Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 101 J'aime
  • 2 Commentaires

Le projet artistique

Chapitre 21

Doutes

Orgie / Partouze
Maxime narrateur
Je m’interrogeai pendant plusieurs jours. Je savais que j’aimais Amandine et qu’elle m’aimait aussi. Mais je me posais une question, pourquoi n’avais-je ressenti aucune jalousie lorsqu’elle avait sucé et avalé le foutre de Germain. Et j’étais sûr qu’elle-même n’avait ressenti aucune jalousie lorsque je m’étais vidé dans la bouche de Liz. Etait-ce parce que l’amour que j’éprouvais pour elle n’était pas aussi fort que je le croyais ? Etait-ce le récit de la rencontre entre Elisa et Paul qui m’avait induit en erreur en m’ayant trop bouleversé pour ne pas mélanger tout ? Je décidai de profiter d’un rendez-vous cinéma avec Amandine pendant les vacances pour lui en parler. A la fin de la séance, je lui fis part de mes questions :
— Qu’en penses-tu ?— Je me suis plus ou moins posé le même genre de question en fait.— Alors ?— Je n’ai pas plus de réponses que toi.— Nous voilà bien avancés. Qu’est-ce qu’on fait ?— On en parle aux autres ? Je veux dire Liz et Olivier, Marie et Germain.— Sylvie et Carine ne sont en effet pas dans la même situation. D’ailleurs, elles auraient bien eu besoin d’une épaule à la fin du récit.— Oui, j’ai vu. J’étais un peu triste pour elles. Tu aurais pu proposer ton épaule.— Et ça ne t’aurait pas gêné ?— Non, pourquoi ?— Bah, on était là dans un moment plus qu’intime. Plus que simplement sexuel comme la fois d’avant.— Oui, mais je les aime. Je veux qu’elles soient heureuses.
Je réfléchis un instant. Si Olivier ou Germain s’étaient trouvés seuls, aurais-je été jaloux de voir Amandine les réconforter à ce moment-là. Je m’aperçus que non.
— Et c’est vrai pour Germain et Oliver, je les aime aussi. Cela ne m’aurait pas gêné de te voir les réconforter.
Je vis Amandine pensive, puis elle sembla comprendre quelque chose :
— En fait, la raison de notre absence de jalousie ce n’est pas ça ? On s’aime tous les uns les autres ?— Je sais pas si c’est si simple. Je sais que je n’éprouve pas la même chose pour toi que pour Oliver, Carine ou Sylvie.
— Alors je ne sais pas.— Il faudrait voir avec eux. Je vais essayer de les inviter à la maison à la fin des vacances. Ils devraient être tous revenus.— Carine et Sylvie aussi, tu les invites ?— Je sais pas. Je demanderai aux autres en les appelant.
Je contactai les deux couples. Ils étaient disponibles le dimanche après-midi. Je perçus qu’ils avaient tous eu les mêmes doutes. Ils convinrent que pour cette fois, il ne fallait pas inviter Carine et Sylvie. D’abord, elles se seraient retrouvées célibataires au milieu de couples. Et ensuite, nos questions concernaient nos couples.
* * *


J’avais préparé mon studio photo pour l’occasion et installé des chaises, des coussins au sol. J’avais pris des boissons sans alcool et de quoi manger. Pour un goûter entre jeunes gens bien sous tous rapports, histoire d’endormir la surveillance de ma mère. Mais j’avais prévu de la musique pour que nous puissions parler sans être entendus. Ils arrivèrent tous quasiment à l’heure prévue. Amandine était là depuis une heure et m’avait aidé un peu. Le reste du temps, elle avait papoté avec ma mère. Ah les femmes...
— Alors, maintenant qu’on est tous là, qui commence ? demanda Germain.
Personne ne se précipita pour commencer. Je me lançai alors, vu que c’est moi qui étais à l’initiative du rendez-vous. Je leur expliquai les questions que nous avions eues avec Amandine et les ébauches de réponses que nous avions trouvées.
— Je dois dire qu’avec Liz, on n’en avait pas encore parlé avant ton appel. Mais je comptais le faire. On en a parlé, on a ressenti la même chose que vous. Mais on était loin d’arriver à votre conclusion.— Et vous Marie ? demanda Amandine.— Je me suis inquiétée plus que vous, je crois. J’ai été très perturbée qu’en fait l’amour que me porte Gégé ne soit qu’un amour de façade. Lui aussi a eu cette peur. On s’est rassuré en voyant que vous aviez des interrogations similaires.— On pense un peu comme vous. Mais il nous manque une brique pour consolider notre raisonnement.— Je suis d’accord. C’est pour ça qu’on est là.— Mais vous voyez, on est tous là. Je nous trouve bien sages. Ça ne me viendrait pas à l’idée de sauter sur Max ou Gégé.— Non Liz, on n’est pas tous là.— Même si Sylv et Kiki étaient là, je ne suis pas certain que ça changerait quoi que ce soit.— C’est pas faux Oliv. Mais ce qui manque, c’est Elisa. Tout tourne autour d’elle, fis-je remarquer.— Oui, chouchou. Tout ce qui nous est arrivé l’a été en présence ou à cause d’Elisa.— A cause ou grâce à elle plutôt ? rectifiai-je.— Non pas tout à fait. Car nous, les filles, on a flashé sur Paul sans que personne n’intervienne ni vous ni Elisa, nous rappela Marie.— En fait ce que tu dis c’est que c’est eux la brique manquante ? Leur couple, d’une façon ou d’une autre.— Je pense que Gégé a trouvé la bonne formule.— Oui, Liz. Mais une remarque aussi. Vous vous rappelez ce qu’a dit Elisa. On ne touche pas à mon mari sans ma permission. Ou un truc du genre.— Et alors Max ? me demanda Olivier.— Bah, ça veut dire que même s’ils s’aiment au plus profond, ils n’éprouvent pas de jalousie l’un envers l’autre.— Pas faux Max. Surtout que Paul était fâché contre elle parce qu’elle avait passé ses nerfs sur nous et dépassé le cadre de la punition. Pas trop qu’elle se soit fait lécher par nous.— Comment font-ils pour vivre leur couple comme ça ?— Bah Liz, faut leur demander.
Sur cette évidence de Marie, nous conclûmes là notre réunion. Bizarrement, tout le monde se fit un smack sur la bouche. Entre filles et entre garçons. Etait-ce le simple fait de parler de ce couple qui nous faisait entrer dans un autre monde ?
* * *


Le lundi, nous fîmes part de nos réflexions à Sylvie et Carine. Elles comprirent notre besoin de parler entre couples. Elles arrivèrent à la même conclusion que nous quand nous leur exposâmes nos arguments. Le mardi, Marie fut absente. Elle revint le mercredi, sans son plâtre. Elle gardait quand même une béquille pour soulager sa jambe de temps en temps. Je remarquai que ses seins semblaient avoir bien poussés, ainsi que son postérieur. Le dimanche, elle était venue avec un pull large et était restée affalée sur les coussins la plupart du temps. Amandine était d’accord avec moi. Elle lui posa la question :
— Oui, j’ai bien pris. Mon médecin m’a fait arrêter mon traitement hormonal. Comme j’avais arrêté mon entraînement intensif, mon cycle a redémarré et mes hormones sont naturellement reparties à la hausse. Du coup, ça plus les médocs. Ça a poussé dans tous les sens.— Ben dis donc. Tu fais quoi maintenant, un bon B, non ?— Par rapport au A que j’avais du mal à remplir, ça me change.— Et Germain, il doit être content.— En fait. Ça lui a fait surtout bizarre.— Jamais contents ces mecs. Ah, ah, ah.
En parlant, elles virent Caroline au loin. Elle était en train de passer ses nerfs sur un collégien.Elles se dirigèrent vers elle.
— Eh Connasse !— Qu...
Caroline blêmit en les voyant.
— Alors on reprend ses mauvaises habitudes ?— Pas la peine de venir nous voir vendredi. Tu as épuisé tous tes jokers.— Pardon, pardon.
Elle prit ses affaires et s’enfuit presque à l’autre bout de la cour.
— Elle comprendra jamais, ragea Marie.— A se demander si elle ne le fait pas exprès. Elle cherche quoi ?— A se faire punir, tu crois ?— Je me demande...
* * *


Le vendredi soir, nous travaillâmes comme d’habitude. Elisa avait reçu d’autres films en provenance d’Allemagne. Nous les regardâmes, c’était surtout des publicités, des émissions de télé enregistrées sur des cassettes vidéos. A la fin du visionnage, nous nous étonnâmes auprès d’Elisa que son frère ou sa famille ait possédé un magnétoscope.
— En effet, de très rares personnes en avaient. Dans sa lettre, Dieter m’a dit que c’est Thiemo qui les lui avait fournis.— Ah oui, c’est vrai que son père était plutôt haut placé, se rappela Carine.— Oui, mes parents n’auraient jamais pu avoir ce genre d’équipement.
Puis nous parlâmes d’un autre sujet. Soudain, Germain se frappa le front :
— Bordel ! Que je suis con !— C’est pas faux, se moqua Sylvie. Mais pourquoi spécialement là ?— Vous êtes pas fins non plus.— Quoi ? Quoi ?— Vous voyez pas ?— Bah non, quoi ? lui demanda Marie.— Thiemo... a... donné...à... Dieter... les... cassettes.— Et donc ? demanda Liz.— Bah oui. Et donc ? demandai-je à mon tour.— Vous êtes lents du bulbe.— Oh merde ! s’exclama Amandine.— Ah enfin une qui comprend !— Et pourtant, c’est énorme ! Comment j’ai fait pour passer à côté ? s’étonna elle-même ma chérie.— Bah accouche alors ! lui intimai-je l’ordre.
Elle me regarda étrangement, un sourcil relevé, un sourire en coin. L’air de dire : "C’est un lapsus révélateur ça ?". Ce qui était à mille lieues de ce que je pensais.
— Ça veut dire que Thiemo et Dieter se connaissent. Mais d’où ils se connaissent d’après vous ?
Soudain, l’évidence me sauta aux yeux :
— Merde. Il a aussi tourné pour Thiemo ? demandai-je à Elisa.— Oui, en effet.— Et j’ai l’impression que tu le savais.— Oui.— Comment il en est venu là ? me demandai-je.— Mais par Hanna, je suis sûre, dit Carine.— Oui.
Elle avait l’air très amusée devant notre attitude. Elle nous faisait mariner, nous laissant galérer pour découvrir le fin mot de l’histoire. Paul, revenu de son tour, semblait mort de rire également.
— Mais comment toi tu l’as su ? demanda Sylvie.— C’est Dieter qui te l’a dit ? Il savait que tu avais fait des tournages ?— Non et non, Liz.— Tu l’as découvert par hasard ?— Oui Olivier.— Oh rebordel !— Ah je crois que Germain a trouvé, se moqua Paul.— Tu crois ? Alors Germain, donne-nous le fond de ta pensée, s’amusa Elisa.— Si c’est par hasard que tu l’as su. Est-ce que... Putain je crois pas à ce que je vais dire.
J’étais crispé sur ma chaise, le buste en avant, tendu comme un string. J’attendais sa révélation avec une impatience à peine contrôlée. S’il ne crachait pas vite le morceau, j’irais moi-même lui tirer les vers du nez. Les autres étaient dans le même état que moi.
— Est-ce que c’est... parce que... vous vous êtes... retrouvés sur... le même tournage ?— Ah, oui, il a trouvé.— Oui, Germain. Je suis tombée sur mon frère durant un tournage.
* * *


Elisa narratrice
Je pensais tous les jours à Paul. Au lieu de voir mon amour pour lui diminuer, il ne faisait que grandir. Je devais trouver un moyen de le rejoindre. J’avais réussi, en entrant dans l’association qui avait organisé le tournoi, à avoir des nouvelles des associations communistes affiliées, et donc des équipes qui étaient venues. On recevait de temps en temps des lettres, quelques photos. Je volai celles où il était.
Pour trouver un moyen de partir, il me fallait de l’argent pour avoir de faux papiers ou trouver un passeur, je ne savais pas trop encore. Ce n’était pas la peine d’espérer passer le Mur ou la frontière comme ça. J’allais me faire tuer. Le seul moyen que je connaissais pour amasser de l’argent rapidement était de tourner pour Thiemo. Au départ, je ne voulais pas avoir l’impression de tromper Paul, c’est pour ça que j’avais donc décidé d’arrêter. Mais maintenant, soit je lui restais fidèle et je ne le reverrais jamais, soit je tournais et je me donnais une chance de le revoir. Je repris donc contact avec Thiemo. Il fut content d’avoir de mes nouvelles. Il me dit que justement, il avait un tournage prévu le samedi et qu’il cherchait une troisième fille. Il m’avertit qu’il s’agissait d’un film de sexe en groupe, trois femmes et trois ou quatre hommes. J’acceptai sans poser plus de questions. Il m’informa que le tournage aurait lieu dans un sauna qui serait réservé pour l’occasion.
Il me donna l’adresse et l’heure du rendez-vous. J’eus un peu de mal à trouver l’endroit. Je n’avais pas demandé à Gitta de m’accompagner. Je n’avais pas envie qu’elle se moque de moi. Je lui avais dix fois, cent fois répété que j’étais folle amoureuse. Elle m’aurait dit quoi maintenant ? Je sonnai à la porte et entrai. Thiemo se tenait derrière le petit comptoir d’accueil. Il parlait avec Franz. Dans un coin, je vis Karl et Gitta boire un verre ensemble. Quand elle me vit, elle ouvrit de grands yeux ébahis.
— Et merde, pensai-je.— Ah salut, tu es enfin là.
Thiemo fit le tour et me fit son smack habituel. Franz me serra simplement la main. Karl vint également me donner une bise sur la bouche. Gitta me la fit aussi et elle me dit au creux de l’oreille :
— Tu fais quoi ici ?— Bah je tourne.— Mais tu te rends pas compte ! Viens faut que je te parle.
Mais avant qu’elle m’entraîne à part, j’entendis Thiemo dire :
— Tiens, Elisa. Les deux derniers ont fini leur tour.
Je me retournai et vis Hanna. Et juste derrière, c’était Dieter !
— Salut Elisa, me dit Hanna avant de me laisser une bise sur les lèvres. Tiens, voici Dieter. Je l’ai rencontré lors du tournoi. Il a déjà tourné un peu avec nous.
Je me figeai complètement, Dieter était paralysé aussi. Apparemment, personne, à part Gitta, ne savait qui nous étions l’un par rapport à l’autre. Nous avions le même nom de famille, mais il est très courant en Allemagne. Ils n’avaient pas fait le rapprochement. Il me fallait prendre une décision : partir ou rester. Je revis le visage de Paul. Je me décidai :
— Salut. Moi c’est Elisa. Enchanté de te connaître.— Euh, salut, Dieter.
Et je lui déposai un smack sur les lèvres et lui fis une accolade.
— Ne dis rien. Je t’expliquerai après.— Là, je crois que c’est nécessaire.— Bon, c’est pas tout ça, mais on a du travail, déclara Thiemo. Karl, Dieter, venez m’aider à sortir le matos.
Je pris Gitta à part.
— Ferme-la. Je t’expliquerai après.— Mais... mais. Et Dieter ?— A lui aussi, je lui expliquerai.— Euh, euh, c’est bizarre là. On va tourner une scène de groupe.— Je m’en fous !— T’énerve pas.— Excuse-moi. Tu comprendras.
Elle me laissa finir de me calmer. Thiemo revint pour nous expliquer le "scénario". Franz ferait le gérant du sauna. Les trois filles entreraient dans un sauna, parleraient un peu de garçons, de sexe et se caresseraient un peu. Suite à une mauvaise blague du gérant, trois garçons entreraient aussi dans la zone réservée aux femmes. Ils banderaient rapidement à la vue des corps allongés. Les filles crieraient et ils leur diraient qu’il ne fallait pas avoir de grosses bites. Elles leur répondraient qu’elles avaient déjà vu mieux. Etc. Bref, on baiserait dans le sauna. Thiemo nous dit qu’il ferait partie des trois garçons et que Franz filmerait sous ses indications. Le sauna avait été allumé, mais à une température assez basse. Assez chaude pour qu’on transpire, mais pas trop pour ne pas endommager la caméra et pour nous permettre de baiser en sécurité. A 60°C ou 80°C, cela aurait été très dangereux.
Nous commençâmes le tournage, Thiemo filma lui-même tout le début. L’arrivée des filles, la présentation du complexe par le gérant, leur déshabillage. Puis il fallut filmer l’arrivée des garçons, problème Thiemo et Franz devaient être à l’image. Je me proposai pour prendre la caméra. Après quelques explications de Thiemo, je filmai la scène, je tombai amoureuse de la caméra et m’appliquai au mieux. Puis Thiemo filma le tour de passe-passe du gérant et Franz filma les garçons se déshabiller.
Nous allâmes au sauna, il y faisait chaud, juste assez pour transpirer un peu. Nous accentuâmes l’effet en aspergeant nos cheveux et nos corps d’eau. Thiemo nous filma à discuter de garçons et de sexe. Nos serviettes s’ouvrirent naturellement, dévoilant ainsi nos seins puis nos chattes qui furent bien vite parcourues par des mains délicates. J’avais du mal à rentrer dedans, je pensai alors à Paul et à notre nuit d’amour. Cela me rendit toute humide rapidement. Puis Franz filma l’arrivée des garçons dans le sauna depuis notre point de vue. Ils débitèrent leur texte et nous le nôtre. Ils découvrirent leurs sexes à moitié bandés. Je me focalisai malgré moi sur celui de Dieter. Nous refîmes la scène, mais cette fois du point de vue des garçons. Nous devions à la fin les inviter à montrer ce qu’ils valaient en écartant nos cuisses. Je vis alors Dieter plonger son regard vers ma chatte, cela me troubla énormément.
Puis Franz prit la caméra à l’épaule et nous commençâmes ce que je devais bien appeler une partouze. Les garçons approchèrent de nous. Heureusement, ce fut Thiemo qui se présenta à moi, Karl à Gitta et Dieter à Hanna. Pendant qu’ils caressaient nos chattes, nous leur fîmes une pipe. Franz passait d’un couple à l’autre. Je pensai toujours à Paul, m’imaginant le sucer lui.
Puis, nous échangeâmes les places, et les garçons nous broutèrent le minou. Thiemo savait y faire et j’oubliai alors Paul pour me concentrer sur le plaisir immédiat que je ressentais. Du coin de l’œil, j’observai Dieter. Il semblait savoir y faire aussi. Hanna semblait vraiment apprécier son office et je me surpris à l’envier. Thiemo stoppa là. Il nous fit changer un peu. Lui et Karl iraient avec Gitta, tandis que Hanna et moi avec Dieter. Franz filma les premiers. Ils étaient assis, Gitta au milieu une bite dans chaque main. Et les doigts des garçons sur ou dans son sexe. Elle se penchait à gauche ou à droite pour sucer la tige à portée de bouche. Puis ce fut notre tour, je redoutai alors ce qui allait se passer. Dieter se mit debout entre nous, agenouillées. Thiemo nous demanda de le sucer à deux. Lorsque Thiemo donna le top, je fermai les yeux et posai les lèvres sur le sexe de mon frère. Je sentis aussi les lèvres de Hanna de l’autre côté. Je me décidai alors à faire comme elle.
Nous parcourions la hampe de façon synchronisée. Nous nous rejoignions au niveau du gland pour l’embrasser et s’embrasser. Dieter semblait être aux anges sous nos coups de langue. Il donnait de petits coups de reins pour accompagner notre fellation. Thiemo nous arrêta encore. Dieter me fit un clin d’œil alors que je me relevai. Je fus très gênée.
Thiemo prit quelques instants pour filmer Franz en train de nous filmer avec une petite caméra tout en se branlant. Je vis Gitta prendre quelque dans son sac et nous laisser quelques instants pendant ce temps-là. Elle revint tout juste comme Thiemo finissait ce plan de coupe. Puis nous reprîmes l’action principale, Franz filma alors les trois premiers. Thiemo s’était allongé sur le dos et Gitta s’était mise sur lui. Il la baisait ainsi. Puis je fus sur le cul de voir Karl se présenter à l’entrée du trou de cul de Gitta et l’enfiler comme ça. Ils baisèrent et enculèrent Gitta. Je compris qu’elle avait dû se mettre un lubrifiant quelconque pour faciliter cette double pénétration. Je ne m’imaginai pas un instant faire la même chose. Déjà prendre une bite dans le cul devait faire mal. Mais là, c’était une dans chaque trou. J’étais choquée. Mais le pire, c’est qu’elle semblait vraiment prendre son pied la garce. Elle criait à pleins poumons.
Les garçons grognaient, ahanaient, soufflaient sous la pression exercée par les orifices de Gitta. Ils finirent par sortir en même temps pour se vider sur ses seins.Thiemo reprit alors la caméra. Il nous avait expliqué ce qu’il voulait et j’avais peur. Nous commençâmes. Dieter était assis sur le banc. Hanna était empalée sur lui, face caméra. Moi je devais lui caresser le corps et aussi la bite de Dieter. Je devais regarder avec envie le couple baiser. Puis, en apparence n’y tenant plus, je poussai Hanna en lui disant que c’était à mon tour. Je pris sa place, face caméra également. Je sentis le gland de Dieter à l’entrée de mon vagin. J’hésitai à le laisser entrer. Mais lui n’eut pas les mêmes doutes. Il me prit par les hanches et m’obligea doucement, mais fermement à descendre. Je sentis son sexe entrer centimètre par centimètre. J’eus un peu de dégoût puis quand il commença à donner des coups de reins, le plaisir m’envahit et je commençai à avoir plus de plaisir que de honte. Hanna s’était mise à genoux entre ses jambes. Elle léchait ses couilles ou mon clitoris. Sa langue m’aidait à lâcher prise. A ce moment, Franz fit son entrée.
Il attrapa Hanna par les hanches et lui enfila son sexe champignon dans la chatte. Elle réclamait de retrouver une bite, elle était donc exaucée par le gérant. Je regardais ce couple improbable baiser devant moi alors que mon propre frère me fourrait la chatte. Je criais, gémissais pour le film et aussi pour moi, pour mon plaisir, pour Paul.
Franz retourna brusquement Hanna sur le dos et arrosa son ventre et ses seins de foutre. Elle l’étala en regardant la caméra. Thiemo concentra alors la caméra sur nous. Il nous fit signe de nous dépêcher. Dieter me releva et m’assit sur le banc. Il se mit debout devant moi et se branla devant mon visage. Il m’aspergea rapidement avec des râles de plaisir évidents. Le salaud, il avait donc pris son pied à baiser sa sœur et à la tartiner de foutre. Mais j’eus honte, car j’avais aussi eu du plaisir et je me surpris à aller chercher avec ma langue, le sperme autour de ma bouche pour l’avaler. Je ne le fis pas que pour le film, mais surtout, car j’en avais le désir. Il était bon, presque sucré, très différent de ce que j’avais connu jusque-là.
Nous allâmes nous laver dans les douches, hommes d’un côté et femmes de l’autre. Nous aidâmes Thiemo à ranger et nettoyer. Il nous paya et je partis avec Gitta. A la gare, je vis Dieter arriver seul. Hanna habitait Erfurt et était rentrée à pied chez elle. Une fois dans le train qui nous ramenait dans notre banlieue, je dus expliquer à Gitta et Dieter que j’étais revenue pour l’argent que me procuraient les tournages.
— Ma pauvre fille. Tu es désespérante !— Je savais bien qu’il y avait quelque chose. Quand je t’ai vu lui dire au revoir au, car et tout ça. Mais je pensais que c’était juste une amourette.— Et toi avec Hanna, alors ?— Oh pour l’instant, on baise ensemble. Elle m’a vite parlé de ce qu’elle faisait et m’a proposé d’essayer. Depuis, Thiemo m’appelle de temps en temps. Mais je suis toujours là avec Hanna. Même si ce n’est pas ma partenaire principale du film.— Eh, elle te surveille on dirait, se moqua Gitta.— Bof, elle me dit qu’elle veut pas s’engager et puis moi non plus. Je pense qu’on va rester comme ça un an au grand maximum. Elle a trois ans de plus que moi aussi. On s’amuse un peu et ça n’ira pas plus loin. Bon et toi Gitta, c’est quoi ce que tu as fait là ?— Oh, c’est les copains du chéri d’Elisa qui m’y ont fait goûter. Une fois de temps en temps, je dis pas non, mais faut des bites de taille raisonnable. Et puis c’est plus cher.— Vous avez compris pourquoi je suis retourné faire des films ?— Non, j’avoue que si tu penses à lui, je vois pas pourquoi tu es là, me dit Dieter.
Gitta me fixa puis elle devina le fond de ma pensée.
— Oh merde ! Tu veux le rejoindre.— Chut !— Tu veux le rejoindre. Mais tu es folle ! chuchota-t-elle.— En fait, tu cherches de l’argent. C’est ça frangine ?— Oui. Il me faut des moyens pour avoir des faux papiers ou soudoyer quelqu’un. Je sais pas trop encore.— Tiens.
Dieter me tendit une grande partie de l’argent gagné ce jour-là.
— Je suis trop sentimentale aussi.
Gitta me tendit aussi une partie de ce qu’elle avait gagné. Ils me dirent que s’ils tournaient encore avant que je puisse partir, ils continueraient à me donner de l’argent. Je pleurai de joie et les pris dans mes bras.
* * *


Maxime narrateur
J’étais une nouvelle fois sur le cul. Pas tant, d’ailleurs, par la scène de partouze qu’elle avait faite, mais pourquoi elle l’avait faite. Des milliers de questions se bousculaient dans ma tête.
— Je crois que tu les as séchés, là. Ah ah ah.— Oooh, sois gentil avec eux. Hi hi hi.
Ce n’était pas très sympa de se moquer de nos tronches de vingt pieds de long. Elisa nous congédia pour le week-end. Au final, nous n’avions même pas parlé à Elisa et Paul de ce qui nous tourmentait. Sur le chemin du retour, je posai la question qui me brûlait les lèvres :
— Euh Am, tu aurais fait comme elle ?— Hein ? Quoi ? Comme qui ?
Je venais de la sortir brutalement de ses propres pensées.
— Je veux dire, tu aurais fait comme Elisa ?— Je ne sais pas. Je me pose la question. Mais je ne m’imagine pas éloignée de toi, dans l’impossibilité de se voir définitivement. Je n’y arrive pas.— Je vois.— Mais après, si jamais ça arrivait et que je faisais le même genre de choses. Tu me considérerais comme une traînée ou pas ?— Non, je ne pense pas. Mais comme toi, je ne parviens pas à me mettre à leur place. Mais tu as vu Paul ? Il n’a été ni choqué, ni triste lorsqu’elle a raconté ça.— En même temps, cela date de pas mal d’années. Mais c’est sûr, il ne le découvrait pas. Je me demande quelle réaction il a eue quand elle lui a dit ce qu’elle avait dû faire.— Aucune idée. Mais ces deux-là sont beaucoup surprenants qu’il n’y parait.
Diffuse en direct !
Regarder son live