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Le projet artistique

Chapitre 10

Revanche 1

Divers
Maxime narrateur
Le groupe entra dans la salle de projection. Nous nous assîmes, les trois hommes, derrière et les cinq femmes devant nous. Nous nous étions coordonnés avec Germain et Olivier pour les inciter à se mettre devant. Elisa commença alors comme prévu :
— Un petit point avant de commencer. La punition des garçons doit s’arrêter maintenant. Comme cela était prévu dans vos accords.— C’est dommage, je commençais à m’habituer à ce traitement, se moqua Sylvie en nous regardant par-dessus son épaule.
Les autres nanas pouffèrent à cette remarque. Elles ne savaient pas ce qui les attendait ! Elisa poursuivit :
— J’espère que vous avez compris l’importance de l’honnêteté et de la transparence dans les relations de couple !— Oui, Elisa, nous avons bien compris, lui répondit-on ensemble.— Qu’ils sont mignons !
Elles ricanèrent une nouvelle fois. Cette fois, Carine se mettait au diapason de sa dominatrice. Elle n’était pas moins perverse qu’elle. Mais aucune des jeunes femmes ne prit cette main tendue pour essayer de faire amende honorable. Nous avions pensé à atténuer notre revanche dans un tel cas, mais maintenant, nous n’avions plus de remords. Elisa serait là pour s’assurer que nous n’irions pas trop loin.
— Bien, nous allons commencer l’atelier par un visionnage. Ce n’est pas un film, mais plutôt une vidéo un peu amateur. Elle est intéressante de par le sujet traité et la façon dont la pénombre peut amener de l’intérêt à une scène.
C’était naturellement la vidéo prise par Paul de nos petites voyeuses. Elisa avait eu le temps de faire un petit montage. La première image du film fut son titre : "Espions²". Ce titre était plein de seconds degrés. Comme moi, Olivier et Germain sourirent méchamment. Ensuite Elisa avait monté quelques scènes d’une pauvre série Z d’espionnage dont le scénario collait bien avant l’arrivée de notre scène principale. Pendant ce temps, Paul était arrivé discrètement derrière nous. Il s’était planqué dans la pièce où le matériel était rangé. On vit enfin apparaître à l’écran le local de leur forfait. Tant qu’il était éteint, elles ne firent pas le rapprochement. Et puis dès qu’il s’alluma et qu’elles se virent entrer dans la pièce, elles comprirent le traquenard dans lequel elles étaient tombées. Sylvie se leva d’un bond :
— Mais qu’est-ce que c’est que ce truc !— Elisa, Elisa, ce n’est pas ce que tu crois, se défendit Amandine.— Et bien, nous allons voir ça ! répondit-elle durement. N’est-ce pas Paul ?— En effet ma chère Elisa. Voyons voir si ce sont bien des petites voyeuses. Assis !
Elles se retournèrent et furent pétrifiées de voir qu’il était là derrière elles. Son visage était dur et son regard pénétrant. Nos copines posèrent sur nous un regard implorant de l’aide. Mais nous aussi essayâmes d’avoir la même apparence dure.

— Mais ça m’intéresse aussi de voir ça Amandine, dis-je.— Moi aussi Marie, j’ai envie de voir votre comportement. Retourne-toi pour regarder.— Allez, Liz, regarde. Regardez toutes ce qui va suivre.— Mais je ne vais pas rester ici moi ! protesta Sylvie. Je m’en vais.
Elle se leva, Carine et Amandine commencèrent à la suivre, mais Elisa lui intima froidement :
— Mademoiselle, asseyez-vous ! Et vous aussi, dit-elle en direction des autres.
Elle n’avait pas élevé la voix, mais, même nous, nous sentîmes un frisson glacé nous parcourir l’échine. L’ordre énoncé fut réalisé sans plus de protestation. La vidéo avait un peu avancé pendant ce temps-là, on voyait les filles se relayer aux postes d’observation. Certaines baissèrent la tête ou la détournèrent pour ne pas regarder. Mais Paul les rappela à l’ordre :
— Veuillez regarder s’il vous plaît.
La formule de politesse sonna avant tout comme une sommation. Elles obéirent alors. Paul s’était placé avec Elisa, debout à côté de la télé. Il n’y avait plus un mot dans la salle. La vidéo était plutôt silencieuse, car durant leur espionnage, elles étaient discrètes. Et puis il y eut plus de lumière et plus de bruit quand elles commencèrent leurs cochonneries. Elisa nous en avait fait description, mais le voir vraiment nous donna une belle trique. Je voyais Olivier et Germain se dandiner sur leur siège pour se mettre à l’aise. Je vis également, grâce à la lumière diffusée par l’écran, une bosse se former dans le survêtement de Paul et les tétons d’Elisa pointer. Je me dis alors qu’elle devait encore porter son soutien-gorge, seins nus. Elle mettait ça tout le temps ou bien c’était sa fantaisie vestimentaire du vendredi ? Peu importait pour ce soir.
La vidéo se termina sur un texte incrusté sur une image du local vide indiquant : "A suivre...". La suite allait arriver. Un silence pesant régnait dans la pièce. Elisa ralluma les lumières. Nous vînmes se mettre debout avec elle et Paul. Nous faisions face aux cinq tigresses qui maintenant ressemblaient plus à des chatons effrayés. Même Sylvie était sous le choc, alors qu’elle aurait été la plus à même de réagir, de répliquer. Voyant le mutisme des jeunes femmes, Elisa prit le temps de résumer les faits. Elle indiqua tout d’abord la façon dont Paul connaissait notre secret et confirma le silence dont il ferait preuve. Il confirma les propos de sa femme. Elles ne réagirent qu’à peine à cette nouvelle. Elles craignaient la suite, je pensai. Elisa repartit donc du soir où nous la vîmes faire l’amour dans la voiture, Amandine et moi. Elle parla de la demande que nous lui avions faite alors qu’au même moment, les filles avaient commencé leur espionnage.
Puis elle détailla l’atelier de la veille des vacances. Je vis Paul tiquer légèrement. Je pensai alors qu’Elisa avait dû omettre sa propre masturbation quand elle avait mis au courant son mari des derniers évènements. Elle rappela que pendant les deux semaines où nous étions punis, elles ne se sont pas privées de continuer et de se gouiner en groupe dans l’enceinte sportive. Elle leur indiqua comment les garçons, nous, avaient été mis au courant de la situation. Pour finir, elle leur dit qu’elle avait été quelque peu déçue qu’aucune ne prenne la perche tendue, ni ce soir ni le vendredi précédent, pour être un peu honnête et qu’elles aient autant abusé de la punition qui nous avait été infligée. Paul prit alors la parole :
— Donc nous avons là des petites voyeuses, pour m’avoir espionné, hypocrites, pour avoir reproché aux garçons des choses qu’elles-mêmes faisaient, vicieuses, pour avoir abusé de la situation.
Elles baissèrent encore plus la tête devant ces qualificatifs, assommées un peu plus à chaque accusation.
— Je suis très déçue et les garçons encore plus, n’est-ce pas ?— Oui, plus que déçus même, commença Olivier.— On vous en veut particulièrement Amandine, Liz et Marie. Mais aussi à Sylvie et Carine qui ont bien abusé ou eu l’idée de nos punitions, poursuivit Germain.— Sachant aussi que ce sont elles qui ont découvert les trous et incité les autres à jouer les voyeuses.
Paul enfonçait le clou une nouvelle fois. Il me revenait de conclure ce jugement.
— C’est un comportement difficilement admissible. Que pensez-vous que sera la suite entre nous ?— Vous allez nous laisser tomber ? demanda Marie d’une petite voix.— S’il te plaît Max, je t’aime.
C’était une déclaration qui venait du cœur. Liz, elle n’avait rien dit, mais ses yeux commençaient à se remplir de larmes.
— Non, rassurez-vous, vos copains ne veulent pas vous jeter, ce que je ne comprends pas trop, mais bon, commença Elisa.
Une lueur d’espoir éclaira les yeux de nos cochonnes. Sylvie et Carine gardaient la tête baissée, ne se sentant pas tout à fait concernées.
— Ils estiment, à raison, que vous méritez vous aussi une punition. Ils voulaient au départ vous imposer le même genre de traitement que vous leur avez fait subir. Mais après réflexion, ils ont décidé de se montrer plus magnanimes.— Tout ce que tu veux mon chéri, je ferai tout ce que tu veux, me dit Amandine.— Moi aussi, Germain, tout ce que tu souhaites.
Liz se contenta de hocher la tête vigoureusement pour abonder dans le sens des autres.
— Avant de vous exposer ce que nous prévoyons comme punition. Il y a deux points à préciser, dit Germain.— Premièrement, c’est en groupe que vous avez fait vos saloperies. C’est en groupe que vous serez punies. Si l’une des cinq refuse de se soumettre à la punition, ce sera la fin des trois couples, poursuivit Olivier.
Nos trois copines foudroyèrent du regard Sylvie et Carine qui d’un coup se retrouvaient beaucoup plus concernées. Elles commencèrent à vouloir leur parler pour les inciter à accepter, mais nous devions finir notre speech. Donc je les coupai :
— Laissez-nous finir. Vous déciderez après. Donc deuxièmement, alors que nous nous étions contentés de fantasmer sur Elisa, vous êtes allées beaucoup plus loin en espionnant Paul. Donc il bénéficiera également d’une partie de la punition. Comme Elisa pouvait disposer de son droit sur nous. Ce qu’elle a fait je vous rappelle.
Elles ouvrirent grand la bouche comme pour reprendre leur respiration. Elles ouvraient et fermaient la bouche, mais aucun son ne sortait.
— Voici ce que les garçons ont prévu :— Vous n’avez plus aucun véto concernant le projet artistique.— Après ce soir, personne ne touchera vos chattes ou vos seins pendant deux semaines. Ni eux ni vous-mêmes, personne.— Mais dans ce délai, personne ne vous forcera à faire quoi que ce soit.— Pour ce soir, vous vous plierez à ce qu’ils ont prévu pour eux et Paul. Je garantirai qu’ils n’aillent pas trop loin.— On vous laisse quelques minutes pour vous décider, leur dis-je. Je vous le redis, toutes doivent accepter ces conditions.
Elles se retirèrent dans un coin de la pièce pour se décider sur la suite. Elles demandèrent à Elisa de les rejoindre. Pendant ce temps, nous exposâmes rapidement à Paul ce à quoi nous avions pensé.
— C’est bien. Vous avez choisi intelligemment. Ça ne va pas trop loin, mais c’est assez marquant et humiliant pour elles. Elisa avait décidé ne pas profiter de son droit, mais vous vous étiez contenté de l’imaginer. Là, elles sont allées trop loin, je vais user de mon droit ce soir. Si vous êtes toujours d’accord. Bien entendu.— La solidarité masculine existe autant que la solidarité féminine, lui dis-je.
Je lui tendis la main pour sceller l’accord. Olivier et Germain en firent de même.Elisa finit par les laisser, Paul s’isola quelques instants avec elle. Nous préparâmes cinq chaises disposées les unes à côté des autres. Dans le groupe des filles, quelques voix haussèrent le ton. Je pensais que Sylvie devait protester et se faire rabrouer par nos cochonnes. Elles revinrent vers nous, Sylvie prit la parole, on vit sur son visage que cela lui coûtait énormément :
— Nous acceptons. Nous acceptons toutes. Nous acceptons... tout.
Elle se mordit les lèvres tellement la dernière phrase était difficile à dire.
— Bien, alors nous pouvons commencer. Déshabillez-vous ! leur intimai-je.— Un instant Maxime. Oliver peux-tu mettre une sixième chaise, s’il te plaît ? Elisa va se joindre aux autres jeunes femmes pour ce soir.
Nous fûmes très étonnés de cette déclaration. Paul expliqua alors :
— Elisa, veux-tu bien dire pourquoi tu es aussi punie ce soir ?
Elle rougit et baissa les yeux. Elle marmonna, mais Paul la reprit. Elle se décida donc à parler à haute voix :
— Je prône la totale transparence dans un couple. Mais je n’ai pas dit à Paul que je m’étais masturbée pendant l’atelier avant les vacances. Je ne lui ai pas dit non plus que j’avais usé de mon droit ce mercredi. Et enfin, je l’ai fait pour passer mes nerfs sur vous alors que j’étais en colère contre lui tout en dépassant un peu le cadre de la punition. Enfin, j’avais bien précisé que je ne souhaitais pas vous demander de cunnilingus.
Olivier apporta donc une sixième chaise. La trentenaire et les cinq jeunes se mirent nues. Même les bijoux durent être retirés, y compris l’alliance d’Elisa.
— Bien, agenouillez-vous sur la chaise, posez vos coudes sur le dossier et cambrez-vous bien, exigea Germain.
Nous leur indiquâmes l’ordre dans lequel nous les voulions : Liz, Amandine, Marie, Elisa, Carine, Sylvie. La position n’était pas très facile à prendre et à tenir. De plus, le bois du siège devait être un peu douloureux pour les genoux et les coudes. Il fallait que cela les marque physiquement.
— Comme vous avez vu, Paul nu sous la douche. Il est normal qu’il en profite aussi, dit Olivier. Je t’en prie, fais le tour de nos salopes.
Sylvie sursauta de se faire appeler comme ça.
— C’est bien ce que vous êtes. Gardez la position ! les repris-je.
Paul tourna autour des six femmes. Il nous proposa de nous joindre à lui. Quatre mâles commencèrent alors à tourner autour de six femelles.
— Puis-je ? demanda-t-il en laissant sa main en suspension au-dessus du cul de Carine.— Tu peux caresser seins et fesses. Mais tu ne mets aucun doigt dans aucun orifice, lui répondit Olivier.— Nous allions en faire autant, dit Germain.
Nous effleurâmes les fesses, le dos, les jambes, les seins des six femmes. Nous appréciâmes alors la souplesse du cul de l’une, le galbe d’un sein de l’autre. Quelques commentaires salaces fusaient. Elles baissaient toujours la tête, je leur dis alors :
— Redressez la tête. Regardez-nous. Soyez fières d’être des salopes.
Elles obéirent à contrecœur. Amandine gardait un regard plein de volonté. Elle me rendait fier d’elle. Sylvie ne se laissait pas départir non plus de son air hautain. Liz et Marie gardaient tant bien que mal une certaine contenance. Elisa gardait un visage assez neutre, ne nous dévoilant pas ses sentiments. Carine semblait celle à qui la situation déplaisait le moins. Qu’est-ce qu’elle aimait être dominée celle-là. D’ailleurs en passant derrière elles, Paul nous fit la remarque :
— Mais c’est qu’elle commence à mouiller notre Carine.
Nous nous positionnâmes du côté de Paul. Nous constatâmes l’état de Carine. Je posai alors la question qui nous brûlait les lèvres :
— Et où en sont les chattes des autres ?— C’est vrai qu’on ne voit pas bien, commenta Germain.— Il faudrait qu’elles écartent les cuisses, mais sur la chaise, ce n’est pas facile, dis-je.— Elles n’ont qu’à écarter leurs fesses avec leurs mains, pensa Olivier.— Et qu’elles fassent reposer leurs seins par-dessus le dossier, on y aura toujours accès, complétai-je.
Elles ne réagirent pas tout de suite.
— Allez mesdames, on y va ! les activa Paul.
Elles obtempérèrent. Elles commencèrent par placer leurs seins comme demandé, puis elles posèrent leurs mains sur leurs fesses. Elles écartèrent alors les deux lobes. Nous pûmes voir à loisir que toutes les chattes étaient plus ou moins humides. La plus mouillée était Carine et la moins était Sylvie. Son caractère dominant était un peu trop contrecarré à son goût, je supposai.
— Eh bien. Nous avons là une belle brochette de cochonnes, s’exclama Olivier.
Elles restèrent quelques instants comme ça. Elles commencèrent à respirer plus fort, à gémir un peu. Ça me satisfaisait de les voir souffrir physiquement. Le bois du dossier devait être douloureux puisqu’elles appuyaient leurs côtes dessus pour garder la position. Paul garda la tête froide et leur dit de se remettre comme avant. On pouvait voir une marque rouge sous leurs poitrines.
— Mais dis-moi Paul, elles t’ont vu te masturber ? lui demandai-je.— Oui. Cela me serait une douce compensation d’avoir la pareille.— D’une main, vous vous masturbez, de l’autre, vous vous caressez les seins, leur demanda Germain.
Elles hésitèrent, mais se soumirent. Nous continuâmes à faire le tour de nos femelles.
— Et ne faites pas semblant, mettez-y du cœur. On pourrait prendre ça pour un refus de nos accords, leur rappela Olivier.
Il avait vu Sylvie ne pas vraiment se donner du plaisir devant nous. Elle se reprit et on vit bien sa main s’activer correctement. Nous continuions à passer nos mains sur les corps offerts. J’avais la queue complètement écrasée dans mon pantalon. Elle avait pris un volume incroyable, elle réclamait de la liberté. Je vis les mêmes bosses chez Olivier et Germain. Mais celle visible chez Paul était bien plus impressionnante. Une fois qu’elles furent bien humides, on se plaça devant notre femme ou copine.
— Continuez comme ça. Vous nous excitez bien, commença Olivier.
Nous sortîmes nos sexes de leurs prisons. Je vis alors le sexe de Paul. Il était plus long et plus gros que celui de Germain. Là où mon gland s’arrêtait, celui de Germain commençait. Mais là où il s’arrêtait, celui de Paul commençait. Il était aussi un peu plus épais. Je compris pourquoi ces petites vicieuses rêvaient de s’occuper d’un tel engin. Le sexe en main, nous nous approchâmes du visage des femmes en face de nous. Paul nous surprit alors. Au lieu d’enfourner son sexe dans la bouche d’Elisa, il l’utilisa pour lui infliger quelques gifles :
— Alors comme ça, on me fait des cachoteries ? On passe ses nerfs sur ses élèves ? disait-il tout en la biflant.— Tiens, toi aussi, dit Olivier à ma droite. Je suis très déçu de toi.
Je le vis alors en faire de même à Liz. C’était moins impressionnant qu’avec la bite de Paul. Cela dut décider Germain et il le fit à Marie.
— Alors tu aimes les grosses bites ? En voilà une.
Je regardai alors Amandine. Elle me défiait du regard, persuadée que je n’allais pas le faire. Mais cela m’incita au contraire :
— Alors on se fait plaisir entre filles ? On joue les voyeuses ?
Paul mit sa bite dans la bouche d’Elisa pour qu’elle le suce. Nous suivîmes le même chemin entre les lèvres de nos copines. Amandine voulut utiliser ses mains pour s’occuper de moi.
— On vous a pas dit de vous arrêter de vous caresser l’entrejambe.— Vous avez le droit de laisser votre poitrine tranquille pour garder l’équilibre. Mais on ne veut sentir que vos lèvres, précisa Germain.— Et Sylvie et Carine, vous continuez aussi. Et jusqu’à nouvel ordre, personne ne jouit, enchaîna Olivier.— N’oubliez pas non plus de nous regarder dans les yeux. Vous devez être fières d’être de belles vicieuses, conclus-je.
Elles obéirent toutes à nos injonctions. C’était très agréable, trop agréable même. Après quatre semaines, j’avais les couilles plus que pleines. Je vis que Germain était comme moi. Olivier semblait un peu mieux se contrôler. Paul s’aperçut de cela et nous coacha :
— Si vous sentez que ça monte, essayez de penser à autre chose : un contrôle, une réunion de famille. A vous de voir. Respirez calmement et profondément tout en écartant bien les jambes. Et faites-lui lécher vos boules, ça laissera tranquille votre bite. Et mesdemoiselles, il en va de même pour vous si vous sentez arriver l’orgasme : pensez à autre chose et respirez calmement.
Il avait accompagné ses paroles d’une démonstration avec Elisa. Celle-ci devait maintenant lui sucer les boules alors qu’il prenait de longues et profondes inspirations. Il écarta les jambes aussi pour relâcher la pression. Nous en fîmes de même et effectivement combiner tout cela fonctionnait bien. En plus, se faire téter les testicules était nouveau et agréable. Cela faisait une petite minute qu’on y était. Je donnai alors le top départ :
— Allez on change.
Nous sortîmes des bouches qui nous accueillaient pour toutes se décaler vers la gauche. Elles furent surprises par ce changement soudain. Mais pas vraiment de la finalité, elles devaient se douter au fond d’elles, qu’on passerait avec chacune vu comment elles étaient placées. Paul prit de nouveau sa bite en main et bifla Carine en lui disant :
— Alors petite voyeuse ? A toi.
Il fit rentrer son gros sexe dans la bouche de Carine. Elle n’était clairement pas habituée à ce genre de calibre, mais elle fit de son mieux. Germain venait de passer à Elisa, moi à Marie et Olivier à Amandine. Nous leur dîmes quelque chose d’un peu humiliant. Elles reçurent de petites gifles avec nos sexes et elles durent les emboucher. Marie avait une technique bien différente d’Amandine, elle se concentrait bien plus sur le gland. Je préférais Amandine. Je vis Germain ouvrir de grands yeux quand Elisa commença à s’occuper de lui. Tout de suite, il utilisa la technique de Paul pour se calmer. A ma droite, je regardai Olivier aller et venir entre les lèvres de ma cochonne. Cela me fit bizarre de la voir s’occuper d’un autre que moi. Mais je n’en ressentis pas de jalousie. Je savais que j’allais profiter la sienne. Après une autre minute, nous nous décalâmes de nouveau. Je dis alors à Elisa en fouettant ma queue sur son visage :
— C’était pas gentil de passer tes nerfs sur nous. Maintenant, sois gentille.
Elle se plia à mon ordre et me prit en bouche.
— Oh putain ! Qu’elle suce bien ! pensai-je.
Comme Germain, je dus me contrôler avant de continuer. En bout de rangée, Paul en était à Sylvie, il lui dit alors :
— Mais voici notre meneuse, toujours avec son regard fier. Allez petite salope, on enchaîne.
Elle reçut sa dose de bifle et s’employa sur la grosse queue du prof de sport. Germain dans Carine, semblait avoir un peu de mal à prendre du plaisir même si elle y mettait de la bonne volonté. Olivier lui appréciait la fellation octroyée par Marie. On changea une nouvelle fois. En passant à Carine, je me rendis compte qu’elle avait un mouvement un peu trop mécanique. Olivier respira profondément à côté de moi, encore à cause des œuvres d’Elisa. On tourna ensuite. Je testai les talents de Sylvie. Je regardai mon Amandine s’escrimer avec l’engin de Paul. Elle se débrouillait bien, de mon point de vue. Sylvie aussi avait quelques talents pour la chose. On tourna encore et je goûtai à la bouche de Liz. Je voyais ses gros seins reposer sur le dossier. Elle faisait une fellation toute en douceur. J’aurais aimé qu’elle y mette un peu plus d’énergie. Nous réussîmes à faire un deuxième tour sur le même rythme. Malgré les conseils de Paul, je sentais que je ne pourrais plus tenir longtemps.
— Il va falloir qu’on finisse, demandai-je. Je vais bientôt tout lâcher.— Moi aussi, dit Germain qui était revenu dans la bouche de Marie.— Pareil, soupira Olivier qui se contrôlait tant bien que mal.— Alors on passe au final ? demanda Paul.
Nous acquiesçâmes du regard. Nous passâmes alors derrière les filles pour leur demander de venir à genoux devant nous. Nous eûmes une petite surprise.
— Mais c’est qu’elles sont trempées ! s’exclama Paul.
En effet, on ne voyait plus des chattes, mais des sources dégoulinant d’un liquide merveilleux. Carine avait une vraie petite flaque sur sa chaise. Elisa qui semblait mouiller naturellement beaucoup était juste après. Les autres suivaient ensuite toutes à peu près dans le même état. Sylvie qui avait eu du mal à accepter la situation semblait s’être laissée emporter.
— Quelle bande de vicieuses, s’étonna Olivier.— Nous qui pensions vous donner une leçon..., dit Germain perplexe.— Bon, venez vous mettre à genoux devant nous. Et serrez-vous bien ! leur ordonnai-je.
Elles se levèrent et vinrent se mettre en place. On vit qu’elles avaient les genoux et le bras rougis par la position qu’elles avaient dû prendre. On apercevait également une ligne rouge sous leurs poitrines. Elles se placèrent devant nous, en léger arc de cercle et bien serrées les unes contre les autres. Paul prit le temps de nous conseiller encore une fois :
— Quand le premier sera sur le point de jouir, il préviendra les autres. On serrera bien les jambes, on retiendra notre respiration et on accélérera la branlette pour finir tous ensemble. Il faut un final digne de ce nom.
Le message fut bien compris. Nous ne nous plaçâmes pas forcément devant nos compagnes respectives. Nous commençâmes à nous branler vigoureusement devant leurs visages. Elles continuaient de nous regarder dans les yeux fièrement et avec un peu de défi également. Le temps de les faire installer avait permis de nous calmer quelque peu. Mais au bout d’une petite minute, Olivier, qui avait été bien au bord, nous avertit qu’il allait bientôt venir. Nous accomplîmes la technique proposée par Paul. Et effectivement, celle-ci fonctionna aussi. Je sentis la jouissance arriver d’un coup beaucoup plus vite. Olivier lâcha sa première giclée sur Sylvie. Je le suivis sur Carine, Germain quasiment en même temps sur Amandine et enfin Paul sur Marie. Nous, les trois mecs, n’avions pas pu nous vider depuis un mois. Nos rasades étaient donc puissantes et très fournies. Paul était moins prolifique, mais il n’avait rien fait avec Elisa depuis au moins mercredi.
Cela lui avait permis de se constituer une petite réserve.A la giclée suivante, Olivier arrosa Liz, moi Amandine, Paul Elisa et Germain Marie. Puis après, je ne me rappelais plus. Je crus bien avoir fait profiter toutes les filles de mon foutre abondant. Les autres aussi durent asperger toute la troupe. Ils nous restaient encore deux bonnes giclées quand Paul eut fini. Il essuya alors son sexe sur les seins de sa femme. Des filets de sperme coulaient déjà des visages pour descendre vers leurs cous et leurs poitrines. Les éjaculations se faisant un peu moins puissantes et précises, certaines avaient atterri sur leurs seins ou leurs ventres. J’eus la même idée que Paul et nettoyai mon sexe sur les seins d’Amandine. Olivier le fit sur les grosses mamelles de Liz et Germain sur les petits lolos de Marie. Le regardant faire, j’eus l’impression qu’elle avait un peu pris en poitrine. Je ne les avais pas vus depuis notre tournage initial. Nous nous reculâmes pour admirer la scène dont nous étions les auteurs.
La vue était particulièrement pornographique. Six jeunes femmes, à genoux, regardant fièrement devant elles et recouvertes de notre sperme. Je leur demandai alors :
— Nettoyez-vous, s’il vous plaît.
Paul allait chercher des serviettes préparées à cet effet là où il s’était caché au début quand j’eus un éclair.
— Pas besoin de serviettes pour ces petites vicieuses. Elles ont des langues pour ça.
Les autres me regardèrent avec étonnement. Cela n’était pas prévu dans nos plans de départ. Mais bien vite, un sourire avide se dessina sur leurs visages.
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