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Le projet artistique

Chapitre 16

Sentence

Trash
La semaine suivante, Elisa nous signifia qu’il n’y aurait plus de récréations sexuelles jusqu’à nouvel ordre. En effet, cela faisait plusieurs ateliers que nous passions à faire toute autre chose. C’était une petite déception pour nous, mais nous pouvions toujours faire des trucs avec Amandine en dehors des cours et des ateliers. A la fin de la séance, Marie et Germain nous demandèrent quelque chose :
— Ce week-end, ce sont les championnats régionaux. On aimerait bien que vous veniez nous encourager.— Nos courses de 800 et 1500 seront le dimanche, les séries, le matin et la finale en milieu d’après-midi, précisa Germain.
Les championnats avaient lieu dans notre ville cette année-là, donc nous pouvions facilement y aller. Ils avaient un temps pas terrible de fin mars, début avril, avec du froid, un peu de vent et de pluie. Je ne me serais pas vu y aller en temps normal. Mais là, ces "obstacles" n’arrêtèrent aucun de nous.
— Bien sûr qu’on sera là, leur dit Liz. Hein Oliv ?
La question n’était que pour la forme, Olivier devait venir avec elle, et puis c’était tout. Avant qu’Amandine ne me force la main, je leur confirmai notre présence :
— Ça sera avec plaisir qu’on viendra vous soutenir.— Et toi Elisa, tu viens aussi, demanda Marie pleine d’espoir.— On va essayer de venir avec Paul. Mais seulement en fin de matinée, malheureusement. Paul a un match de foot à encadrer pour son club, mais ils devraient finir vers 11h ou 11h30.
Marie lui sauta au cou et lui fit un smack sur la bouche.Nous nous retrouvâmes donc vers 10h le dimanche matin devant le stade. Germain et Marie y étaient depuis longtemps pour s’échauffer. C’était marrant de nous voir tous en jeans et baskets. Alors qu’en cours, nous nous devions d’avoir une tenue plus guindée. Le programme prit rapidement un peu de retard. Marie et Germain passèrent vers 10h45. Germain contrôla tranquillement sa série de 800 m pour finir deuxième sans trop forcer. Marie n’eut pas beaucoup plus de difficultés et finit première. Mais alors que dans toutes les courses tous les athlètes se serraient la main. Là, une grande girafe, arrivée deuxième, ignora superbement Marie qui en fit de même à son égard ; alors qu’elles arboraient les couleurs du même club. En y regardant de plus près, Liz et Carine reconnurent une pimbêche du lycée qui était dans une classe de prépa supérieure.
— C’est cette pétasse de Caroline Q, asséna Carine.
Effectivement, je réussis à la reconnaitre. Au lycée, on la voyait passer, tirée à quatre épingles, hautaine, et avec un air plein de morgue. Là, elle n’était pas maquillée, en tenue de sport, etc. C’est vrai qu’elle n’était pas spécialement sympa, mais de là à la traiter de pétasse. Carine s’expliqua rapidement :
— Elle appelle toutes les filles qui lui déplaisent des pisseuses, comme si c’étaient des gamines. Et elle appelle presque tout le monde comme ça au final.
Vers 11h30, nous vîmes arriver Paul et Elisa. Si Paul était dans sa tenue habituelle, Elisa avait également opté pour le look jean et baskets. C’était un peu étrange de la voir comme nous, elle aurait presque pu passer comme une étudiante au milieu d’autres étudiants. Juste avant midi, Germain repassa pour une demi-finale. Il dut s’employer un peu plus dans la dernière ligne droite, mais sa pointe de vitesse finale lui permit de se qualifier. Quelques minutes plus tard, ce fut le tour de Marie. Cela se passait bien pour elle, jusqu’à l’entame du dernier tour. Caroline la bloqua le long de la corde à la sortie de l’avant-dernier virage manquant de la faire tomber. Marie perdit quelques places et dut faire de gros efforts pour terminer dans les quatre premières.

— Elle a eu de la chance, nous dit Paul. Elle aurait pu se faire mal. J’espère que les juges vont dire deux mots à cette athlète.
Marie et Germain vinrent nous voir quelque temps après. Ils n’auraient leurs finales qu’à 15h pour Germain et 16h pour Marie.
— C’est super, vous êtes tous les deux en finale, les félicita Elisa.— C’était notre objectif minimal, lui dit Germain. Mais notre vraie ambition est de nous qualifier pour les nationaux.— Vous allez le faire tranquille !— Oh tu sais Liz, la course n’est pas jouée d’avance, lui répondit Marie.— Mais vous avez de la marge par rapport aux autres, j’ai l’impression, leur dit Amandine.— On verra bien.— Fais pas ton modeste Gégé, lui dis-je.— En tout cas, attention Germain. Tu as tendance à trop coller la corde, tu pourrais te faire enfermer. Pense à te décaler à l’entrée de la dernière ligne droite pour t’offrir un chemin dégagé.— OK, Paul, c’est ce que me répète tout le temps mon entraîneur.— Et toi Marie. Tu as eu de la chance de ne pas tomber.— Cette connasse m’a tassée exprès !— Oui, bon c’était limite, mais encore dans l’acceptable. Pour la finale, elle voudra sûrement faire la même.— Et qu’est-ce que je peux faire alors ?— Pars plus tôt, dès le début du virage pour mettre un peu de distance entre elle et toi. Elle essayera de te rattraper dans la ligne opposée, mais tu remettras un coup d’accélérateur à ce moment-là. Après il faudra tenir jusqu’au bout.— Merci Paul.
Ils repartirent vers 13h pour voir leurs familles puis ensuite partir se préparer. Nous allâmes acheter quelques sandwichs avec Olivier et Paul. Les nanas restèrent à papoter un peu. Nous les soupçonnâmes de mater un peu beaucoup les sportifs. Pour moi, les athlètes filles ne présentaient pas trop d’intérêts. A part les sprinteuses qui avaient un peu plus de formes. Les planches à pain, ce n’était pas mon truc. Nous revînmes nous asseoir avec les filles. Je vis que Sylvie et Carine étaient les plus "en chasse" du groupe. Elles étaient vraiment en manque de bite.
Nous regardâmes les épreuves en attendant que nos amis passent. Ce n’étaient que des épreuves régionales de juniors et d’espoirs, le niveau n’était pas formidable, mais tout le monde se donnait à fond, donc ça faisait un peu de spectacles quand même. Surtout les sauteurs en longueur étaient marrants, ils claquaient dans leurs mains pour inciter le public à le faire, comme dans les grandes compétitions, mais avec les gradins clairsemés, ils n’avaient pas beaucoup de succès.
Enfin 15h ! On vit arriver sur la piste Germain et ses adversaires. Germain avait tiré le couloir extérieur. Nous criâmes des "Germain ! Germain !" depuis les gradins. Il nous salua et le public nous regarda un peu étonné. La course démarra, ça se présentait pas mal pour lui, il tenait bien la corde en restant deuxième. Le dernier tour s’emballa, mais il resta bien en place.
— J’espère qu’il va se rappeler de ce que je lui ai dit.
Malheureusement, Germain se laissa enfermer à la corde à l’orée de la dernière ligne droite. Il dut se décaler et jouer un peu des coudes pour retrouver un chemin dégagé et profiter de sa pointe de vitesse. Il mangea un adversaire ou deux mais le mal était fait, il échoua quatrième à la ligne d’arrivée. Je le vis fortement déçu de sa prestation. Il y eut d’autres finales entre temps. Puis il nous rejoignit en tribunes.
— Alors, tu ne m’as pas écouté, le sermonna Paul.— Je sais, je sais. Je m’en suis aperçu au moment où je me faisais piéger. Bon allez, à Marie de jouer.
Il ne restait que quelques minutes avant sa course. Elles arrivèrent enfin. Une nouvelle fois, nous scandâmes le nom de notre amie : "Marie ! Marie !". L’autre pétasse de Caroline ne sembla pas apprécier notre engouement. Le départ fut donné, le rythme n’était pas trop rapide au départ.
— C’est un peu lent pour Marie. Il faut qu’elle fasse accélérer le groupe, nous dit Germain.
C’est ce que Marie fit effectivement. Elle se plaça en tête et augmenta l’allure, pour deux filles, c’était déjà trop et elles décrochèrent un peu. La grande girafe colla aux basques de Marie. On approchait du dernier tour :
— Allez Marie, c’est maintenant qu’il va falloir partir, dit Paul.
Et Marie parut entendre l’injonction de Paul, elle accéléra pile au début du dernier tour, 100 m plus tôt que la course précédente. Elle creusa un petit écart, la grande girafe dut s’employer pour recoller dans la ligne droite opposée.
— Allez, la deuxième maintenant, commenta Paul.
Elle jeta un œil derrière pour voir si elle était toujours suivie. Cela dut mettre la puce à l’oreille de Caroline qui bougea la première, elle se porta à la hauteur de Marie et se rabattit devant elle. Enfin, c’était ce qui aurait dû arriver, car elle tassa fortement Marie contre la lice. Son pied gauche se posa sur le bord de piste et sa cheville vrilla complètement. On l’entendit hurler de douleur tout de suite. Les secouristes vinrent rapidement à son secours. Germain était déjà parti comme une fusée réconforter sa copine. Evidemment, Caroline gagna la course. Elle n’eut aucun regard ou mot de réconfort envers Marie alors qu’elle passa à proximité sur un brancard. Les juges annoncèrent rapidement qu’une investigation aurait lieu sur le déroulé de la course. Il ne leur fallut pas longtemps pour conclure que Caroline était fautive et qu’elle était donc disqualifiée.
Marie revint au lycée en fin de semaine, elle se trimballait avec un plâtre à la jambe gauche et en béquilles. Elle n’en revenait toujours pas du sale coup fait par Caroline. Celle-ci la croisa dans un couloir :
— Alors la pisseuse, on s’est fait bobo ? Ah ah ah ah.
Quand Marie nous raconta ça, nous en fûmes rouges de colère. Caroline s’était attaquée à Marie et elle continuait même maintenant à être odieuse. Il fallait la remettre à sa place.
* * *


Il ne fut pas très dur de trouver des gens qui lui en voulaient. On nous en raconta de belles sur elle, de sacrées rumeurs. Mais rien d’exploitable jusqu’à ce que Carine obtienne quelque chose de vraiment intéressant. On l’aurait vue fouiller dans les sacs et les manteaux qui traînaient. Nous décidâmes de la mettre sous surveillance. Il ne fallut pas longtemps pour que nous ayons confirmation de ces dires. Se pensant seule, Liz l’aperçut un jour à faire les poches d’un manteau qui était accroché dans le couloir. Nous lui tendîmes un piège. Amandine laissa traîner un manteau avec quelques billets. Je me planquai et attendis. Caroline se pointa à la recherche d’une prise. Elle alla directement au manteau et après un rapide coup d’œil alentour, elle plongea les mains dans les poches. Je n’en perdis pas une miette et fis des photos avec un petit appareil discret et silencieux.
Nous lui tendîmes le même piège plusieurs fois dans la semaine, jamais le même manteau, parfois un seul, parfois deux, une fois un sac. Je développai les photos, on la voyait bien fouiller les affaires et en ressortir les billets.
Sylvie rédigea le mot suivant :"Coucou petite voleuse,Tu vois, j’ai découvert ta petite activité. Pour preuve, je t’ai mis une petite photo avec ce mot. C’n’est pas ton père qui voudrait récupérer son siège de député dans deux ans ? Ça serait dommage que son adversaire politique ait de quoi le mettre dans l’embarras. Tout ça à cause d’une petite pétasse dans ton genre. Tu ne crois pas ? Tu as des choses à te faire pardonner et à rendre alors je te laisse le week-end pour y réfléchir.
A + Connasse."En la suivant un peu, nous réussîmes à glisser le mot et une photo dans son sac alors qu’elle était aux toilettes. En fin de journée, nous la vîmes repartir du lycée avec un air fort préoccupé. Ce qui nous fit très plaisir. Le vendredi soir, nous évoquâmes nos plans avec Paul et Elisa en fin d’atelier.
— Cette bêcheuse mérite bien une petite mise au point, commenta Elisa.— Certains élèves ont tendance à faire sentir aux profs qu’ils ne sont pas du même monde. Mais elle, c’est peut-être la pire de tous, ajouta Paul.— Et puis, elle n’aurait pas dit ce qu’elle a dit à Marie quand elle est revenue au lycée avec ses béquilles, on aurait laissé couler, dit Liz.— Mais là, c’était vraiment trop insupportable. J’ai failli prendre une des béquilles de Marie pour la frapper. Mais heureusement, je me suis raisonné, précisa Germain, encore très en colère.— Tu as bien fait. Au final, c’est toi qui aurais eu le plus de problèmes. Et tu aurais regretté ton geste après coup.— Je sais Paul. Mais sur le coup, je n’ai pas trop réfléchi. Ce n’est que grâce à Marie qui a posé sa main sur mon bras que je n’y suis allé.
Marie lui fit un petit bisou sur la joue :
— Mon chevalier servant.— Donc pourquoi vous nous en parlez au final ? Vous voulez notre approbation ? Ou autre chose ? demanda Elisa.— Pour l’approbation, si vous voulez nous la donner, ce sera avec plaisir. Mais on a décidé ce que nous allions faire.— Oliv a raison. On prend la responsabilité de nos actes, ajouta Sylvie.— On a besoin d’un endroit. On voudrait savoir si on peut utiliser les vestiaires du gymnase, demandai-je.
Je vis Paul réfléchir :
— Je ne vois que le mercredi après les rencontres UNSS. Vers 17h30, il n’y a plus personne et ma collègue n’est jamais là le mercredi. Mais...— Mais on se demande ce que vous comptez faire. Vous ne risquez pas d’aller trop loin ?— On préfère ne pas vous mettre au courant. Et comme Sylvie l’a dit, on prend nos responsabilités, leur dit Amandine.
Ils furent d’accord après encore quelques négociations et minaudages des nanas. Nous nous dîmes avec Olivier et Germain qu’il faudrait à l’avenir faire attention à nous, car elles commençaient à vraiment obtenir tout ce qu’elles voulaient.
Le lundi, on vit arriver notre future victime, elle avait les traits tirés. Elle regardait de tous côtés pour voir si on la suivait ou si on l’espionnait. Notre premier mot avait fait son effet, il fallait lui mettre le second. Ce fut fait avec plus de difficulté que la première fois. Elle se méfiait un peu plus. Sylvie et Carine durent détourner son attention quelques instants pour que je puisse le glisser dans son sac.
"Salut Connasse,Oui avec un C majuscule. Ça te va bien comme nouveau nom. Alors j’ai vu que tu avais réfléchi ce week-end. Je suis prêt à te redonner toutes les photos et les négatifs. Pour preuve de ma bonne foi, voici le négatif de la première photo. Je n’ai pas envie de voir rester ce pourri qui nous sert de député, mais c’est à toi de te faire pardonner. Tu en auras l’occasion mercredi à 17h30 dans le vestiaire filles du gymnase.
A+ Connasse."
* * *


Paul avait laissé l’accès libre aux vestiaires, tandis qu’il resterait dans son bureau jusqu’à 18h30. Nous devions être tous partis à cette heure-là et ne pas le croiser. Enfin surtout Caroline. Nous nous pointâmes vers 17h15, nous nous installâmes dans le vestiaire. Sans surprise, le côté fille semblait moins abîmé, plus propre que le côté garçon. Quelques minutes avant 17h30, nous éteignîmes la lumière, histoire de rendre la scène un peu inquiétante pour Caroline. Pile à 17h30, on l’entendit arriver, Sylvie se positionna seule au milieu de la pièce et nous allâmes nous cacher dans les douches. Caroline entra dans le vestiaire et chercha à allumer la lumière.
— Non, n’allume pas Connasse !— Eh, comment tu me parles !— Je te parle comme tu le mérites. Connasse !— Tiens, je t’ai ramené le fric que j’ai pris la semaine dernière, dit-elle en jetant une liasse au sol. Donne-moi les photos maintenant.— Il va falloir me parler sur un autre ton Connasse.— Fais pas chier !— Bon, je crois qu’on va arrêter là. Je vais envoyer les photos à la permanence de notre député.— Non, attends. S’il te plaît !
D’un coup, elle avait perdu sa morgue et son air supérieur.
— Je suis désolé de t’avoir pris de l’argent.— Mais tu n’en as pas pris qu’à moi, n’est-ce pas vous autres ?
Olivier, Liz, Carine, Amandine et moi sortîmes des douches.
— Oui. Connasse nous doit des excuses à tous, je pense, dis-je.— Je... je suis désolée, finit-elle par lâcher.— C’est pas très convaincant comme excuses, lui dit Liz.— Oui, faudrait y mettre un peu plus de conviction, ajouta Carine.— Je suis vraiment désolée, je ne le ferai plus.— C’est presque ça, commenta Olivier.— Oui, il manque un petit quelque chose. Elle devrait se mettre à genoux pour bien faire, proposa Amandine.— Mais ça va pas non ? s’insurgea-t-elle.— On t’a pas demandé ton avis ! A genoux Connasse !
Sylvie tenait à merveille son rôle. Et il était évident qu’elle y prenait beaucoup de plaisir. Caroline hésita un peu. Mais elle se résolut à se mettre à genoux. On voyait sur son visage que son ego en prenait un sacré coup.
— Je... je suis désolée. Je ne le referai plus.— Bah voilà, on y arrive. Tiens !
Sylvie lui balança une enveloppe. Caroline se précipita pour l’ouvrir.
— Eh tu avais dit qu’il y aurait les négatifs aussi !
Caroline voulut se relever, mais Sylvie l’arrêta d’un ton sec.
— A genoux ! Tu as encore des choses à te faire pardonner !
L’ordre claquant comme un fouet fit plier Caroline et elle resta à terre.
— Quoi encore ?— Tu vas changer de ton, Connasse.— Arrête de m’appeler comme ça. Je suis pas une connasse.— Non tu as raison. Tu n’es pas une connasse. Tu es Connasse. Ça sera comme ça qu’on t’appellera maintenant. Compris ?— Pas question !
Elle résistait encore.
— OK. On arrête là. Allez on s’en va, asséna Sylvie.
Nous nous dirigeâmes vers la sortie, mais Caroline nous supplia de rester :
— Non, non attendez. Vous avez raison, je suis une connasse.— Non, tu n’as pas compris. Tu es qui maintenant ? lui demandai-je.— Je suis, je suis Connasse.— Ah enfin, s’exclama Sylvie. On va pouvoir avancer. Tu changes de ton avec nous, c’est bien. Mais il va falloir changer de ton au bahut aussi. Quand on a cherché des infos sur toi, tout le monde s’est empressé de nous fournir plein de choses.— Que voulez-vous ?— Tu vas rabattre ton clapet jusqu’à la fin de l’année. Tu devrais avoir un concours quelconque ou passer en université et te casser du lycée donc tu n’as pas longtemps à tenir. Tu devrais y arriver quand même.— Oui. Je ne dirai plus rien.— Non, tu fermeras ta gueule. Répète !— Je fermerai ma gueule.— Tu fermeras ta gueule de ?— De Connasse.— Elle dit ça. Mais elle n’a pas l’air de le penser vraiment, dit Carine.— Si, si, je vous jure.— C’est pas beau de jurer. On t’a pas appris ça ?— Si, si, je suis désolée.— Le mieux c’est de nous prouver que tu as bien compris, lui dit Olivier.— Oui, oui, tout ce que vous voulez, nous dit-elle.— Tout ce qu’on veut ? demanda Sylvie.— Oui, tout ! implora-t-elle presque.— Mmmmh, voyons voir ça, dit pensivement Sylvie. Que diriez-vous de voir cette petite pute à poil ?— Quoi ? Non ! cria-t-elle.— Bon, tout ça, c’est que du pipeau tes excuses. Allez, bye.
Et Sylvie commença à partir, nous allions la suivre quand Caroline s’accrocha à sa jupe comme un noyé à une bouée.
— Non, non, attendez, attendez !— Tu me fatigues Connasse. Tu as trois secondes. Après je ne veux plus voir d’hésitation de ta part. Au moindre ordre que tu recevras et auquel tu hésiteras, on s’arrangera pour bien diffuser les photos. Compris ?
Elle acquiesça, mais ne bougea pas.
— Bon ? 3...2...1...
Avant le zéro, elle commença à enlever son gilet et sa blouse. Puis elle ôta ses chaussures et ses collants. La jupe suivit difficilement. Elle se retrouva en sous-vêtements devant nous. Malgré la pénombre, on distinguait bien sa musculature, elle était presque plate. Elle remplissait à peine son bonnet A. De même, son cul était musclé, mais très plat. Elle s’arrêta là, espérant sans doute que cela serait suffisant. Mais Sylvie émit un claquement de langue d’exaspération. Caroline sursauta légèrement et finit pas tout enlever. Elle avait de petits tétons très bruns et une toison taillée en ticket de métro. Je n’aimais pas trop. Elle se remit docilement à genoux. Amandine me fit remarquer que ses poils paraissaient un peu humides. Elle mouillait de ce qui lui arrivait ? J’avais du mal à y croire...
— Voilà un début. Après, ce n’est pas à nous que tu as fait le plus de tort. Vois avec elle.
Marie apparut au bras de Germain. Caroline ne put s’empêcher d’avoir un léger rictus de dégoût en la voyant.
— Alors Connasse. Vois ce que tu m’as fait ! A cause de toi, mes espoirs sont brisés !
Marie s’approcha et lui gifla les seins.
— Je suis désolée pour toi, lui dit-elle les larmes aux yeux.— Tu crois que ça va me suffire ?— Qu’as-tu promis Connasse ? lui demanda Sylvie.— De faire tout ce que vous vouliez.— Tu vois Connasse mon plâtre ? J’ai tellement mal à ma jambe que je ne peux plus rien faire.— Je suis désolée.— Oh change de disque ! Tu te rends compte ? Je ne peux plus baiser avec Germain. Tu crois que c’est juste pour lui ?— Non.— J’arrive à peine à le sucer. J’ai des douleurs qui lancent comme des éclairs sous mon plâtre. Il est frustré, mais il ne dit rien, car il m’aime. Il va falloir qu’une bonne âme le soulage.— Mais tu veux...— Que tu suces Germain. Oui ! Au boulot !
Et elle lui gifla l’autre sein. Avant que Caroline ne proteste plus, je lui jetai une série de quatre négatifs.
— Tiens ! Pour te motiver à obéir et pour te montrer qu’on ne se moque pas de toi. Maintenant, suce !
Germain sortit son sexe et s’approcha d’elle. Marie s’assit sur un banc le long du mur. Caroline était hypnotisée par le sexe à moitié bandé, mais déjà de bonne taille. Sylvie reprit son décompte :
— 3...2...
Caroline ouvrit la bouche et commença à sucer Germain. Sa bite entreprit de grandir de toute sa longueur. On vit Caroline ouvrir de grands yeux au fur et à mesure que sa bouche se remplissait.
— Alors, c’est la première fois que tu suces une belle bite comme celle-là ?— Ouich.— Tu avais déjà sucé avant ?— Mmmh. Ouich.— Alors chéri ? Elle se débrouille bien ?— Ça va à peu près. Mais elle est moins douée que toi.
Germain sentit alors Connasse s’appliquer un peu mieux. Même là, elle voulait montrer qu’elle était meilleure que Marie.
— Mmmh. Ah c’est mieux. C’est bien Connasse. Continue.
Elle continua encore un peu. Quand Germain commença à respirer plus fort, Marie la fit arrêter. Caroline soupira discrètement de soulagement et de frustration.
— Bon, à moins maintenant. Viens me lécher !
Marie avait mis à l’air son sexe avec l’aide de Carine et écartait largement les jambes.
— Mais je suis pas gouine.— D’abord, on ne te demande pas ton avis ! Et puis moi non plus, ça n’empêche pas que tu me fasses du bien. Donnez-lui deux négatifs. Ça va la motiver un peu.
Je lui montrai deux négatifs que j’ajoutai aux autres. Elle baissa la tête, vaincue. Elle commença à se mettre debout pour aller vers Marie.
— On ne t’a pas autorisé à être debout Connasse ! lui rappela Sylvie. Vas-y à quatre pattes !
Elle se dandina ainsi jusqu’à Marie. Elle prit un temps d’arrêt devant la chatte offerte.
— Tu n’as jamais essayé les filles ? lui demanda Sylvie.— Non.— Quelle cruche ! Tu t’es déjà fait bouffer le con par un mec au moins ?— Oui.— Bah alors tu vois ce qu’il faut faire. Allez !
Caroline darda sa langue vers les lèvres de Marie. Elle la fit parcourir de haut en bas.
— Bah et le clito Connasse. Ton mec te l’a jamais excité ou quoi ?
Caroline se décida à obtempérer. Elle agaça le clitoris de Marie. Celle-ci commença à gémir quelque peu sous les coups de langue de Caroline.
— Aaah, tu commences enfin à me faire oublier ma douleur.
Germain s’était approché des deux filles. Il s’accroupit derrière Caroline et s’exclama :
— Oh, mais c’est qu’elle mouille Connasse !
Nous nous rapprochâmes tous pour mieux voir. Effectivement, Amandine avait bien vu.
— Alors Connasse. C’est quoi qui tu fais mouiller ? lui demanda Liz.
Caroline ne répondit pas, Marie lui plaquait la tête contre son entrejambe.
— Laisse-nous deviner. C’est d’avoir sucé Germain ?
Elle fit non de la tête à la question de Carine.
— C’est de lécher une chatte ? demanda Olivier.
Elle fit non de la tête de nouveau.
— Oooh, c’est d’obéir comme une petite pute ? s’étonna Sylvie.
Caroline ne réagit pas. Mais elle ne fit pas non de la tête.
— Eh, tu réponds à nos questions !
Elle fit oui de la tête. J’y croyais à peine, elle aimait se faire dominer ? Connaissant son caractère public, c’était difficile à croire. Mais sa chatte humide et son aveu ne laissaient pas de doute possible.
— Bon, mon chéri. Oh. Ça te manque oh oh de me baiser.— Oh oui ma puce.— Viens baiser la chatte de Connasse. J’aurais l’impression que tu me fais l’amour si elle continue à bien de satisfaire.
A cette perspective, Caroline se raidit, de peur ou d’excitation ? Marie crut qu’elle allait se rebeller ; elle la prit par les cheveux et la ramena à sa tâche :
— On t’a pas demandé ton avis ! Lèche !
Germain se positionna pour la prendre en levrette. Il plaça sa queue devant l’entrée de la chatte de Caroline. Puis il l’enfila d’un coup sec jusqu’à la garde. Elle émit un cri qui fut étouffé par la chatte de Marie. Germain commença à la besogner sans ménagement. A chaque fois que son sexe était le plus à fond, Caroline émettait un gémissement de douleur mêlé de plaisir.
— C’est la première fois que tu te fais prendre ?
Elle fit non de la tête.
— La première fois par une vraie bite ?
Elle fit oui de la tête.
— Alors tu ah aimes les vrais oh oh mecs ? Ça teeee change des ah ah blaireaux dont tu aaahh l’habitude ?
Elle fit oui de la tête.
— Tu ah ah entends bébé ? Elle ah ah aime ta grooosse bite.— J’aime t’entendre avoir du plaisir ma puce. J’ai l’impression que c’est moi qui te fais ça. Anh, anh an.— Oh oh je sens que que ça vient ah ah.— Moi aussi bébé.— Et Connasse, elle veut jouir ? lui demanda Sylvie.
Elle fit oui frénétiquement de la tête.
— Allez, on oh oh n’est pas si mééééchant. ermain, fais fais fais la jouir cette pute ! Mais ne ne ne jouis pas en ellah aha, elle ne le mérite paaaas.— OK ma puce.
Germain pilonna de toute sa force la chatte de Caroline. Si celle-ci n’avait pas eu la bouche occupée sur le con de Marie, on l’aurait entendu dans tout le gymnase. Ce fut Marie qui partit la première, envoyant de longs jets de cyprine sur le visage de Caroline. Nous ne l’avions jamais vu expulser autant de jus intime.
— Ah ah ah oui oui ! Ouiiii !
Aux premiers jets reçus sur le visage, Caroline jouit à son tour. Elle ne cria pas, ne fit presque aucun son. Mais les spasmes incontrôlés de son corps ne laissèrent pas de doute sur le pied qu’elle prenait. Son vagin se contractait tellement que c’en fut trop pour Germain. Il sortit de la chatte de Caroline et s’astiqua le manche pour expulser tout son foutre sur son cul, sa chatte et son dos.Après un instant, Marie ressortit de son état second post jouissance.
— C’est bien Connasse, tu m’as bien fait jouir. Eh regarde-moi quand je te parle !
Elle releva la tête, elle était restée prostrée au sol. Un léger sourire de satisfaction ornait son visage souillé.
— On dirait que Connasse a bien pris son pied aussi. Alors petite pute, tu as aimé te faire prendre par une vraie bite.— Ou... oui, dit-elle honteusement.— Par contre ma grande, tu es dégueulasse. Tu en as plein le visage et le cul. Il te faut une bonne douche. Allez hop ! lui dit Marie en lui donnant une petite claque sur les seins.
Sylvie n’eut même pas à lui dire d’y aller à quatre pattes, elle le fit d’elle-même. Marie s’assit sur le siège handicapé des douches, Caroline alla se mettre sous une douche.
— Viens par-là ! lui dit-elle.
Docilement, Caroline revint vers Marie, et quand elle ouvrit les jambes, elle comprit jusqu’où elle devait s’arrêter.
— Regarde-moi. Connasse, tu n’as pas encore droit à une douche d’eau chaude.
Caroline allait repartir pensant avoir droit à une douche glacée.
— Je t’ai pas dit de partir, lui dit Marie en lui claquant encore une fois les seins.
Caroline se repositionna et presque immédiatement, un puissant jet de pisse vint lui arroser le visage et le cou.
— Voilà la douche à laquelle tu as droit ! Au moins, elle est chaude. Ah ah ah.
Je fus étonné de voir Marie aller si loin. Germain nous dit après coup que Marie avait été presque brisée moralement par sa blessure. C’était son rêve de faire les championnats de France, sachant d’autant plus que les JO de 1992 approchaient. Je compris alors pourquoi elle lui en avait voulu autant.
— Chéri, peux-tu lui laver le cul aussi ?— Bien sûr ma puce.
Germain se plaça derrière Caroline et lui pissa également dessus. Il visa d’abord son trou du cul et sa chatte puis tout le dos. Marie finit ses dernières gouttes et ordonna à Caroline de la nettoyer, ce qu’elle fit sans rechigner. Une fois satisfaite de son travail, Marie lui dit d’en faire autant avec Germain. Elle lapa le mélange de sperme et de pisse sur le membre ramolli.
— Bien, je crois qu’on peut lui redonner quelques négatifs, commenta Sylvie.
Je plaçai alors quatre nouveaux négatifs avec les autres. Caroline le vit et eut un petit sourire.
— Qu’est-ce qu’on dit Connasse ? lui rappela Sylvie.— Merci.— Bien maintenant, prends une vraie douche, tu pues la pisse et le sexe. Et remets-toi debout, tu fais pitié !
Caroline se lava sous la douche. Nous pensions qu’à la fin de cette séance, elle aurait craqué et fondu en larmes. Mais elle gardait une certaine contenance. Elle se sécha tant bien que mal avec les essuies mains des toilettes et se rhabilla. Elle prit les photos et les négatifs.
— Eh, mais, il manque des négatifs.— En effet Connasse. Tu les récupéreras au fur et à mesure jusqu’à la fin de l’année. Si ton comportement s’améliore, tu recevras chaque vendredi un négatif. Si tu te comportes mal, tu n’en auras pas. S’il nous en reste un à la fin de l’année, tu sais où il ira ?— Oui, je sais, dit-elle d’une petite voix. Mais qu’est-ce qui me prouve que vous allez tenir parole ?— Rien, mais regarde, comme on te l’a dit, tu as déjà presque tout eu. De plus, on aurait pu profiter de la séance pour faire quelques photos ou films aujourd’hui, mais on ne l’a pas fait. Alors, estime-toi heureuse.
Après un moment, elle se détendit un peu.
— Qu’est-ce qu’on dit Connasse ?— Merci.— Bon allez. Casse-toi, on t’a assez vu.
Elle partit rapidement, la tête basse et le col du manteau relevé. Comme si elle voulait se cacher, pensant que tous ceux qu’elle pourrait croiser sauraient ce qu’elle venait de faire. Nous nettoyâmes rapidement et nous partîmes nous aussi. Il était temps, il était 18h25.
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