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Le projet artistique

Chapitre 15

Apprentissage

Divers
Le lundi matin, j’arrivai avec une idée en tête. J’y avais pensé une partie du week-end. Je me devais de la proposer aux autres. Je ne les vis pas tous le matin. Mais je demandai à ceux que je croisai de faire passer le message que je souhaitais les voir le soir après les cours. Sylvie et Olivier me posèrent des questions, mais je leur répondis que je voulais seulement le dire quand nous serions tous réunis. Je n’en avais même pas parlé à Amandine. Je réussis à tenir ma langue toute la journée. Le soir, je fus tout de suite harcelé de questions.
— Alors tu voulais nous dire quoi ? demanda Germain.— Tu as un truc à proposer. Et tu ne m’as rien dit ? s’énerva un peu Amandine.
Je songeai qu’il faudrait me faire peut-être un peu pardonner.
— Bon, j’ai pensé à quelque chose sur la façon dont Elisa et Paul pourraient nous remercier.— On a tous eu des idées, me reprit Sylvie. Qu’est-ce que tu crois ?— Oui, je me doute. Je vous propose donc de tous partager nos idées. Je me permets de commencer vu que c’est moi qui ai pris l’initiative de cette rencontre.— OK, si ça te fait plaisir, me dit Amandine.— Ça me va, si tout le monde peut s’exprimer après, compléta Olivier.— De toute façon, faudra qu’on se mette tous d’accord. On ne va pas faire huit demandes différentes à Elisa et Paul, nous rappela Marie.
Nous approuvâmes tous la suggestion de Marie. Je me lançai alors :
— En fait, je pense qu’on a des progrès à faire en fellation et cunnilingus.— Eh, si t’es pas content, faut le dire tout de suite ! me rabroua Amadine.— Non bébé, t’inquiète, j’aime ce que tu fais. Mais je me suis rendu compte lors de votre punition les filles, que lorsque c’était Elisa qui nous suçait, ça passait à un niveau supérieur. Et pas que pour moi, non ? dis-je en regardant Olivier et Germain.
Ils acquiescèrent simplement, mais je vis quand même Liz et Marie leur jeter un regard noir.
— C’est vrai aussi que Paul m’a dit que j’avais besoin de faire des progrès, nous confia Carine.
Cela m’avait échappé à l’époque, je me rappelai sa technique un peu mécanique.

— J’avais jamais sucé un mec avant ça. Je trouvais ça crade. Mais au final, ça va et c’est un peu gratifiant de faire autant plaisir à quelqu’un.
Sur ces révélations, j’enchaînai :
— Et puis, la fois où Elisa nous avait obligés à la lécher, elle nous avait comparés à des débutants.— Pourtant, je trouve qu’Olivier se débrouille très bien, moi.
Sur le compliment de Liz, Olivier se redressa et bomba légèrement le torse. Qu’il était fier le coq !
— C’est vrai que pour moi, c’était pas mal, mais je préfère Carine, nous confia Sylvie.
Celle-ci rougit de cette confession et de ces louanges.
— Pas faux, je me suis bien rendu compte que je donnai moins de plaisir à certaines filles qu’à d’autres, confirma Germain.— C’est pourquoi je pense qu’ils pourraient nous apprendre des choses utiles à la pratique et au plaisir de tous, dis-je enfin.
Je vis les autres évaluer ma proposition, certains semblaient y adhérer, d’autres moins. Sylvie prit la parole :
— OK, à mon tour. Je voudrais bien les voir faire l’amour tous les deux. Max et Am les ont vus, moi aussi j’aimerais bien en profiter.— Bah, ils ont baisé à côté de nous avant les vacances, lui indiqua Marie.— Oui, mais Kiki et moi, on était en plein 69 et après, vous finissiez quand on a pu regarder de votre côté. Et même vous, vous deviez nous regarder donc vous ne les avez pas trop vus non plus.
Moi, je les avais bien vus une fois. Je ne me sentais pas trop de leur demander ce genre d’exhibition, mais Carine et Marie semblaient accrochées à l’idée.
— Allez à nous maintenant. Avec Liz, on a eu une idée aussi.— Oui, on voudrait pouvoir faire plus de choses pendant les récréations.— On a mis les choses au clair avec les paternels, mais c’est compliqué pour nous de se voir dans un endroit bien pour...— Pour baiser, conclut Sylvie.— Oui, répondit Liz en rougissant un peu.
Cela me faisait sourire de voir rougir certains dès qu’on parlait sexe alors qu’avec ce que nous faisions derrière, nous n’étions plus du tout aussi prudes.
— Bon, je comprends, mais moi ça me ferait chier de vous voir baiser alors que j’ai toujours pas de queue valable à disposition. Et vous allez pas nous prêter vos mecs tout le temps.
Encore une réponse bien cash de Sylvie. Mais au moins, ça avait le mérite de la clarté. Marie et Germain ne proposèrent pas grand-chose, ils étaient trop focalisés sur les championnats. Mais ils n’étaient pas chauds du tout pour faire plus de choses pendant les récréations. Carine allait suivre Sylvie. Liz et Olivier pourraient se rabattre sur ma proposition. Restait Amandine, je ne savais pas vers quoi elle s’orienterait, ni si elle voulait faire une suggestion.
— Si je comprends bien, beaucoup de monde n’est pas fan de la proposition de Liz et Olivier. Donc on a deux choix : regarder Elisa et Paul baiser ou apprendre d’eux. Puisque certains pensent qu’on a des progrès à faire.
La pique était pour moi, j’étais bon pour un bouquet ou un cadeau quelconque.
— Mais peut-être qu’on peut avoir les deux. Si on présente les choses de la manière suivante, susurra-t-elle.
* * *


Nous avions tous approuvé le plan d’Amandine. Mixer les deux demandes était en fait assez logique. Nous n’avions plus qu’à nous lancer. Nous attendions Elisa devant la porte de la salle de projection. Elle arriva bientôt accompagnée de Paul. Certains profs devaient toujours assurer la sécurité et la fermeture de l’établissement. Il se murmurait qu’un nouveau gardien arriverait après les vacances de printemps. En effet, des travaux de décoration et de rénovation avaient été entrepris dans l’ancienne maison du gardien. J’avais demandé à ceux qui avaient eu leurs ateliers dans la semaine si le directeur était passé comme la semaine précédente. Apparemment, il ne s’était pointé nulle part. Il avait dû être rassuré par ses inspections précédentes. Bon, nous devions probablement être tranquilles aussi ce soir-là, mais comme l’établissement devait être fermé tout le week-end, il y avait un risque qu’il veuille quand même vérifier. Donc il ne faudrait pas trop traîner.
— Bonsoir à tous, nous dit Paul.— Bonsoir les enfants. Entrez, nous dit Elisa dès qu’elle ouvrit la porte.
Je me dis qu’il serait bien qu’ils ne nous appellent plus "les enfants" quand nous sommes seuls avec eux. Et puis, nous étions des adultes tout de même. De jeunes adultes, mais des adultes à part entière. Je suivis le groupe dans la salle de projection. Nous nous installâmes comme d’habitude. Paul se mit dans un coin. Il n’irait pas tout de suite faire le tour des bâtiments. Il était resté à la grille pour regarder les élèves partir avec le pion principal. Et le vendredi soir, nous étions sûrs de pas voir du monde rester dans l’enceinte de l’établissement, à part les couillons comme nous. Elisa nous vit tous penchés vers l’avant comme dans des starting-blocks.
— Et bien, on dirait que vous êtes impatients de commencer.
Nous ne répondîmes pas vraiment, personne n’osait se lancer.
— A moins qu’il y ait autre chose..., proposa Paul.— Mmmh, auriez-vous eu une idée de la façon dont on pourrait vous remercier ?— Euh... oui, en effet, répondit Germain.— Alors pourquoi hésitez-vous ?— Disons que c’est un peu particulier, précisa Sylvie.— Comment ça ? Particulier.— Elisa, connaissant ces jeunes gens je suis sûr que c’est un truc en rapport avec le sexe, non ? demanda Paul.
Elisa se trouva soudain en face d’un champ de coquelicots.
— Ah, tu vois ! J’ai gagné ! s’exclama Paul.— Non, mais franchement, vous avez une bite ou une chatte à la place du cerveau ? Vous ne pensez qu’à ça ma parole.
Et elle explosa de rire, un joli rire cristallin. Paul la suivit juste après dans un registre plus grave et plus chaleureux. Nous sourîmes également devant notre propre perversité. Puis, Elisa reprit un peu de sérieux et elle nous demanda dans un sourire :
— Alors, bande de petits cochons, à quoi avez-vous pensé ?
Nous nous tournâmes vers Amandine que nous avions désignée comme notre porte-parole. Elle prit une bonne inspiration puis se lança :
— Alors voilà. Euh, euh. On s’est dit que... euh comme vous semblez avoir pas mal d’expérience en la matière, vous pourriez nous apprendre des choses.— Oh, vous nous prenez pour qui exactement ? On n’est pas aussi dépravé que vous. Pff ah, ah, ah, se moqua gentiment Paul.— Et donc ?— Donc euh, Elisa et Paul, vous avez fait des remarques à certains quand ils vous ont léchés ou sucés comme quoi ils auraient des progrès à faire.— Oooh, ça va, c’est pas si mal quand même, nous rassura Paul.— Oui, mais on a bien senti une différence entre les filles et Elisa, précisa Germain.— Et comme vous nous prenez pour des pros, vous vous dites que vous pourriez bénéficier de nos lumières... J’ai l’impression de passer pour je ne sais quoi en disant cela.
Elisa s’offusquait pour la forme, nous avions quand même éveillé son intérêt. Et s’ils nous prenaient pour une bande de cochons, ils en faisaient partie aussi.
— Et comme on vous a dit que vous pouviez nous demander ce que vous vouliez... Alors je suppose que comme d’habitude, vous avez pensé à tout.— On voudrait s’améliorer dans la pratique de la fellation et du cunnilingus, commençai-je.— On souhaiterait que vous nous coachiez un peu pour qu’on s’améliore, poursuivit Amandine.— Et au-delà du coaching, on s’est dit aussi qu’une démonstration serait utile, avança Olivier.— On pense d’ailleurs que vous pourriez nous montrer des choses bien au-delà du sexe oral, conclut Sylvie.
Elisa avait croisé les bras et levé un sourcil en nous écoutant. Un petit sourire en coin s’était également dessiné sur son visage. Son léger pull ne cacha pas le fait que ses tétons s’étaient mis à pointer. Paul, de son côté, avait froncé les sourcils pour comprendre jusqu’où nous voulions aller. Une légère bosse gonflait son pantalon de jogging. Qu’est-ce qui les excitait comme ça ? Nous voir nous lécher, nous sucer entre nous ou alors de baiser devant nous ?
— Alors, si je comprends bien, vous voudriez qu’on vous fasse une démonstration de nos talents et qu’on vous guide ensuite ? demanda Paul.
Nous approuvâmes franchement. Je les vis hésiter quand même un peu. Ils n’étaient pas sûrs de vouloir aller jusque-là devant nous. Et puis Amandine joua son rôle préféré : minauder pour obtenir ce qu’elle voulait. Elle reçut le soutien des autres jeunes femmes. Germain et Olivier me dirent plus tard qu’ils avaient l’impression que ma chérie avait appris plein de choses à leurs copines sur ce point-là. Et bien sûr, Elisa et Paul cédèrent.
* * *


Nous laissâmes la place à nos profs au centre de la salle. Nous nous installâmes tout autour d’eux. Paul vint embrasser sa compagne dans le cou.
— Oh oui. Moi j’aime bien. Il faut savoir ce qu’aime votre partenaire, nous expliqua Elisa.
Paul lui enleva son gilet et ouvrit son chemisier. Nous découvrîmes alors son soutien-gorge habituel qui laissait ses seins libres. Elisa vit notre intérêt pour celui-ci.
— J’aime beaucoup avoir les seins un peu libres comme ça. Et j’adore avoir les tétons frotter contre mon chemisier en soie.— Et j’aime bien avoir un accès facilité à mes copains, nous dit Paul en envoyant une main les caresser. Se déshabiller l’un l’autre est un très bon moyen de commencer. Cela fait monter la température.
Sur ces mots, Elisa lui ouvrit le survêtement et lui ôta son t-shirt. Elle passa ses mains sur son torse musclé. Elle se pencha pour embrasser les seins de son mari.
— Certains hommes sont sensibles ici. D’autres trouvent ça désagréable, nous confia-t-il.
Elisa plongea ensuite sa main dans son pantalon pour aller empoigner un peu sa queue. Paul baissa la fermeture éclair de la jupe de sa femme, faisant tomber celle-ci à ses pieds. Nous découvrîmes alors un string en dentelle aussi noir que son soutien-gorge. Cela faisait un contraste magnifique avec sa chevelure blonde et son chemisier blanc. Je vis les filles s’émerveiller quelque peu devant cette lingerie. Si Amandine souhaitait porter ça, j’étais prêt à lui offrir !
— Ne négligez jamais les préliminaires. C’est un moment important qui permet de partir sur les bons rails, nous dit Elisa.
Elle descendit le pantalon de son mari, on voyait le gland qui dépassait légèrement de l’élastique de son boxer. Son sous-vêtement lui moulait bien les fesses et le paquet. Nos petites chéries se mordirent les lèvres devant le spectacle. De mon côté, je fus impressionné par la taille de son engin. Et ce n’était pourtant pas la première fois que je le voyais. Elisa passait la main sur le tissu tendu, sur le torse, le ventre. De son côté, Paul ne se limitait pas aux seins ou aux fesses. Le dos, le ventre et les cuisses étaient aussi visités. Tout son corps en fait.
— Ne vous jetez pas comme des morts de faim sur les parties intimes de votre partenaire. Quand vous pouvez, prenez le temps, nous conseilla Paul.
Il avait presque fini de mettre sa femme nue. Elle n’avait plus que son string sur elle. Il ne lui restait de son côté que son boxer et son pantalon aux chevilles. Elisa le fit asseoir sur une chaise et se mit à ses pieds. Elle lui ôta le reste de ses vêtements (chaussures et chaussettes puis pantalon) tout en lui faisant quelques baisers sur les jambes. Elle attrapa ensuite l’élastique de son boxer et tira dessus pour libérer la bite de son mari. Pendant toute l’opération, elle ne cessa de le regarder dans les yeux. Puis elle s’approcha et donna de petits coups de langue sur la hampe et les bourses.
— Vous voyez... on a... le temps, dit-il. Ces petits coups de langue... mélangent chatouille et... plaisir. C’est agréable... et permet de ne pas... faire monter... trop vite.
Ce n’était pas très français comme phrase, mais je compris son trouble. Puis Elisa goba le gland de Paul.
— Je ne dois pas sentir les dents. Seulement lèvres et langue. Oh putain, doucement !
Elisa venait d’un coup d’enfoncer la totalité du sexe dans sa bouche. Une gorge profonde en somme. Elle la fit ressortir tout aussi brusquement.
— Vous pouvez le faire aussi avec de l’entraînement. Mais pour cela, il faut bien relâcher la mâchoire et les muscles du cou, nous dit-elle tout en branlant son mari. Et passez de temps en temps sur les couilles. Ça évite qu’il n’éjacule trop tôt, mais permet de garder son sexe bien dur.
Elle nous en fit la démonstration sur-le-champ. Elle gobait, léchait les bourses. Puis elle remontait le long de la hampe avant de redescendre. Paul avait posé la main sur la tête de sa femme pour accompagner ses mouvements. Elisa revint au sujet principal et réemboucha l’engin. Paul gardait une main sur sa tête.
— Ma main n’est pas... là pour la... forcer. Mais pour... indiquer si je veux... un rythme plus leeennnttt ou plus rapide. Ralentis un peu.
Elisa alla un peu plus doucement ; Paul reprit son commentaire :
— Et voyez, comment Elisa fait tourner sa langue autour de mon sexe. Montre-leur.
Elisa ressortit presque complètement le sexe de sa bouche. Elle l’ouvrit en grand et on put voir sa langue tourner autour du gland. Quel pied cela devait être d’être sucé comme ça. Je vis les filles ouvrir la bouche et faire tourner leurs langues autour d’un sexe imaginaire.
— Alternez le rythme aussi. Ne soyez pas trop monotone, compléta Elisa. Et si vous voulez le faire jouir, complétez votre action en le branlant de la main. Et même en lui massant les couilles. Comme ceci.
Elle se mit à l’œuvre. Paul se raidit rapidement et lui tapota la tête doucement et elle arrêta.
— Si la personne n’aime pas avoir du sperme en bouche, il faut la prévenir avant qu’il ne soit trop tard.— Oh, c’était moins une. Et dans les cas où vous voulez aller au-delà du sexe oral, précisa Paul. Allez à toi.
Il se leva et Elisa prit sa place sur la chaise. Au lieu de lui enlever directement le string, il prit le temps de lui baiser l’intérieur des cuisses jusqu’à l’aine. Il passa ensuite au-dessus du string et la lécha du tissu jusqu’au nombril. Ses mains ne restaient pas inactives, elles vagabondaient sur les cuisses, le ventre, les seins.
— Vous pouvez tourner un peu autour pour qu’elle ait le désir d’avoir plus, nous dit-il.— Mais pas trop non plus. Il ne faut pas créer de frustration, asséna-t-elle.
Paul attrapa le string et le fit glisser le long des jambes de sa femme. Elle écarta les cuisses et il commença son ouvrage. Il mit sa tête un peu de côté pour nous permettre de voir ce qu’il faisait. Sa bouche alternait entre les lèvres et le clitoris d’Elisa. Ses mains continuaient leurs caresses. Comme les filles qui avaient mimé Elisa, nous reproduisîmes naturellement ce que faisait Paul.
— Il est important que... oh oui... celui ou celle qui vous lèche sache ce que vous préférez.— Beaucoup de femmes n’osent pas dire ce qu’elles aiment ou pas. Elles espèrent que leur compagnon le devinera. Mais c’est plus rapide et plus sûr de se parler, nous dit Paul.
Il avait lâché un peu son cunnilingus pour nous parler, mais il continuait de caresser la chatte de sa femme. Elle lui attrapa les cheveux et plaqua de nouveau son visage sur son sexe.
— Il peut aussi entrer un doigt dans votre vagin et en flatter la face avant. Oh oui comme ça chéri.
Paul avait effectivement entré un doigt et l’agitait dans le con de sa femme. Sa langue se focalisait alors sur le clitoris. Puis il rentra un deuxième doigt.
— Aaah. Ooooh. Ja. Ja.— Ah, elle commence avec l’allemand. C’est que ça doit être bien, me dis-je.— Sanft. Sanft.
("Doucement. Doucement.")
Paul enleva alors ses doigts, ils devaient passer à autre chose après. Il précisa tout de même :
— Eventuellement, vous pouvez lui caresser le trou du cul voire y mettre un doigt. Si elle aime ça.— Ja. Oui, certains hommes aiment ça aussi.
Elisa avait été au bord de la jouissance, Paul aussi. Ils avaient besoin de rejoindre le septième ciel. Ils échangèrent de nouveau leur place et Elisa vint s’empaler sur lui. Elle roula des fesses sans monter et descendre sur le chibre de Paul.
— Elle se cale bien. Et c’est tout aussi bon pour moi.— Voilà. Allons-y.
Elisa montait et descendait, les pieds posés au sol, et s’appuyait des mains sur les épaules de Paul. Celui-ci ne restait pas inactif et tétait allégrement les seins offerts de sa femme. Ses mains, passées sous les fesses d’Elisa, l’aidaient à se faire pénétrer. On entendait son cul claquer sur les cuisses du prof de sport.
— Si vous êtes... oh la vache... Si vous êtes bien tous les deux dans une bonne position. Restez-y. Pas la peine de chan... oh, oh... de changer pour changer. Allez bébé, continue.— Oh oui, mon amour, baise-moi bien. Mmmh mmmh.— Vous pouvez parler, vous encourager... ou pas. C’est selon... oh, oh allez vas-y... vos envies du moment ou votre habitude. Laissez-vous... porter par l’instant... présent.— Et donnez-vous saaannns vooouuus mettre de barrière. Ah, ja, ja. Je vais, je vais...— Oh oui moi aussi bébé.
Ils sprintèrent pour la dernière ligne droite. Le rythme devint effréné. Le claquement était devenu assourdissant. Et puis, Elisa ne bougea plus :
— Jaaaaaaa.
Nous vîmes les doigts de Paul se crisper sur les fesses de sa femme pour bien caler son sexe tout au fond de son antre. Puis Elisa s’effondra quelque peu sur lui. Il lui caressa les cheveux et le dos. Ils reprirent leur souffle paisiblement. Puis ils s’embrassèrent et se levèrent.
* * *

Ils allèrent se nettoyer un peu à l’évier dans le local de rangement. Nous leur fournîmes des serviettes que nous avions prévues à cet effet. Ils revinrent habillés et présentables. A peu près. Elisa nous avait demandé de placer quatre chaises les unes à côté des autres. Ce fut vite fait. Paul nous laissa entre les mains de sa femme pour un moment et partit faire le tour des bâtiments pour vérifier que tout était bien fermé et sécurisé pour le week-end.
— Je pense que vous n’avez pas besoin de préliminaires. Alors, mettez-vous nus et installez-vous sur la chaise.
En effet, ma bite avait bien gonflé devant le spectacle offert et je savais que les autres avaient été très émoustillés par la scène de sexe dont ils avaient été les témoins. Une fois nus, je vis les autres garçons aussi dressés que moi. Les filles avaient également l’entrejambe visiblement humide. Sur les indications d’Elisa, nous nous plaçâmes comme suit : sur les chaises de gauche à droite Sylvie, Liz, Amandine, Marie et à leurs pieds Carine, Olivier, moi, Germain. Nous nous mîmes en face du sexe à satisfaire et nous entamâmes le travail. Derrière nous, Elisa donna des conseils à l’un ou à l’autre.
— Olivier, caresse-lui le ventre.— Carine, c’est bien. Tu peux aussi lui baiser l’aine.— Germain, le clito. C’est le plus important.— Maxime, n’oublie pas ses seins. Tu dois pouvoir les atteindre.
Nous écoutions les conseils et nous les suivions. Je sentis Amandine réagir à ma nouvelle caresse. J’entendis Marie, donner plus d’indication à Germain.
— C’est bien. Inversez les rôles, nous demanda Elisa.
Nous passâmes donc dans cette configuration : Carine Olivier Maxime GermainSylvie Liz Amandine Marie
— Sylvie, ne sois pas que dans l’énergie. Alterne avec de la douceur.— Marie, relâche bien les muscles de ta mâchoire et de ton cou. Cela sera plus facile.— Liz, très bien de lui taquiner la base des bourses.— Amandine, oui. Fais bien tourner ta langue.
En effet, je sentais Amandine essayer de faire tourner sa langue pendant qu’elle me suçait. Ce n’était pas aussi bien que ce que pouvait faire Elisa, mais on s’en approchait. Elle alterna entre mes couilles et ma bite. La pression montait et descendait de façon très agréable.
— Décalez-vous à droite, nous dit-elle. Changez de partenaire pour voir comment une autre personne réagit différemment de votre partenaire habituel.
Nous obtempérâmes sans trop réfléchir. Et puis tout le monde avait déjà sucé ou léché les autres.Olivier Maxime Germain MarieCarine Sylvie Liz Amandine
— Carine, utilise aussi ta main pour le branler un peu.— Liz, c’est plus gros qu’Olivier. Donc, prends le temps de la découvrir.— Amandine, imagine ce que tu aimerais qu’on te fasse. Oui voilà, par exemple. Mais vérifie bien que Marie aime ça.— Sylvie, pas mal. Regarde si Maxime apprécie.
En effet, j’appréciais au plus haut point. Je devenais de plus en plus excité par la situation.
— Allez, on se décale encore, nous ordonna Elisa.
Maxime Germain Marie AmandineOlivier Carine Sylvie LizCarine, Liz et Sylvie n’eurent pas trop d’hésitation. Je ne m’aperçus que c’était Olivier qui était à mes pieds qu’une fois tous en place. Il hésitait devant ma bite dressée. Je n’osai rien lui dire. Nous nous étions branlés la fois où nous avions juté sur Elisa. Là, il était supposé me tailler une pipe.
— Allez Olivier. On y va, le houspilla Elisa.
Il sursauta comme si on venait de le réveiller et il me prit en bouche. Il n’avait pas osé protester face à Elisa, ni moi non plus d’ailleurs. Je fermai les yeux pour imaginer que c’était une fille qui me suçait.
— Voilà, c’est très bien. Caresse-lui un peu les testicules.
Olivier le fit. Et je dus m’avouer qu’il faisait ça très bien. Et je dus m’avouer aussi que j’aimais. Etait-ce parce que c’était un mec, et qu’il savait ce qu’il aimait ?
— Liz, titille un peu mieux le clitoris d’Amandine.— Carine, c’est bien mieux. Écoute-le réagir, pour ne pas le faire jouir tout de suite.— Sylvie, très bien. Elle est très musclée, donc tu peux y aller un peu plus énergiquement.
Je vis qu’Amandine était très intéressée par qui me suçait. Tout comme Liz qui jetait sans cesse des regards en coin pour voir ce que faisait son copain.
— Hop, on tourne !
Tout le monde changea d’un cran.Germain Marie Amandine LizMaxime Olivier Carine SylvieJe me retrouvai d’un coup face à face avec la queue de Germain. J’entendis les autres s’attaquer à la chatte devant eux. Je la voyais tressauter devant mes yeux, attendant qu’on s’occupe d’elle. Je tendis la main, mais m’arrêtai soudain.
— Allez Maxime, elle va pas te manger, me sermonna Elisa.
Je me décidai rapidement, attrapai la bite de Germain et la mis dans ma bouche avant de changer d’avis. Je fus étonné de ne pas trouver de goût particulier. Mais en même temps, j’étais le quatrième à la sucer. Et je finis par percevoir des senteurs masculines spécifiques. C’était plus fort que celles des filles. Pas désagréable non plus. Je commençai alors à la faire aller et venir entre mes lèvres. Je m’appliquai à ne pas mettre les dents. Je n’aimais pas ça, pas de raison que Germain aime non plus. Je le sentis se détendre et prendre du plaisir à ma fellation. Je m’enhardis un peu et allai lui suçoter les couilles. Je vis qu’Amandine me regardait avec des grands yeux étonnés, mais elle n’était ni choquée, ni jalouse. Juste agréablement surprise d’après ce que je devinais.
— Très bien, Maxime. Tu vois, c’était pas la mer à boire.— Olivier voit comment réagit Marie et adapte-toi mieux.— Carine, elle sait y faire avec les foufounes.— Sylvie, bien de toucher les seins de Liz. Mais pense à rester confortable sinon tu vas perdre le fil et perdre ta partenaire.
Germain se lâcha aussi, il me posa une main sur la tête pour m’imprimer un rythme qui lui convenait mieux. Il en aurait fait autant si j’avais été une nana.
— Tournez ! De deux crans cette fois.
Je sautai la place que j’aurai dû avoir pour lécher Amandine et me retrouvai en face de Sylvie.Amandine Liz Sylvie CarineMarie Germain Maxime OlivierJe repris une activité un peu plus habituelle. J’aimais bien le parfum de Sylvie. Et elle réagissait de façon assez proche d’Amandine. Elisa commençait à moins donner de conseils. Elle était plus dans les compliments maintenant. Voyant que cela marchait bien, elle nous fit tourner rapidement.Liz Sylvie Carine OlivierAmandine Marie Germain MaximeDeuxième fois de la soirée que je me retrouvais face à une bite. Cette fois, je n’eus pas d’hésitation et embouchai directement la queue d’Olivier. Mais il m’incita à aller plus doucement. Germain avait voulu une pipe rapide comme je les aime aussi. Mais Olivier voulait savourer quelque chose de plus lent. J’en profitai alors pour m’essayer à l’avaler le plus possible.
— Oui, Maxime. Tu as bien ressenti ce que voulait Olivier.— Amandine, bien, Liz a l’air d’aimer le doigt dans le cul.— Germain, très bien aussi avec ton doigt dans le vagin de Carine.— Marie aussi, c’est bien mieux.— Allez, on tourne encore.
Sylvie Carine Olivier MaximeLiz Amandine Marie GermainCette fois, ce fut Germain qui devait me sucer. Il ne l’avait encore fait ni à moi ni à Olivier. Emporté par l’ambiance de luxure, il se lança sans tergiverser. Il avait compris que je voulais un truc rapide comme lui et le fit de son mieux. Je lui demandai de ralentir quand même un peu ou bien j’allais tout lâcher. Amandine, la tête entre les cuisses de Carine me fit un clin d’œil et un sourire. Je lui rendis volontiers.
— Oui, Marie, belle gorge profonde. En même temps, c’est un peu plus petit que ce que tu as l’habitude d’avoir.— Ah, Sylvie aussi aime le doigt dans les fesses on dirait.— Allez, on change. Prenez quelqu’un avec qui vous n’avez pas été.
On s’échangea les places un peu n’importe comment.Carine Olivier Amandine LizMaxime Germain Sylvie MarieJe léchais Carine en essayant de bien ressentir ses réactions. A côté, je vis Germain tenter à son tour la gorge profonde sur Olivier. Sylvie mit à son tour un doigt dans le cul de mon Amandine. Je me décidai à le faire à Carine. Après avoir massé délicatement son orifice, j’enfonçai mon doigt. Un peu réticente au départ, elle se relâcha et apprécia la caresse.
— Inversez les rôles.
Je redoutai un peu la pipe de Carine, n’en gardant pas un formidable souvenir. Mais elle avait bien appris ses leçons. Olivier tenta de gober entièrement la bite de Germain. Il y parvint presque, je saluai intérieurement le petit exploit. Liz essaya aussi le cul de Marie. Elle eut un peu de mal à se détendre pour prendre du plaisir à cette pénétration, mais sur les conseils d’Elisa, elle y parvint.
— Il n’y a pas que les filles qui peuvent avoir un doigt dans le cul.
Carine suivit tout de suite le conseil. Au point où j’en étais, je voulais tout essayer. Je me détendis et sentis le doigt d’abord m’assouplir la rondelle avant de la forcer. Ce n’était pas mal du tout en fait. Cela augmentait même mes sensations au niveau de la pipe. Olivier en fit de même avec Germain. Comme Marie, il eut un peu de mal à se relâcher, mais une fois fait, il y prit plaisir. Ça nous changeait de la fois où les filles nous avaient mis un doigt dans le cul par surprise.
— Hop.
Maxime Germain Amandine CarineMarie Sylvie Olivier LizJ’avais presque fait tout le monde. Je profitai de la bouche de Marie me demandant avec qui je n’avais rien fait. Il ne restait que Liz. Carine et Marie, Olivier et Sylvie, Germain et Amandine. Je regardai Amandine, elle passait ses doigts dans les cheveux d’Olivier pour lui indiquer ce qu’elle voulait. Il obéissait au doigt et à l’œil. Sylvie essaya d’aller le plus loin possible avec Germain, mais dut s’arrêter aux trois quarts. Nous inversâmes les rôles sans attendre le top d’Elisa. C’était un peu impressionnant de se trouver entre des jambes aussi musclées pour une jeune femme. Je mis en pratique toutes mes connaissances et Marie émit de petits soupirs me montrant mon bon travail. Tout le monde se démenait de son mieux.
— C’est bien. Allez, les garçons en bas, dernier tour.— Oui, il est temps, il est presque 20h déjà, nous dit Paul.
Je ne l’avais pas vu revenir de sa ronde. Pas grave, il pouvait bien profiter du show.Liz Carine Sylvie AmandineMaxime Marie Olivier GermainNous y mîmes tout notre cœur. Il n’était plus question de faire tenir le plus longtemps possible notre partenaire de jeu, mais de la faire jouir rapidement. Je mis un doigt dans le vagin de Liz et frottais l’avant de sa cavité tout en m’acharnant sur son clitoris. Je crois que les autres firent à peu près comme moi.
— Récoltez le jus et partagez-le avec elle quand elle aura joui, nous suggéra Paul.
Je n’attendis pas longtemps avant d’avoir la bouche remplie de cyprine. Je me relevai et embrassai Liz pour lui faire goûter à son propre jus. Je vis Marie, Olivier puis Germain faire de même. C’était la première fois que je voyais Amandine prendre son pied avec un autre (même si je savais qu’elle l’avait déjà fait lors de notre punition) et partager un baiser aussi langoureux. Mais ça ne me posa pas de problème. A aucun de nous, je pensai alors. On échangea nos places. Liz me prit entre ses lèvres et me suça avec une belle énergie. Pas question de la faire ralentir, j’avais trop besoin de me vider les couilles. Il ne me fallut pas longtemps d’ailleurs pour sentir que j’allai tout lâcher.
— Les filles, faites pareil, leur lança Paul.
Je me vidai enfin dans la bouche de Liz en grandes giclées abondantes. Elle prit tout, ne laissant rien échapper. Puis elle se releva et me roula une pelle. J’eus tout de suite mon sperme mélangé à sa salive. C’était donc ça le goût que j’avais. J’étais salé, un peu amer sans être écœurant. A côté, Carine et Marie avaient également fini et s’embrassaient à pleine bouche. Je vis Sylvie se relever et faire de même avec Olivier. Il n’eut pas de mouvement de recul et accepta même avec un plaisir non dissimulé ce baiser baveux. Enfin, Amandine finissait de tailler sa pipe à Germain. Je le vis se raidir enfin puis se détendre. Amandine se redressa et l’embrassa. Ils échangèrent un long baiser gluant de sperme. Je me demandai quel goût il pouvait avoir.
— Alors, ça vous a plu ? Vous avez appris des choses, il me semble, commenta Paul.— Oh oui merci, dit Carine.— Ça a été plus loin que ce que je pensai, mais je ne le regrette pas, leur dis-je.— Oui, mais c’était un sacré pied, rajouta Olivier.— Quand on abaisse nos barrières mentales concernant le sexe et qu’on donne et se donne sans arrière-pensée, alors c’est là que c’est le mieux, conclut Elisa.— Sur ce, il faut vous nettoyer un peu. On va passer la serpillière, dit Paul.
Nous fîmes comme il dit. Nous passâmes chacun notre tour à l’évier ou aux toilettes proches de la salle de projection, nous savions que nous ne risquions pas de croiser le gardien. Nous nous rhabillâmes, Elisa et Paul prirent les serviettes pour les laver chez eux et ils fermèrent derrière nous. Nous nous souhaitâmes un bon week-end et nous nous séparâmes. Je ramenai Amandine chez elle, comme d’habitude. Nous nous embrassâmes chastement devant le pas de sa porte, elle n’avait plus le goût de Germain en bouche.
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