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Le projet artistique

Chapitre 3

Bascule

Orgie / Partouze
Nous ouvrîmes les yeux tous les deux pour voir sept paires d’yeux tournés vers nous. Avec Amandine, nous avions été au bord de la jouissance ; il nous fallut un moment pour reprendre nos esprits et prendre conscience de la scène. Mme T était au pas de la porte, elle avait l’air plus choquée et déçue que vraiment en colère. Elle avait dû revenir sur ses pas quand la lumière était revenue.
Les autres en face de nous s’étaient tournés de notre côté pour nous observer. Je me rendis compte que cela faisait une bonne minute que je ne les entendais plus parler. Ils devaient se rincer l’œil depuis tout ce temps. Je me rendis compte aussi que la réflexion de Mme T, nous traitant de "petits obsédés", ne s’adressait pas qu’à Amandine et moi. En y regardant de plus près, je vis que les autres n’étaient pas restés seulement voyeurs. Olivier avait la main dans la braguette. Sylvie avait une main sous son chemisier au niveau du sein droit. Germain avait une main sur le cul de Marie-Françoise et l’autre sur son entrejambe. Carine et Elisabeth avaient passé une main sous leur jupe. La scène de la partie d’échecs avait commencé à émoustiller les hormones de tout le monde, à dix-huit ans, il n’en faut pas beaucoup faut dire. Et nous voir avec Amandine avait fini de les faire basculer.
L’arrivée de Mme T avait figé tout le monde, elle dut nous ordonner de nous rendre plus présentables pour nous sortir de notre immobilisme.
— Mais rhabillez-vous enfin ! Ne restez pas comme ça !
Tout le monde se redressa et se rajusta au mieux.
— Maxime et Amandine, vous m’aviez promis de vous tenir tranquille. Vous me décevez beaucoup.
Les autres nous regardèrent surpris, comprenant que ce n’était pas la première fois que Mme T nous prenait sur le fait comme ça. Sylvie comprit un peu plus que les autres notre comportement des semaines passées.
— On est désolé, Madame. Mais on ne s’est pas vu des vacances et Amandine n’est revenue de maladie qu’hier. Et on s’est un peu laissé emporter...— Un peu laissé emporter ? Vous aviez le sexe à l’air et la main en pleine action ! me coupa-t-elle.— C’est vrai Madame. On voulait pas faire ça, mais avec le film, on s’est pas rendu compte.— Mais bien sûr, c’est la faute du film ! Et vous autres là, les voyeurs. Vous ne pouviez pas les arrêter, non ?
Ils baissèrent la tête et regardèrent leurs chaussures, tout penauds. Ils avaient espéré que la tempête allait les éviter et se concentrer sur nous. Ils comprenaient qu’ils n’allaient pas y échapper.
— Alors ? J’attends une explication ! s’impatienta-t-elle.
Ils sursautèrent à cette dernière interjection.
— C’est vrai que le film m’avait un peu troublée, commença Marie-Françoise. Et quand la lumière est revenue, je me suis retournée et je les ai vus. Je suis restée figée.— On a vu Marie-Françoise se bloquer alors on s’est retourné aussi, poursuivit Olivier.— Passée la surprise, je les ai trouvés beaux, j’ai pas osé les interrompre et puis...— Et puis après, vous vous y êtes mis, c’est ça ? dit Mme T en coupant Elisabeth.
Ils baissèrent de nouveau la tête. Un long silence se fit dans la salle de projection. Du coin de l’œil, je regardai Amandine, elle avait presque les larmes aux yeux. En face, les autres n’en menaient pas large du tout. Nous attendions simplement la sentence.

* * *

— Et bien, vous n’avez qu’à reprendre là où vous en étiez ! dit Mme T.
Nous relevâmes tous soudainement les yeux vers notre professeure. Prendre une photo de nous à ce moment aurait valu le coup. L’incrédulité la plus grande devait se lire sur nos visages. Devant nos mines déconfites, Mme T crut bon de rajouter :
— Et bien allez-y ! Déshabillez-vous et reprenez vos masturbations !
Je n’en croyais pas mes oreilles, notre prof d’allemand et responsable d’atelier nous demandait, non, nous ordonnait de nous mettre à poil et de nous masturber ! Elle ne semblait même pas en colère, mais plutôt désabusée ou déçue, je ne sus le dire sur le coup. Et sous le choc de cet ordre, Amandine sortit tout haut la phrase qui changea tout :
— Putain, elle déconne Eva Braun !
Elle se rendit compte tout de suite de l’énormité de ce qu’elle venait de dire en mettant sa main devant sa bouche comme pour essayer de retenir les mots à l’intérieur. Mais c’était trop tard. Le visage d’habitude si doux et avenant de Mme T se changea en une fraction de seconde pour basculer vers quelque chose de dure et rouge de colère. Elle attrapa les mains d’Amandine et la coucha à plat ventre sur un des bureaux.
— Ich bin deutsch ! dit-elle en relevant la jupe d’Amandine pour commencer à la fesser.
Elle lui envoya une dizaine de claques sur les fesses, elles étaient très fortes. Les fesses de ma chérie devinrent rouges très vite. Sous le choc, je n’osai intervenir. Les autres non plus, je les voyais regarder la scène de façon incrédule. C’était très bizarre de voir une adulte, même jeune, se faire fesser. Sauf Sylvie qui regardait la main frapper le postérieur en se mordant la lèvre inférieure. Une autre se mordait la lèvre, Carine, mais elle ne regardait pas la main, elle regardait alternativement les fesses rougies et les yeux pleins de larmes d’Amandine.
— Madame, arrêtez ! finis-je par crier.
Cela dut la sortir de sa crise de rage. Elle lâcha Amandine et mit ses mains sur son visage et commença à pleurer. Amandine se jeta dans mes bras. Et pleurait-elle aussi.
— Je suis désolée Madame, je ne voulais pas dire ça.— Mais Mme T, vous avez dit quoi ? Vous êtes allemande ? demanda Germain.— Ou... i. D’après... vous d’où me... vient mon accent ? dit-elle entre deux sanglots.
C’est vrai qu’elle avait un accent, mais entre le fait qu’il était léger et son nom de famille français, je n’y avais pas songé. Pour moi, elle aurait pu être alsacienne par exemple.
— Vous êtes allemande ? On ne savait pas Madame, ajouta Elisabeth. Et puis vous avez un nom français.— Mais elle est mariée avec le prof de sport, c’est pour ça, percuta d’un coup Marie-Françoise.— On est désolé, tous les élèves disent ça en douce sans trop réfléchir. Juste parce que vous êtes la prof d’allemand, expliqua Olivier. Vous êtes de quel coin d’Allemagne ?— Mais putain, Olivier qu’est-ce qu’on s’en fout ? C’est pas le moment des mondanités, pensai-je.
Mais sa question se révéla fort utile.
— D’une petite ville de Thuringe en banlieue d’Erfurt.— Mais c’est en RDA ça !
Voilà que Sylvie ramenait sa science. Et ça changeait quoi ? Mais soudain, je compris quelque chose. Cela faisait plusieurs années qu’elle était dans cet établissement. Donc elle était en France avant la chute du Mur.
— Vous avez pensé le Mur de Berlin pour aller à l’Ouest alors ? risquai-je.— Non seulement la frontière pas très loin de ma ville natale, me répondit-elle.
Quel con ! Je compris soudain un peu mieux la phrase qu’elle nous avait dite la première fois, sur son foyer réuni. Le 3 octobre, les deux Allemagne étaient officiellement réunifiées. Je commençais aussi à entrevoir tout ce qu’elle avait pu subir pour arriver ici.
— Ma carrière est finie ici ! J’ai frappé une élève !
C’était pour ça qu’elle s’était mise à pleurer, la colère l’avait emportée un court instant, mais cela allait lui coûter cher.
— Et nous aussi, dit Amandine.
C’était vrai que dans la situation dans laquelle Mme T nous avait trouvés, nous risquions gros également. Même les autres, ils n’avaient pas été aussi loin qu’Amandine et moi, mais ils allaient le sentir passer.
— Nous sommes tous mal barrés. Oui vous allez avoir des problèmes Madame. Mais quand vous devrez vous expliquer sur les circonstances. On va tous prendre.
Elisabeth avait raison, nous étions tous plus ou moins dans le même bateau.
— Mais j’ai rien fait moi, dit Sylvie.— Tu avais pourtant la main dans ton soutif à te tripoter les nichons tout à l’heure, lui asséna Germain.— Et tu as pris un plaisir certain à me voir fessée, rajouta Amandine.— On est tous liés, dans la même galère. Rien de ce qui s’est passé ici ne doit sortir d’ici. Comme dit mon père :
What happens in Vegas stays in Vegas"."
Carine n’avait pas tort, mais bon, c’était bien beau. Ca ne garantissait pas le silence de tous. L’un d’entre nous pouvait cracher une version qu’il l’arrangeait pour se protéger et nous plonger dans une belle merde. Nous en avions tous conscience. Mais comment s’assurer du silence de tous ? Elisabeth trouva une solution :
— Faut qu’on fasse un pacte. Un truc dans lequel on explique ce qu’il s’est passé et signé par tout le monde. — Et chacun en garde une copie avec lui, poursuivit Olivier.
Tout le monde acquiesça, même Sylvie. Elle n’avait pas fait grand-chose, mais je connaissais un peu ses parents de réputation, enfin surtout son père. Ce n’était pas un rigolo d’après les comptes-rendus des réunions du conseil des parents que mon père avait pu faire à la maison. Elle risquait probablement plus que la plupart ici. Mme T rédigea un compte-rendu exact de ce qui était arrivé. Quelques tentatives eurent lieu pour amoindrir l’implication de certains, mais tout le monde fut à peu près honnête.Tout le monde signa tout le papier. Mme T fit des photocopies, une par personne, et garda l’original avec elle. Car nous conclûmes que c’était elle qui avait le plus à perdre. Nous nous regardions tous avec le papier dans les mains. Il régnait un certain malaise. Pas seulement avec ce qu’il s’était passé. Mais nous sentions un manque de certitude, de sécurité.
— Ce n’est qu’un bout de papier, dit toute penaude Elisabeth.— Quand même, on a tous signé. Nos noms sont dessus, merde !
Sylvie l’avait encore un peu en travers de la gorge. Il fut évident qu’il fallait un truc plus fort pour nous lier. Mais quoi ?
— Il faut qu’on le fasse et qu’on se filme, dit Carine.
Elle n’avait pas dit grand-chose depuis un moment. Cela nous étonna d’elle qu’elle prenne la parole comme ça : elle d’habitude si réservée.
— Mais qu’on fasse quoi ? demanda Mme T.— Ce que vous avez dit tout à l’heure, Madame.— Mais qu’est-ce que j’ai dit ?— De nous... de nous déshabiller et de nous masturber tous ensemble tout nu et tout filmer et chacun garde une copie de la vidéo et vous aussi Madame.
Après une hésitation, elle avait sorti sa tirade à toute vitesse, à la fin de sa phrase, elle était toute rouge et essoufflée comme si elle avait retenu sa respiration de longues minutes. J’eus du mal à tout comprendre de suite. Mais après un moment, je compris ce qu’elle avait voulu dire. Bordel ! Dans quelle dimension on entrait, là ?
* * *


Je devais bien l’admettre, c’était la meilleure solution pour que tout le monde se taise. Il fallut un moment pour que tous en viennent à la même conclusion. Nous nous regardions tous, je voyais bien dans leurs yeux qu’ils avaient pris la même décision que moi. Il fallait que nous le fassions. Mais je n’en revenais toujours pas qu’on en vienne là.
— On est dans la Caméra Cachée ! C’est pas possible, dit Elisabeth ébahie.— Mais j’ai rien fait, protesta mollement Sylvie.
Elle se répétait un peu là, fallait qu’elle change de disque. Nous nous décidâmes sur la façon de faire. Neuf chaises seraient installées en rang en face d’une caméra vidéo qui filmerait la scène. Tout le monde devrait être entièrement nu, personne ne devrait faire semblant de se masturber.Avec Oliver et Germain, nous installâmes les chaises. Mme T prépara la caméra, elle la posa sur un trépied et cadra la scène pour avoir les neuf chaises.
— La caméra est prête, dit-elle.
Bon, maintenant il fallait y aller. Mais personne ne bougeait. On avait commencé la soirée à regarder un film normal. Et on finissait par tourner un porno ! Comment cela pouvait-il arriver ? Dans quelle dimension ?
— Il faut qu’on se déshabille, dit Germain.
Mais ni lui ni personne n’osa être le premier.
— Carine, c’était ton idée, lança Sylvie. A toi de commencer !
Mais elle ne broncha pas. A peine esquissa-t-elle un geste vers les boutons de sa blouse sans aller plus loin. Connaissant ma chère Amandine, j’aurais pensé qu’elle n’aurait pas eu autant de pudeur. Mais entre être audacieuse avec moi dans l’intimité et là devant tout le monde, c’était le grand écart.Bizarrement, ce fut Mme T qui commença. Elle défit les boutons de son chemiser, l’enleva et le posa sur un bureau derrière elle. Personne ne lui emboîta le pas, mais tout le monde l’observait. Elle nous regarda un instant, mais se résolut à poursuivre seule. Elle fit glisser sa jupe au sol et celle-ci rejoignit le chemisier. Elle était là devant nous. Encore en talons, en collants et en sous-vêtements.Elle avait 30 ans notre prof, peut-être un peu plus. Elle avait de jolis cheveux blonds et soyeux. Elle avait de belles formes, un beau cul, des seins de bonne taille d’après ce que je pouvais en voir, cachés qu’ils étaient par le soutien-gorge.
— Nous avons tous décidé de la suite des évènements. Je ne peux être la seule à me déshabiller, nous dit-elle. Vous avez peur finalement ? On arrête tout ?— Non on a décidé, on le fait, lui répondit Amandine.
Evidemment, elle avait pris ça pour un défi, encore une fois. Elle commença à se déshabiller. Elle enleva directement sa jupe, sachant qu’elle n’avait pas de culotte. Sylvie se sentait toujours en concurrence avec Amandine ; elle ne voulut pas être en reste et la suivit dans le déshabillage. Elle enleva plus sagement son polo, son soutien-gorge aurait dû cacher ses seins. Mais quand elle s’était caressée tout à l’heure, un téton était resté sorti. Il était plus brun que ceux d’Amandine, mais plus proéminent. J’aperçus aussi quelques taches de rousseur au-dessus des seins, j’aimais bien en fait.
Les deux filles nous regardèrent, nous incitant ainsi à faire comme elles. Le groupe se décida à les suivre. On se retrouva rapidement nus tous les neuf. On se regardait. J’observai les filles. Elles étaient toutes gênées et cachaient plus ou moins leurs seins et leurs sexes. Mais on distinguait des seins plus ou moins gros.
Carine était typée méditerranéen avec des cheveux au carré très noirs et des yeux noirs aussi. C’était celle dont le corps avait le plus de rondeurs sans être gros non plus. Elle était aussi un peu plus petite que Sylvie ou Amandine. Marie-Françoise avait un corps assez peu formé, mais très musclé au final. Elle devait avoir du mal à remplir un 85A. Elle était la plus petite du groupe. Elle était pas mal avec ses cheveux bruns coupés à la garçonne. Elisabeth avait les seins les plus gros et son cul était aussi le plus volumineux. Il me semblait qu’elle faisait de la GRS, donc ses atouts étaient plus fermes que flasques. Elle était aussi grande qu’Amandine, les cheveux châtains et longs. Ses yeux étaient bleus comme ceux de la prof. Elle rivalisait presque avec Mme T. La prof était la plus grande et élancée de toutes, blonde aux cheveux longs et aux yeux bleus. Elle devait faire facilement un 95C, j’estimai. Les chattes étaient toutes poilues.
Mais toutes les foufounes semblaient à peu près entretenues chez l’esthéticienne.Je jetai un coup d’œil à Olivier et Germain. Germain était plus petit que moi et assez fin, mais très musclé. Je me souvins alors qu’il était dans le même club d’athlétisme que Marie-Françoise. Ses yeux étaient entre le marron et le gris. Et ses cheveux plus clairs que les miens. Il semblait aussi avoir un sexe plus gros que moi. Olivier en avait un comme le mien a priori. Il avait aussi un peu de ventre et était plus rond de corps aussi. Ses cheveux tiraient plutôt sur le blond. Mais je remarquai qu’il regardait aussi bien les filles que les garçons. Il était à voile et à vapeur, comme on disait ?
Les filles se comparaient entre elles du coin de l’œil et laissaient divaguer leurs yeux aussi vers nos sexes de jeunes hommes. Et à voir tout ça, ils commençaient à se gonfler de sang.
— Allez, en place tous, nous dit Mme T.
On s’installa sur une chaise en laissant celle au centre à Mme T. Elle lança l’enregistrement et vint prendre sa place. Au final, on avait positionné les chaises en un léger arc de cercle à cause du manque de place. Donc on pouvait facilement voir les autres. De gauche à droite, il y avait Elisabeth, Marie-Françoise, moi, Amandine, Mme T, Olivier, Sylvie, Carine, Germain. Ce fut encore Mme T qui fut la première à bouger. Je pensai qu’elle était motivée à ce que la vidéo se réalise pour sauver sa place dans l’établissement. Je n’oubliais pas que c’était elle qui risquait le plus parmi nous.
Elle commença à se caresser les seins pour rapidement descendre vers son sexe et, de son index, aller chercher son clitoris. Elle regarda à sa droite et à sa gauche. Nous vîmes dans ses yeux qu’elle nous attendait. J’empoignai mon sexe et commençai un lent va-et-vient. Amandine à ma gauche posa sa main sur sa vulve et ferma les yeux. Les autres commencèrent également à se donner du plaisir.
Elisabeth malaxait ses gros seins d’une main et de l’autre frottait son sexe de sa main pleine. Marie-Françoise avait déjà passé un doigt dans son vagin et émettait de petits soupirs. Elle montait vite en température malgré son corps encore dans l’adolescence, mais en même temps assez musclé. De l’autre côté, je fus scotché de voir Germain, son sexe énorme contrastait fortement avec son corps fin et musclé. Carine se pinçait assez fort le téton gauche d’une main et se caressait le sexe de l’autre. Sylvie y allait avec les deux mains, une sur le clitoris et l’autre avec un doigt dans le vagin. Enfin, Olivier se branlait d’une main et de l’autre jouait avec ses couilles. Enfin Mme T avait largement ouvert les cuisses. Elle respirait fort, de plus en plus, la main droite sur les seins et l’autre excitant toujours son clitoris.
De mon côté, je me masturbais classiquement, une main sur la queue et l’autre sur les couilles. Je prenais un pied notable. Je me demandai à un moment combien de temps cela devait durer. On n’en avait pas parlé. Je croyais que la cassette faisait 30 minutes. Au pire, nous irions jusque-là, me dis-je.
À côté de moi, je voyais Amandine profiter toujours les yeux fermés de sa masturbation. Qu’elle était belle ma cochonne ! Je la regardai un moment, ce qui fit augmenter mon plaisir, me rapprochant de la jouissance. Je tournai ensuite la tête vers Sylvie, je profitai de la situation pour la détailler un peu plus. Elle avait des seins un tout petit peu plus petits qu’Amandine, mais elle avait un corps, et surtout, un cul plus ferme qu’elle. Les poils de sa chatte tiraient un peu sur le roux aussi, taillés courts, on pouvait donc voir facilement ses doigts s’activer en elle.
Derrière elle, je vis les autres se rapprocher aussi de l’extase. Je me dis que j’allais sûrement être le premier à jouir à ce rythme. Mais à ma droite, Marie-Françoise respira d’un coup beaucoup plus fort et gémit de plus en plus bruyamment pour finir par jouir sur sa chaise. Elle fut vite suivie par Elisabeth à côté d’elle. Elle fut plus discrète, mais on lut sur son visage son plaisir arriver.
Ensuite à l’autre bout, Germain, qui avait les yeux fixés sur Marie-Françoise, râla puis lâcha des gros jets de sperme sur son ventre et son torse. Sylvie, Amandine et Carine jouirent ensuite toutes les trois presque en même temps. Sylvie fut la plus expressive des trois. Cela finit de nous achever avec Olivier. Nous explosâmes tous les deux en longs jets sur nos ventres. Ne restait plus que Mme T qui accéléra le rythme, commença à crier franchement. Elle cria de plus en plus fort pour finir par jouir, son sexe expulsa quelques petits jets de mouille sur la chaise, ses jambes tremblèrent et son corps finit par se relâcher.
* * *


Nous sortîmes plus ou moins vite de l’état second dans lequel nous étions. Nous nous essuyâmes, nous nous rhabillâmes sans un mot. Pendant ce temps, toujours nue et les cuisses luisantes de mouille, Mme T fit des copies de la cassette, elle nous confia à chacun l’une d’entre elles. Elle nous fit également un mot rapide pour expliquer l’heure tardive à laquelle elle nous libérait de l’atelier. Elle expliquait que suite à une panne électrique la projection prévue avait pris du retard. Ensuite, les élèves avaient souhaité parler tout de suite du film et ne pas attendre la semaine suivante. Devant cet étonnant enthousiasme, elle n’avait pas voulu briser cet élan. Et le débat avançant, elle n’avait pas vu l’heure passer.
Nous laissâmes notre prof seule dans la salle, elle commençait tout juste à se rhabiller. Je l’observai avant de sortir. A la différence des autres jeunes femmes, elle avait un vrai corps de femme, avec de belles hanches, des seins lourds. Mais comme a priori elle n’avait pas d’enfant, son corps n’était pas marqué par une grossesse. Elle devait faire du sport également, je voyais ses muscles distinctement quand elle bougeait.
Amandine me donna un coup de coude pour arrêter mon voyeurisme et me dit dans l’oreille :
— Je te suffis plus, tu aimes les vieilles maintenant !— Non, bien sûr. Allez on y va.
Nous sortîmes les deniers. Les autres étaient tous partis dans leurs coins, seuls. Je quittai Amandine devant chez elle avec un dernier baiser. Nous n’allâmes pas plus loin. Nous étions émotionnellement et sexuellement épuisés pour ce jour-là.
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