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Le projet artistique

Chapitre 2

Récidive

Hétéro
— Dites donc jeune homme et jeune fille, où vous croyez-vous ? nous demanda Mme T une fois tous les autres sortis.— Mais Madame, je ne vois pas de quoi vous parlez, répondis-je.— C’est vrai, on n’a rien fait de mal, Madame, renchérit Amandine.
Mme T eut un petit sourire en coin suite à cette dernière phrase. Mais il s’effaça vite de son visage et elle reprit un air grave.
— C’est sûr, vous n’avez pas fait de mal, mais plutôt du bien. Si je pouvais avoir un doute sur votre occupation pendant la projection ; votre braguette ouverte jeune homme et vos cuisses humides jeune fille ne laissent pas de doute sur votre activité !
Je baissai les yeux et effectivement dans la précipitation je n’avais pas eu le temps de la remonter. Amandine avait en même temps que moi baissé la tête pour voir l’état de ses cuisses. Et c’était vrai qu’elles étaient bien luisantes de mouille.Nous n’en menions pas large, nous étions un peu tétanisés en attendant la suite.
— Ne restez pas comme ça, je vous en prie !
Cela nous réveilla d’un coup. Je refermai vite ma braguette et Amandine essuya ses cuisses avec un mouchoir qu’elle prit dans son sac.
— Bien, vous êtes un peu plus présentables... Qu’allons-nous faire de vous maintenant ?— Ne dites rien, s’il vous plaît Madame. On le refera plus, la suppliai-je.— Oui, Madame, on vous jure que ça n’arrivera plus. S’il vous plaît, ne dites rien à la direction ou à nos parents, minauda Amandine.
Elle enchaîna ainsi plusieurs supplications avec une voix mielleuse et en faisant des yeux de biche. Comme avec ma mère, la première fois au studio, cela sembla fonctionner sur Mme T. Elle avait un don pour ça ma copine. Le visage de Mme T se décrispa un peu puis elle eut un long soupir (celui que faisaient vos parents quand ils avaient décidé de vous punir ou de s’énerver, mais que finalement ça n’en valait pas le coup).Elle finit même par sourire. Là, ça me frappa, elle s’était habillée moins strictement que d’habitude et semblait même un peu maquillée. Et Amandine m’en fit la remarque après, en arrivant à l’atelier, elle lui avait semblée plus joyeuse, plus enjouée que d’habitude.
— Ce n’est pas anodin ce que vous avez fait les enfants. Je sais bien que vous êtes majeurs, mais faire ça en classe, franchement. Je devrais prévenir la direction et vos parents...
Elle laissa sa phrase en suspens, je ne respirai plus, Amandine non plus. On se prit la main instinctivement et on la serra très fort. Mme T nous regarda :

— Vous êtes mignons. Et puisque cette semaine, mon foyer est de nouveau réuni, ce doit être une semaine de joie, pas de réprimandes excessives. Vous me promettez de ne plus recommencer ?— Oui Madame, on vous promet, lui promit-on tous les deux.— Bon, rentrez chez vous, nous lança-t-elle en riant.
Nous ne nous fîmes pas prier et nous prîmes nos jambes à nos cous.C’était le 5 octobre 1990, mais je ne fis pas le rapport tout de suite avec ce qu’elle avait dit.
* * *


Nous avions vraiment eu chaud ce soir-là. Du coup, effectivement, nous nous étions bien calmés dans l’enceinte de l’établissement. Nous nous retrouvions en dehors pour continuer nos baises et autres jeux sexuels. A l’intérieur, nous faisions profil bas, surtout quand on croisait Mme T dans les couloirs ou qu’on l’avait en cours d’allemand.Inutile de dire que durant les ateliers suivants, nous avions été exemplaires ! Participant même avec un peu trop de zèle. Sylvie qui était un peu jalouse, en compétition, avec Amandine, nous en fit la remarque :
— Vous voulez être les chouchous de la prof ou quoi ? C’est quoi votre jeu-là ?— Oh ta gueule, lui répondit Amandine !
Sylvie lui jeta un regard noir et lui dit :
— Oh et puis je m’en fous. Faites ce que vous voulez.
Elle s’en alla.
— Elle risque de nous emmerder celle-là!— Bah elle a dit qu’elle s’en foutait. On est tranquille.— Tu connais pas encore bien les filles toi !
Je remarquai les jours suivants que Sylvie nous observait toujours du coin de l’œil quand Amandine et moi étions ensemble. Elle cherchait clairement à savoir ce qu’il se passait. Surtout, elle intensifiait son inspection dès que Mme T était dans les parages. Amandine n’avait pas tort en fait. Elle n’allait pas lâcher l’affaire comme ça. Je me rappelle qu’une fois, nous étions allés dans le parc public qui bordait le lycée. Il n’était pas très fréquenté, car un peu à l’écart du centre-ville. Et du côté qui longeait notre établissement, il n’y avait pas d’aire de jeux pour enfants, elle était à l’autre bout du parc. Nous pensions profiter de quelques rayons de soleil sur un banc après la fin des cours. Le soleil nous réchauffant les corps, nos esprits s’échauffèrent également. Nous nous embrassâmes bien goulûment, nos mains partirent en pilotage automatique vers des territoires bien connus.
Le parc était peu fréquenté, mais si on voulait aller plus loin, il nous fallait trouver un endroit plus discret. Plus petit, lors de parties de cache-cache avec ma sœur, j’avais trouvé une sorte de tunnel entre des buissons situés le long d’un mur d’enceinte. Cela débouchait sur un petit espace d’à peine plus d’un mètre carré, mais il était bien caché de l’allée qui passait à une dizaine de mètres. Si quelqu’un se rapprochait juste devant les buissons, il pourrait nous voir, mais ça nous laissait le temps de réagir.
Nous allâmes donc dans cet endroit discret situé à une cinquantaine de pas de notre banc. Amandine hésita un peu, en jupe et ballerines, elle n’était pas équipée pour un parcours du combattant. Je la rassurai en lui disant qu’il fallait se mettre accroupi pour entrer dans les buissons, mais qu’après, il suffisait de se pencher pour arriver à l’espace dégagé.
On y entra tous les deux, debout, elle adossée au mur, nous reprîmes nos embrassades bien baveuses. Je passai ma main sous sa jupe. Elle commença à gémir tout bas sous l’effet de mes caresses. Elle cherchait à rester discrète, nous étions quand même dans un lieu public. La culotte me gênait, je décidai de l’enlever.
— Non, pas ici... me dit-elle dans un souffle.— Tu veux que j’arrête ?
Je passai alors un doigt sous la culotte pour titiller son bouton. Elle écarquilla les yeux en grand, eut un petit sursaut puis se relâcha complètement dans un soupir de satisfaction.
— Non... conti... continue...
Je pus alors enlever sa culotte, je la suspendis à une branche à côté et je repris mon doigtage. Sans le tissu pour me faire barrage, je pus allègrement faire rentrer un doigt puis deux dans son con. Se laissant aller complètement, elle posa ses mains sur ma tête et m’incita à descendre. Je compris le message et m’attela à la tâche. Elle avait relevé sa jupe et posé un pied sur une branche basse pour me faciliter l’accès. Je la léchai et la doigtai en même temps. Si son corps et son bassin réagissaient à mes sollicitations, je ne l’entendais pas du tout. Je m’inquiétai, elle d’habitude si expressive, et levai les yeux vers elle. Elle mordait le col de son chemisier pour étouffer ses potentiels cris et gémissements. Rassuré, je replongeai entre ses cuisses. Il ne fallut pas longtemps pour qu’un jet de cyprine et des tremblements dans ses jambes m’indiquèrent qu’elle avait joui. Je me relevai et l’embrassai pour qu’elle profite aussi de son jus intime.
Je m’adossai alors à mon tour contre le mur, elle entendit mon appel et s’accroupit pour entamer une pipe qui me comblait d’aise à chaque fois. Je fermai les yeux et profitai de la douceur de sa bouche. J’ouvris les yeux au bout d’un moment pour regarder ce qu’elle faisait. Elle y mettait du cœur, je vis qu’elle avait les fesses à l’air. Elle avait gardé la jupe relevée et elle avait bien fait, car les feuilles à ses pieds étaient trempées de sa mouille. Elle continuait donc à couler comme une fontaine. La situation devait sacrément l’exciter. Je relevai la tête pour la poser contre le mur et finir de profiter de sa bouche.
J’aperçus alors entre les feuilles Sylvie, dans l’allée, qui allait bientôt passer à notre niveau. Visiblement, elle cherchait quelque chose ou quelqu’un. Je me rendis compte que c’était nous qu’elle cherchait ! Elle s’arrêta juste en face de notre cachette. J’allais stopper Amandine, mais la situation m’excita encore plus. Je pouvais observer Sylvie sans qu’elle sache que nous étions à une dizaine de mètres. Elle avait dû nous suivre dans le parc pour nous espionner, mais avait sûrement perdu notre trace quand nous étions rentrés dans les buissons.
Je la voyais scruter les alentours. Je la détaillai alors. Elle n’était pas mal non plus dans son genre. Elle était châtain, tirant sur le roux, plus proche du blond vénitien. Elle avait un teint de porcelaine orné de jolies taches de rousseur sur le nez et les pommettes. Son corps était assez athlétique, elle faisait de la natation synchronisée à un bon niveau, il me semblait. Cela lui faisait des épaules un peu carrées et un fessier bien ferme et rebondi. Sa jupe le moulait bien, ça donnait envie d’y mettre un petit coup. Je me surpris à m’imaginer faire des saloperies à une autre, alors qu’Amandine me suçait la bite en dessous. Elle n’avait rien remarqué et continuait son office de plus belle. M’imaginer culbuter le cul rebondi de Sylvie finit de faire monter mon plaisir. Je me retins de faire du bruit, je ne pus donc avertir Amandine de mon éjaculation prochaine. Elle fut surprise de la première giclée, mais me garda en bouche. Elle ne perdit pas une goutte des trois ou quatre suivantes.
Elle faisait ça quand elle voulait être sûre de ne pas tacher ses vêtements ou garder des traces sur le visage ou les cheveux. Elle finit gentiment de me nettoyer la bite avant de la ranger. Elle attrapa ensuite des mouchoirs en papier pour essuyer ses cuisses luisantes et sa chatte dégoulinante. C’était suffisant pour rentrer chez elle sans se faire remarquer. Sylvie était toujours là. Quand Amandine se releva, elle sursauta en voyant Sylvie dans l’allée.
— Ça fait longtemps qu’elle est là, la salope ?— Une ou deux minutes. Elle nous cherche, je pense.— Et tu m’as rien dit ? s’insurgea-t-elle dans un murmure.— Bah, le risque de se faire surprendre était excitant et...— Tu finis pas ta phrase ?
Elle me fixa dans les yeux, me scrutant comme pour voir en moi. Je n’étais pas très à l’aise.
— Alors, me relança-t-elle ?— Euh... et je l’ai bien maté, elle est pas mal foutue quand même.
Elle tourna son regard vers Sylvie. Je la vis balayer son corps de haut en bas plusieurs fois en se mordant les lèvres. C’est parce qu’elle était encore excitée de nos ébats ou bien elle aimait un peu les filles ?
— Si on aime les poils de carottes, elle est pas moche !
Bon, son inimitié avait repris le dessus. Sylvie finit par partir d’elle-même, ne nous trouvant pas. Nous ressortîmes de notre cachette cinq minutes plus tard. Nous décidâmes de prendre plus de précautions autour du lycée. Et de garder un œil sur Sylvie, tant pour la surveiller comme elle nous surveillait. Tant pour le plaisir des yeux, au moins pour moi. Une fois que j’eus quitté Amandine, je me rendis compte que sa culotte devait toujours être accrochée là-bas.
Jusqu’aux vacances de la Toussaint, nous nous sommes tenus bien tranquilles comme ça, au lycée et aux alentours. Pendant les vacances, on ne put se voir avec Amandine. Nous étions tous les deux de corvée de visite à la famille pour la Toussaint. Ça voulait dire repas ennuyeux, visites de cimetière, etc. Pas le rêve de jeunes adultes donc.
Je me faisais une joie de retrouver ma petite chérie le lundi de la rentrée. Mais elle fut absente trois jours de plus, car elle était malade.Je la retrouvai le jeudi, mais elle ne tenait pas encore la grande forme.Le vendredi, elle avait retrouvé la santé. J’espérais bien en profiter après les cours. Je n’en pouvais plus d’attendre.

* * *


Nous nous retrouvâmes dans les toilettes juste avant l’atelier. Nous nous embrassâmes à pleine bouche, nous commençâmes à nous tripoter de partout. Nous voulûmes rentrer dans une des toilettes pour être tranquilles, mais nous entendîmes Mme T arriver et demander à ses élèves de rentrer en salle de projection.
— Je vous rappelle que d’ici les prochaines vacances, vous devrez avoir choisi un sujet. Vous devrez le choisir tous ensemble. Avec le matériel à disposition, nous ne pouvons faire plusieurs projets en même temps.
C’est vrai qu’on avait un projet à faire. On n’était pas là pour seulement regarder des films pourris, faire semblant de s’y intéresser et en parler après.
— Bon, nous allons continuer des visionnages de films sur des sujets variés dans des styles variés. Nous en parlerons au début de l’atelier suivant. Nous regarderons maintenant l’intégralité des films quitte à finir à 21h.— Ah la loose, murmurai-je à Amandine.— Tu parles, on a autre chose à faire, dit-elle en posant sa main sur ma cuisse.— Pour ce soir, l’affaire Thomas Crown avec Steeve McQueen. Vous porterez une attention particulière à l’utilisation de l’écran splitté et à la scène de la partie d’échecs.
Pour une fois, le film était sympa. Effectivement, la mise en scène avec les écrans divisés était intéressante. Nous nous tenions toujours à carreau avec Amandine. Mais notre éloignement forcé et le début d’action de toute à l’heure nous avaient un peu échauffé les sens.On en arriva à cette fameuse scène. La tension érotique obtenue avec juste un jeu d’échecs était impressionnante. D’ailleurs, Amandine et moi, avec la charge sexuelle qui nous habitait déjà, fûmes particulièrement sensibles à ce jeu entre les deux acteurs. Instinctivement, nos mains retrouvèrent un chemin bien connu d’elles. Amandine passa sa main dans ma braguette et me masturba discrètement sans sortir mon sexe. De mon côté, j’avais plongé ma main sous sa jupe. Je fus surpris de ne pas trouver de culotte.
— J’avais prévu de te faire la surprise dès que nous serions tranquilles, m’indiqua-t-elle.
Je la retrouvai bien là ma coquine. La scène se termina, mais nous, nous continuâmes aussi discrètement que possible. Notre serment à Mme T était oublié depuis plusieurs minutes. Nos hormones avaient pris le dessus ! Soudain, il dut y avoir une coupure de courant, car le film s’arrêta d’un coup. Mme T se leva et on l’entendit actionner l’interrupteur plusieurs fois pour essayer d’allumer la salle.
— Je vais aller voir le gardien. Ne bougez pas, si ça se trouve ça sera vite réglé.
Elle partit à tâtons dans le noir. Les volets électriques avaient été baissés, il n’était pas possible d’avoir un peu de lumière de l’extérieur.Avec Amandine, nous nous étions arrêtés. Une fois la prof partie, nous entendîmes les autres marmonner, discuter entre eux. Ils semblaient nous avoir oubliés, nous qui étions un peu plus dans le fond. Nous ne réfléchîmes pas plus et nous reprîmes notre activité. Amandine sortit carrément mon sexe pour me branler plus facilement. De mon côté, je l’incitai à écarter largement les cuisses pour moi aussi la branler plus aisément. Nous fermions les yeux de plaisir, nous étions plongés dans notre bonheur physique. Nous entendions de loin la conversation des autres.
Nous ne nous aperçûmes pas que le courant était revenu et que les autres s’étaient arrêtés de parler pour nous observer en silence. La lumière avait été rallumée, Mme T avait dû la laisser ouverte en actionnant l’interrupteur plusieurs fois. Rien de tout cela n’était parvenu à notre conscience tant notre plaisir était présent.
— Scheiße ! Wenig besessen !
("Merde ! Petits obsédés !")
Cela nous ramena à la réalité d’un seul coup, comme un coup de fouet !
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