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Le projet artistique

Chapitre 1

Surprise

Hétéro
Je venais d’entamer cette année de "consolidation", comme elle était présentée dans cet établissement, à la rentrée de 1990. L’établissement en question était une école privée pour gosses de familles aisées. Ce n’était pas un truc catholique, mais plutôt le genre boîte à Bac. Et encore, mon Bac et ma majorité, je les avais eus au mois de juin précédent. Comme ici, on se voulait en avance sur les méthodes d’enseignement, et qu’on en avait les moyens, je me farcissais cette année de consolidation des connaissances. Ce n’était ni plus ni moins qu’une Terminale Bis. C’était un peu entre la dernière année de High School aux US et la première année d’université. Les élèves et étudiants revoyaient pas mal de choses et continuaient ensuite une année assez générale avant de se spécialiser. D’ailleurs, l’image de l’éducation "à l’américaine" collait aux méthodes d’éducations. Nous faisions plus de sport que quand le cursus français classique.
Comme l’éducation nationale imposait tout de même un certain rythme et un certain niveau attendu, nous ne nous éloignions pas tant que ça durant les années lycées normales. Mais après, nous entrions, pour les parents qui le souhaitaient et ceux dont les enfants avaient suivi une scolarité dans d’autres établissements privés ou publics de suivre cette année bizarre. Ensuite, nous devions enchaîner vers des classes préparatoires aux concours aux grandes écoles d’ingénieurs, de commerce, certaines universités prestigieuses, etc. On revoyait de manière générale tout le programme des trois années précédentes. Le but étant de nous donner de solides connaissances, et pas seulement dans la filière dans laquelle nous avions eu notre Bac. Avec le recul, je compris tout l’intérêt de la chose, mais sur le moment, j’avais l’impression qu’on me forçait à rester dans l’adolescence. Alors que j’aurais voulu être pleinement étudiant et plus libre de mes mouvements.
Autre particularité de cet établissement, c’est qu’il imposait aux élèves de proposer un projet artistique à mener tout au long des trois ans post Bac (année de consolidation, et classes préparatoires) afin qu’il soit présenté à un jury. Le meilleur projet (réalisé seul ou en groupe) se voyait décerner un prix (généralement un voyage pour fêter l’admission dans une grande école ou une université prestigieuse).
Il y avait plusieurs ateliers possibles : peinture/dessin, sculpture, théâtre, écriture, chant, danse, cinéma. N’ayant aucun talent pour le dessin, dansant comme une patate, ayant une voix qui n’avait pas tout à fait fini de muer et pas spécialement de mémoire pour apprendre un texte ou en écrire un, je m’étais rabattu sur l’atelier cinéma sans trop d’hésitation. J’aurais bien aimé un atelier photographie, que je pratiquais assidument à l’époque, mais le labo photo était en rénovation pour l’année. Donc le cinéma était le moins mauvais choix, je m’inscris rapidement, car le nombre de places était limité à huit pour cause de matériel restreint.
Manque de bol, l’atelier était sous la direction de Mme T la prof d’allemand ou "Eva Braun" comme tous les élèves l’appelaient. Pas qu’elle était spécialement méchante ou moche (même plutôt jolie d’ailleurs), mais juste c’était la prof d’allemand, ce qui était suffisant pour des ados attardés à l’affublé d’un tel surnom. Mais on n’allait pas rigoler avec elle, elle était connue pour être un peu terne, peu souriante, etc. Bref, elle n’était pas la joie de vivre incarnée.
Vers l’an 2000, ce mode de fonctionnement fut arrêté, le ministère demandant à faire cesser ces expérimentations, trop efficaces par rapport à ce qu’il était proposé dans l’enseignement classique. Le projet artistique fut alors reporté sur les trois années de lycée, tel que cela est encore pratiqué aujourd’hui dans cet établissement. Le prix servant alors à récompenser l’obtention du Bac.
* * *


Donc, nous en étions au mois d’octobre, les ateliers avaient lieu après les cours. Pour nous, c’était le vendredi, de 18h à 20h. On aurait tous préféré être de sortie, mais bon, c’est la vie. Nous étions huit, cinq filles et trois garçons. Cela avait été une agréable surprise pour moi, je m’attendais à voir beaucoup de mecs. Ils avaient dû hésiter, lambiner avant de s’inscrire. Tant pis pour eux et tant mieux pour moi.
On visionnait un film, tellement passionnant que je n’avais aucune idée de son titre. Mais c’était le genre à passer en deuxième partie de soirée sur Arte. Mais là, j’étais bien, aux anges. Affalé sur ma chaise, au fond de la salle de projection, la tête en arrière. J’avais la main dans le soutien-gorge d’Amandine.
Je l’avais repérée en début d’année au premier atelier. Assez grande, blonde, des seins bien formés (pas énormes, mais pas des œufs au plat non plus) et un super cul. Je l’avais approchée tout de suite, elle s’était montrée réceptive. Elle me disait qu’elle voulait faire top model plus tard. J’avais évidemment sauté sur l’occasion pour lui dire que je faisais de la photo. Je lui avais montré mon travail (surtout des photos en extérieur de paysages ou bien des photos de sports). Il me manquait des photos avec un modèle. Nous étions faits pour nous entendre. Je n’avais pas eu de mal à la faire venir dans mon "studio photo" pour une séance. Mon cher papa avait bien voulu, depuis quelques années, financer mon hobby. Nous avions fait une série de photos en jean, t-shirt, baskets pour voir. Elle avait aimé et voulait recommencer avec plein de tenues différentes quand je lui avais montré le résultat le lundi suivant.
Elle s’était pointée un samedi en milieu d’après-midi avec une valise ! Un vrai défilé son truc : casual, combinaison de ski, tailleur, robe de soirée, tenue de sport. Nous en étions là quand vers 18h, ma mère vint me dire qu’ils partaient avec mon père à une connerie mondaine. J’étais supposé venir, mais nous n’avions pas fini et Amandine minauda comme une pro auprès d’elle pour lui demander si nous pouvions finir ce soir. Ma mère céda quand mon père s’impatienta pour partir. Nous avions jusqu’à 20h, ma mère allait prévenir le père d’Amandine pour qu’il vienne à cette heure-là pour la reprendre. Qu’on ait fini ou non !
J’avais commencé à perdre en "professionnalisme" quand nous fîmes la série en tenue de sport. Son petit short lui moulait le cul et son débardeur laissait deviner un tout début de sein sur le côté. J’avais fait quelques zooms sur les parties intéressantes. Et dans mon pantalon, mon sexe avait commencé à se réveiller.
Elle revint en tenue de plage (maillot et paréo). Nous reprîmes la séance. Clic, clac, quelques photos avec le paréo, de jolies poses. Elle avait du talent pour ça et un corps qui allait bien avec son ambition !
— J’enlève mon paréo et je prends une serviette de plage, me dit-elle.— OK, c’est ta séance, lui répondis-je.
Au mois de septembre, ce n’était plus l’été, il ne faisait pas froid, mais je n’avais pas prévu de chauffage. Être en maillot de bain, surtout un maillot une pièce aussi échancré et noué sur les côtés et dans le cou, c’était un peu juste. Du coup, ses tétons commencèrent à pointer. Ça m’excitait pas mal, et mon sexe avait pris un peu plus d’ampleur encore. Je m’étais rapproché d’elle.
— Saute, bouge un peu pour avoir quelque chose de dynamique, lui dis-je.
Elle le fit une fois, deux fois, à la troisième le nœud de son haut se détacha, elle avait dû mal le serrer. Ses seins se révélèrent au moment où je déclenchai. Elle mit trois ou quatre secondes avant de s’apercevoir que je m’étais figé, car je fixais sa poitrine. Elle avait de jolis seins en forme de pomme avec des tétons roses très mignons. J’avais laissé le doigt sur le déclencheur ce qui avait fait encore deux photos.
— Oups, désolée, dit-elle en mettant ses bras devant sa poitrine.— Euh, non c’est moi. J’aurais dû te dire tout de suite.— En tout cas, tu as l’air d’avoir apprécié la vue, me dit-elle avec un sourire.— Carrément, je les croquerais bien, lui répondis-je.
Avant de me dire que j’allais peut-être un peu vite en besogne. Ca faisait mort de faim, merde. Mais elle ne dit rien et partit se changer de nouveau.
— Il est presque 19h, Amandine. Ça sera sûrement la dernière série.— OK, de toute façon il n’y a plus que ça que je voulais mettre.
Elle venait de revenir en lingerie noire en dentelle. Elle avait une culotte et un soutien-gorge qui, par transparence laissaient voir beaucoup. On apercevait encore le haut de ses tétons. Je restais figé une seconde ou deux pendant qu’elle s’installa. Je pris quelques photos debout, mais pour moi ça n’allait pas.
— Ca va pas trop, là.— Quoi, ça me va pas cette lingerie ? demanda-t-elle visiblement triste.— Non, tu es bandante... euh très jolie. Non il faut un autre genre de pose.— Bandante, ça me va, c’est l’effet prévu de cette lingerie, non ? Du coup tu veux faire quoi ?
Je réfléchis un moment. Puis je sortis pour aller chercher un fauteuil dans la pièce d’à côté.
— Tu vas t’installer dessus.
Elle commença à s’assoir sagement, mais sur mes indications elle commença à prendre des poses plus sexy. En même temps je m’étais rapproché d’elle. Elle était presque allongée, mais sa main gauche était mal mise, elle cachait le soutien-gorge.
— Descends un peu ta main, lui dis-je.
En même temps, j’avançai la main pour bouger la sienne, mais elle la descendit d’elle-même. Du coup, je posai ma main sur son sein. Au moment où je touchai le tissu, elle ferma un peu les yeux et émit un léger soupir. J’enlevai la main, j’allais lui présenter mes excuses en espérant ne pas me prendre une baffe. Mais elle ne dit rien et me fixa dans les yeux à travers l’objectif. Je fis la photo lentement. On recommença ainsi, je lui disais de bouger un bras, la tête, une jambe et à chaque fois que j’avançais la main elle bougeait et ma main se posait sur elle. Le contact durait de plus en plus longtemps, se transformant au fur et à mesure en caresse. Si je faisais des photos rapides et énergiques au début, là, chaque photo était prise lentement, de plus en plus.A un moment, ma main fit glisser une bretelle et caressa le haut de son sein. Elle continuait à me fixer. Mon sexe commençait à n’en plus pouvoir, il voulait s’échapper. Je fis la photo. Puis j’osai :
— Enlève-le.
Elle me tourna le dos, enleva son soutien-gorge, mit ses mains devant ses seins et tourna son regard vers moi. Je fis encore une photo.
— Tourne-toi.
Elle me fit face, assise sur le fauteuil, une main sur chaque sein. Je fis la photo.
— Mets tes mains derrière ta nuque, lui dis-je.
Et je retiens ma respiration. Allait-elle le faire ou étais-je allé trop loin ? Elle hésita à peine et le fit. Je pris la photo. Je pouvais admirer ses seins sans aucune barrière et dans leur plénitude. Je refis une photo.
Sans que je lui demande, elle écarta les cuisses qui étaient restées serrées jusque-là. Je pouvais voir le fond de sa culotte. Elle était humide ! Je n’étais pas le seul à être excité par la situation !
Je refis une photo. Et je me positionnai un peu au-dessus d’elle, instinctivement elle leva le regard vers moi et dut baisser les bras. Je refis une photo. Puis une autre, un peu plus près encore. Je la voulais, là maintenant ! Mais j’avais peur de casser cet instant.
Elle prit l’initiative. Après la dernière photo, elle posa sa main sur ma braguette. Et elle commença à me caresser. Je posai alors mon appareil et lui caressai les seins.Elle défit ma ceinture, baissa la braguette et sortit mon sexe. Il s’éjecta d’un coup de mon boxer. Enfin libre ! De mon côté, si ma main gauche continuait sur ses seins, la droite était descendue au niveau de sa culotte. Elle n’était pas seulement mouillée, elle était trempée !
Chacun commença à caresser le sexe de l’autre. Puis elle me prit en bouche et commença une fellation très douce et agréable. Je savourai un instant cette douce caresse buccale en abandonnant son corps. Je ne voulais pas jouir de suite, alors je sortis de sa bouche et me baissai entre ses jambes. Je mis mes mains sur sa culotte en la regardant dans les yeux. Elle me fixa et souleva légèrement les fesses pour me faciliter l’opération. J’enlevai la culotte et la portai rapidement à mon nez. Qu’elle sentait bon !
Son sexe était devant moi, elle s’était épilée en prévision de la séance, mais l’épilation intégrale n’étant pas à la mode alors, sa toison était encore bien visible, taillée et humide de ses sécrétions. J’y plongeai ma langue avidement, faisant au mieux de ma courte expérience en la matière. Elle posa ses mains sur ma tête pour m’encourager. Elle gémissait sous l’effet de ma langue. Elle avait posé les pieds sur les accoudoirs du fauteuil me facilitant le travail. Du coup, je pouvais lui pincer les tétons en même temps. Elle gémissait de plus en plus.
— Prends-moi, s’il te plaît, me dit-elle.
Je finis de me déshabiller, je me remis entre ses jambes. Je positionnai mon sexe à l’entrée du sien. Elle ne dit rien, avança même légèrement le bassin. Le signe était clair, l’acceptation sans ambiguïté. Je la pénétrai lentement et profondément. Je m’arrêtai un instant pour savourer l’emprise de son vagin sur ma queue.Puis je commençai les va-et-vient. Elle avait fini de gémir pour carrément crier. Cela me donna encore plus de cœur à l’ouvrage et j’allai de plus en plus vite et de plus en plus fort. Moi aussi je commençai à crier.
— Oui, continue, continue, me disait-elle.— Je vais ... bientôt tout ... lâcher, l’avertis-je.— Pas aagh... en moi, je prends aaah aahh pas encore la pilule.— Sur tes seins...?— Oui, oui, oui, aahh aahh, cria-t-elle tant pour me donner son accord que pour exprimer sa jouissance.— Aaahh, aaahh, j’arrive.
Il n’en fallut pas plus pour que moi aussi je jouisse. J’eus tout juste le temps de sortir mon sexe et de diriger mes jets de sperme vers ses seins. Ils atterrirent sur son ventre, ses seins, et le premier arriva même au coin de sa bouche.Je m’écroulai à ses pieds, elle se rejeta en arrière sur le fauteuil pour reprendre ses esprits. Je me relevai après un moment pour l’embrasser. Nous ne l’avions même pas encore fait ! Elle m’arrêta de la main, je pensai alors qu’elle regrettait déjà. Mais non, avec son doigt elle vint recueillir le sperme au coin de sa bouche pour le goûter.
— Pas mal, tu as bon goût. Embrasse-moi maintenant.
Je ne me fis pas prier plus que ça. Nous commençâmes à nous caresser de nouveau, nos sexes en redemandaient déjà (l’avantage de la jeunesse), mais l’alarme que j’avais mise à ma montre sonna 19h45.
— Merde, ton père ne va pas tarder. Va vite prendre une douche dans ma chambre.
Elle se leva rapidement, je la regardai courir vers ma piaule, son cul était vraiment magnifique. Je commençai à ranger ses affaires dans sa valise. Tout un peu en vrac, mais nous n’avions pas le temps de fignoler. Elle revint juste deux minutes avant 20h. Encore nue et encore magnifique, sa peau scintillait un peu de l’eau de la douche. Elle n’eut que le temps de se rhabiller et son père sonnait déjà à l’entrée. Elle lui cria un rapide "J’arrive !". Elle m’embrassa de nouveau et partit en trombe. Un instant, je crus avoir rêvé, mais les photos développées le lendemain me confirmèrent que non.
* * *


Depuis ce jour, nous avions recommencé deux fois dans le studio, mais mes parents étaient là à chaque fois. C’était moins pratique, nous étions moins libres. Et au lycée, nous nous retrouvions aux toilettes, elle pour me sucer, moi pour la lécher ou pour une baise rapide (elle avait entre-temps réglé le problème de la pilule). Je m’aperçus assez vite que si je voulais quelque chose, je devais lui lancer un défi. Elle voulait toujours le relever, quel que soit le domaine pour ne pas paraître comme une peureuse ou une sainte-nitouche.
Donc ce soir-là, j’avais ma main dans son soutif. L’obscurité de la salle lors de la projection me permettait ce genre de manœuvre.Mais cette fois-là, je voulais plus, je pris sa main et la posai sur ma braguette tandis que mon autre main tentait de se frayer un chemin entre ses cuisses sous sa jupe (pas d’uniforme, mais le pantalon est interdit pour les filles ici, tout comme le jean pour les garçons). Elle me regarda d’un air interrogateur et me montra le reste de la classe d’un signe de tête. Je la fixai dans les yeux pour lui montrer que je ne rigolais pas et que je la mettais au défi. Elle regarda autour de nouveau, tout le monde était tourné vers l’écran. Elle me sourit puis ouvrit les cuisses et plongea sa main dans ma braguette. Elle sortit mon sexe discrètement et je passai mes doigts sous sa culotte. Nous sommes restés un bon moment comme ça, nous faisant plaisir l’un l’autre. Mais l’heure de fin de l’atelier arriva sans que l’on s’en rende compte. D’un coup, le film fut arrêté par Mme T et la lumière rallumée.
Nous eûmes juste le temps de nous redresser sur notre chaise et d’enlever nos mains de là où elles étaient.
— Bien c’est l’heure, nous finirons la semaine prochaine le visionnage et nous parlerons du sujet du film et de la façon dont il a été abordé par le réalisateur. Bonne soirée à tous, nous dit Mme T.
Si Amandine n’avait qu’à rabaisser un peu sa jupe, moi je devais remballer mon sexe. Comment allais-je faire ? Heureusement un autre élève s’approcha du bureau et posa une question à la prof. Ca me laissa le temps de ranger ma bite.Amandine et moi étions sur le point de sortir de la salle, quand Mme T nous interpella :
— Maxime et Amandine, venez par là j’ai à vous parler.
Là, pour moi c’était clair, nous allions passer un sale quart d’heure. J’espérai simplement que nos parents ou la direction ne seraient pas avertis. Mais j’avais peu d’espoir.
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