait été surprise, elle aurait été punie sévèrement, peut-être que c’est ce qu’elle cherchait.Malgré la gêne et la douleur, je m’assoupis ainsi suspendue, jusqu’à ce que des bruits de talons sur le carrelage me tirent de cette torpeur. Ouvrant les yeux, je découvris Virginie, habillée d’une magnifique robe de soirée grise à fines bretelles, qui descendait en multitude de plis aux genoux, légèrement décolletée, qui laissait entrevoir la naissance de sa belle poitrine. Chaussée de fines chaussures à talons, ses jambes étaient gainées de voile gris, légèrement brillant. La vue de celle qui m’avait tourmentée pendant 3 jours me brûlait instantanément le ventre. Bien que je baissais immédiatement les yeux, j’aperçus qu’elle tenait par la main mon Maître, élégamment vêtu lui aussi. Et derrière, Aurélie, toujours la robe ouverte pour bien montrer son sexe lisse et ses fesses traversées des marques que lui avait infligées mon Maître. L’heure de ma présentation aux autres était donc venue...Virginie se colla à mon Maître, lui accrochant le bras, et ordonna à Aurélie de me décrocher. Lorsqu’elle décrocha la chaîne liée à mes poignets, je m’effondrais sur le sol.— Tu as perdu, je t’avais dit qu’elle n’était pas assez musclée et qu’elle tomberait, fit Virginie.— Je m’avoue vaincu...Veux-tu que je m’acquitte de ma dette de jeu maintenant ?— Mmmmh, oui, la vue de cette esclave offerte m’excite, j’éviterais de trop mouiller mes bas ! Tiens, elle va te regarder honorer ton pari !Allongée par terre, tremblante de tous mes membres suite à cette suspension, je vis ma Maîtresse s’appuyer contre la commode d’où étaient sortis les 2 godes qui me remplissait. Puis Aurélie se positionna à côté d’elle et souleva sa jupe, découvrant son ventre lisse et nu et les 2 fines jarretelles de dentelles qui soutenaient haut les bas. Puis elle écarta bien ses cuisses, et mon Maître s’agenouilla et plaça sa tête entre, les mains sur ses fesses. Je ne voyais que sa tête bouger, mais visiblement Il procédait à un cunnilingus méthodique qui fit gémir Virginie de plus en plus fort. Aurélie ne bougeait pas, maintenant bien haut sa robe, et surtout, j’avais vraiment l’impression de n’être plus rien, de la déco, et encore à peine...Les gémissements de Virginie me glaçaient le sang, d’autant qu’elle me fixait droit dans les yeux. Je n’avais eu qu’une fois l’occasion de jouir sous les caresses de sa langue, le lendemain du jour où je m’étais faite épilée le sexe pour la première fois. J’étais jalouse, et humiliée que mon mec lèche une autre femme en ma présence, mais quand j’y réfléchis, je me dis que tout ça était fait pour m’avilir encore un peu plus. Elle jouit dans un énorme râle de plaisir, puis je devinais mon Maître qui se remettait debout. Immédiatement, Aurélie lâcha la robe de Virginie et lissa bien les plis. Elle était magnifique, le visage rayonnant du plaisir qu’elle venait de prendre. Elle enlaça avec fougue mon Maître, lui caressant l’entrejambe...— Tu es bien dur...— Oui, mais je ne me fais pas de soucis pour me soulager...Il y a foule ce soir dont toutes nos esclaves, presque tout le monde est déjà là.— C’est toujours comme ça le jour où il y a présentation ! Tu devrais utiliser Lydie, elle a été récemment élargie ! Allez, cette petite chienne s’est assez reposée. Aurélie, relève là et mets la en ordre...Aurélie détacha mes poignets me les relier dans le dos, et noua à nouveau mes coudes, alors que j’étais toujours allongée. Toute volonté m’avait quittée, j’étais prête à faire tout ce qu’on me demandait. Puis elle fixa le mousqueton à mon collier, et tira dessus pour me relever, ce que je parvins à faire avec bien du mal. Tout mon corps me faisait souffrit, douleur amplifiée par le corset qui m’empêchait de respirer.Une fois debout, Aurélie rajusta mes escarpins, puis ouvrit la porte de la pièce. Mon Maître et Virginie partirent devant nous. Elle le tenait amoureusement par le bras et Il avait passé sa main sous sa robe. J’étais anéantie. J’aurais voulu tout arrêter mais toute force m’avait abandonnée.On a parcouru un couloir faiblement éclairé, puis Ils ouvrent une double porte et je fis mon entrer dans le salon, au bout de la laisse. J’en eu le souffle coupé. Une pièce richement décorée, meublée de canapés et de fauteuils, de poufs et de tables basses. Je découvris une quinzaine de personnes, dont 5 jeunes femmes vétues toute comme Aurélie. Je reconnus la jeune Céline et Christine. Céline servait un verre à l’homme qui m’avait fait promis de goûter à son sexe, qui avait sa main entre les pans de sa robe. Christine était en train d’ajuster le corset d’une autre esclave qui s’appelait Jeanne. Grande, blonde avec de grands cheveux ramenés en natte, avec une poitrine lourde qui venait visiblement de subir le fouet ou la cravache. Les yeux de Jeanne étaient rouges de larmes récentes. Une 4eme que je pensais être Lydie, plutôt menue comme moi, prodiguait une fellation à un homme enfoncé dans un fauteuil, dont le prénom était Pierre, mais que j’appellerais bientôt Maître, comme les autres.Je reconnus un des 2 autres, le prénommé Manu, celui qui m’avait promis de goûter rapidement à son sexe, par ma bouche et probablement mes autres orifices...Il était dans un fauteuil, autour d’une table basse occupée par un sceau à champagne et des coupes. Une était pour un autre homme que je n’avais jamais vu. Il s’appelait Jacques, avait une cinquantaine d’année, bronzé, cheveux grisonnants, yeux clairs, un charme fou !Enfin, 3 femmes étaient également dans la pièce. Bérangère, vêtue d’une robe bustier en cuir, arrivant à mi-genoux, et de longues cuissardes brillantes à hauts talons. Elle tenait en laisse Numéro 4, toujours nue et à genoux. Le zip de sa bouche était fermé. Sophie, dans une longue robe de soirée crème à fines bretelles, fendue jusqu’à mi-cuisses, très ajustée sur le haut, avec un entrelacement de très fines lanières dans le dos portait des bas assortis et des escarpins très fins. Elle tenait également au bout d’une chaîne une personne visiblement du sexe masculin, mais enfermé dans une combinaison type suitcat qui ne laissait pas un bout de peau apparente. La bosse au niveau de son entrejambe laissait deviner un sexe de taille inconnue pour moi. Sa bouche était également fermée par un zip mais lui avait les yeux bandés. Il avait les mains et les coudes joints de la même façon que moi. Enfin une troisième Maîtresse devisait avec Maître Benoît et Maître Pierre. Elle s’appelait Florence, de grands cheveux châtains ondulés, des yeux marron, un sourire carnassier. Elle portait une robe de bal vert d’eau, ample, sur une multitude de jupons blancs qui dépassaient au niveau des chevilles gainées de bas écrus, avec un bustier assorti et lacé dans le dos, qui faisait ressortir son opulente poitrine....Une fois entrés dans la salle, les regards des Maîtres et Maîtresses se tournèrent vers moi. Je baissais naturellement les yeux vers mes escarpins, attendant qu’on on s’occupe de moi. C’est mon Maître qui prit la parole.— Voici Amélie. Elle a 25 ans, est enseignante et est ma propriété. Elle a l’habitude d’être attachée et fouettée. Elle a choisi de faire partie de notre groupe en tant qu’esclave. Une fois qu’elle aura procédé à sa déclaration, vous pourrez en profiter et la tourmenter comme bon vous semble, comme nous le faisons habituellement avec les nouvelles esclaves. Puis nous l’équiperons de ses anneaux et nous la marqueront ! Elle restera ici jusqu’à ce que nous jugions que son dressage est abouti.Malgré le fait que je ne voyais rien d’autres que mes pieds, j’entendis des applaudissements. Puis on tira sur la laisse, qui était passé de la main d’Aurélie vers celle de mon Maître. Sans ménagements, on tira sur la laisse pour m’amener à un portique qui était au milieu de la pièce, formé, d’une croix en tôle en forme de X, muni à chaque extrémité d’anneaux en acier. La croix semblait articulée autour de 2 axes, permettant de tourner horizontalement et verticalement. Mais dans un premier temps, je ne fus suspendue que par les poignets, avec les jambes bien ouvertes, attachées, à l’identique de ma position précédente. C’set Aurélie qui exécuta cette tâche, toujours avec ce regard si bleu, si doux, alors qu’à nouveau mes poignets entaillés par le cuir des bracelets me firent effroyablement souffrir.— Débouche la, maintenant, ordonna Virginie.Aurélie commença par le bâillon. De la bave coulait au coin de mes lèvres. Puis elle s’accroupit au niveau de mon ventre et détacha les godes pour libérer mes deux orifices bien humides. Je me sentais complètement ouverte, et prête à accueillir qui voudrait bien se servir de moi. Ce sentiment que je connaissais avec mon Maître était maintenant étendu à toutes ces personnes qui étaient là pour ça.Puis Aurélie se releva. La vue sur son ventre nu et épilé me fit frissonner. Elle positionna un texte devant moi.— Maintenant fit Virginie d’une voix autoritaire, tu vas lire ce texte à haute voix. Ce sera la dernière fois que tu parleras, le silence étant de rigueur quand tu es en présence de tes Maîtres. Après, nous passerons à ton intronisation.— Et à ton introduction ajouta Maître Pierre, dans un éclat de rire général qui me terrifia.Alors sans réelle hésitation, je procédais à la lecture :— Moi, Amélie, je renonce ce soir à mon statut d’être humain, pour devenir sans réserve votre esclave soumise docile et dévouée. Mon seul droit est de vous obéir. Mon corps vous est offert sans aucune limite, et seul importe le plaisir que prendrez à l’utiliser ou à le tourmenter. Ma bouche ne servira plus qu’aux caresses et aux cris. Lorsque vous ne souhaiterez pas vous servir de moi, je participerai à la marche de cette maison avec les autres esclaves, mais à je devrais tout arrêter, en écartant mes jupes, présentant ventre ou reins à chaque sollicitation pour m’offrir à celle ou celui qui le désirera. Sauf ordre contraire de l’une ou l’autre d’entres vous, Maîtresses et Maîtres, je serais vêtue le jour de la tenue des esclaves, seins apparents, taille réduite, ouverte, et prédisposée à être attachée, pour être utilisée ou tourmentée de la manière qu’il vous plaira. La nuit, je serais nue et attachée dans ma cellule, ou dans la chambre de celle ou celui qui l’aura décidé, pour son plaisir. Je ne parlerai que si on me l’autorise, et je devrais toujours avoir les yeux baissés. Lorsque j’aurais été utilisée ou fouettée, je devrais remercier celle ou celui qui se sera servi de moi en m’agenouillant et embrassant sa main.Les mots sortaient de ma bouche naturellement, alors que je pleurais à gros sanglots, renonçant ainsi à toute dignité. Puis je terminais le texte qu’Aurélie faisait défiler devant mes yeux.— Afin de commencer mon dressage, je sollicite donc d’être fouettée par chacune des esclaves ici présente, avant d’offrir mon corps et ses orifices à chacune et chacun d’entre vous. Je vous remercie par avance des tourments que vous aurez la générosité d’appliquer à ma personne d’esclave domestique et sexuel.tuo_54@yahoo.fr
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