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Le projet artistique

Chapitre 13

Chantage

Divers
Maxime narrateur
Ce fut à mon tour de partir au ski. Ceux qui n’avaient pu y aller en décembre étaient également partis la première ou la deuxième semaine. La semaine où je restai là, je profitai de mon Amandine. En dehors des ateliers audiovisuels, nous avions une relation des plus classiques. Nous sortions, nous nous amusions, nous nous embrassions, nous ne baisions pas, nous faisions l’amour et pas tout le temps. Nous avions une vie de vieux couple comme elle s’en amusait. Oui, mais cela nous permettait aussi de renforcer notre relation sur les autres aspects que seulement le sexe.
Amandine me dit qu’elle avait vu Sylvie et qu’elle l’avait chaleureusement remerciée, et moi aussi par la même occasion. Elle lui avait semblée bien plus légère que les derniers jours avant les vacances. Je sus également par Olivier que Carine les avait remerciés. Voilà, nous avions fait notre B. A. pour le bien des deux jeunes femmes, pour le bien du groupe. Il y avait une chose qui m’avait un peu gêné au départ, c’était ces multiples déclarations d’amour entre elles. Mais nous en avions eu plus que notre quota aussi.
Le lundi matin, nous nous retrouvâmes tous au café situé pas loin du lycée. Nous prenions un truc chaud, chocolat ou café ou thé, car il faisait particulièrement froid ce jour-là. On y aperçut Elisa et Paul qui prenaient un petit-déjeuner ensemble avant d’entamer la journée. Ils riaient et plaisantaient, ils parlaient de leur séjour au ski. Elisa montrait de temps en temps sa hanche. Nous comprîmes qu’elle avait fait une belle chute sur un côté qu’elle avait dû aller faire des radios de contrôle. S’ils riaient de cette mésaventure, cela n’avait pas dû être bien grave.
Il était l’heure d’aller en cours. En partant, ils nous virent et nous firent un petit signe de la main pour nous saluer. Nous en fîmes de même. La journée se passa tout à fait normalement, mais je reçus un petit mot d’Olivier me demandant qu’on se voit tous à la fin des cours. Il avait marqué "URGENT" en rouge en fin de mot. Apparemment, c’était de Liz que venait la demande. J’avertis aussitôt Sylvie dans ma classe. Marie fut prévenue par Germain et elle avertit les deux dernières filles. Cela semblait vraiment important pour qu’on soit convoqué ainsi. Amandine, Carine et Marie nous attendaient déjà à la sortie du lycée. Elles nous dirent qu’elles avaient vu partir Paul et Elisa, très soucieux l’un et l’autre. Ils étaient trop loin et trop pressés pour qu’elles puissent leur parler.
— Alors qu’est-ce qui se passe ? demandai-je.— En fait, quand on a vu Elisa arriver pour son cours d’allemand, elle nous a semblé très préoccupée, commença Germain.— Alors que tout allait bien le matin au café, ajouta Liz.— Son cours était décousu, on avait l’impression qu’elle ne savait pas où elle allait. Ça a fait rire la classe, mais nous ça nous a inquiétés.— Alors on est allé la voir à la sonnerie. On lui a demandé si ça allait. Elle nous a répondu que oui, c’était juste une mauvaise nouvelle qu’elle avait reçu dans la matinée. Mais que ce n’était pas grave.— Mais elle avait les yeux rougis, comme si elle avait pleuré. On ne l’a pas trop embêté sur le coup. Mais en y réfléchissant, après on s’est dit que cela pouvait être plus sérieux. Que cela pouvait avoir un rapport avec la vidéo.— Vous avez bien fait de nous convoquer, leur confirma Sylvie.— Tout le monde a bien sa vidéo ? demandai-je.
Moi je savais que oui, il m’arrivait d’y jeter un œil de temps en temps. Et apparemment, je n’étais pas le seul, la moitié me confirma qu’ils avaient bien la vidéo. L’autre irait vérifier le soir. Nous décidâmes de poser plus de questions à Elisa et Paul. Ma classe avait allemand en deuxième heure. Celle d’Amandine, deux heures de sport dès 8h. Il nous faudrait sûrement la durée de la pause pour leur tirer les vers du nez. Nous ferions le point à la pause déjeuner.
Le lendemain matin, lorsqu’on vit arriver Elisa à 9h en cours, elle était très fatiguée, les traits tirés et les yeux rouges. Il était clair que quelque chose n’allait pas. Son cours ne fut pas une réussite au début, mais elle se reprit et assura la fin normalement. Avec Olivier et Sylvie, nous attendîmes que tout le monde sorte de la classe. Nous lui demandâmes alors ce qu’il se passait. Elle nous sortit le même refrain qu’elle avait sorti à Liz et Germain la veille. Nous dûmes un peu la bousculer mentalement pour qu’elle nous dise la vérité. Nous avions fait un serment de transparence entre tous les membres du groupe, y compris elle et son mari. Elle éclata en sanglots et nous raconta son problème. Ce ne fut pas facile de suivre son histoire entre deux crises de larmes et des morceaux semblaient manquer aussi. Il nous fallut toute la récréation pour en savoir un peu plus et pour lui dire que nous allions arranger les choses.
Plus pour la réconforter qu’autre chose, car nous ne savions pas quoi faire en réalité. Il nous fallait un peu plus comprendre la situation. Cela lui donna un peu de baume au cœur. Elle avait une heure de pause avant son prochain cours. Cela lui serait utile pour reprendre le dessus.
A 13h, nous nous posâmes tous les huit dans un coin tranquille, une classe vide restée ouverte. Avec les informations, également partielles, obtenues par les filles, nous réussîmes à reconstituer le dérouler suivant.

* * *


Elisa fut assez excitée par la débauche dont elle avait été témoin et son rôle de catalyseur en quelque sorte. Elle se rendait compte que ces jeunes adultes avaient un comportement tout à fait normal quand ils étaient mélangés avec les autres jeunes, mais dès qu’ils étaient seuls et avec elle, et même avec Paul, ils basculaient complètement. Elle s’était promis de ne plus participer à leurs ébats de quelques façons que ce soit. Et elle s’y tenait bien jusque-là. Elle ne savait pas trop pourquoi elle leur avait autorisé ces récréations sexuelles. Enfin si elle le savait, elle ne voulait simplement pas se l’avouer. Elle aimait les regarder s’aimer devant elle. Elle avait craqué juste avant les vacances de Noël et s’était laissée aller à se masturber devant eux. La première vidéo ne comptait pas vraiment comme une faiblesse de sa part, mais plutôt comme une nécessité. Quant à sa punition avec les autres filles, elle se persuadait que c’était Paul qui l’y avait forcée.
A chaque fois qu’elle leur accordait une récréation, elle était toute troublée et excitée par la situation. Une fois le groupe parti, restée seule dans la salle de projection, elle se caressait pour évacuer le trop-plein qu’elle avait. Ce soir-là, elle les avait laissés aller beaucoup plus loin. Quand Amandine, Liz et Marie étaient venues la voir dans la semaine, elle fut étonnée de leur demande. Elle refusa d’abord. Il n’était pas question de faire ça en sa présence. Elle comprenait bien et voyait le désarroi de Sylvie et Carine. Mais ils pouvaient organiser ça ailleurs ! Les filles lui demandèrent d’être là pour s’assurer que tout se passerait comme prévu et que d’un coup elles ne piqueraient pas une crise de jalousie pendant que les garçons feraient leur affaire. Elisa fut touchée par tant de solidarité entre eux, mais elle campait sur ses positions. Elles insistèrent lourdement, la suppliant d’accepter, lui disant qu’elle lui revaudrait ça...
Elle avait fini par craquer et accepter. Amandine avait un don pour obtenir tout ce qu’elle voulait. Et les autres jeunes femmes étaient des disciples pleines de potentiel.Elle était maintenant seule dans la salle de projection. Les autres fois, elle n’avait eu qu’à se caresser un peu. Ce soir, il lui fallait jouir vraiment. Elle sentait ses seins fièrement dressés dans son chemisier. Elle se décida à l’ouvrir pour passer ses mains dessus et les malaxer. Inexorablement, ses doigts vinrent titiller ses tétons pointés par l’excitation. Elle s’assit sur une chaise et continua ainsi quelques instants. Puis n’y tenant plus, elle descendit ses collants et poussa sur le côté son string, petite nouveauté dont elle voulait faire la surprise à Paul. Elle en était là, une main sur son sein et un doigt dans la chatte quand Paul débarqua :
— On va être en retard. On a de la rou...
Sa phrase s’était arrêtée nette à cause de la vision que lui offrait sa femme : seins et sexe à l’air et se donnant du plaisir. Sa queue réagit tout de suite et gonfla instantanément dans son caleçon. Habillé de son survêtement habituel, un chapiteau se forma immédiatement, ne cachant rien de son émoi. Elisa sursauta et lui dit :
— Ils m’ont trop excité ce soir. J’ai besoin de relâcher la pression.— Je croyais que tu m’avais dit que tu ne participais pas à leurs jeux.— Je m’y tiens toujours. Mais ce soir, je les ai laissés aller plus loin que d’habitude. Alors il faut que je jouisse un bon coup.
Pendant toute leur discussion, elle n’avait pas arrêté de se toucher, augmentant son plaisir et le désir de Paul.
— Mais puisque tu es là, lui dit-elle en écartant largement les cuisses.
Paul regarda derrière dans le couloir, pas un bruit, pas une lumière. Alors il se décida :
— Petite salope, tu vas voir, dit-il dans un sourire gourmand.
Il plongea la tête entre les cuisses de sa femme pour entamer un bon petit cunnilingus. Elle ahana rapidement sous les coups de langue, mettant les mains dans les cheveux de son mari pour le plaquer un peu plus contre son sexe. Il remarqua la nouveauté et lui en fit part :
— Mais ça me plaît beaucoup ce que tu as là.— Oh, oh, c’était pour te ohoh faire une suuurpriiiise.— Fais-moi voir ça de plus prêt.
Il la leva et lui remonta la jupe à la taille. Il la fit tourner pour voir le string sous tous les angles :
— Vraiment, j’aime beaucoup.— C’est vrai ? Ça me fait plaisir que tu aimes. Mais tu m’as un peu laissé en plan, là. Il va falloir me finir correctement.— Oh pardon. Ne t’inquiète pas. J’ai tout ce qu’il faut là pour faire mon travail.
Il sortit son sexe en même temps qu’il prononçait ces paroles. Il bandait fièrement et une goutte suintait déjà au niveau du gland. Il finit de lui enlever son collant en l’arrachant à moitié. Puis il la plaqua dos contre le mur le plus proche. Il passa une main sous sa cuisse et lui souleva la jambe. Il fit alors avancer sa main jusqu’à l’entrecuisse d’Elisa. Il attrapa le string et le tira sur le côté. Sa main droite, qui était restée à malaxer le sein de sa femme, se dirigea vers son entrée humide. Il fit aller et venir ses doigts le long du sexe de sa femme pour en récupérer la cyprine. Il s’en servit pour lubrifier plus encore son gland. Une fois fait, il la pénétra brusquement jusqu’à la garde. Elle s’agrippa au cou et aux cheveux de son mari sous l’intrusion brutale. En même temps, elle émit un râle de douleur mêlé au plaisir. Quand Paul commença ses coups de boutoir, la douleur céda complètement sa place au plaisir. Chaque pénétration la faisait haleter au même rythme.
Elle passa les bras autour du cou de Paul et enfouit son visage dans le creux de son épaule. Elle se sentait partir, sa jambe encore au sol commençait à ne plus la porter. Paul s’en rendit compte, il l’attrapa alors pour maintenir Elisa en position. Ce fut particulièrement dur pour lui, même en tant que prof de sport et avec une femme pas spécialement grosse, la position demandait un effort physique intense. Il sentit son propre plaisir grimper pour s’approcher de son paroxysme alors que les bras d’Elisa se serraient plus fort autour de son cou. Il décida de donner un dernier coup d’accélérateur. Elisa poussa alors de petits cris toujours atténués par son visage enfoui. Elle se raidit d’un coup, Paul sentit le vagin d’Elisa se contracter autour de son manche. Cela lui déclencha son propre orgasme. Il donna encore deux coups de reins avant de se caler tout au fond. Ils reprirent leur souffle tous les deux puis finirent par s’écrouler à terre.
— C’était court, mais intense, commenta Paul.— J’avais besoin de me soulager. J’ai été agréablement surprise de te voir arriver.— Qu’est-ce qu’ils ont fait encore pour te mettre dans cet état d’excitation ?— Je te raconterai ça dans la voiture. Il est tard, il faut qu’on parte.
Ils finirent de ranger la salle, nettoyèrent les quelques traces qu’ils avaient laissées au sol et jetèrent négligemment les restes du collant déchiré à la poubelle.Quand ils revinrent de vacances, Elisa trouva dans son casier de la salle des profs, une lettre, une photo et un morceau de tissu. La lettre disait :"Salut petite chienne.J’ai été surpris de ne pas te voir seule il y a deux semaines. Ça faisait quelques fois que je t’avais repérée à faire tes cochonneries. Je pensais te prendre sur le fait et immortaliser ça avec une petite photo, mais au vu de la situation, j’ai été sympa et vous ai laissé finir tranquille. Mais j’ai quand même fait des photos (j’ai joint un exemple avec la lettre). Comme il l’a dit, c’était court et intense. Même pour moi, je me suis bien branlé en repensant à tout ça et en regardant les photos. Ce n’était pas très sympa pour les femmes de ménage de laisser traîner dans la poubelle ton collant alors je l’ai récupéré.
Bon, tu t’imagines bien que je t’ai pas écris que pour te dire tout ça. Tu pourrais penser que je voudrais profiter de toi, mais tu es trop vieille pour moi. C’est le pognon qui m’intéresse. J’attends donc que tu déposes 5 000 F dans ton casier vendredi soir. T’inquiète pas, j’ai le moyen d’ouvrir les casiers. Je te laisserai à la place une partie des photos pour montrer ma bonne volonté. Il faudra alors que tu mettes 20 000F le vendredi suivant si tu veux récupérer tout le reste.
Dans le cas contraire, les photos arriveront sur le bureau du directeur. Je pense que toi et ton connard de mari ne voulez pas perdre cette place ni votre réputation. ALORS OBEISSEZ !"Ils pouvaient à peu près réunir les 5 000 F demandés en premier, mais jamais le reste. Déjà le premier versement allait bien creuser leurs économies alors 20 000 F...

* * *


Ceux qui avaient vu Paul le matin nous dirent également qu’il était dans un drôle d’état. Il nous restait 45 minutes pour commencer à analyser la situation. Il nous apparut assez vite qu’il nous fallait les aider. S’ils avaient des problèmes, si on commençait à fouiller leur vie privée, on pourrait tomber sur le pacte initial. Et alors nous serions nous aussi dans une sacrée merde. Et puis il y avait quelque chose de plus que la contrainte du pacte qui nous incitait à les aider. Un vrai élan de solidarité, amical, filial ou amoureux nous guidait. La première question qu’il fallait résoudre était l’identité du maître chanteur.
— S’il ou elle peut ouvrir les casiers, c’est forcément quelqu’un de la direction, commença Olivier.— Mais pas n’importe qui non plus. Il faut facilement pouvoir circuler et fouiller quand il n’y a pas grand monde, dit Sylvie.— Donc le directeur, la directrice adjointe, le responsable des surveillants et le gardien, résumai-je.— Mais il a parlé de se branler dans la lettre. C’est sûrement un homme.— Oui Am, ça exclut la directrice adjointe. Reste trois.— C’est pas non plus le responsable des pions. Il était absent le vendredi avant les vacances. Je passais devant leur bureau quand j’ai entendu les pions râler, car il était absent pour maladie. Mais ils pensaient qu’il s’était barré en vacances plus tôt, nous indiqua Liz.— Plus que deux.— Je suis sûre que c’est ce gros pervers de gardien, asséna Marie. Il essaye d’être discret, mais je le vois bien qui mate les plus jeunes des filles ou celles qui en ont l’air.
Elle eut un petit frisson en pensant aux yeux du gardien se poser sur elle. Germain lui posa un baiser sur le front et passa un bras autour de ses épaules.
— Et puis, il parlait dans la lettre qu’Elisa était trop vieille pour lui. Ça colle bien avec lui.
Liz n’avait pas tort. On tenait notre coupable. Mais que pouvait-on faire maintenant ?
— Il faut récupérer tout ce qu’il a, proposa Sylvie.— Et comment tu comptes faire ? lui rétorqua Amandine.— Ce blaireau a dû laisser ça chez lui. Il faut l’occuper ailleurs le temps de fouiller.— Sa piaule de merde, il la ferme quand il part. Et il a toujours son gros trousseau de clés à la ceinture, lui fit remarquer Marie.— Sauf... sauf quand il répare un truc dans les toilettes, il laisse toujours son trousseau à la porte des toilettes où il est pour éviter que des élèves rentrent alors qu’il y travaille.
Germain avait raison, c’était la direction qui lui avait demandé de faire ça. Apparemment, c’était déjà arrivé qu’une collégienne ou une lycéenne se retrouve nez à nez avec lui dans les toilettes des filles. En y repensant, nous nous demandâmes si c’était vraiment un hasard à chaque fois. Par contre, il faudrait qu’il soit sacrément occupé pour ne pas voir que nous prenions les clés ou pour nous laisser le temps de fouiller chez lui.
Il était presque 14 h. Il fallait retourner en cours. Nous nous donnâmes rendez-vous après les cours pour échafauder un plan. Chacun devant apporter les idées qu’il aurait eues dans l’après-midi. Avec Sylvie et Olivier, nous croisâmes le gardien lors d’un changement de salle. Je l’observai de plus près à notre passage. Et c’était vrai qu’il jetait des regards discrets, mais appuyés sur les filles qui paraissaient les plus jeunes. Je crus même le voir se toucher après notre passage. Sylvie vit la même chose que moi, mais pas Olivier qui était un peu devant nous. Mais il nous sembla à tous les trois que ce pouvait être à notre avantage. Je continuai à réfléchir les heures suivantes. Je ne fus pas très impliqué dans les cours, je voyais Sylvie et Olivier perdus aussi dans leurs pensées.
Nous nous retrouvâmes à la fin des cours. Il fallait vite trouver un plan d’action.
— Alors on fait quoi ? s’empressa Marie.— Déjà, il ne faut pas que Paul et Elisa soient mêlés à ça. Il faudrait qu’ils aient un bon alibi, nous dit Amandine.— Bah ça dépend quand on fait ça, lui indiqua Sylvie.— Demain après-midi. C’est notre seul créneau d’action. Jeudi, il y a trop de monde toute la journée et vendredi ça sera trop tard.— Olivier a raison. Et demain, ils auront un alibi tout trouvé, Paul est déjà pris par différentes obligations avec beaucoup de témoins. Il faut qu’Elisa l’accompagne toute la journée. Qu’ils soient vus ensemble par plein de gens.— OK, Liz. Ça me paraît bien, lui dis-je. Il faudra bien les prévenir demain matin dès leur arrivée. Qui s’en charge ?
Carine et Sylvie se portèrent volontaires. Elles les accompagneraient dans l’après-midi pour s’assurer qu’ils se tiennent loin de l’établissement. Bon, il restait le plus compliqué à mettre au point.
— J’ai pensé qu’on pourrait s’arranger pour qu’il ait à réparer un truc dans les toilettes, commença Germain.— Oui, mais c’est pas suffisant, lui fis-je remarquer. On pourrait peut-être prendre les clés, mais pas sûr de ne pas être vu ni d’avoir assez de temps.— Il faut qu’il reste plus longtemps. Faut que ce soit une grosse réparation, proposa Amandine.— Mais il risque de faire des allers et retours vers son atelier. D’avoir besoin de ses clés, lui répondit Liz.— Il faut qu’il ait une autre raison de rester dans les toilettes, proposa Sylvie.
Je voyais un peu où elle voulait en venir.
— Il faudrait utiliser son côté ’mateur de petites filles’.
Il y eut un blanc dans nos échanges, chacun évaluait ce que cela impliquait.
— Il faudrait qu’il puisse mater l’une d’entre vous, dit Olivier.
Ça m’arrangeait que ce ne soit pas moi qui fasse cette proposition. Nous demandions à une des filles de se faire mater par ce gros porc. Je vis les nanas hésiter, mais finalement Liz se lança :
— Bon s’il faut juste se faire mater un peu, je peux le faire.— Mais il faut qu’on ait du temps, lui fit remarquer Amandine.— Il faut qu’il ait de quoi voir pour rester concentré dessus et longtemps, complétai-je.— En gros, vous voulez que je me foute à poil devant ce salopard ?— Bah, je vois pas d’autre moyen pour le faire rester, lui dit Sylvie.— Bon si c’est pour le groupe, pour Paul et Elisa... Je vais le faire.
Nous avions un piège qui se mettait en place. Nous semblions tous soulagés, si nous pouvions l’être, d’avoir trouvé un début de plan. Mais je vis Marie soucieuse, elle prit alors la parole :Ça n’ira pas. Ce gros porc préfère les corps plus jeunes. Liz, ton corps ressemble trop à ce que tu es : majeure. Ça ne peut marcher qu’avec moi."Elle dit ça difficilement, mais avec une grande détermination dans le regard. Je vis que Germain était fier d’elle.
— Mais on fait comment, elle va pas se foutre à poil devant lui comme ça, s’offusqua Germain. Il va lui sauter dessus.— Il faudrait que tu sois bien séparée, mais assez visible, pensa tout haut Carine.— Tu es dans une toilette et lui est dans l’autre. Il peut te regarder par un trou, suggéra Sylvie.— D’ailleurs, le trou pourrait être la raison de sa venue. Mais à nous de faire un trou demain matin aussi discrètement que possible.
Liz avait raison, nous nous avisâmes que les toilettes situées le plus loin de l’entrée au dernier étage étaient les plus appropriées, car elles étaient déjà peu utilisées et le mercredi matin, il n’y avait même aucun cours par là. Mais soudain, je vis le visage de Germain s’assombrir :
— Mais il ne risque pas de vouloir passer de l’autre côté ?— Elle aura fermé la porte, tenta de le rassurer Olivier.— Oui, mais même s’il ne rentre pas, il va sortir et voir que ses clés ne sont plus là.— Il faudra peut-être qu’il ait un peu plus que sa vue à satisfaire, suggéra Carine.— Mais il n’est pas question que ce gros porc me touche !— De toute façon, comme le trou ne sera pas très gros il pourrait juste passer un doigt ou deux, avançai-je.— Ou autre chose, conclut Amandine.— Je vais pas lui toucher le machin !— T’inquiète, je serai avec toi dans les toilettes. S’il passe sa bite, je lui ferai une branlette. J’en mourrai pas.
Et bien ma chérie m’impressionnait aussi.
— Je te filerai une capote pour vraiment pas la toucher, lui dit Sylvie.
Nous réglâmes rapidement quelques détails. Il nous fallait trouver un outil quelconque pour faire le trou. Le soir, je cherchai chez moi, mais ne trouvai rien de bien. Le lendemain, nous nous retrouvâmes comme prévu à l’écart du bâtiment. Sylvie, Liz et Olivier avaient ramené des marteaux ou des scies, mais ça ne valait rien dans notre cas. Germain, lui, sortit fièrement de son gros sac de sport une perceuse électrique accompagnée d’une scie cloche. Dans le contreplaqué des toilettes, il ne faudrait que quelques secondes pour faire le trou. Carine, elle, nous montra un cadenas, nous ne comprenions pas trop ce qu’elle voulait en faire.
— Tu comptes l’utiliser pour l’enfermer dans les toilettes ? On n’a pas de quoi accrocher le cadenas aux portes des toilettes.— Non, ce n’est pas à ça que je pensais, rougit-elle.
Elle nous expliqua ce à quoi elle pensait. Nous trouvâmes l’idée très bonne, ça devait marcher. Comme d’habitude, Carine avait eu une idée un peu perverse. Sous ses airs un peu soumise, elle cachait bien son jeu. Carine et Sylvie partirent tout de suite trouver Paul et Elisa. Ils avaient cours dès 8h, donc ils devaient déjà être dans l’établissement. Sylvie n’eut pas de mal à trouver Elisa.
— Pourquoi veux-tu que je reste avec Paul cet après-midi ? J’ai d’autres problèmes à gérer.— Ecoute. Fais-nous confiance et ne pose pas plus de questions.
Epuisée mentalement, elle ne résista pas plus. Paul dont c’était le programme habituel ne posa pas de problème à Carine, même s’il voulait savoir pourquoi on leur demandait ça. Carine tint sa langue et revint avec nous.
De notre côté, nous passâmes repérer les toilettes en question. Effectivement, il n’y avait quasiment personne à cet étage et personne dans ses toilettes. Nous choisîmes la cloison qui serait percée et là où se mettraient Amandine et Marie. Nous nous donnâmes rendez-vous à la pause de milieu de matinée. Lorsque la sonnerie retentit, nous nous dirigeâmes aussi naturellement que possible vers le lieu du crime. La pièce était vide comme prévu. Germain entra dans la cabine où seraient nos copines. Il prépara la perceuse et la scie cloche. Nous cherchâmes une prise, nous eûmes un moment de panique n’en voyant aucune. Finalement, il y en avait une dans le placard à l’entrée. Le fil était juste assez long pour pouvoir percé. Il n’y avait toujours personne. Tant mieux vu ce que nous voulions faire. Olivier resta avec Germain. Je me postai à la porte et les filles, réparties en deux groupes, se positionnèrent en haut des deux escaliers menant à l’étage.
— Il est presque l’heure. Prépare-toi, dis-je à Germain.
Il prit sa perceuse en main. Olivier alla la brancher et resta auprès pour débrancher dès que le trou serait percé. Je fis un signe aux deux groupes. Sylvie et Liz levèrent un pouce pour signifier que tout était OK. Il ne restait plus que quelques secondes, la tension était montée d’un cran. Soudain on entendit la cloche, bruyante et stridente comme d’habitude. Germain déclencha la perceuse et effectivement il ne fallut qu’un instant pour percer la fine cloison. Nous nous précipitâmes pour tout ranger et retourner en cours. Il ne fallait pas que quelqu’un se décide à aller aux toilettes avant midi. Le gardien aurait alors le temps de venir faire une réparation rapide. Je priai intérieurement pour que tout se passe bien.
A midi, nous allâmes occuper toutes les toilettes du premier étage, obligeant ainsi plusieurs élèves à monter à l’étage. On entendit des cris de surprise et quelques instants plus tard un pion beugla littéralement et fulmina sur la médiocrité de la jeunesse actuelle. Nous nous dirigeâmes comme les autres élèves vers la sortie. Le gardien regardait tout le monde sortir, un pion vint lui signifier la réparation à faire.
— Bande de petits saligauds. Je ferai ça après déjeuner. Il n’y aura personne, je serai tranquille, se contenta-t-il de dire.
Je l’observai rapidement. Raymond P était un bonhomme d’environ 45 - 50 ans, un peu d’embonpoint, cheveux gris et gras. Il avait l’air d’avoir toujours trop chaud et transpirait souvent. Ça ne serait pas une partie de plaisir pour les filles. Il ferma derrière le dernier élève. Nous avions probablement jusqu’à 14h au moins. Connaissant le bonhomme, il ne se presserait pas plus que ça. Sylvie et Carine partirent rejoindre Paul et Elisa en nous souhaitant bonne chance.
Nous attendîmes que les pions partent à leur tour. Encore quelques minutes de patience et nous escaladâmes les grilles en nous assurant de ne pas être vus. Les filles galérèrent un peu avec leurs jupes, mais nous fîmes vite. Nous partîmes nous mettre en position. Olivier et Liz se cachèrent non loin de la petite maison du gardien. Pendant ce temps-là, nous fermâmes toutes les portes sauf celle où nous voulions qu’il aille. Amandine et Marie rentrèrent dans celle que nous avions choisie pour elles. Marie se déshabilla rapidement, je vis qu’elle s’était coupé les poils du pubis pour paraître plus jeune encore. Amandine lui dessina des grains de beauté avec un crayon à maquillage, le trou était assez bas pour qu’il ne puisse apercevoir le visage de Marie, ni Amandine qui serait avec elle. Avec Germain, nous nous cachâmes dans l’escalier par lequel le gardien n’arriverait sûrement pas. Il était temps, nous entendîmes un sifflement, c’était Olivier qui nous avertissait de l’arrivée de Raymond.
Nous l’entendîmes souffler bruyamment en montant l’escalier opposé. Nous reconnûmes le bruit du trousseau de clés passé dans la serrure des toilettes. Machinalement, il les avait laissées à l’entrée alors qu’il n’en avait pas l’utilité.
Marie et Amandine l’entendirent se diriger vers la porte restée ouverte comme une invitation. Elles le sentirent aussi. Un mélange de sueur, de pisse et de pinard flottait dans l’air. C’est qu’il avait abusé de la bouteille le midi.
— C’est quoi ça encore, dit-il en entrant.
Nous avions scotché un papier où était marqué "Regardez-moi. Mais pas touche.". Elles le sentirent s’agenouiller et il s’écria soudain en apercevant le corps de Marie :
— Oh putain ! J’ai vraiment abusé du vin ce midi.
Mais il ne bougea pas d’un pouce.
— Mais non, je rêve pas. Bordel. Bouge pas j’arrive.
Mais Marie lui présenta un autre papier : "Si vous sortez de là. Je pars. Soyez sage..."
— OK, OK. Je bouge pas.
Elles le virent coller son œil au trou, son gros nez l’empêcha d’être vraiment au ras, sans quoi il aurait peut-être aperçu Amandine. Marie tournait sur elle-même, passait ses mains sur différentes parties de son corps. Je choisis ce moment pour aller prendre les clés discrètement. Je revins vers Germain et les lui donnai.
— Non, je reste pour surveiller.— Non, tu cours plus vite. Allez ! criai-je dans un chuchotement.
Il partit au galop rejoindre les deux autres. Ils avaient pour mission de trouver les éléments compromettants. Des toilettes, j’entendis une demande du gardien :
— Allez ! Montre-moi un peu tes seins.
Marie se rapprocha un peu du trou et se pencha pour les rendre visibles.
— Oh oui. C’est tout mignon ça ma petite. Allez, touche-les un peu.
Marie le fit, elle fermait les yeux essayant d’imaginer que c’était pour Germain qu’elle s’exhibait.
— Allez vas-y. Pince-les bien. Oui comme ça.
Amandine l’encourageait du regard. Cela faisait quelques minutes qu’on en était là. Et toujours pas de nouvelles des autres. Ils faisaient quoi ?
— Allez. Viens là. J’ai envie de goûter à ces petites pommes.
Marie lui fit non de la main, mais il ne l’entendit pas de cette oreille.
— J’ai été sage. C’est toi qui as voulu ça. Alors, sois un peu gentille aussi. Ou c’est moi qui m’en vais.
Marie regarda Amandine un peu paniquée. Ma chérie ne savait quoi lui dire non plus. Puis elle prit son courage à deux mains et posa son sein à l’entrée du trou. Une bouche baveuse et avide se posa dessus. Elle eut une grimace de dégoût en la sentant. Elles perçurent le bruit de sa braguette. Il se tripotait en lui tétant le sein ! Au bout d’un moment, n’y tenant plus, elle s’écarta.
— Eh pas déjà !
Mais elle inspira et posa le deuxième sein.
— Ah oui, l’autre, tu as raison. Pas de jaloux.
Et pendant ce temps, Germain ne revenait toujours pas ! Il n’allait pas se contenter de si peu. Effectivement, il demanda à Marie :
— Eh petite, montre-moi ta petite chatte. Et caresse-toi pour moi.
Marie se résolut à le faire. Elle s’adossa sur la cloison opposée et commença une lente masturbation.
— C’est bien, c’est bien. Continue. Fais plaisir à Raymond.
Il en eut vite marre et voulut passer à l’étape suivante.
— Allez à mon tour un peu.
Il commença à passer son sexe par le trou, mais Marie ne réagit pas. Il l’enleva pour regarder ce qu’il se passait. Mais un préservatif se présenta à lui.
— Tu veux que je mette ce machin. Pas question.
Marie reprit le papier en tapota au niveau du "Soyez sage...". Il céda. Il eut un peu de mal à l’enfiler. L’alcool ne rendait pas ses gestes sûrs et il ne bandait qu’à moitié. Il passa sa queue trapue par le trou. C’était au tour d’Amandine de jouer. Elle attrapa le sexe de l’homme et le branla un peu. Malgré le préservatif, le contact la fit frissonner de dégoût.
— Allez un peu mieux que ça ma petite.
Amandine s’appliqua un peu plus.
— Oh oui c’est bon, continue. C’est bien mieux.
Amandine utilisa un doigt pour les toucher les couilles.
— Oh tu veux mes baloches aussi. Tiens, les voilà.
Il passa alors sexe et testicules par le trou. L’orifice était juste assez grand pour ça. Amandine utilisa alors ses deux mains. Une sur le sexe, l’autre malaxant les couilles poisseuses. De l’autre côté, le gardien soufflait et ahanait bruyamment.
— Oh oui, oh oui. Tu es une brave petite toi.
Ça me répugnait d’imaginer Amandine devoir toucher ce gros porc. Mais nous savions tous pourquoi nous le faisions. Ça restait encore supportable.
— Allez petite. Je t’ai tété. A ton tour maintenant.
Là, ça ne l’était plus de supportable. Amandine regarda avec un haut-le-cœur le morceau de chair. Mais toujours pas de signal du retour des autres. Alors elle se décida à obtempérer. Malgré le préservatif qui la protégeait du goût de son sexe, ses odeurs de pisse et de sueur lui agressèrent les narines. Elle eut envie de vomir d’écœurement, mais emboucha le membre court et épais. Elle fit de son mieux malgré tout.
— Oh, mais on dirait que c’est pas ta première fois petite chienne !
Elle allait lentement, il ne fallait pas qu’il jouisse avant que les autres aient trouvé.
— Tu as voulu mes couilles. Lèche-les un peu.
Là, elle hésita longuement, mais elle ne donna que de petits coups de langue. Elle eut peur qu’il en veuille plus, mais tout à son plaisir, il n’en demanda pas plus.
— Ah, ah. Ça me chatouille et ça me fait du bien en même temps. T’es douée toi, hein ?
Elle répondit simplement par des "Mmmmh, mmmh".
— Bon, reprends ta fellation. On n’a pas tout l’après-midi. Et après, j’ai bien envie de t’enfiler.— Putain, mais c’était pas prévu ça ! fulminai-je. Et en bas, ils foutent quoi ?
Mais heureusement, on entendit un sifflement lointain. C’était le signal. Amandine reprit sa fellation, mais cette fois dans le but de le faire jouir.
— Ah, ah, ah, tu as décidé d’en finir. Je voulais mettre ma bite dans ta chatte.— ... a... o. aine... ois, marmonna-t-elle.— La prochaine fois ?— Mmmh mmh.— OK, OK. Oh oh va doucement, tu vas me traire comme une vache.
Mais elle ne l’écouta pas et accéléra encore. Pendant ce temps, Germain revint à bout de souffle et je reposai les clés à la serrure. Il était temps d’en finir !
— Ah oh ah, je... je...
Il ne finit pas sa phrase et jouit dans le préservatif. Amandine le branla en même temps et lui prit les couilles en main comme pour le vider complètement. Mais Marie se tenait prête et sur un signe d’Amandine, elle referma le cadenas autour du sexe et des couilles. Il se retrouva coincé. Le cadenas ne lui faisait pas mal en tant que tel, mais il ne pouvait pas en sortir son sexe et ses couilles sans les arracher. Et le cadenas était aussi trop large pour passer par le trou. Il hurla alors :
— Mais tu as fait quoi salope. Relâche-moi ! Relâche-moi !
Amandine et Marie crachèrent sur son sexe et sortirent rapidement. Il ne remarqua même pas qu’elles étaient deux tellement il criait. Elles nous rejoignirent dans l’escalier. Marie se rhabilla prestement et nous dévalâmes les marches. Olivier et Liz avaient déjà repassé les grilles et faisaient le guet. Ils nous firent signe qu’il n’y avait personne et nous passâmes de l’autre côté. Nous nous précipitâmes dans le parc proche du lycée. Le gardien avait une petite baraque dans l’établissement, mais le directeur aussi avait sa demeure sur les lieux. On entendait beugler dans tout le quartier. Il ne tarda pas à venir aux nouvelles. Quel choc pour lui quand il découvrit le gardien dans cette posture. Il dut appeler les pompiers pour le libérer. Mais les flics se pointèrent également sur signalement des sapeurs. Un adulte, les organes génitaux à l’air et le sexe encore à l’intérieur d’un préservatif usagé dans un établissement accueillant des mineurs...
Il fut embarqué dès sa libération. Il argua d’un complot, accusa Elisa et Paul. Mais les témoins attestant de leur présence au terrain de foot puis au gymnase au moment des faits et l’absence des preuves de leurs ébats, ils ne furent pas inquiétés et furent même soutenus par tout le corps enseignant et les parents d’élève. On apprit aussi que Raymond P était criblé de dettes de jeux, raison pour laquelle il avait réclamé de l’argent. De plus, des photos de jeunes adolescentes furent découvertes chez lui.
Liz, Olivier et Germain avaient bien galéré pour trouver les preuves. Il les avait planquées là où il cachait ses autres photos. Et c’était très bien caché. Mais ils avaient tout récupéré : photos, négatifs et morceaux de collants. Nous informâmes Elisa et Paul que nous avions tout repris. Ils avaient deviné que nous étions derrière ça. Ils restèrent un peu tendus le temps de la petite enquête les concernant. Mais après, ils reprirent un comportement normal. Tous les ateliers furent annulés pendant trois semaines. Il n’y avait plus personne pour assurer la sécurité après les cours et la fermeture de l’établissement.
Amandine rentra vite chez elle pour se laver et se brosser les dents trois fois. Elle eut l’impression d’avoir ce mauvais goût dans la bouche pendant plusieurs jours. Marie prit une douche en rentrant, mais se frotta tellement les seins qu’ils en devinrent rouges et un peu douloureux pendant deux jours. Je gardai chez moi les preuves en attendant de les restituer. Je ne les regardai pas une fois.
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