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Le projet artistique

Chapitre 11

Revanche 2

Divers
Maxime narrateur
Les six jeunes femmes ne se rendirent pas compte que c’était une improvisation de ma part. Elles furent quand même surprises de la demande, pensant que la punition était finie pour ce soir. Mais elles avaient accepté d’obéir pour cette soirée, elles n’avaient plus qu’à s’y mettre. Elles se tournèrent les unes vers les autres pour se nettoyer mutuellement. Elles étaient futées, il n’avait pas été utile de leur dire qu’elles ne pouvaient pas se nettoyer elles-mêmes. On vit alors des couples lesbiens se former : Carine et Liz, Marie et Elisa, Amandine et Sylvie. Je me réjouis particulièrement de ce dernier : ma copine attitrée ainsi que celle dont le corps me plaisait tout autant. Ses taches de rousseur, je les trouvais toujours ainsi jolies. Elles se léchaient les unes les autres, leurs langues parcouraient le visage de l’autre avec une avidité non feinte. C’était qu’elles en voulaient de notre semence !
Cela nous plaisait énormément de les voir ainsi, mais ce fut au tour de Germain d’avoir une bonne idée.
— Changez de partenaire ! C’est en groupe que vous avez fait vos cochonneries. C’est en groupe que vous êtes punies.
Elles changèrent alors, Marie passa avec Carine, Elisa avec Sylvie et Amandine avec Liz. Le léchage du visage n’était pas encore tout à fait terminé. Des langues commençaient à s’entremêler. Cela débuta avec Marie et Carine, la première eut un léger mouvement de recul au début. Mais Carine, qui semblait plus habituée aux joutes lesbiennes avec Sylvie, n’eut pas peur et alla même chercher la bouche de Marie. Celle-ci succomba aux assauts de la petite brune. Cela ne dura pas longtemps, elles reprirent leur action. Amandine et Liz n’avaient fait que s’effleurer mutuellement la langue. Mais elles avaient posé une main sur le sein de son acolyte. Je vis même que les mains et les doigts n’étaient pas simplement posés. Elles avaient entamé un mouvement de caresse presque imperceptible. Elisa et Sylvie avaient quant à elles pratiquement abandonné le nettoyage et se roulait un patin en bonne et due forme. Nous décidâmes une dernière fois de les faire changer :
— Changez encore ! Ils vous restent le cou, les seins et le ventre, leur dis-je.
Elles échangèrent leurs places. Sylvie et Carine se retrouvèrent ensemble, avec un plaisir évident. Marie et Liz, Amandine et Elisa formaient les deux autres couples. Marie et Liz se nettoyaient à tour de rôle, d’abord Marie puis ensuite Liz. Liz sembla apprécier au plus haut point quand Marie lui lécha le cou.
— Ah ! Je m’en souviendrai pour la prochaine fois, si dit Olivier en aparté.
De son côté, quand Liz s’attaqua à sa petite poitrine, Marie réagit très intensément à ses coups de langue. Elle avait des petits seins, encore que je continuais à penser qu’ils avaient poussés. Mais ils étaient très sensibles. Quand je donnais des baisers, que je suçais ou mordillais, Amandine à cet endroit, elle ne réagissait pas autant. Ou alors je me débrouillais moins bien. Marie avait plaqué la tête de Liz pour l’inciter à continuer. Mais elle dut se résoudre à la relâcher pour, elle aussi, lui nettoyer la poitrine. Son visage disparaissait entre les seins opulents de sa partenaire du moment.
Amandine et Elisa avaient adopté la même technique de Liz et Marie. Elles alternaient leurs rôles régulièrement. Elisa s’aidait de ses mains pour porter à sa bouche les seins d’Amandine. Elle en profitait parfois pour, du pouce, exciter le téton qui était à sa portée. Amandine rejetait alors la tête en arrière. Il lui fut difficile de la refaire basculer vers l’avant pour prendre sa part de nettoyage. Elle s’employa alors à reproduire ce qu’Elisa lui avait fait. Elle y mit une application toute dévouée. Cela eut un effet visible sur notre prof d’allemand. Elle écarquilla les yeux et ouvrit la bouche en grand comme si elle manquait d’air. Elle passa les mains dans les cheveux blonds d’Amandine. Voir ainsi deux vraies blondes se sucer les seins à tour de rôle était un véritable plaisir des yeux.
Enfin, Carine et Sylvie avaient clairement plus l’habitude que les autres des jeux saphiques. Elles s’étaient évertuées à faire les choses en même temps. Elles avaient penché la tête du même côté pour pouvoir laver le cou de l’autre. Elles changèrent de sens sans un mot. Elles avaient pu commencer ainsi, mais quand elles durent descendre plus bas, il leur fallut s’allonger à terre, Sylvie au-dessus de Carine. La rouquine reprenait-elle sa position dominante sur Carine ? En tout cas, elles se placèrent comme pour un 69, mais la tête au niveau des nichons de l’autre. Carine devait se tenir sur les coudes pour accéder aux seins de Sylvie. Et cette dernière les pliait pour descendre assez bas pour atteindre les seins de sa partenaire.
Cela faisait maintenant dix bonnes minutes que nos chères salopes étaient à l’œuvre. Il était clair depuis longtemps que cela dépassait, et de loin, le simple nettoyage conjoint. Au début, on n’entendit que de petits soupirs, quelques halètements discrets. A présent, on en était aux gémissements de plaisirs, aux petits cris et aux encouragements. En effet, elles se motivaient les unes les autres avec des :
— Oh oui, c’est bon.
— Ah, ah, oh.— Mmh, mmh.— Continue, continue comme ça.
Il nous était évident que le traitement qu’elles s’étaient administré en se masturbant, tout en nous suçant, les avait déjà bien allumées. Deux ou trois avaient dû ralentir les caresses pour ne pas jouir sous leurs propres mains et doigts. Nous avions démarré un film quasiment muet, désormais on accédait à la bande-son. Et celle-ci était en full stéréo. Nous étions restés spectateurs passifs. Nous n’avions pas prévu, dans l’élaboration de la punition, qu’elles iraient plus loin que le nettoyage que nous leur avions imposé. Maintenant, il n’était plus imposé, il était librement donné. Nos bites ramollies et nos couilles vidées de tout à l’heure reprenaient de la vigueur. C’est qu’elles voulaient participer à cette scène de luxure ! Nous n’en étions pour l’instant qu’à nous branler sagement sans intervenir dans le débat.
Mais quand elles attaquèrent le ventre, on vit des doigts s’aventurer vers le Mont de Vénus de chaque partenaire. Carine et Sylvie avaient atteint le ventre et avaient lancé une main vers la chatte de l’autre. Elles se branlaient discrètement, tentant de cacher leurs soupirs de plaisir. Liz ne faisait pas tant de manières et avait carrément introduit un doigt dans le vagin de Maire pendant qu’elle lui lécha un ventre où il n’y avait plus trace de sperme depuis longtemps. Et Marie se pinçait les tétons tout en écartant les jambes pour faciliter l’accès à Liz. Enfin Amandine, qui récupérait les dernières gouttes de nos spermes sur le ventre d’Elisa, lui agaçait le clitoris d’un doigt agile. Comme tout à l’heure, notre prof semblait chercher de l’air avec sa bouche grande ouverte. Une de ses mains était passée derrière les fesses d’Amandine et avait réussi à atteindre ses lèvres. Le majeur d’Elisa glissait le long de l’ouverture suintante de désir.
* * *


Les femelles en chaleur devant nous étaient au bord de l’orgasme ou s’en approchaient fortement. Il sembla à Germain qu’elles se retenaient de jouir puisqu’elles en avaient reçu l’ordre plus tôt. Je pensai la même chose. Avant qu’il ne soit trop tard pour nous, Paul nous proposa :
— Messieurs, je ne sais pas pour vous, mais j’irais bien baiser ma femme.— Mais on va pas y aller comme ça. Elles sont supposées être punies, remarqua Olivier.— On leur donne une dernière instruction ? suggéra Germain.— Oui. Après on y va, approuvai-je.
Elles n’étaient pas conscientes de l’échange que nous venions d’avoir. Je regardai les six corps, les trois couples entrelacés. Quelle scène quand même !
— Mesdemoiselles et Madame. On a dit de ne pas jouir.
Cela fit retirer les mains des sexes qu’elles visitaient. On put lire une grande frustration sur les visages et dans les corps transpirant de désir.
— Marie, Liz, Elisa et Amandine, mettez-vous à quatre pattes et tournez-vous vers Carine et Sylvie. Et vous deux, inversez la position.
Toutes ces petites salopes obéirent. Sylvie n’apprécia clairement pas d’être en dessous, mais il était bon de rééquilibrer sa relation avec Carine. Nos quatre compagnes se mirent en place. Nous avions donc quatre culs à disposition devant nous. Celui d’Elisa était le plus large, le plus rond, mais sans être gros. Il restait assez ferme. Elle devait faire un peu d’activité physique pour s’entretenir. Ensuite les culs d’Amandine et de Liz, leurs sports respectifs (équitation pour la première et GRS pour la seconde) leur assuraient un beau fessier ni flasque ni plat. Ils étaient bien rebondis, mais un peu moins larges qu’Elisa. Enfin Marie avait le plus petit et le plus musclé également. C’est qu’avec Germain ils formaient un couple de sportifs de haut niveau en athlétisme. Dans la prolongation de son fessier, on distinguait bien les muscles de ses cuisses grâce à la position. La scène était suspendue ainsi quelques secondes en attendant la suite.
C’était à nous de jouer maintenant. Nous approchâmes alors de notre but. Nous nous postâmes à l’entrée de la grotte d’amour de nos cochonnes. Avant d’y entrer, je donnai la dernière instruction de la soirée.
— Carine et Sylvie, vous êtes libres de vous doigter ou de vous lécher la chatte et de jouir quand bon vous semblera. Mais vous restez dans cette position. Quant à vous autres, vous allez regarder le spectacle offert par vos copines. Pendant ce temps-là, on va vous prendre en levrette, histoire de profiter nous aussi de la vue. Vous pourrez jouir quand on remplira vos vagins de notre semence. Compris ?
Je vis alors les têtes opiner pour accepter ce nouvel ordre, qu’elles ne savaient pas être le dernier. Elles semblaient avoir été conditionnées totalement par leur désir de nous garder comme copain, par l’acceptation volontaire de la punition et par l’échauffement sexuel qui grandissait en elles. Je jetai un dernier coup d’œil à mes complices du soir. Ils me firent tous un signe de tête.
— Allez-y Carine et Sylvie on attend que vous commenciez, leur dit Olivier.
Elles reprirent leur gouinage avec avidité. Elles avaient peut-être approché l’orgasme plusieurs fois ce soir. Maintenant qu’on les autorisait à jouir, elles n’allaient pas hésiter ! Elles plongèrent leurs langues à l’assaut de la chatte mouillée à l’extrême de l’autre. Je me positionnai et pénétrai Amandine, ce qui donna le top départ aux autres, Germain annonça alors :
— Ah, une dernière chose. La punition est levée !
Je vis alors les têtes se redresser un instant sous l’effet de la nouvelle. Elles pensaient devoir subir une abstinence forcée pendant deux semaines et peut-être quelques humiliations que nous leur aurions cachées. Elles auraient pu alors tout arrêter puisque dans un sens, nous les libérions. Mais le besoin absolu d’atteindre enfin l’orgasme après l’avoir touché du doigt à plusieurs reprises sans jamais le concrétiser les incita à rester. Et puis nous avions commencé un pilonnage en règle de leur chatte. Nous y allions vraiment fort. Mais le conduit était tellement lubrifié qu’on ne risquait rien. En plus, nous nous étions bien déchargés tout à l’heure, nous n’allions pas tout de suite relâcher la purée.
Je regardai Sylvie et Carine. Elles étaient assez différentes, Sylvie plus claire de cheveux, assez grande, athlétique avec sa natation et la peau très blanche. Au-dessus d’elle, Carine typée méditerranéenne, brune et à la peau mate était aussi légèrement plus ronde et aussi plus petite. J’aimais bien ce contraste. J’aimais surtout la façon dont elles se bouffaient la chatte mutuellement. Et elles n’y allaient pas de main (ou de langue) morte. Elles accompagnaient leur cunnilingus d’une action manuelle énergique. Un doigt, mais plus probablement deux, s’activait dans le vagin de l’autre. La bouche était collée aux lèvres humides ; cela étouffait les gémissements ou les cris de plaisirs des deux jeunes femmes. Néanmoins, je sentis qu’elles n’étaient pas tout à fait à l’aise. L’inversion de la position troublait leurs habitudes, contrecarrait le penchant dominateur de Sylvie et celui soumis de Carine. Et c’était tant mieux.
Nous voulions aussi profiter le plus longtemps possible de l’entrecuisse baveux de nos copines. Elles devaient fixer les deux filles se gouiner et respecter la consigne. Je pensai que cela ne devait pas leur déplaire. Elles regardaient autant pour l’érotisme de la scène qu’en attente de la jouissance de Sylvie et Carine qui autoriserait la leur.
Amandine poussait de petits couinements aigus à chaque fois que mon gland était au plus profond de son antre. Marie émettait des "Ah" et des "Oh" sans s’arrêter. Liz, que j’avais connue peu expressive la première fois, ne retenait plus ses plaintes. Enfin, Elisa marmonnait en allemand. J’attrapai au vol des "Oh mein Gott" ("Oh mon Dieu"), "Ja weiter" ("Oui continue.") plus d’autres expressions que je ne connaissais pas ou que je ne comprenais pas.
Le duo lesbien commençait à rejoindre le septième ciel. Elles venaient de quitter le cinquième pour arriver au sixième. Il leur était de plus en plus difficile de garder la bouche collée au sexe de l’autre. Elles devaient de temps en temps rejeter la tête en arrière pour lâcher quelques cris ou râles bruyants. Mais elles gardaient assez de maîtrise d’elles-mêmes pour continuer l’action de leurs deux doigts enfoncés et pour vite revenir enfouir leur visage entre les cuisses de l’autre.
Du coin de l’œil, j’aperçus un mouvement du côté des profs. Paul venait de dire quelque chose à l’oreille d’Elisa. Celle-ci avait gardé les mains au sol et les bras tendus depuis le début. Là, elle posa les avant-bras par terre et mit ses deux mains l’une sur l’autre. Elle plaça son menton dessus pour continuer à regarder Sylvie et Carine. Elle dut se cambrer d’autant plus quand elle rapprocha ses genoux. Paul se releva et positionna ses pieds de part et d’autre des jambes d’Elisa. Pendant la manœuvre, ils réussirent à ne pas se désemboîter. Paul reprit son pilonnage. Les marmonnages en allemand cessèrent pour laisser la place à des cris étouffés. Je vis les yeux d’Elisa implorer Carine et Sylvie de donner enfin le top départ aux orgasmes. De l’autre côté, Germain et Marie se mettaient eux aussi en place. Ils ne purent rester l’un dans l’autre. Marie était toujours sur des "Ah" et des "Oh", mais dans un registre plus aigu et fort. J’incitai Amandine à prendre la même pose.
Je sortis presque pendant la manœuvre, mais réussis à garder le gland à l’intérieur. Liz et Olivier, partis après nous, réussirent à se mettre en place avant nous. Olivier martelait la chatte de Liz avec la même ardeur. Liz encourageait Olivier à continuer et à la baiser plus fort.
Je repris moi aussi mon matraquage dans la chatte d’Amandine. Je me rendis compte que dans cette position, je touchais le fond du vagin d’Amandine. L’orientation donnée par cette position permettait une pénétration beaucoup plus profonde. A chaque fois que je tapais, Amandine émettait un râle rauque que je n’avais jamais entendu. La position demandait par contre beaucoup plus d’effort physique pour moi. Je commençai à transpirer et mon souffle devint plus rapide.
Soudain, on entendit dans la salle de projection deux cris conjoints mêlant des "Hi" et des "Ah" et des "Oui." Carine et Sylvie jouissaient enfin. Elles avaient abandonné le cunnilingus pour exprimer leur orgasme, mais leurs doigts fourragèrent furieusement le vagin de l’autre jusqu’au bout. Elles étaient couvertes de sueur. Carine se tétanisa complètement pendant que des spasmes parcouraient le haut du corps de Sylvie. La jouissance fut longue à venir, mais elle dura de longues secondes également. Cela nous permit de lancer le dernier sprint. Je n’aurai pas pensé être capable d’aller encore plus vite. Mais sous l’impulsion de Paul que je vis accélérer la cadence, je me plaçai dans sa roue et le suivis. Olivier et Germain avaient également augmenté le rythme à leur maximum. Nos quatre femmes criaient maintenant à gorge déployée tandis que nous émettions des halètements d’effort, de plaisir et de douleur. Mes cuisses et mes abdos brûlaient tellement ils étaient proches de la rupture.
Marie s’écroula soudain dans un grand "Ah" alors que Germain lui envoyait la première décharge. Il fit encore quelques mouvements alors que Marie, allongée sur le ventre, avait placé sa tête sous son aisselle pour crier tout en essayant d’en masquer un peu le volume. Son corps s’arc-bouta soudainement alors que Germain finissait par se bloquer tout au fond d’elle. Puis il s’effondra sur elle.
Aux premiers cris de jouissance de Marie, Liz ne put attendre qu’Olivier commence à éjaculer en elle.
— Ah, ah, ah, je viens, je viens enfin ! disait-elle les larmes aux yeux.
Elle était enfin libérée de toute la tension sexuelle qu’elle avait accumulée. Olivier interpella Liz :
— Oh oui salope. Ton vagin me serre la bite. J’arrive, je viens, je...!
Il ne finit pas sa phrase, il remplissait de sperme le vagin de sa copine. Il continua jusqu’au bout à la pilonner pour ne s’arrêter qu’en s’affalant en arrière, entraînant Liz avec lui.Je ne pus résister plus longtemps, je lâchai mon premier jet dans la chatte d’Amadine. Elle se sentit enfin autorisée à jouir. Elle émit un unique et très long cri de jouissance. Elle ne reprit pas son souffle pendant de longues secondes. Mes cuisses étaient en feu, mais je continuai encore quelques va-et-vient puis je plantai mes ongles dans son cul et me bloquai tout au fond en criant moi aussi. Je ressortis d’Amandine pour m’asseoir là entre ses jambes. Elle s’allongea sur le ventre, elle aussi épuisée, mais enlaça ma taille avec ses jambes.Nous avions fini, sauf Paul et Elisa. Elle n’en pouvait plus, elle l’implorait :
— Finis-moi ! Finis-moi !— Prends ça. Prends ça.
Il continua encore quelques secondes et puis il lâcha lui aussi la purée dans la chatte de sa femme. Elle commença à jouir :
— Ja, ja, ja ! JAAAAA !
Paul refit encore trois ou quatre allers-retours puis se bloqua comme nous au fond pour expulser son dernier jet de sperme. Au lieu de s’écrouler comme nous, il prit soin de prendre sa femme dans les bras pour qu’ils s’enlacent le temps de reprendre leur souffle.Au milieu de nous, Carine et Sylvie s’étaient remises dans le même sens et s’étaient cajolées sagement en nous regardant jouir. Elles se caressaient les cheveux, la joue, le cou. Marie s’était retournée pour se mettre sur le dos. Elle tenait Germain dans les bras tandis qu’il lui parlait tout bas à l’oreille. Elle souriait et avait en même temps les yeux embués de larmes. Olivier s’était écroulé sur le dos. Liz s’était écroulée sur lui, le dos contre son torse. Il lui câlinait les seins, le ventre tout en lui parlant à l’oreille. Elle ondulait comme une chatte, un sourire béat aux lèvres. Je m’allongeai sur Amandine pour aller lui susurrer quelques mots au creux de l’oreille.
— Je t’aime ma chérie. Je suis fier de toi. Tu as fait preuve d’un grand courage ce soir et d’une belle force de caractère. Je veux que tu sois ma copine et plus encore. On ne se fera plus de cachoteries, on sera transparent l’un envers l’autre ?
Elle ne dit rien, mais sa main attrapa la mienne et la serra fort pour me dire oui. Les autres avaient tenu un discours à peu près similaire, Liz et Marie avaient aussi dit oui. Sylvie et Carine s’étaient juré mutuellement une totale transparence également. Paul et Elisa en étant mariés, avaient déjà fait ce genre de pacte. Ils ne parlaient pas, ils nous regardaient, attendris par les amours naissants de jeunes adultes.
Nous nous relevâmes enfin, encore un peu groggy par une telle débauche d’énergie. Nous rangeâmes notre attirail dans nos caleçons ou nos boxers et nous rangeâmes les chaises. Puis nous prîmes la serpillière qui était dans le local de rangement pour nettoyer les traces de nos ébats. Pendant ce temps, les filles avaient pris les serviettes et les mouillèrent au petit évier qui nous avait servi à remplir d’eau le seau de la serpillière. Elles furent au début silencieuses, puis quelques paroles furent échangées et même quelques rires retentirent avant qu’elles ne reviennent aussi propres que possible. Elles se rhabillèrent ensuite dans une joyeuse ambiance de vestiaire après une victoire. Paul et Elisa rangèrent les serviettes dans des sacs, ils les laveraient chez eux plus tard.
— On s’est promis transparence dans chaque couple, commença Liz.— Nous avions déjà un pacte qui nous liait tous d’une autre façon. Des non-dits auraient pu tout briser.— Oui Amandine. Donc on devrait étendre ce serment de transparence à l’ensemble du groupe, finit Sylvie.
Nous incluions naturellement dans le groupe Elisa et Paul. Il nous parut évident de faire comme disait les jeunes femmes. Nous nous accordâmes sur le fait que dès que quelqu’un savait quelque chose qui pourrait mettre en danger une autre personne du groupe il devrait l’en avertir. Que si une personne extérieure menaçait l’intégrité du pacte originel, il faudrait en parler ensemble. Que si nous avions des désirs quelconques, il faudrait en parler à son copain ou sa copine et éventuellement au groupe si cela concernait une autre personne du groupe. Nous signifiâmes enfin à Paul qu’il pouvait regarder la vidéo initiale s’il le voulait.
Nous nous quittâmes là-dessus. Il était près de 20h. J’avais eu l’impression que cela avait duré toute la nuit tellement j’étais épuisé. Paul et Elisa partirent vers leur voiture. Germain embarqua Marie sur son scooter. Liz et Olivier décidèrent de braver leurs paternels respectifs en repartant ensemble. Je raccompagnai Amandine chez elle. Nous ne parlâmes pas. Nous nous embrassâmes devant l’entrée de sa maison puis je la laissai rentrer. Je rentrai chez moi, l’esprit plein des images de cette soirée mémorable.
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