Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 105 J'aime
  • 0 Commentaire

Le projet artistique

Chapitre 7

Marchandage

Divers
Maxime narrateur
Dans les semaines qui suivirent, le cours de notre vie à tous sembla reprendre une tournure plus conforme à la norme. L’atelier du vendredi soir se passait normalement : nous visionnions un film et nous en parlions dans la foulée. Seule particularité, nous continuions d’appeler notre prof Elisa et de la tutoyer, sauf en dehors de l’atelier où c’était toujours Mme T. De temps en temps, des questions sur son quotidien en RDA revenaient. Aucune autre séance aussi bizarre que les précédentes n’eut lieu.
Avec Amandine, nous filions toujours le parfait "amour", nous restions sages dans nos cours de "consolidation" et autour de l’établissement pour nous retrouver chez elle ou chez moi pour baiser ou juste être ensemble. Mes soupçons se confirmèrent pour Germain et Marie, on les vit de plus en plus ensemble. Jusqu’au jour où on les vit se tenir par la main, s’embrasser. À côté de ça, il semblait aussi y avoir rapprochement entre Liz et Olivier. Mais pour eux, j’étais moins certain : soit ce n’était pas le cas soit ils avaient décidé d’être discrets. Sylvie et Amandine avaient plus ou moins fait la paix. Et Carine était devenue la grande copine de Sylvie. Ça ressemblait plus à une relation dominant/dominé, Carine portait parfois les affaires de Sylvie, marchait juste derrière et pas à côté, etc. Mais Carine semblait s’épanouir dans ce rôle et Sylvie appréciait les attentions que Carine lui portait. Et globalement, les cinq filles semblaient parfaitement s’entendre.
Nous, les trois mecs, aussi par la force des choses. Si tout le monde était heureux, alors pourquoi s’en faire ?Eh bien, moi, je n’étais pas totalement satisfait. Il y avait une chose qui tournait dans ma tête sans relâche et je n’arrivais pas à l’en faire sortir. Je me rendis compte que Germain et Olivier semblaient aussi préoccupés par quelque chose au fond d’eux. Je me décidai de mettre carte sur table avec eux. Je les invitai donc un samedi matin chez moi. J’étais dispo, car Amandine avait son cours d’équitation comme d’habitude. Et je ne voulais qu’elle soit au courant de cette rencontre. J’avais d’ailleurs demandé à Germain et Olivier d’être discrets.
— Bon alors Max. C’est quoi cette réunion d’agents secrets que tu nous fais ? me demanda Olivier sur le ton de la plaisanterie.— Je me demande aussi. Tu as dit qu’il y avait un sujet dont tu voulais nous parler qui te trottait dans la tête. Et parce que tu pensais qu’on avait le même, Oliv et moi.
Je n’avais pas prévu de commencer directement par ça. Mais plutôt de tourner autour du pot, de reparler des ateliers bizarres que nous avions eus. Mais comme ils attaquaient direct, je me mis au diapason :
— Depuis qu’Elisa nous a raconté son premier tournage, j’ai dans la tête l’image d’elle se faisant gicler sur le visage par Karl. Et vu comment vous regardez Elisa en cours d’allemand ou en atelier, je suis sûr que vous y pensez aussi.
Cette révélation les laissa quelque peu sous le choc. Tant pour ce que je leur avouais que pour être découverts. Car leurs têtes de gamins pris la main dans le pot de confiture parlaient pour eux. Je ne leur laissai pas trop le temps de nier :
— Et ne me dites pas le contraire avec vos têtes de coupables.— Euh... oui c’est vrai, des fois, j’y pense, se décida Olivier.— Ouais, de temps en temps, renchérit Germain.
Ce n’était que des demi-aveux. Il m’en fallait des vrais :
— Non, ne faites pas semblant. Ce n’est pas des fois. Je pense que comme moi, c’est très souvent et surtout à chaque fois que vous voyez Elisa.

Je les vis encore accrochés à leur demi-mensonge. Je décidai d’abattre mon atout majeur.
— Je pense que ça vous occupe tellement l’esprit qu’au dernier contrôle d’allemand, vous n’avez pas eu une bonne note.
Pour Olivier, qui était dans ma classe, je connaissais à peu près la réponse.
— Ecoutez. Moi j’ai eu un petit 11 alors que d’habitude, je tourne autour de 15 ou 16.— Quoi ? C’est pas parce que j’ai eu tout juste 10, au lieu de mes 14 habituels, que ça veut dire quelque chose, argua Germain.— Et toi Olivier ? lui demandai-je.— J’ai eu 11 aussi.
Alors qu’il avait des notes équivalentes aux miennes en temps normal.
— Bon, vous voyez bien que ça nous perturbe.
Germain plissa des yeux en me regardant.
— Je suppose que tu ne nous as pas fait venir que pour qu’on avoue qu’on a les mêmes pensées que toi...— C’est vrai. Le problème c’est que ça reste dans ma tête. J’ai essayé de ne plus y penser, mais pour ça, il ne faudrait plus voir Elisa. Je me suis dit que si je pouvais faire ça avec Amandine, j’assouvirais cette vision. Mais elle ne veut pas en entendre parler. Elle est OK pour me sucer, des fois elle avale. Elle dit que j’ai pas mauvais goût, mais elle n’apprécie pas plus que ça.— Moi je me suis branlé plein de fois devant la vidéo. J’ai même giclé sur la télé en direction du visage d’Elisa, mais ça le fait pas, confia Olivier.— T’es dégueulasse, dis-je. Pauvre télé !
Nous éclatâmes de rire.
— Et toi Gégé. Tu as essayé de t’en défaire ?— Oui...— Et... donc ?— Bah avec Marie on en est pas encore là. On en reste à se donner du plaisir avec nos mains.— Pas trop dur d’attendre ? me moquai-je gentiment.— C’est plutôt moi qui ralentis. Avec mon machin, j’ai peur de lui faire mal. Nous sommes adultes, mais elle a un corps si petit et qui paraît si fragile...— Oui, mais on l’a vu et entendu. Elle a des pensées beaucoup plus matures que son corps le laisse voir. Si elle veut vraiment, elle saura prendre les précautions qu’il faut pour ne pas se faire mal. Et puis sois attentif à ce qu’elle ressent, le conseillai-je.— Et puis corps fragile. J’en ai jamais vu des musclés comme ça, ajouta Olivier.
Nous étions des jeunes hommes, nous n’étions pas des brutes quand même.
— Un bon vieux missionnaire. C’est idéal pour contrôler la situation, compléta-t-il.— Bon et toi au fait. A part gicler sur la télé ? dit Germain pour détourner la conversation de lui.— Euh... bah... pas grand-chose d’autre.— Là mon bonhomme, tu nous caches quelque chose, pensai-je.
Je cherchai alors à savoir si mon intuition était bonne.
— Et avec Liz, vous faites rien ?— Mais euh non, euh on n’est pas ensemble.— Bon, tu peux bien garder tes secrets en cours. Mais tu es avec nous, on a signé un pacte, lui rappelai-je.— Et une vidéo où tout le monde se masturbait, ajouta Germain.— OK, c’est vrai, on sort ensemble.— C’est cool. Pourquoi vous le cachez alors ?— On s’est rendu compte que nos paternels sont directeurs commerciaux de deux entreprises concurrentes. Et en plus, ils ne s’aiment pas spécialement.— Bref, vous nous faites un remake de Roméo et Juliette, conclut Germain.
Nous nous tordîmes de rire sur le clic-clac de mon studio photo. Il nous fallut un moment pour reprendre un peu de sérieux.
— Bon et donc, vous faites quoi ? lui demandai-je.— Tu lâches jamais le morceau toi ?— Non jamais.— Ben, on a baisé une fois ou deux mais comme on veut rester discret, c’est compliqué. Et non, je ne lui ai pas giclé en plein visage. Elle m’a juste sucé normalement pour l’instant.— Bon, on est trois couillons qui ont un truc dans la tête qui ne veut pas en sortir et on ne sait pas quoi faire.— Je suis sûr que si tu nous as fait venir. C’est que tu as eu une idée. Mais je me demande pourquoi tu as besoin de nous.
Mais il était perspicace le père Germain.
— Alors vous savez ce qu’on dit quand on a une chanson qui tourne dans la tête pour que ça s’arrête ?— Il faut la chanter vraiment tout haut, dit Olivier.— Mais je vois pas le rap... Oh putain, tu veux éjaculer sur le visage d’Elisa !— Oui, répondis-je simplement.— Mais t’es dingue. Jamais elle ne nous laissera faire ça. Car c’est pour nous trois que tu envisages ça, n’est-ce pas ?— Oui, Olivier. Je suis sûr qu’elle est assez portée sur le sexe pour ça.— Mais ça reste notre prof. On a fait un pacte et une vidéo et tout. Mais elle a fait ça pour sauver sa place.— C’est pas faux Germain. Mais tu oublies qu’elle n’a pas trop hésité à la tourner cette vidéo et c’est elle qui s’est caressée la première.— Et il y a le film porno qu’elle a fait en RDA aussi.— Oui Oliv. Mais c’était il y a longtemps et elle cherchait de l’argent avant tout.— Tu as raison Gégé. Mais rappelle-toi son récit. Elle y avait pris vraiment son pied. Et puis après nous avoir raconté ça, elle était toute troublée. Elle a montré ses seins aussi.— Et on a bien vu que lorsque les filles lui ont touché les nichons, cela ne la laissait pas insensible, ajouta Olivier.— Mais ça en est resté là. Elle a su se contrôler comme elle nous le disait de le faire pour nous aussi.— C’est vrai Germain. Mais c’était un self-control d’apparence seulement.
Je leur racontai ce que nous avions vu avec Amandine. Je ne dis pas ce que nous nous avions fait. Ce n’était pas le sujet du jour.
— Quelle salope ! s’exclamèrent-ils tous les deux en même temps.— Vous voyez, je pense que c’est possible. Mais il faut un plan. On peut pas juste lui demander de lui balancer notre foutre au visage.
Nous passâmes le reste de la matinée à échafauder un plan.
* * *


Dès le lundi suivant, nous mîmes notre plan en marche. J’allai déposer un mémo dans son casier en salle des professeurs. Nous lui demandions un rendez-vous à la fin de son cours du mercredi, il finissait à midi. Il n’y aurait plus grand monde à ce moment-là, il n’y avait pas de cours le mercredi après-midi. Germain, qui eut cours avec elle le lundi, eut la confirmation de sa part qu’elle acceptait la demande de rendez-vous. Nous avions bien précisé qu’il s’agissait de nos notes en baisse qui étaient la raison de notre demande. Et nous l’appelions Mme T pour bien signifier que nous parlions à la prof d’allemand. Nous n’en parlâmes pas à nos copines évidemment. Nous nous présentâmes donc le mercredi à midi devant sa salle de cours. Nous attendîmes que tous les élèves sortent et nous entrâmes.
— Ah ! Bonjour messieurs, nous dit-elle, relevant temporairement les yeux vers nous. Un instant s’il vous plaît. Je finis d’écrire où nous nous sommes arrêtés. Asseyez-vous s’il vous plaît.
Olivier referma la porte derrière nous puis nous nous posâmes le cul sur les bureaux juste devant le sien. Nous patientâmes quelques instants, puis quand elle eut fini de ranger quelques affaires, elle posa sur nous un regard bienveillant.
— Alors, pourquoi avez-vous souhaité de rencontrer ?— Eh ben voilà, c’est à cause des mauvaises notes au dernier contrôle, commençai-je.— Mais elles étaient méritées ces notes. Je ne vais pas les changer.— Oui, oui, on ne dit pas le contraire, lui répondit Olivier. Mais on s’inquiète pour la suite.— Vous avez eu un petit accident de parcours. Vous êtes trois bons élèves. Les choses vont revenir dans l’ordre.— Ca ne serait que le contrôle... Mais on en a parlé entre nous et on sent bien aussi qu’on est moins concentré en cours, dit Germain.
Nous avions bien préparé le début, pour l’instant tout allait bien. Elle réfléchit un instant et puis elle nous dit :
— C’est vrai. Maintenant que vous le dites, vous semblez un peu absent depuis... oh ! Depuis la vidéo ?!— Super ! songeai-je. Elle y vient d’elle-même.— On a pensé que c’était ça. Mais la semaine qui a suivi, on s’est détendu et les cours que nous avons eus avec vous, Madame, se sont passés normalement, lui précisa Olivier.— Les filles auraient été dans notre cas aussi. Et puis dans tous les autres cours, tout se passe bien pour nous.
Voilà, Germain et Olivier avaient fait leur part. Ça allait être à moi. Je la regardai réfléchir un moment, elle tentait de comprendre la situation.
— En fait, on a réfléchi ensemble. On s’est rendu compte qu’on avait tous les trois quelque chose qui nous bouffait l’esprit.— Et qu’est-ce que c’est...? demanda-t-elle un peu intriguée.— Elisa, c’est ton récit qui nous a mis la dernière image en tête ! finis-je par lâcher.
Nous avions fait exprès de la vouvoyer au début. Nous avions prévu de revenir à son prénom et au tutoiement quand nous en serions arrivés là. Le but était de faire passer l’entretien dans le monde irréel de notre pacte. Mais elle fronça les sourcils pour se rappeler exactement ce qu’elle avait raconté. Puis ses yeux s’écarquillèrent d’un coup, elle avait compris. Elle regarda si la porte était bien fermée et tourna la tête vers la fenêtre, comme si quelqu’un pouvait y être, alors que la salle était au premier étage.
— C’est l’éjaculation sur mon visage qui est dans votre tête ?
Nous opinâmes du chef pour confirmer.
— Ca va passer les garçons. Et si vous avez des copines, elles vous changeront les idées.— Oui on a des copines. Et on a essayé de se débarrasser de l’image, mais rien n’y fait pour l’instant.— Et au lieu de s’atténuer, ça augmente plutôt.
Germain et Olivier venaient de poser le détonateur sur la table, à moi d’appuyer sur le bouton.
— En fait, tu sais ce qu’on dit quand on a une chanson dans la tête que tu veux faire sortir ?— Euh... en français, non. En allemand, je pourrais vous dire, mais là.— Qu’il faut la chanter vraiment tout haut pour la faire sortir...— Ah, ah, ah, ah.
Ce n’était pas la réaction que j’espérais. Elle riait aux éclats, les larmes commençaient à lui venir aux yeux. Puis elle se reprit et nous dit :
— Quels petits cochons vous faites ! Vous me demandez de pouvoir m’éjaculer au visage ?— Bah oui, c’est toi qui nous as mis cette image en tête.— Je suis désolée pour ça. Mais vous n’avez qu’à voir avec vos copines, ah ah ah.— Mais soit elles ne veulent pas en entendre parler soit on n’en est pas encore là. Il faut vraiment nous aider Elisa, l’implorai-je.
Mais je sentis que je n’avais pas le don d’Amandine d’obtenir des gens ce que je voulais.
— Allez ! Ça suffit. Je ne dirai rien bien sûr, cela reste dans le cadre de notre accord. Je suis désolée pour vous. Je ne pensais pas vous mettre dans cet état. Mais il n’en est pas question. Cela va finir par vous passer. Allez ouste garnements.
Elle nous renvoyait comme des gamins, nous, jeunes adultes. Elle riait encore de nos bêtises.Nous nous étions doutés qu’elle n’allait pas sortir nos bites à la première demande. Il fallait mettre en marche la suite du plan. Pendant les deux semaines suivantes, nous accentuâmes volontairement notre côté absent en cours d’allemand. Et au contrôle suivant, nous eûmes des notes encore moins bonnes (à peine 8 ou 9). C’était un risque à prendre vis-à-vis de nos parents. Nous lui demandions discrètement à chaque fin de cours ou quand nous la croisions dans les couloirs, mais pas en atelier. Il ne fallait pas que les filles se doutent de quelque chose. Elle finit par nous accorder un autre rendez-vous le dernier mercredi avant les vacances.
— Il va falloir vous reprendre messieurs, dit-elle sèchement.— Mais on essaye.— C’est vrai. Et puis...— Et puis quoi encore ?— Et puis maintenant, ça nous bouffe tellement qu’on en délaisse un peu nos copines.
Et c’était vrai en plus. Avec tout ça, Amandine, Liz et Marie s’étaient inquiétées de nous voir un peu moins. Ce n’était pas volontaire de notre part sur ce coup. Alors c’était vrai aussi qu’elles faisaient de plus en plus de choses "entre nanas". Surtout les boutiques le mercredi après-midi. Activité que nous leur laissions avec plaisir. Et même si Germain nous avait confié qu’ils faisaient l’amour régulièrement avec Marie et que ça s’était très bien passé la première fois. Ils le faisaient quand ils pouvaient, mais l’esprit de Germain était toujours un peu ailleurs. Comme pour nous aussi.
— Je sais, elles sont venues me voir. Au départ, les cinq filles du groupe sont venues pour parler avec moi du sujet qu’elles voudraient faire pour le projet cinématographique. Et puis les trois ont fini par s’ouvrir à moi. Car elles avaient bien remarqué quelque chose et avaient remonté le temps pour arriver aussi à la conclusion que les ateliers particuliers en étaient la cause. Elles regrettent la distance qui se crée entre vous. Ce n’est pas ce qu’elles attendaient d’une relation.
Quel choc pour nous ! Nous ne voulions pas les perdre nos copines.
— Et vous leur avez dit ? s’inquiéta Germain.— Non, rassurez-vous. Ce n’est pas à moi de le faire. Il ne faut pas avoir de secret dans un couple. Il n’y a pas de tromperie quand on se dit tout.— Je ne me vois pas dire à Liz que j’ai envie de t’éjaculer en plein visage !— Je vais me prendre une baffe de Marie.— Moi pareil. Il faut nous aider et nous soulager Elisa, lui demandai-je.— Et puis aussi, si tu acceptais, on a pensé à te faire une sorte de cadeau, lui proposa Olivier.— Vous me prenez pour une pute ou quoi ?— Non, non pas du tout. C’est plutôt une sorte d’hommage.
Elle fut réellement intriguée par la phrase de Germain.
— En fait, on se disait que ta vie en RDA et comment tu étais passé à l’Ouest feraient un sujet très intéressant.— Je garde ma vie pour moi, messieurs.— Mais on n’est pas obligé de dire que c’est toi qui as servi de base à l’histoire. Ça reste un hommage personnel et intime où il n’y a que nous qui serons au courant, lui dis-je.
Bon, nous n’avions plus de carte à jouer ; si là, ça ne passait pas, nous n’avions plus rien à faire. Mais elle sembla vraiment touchée par la proposition. Nous avions semé une graine de culpabilité il y a deux semaines, et maintenant ça. Il fallait que ça fonctionne.
— Euh... je suis touchée les garçons. Mais les filles ont déjà un projet en tête. Je me sens fautive pour ce qui vous arrive et du fait que vos copines s’éloignent de vous...— Allez, allez, ça vient, pensai-je.— Bon, euh, euh, je veux bien. Je suis folle d’accepter, mais je suis trop attendrie quand je vois des couples de petits jeunes. Ca me rappelle tellement ma jeunesse. Et je m’en voudrais vraiment si vous cassiez à cause des images que je vous ai mises en tête.
Nous allions sortir nos bites là, tout de suite, mais la suite nous refroidit un peu, beaucoup.
— Mais je pose des conditions : d’abord, il va falloir que les filles soient d’accord pour changer de projet artistique et ensuite, elles devront être au courant de la situation. Donc le mieux est de se retrouver à l’atelier vendredi soir.
* * *


Nous avions été frustrés comme des fous le mercredi. Nous attendîmes avec impatience le vendredi. Mais nous l’attendîmes avec crainte aussi. Car les filles allaient entrer dans le jeu. Nous n’étions pas très fiers. Le vendredi arriva finalement et la fin de journée également. L’atelier commença. Ce fut Elisa qui prit la parole tout de suite.
— Bien, c’est le dernier atelier avant les vacances. Et il est temps de choisir un thème pour votre projet. Les filles ont pensé à quelque chose. Sylvie, veux-tu bien nous en parler ?
Avec les gars, nous n’écoutâmes que d’une oreille. Ca parlait d’un documentaire sur des organisations humanitaires, comment elles galéraient pour trouver des budgets, gnagnagna.
— Bien merci Sylvie. Les garçons aussi ont pensé à quelque chose. Maxime, s’il te plaît.
J’exposai alors notre idée, tout en précisant, que cela serait inspiré par Elisa et sa vie, mais qu’on ne ferait aucune mention directe d’elle. Je vis les nanas pas totalement convaincues par mon exposé.
— Merci, Maxime.
Je me rassis et attendis la suite. J’avais compris qu’Elisa avait décidé de prendre les choses en main. Elle reprit donc la parole :
— Je dois vous préciser pourquoi les garçons ont eu l’idée de ce sujet. Et je dois dire que cela est un peu à cause de moi au départ.
Les filles la regardèrent bizarrement. Elisa raconta alors à tous les derniers évènements, ce qui nous bloquait l’esprit, ce que nous avions demandé, l’inquiétude des filles de moins nous voir, notre peur de les perdre. A la fin du récit, nous regardâmes les cinq jeunes femmes. Nous pensions qu’elles auraient explosé de colère contre nous. Mais on voyait surtout de la stupéfaction, de la tristesse et un peu de colère aussi quand même.
— Allez les filles, ne soyez pas trop dures avec eux. Vous verrez que dès qu’on met ce genre d’idée dans leur tête, les hommes n’ont plus que ça à l’esprit. Et comme ils ne savent pas penser à deux choses en même temps...
Elle nous dédouanait, mais nous passions pour des mecs qui ne pensaient qu’avec leurs bites. Ce n’était pas totalement faux, mais quand même, ce n’était pas la peine de le dire tout haut.
— Ils n’ont qu’à aller se branler. Je vais pas lâcher mon projet pour trois pervers ! s’emporta Sylvie.— Apparemment, ils ont bien essayé plusieurs choses. Et certains ont demandé à leurs copines...— Oui, et il n’en est toujours pas question, répondit sèchement Amandine.
Amandine semblait la plus énervée des trois. C’était vrai qu’avec ce que nous faisions, elle pouvait m’en vouloir qu’elle ne me suffise pas. Liz semblait sous le choc et était perdue dans ses pensées.
— Je ne me vois pas faire ça et en même temps, on fait moins de choses depuis deux semaines, parla Marie pour elle-même, mais tout le monde entendit.
Liz sortit de ses pensées suite à cela. Les réflexions de Marie l’avaient ramenée avec nous.
— C’est vrai que depuis deux semaines... J’aimerais revenir comme avant. Mais je vais pas faire ça tout de même...— Et en plus si vous le faisiez, comme c’est le visage d’Elisa qu’ils ont en tête, ça ne réglerait pas forcément le problème, rappela Sylvie. Donc je ne vois pas ce que vous pouvez faire.
Elle ne voulait pas changer de projet, mais en même temps, elle semblait triste pour les filles. Les cinq jeunes femmes semblaient avoir créé une vraie et profonde amitié. Généralement, la solidarité féminine n’était pas à l’avantage des hommes. Là peut-être...
— Ils ont aussi des problèmes en cours, rajouta Elisa. Ils sont également tristes de moins s’occuper de vous.— C’est vrai ça ? m’invectiva Amandine.— Oui, répondis-je timidement.
Les deux autres hochèrent la tête également.
— On n’en était pas fier spécialement de penser à quelqu’un d’autre que vous, avoua Germain.
Il avait regardé Marie dans les yeux. Olivier et moi avions fait de même avec Liz et Amandine. Nous ne voulions pas les perdre, nous avions donc cherché une solution de notre côté. Je sentis Liz et Marie prêtes à accepter pour récupérer Olivier et Germain. Amandine paraissait plus indécise.
— Et alors ? Ca change quoi ? s’impatienta Sylvie.
C’était qu’elle semblait y tenir à son projet. Et elle ne risquait pas de perdre son copain, elle.
— Parlez entre vous, les incita Elisa. Trouvez une position commune.
Les cinq se mirent en cercle dans un coin de la pièce. Carine légèrement en retrait du groupe. On entendait parfois un mot ou une phrase plus forte :
— Non, c’est non !— ... perdre !— Et si on...— ... gagne quoi ?
Et puis nous vîmes enfin Carine dire quelque chose. Elles s’arrêtèrent de parler, semblant considérer la proposition. Je vis Sylvie tourner vers nous, un regard un peu pervers. La discussion reprit plus calmement, je pensai alors qu’elles peaufinaient la proposition de Carine. Mais avec le regard de Sylvie, je ne sus pas s’il fallait la remercier ou lui en vouloir.
— Pas de ... que du ...— ... toucher.— Et si...— Alors faudra qu’on...— Elisa, tu peux venir s’il te plaît ?— Bien sûr Amandine.
Elle rejoignit le cercle. Les messes basses reprirent.
— D’accord, mais je ...
Elles semblèrent approuver la demande d’Elisa.
— Alors vous êtes toutes d’accord ? leur demanda Elisa.
Bon les dés étaient jetés. A ce moment, j’espérai juste que le groupe de huit pervers que nous étions allait nous être utile.
— Alors, voilà ce qu’ont décidé les filles. Elles sont d’accord, mais elles ont des conditions : — Le projet sera bien inspiré de ma vie, mais elles auront un droit de veto sur n’importe quelle partie de celui-ci.— Après que vous vous serez soulagé et jusqu’à la rentrée après les vacances de Noël, vous n’aurez ni fellation ni pénétration et interdiction à la branlette.— Par contre dès qu’une fille aura une envie, vous devrez lui faire un cunnilingus et la faire jouir.— A la fin de cette période, elles décideront ou non d’une prolongation de deux semaines de votre punition. J’aurai également ce droit si vous ne vous reprenez pas en cours.— Pour ce soir, vous n’aurez pas le droit de me toucher. J’ai demandé à pouvoir me mettre torse nu pour éviter de me tâcher de trop.— Je ne pourrai pas avaler la moindre goutte de sperme qui arrivera sur mon visage.— Enfin vous ne devrez pas vous branler vous-même, mais branler les autres.
Nous restâmes un peu sonnés par ces conditions.
— Peut-on parler ensemble ? demanda Olivier.— Oui.
Nous nous mîmes dans un coin.
— Alors on fait quoi, demanda Olivier.— Bah on accepte non ? répondit Germain.— Je sais pas si je vais tenir deux semaines sans éjaculer.— Ca va pas être simple. Mais on s’en sort pas si mal, dis-je.— Oui, mais pour ce soir, je vais pas toucher vos bites.
"Bah, s’il faut en passer par là, dis-je à Germain.
— Et c’est pas si terrible, ajouta Olivier.
C’était qu’il avait déjà fait lui ? Il faudrait que s’éclaircisse le sujet une autre fois.
— Et puis on pourra aussi se rattraper en faisant de bons cunnis à nos copines, pour se faire pardonner, dis-je.
"On est d’accord alors ? demanda Germain."
— Oui.— OK.— On est d’accord, dit celui-ci quand nous nous retournâmes vers les femmes.— Je vous ai un peu entendu, dit Elisa. Vous n’avez pas bien compris un point, je pense.
Nous la regardâmes avec inquiétude.
— Quand j’ai parlé de devoir faire un cunnilingus, j’ai dit une jeune femme, je n’ai pas dit votre copine. Donc ça veut dire que n’importe laquelle des cinq peut vous le demander. Elles m’ont dit également que j’aurai ce droit, car elles estiment que vous m’avez manqué de respect. Mais je ne pense pas l’utiliser.
Je réfléchis rapidement : ce soir, ce serait les vacances, donc je ne risquais pas trop de croiser les autres filles qu’Amandine jusqu’à la rentrée.
— Oui, on est toujours d’accord.
Olivier et Germain me lancèrent un regard noir pour avoir parlé pour eux, mais quand mes yeux leur demandèrent s’ils avaient un choix différent, ils se calmèrent. Nous dûmes nous mettre complètement nus pour ajouter à notre punition. Elisa enleva également son chemiser et son soutien-gorge. Elle se mit à genoux au milieu de nous, positionnés en triangle. Mais nous hésitions à prendre en main la bite des autres. Olivier se décida le premier, il empoigna nos sexes. Il commença à faire des va-et-vient.
— Allez Gégé et Max, on y va, on prend son courage à deux mains, nous nargua Sylvie.
Son jeu de mots la fit rire, et les autres aussi. C’était bizarre, mais pas désagréable de se faire masturber par un autre mec. Il fallait que je me lance. Germain se décida juste avant moi. J’avais donc deux mains qui me branlaient. Je posai alors à mon tour mes mains sur leurs sexes. C’était un peu étrange d’avoir un autre pénis que le mien en main. Ils n’étaient pas très différents du mien en fait. Même forme, même touché, même odeur presque. Seule celle de Germain était vraiment plus grosse. Nous bandions maintenant presqu’à notre maximum.
— On dirait qu’ils aiment se tripoter entre mecs, railla Sylvie.
Elle faisait un peu chier Sylvie. Ce n’était pas la peine d’en rajouter.
— C’est bien les garçons, vous avez de beaux sexes, nous encouragea Elisa discrètement.
C’était agréable au final, cela dura de longues minutes ainsi. Nous prenions un certain plaisir, mais nous ne sentions pas l’orgasme arriver.
— Il faudrait voir à gicler les mecs, on va pas rester là toute la nuit.
Les moqueries de Sylvie ne nous aidaient pas.
— Allez, les garçons, commencez à imaginer votre sperme gicler sur mon visage. Revoyez les images que vous vous êtes fait de mon film.— C’est déjà fait Elisa. Ça m’a fait bander, mais c’est tout.— Pareil pour moi.
Clairement, nous étions un peu coincés par la situation. Notre humiliation nous avait un peu coupé le désir. Mais nous voulions vraiment aller jusqu’au bout, c’était notre seule chance. Et puis Amandine finit par dire :
— Bon, avec Marie et Liz, on se doutait que vous auriez du mal. Et on a décidé de vous faire un petit cadeau, car c’est bientôt Noël quand même.
Elles s’approchèrent de nous par-derrière, elles posèrent leurs mains sur nos pénis et remplacèrent les mains des autres. C’était beaucoup mieux, nous aurions préféré une pipe, mais il fallait faire profil bas. C’était nouveau de les avoir dans le dos. Elles nous caressaient les fesses aussi. Je fermai les yeux pour me concentrer sur mon plaisir. J’entendis de légers bruits de succion, je pensai que Marie ou Liz avaient peut-être pris leur copain en bouche. Mais en ouvrant les yeux, je ne vis rien de ça. Je sentis alors le doigt d’Amandine se frayer un chemin entre mes fesses et venir me caresser la rondelle. Je vis la même surprise sur le visage des gars. Elles avaient décidé de nous en faire voir ce soir. Elle me titilla ainsi un moment, continuant sa masturbation par-devant. Je me surpris à aimer cette caresse, Germain et Olivier aussi apparemment. Notre plaisir augmentait de plus en plus, nous n’allions pas tarder à jouir.
Elles le virent et nous rentrèrent alors un doigt dans le cul. Cela eut pour effet de faire partir instantanément Olivier. De longs jets atterrirent sur le visage d’Elisa. Cette vision et le doigt d’Amandine m’achevèrent également. Mon sperme rejoignit celui d’Olivier. Je pris alors un pied d’enfer. Nos dernières giclées terminaient sur le visage de la prof quand Germain lança à son tour son foutre à son visage. Ses jets partaient moins en longueur que nous, mais étaient plus fournis.
— C’est bien les garçons, je suis fier de vous, nous félicita toujours Elisa. Allez-y.
Elle prenait un plaisir plus cérébral que physique. Mais elle devait aimer un peu ça quand même. Peut-être le faisait-elle avec son mari.Les filles nous trayaient littéralement pour expulser les dernières gouttes. Nos couilles étaient vides de chez vide. Alors que je pensais qu’Elisa allait simplement s’essuyer le visage et le cou, Amandine, Marie et Liz commencèrent à récupérer notre semence avec leurs langues. Elles voulaient vraiment être sûres qu’Elisa n’allait pas goûter une goutte de sperme. C’est qu’elles y tenaient à leur bien. On aurait dit des louves dévorant leur proie. Nos sexes repartirent doucement à la hausse devant ce spectacle. Parfois deux langues se touchaient, mais cela ne semblait pas les déranger. Elisa finit par entrouvrir la bouche, troublée par ce traitement. Là encore, des langues et des lèvres se rencontrèrent. C’était très érotique. Sylvie et Carine qui étaient restées dans un coin se caressaient tranquillement avec une main sous la jupe. Ça avait été super. J’espérai que cela allait calmer nos visions. J’allai me rhabiller quand Amandine m’interpella.
— Tu fais quoi Max ?— Bah je me rhabille. On a fini pour ce soir.— Maintenant, c’est l’heure de mon cunni ! s’emporta-t-elle.— Mais vous avez dit seulement après ce soir.— Non, on a dit après que vous vous soyez soulagé. Au boulot !
Elle s’assit sur une chaise, releva sa jupe et enleva ses collants et sa culotte. Je vis qu’elle était bien mouillée. Je n’eus d’autre choix que de plonger ma langue dans sa chatte. J’entendis Marie et Liz donner le même ordre à Germain et Olivier. Deux culottes volèrent aussi. Elles étaient aussi mouillées ! Avec un peu de chance, on n’aurait pas à très longtemps les lécher. Mais je fus particulièrement troublé par le ton autoritaire des jeunes femmes. Je ne connaissais pas cette facette de la personnalité d’Amandine. Germain et Olivier me dirent plus tard qu’ils avaient également découvert ce soir-là le côté autoritaire de leurs copines.
Amandine gémit rapidement sous mes coups de langue sur son clitoris et ses lèvres. Je faisais de mon mieux. De temps en temps, je relevais la tête pour reprendre mon souffle. Marie et Liz étaient en pleine extase également. Sylvie et Carine continuaient de se donner du plaisir tout tranquillement. Elisa s’était essuyé le visage avec une serviette qu’elle avait amenée. Elle nous regardait encore plus troublée qu’après le léchage de son visage.
Amandine commença à miauler de plus en plus. J’entendais Marie suivre le même chemin et Liz un peu plus loin de l’orgasme. Je m’activai alors au mieux de mes capacités. Je voulais en finir pour ce soir-là. Amandine se raidit sur sa chaise, ma tête fut écrasée entre ses cuisses. Mais je ne me laissai par distraire de ma tâche. Je continuai tant bien que mal. Elle finit par jouir bruyamment.
— Enfin fini, pensai-je.— C’était bien Max. Tu as bien travaillé.
Elle me félicitait comme on félicitait un chien qui a bien rapporté la balle. J’étais vraiment humilié !
— Bon allez, Max, à moi maintenant !
Je tournai la tête vers Sylvie. Elle s’était installée, les cuisses déjà écartées et la culotte à terre, aussi trempée que les autres.
— Mais, je vais pas...— Tu as accepté les conditions Max ! Obéis ! m’ordonna Amandine.
Je regrettai mes choix maintenant. Je me rapprochai de Sylvie quand Marie jouit enfin sous la caresse buccale de Germain. Il se releva et attendit que Marie reprenne ses esprits.
— C’était bien Germain. Tu as bien travaillé.
Même humiliation pour lui. Il voulut se mettre en retrait. Mais Sylvie l’interrompit.
— Germain, c’est pas fini.
Elle en voulait pas deux quand même ?
— Va t’occuper de Carine. Elle attend que ça.— Mais Marie, tu vas pas...— On a dit vous obéissez, la coupa-t-elle sèchement.— Allez viens là, me faire du bien, dit enfin la soumise Carine.— La branlette entre mecs, les doigts dans le cul et le cunni à la demande, ce sont ses idées. Elle mérite bien une récompense, me précisa Amandine.— Quelle salope, me dis-je.
C’étaient toutes des salopes au fond. Germain finit par s’exécuter et commença à lécher Carine. Je dus en faire autant pour Sylvie. Elle avait une odeur différente d’Amandine. Un peu plus salée, mais pas désagréable. Je lui léchais les lèvres et lui titillais le clitoris. Elle réagissait un peu différemment à mes actions qu’Amandine. Derrière moi, Liz finit par prendre son pied également. Elle fut plus expressive que lors de notre séance collective.
— C’était bien Olivier. Tu as bien travaillé.
Humiliation totale pour nous.
— Elisa, tu veux que je te prête Olivier ?
Elles nous utilisaient pratiquement comme des esclaves !
— Non merci, Liz, je vous ai dit que je ne comptais pas profiter d’eux.— Mais tu es toute rouge. On t’a vu troublée après qu’on ait récupéré notre bien sur ton visage, reprit Amandine.
Nous leur appartenions totalement, elle avait même le contrôle sur le devenir de notre semence.
— Oui, voir des bites au-dessus de mon visage, puis vos langues sur moi et maintenant ces cunnilingus ! J’avoue que je suis toute trempée.— Tu es sûre de ne pas vouloir. Tu peux avoir celui que tu veux, lui proposa Marie.— Non, je vous assure.
Je l’entendis s’asseoir sur une chaise. Entre deux respirations, je regardai de côté. Carine n’allait pas tarder à prendre son pied. Germain semblait bien se débrouiller. Plus loin, Elisa avait fini par devoir se calmer elle-même. Elle s’était mise à l’aise. Elle avait largement écarté les jambes, avait poussé sur le côté son slip et se câlinait le bouton de plaisir. Elle n’avait pas remis son chemisier et en profitait pour aguicher ses seins.Sylvie me plaqua la tête sur sa vulve. Elle devait considérer que je prenais trop mon temps. Je voulais en finir, je me plongeai à fond dans ma tâche. J’entendis Carine jouir à côté de nous. Elle dit alors :
— C’était bien Germain. Tu as bien travaillé.
J’accélérai le rythme quand je sentis Sylvie se raidir petit à petit. Je me concentrai alors sur son clitoris. Elle finit enfin par atteindre l’orgasme. Elle plaqua alors encore plus mon visage sur son sexe. Elle me relâcha et je pus me relever :
— C’était bien Maxime. Tu as bien travaillé.
J’en avais marre de l’entendre cette phrase. Je regardai alors Elisa, entendre les filles prendre leur pied lui avait permis de se rapprocher plus vite de l’extase. Elle activait maintenant ses deux mains sur sa chatte. Un doigt d’une main sur le clitoris et un doigt de l’autre main dans le vagin. Elle avait la tête rejetée en arrière. Puis d’un coup, elle se recroquevilla sur elle-même et fut parcourue de spasmes. Olivier, Germain et moi avions repris complètement forme après les léchouilles faites et de regarder la prof se donner du plaisir. Les six jeunes femmes se rajustèrent. Nous dûmes ranger et nettoyer la salle, toujours nus. Elles se moquèrent de nous en voyant nos sexes se ramollir. Elisa finissait de se nettoyer et de se rhabiller en nous surveillant. Les filles partirent ensemble nous laissant là. J’osai demander à Elisa :
— Vous êtes mariée, Madame. Vous ne pouviez pas attendre de retrouver votre mari ?
J’avais repris le vouvoiement après avoir été autant rabaissé.
— Oui, en temps normal, je l’aurais rapidement retrouvé après l’atelier. Mais ce soir, il est de sortie entre potes. Je n’aurais jamais pu tenir jusqu’à son retour. Et rappelle-toi que tu dois me tutoyer ici.— Oui désolé. Mais tu aurais pu le faire chez toi...— J’aurais pu en effet...
Elle laissa sa phrase en suspens. Nous avions fini de nettoyer et ranger, elle nous dit de nous rhabiller et de partir. Ce que nous fîmes sans plus demander notre reste.
Diffuse en direct !
Regarder son live