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Le projet artistique

Chapitre 23

Châtiment

Trash
Maxime narrateur
Le groupe avait un peu laissé de côté la surveillance de Caroline. Nous lui donnâmes ses négatifs les vendredis suivants sans être vraiment sûrs qu’elle s’était bien comportée. Mais nous avions la tête ailleurs il faut dire. Et puis une semaine avant la fin des cours, on entendit des bruits de couloirs, des discussions à son propos. Globalement, elle s’était calmée avec les autres élèves. Les collégiennes et les lycéennes s’en félicitaient. Nous en parlâmes entre nous, nous nous dîmes qu’elle avait fait des efforts et que peut-être nous pourrions tout lui donner le dernier jour. Nous reparlâmes de l’incident avec le nouveau gardien qui était survenu la semaine de l’agression des filles. Nous considérâmes que c’était une réaction non contrôlée et que nous pouvions peut-être passer l’éponge dessus.
Le groupe en parla à Elisa et Paul, ils nous dirent que pour eux également, ils avaient remarqué que son comportement s’était amélioré avec les autres élèves. Ils ne connaissaient évidemment pas cet incident avec le gardien. De plus, elle avait aussi mis un peu d’eau dans son vin dans ses relations avec les professeurs. Nous conclûmes alors ensemble que nous pouvions passer l’éponge. La dernière semaine commença sans histoire. Et puis le mardi, on entendit une voix crier dans les couloirs, j’étais en chemin avec Sylvie et Olivier entre deux salles de cours. Nous nous approchâmes, un petit attroupement s’était formé.
— ... mais c’est pas possible, vous le faites exprès ?
C’était Caroline qui criait sur le gardien. Apparemment, en bricolant il avait mis de la poussière de plâtre sur les chaussures de marque de celle-ci.
— Excusez-moi Mademoiselle. Attendez. Tenez pour essuyer vos chaussures.
Il lui tendait un chiffon pour qu’elle puisse enlever le plâtre.
— Mais je ne vais pas nettoyer. Ce n’est pas moi qui les ai salies !
Il se mit à genoux devant elle et commença à épousseter les souliers. On entendit quelques murmures outrés parmi les élèves :
— Elle exagère !— Quelle poufiasse !
Mais une réflexion en particulier retint mon attention.
— En plus, je l’ai vue faire exprès de salir ses chaussures cette connasse. Et puis c’est pas la première fois qu’elle emmerde le gardien.
Je regardai qui avait dit ça pour lui parler ensuite. Pendant ce temps, Caroline jubilait d’humilier ainsi Cristian. Celui-ci serrait les dents et nettoyait les chaussures. Elle le fit recommencer alors qu’elles étaient visiblement propres. Satisfaite du résultat, pas celui du nettoyage, mais celui de l’humiliation qu’elle faisait subir, elle s’en alla avec ses grands airs. La foule commença à se disperser, Sylvie remarqua des larmes couler des yeux du gardien. Il les essuya discrètement et retourna à sa tâche d’origine.Nous prîmes à part la fille qui avait fait cette réflexion. Elle nous dit que Caroline avait plusieurs fois humilié le gardien. Elle n’était pas sûre, mais elle pensait que les autres fois elle avait fait exprès de créer une situation dans laquelle elle pouvait s’en prendre au gardien. Nous étions très choqués par son comportement. Cette salope n’était pas prête de revoir ses négatifs. Nous en discutâmes entre nous à la fin de la journée :
— Elle est ingérable ! se lamenta Carine.— Elle apprend rien de rien.— Oliv, ça ne m’étonne pas de cette salope, siffla Marie.— Alors on fait quoi ? demanda Germain.— Elle peut oublier ses négatifs ! trancha Marie.
J’étais plutôt d’accord avec elle. Amandine et Germain aussi. Mais Liz et Olivier étaient moins convaincus.
— Eh vous allez pas passer l’éponge là-dessus ! s’offusqua Germain.— Non bien sûr. Mais on a appris par nos paternels que le député en place est une pourriture, dit Liz.— Ca on savait déjà, leur dis-je.— Mais pas tout. En fait, les deux sociétés de nos pères ont répondu à un appel d’offres pour un très gros chantier dans le coin. Mais c’est une boîte espagnole qui a eu le contrat. Ça va pas arranger l’emploi dans le coin, car ils vont venir avec des ouvriers espagnols.— Liz, je vois pas le rapport, lui dit Marie.— Nos pères savent que la société espagnole a versé de gros pots-de-vin à notre député pour qu’il favorise leur dossier dans la décision du conseil général. Il est président de la commission d’attribution des marchés publics, nous dévoila Olivier.— Alors le père de Caroline était pas parfait en député, mais ça me fait chier de favoriser l’autre raclure à cause de sa fille, conclut Liz.
Il fallait bien avouer qu’ils avaient de bons arguments.
— Du coup ? On fait quoi ? demanda Sylvie.— On sait pas trop. Mais il faudrait quelque chose qui ne la touche qu’elle.
Nous réfléchîmes chacun de notre côté et puis ce fut Carine qui proposa une idée.
— Et si on inversait les rôles ?— Hein ? lui lança-t-on ?— Je veux dire entre elle et le gardien. Le bourreau devient victime et inversement.
L’idée nous plut énormément.
* * *


Nous avisâmes Caroline de notre décision la concernant le vendredi matin. Elle fit l’étonnée, mais elle ne paraissait pas très sincère. Savait-elle qu’elle avait abusé ? S’en rendait-elle compte ? Avait-ce été un choix délibéré de sa part ? Elle nous supplia :
— S’il vous plaît, j’ai été gentille avec tous les élèves et j’ai rien dit aux profs.— Mais le gardien alors, Connasse ? objecta Amandine.— Oh, lui...— Tu t’es très mal comportée avec lui. Tu as beaucoup plus abusé que tout ce que tu avais fait avant, lui rappelai-je.— Donc, tu ne mériterais pas tes négatifs. Tu ne crois pas ? lui asséna Marie.— Non, s’il vous plaît. Ça va rendre ma vie impossible et détruire la carrière de mon père.— Ça ne t’a pas gêné de rendre la vie du gardien infernale. Mais tu as raison, il n’est pas juste que ton père paye pour la stupidité de sa fille.— Je ferais ce que vous voulez. Punissez-moi comme la dernière fois si vous voulez.
Avec quel empressement elle proposait cette solution ! Germain l’observa attentivement et lui dit alors :
— Alors Connasse. Tu n’aurais pas fait exprès de mal te comporter dans l’espoir qu’on te punisse à nouveau ?— Non, non, dit-elle d’une petite voix.
Elle avait baissé la tête et elle se tordait les doigts en nous parlant. On ne voyait pas son visage, mais ses oreilles devinrent toutes rouges.
— Si Connasse. Avoue-le-nous. Avoue-le à toi-même. Tu as aimé ça, lui ordonna Sylvie.
Elle se tordit encore plus les doigts et murmura de façon à peine audible :
— Oui, j’ai aimé ça.— Pardon, on n’a pas entendu. Parle plus fort, exigea Sylvie.— Oui, j’ai aimé ça.— Tu as aimé qu’on te fasse mettre à genoux ? demanda Carine.— Oui.— Tu as aimé qu’on t’oblige à te foutre à poil ? demanda Marie.— Oui.— Tu aimé qu’on te gifle les seins ? demanda Liz.— Oui.— Tu as aimé qu’on t’oblige à sucer une bite, à lécher une chatte et à te faire baiser ? demanda Germain.— Oui.— Tu as aimé qu’on te pisse dessus ? demandai-je finalement.
Elle hésita puis finit par avouer :
— Oui. Oui j’ai aimé tout ce que vous m’avez fait.
On y était.
— Il suffisait de le dire. Tu aurais pu trouver quelqu’un à qui demander ça, lui fit remarquer Olivier.— Mais j’ai honte. Et...— Et tu ne te serais pas sentie obligée alors, conclut Sylvie.— Oui.— Bon, tu as raison tu mériterais une nouvelle punition, lui dis-je.
Elle releva la tête, presque avec un sourire aux lèvres.
— Mais nous avions décidé de ne plus te punir, lui dit Sylvie.
Elle nous interrogea du regard, ne comprenant visiblement pas où nous voulions en venir.
— Eh bien oui. Comprends un peu Connasse. Ce n’est pas nous que tu as blessés. C’est le gardien.
Elle comprit et parut dégoûtée et effrayée à l’idée.
— Mais, mais...— Il n’y a pas de mais Connasse, tu obéis, lui rappela Sylvie.
Elle baissa la tête et accepta.
* * *


La semaine suivante, il n’y avait plus cours pour les lycéens ni pour ceux qui comme nous étaient en "consolidation" ou dans les classes préparatoires aux grandes écoles. Il n’y avait plus que les collégiens pour deux semaines encore avant les épreuves du brevet. Et comme c’était début juin, le gardien en profitait pour faire les travaux d’entretien extérieur : taille de haie, colmatage d’un mur, tonte de l’herbe ou débroussaillage. Pour ça, il avait tous les outils à disposition dans un cabanon un peu à l’écart des autres bâtiments. C’était l’endroit parfait. Nous donnâmes rendez-vous à Caroline en début d’après-midi le mardi. Nous lui confiâmes une lettre à remettre au gardien. Sur l’enveloppe, il était écrit "Mes excuses". Nous l’informâmes que nous allions rester dans le coin pour la surveiller et vérifier qu’elle accomplissait sa tâche. Et aussi pour assurer un minimum sa sécurité physique.
Elle se dirigea vers le cabanon alors que le gardien venait d’y rentrer pour ranger du matériel. Elle toqua doucement à la porte et entra :
— Mademoiselle ? demanda-t-il étonné de voir une élève de prépa encore à l’école et encore plus dans son cabanon.
Elle lui tendit simplement la lettre. Il la prit et la regarda, il eut un haussement de sourcils en découvrant le titre. Il ouvrit l’enveloppe, sortit la lettre. En en-tête, nous avions écrit "A lire à haute voix."
"Bonjour Monsieur,Je viens vous présenter mes excuses pour le comportement que j’ai eu envers vous. J’ai été particulièrement dure et odieuse avec vous. J’ai cherché à vous humilier alors que vous ne le méritiez pas. C’était ma dernière année ici et donc je ne serais plus là pour vous embêter l’année prochaine.
Je sais que des excuses ne sont pas suffisantes. Je sais que je dois recevoir une punition. Je vous laisse le choix de celle-ci, je vous obéirai durant l’heure qui suit.Vous connaissez peut-être mon nom officiel. Mais vous pouvez m’appeler par celui qu’on a choisi pour moi lors de ma précédente punition : Connasse.Bien à vous,Connasse"Cristian leva les yeux de la lettre. Il inspecta Caroline attentivement puis regarda par la porte ouverte et par la fenêtre.
— C’est quoi cette blague ? C’est un piège ou un truc du genre ?
Elle fit non de la tête.
— Mademoiselle, euh euh vous êtes Caroline Q il me semble, non ?
Elle fit non de la tête.
— C’est votre nom pourtant ?
Elle fit oui. ll fut surpris de cette incohérence, mais la lettre dans sa main lui inspira la réponse.
— Vous voulez que je vous appelle Connasse ?
Elle fit oui en baissant la tête. Il parut de plus en plus incrédule devant cette situation.
— Bon, Connasse, j’écoute vos excuses.— Monsieur Cristian, je m’excuse d’avoir été odieuse avec vous. D’avoir cherché à vous humilier. Je ne mérite que d’être humiliée à mon tour.
Cristian fut un peu troublé par la dernière phrase. Les excuses semblaient sincères, il ne la reverrait plus. Il pouvait peut-être passer l’éponge. Mais tout au fond de lui, dans un coin un peu sombre, il était tenté. Tenté par cette proposition d’humiliation, de punition sur cette petite conne qu’il l’avait emmerdé. Il s’assit sur un tabouret pour réfléchir, sans un regard pour Caroline. Celle-ci ferma la porte du cabanon tout doucement. Puis elle se dirigea vers Cristian, elle le poussa un peu pour s’allonger sur ses genoux, releva sa jupe et tira légèrement sa culotte vers le bas. Il l’avait laissée faire, impassible, mais surtout estomaqué de ce qui arrivait. Il ne bougea pas, il fixa le petit cul musclé posé sur ses genoux. Il regarda de nouveau dehors par la fenêtre. Il allait la relever et mettre fin à cette mascarade quand elle lui parla :
— Punissez-moi, s’il vous plaît.
Il n’en croyait pas ses oreilles ! Voilà qu’elle lui demandait de la punir, de la fesser même d’après sa position. Il leva la main et la maintint en l’air. Deux parties de lui s’affrontaient pour la décision à prendre. Ce fut la part plus sombre qui gagna la partie. Sa main s’abattit sur le cul de la donzelle. Il était très ferme sous sa main quand celle-ci le claqua. Il n’avait pas frappé très fort.
— J’ai été vraiment infecte avec vous. Comme quand je vous ai obligé à nettoyer mes chaussures.
Le souvenir de cet épisode douloureux le mit en colère. Il frappa de nouveau le cul, plus fort cette fois. Elle recommença à parler des différentes humiliations qu’elle lui avait fait subir. A chaque fois, sa main claquait plus fort le cul de Caroline. La part d’ombre avait pris complètement le dessus, il fessait maintenant cette petite salope avec rage. Au lieu de se dérober, elle remontait légèrement ses fesses pour aller plus vite au contact de la main. Au bout d’une quinzaine de fessées, il arrêta. Le cul de Caroline était très rouge, il ne le voyait pas, mais des larmes avaient coulé le long des joues de la jeune fille. Pourtant elle n’avait pas crié, elle n’avait émis que des "Mmmh" à chaque claque en se mordant les lèvres.
Il regarda le résultat du châtiment, il passa sa main sur les fesses endolories. Il les écarta aussi, dévoilant son trou du cul. Il la releva ensuite, elle se mit face à lui. Dans la pénombre du cabanon, il s’aperçut qu’une auréole était apparue sur le devant de sa jupe. Cette garce avait mouillé pendant sa fessée ? Il voulut en avoir le cœur net.
— Caroline, avez-vous mouillé ?
Mais elle ne répondit pas. Il rectifia alors sa phrase.
— Connasse, tu as mouillé ?— Oui Monsieur.— Montre-moi.
Elle releva le devant de sa jupe et baissa son slip. Le sexe taillé en ticket de métro apparut à la vue du gardien. Il vit bien que le sous-vêtement était humide, mais il avait du mal à voir à la source.
— Je vois rien. Désape-toi, lui ordonna-t-il.
Elle le fit sans hésitation et se mit entièrement nue. Il n’avait pas précisé qu’il ne voulait qu’elle n’ôte que le bas, mais il était ravi de sa prise d’initiative. Cela faisait un long moment qu’il n’avait pas vu de femme nue, en vrai. Depuis son divorce, il s’était surtout consacré au travail pour payer la pension alimentaire. Il préférait les femmes avec des formes, des culs bien en chair, des seins comme des montgolfières. Là, c’était tout le contraire. Elle était plate de partout cette petite salope. Ses tétons très sombres pointaient déjà. Il la fit approcher et écarter les jambes. Il passa un doigt le long de sa vulve et en huma le parfum. Pas de doute, elle était bien mouillée et son parfum de femme était assez enivrant.
— Agenouille-toi.
Elle le fit et posa ses mains sur ses cuisses. Il tritura brutalement les tétons de Caroline et gifla ses petits seins :
— Tu sais que j’ai souvent pensé à te rendre la monnaie de ta pièce Connasse ? Tu m’en as bien fait voir ! Et voilà que tu viens te soumettre à moi pour te faire punir ?
Elle fit oui de la tête.
— Mais est-ce vraiment une punition quand on semble prendre autant de plaisir que toi ? Regarde-toi ! A chaque claque sur tes seins tu te cambres et mets ta poitrine en avant pour me faciliter la tâche.
Elle avait honte d’elle-même, honte qu’il se soit aperçu qu’elle aimait ça. Mais elle avait aussi beaucoup de plaisir à ce qu’il lui faisait. De plus en plus à chaque fois que sa main rugueuse frappait ses seins.
— Et moi, est-ce que je vais avoir autant de plaisir que toi ? Je vais pas passer les 45 minutes suivantes à te frapper.— Parlez et j’obéirai.— Alors, fais-moi plaisir.
Il ne donna pas plus d’indications, voulant savoir ce qu’elle était prête à faire. Elle se pencha vers lui, elle déboucla sa ceinture et défit le bouton du pantalon. Elle baissa la fermeture éclair et passa une main à l’intérieur. Elle en ressortit un sexe encore mou. Elle le branla un peu pour qu’il commence à prendre de la vigueur puis le prit en bouche. Cristian avait travaillé une bonne partie de la journée dehors au soleil. Il avait transpiré sous le labeur. Sa bite sentait fort la sueur, elle était un peu moite également. N’importe quelle femme l’aurait trouvée dégoutante, mais Caroline se surprit à se délecter de cette forte odeur, de cette moiteur. Le sexe gonfla rapidement dans sa bouche. Elle le suça alors avec application.
De son côté, Cristian n’en revenait pas. Elle était prête à beaucoup pour se faire pardonner celle-là. Elle était en train de le sucer. Son ex-femme lui en faisait de très bonnes, ça lui manquait souvent. La petite pute entre ses jambes y mettait de la conviction. Elle cherchait réellement à lui donner du plaisir. Par contre, c’était un peu mou sa façon de faire. Il lui prit la tête entre ses mains et lui imprima un rythme plus soutenu. Au début, il la guida dans la cadence qu’il souhaitait. Mais à mesure que son plaisir grandissait et qu’il sentait l’éjaculation approcher, il se mit à lui baiser carrément la bouche. Elle mouillait déjà de la situation, mais se sentir dominée, contrôlée comme un simple jouet sexuel la fit dégouliner comme jamais. Sa chatte déversait des flots de cyprine sur ses cuisses. Comme il lui tenait tellement fort la tête, elle put lâcher une main et s’en servir pour se caresser.
Cristian sentit sa jouissance arriver. Il bloqua alors le visage de Caroline contre son pubis. Elle sentit sur son nez les poils de son pubis. Ils sentaient fort la sueur et l’homme. Elle aurait dû avoir un haut-le-cœur entre l’odeur acre et le sexe complètement enfoncé dans sa gorge, mais même si ses mains se levèrent comme si elles cherchaient un point d’accroche ; elle accueillit avec satisfaction les flots de sperme qui frappèrent le fond de sa gorge. Cristian se vida avec délectation dans la bouche de cette petite salope.
Il la relâcha après la dernière giclée. Elle nettoya les restes de sperme sur le sexe du gardien. Elle s’essuya la bouche d’un revers de la main et se repositionna à genoux, les mains sur les cuisses devant lui. Il avait bien pris son pied et avait mis un moment à s’en remettre. Il avisa Caroline qui attendait la suite, mais lui ne savait trop quoi faire d’elle. OK, il restait presque 30 minutes, mais il n’avait pas trop d’idées en tête. Elle lui avait nettoyé le sexe, s’il avait été plus jeune peut-être aurait-il bandé plus vite, mais à son âge il lui fallait plus de temps.
— Faut que je pisse pour me rincer le tuyau, finit-il par dire.
Il chercha du regard une bouteille ou un bocal où vider sa vessie. Il ne trouvait rien de satisfaisant quand il se rendit compte qu’il avait un récipient à disposition. Elle s’aperçut qu’il la regardait avec un drôle d’air. Elle comprit l’idée qui avait germé dans la tête de Cristian et ouvrit la bouche en grand tout en fermant les yeux.
— OK Connasse, tu as raison. Je vais te pisser dans la bouche. Par contre tu avales tout ça, j’ai pas envie de nettoyer derrière toi.
Elle maintint sa position, acceptant donc la condition. Il se positionna au-dessus d’elle et envoya son jet d’urine dans la bouche de Caroline. Il n’avait pas trop bu durant la journée et il avait fait chaud. Son urine était donc très jaune, très concentrée, très odorante et âcre. Elle avala la liqueur sans sourciller, le goût lui plut. Mais surtout se faire utiliser comme urinoir la combla. Elle avait caressé son sexe pendant la fellation, là elle massa ses seins avec l’urine qui déborda de sa bouche. Cristian fut abasourdi de la perversité de cette petite pute. Il commença à rebander alors qu’il se pensait trop vieux pour ce genre de performance. Mais il avait besoin d’encore un peu de temps.
— Allez caresse-toi devant moi, lui dit-il.
Elle obéit à son injonction et caressa sa chatte. Elle titillait son sexe et ses seins en alternance. Elle maltraitait ses tétons et son clitoris, la douleur lui donnait plus de plaisir que de souffrance.
— Mets-toi à quatre pattes comme la chienne que tu es, lui dit-il.
Elle se mit en position tout en continuant sa masturbation. Il finit par rebander complètement. Qu’allait-il faire maintenant ?
— T’es vierge Connasse ?— Non Monsieur.— Tu prends la pilule ?— Non Monsieur.
Ça faisait chier le gardien. Il se serait bien vidé dans une chatte accueillante. Puis il eut un éclair.
— T’es vierge du cul ?— Oui Monsieur.
Voilà, il allait la dépuceler du cul ! Mais avant ça, il fallait qu’il soit assoupli.
— Eh Connasse. Tu peux aussi te caresser le trou du cul !
Sa main changea de place et elle se mit à se palper l’anus.
— Eh Connasse, je t’ai pas dit de laisser ta chatte.
Il lui ordonnait donc de se caresser la chatte et le cul en même temps. Elle n’avait donc qu’une solution pour faire ça. Elle posa la joue sur le sol terreux du cabanon et commença à se fourailler les deux orifices. C’était la première fois qu’elle caressait son trou du cul, elle n’y avait jamais pensé avant. C’était une sensation nouvelle et plaisante. Elle se rentra un doigt puis deux dans le cul. Deux doigts dans le cul et deux doigts dans la chatte, elle prenait son pied. Devant ce spectacle érotique, la queue de Cristian avait repris sa pleine vigueur. La performance de Connasse lui plaisait énormément. Il se mit à l’aise et plaça son gland à l’entrée de la chatte de Caroline. Elle passa ses doigts sur le sexe bandé et le guida à l’entrée de son antre brulante. Cristian le fit rentrer d’un coup sec, Caroline émit un petit gémissement mélangeant plaisir et douleur. Il la besogna un moment, plus pour bien lubrifier son gland qu’autre chose. Il lui donna une claque sur les fesses :
— Eh, je t’ai pas dit d’arrêter de t’agacer le cul !
Elle reprit son intromission. Elle avait donc deux doigts dans le cul et une bite dans la chatte. Mais surtout c’étaient les ordres reçus qui lui donnaient le plus de plaisir. Cristian, lui, donnait de grands coups dans la chatte de Caroline. Mais ce n’était pas son but principal. Il s’arrêta et ressortit du con de Caroline. Il plaça son gland devant le sphincter de celle-ci. Elle eut peur, comprenant ce qu’il voulait faire. Personne n’avait jamais pénétré son cul. Elle l’avait assoupli avec ses doigts, mais une bite c’était encore autre chose. Elle ferma les yeux et pria. Pas pour ne pas sentir de douleur, mais au contraire pour souffrir de cette pénétration. Elle avait pris son sexe en bouche, mais ne l’avait pas vraiment vu en pleine érection. Elle se demanda s’il allait lui faire mal ou pas.
Cristian estima sa queue suffisamment lubrifiée et l’anus de la jeune femme assez assoupli. Il posa son gland à l’entrée et poussa doucement, mais sûrement à l’intérieur. Son ex-femme lui avait toujours refusé cette entrée, il assouvissait enfin un fantasme de ce côté-là. Il savoura chaque millimètre de pénétration. Elle gémit péniblement sous l’intrusion de Cristian. Son cul était violé pour la première fois, sa joue frottait contre le sol rugueux du cabanon. Dieu qu’elle prenait son pied ! Dieu qu’elle avait honte ! Dieu qu’elle aimait cette honte ! Elle n’émit aucun râle de douleur ou de refus. Elle n’émit que des râles de plaisirs. Cristian était rentré prudemment, mais voyant le plaisir de la petite pute soumise, il se décida à la bourrer franchement. Il envoya alors de grands coups de bite dans son fondement. Elle grimaça sous les coups de boutoir, donnant ainsi satisfaction au gardien. Cela lui donna enfin l’impression de la punir.
Il ne lui restait que 15 minutes, il voulait en profiter au maximum. De son côté, Caroline émettait de petits couinements de plaisir. Elle s’était même allongée un peu plus pour que ses petits tétons râpent le sol. Elle avait laissé son sexe libre au début, mais maintenant elle y avait rentré trois doigts la fouraillant violemment.
Cristian s’étonna de sentir son extase arriver si facilement, mais en même temps jamais une femme ne lui en avait offert autant. Il sentit aussi que Caroline était prête à jouir, il lui donna un dernier ordre avant de se lâcher :
— Oh Connasse, tu jouis seulement quand je te remplis le cul. C’est compris ?— Oui Monsieur. Remplissez-moi le cul de votre foutre.
Il ne lui fallut que deux coups de reins supplémentaires pour atteindre l’extase. Il se planta alors au fond du cul de sa chienne et se vida une deuxième fois en moins d’une heure. Elle se libéra mentalement et jouit sous le flot de foutre qui lui emplissait le rectum. Elle s’effondra, entraînant le gardien avec elle. Il lâcha son dernier jet sur ses fesses et écrasa Caroline sous son poids. Cristian se mit sur les genoux et la regarda. Son corps était parcouru de frissons et de légers tremblements. Il s’avisa que son sexe était sale. Il attrapa la jeune fille par les cheveux et colla sa bouche à son membre.
— Nettoie-moi, je suis tout sale.
Elle obéit et goba le sexe ramolli. Il puait. Il n’y avait pas de merde dessus, mais le mélange d’odeur entre le foutre, la cyprine et son cul lui donnaient envie de vomir. Mais elle s’appliqua, rendant le sexe aussi propre que possible. Quand il fut satisfait, il la relâcha et rangea son sexe dans son pantalon. Il se mit debout et la toisa du regard. Elle était sale, le visage luisant de bave et de pisse, la chatte suintante, le cul dégoulinant de sperme et le corps plein de terre et de pisses.
— Bon, allez viens Connasse. T’es dégueulasse.
Elle se leva et le suivit docilement. Il ouvrit la porte du cabanon, vérifia qu’il n’y avait personne en vue et sortit. Caroline hésita à sortir ainsi.
— Ramène-toi et prends tes affaires !
Elle prit ses vêtements et finit par le suivre à l’extérieur. Elle avait peur d’être vue ainsi. Elle essaya de se cacher derrière lui. Il sourit devant son attitude de petit chien apeuré. Il fit le tour de la cabane, elle se détendit, car ici ils n’étaient plus visibles. Il prit un tuyau d’arrosage et ouvrit le robinet.
— Connasse. Pose tes affaires sinon elles vont mouiller.
Elle les déposa avec précaution et attendit. Il ouvrit l’eau et un jet glacé lui frappa le corps. Il l’arrosa un peu partout. Il la fit se pencher en avant et lui rinça à grandes eaux la chatte et le cul. Il arrêta l’eau quand elle lui parut présentable.
— Reste là, au soleil. Tu sécheras plus vite.
En effet, en ce mois de juin il faisait chaud et ensoleillé. Mais pas assez pour qu’elle sèche rapidement. Il retourna dans le cabanon et revint avec une serviette qui lui servait à s’essuyer les mains au petit évier. Il s’en servit pour la sécher. Il lui épongea le corps avec délicatesse. Faire l’aller-retour dans le cabanon avait permis à sa part de lumière de reprendre le dessus. Il avait vu également que l’heure était passée.
— Bon. C’est mieux. Allez rhabille-toi maintenant.
Elle se rhabilla sous son regard. Il n’en perdit pas une miette jusqu’à ce qu’elle soit complètement vêtue.
— Bon. L’heure est passée. Tu peux rentrer chez toi.— Merci Monsieur. Est-ce que vous acceptez mes excuses ?— Mmmh. C’est vrai que tu es venue pour ça. Mmmh. Oui tu es pardonnée. Allez, rentre chez toi.— Merci Monsieur.
Elle s’en alla sans un regard pour lui. Puis s’arrêta à une quinzaine de mètres, se retourna et lui fit un petit signe de la main accompagné d’un sourire. Il le lui rendit machinalement. Il retourna dans la cabane finir le travail qu’il avait mis entre parenthèses depuis une heure. Il se demanda ce que signifiait son petit signe de la main : un au revoir, un merci ? Il n’arrivait pas à trancher entre les deux.Caroline nous rejoignit. Nous nous étions cachés et ils ne nous avaient pas vus en sortant à l’air libre. Ses cheveux étaient encore humides et mouillaient son polo.
— Voilà. C’est fait. Je peux avoir mes négatifs ?— Tiens, les voilà Caroline, dis-je en lui donnant.— Bon Caroline. Maintenant on espère que tu vas changer ton attitude, lui dit Sylvie.— Oh euh, vous ne m’appelez plus Connasse ?— Non, pour nous, tout est réglé. Tout le monde reprend le cours de son existence, lui révéla Amandine.
Elle parut déçue de la fin de sa soumission à nous.
— Ça veut dire qu’il n’y aura plus de punition ?— Non Caroline. Pas par nous en tout cas.— Germain a raison. On pensait te punir, mais il semble qu’on t’a révélé à toi-même ta nature, lui confia Olivier.— Alors je n’ai qu’un conseil à te donner. Si c’est ce que tu veux. Trouve-toi un Maître ou une Maîtresse, lui conseilla Marie.
Elle acquiesça pensivement et partit de son côté. Nous repartîmes du nôtre également. Il semble qu’elle suivit notre conseil. Au milieu des années 2000, Germain qui était en voyage d’affaires à San Francisco se rendit à la Folsom Street Fair par curiosité. Il y croisa un étrange attelage. Une femme tout en cuir tenait en laisse une femme. La laisse était accrochée au cou et à des piercings aux tétons de la femme. Et celle-ci tenait à son tour un homme en laisse. Lui était attaché par le cou et par le sexe. Comme ils s’approchaient de lui, il reconnut dans la femme en laisse Caroline. Il fit rapidement une photo pour en garder la trace avant que le trio ne le dépasse et reparte. Il nous envoya par mail cette photo. On la voyait bien. Elle semblait comblée de sa situation. Elle fixait l’objectif. Avait-elle reconnu Germain ? Sans doute.
* * *

Nous nous dirigeâmes vers le centre-ville. Nous nous installâmes à une terrasse pour profiter des rayons du soleil. Nous refîmes le point sur cette année de folie que nous venions de vivre. Comment tout avait commencé, grâce ou à cause d’Amandine et moi. Comment Elisa avait bien pu jouer un rôle aussi important ? Cela se serait passé l’année d’avant, elle nous aurait probablement punis la première fois qu’elle nous avait surpris. Elle avait à la place passé l’éponge parce que les deux Allemagne venaient de se réunifier officiellement. Paul et elle avaient également nourri notre projet artistique ainsi que notre appétit sexuel. Ils nous avaient fait grandir de ce point de vue là. Plusieurs couples s’étaient trouvés et semblaient partis pour durer. Un groupe de dix personnes s’était forgé. Un groupe dans lequel aucune jalousie ne semblait régner. Mais nous n’avions toujours pas trouvé de réponse à cette absence de jalousie.
On se dit que les vacances d’été allaient être propices aux réflexions studieuses. Elles allaient aussi favoriser les rapprochements au sein des couples. Des rapprochements autres que sexuels. On allait peut-être pour certains passer des vacances ensemble avec la famille de l’un ou de l’autre. On allait peut-être faire des choses ensemble aussi simples que se balader, manger une glace sur le bord de mer, se tenir par la main, faire des projets peut-être. Etre amoureux quoi.
Nous levâmes nos verres sur ces bonnes paroles. Nous bûmes à la santé du groupe. Nous payâmes, nous nous embrassâmes sur les joues comme des jeunes gens de bonne famille puis nous nous séparâmes pour l’été.
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