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Le projet artistique

Chapitre 6

Espionnage

Voyeur / Exhibition
Maxime narrateur
J’avais bien des idées sur ce que je voulais faire et lui faire éventuellement ! Mais je ne me sentais pas de sortir ma bite comme ça devant tout le monde. Je voyais les autres gênés aussi de devoir rester ici encore un peu. Certains posèrent quelques questions sur la vie quotidienne en RDA, histoire d’essayer de penser à autre chose. Elisa répondait avec plaisir à nos demandes. Mais je voyais bien dans ses yeux et dans ceux des autres que l’émoi suscité par son récit ne retombait pas. J’avais les images de son film qui tournaient sans cesse dans la tête. A chaque réponse qu’elle donnait sur son quotidien, je la voyais d’abord dans une situation banale avant de basculer celle-ci vers son visage recouvert de sperme ! Impossible de m’en défaire tant que je ne me serais pas soulagé. J’essayai alors d’abréger l’atelier :
— Madame...— Non Elisa, s’il te plaît.— Elisa, c’est intéressant vot... ton quotidien en RDA. Mais j’aurais besoin de partir pas trop tard...
Je laissai délibérément ma phrase en suspens pour lui faire comprendre que je ne souhaitais pas en dire plus. Mais elle ne l’entendit pas de cette oreille.
— Normalement, vous êtes sous ma responsabilité jusqu’à au moins 20h. Vous êtes certes majeurs, mais il y a un règlement dans l’établissement. Je ne peux pas laisser partir l’un d’entre vous comme ça.
Voilà qu’elle se la jouait règlement règlement. J’avais besoin de me soulager les couilles, mince !
— C’est vrai que je ne dirais pas non à partir plus tôt moi aussi, abonda dans mon sens Olivier.— Pareil pour moi, compléta Germain.
Trois sur trois, il y avait bien trois paires de couilles à vider en urgence. Mais je ne pensai pas que ça allait la faire plier.
— Moi je partirais bien aussi, mais mon père ne vient me chercher qu’à 20h pour aller ensuite chez des amis pour dîner, maugréa Elisabeth.
Je savais que sa famille devait venir prendre Amandine vers cette heure-là pour partir voir de la famille pendant le week-end.
— En fait, je crois qu’on aurait tous aimé partir rapidement, pour ceux qui en ont la possibilité, résuma intelligemment Carine.— Si l’atelier ne vous intéresse plus, il faut me le dire tout de suite, s’offusqua quelque peu Elisa.
— C’est pas que l’atelier nous déplait Elisa, au contraire, on a tous bien aimé parler de ton quotidien en RDA. Mais c’est que...
Je ne réussis pas à finir ma phrase.
— C’est que quoi ? demanda-t-elle.— C’est que j’ai besoin d’aller me soulager de toutes ces images de sexe que tu nous as mises en tête avec ton histoire ! explosa Marie-Françoise.
Décidément, la petite Marie-Françoise avait un corps beaucoup plus jeune que ses pensées. Elisa partit dans un éclat de rire qui fut communicatif.
— Alors c’est pour ça que vous voulez partir plus tôt ? Je suis tombée sur une bande de petits pervers à ce que je vois !— Mad... euh Elisa, c’est ton récit qui a fait cet effet sur nous, lui répondit Olivier.
Nous acquiesçâmes tous vivement de la tête. J’espérai enfin que nos demandes communes allaient la faire plier.
— Mais enfin, je veux bien que les jeunes adultes aient les hormones explosives, mais tout de même, je n’ai fait que vous raconter une histoire !
C’est vrai que dit comme ça, on ressemblait bien à une bande de petits cochons. Nous baissâmes les yeux sauf Sylvie qui comme d’habitude alla à la confrontation. Elle soutint le regard d’Elisa, puis lui fit remarquer :
— C’est pas faux, mais si j’en crois ta position sur ta chaise et ton chemisier blanc tendu par tes tétons (qu’on aperçoit un peu d’ailleurs). Cette histoire t’a fait de l’effet aussi.
L’attaque était frontale, directe et sans ambiguïté. Mais Elisa répondit calmement.
— Oh, oui certes. Mais je peux me contrôler et attendre de rentrer chez moi, moi.
Elle avait regardé Sylvie dans les yeux. Sa réponse montrait bien sa supériorité de femme sur la jeune adulte. Cela calma Sylvie. Je me lançai alors à son secours.
— Mais en même temps, si on voit tes tétons, c’est que tu n’as pas de soutien-gorge.— Ah, mais je ne suis pas sans rien sous mon chemisier, tu te trompes Maxime.— Je pense que Maxime a raison pourtant.— Oui moi aussi, je le pense.
Germain et Olivier venaient d’apporter leur soutien. Mais ça voulait dire que les trois gars avaient bien maté les nichons de leur prof. Amandine me gratifia d’un regard noir, Marie-Françoise lança un regard triste vers Germain. C’était sûr qu’elle n’avait pas les mêmes atouts à faire valoir. Je notai dans ma tête qu’il était évident qu’un rapprochement aurait lieu entre ces deux-là, si ce n’était déjà fait.
— Vous le pensez tous ? demanda-t-elle au groupe.
Tout le monde fut d’accord pour dire qu’elle n’avait rien sous son chemisier.
— Vous vous trompez. Regardez !
Elle plaqua son chemisier contre son flanc, on voyait bien le truc qui passait dans le dos. Elle dévoila également son épaule et on vit une bretelle blanche apparaître.
— Bah, comment c’est possible, j’étais sûre que tu n’avais rien ? se lamenta Sylvie.— Oh ! fit Elisabeth en mettant la main devant sa bouche.
Nous nous tournâmes vers elle, elle semblait avoir compris, mais était toute troublée par cette révélation.
— Bah accouche Elisabeth ! lui intima Olivier.— D’abord, arrête de m’appeler comme ça. Je suis pas la reine d’Angleterre. Appelez-moi Liz, je préfère.— Euh, si vous pouviez aussi juste m’appeler Marie, ça fait moins prénom de grand-mère.
C’était d’accord, on pouvait bien les appeler comme elles voulaient. Puis Liz reprit :
— Elisa, tu as un soutif sein nu, c’est ça ? J’ai trouvé un truc comme ça dans la lingerie de ma mère une fois.
Je ne compris pas trop le principe. Soit c’était un soutif soit c’était seins nus. Comment pouvait-on avoir les deux ? Liz tenta d’expliquer, mais elle partit dans une description alambiquée qui ne rendit pas plus claire la chose.
— Le mieux, ça serait que tu nous montres, proposa Amandine.
Elle ne manquait pas de culot ma cochonne ! Autant la semaine dernière, Elisa s’était foutue à poil pour sauver sa place, là elle n’avait rien qui la contraignait à le faire.
— Amandine, tu exagères quand même. Je reste votre professeure, protesta-t-elle.— Allez, si on voit juste tes seins, c’est pas grand-chose par rapport à la dernière fois.
Carine n’avait pas tort, mais c’était loin de pouvoir la faire changer d’avis.
— Au moins, tu as quelque chose à mettre dedans... se plaignit Marie. J’aimerais bien voir ce que ça donne, car avec les miens, mais ça risque pas d’arriver.— Tu es très jolie quand même, la rassura Germain.
Son empressement me fit sourire et confirma définitivement mon impression de tout à l’heure. Amandine décida d’activer son mode "minaudage".
— S’il te plaît Elisa, ça doit être super joli avec des seins aussi beaux que les tiens.— Oh oui, j’aimerais bien voir moi aussi, demanda Sylvie, apportant un renfort inattendu à Amandine.
Nous, les trois garçons, restâmes en retrait. Nous comprîmes que si nous voulions voir les seins de la prof, il ne fallait pas que nous en mêlions. Ça devait lui paraître être un truc purement entre femmes.
— Allez, s’il te plaît !
Plusieurs filles s’étaient levées pour se mettre au plus près d’elle. Elle repoussait leurs demandes de façon assez molle. Elle allait craquer ! Enfin, je l’espérais.
— Bon allez ! C’est vrai que vous les avez déjà vus et plus encore, finit-elle par abandonner.
Je pensai alors qu’elle devait être plus troublée par son récit qu’elle ne voulait bien le dire. Les filles applaudirent, l’encouragèrent et la remercièrent vivement. Elisa se leva et défit la moitié des boutons de son chemisier. Elle le fit descendre de ses épaules, mais l’arrêta au niveau des coudes. Son ventre restait donc caché et ses bras semblaient comme ligotés par le chemisier. Nous pûmes admirer sa belle poitrine dans son écrin blanc. Le soutien-gorge ressemblait à ceux que j’avais déjà vu, des bretelles, une attache dans le dos, des baleines sous les seins. Les bretelles se séparaient en deux pour passer de part et d’autre du sein pour rejoindre la partie classique. Une légère dentelle se positionnait sous le sein pour le soutenir et éviter qu’il ne balance d’un côté et de l’autre.
Les filles étaient en extase devant le morceau de tissu. Elles s’étaient rapprochées d’Elisa pour voir de plus près la lingerie. Elisa les regardait en posant sur elles un regard amusé et attendri. Quelques remarques incitaient Liz à avoir le même genre de lingerie, elle qui avait des seins presque aussi gros. Marie s’extasiait devant la beauté de la chose et se lamentait tout autant de son manque de poitrine.
Les trois garçons restèrent légèrement en retrait, nous ne dîmes rien, préférant simplement être spectateurs. Nous nous intéressâmes beaucoup moins au soutien-gorge qu’à la paire de seins qu’il soutenait. Machinalement, j’avais posé ma main sur ma braguette, Olivier et Germain faisaient de même. Elisa nous vit, mais ne dit rien. J’eus l’impression que de voir le désir qu’elle provoquait en nous fit un peu pointer ses tétons. Ça pouvait n’être que mon imagination ou seulement qu’elle avait un peu froid. Les filles commençaient à toucher la dentelle, les bretelles ; des doigts et des mains effleuraient alors les seins et les tétons. Elisa fermait les yeux ou se pinçait les lèvres à chaque fois que cela arrivait.
— Voilà, c’est tout, dit-elle en remontant son chemisier sur ses épaules et en cachant ses seins.
Les jeunes femmes demandèrent du rab, mais Elisa tint bon. Avec tout ça, il était 19h30. Nous réessayâmes de demander à partir plus tôt.
— Bon, c’est d’accord. L’heure est assez avancée.
Nous prîmes nos affaires et nous sortîmes rapidement. Je tenais Amandine par la main. Je pris le parti d’attendre avec elle qu’on vienne la chercher. Liz était là aussi à attendre devant les grilles de l’entrée. Tous les autres s’étaient vite sauvés. Je savais ce qu’ils allaient faire en rentrant chez eux.
— Je sais pas comment je vais faire ce soir ! s’inquiéta-t-elle. Je ne pourrai me soulager que dans ma chambre et on ne sera pas rentré avant minuit !— Tu n’as qu’à faire ça dans les toilettes ou la salle de bain chez vos amis, non ? lui proposa Amandine.— Mais j’ai trop peur de me faire surprendre.— Mais ça décuple le plaisir, lui répondis-je.— Bon, je verrai, si je ne tiens plus.
Là-dessus, la voiture de ses parents arriva, nous laissant seuls avec Amandine.
* * *


J’étais enfin seul avec Amandine. Il n’était que 19h35, ses parents n’allaient pas arriver tout de suite.
— Ça a encore été un atelier complètement dingue, non ? lui fis-je remarquer.— C’est clair. Tu te rends compte de ce que nous a dit Elisa sur son passé.— Après, je comprends mieux pourquoi elle n’avait rien dit les deux fois où elle nous avait surpris.— Sans parler de l’atelier de la semaine dernière.— Et même ce soir. Elle a sorti ses seins devant nous. Vous avez même touché ses nibards !— Mais non, t’es con.— Mais si ! On s’est regardé avec Olivier et Germain. On le voyait bien.— Ah... maintenant que tu le dis. J’ai peut-être touché sa poitrine par inadvertance en voulant inspecter son soutien-gorge. Et puis comme elle n’a rien dit...— Tu m’étonnes ! Elle semblait apprécier. Elle fermait les yeux à chaque fois que vous la touchiez et ses tétons se sont un peu plus érigés au fur et à mesure.— Quelle salope...
Nous entendîmes au même moment des personnes arriver tout en bavardant. Nous nous précipitâmes dans un coin sombre derrière un ancien abribus où les lumières des lampadaires ne nous atteindraient pas. Nous venions de traiter notre prof de salope quand même. Amandine n’avait pas vraiment dit ça comme une insulte, mais plutôt comme synonyme de "cochonne" ou "grosse coquine", avec une pointe d’admiration, me sembla-t-il. Il valait mieux se planquer si nous ne voulions pas nous embarquer dans des explications gênantes.Nous vîmes arriver Elisa et le gardien. Elle lui expliquait que pour ce soir, nous avions fini un peu plus tôt pour compenser la fois d’avant. Elle ne rentra pas dans les détails, le gardien était content de ne plus avoir personne dans les bâtiments.
— Comme ça, je peux fermer plus tôt. Je vais être tranquille, lui dit-il en fermant la grille derrière elle.— Et bien bonsoir et à lundi. Bon week-end à vous.
Au lieu de partir vers le parking un peu plus loin, elle resta plantée devant la grille. Nous ne pouvions pas sortir de notre cachette. Nous aurions encore dû expliquer pourquoi nous y étions...
— J’espère qu’il ne va pas trop traîner, se dit-elle tout haut.
Elle attendait donc qu’on vienne la chercher. Combien de temps nous allions rester là nous ? Il n’y avait pas beaucoup d’espace, nous étions obligés de nous serrer l’un contre l’autre. Ce n’était pas pour me déplaire, mais dans notre état à tous les deux, c’était dangereux. Il ne passait aucune voiture par ici un vendredi soir. Du coup quand nous vîmes une petite voiture arriver dans la rue, nous sûmes que c’était pour elle. Les parents d’Amandine roulaient en grosse allemande (sans mauvais jeu de mots).Elle s’arrêta en effet devant Elisa. Notre professeur ouvrit la porte passagère :
— Oh putain, je n’en pouvais plus que tu me rejoignes.— Pourtant j’ai pas tardé à ven...
Le conducteur n’eut pas le temps de finir sa phrase, car Elisa, entrée dans la voiture, se jetait sur lui pour l’embrasser. Le plafonnier du véhicule nous permit de reconnaitre Paul T, le prof de sport et mari d’Elisa. Nous observions la scène par des trous dans l’abribus en métal. Nous nous amusions de la situation de voyeurs dans laquelle nous étions malgré nous. La porte de la voiture fermée, ils ne pouvaient nous entendre si on ne parlait pas trop fort.
L’auto redémarra doucement, elle entra sur le petit parking réservé aux voitures des profs. Je pensai que la voiture allait y faire demi-tour, mais elle s’arrêta. Le moteur fut coupé et les lumières s’éteignirent. Ils ne s’étaient pas garés sous un lampadaire, mais la lumière environnante nous permettait de voir les passagers. Et pour nous, le point de vue était meilleur, nous n’avions plus à regarder par des trous et nous étions toujours bien cachés dans l’ombre. Nous aurions pu sortir de là en partant dans la direction opposée, mais nous eûmes trop envie de voir la suite.
Ils restèrent quelques secondes à observer alentour. Puis, n’y tenant plus, Elisa se jeta de nouveau sur son mari. Elle ne l’embrassait pas elle lui dévorait la bouche. Il lui rendait bien d’ailleurs, il avait passé sa main gauche sous le chemisier et devait palper le sein droit d’Elisa. Elle semblait avoir le bras droit tendu vers l’avant. Je ne pouvais voir où sa main était posée, mais j’imaginais sans peine ce qu’elle pouvait faire. De mon côté, alors que ma bite s’était un peu calmée depuis que nous étions sortis, elle redémarra au quart de tour. Je me rapprochai d’Amandine qui était devant moi. Je commençai à l’embrasser dans le cou pendant que mon sexe se collait à ses fesses.
— Ça t’excite mon salaud ?— Oui. Et je pense que toi aussi.
J’ouvris alors son blouson et passai mes mains sous ses vêtements. J’empoignai ses seins et les sortis de leur cocon pour titiller les tétons. Ils étaient déjà bien durs.
— Alors ? Ça te plaît on dirait.— Oh oui Max. C’est excitant de voir Elisa et son mari alors qu’eux ne savent pas qu’on est là. Et toi alors, ça te plaît aussi ?
Sans attendre ma réponse, elle passa sa main entre nous et la posa sur mon entrejambe. La belle bosse qu’elle trouva lui confirma ses soupçons.
— On dirait bien que oui, gloussa-t-elle.— C’est clair. Et dire qu’elle disait tout à l’heure qu’elle pouvait se contrôler... Oh regarde, ils bougent !
En effet dans la voiture, il y avait du mouvement. S’ils étaient restés penchés l’un vers l’autre au début, le prof de sport avait maintenant rejeté Elisa au fond de son siège. Il se pencha vers elle et, tout en l’embrassant, ouvrit son chemisier en grand. Il put alors descendre sur ses seins et les embrasser, les mordiller à loisir. Elle avait rejeté la tête en arrière et fermait les yeux. Ses mains, posées sur la tête de son mari, l’encourageaient à continuer. De temps en temps, elle jetait un œil alentour pour vérifier qu’ils étaient seuls.
Elisa décida de prendre la suite des évènements en main. Elle fit redresser son mari et c’est elle qui se pencha vers lui. Elle ne se contenta pas de son torse, mais alla plus bas. Rapidement, elle se mit à quatre pattes, les genoux sur son siège et son cul presque collé à la vitre passagère, pour être plus à l’aise sans doute. Je voyais ses fesses bouger au rythme de sa fellation. Car ça ne pouvait être que ça qu’elle faisait.
Amandine et moi regardions toujours la scène. Nous commentions ce qu’il se passait sous nos yeux. J’avais complètement mis à l’air les seins d’Amandine et elle avait sorti mon sexe aussi. Je m’étais concentré sur ses seins, mais je décidai de passer à la vitesse supérieure. Au moment où le mari d’Elisa remonta sa jupe à sa taille pour lui caresser les fesses, j’en fis de même avec celle d’Amandine. Je lui pelotais le cul un moment puis j’en voulus plus, je rentrai ma main sous son collant et dans sa culotte pour m’occuper de sa chatte. Quand j’y glissai les doigts, je me rendis compte qu’elle mouillait abondamment.
— Alors petite cochonne. C’est quoi qui te fait mouiller comme ça ? Moi ou les deux là-bas ?— Toi... et... eux, me répondit-elle entre deux soupirs de plaisir.
Amandine avait pour habitude de souvent fermer les yeux quand nous baisions ou que nous nous tripotions simplement. Là, je vis qu’elle fixait intensément la voiture où se déroulait la partie de sexe. Moi aussi, je n’en perdais pas une miette.
— Et ton sexe bien dur alors ?— Pareil, toi et eux.— Ah, ça bouge encore.
Amandine avait raison, je n’avais pas fait attention, mais M T avait remonté la jupe et baissé les collants et le slip d’Elisa. Il avait rentré un doigt dans le vagin de sa femme. Cela dura quelques instants. Je me dis que le prof de sport tenait bien, car moi j’aurais giclé depuis longtemps dans sa bouche. Et puis nous les aperçûmes se relever et bouger. Nous entendîmes deux claquements métalliques. Instinctivement, nous sursautâmes et nous regardâmes autour de nous. Mais ça venait de la voiture, ils avaient reculé les sièges. Elisa se mit alors à califourchon sur son mari pour se faire prendre par lui. Il lui fallut deux ou trois essais pour bien se positionner puis elle commença à monter et descendre sur la bite du conducteur.N’y tenant plus, je fis se pencher Amandine et la pénétrai également. J’eus un long râle de satisfaction en entrant dans son antre dégoulinant, elle m’accompagna dans un long soupir d’aise.
— Oh oui. Tu as mis le temps ! Allez ! Baise-moi bien.
Je baisais ma copine tout en regardant ma prof et son mari en faire autant. J’avais presque l’impression de la baiser elle et pas Amandine. Celle-ci les matait également. Avait-elle l’impression de se faire mettre par le prof de sport ? Je ne voulus pas lui demander, de peur qu’elle prenne mal le fait que je m’imaginais baiser Elisa.
Nous allions plus ou moins au même rythme qu’eux. M T embrassait et mordillait les seins offerts à sa bouche. Parfois, ils s’embrassaient passionnément tous les deux. Et je vis le rythme s’accélérer, Elisa se cabrer un peu plus. Nous n’entendions pas trop, mais il était clair qu’elle commençait à crier ou gémir plus fort. J’accélérai le rythme moi aussi, faisant pousser de petits halètements à Amandine. Je ne résistai plus et lâchai la purée dans la chatte d’Amandine. Elle eut un orgasme silencieux. Ni elle ni moi n’avions détourné le regard du couple de la voiture. Alors que ma bite était encore au chaud, je vis Elisa comme tétanisée et son mari donnant de derniers et longs coups de reins. Ils jouissaient également. Elle retomba dans ses bras. Ils restèrent KO quelques instants puis s’embrassèrent. Elisa revint à sa place passagère. Elle referma son chemiser, lui devait ranger son attirail également. Quand ils furent à peu près rhabillés, la voiture redémarra et repartit.
Amandine et moi avions aussi repris une apparence plus correcte. Elle prit bien soin de se nettoyer avec des mouchoirs en papier. Quelle consommation nous en faisions ! Elle en mit deux au fond de son slip pour éviter des fuites éventuelles. Elle se remit du parfum dans le cou, sur les poignets et entre les cuisses pour cacher les odeurs de cyprine et de foutre. Nous ressortions tout juste de notre cachette que la voiture de ses parents déboucha dans la rue. Juste le temps d’un petit bisou. D’un rapide salut aux occupants, de la voiture et Amandine me laissa seul.
J’y restai quelques minutes, perplexe encore une fois devant la tournure des évènements de la soirée. Elisa nous avait parlé de son tournage porno, elle avait montré ses seins et, avec Amandine, nous l’avions vu faire l’amour avec son mari.
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