Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par Anonyme
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 68 J'aime
  • 4 Commentaires

La progression d'Amélie

Chapitre 18

Divers
Chez Bérangère : la soirée
L’assemblée se mit à applaudir mes paroles. Puis Virginie se leva, s’approcha de moi un martinet à la main. Elle passa les lanières de cuir entre mes cuisses écartées, lentement, jusqu’à la fente de mon ventre. Des frissons se mêlaient à la fin des sanglots. Malgré la peur des tourments à venir, je souhaitais à ce moment leur montrer quelle esclave soumise à leurs moindres désirs j’étais dorénavant, même si ça allait passer par la meurtrissure de mon corps qui ne m’appartenait plus.— Aurélie va commencer, 5 coups par esclave. Puis ce sera Frédérique, Jeanne, Lydie, Christine et Céline pour terminer. Ensuite, tu honoreras de tes orifices chacune et chacun d’entre nous, autant que nous le souhaiterons. Puis une fois que nous n’aurons plus envie, ce sera au tour de chaque esclave de disposer de toi.Puis elle tendit le martinet à la belle Aurélie, toujours jupe retroussée, qui toujours en souriant, me fouetta à 5 reprises les fesses, presque avec douceur. Je ne pus contenir quelques cris, mais rien à côté de ce qui sortit de ma bouche sous les coups de Frédérique, qui s’appliqua sur l’arrière de mes cuisses. Jeanne me frappa les seins avec force, probablement pour se venger de la punition qu’elle venait elle-même de recevoir. La douleur et le corset très serré me coupaient presque complètement le souffle. Sans répit, la jeune Lydie me frappa les cuisses sans trop de force. Je remarquais malgré la douleur une certaine forme de compassion dans son regard. Les coups de Christine, sur le bas du dos, étaient plus appuyés. J’imaginais qu’elle avait plus de pratique. Mais c’est Céline qui me fit presque m’évanouir, en fouettant avec force l’intérieur de mes cuisses. Je ne me rendais plus compte des cris que je poussais, et je faillis m’évanouir. Je pleurais tout ce que je pouvais cherchant dans les regards de mes bourreaux et de leurs Maîtres un minimum de compassion. Mais je ne voyais que de l’indifférence à mes tourments.Chacune des esclaves après m’avoir battue s’étaient rangées à côté du chevalet, en retroussant leurs jupes et dégageant leurs ventres, tous lisse. Elles nouèrent leurs jupes au niveau de la taille pour bien laisser découvert leur intimité, et jambes légèrement écartées, les mains derrière le dos, elles étaient maintenant aux ordres des Maîtres et Maîtresses.A nouveau toutes et tous applaudirent, puis mon Maître se leva, et déclara passer son tour. Il s’approcha de Lydie, comme Virginie lui avait suggéré.— Nous allons voir comment tu as été élargie, lui dit-il en accrochant la laisse à son collier. Il s’éloigna du groupe sans un regard pour moi, puis renversa la jeune Lydie le ventre sur un pouf, et retroussa sa jupe, dégageant des fesses traversées de traces de fouet et des jarretelles que je connaissais déjà. Virginie lui emboîta le pas et baissa le zip de son pantalon, dégagea son sexe déjà bien dressé, et le positionna à l’entrée des reins de la jeune fille. Puis elle l’embrassa avec fougue, pendant que lui s’enfonça d’un coup, faisant hurler la petite brune.Je m’entendis juste dire qu’elle était encore bien étroite, mais à ce moment là, Pierre ordonna à Jeanne et à Aurélie de me mettre en position. Les 2 esclaves firent tourner le chevaler, et je me suis retrouvé suspendue à l’horizontal, visage vers le plafond. Puis Pierre se positionna entre mes cuisses. Il demanda à Aurélie de le préparer et je devinais la jeune femme se ?agenouiller, sortir son sexe de son pantalon pour le faire grossir dans sa bouche. Puis une sensation de chaleur apparut au milieu de mes cuisses, et je fus introduite d’un seul coup ! Je poussais un cri tant de surprise que de douleur, n’étant plus spécialement disposée...— Tais-toi Esclave, tu ne vas pas couiner à chaque fois qu’on t’utilise, non ? Surtout qu’est-ce que ça sera quand on te défoncera ton petit cul...Puis il reprit son va et viens dans mon ventre, et jouit rapidement. Pendant qu’Aurélie le nettoyait, déjà Jacques s’approchait. Il demanda à Jeanne de me nettoyer le ventre sommairement, puis aussi de le préparer. Une fois dur dans la bouche de l’esclave blonde, il se soulagea de la même façon dans mon ventre, mais pris plus de temps, presque de l’attention à ce que j’en profite un peu. Pendant ce temps là, Pierre qui avait retrouvé de la vigueur dans la bouche de la belle Aurélie, sodomisait la jeune Céline renversée contre une table. Puis Manu, assistée de Frédérique, me fit détachée pour me faire mettre à 4 pattes, sur un canapé. Je pouvais voir ainsi Virginie et Bérengère en train de se caresser et de s’embrasser à pleine bouche. Bérengère avait remonté haut la belle robe de Virginie, et fouillait son ventre avec régularité, et Virginie répondait à ses caresses par de longs râles. Mais je fus vite tirer de l’observation de cette luxure par la sensation d’un sexe d’homme à l’entrée de mes reins, qui s’enfonça d’un coup sec. Cette fois ci, je n’ai pas crié, mais la douleur était cruelle. Pendant qu’il allait et venait dans mes reins, Florence se mit devant moi, et Céline, à peine utilisée par Pierre, souleva la robe et les nombreux jupons de Florence. Toujours en train d’être pilonné sur un rythme régulier, je compris que ma langue devait aussi servir. Alors que je commençais à nouveau à être bien excitée, je m’étendis le plus possible et fouilla le ventre de Florence avec ma langue. Son goût était fort, mais pas désagréable. Son ventre était également complètement lisse. Les 2 premiers Maîtres s’étaient servis de moi comme d’un objet vivant, mais je prenais maintenant du plaisir, même si déjà 3 hommes que je ne connaissais pas s’étaient introduits en moi, alors que cela faisait maintenant plusieurs mois que je ne servais qu’à un seul, et que j’e n’en avais connu que 3 ou 4. Manu explosa au fond de moi, et après une rapide toilette prodiguée à nouveau par Frédérique, je restais dans cette même position pour être prise par Benoît. Il commença par s’enfoncer dans mon ventre. La sensation d’être prise en levrette me plaisait de plus en plus, et j’avais de plus en plus de mal à me concentrer sur le ventre de Florence. D’ailleurs, un violent orgasme me fit trembler de tout mon corps.— Elle sera punie pour avoir joui avant moi ! Allez, reprends là où tu en étais petite chienne. Pendant ce temps là, Benoît s’était retirée de mon ventre pour s’enfoncer dans mes reins. J’eu à peine le temps de faire jouir Florence qu’à nouveau, je jouis également...Je fus relevée puis retournée sur une table et mes jambes furent écartées et attachées en hauteur. Les poignets furent attachés aux pieds de la table et ma tête pendait dans le vide. J’avais l’impression d’être écartelée. A nouveau quelqu’un s’introduisit dans mon sexe mais mes fesses furent remplies en même temps. Pas par un sexe masculin, c’était froid, plutôt par un gode. La sensation fut presque agréable, tellement j’étais ouverte par les viols que je venais de subir. Puis je vis à l’envers un sexe s’approcher de mon visage. Je n’eus pas la courage de remonter la tête pour voir à qui il appartenait, de toute façon, il était là pour finir dans ma bouche. Le gland se posa sur mes lèvres, encore humide de sperme et de liquide intime féminin. J’étais de toute façon résigné à n’être qu’orifices et réceptacles et alors que j’étais déjà labouré des fesses et des reins, j’ouvris ma bouche pour pomper cet homme que je ne voyais même pas...C’est la première fois que je suçais un homme comme ça, à l’envers, et quitte à vraiment n’être qu’une putain, je mis énormément d’application à la tâche. Les 2 hommes qui se servaient de moi, jouirent quasiment en même temps, mais sans s’être concertés, s’étaient retirés de mon corps pour jouir l’un sur mon ventre, l’autre sur mon visage. Je reconnus la voix de mon Maître, qui appela Céline pour venir profiter de son jus. La petite vicieuse arriva, les jupes toujours relevées, et s’agenouilla pour avoir la tête à mon niveau, et me lécha consciencieusement le visage. Dans cette position, je ne voyais pas qui à ce moment ôta le gode de mes reins pour à nouveau me sodomiser...Une fois que Céline eut terminé de me lécher le visage (je devinais à son souffle qu’elle adorait ça), elle laissa sa place à une des Maîtresses, probablement Sophie, qui écarta ses jambes et positionna l’intérieur de ses cuisses au dessus de ma bouche. A nouveau, je devais accepter la sodomie et faire jouir ma nouvelle Maîtresse, la tête entre les pans de sa grande robe noire. En plus de passer ma langue sur sa fente et autour de son bouton, je léchais la jonction entre les bas et le haut de ses cuisses. Ca la faisait frissonner, à ma grande satisfaction. C’était une vraie fontaine et je me délectais de ce nouveau goût de femme, tout en accueillent à nouveau la nième éjaculation sans mon corps, sans jouir cependant. J’étais tellement déchirée de l’intérieur que je n’avais presque plus de sensibilité...Je menais ma nouvelle Maîtresse rapidement au plaisir. Une fois qu’elle eut profité de moi, elle s’en alla sans même un regard pour moi.Une fois utilisée par Sophie et mon dernier violeur, j’eus droit à quelques instants de repos. J’étais sale, gluante de tout ce sperme que mes Maîtres avaient déversé sur ou dans mon corps. Toujours immobilisée, je voyais avec peine et à l’envers ce qui se passait dans la pièce. Frédérique et Lydie étaient suspendues par les poignets à la potence où j’étais. Débarrassées de leurs robes, elles ne touchaient le sol que de la pointe de leurs escarpins. De plus, je devinais qu’elles étaient attachées l’une à l’autre, avec des cordes de chanvre, liées au niveau du cou, de la poitrine, de la taille et qui repassaient entre les cuisses, dans un savant entre laçage. Les cordes tournaient autour des deux jeunes femmes qui ne faisaient quasiment plus qu’un seul corps. Je sentais d’ici, malgré tout ce que j’avais enduré, la douleur des cordes dans leurs chairs les plus intimes.Berengère était à côté des 2 esclaves, tenant à la main un martinet à longues lanières. Lydie et Frédérique, malgré leurs tourments, s’embrassaient à pleines bouches, sous l’ordre express de leur bourreau. Elles n’avaient pas le droit d’interrompre leurs baisers. Et à rythmes réguliers, Bérengère les fouettait les 2 en un seul coup !A nouveau mon ventre fut rempli, et presque en même temps mes reins aussi, mais pas par des sexes. Aurélie me détacha les poignets, et me releva la tête. Elle venait de m’introduire un double gode qu’elle fixa au corset, visiblement à la demande de Jacques. Elle détacha mes jambes suspendues puis elle fixa une laisse pas à mon collier, mais au socle de plastique sur lequel était fixé le double phallus de plastique. Je ne pouvais pas serrer les cuisses, de toute façons, cela[a1] ne m’était pas autorisé...— Pour que tu t’habitues à être promenée par le sexe, quand tu auras tes anneaux. Tu vas aller honorer Virginie et Bérengère, puis après, nous te percerons et te marquerons.Maître Jacques tira sur la laisse et je n’eus pas d’autres choix que de le suivre. Je trébuchais, car très éprouvée par les coups que je venais de recevoir et les outrages que mon corps venaient de subir, mais je crois que ce qui me mortifiait le plus, me dégoûtait au plus profond de ce qui me restait de dignité (en fait, vraiment plus rien), c’était d’avoir pris du plaisir à au moins 3 reprises en étant prise comme un objet, un déversoir, un égout...J’étais nue, souillée, violée, collante de sperme et de cyprine, devant des parfaits inconnus, qui se servaient de moi comme d’un objet, et malgré la pudeur qui me caractérisait et le dégoût que m’inspirait ce genre d’assemblée et de personnes comme les Maîtres et les esclaves, j’aimais ça et au fond de moi, en redemandais. Même les punitions en y réfléchissant maintenant me donnait du plaisir, en quelque sorte...Arrivée devant Virginie, machinalement, je m’agenouillais. Je vis ses jambes s’écarter, et sa robe se relever. Virginie s’avança et je découvris ce sexe lisse que je commençais à bien connaître. Je penchais ma tête pour et lécha consciencieusement la fente de ma Maîtresse, jouant avec son clitoris et enfonça le plus loin possible ma langue dans son ventre. Je L’entendais soupirer du plaisir que je lui donnais, et malgré la douleur tenace due au fouet qui m’avait été infligé, je sentais la chaleur venir du fond de mon ventre. Puis les 2 godes se mirent à vibrer, bien installés au fond de mes orifices. En fait, ils étaient télécommandés, pour permettre à celle qui accueillait ce double phallus d’être stimulée à distance. Et la télécommande était dans la main de Maître Jacques.J’arrêtais mes caresses à Virginie, pour profiter en nymphomane que j’étais de ces stimulations, malgré ma déchéance nouvelle.— Si tu jouis avant Virginie, la punition que t’as promise Florence sera doublée !Je le vis tourner un bouton et sentis les sollicitations à l’intérieur de mes 2 orifices augmenter d’intensité. Malgré le plaisir qui montait en moi, je retournais honorer Virginie, mais je sentais qu’un nouvel orgasme (comment pouvais-je prendre du plaisir dans une telle situation) était proche...Et ce qui devait arriver arrivé, je laissais échapper mon plaisir dans un long feulement, avant que ma Maîtresse ait pu complètement profiter de mes caresses. Je pris rapidement conscience de ma faiblesse, et retourna vite entre les cuisses gainées des bas de soie grise de Virginie, pour m’appliquer encore plus dans son ventre et autour de son bouton. Je crois qu’avec Aurélie, c’est le goût de Virginie que je préférais. En plus, elle mouillait abondamment, ce qui me permettait de quasiment la boire...— Très bien, je vois qu’on se moque des punitions. Tu seras donc punie encore plus sévèrement et on en reparlera. Passe à Bérengère maintenant.Il tira à nouveau sur la laisse qui fit avancer mon ventre. Quelle humiliation ! Une fois devant Bérengère, je n’osais la regarder. Je m’agenouillai devant ses genoux. Elle se leva et tira sur la laisse, ce qui fit se relever Numéro 4. Je ne voyais pas son visage, mais son corps était parfait. De beaux seins ronds et fermes, une croupe magnifique, 2 belles fesses sans aucune vergeture, juste traversées par les punitions qu’elle devait subir fréquemment. Son ventre était complètement épilé, mais je distinguais 2 anneaux dorés traversant ses lèvres, joints par un petit cadenas. Une fois debout, elle descendit le zip qui fermait sa robe en cuir dans le dos. Bérangère se retrouva juste en cuissardes à talons, qui remontait à mi cuisses, presque à la hauteur de ses dim-ups noirs. Rien ne couvrait un ventre juste traversé par une mince bande de poils blonds. A nouveau ma bouche embrassa un autre sexe féminin, avec un goût complètement différent, et ma langue d’enfonça dans son sexe déjà trempé.Je m’accrochais à ses hanches, moi à genoux, elle debout. Pendant que je la léchais consciencieusement, elle embrassait à pleine bouche la jeune Aurélie, qui continuait à tenir la laisse reliée à mon ventre, en fouillant au milieu de ses cuisses découvert par les pans de la robe relevées sur la ceinture. Je détournais rapidement les yeux du ventre de Bérengère et je découvris qu’Aurélie, elle ne possédait pas d’anneaux. Numéro 4 restait immobile derrière sa maîtresse.Je m’efforçais à donner le plus de plaisir à ma maîtresse, et je me sentais libérée de tout tabous ou autre honte de ma situation. Bérangère inondait ma bouche de son plaisir, ce qui satisfaisait l’esclave que j’étais maintenant. Je me sentais moi-même complètement excitée, et j’essayais de ne pas succomber au plaisir stimulé à distance par Maître Jacques, au fond de mes reins et de mon ventre. Elle jouit avant moi, et me soulagea en permettant enfin d’accéder au plaisir. Puis Jacques demanda à Aurélie de m’installer à nouveau sur la croix, bien ouverte et fermement ligotée et complètement ouverte.— Maintenant, tu vas la nettoyer. Aurélie s’exécuta, me nettoya avec soin l’entre jambe souillée par mes Maîtres et par moi-même.Une fois sèche, Sophie approcha. Son sourire carnassier et ses yeux noirs me glaçaient le sang.— Je vais maintenant te percer. Et elle me montra une petite boite qu’elle ouvrit alors que j’étais positionnée de manière horizontale. Je voyais les 2 anneaux d’or qui allaient finir entre mes cuisses.— Je n’ai pas envie de t’entendre couiner pendant que j’équipe la petite chienne que tu es. Et elle me bâillonna avec cette boule de plastique, que j’accueillais presque avec bonheur, malgré la peur des souffrances à venir.Immobilisée complètement à l’aide des différents bracelets et de la ceinture, je sentis que Sophie me tirait sur les grandes lèvres sans ménagement. Puis une douleur intense me brûla le ventre. Sophie était en train de me percer, puis je sentis un objet traverser mes chairs les plus intimes. La sensation se reproduisit peu après.— Elle est à nouveau à vous, ajouta Sophie. Et alors que la douleur était encore bien présente, un homme s’introduisit à nouveau en moi, et me pilonna avec force, pour jouir cette fois-ci sur mes seins. Puis un autre et un autre encore. Je ne les voyais pas car Sophie m’avait aveuglé à l’aide d’un bandeau. Je perdis toute notion de temps, et je ne percevais même plus la succession des sexes qui m’utilisaient. Je n’étais vraiment plus qu’un réceptacle, et j’en prenais un plaisir que je ne cherchais même pas à dissimuler
Diffuse en direct !
Regarder son live