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Le projet artistique

Chapitre 25

Enquête

Gay
Maxime narrateur
Pendant que les filles emmenaient Esteban et Felipe, j’arrivais aux grilles de l’entrée, Cristian arrivait aussi. Il se posta là à nous regarder partir après cette première journée. Les profs non plus ne s’attardaient pas au lycée pour cette reprise. En partie à cause de la chaleur qu’il régnait. On vit passer Mlle G, j’eus la confirmation des proportions de son fessier. Germain et Olivier aussi. Les filles remarquèrent que Cristian n’en avait pas perdu une miette non plus. Puis vinrent Paul et Elisa :"Alors les jeunes ? Contents de rentrer au lycée ? nous demanda Paul.""Oui. Ça va, répondit Olivier. Mais vous ne connaissez pas la meilleure."Nous leur racontâmes le retour surprise de Felipe et Esteban."Mais d’ailleurs, où sont-ils tous les quatre, demandai-je.""Tu te serais pressé un peu, tu aurais vu Sylvie et Esteban partir ensemble d’un côté, Carine et Felipe de l’autre, me rétorqua Amandine.""Au fait, ils sont comment ? Vu que vous les avez dans votre classe ? demandai-je à Marie et Germain.""Bah, on n’a pas trop d’avis pour l’instant. Ils se sont assis ensemble et on n’a pas trop eu le temps de parler avec eux. Dès la fin ils se sont précipités ici, nous révéla Marie.""Après, ils semblent vouloir s’intégrer. Ils sont pas venus en survêtement, ils ont adopté la couleur locale.""Oui Gégé. Ils semblent vouloir se fondre dans la masse, poursuivit Marie.""Par contre, ils ont un nom à rallonge. S de A y B. C’est marrant, ça prend trois plombes, rigola Germain.""Au fait, Carine nous a dit qu’on avait des choses à leur dire.""Ouais Liz. Sylvie aussi m’a dit ça. Mais faut réfléchir à ce qu’on peut leur dire, on va pas tout leur raconter. Vous en pensez quoi ? demandai-je à Elisa et Paul.""Non, certes ça ne serait pas prudent, nous confirma Paul.""Et puis, j’aimerais bien savoir où ils ont disparu avant de prendre une décision, suggéra Olivier.""Oui moi aussi.""Ça paraît la chose à faire dans un premier temps, approuva Elisa. En tout cas, je les ai vu avec les filles. Ils ont l’air mignons.""Oui, ils sont pas mal. Un peu bad boy sur les bords j’ai l’impression.""Dis donc Mimi, tu les as bien maté, se renfrogna Germain.""T’inquiètes, tu es le plus beau. Et tu as bien maté la nouvelle prof de sport.""Mais j’étais pas le seul !""Oui Max et Oliv aussi, indiqua Liz.""Même Esteban et Felipe ont été soufflés, compléta Amandine. Et puis Paul aussi. Tu l’as vu Elisa ?"
"Oui.""C’est tout ?""Oui. Pourquoi ?""Bah il a bavé sur une autre que toi.""C’est pas parce que je suis au régime que j’ai pas le droit de regarder le menu, nous sortit Paul tout sourire. Et c’est valable pour Elisa aussi.""On ne va pas se crever les yeux dès que quelqu’un de beau passe. Et puis on sait très bien à quoi s’en tenir entre nous, nous rappela Elisa."Moi aussi, je savais à quoi m’en tenir avec Amandine et elle avec moi. Tout comme les autres couples.
* * *


Le lendemain, Esteban et Felipe étaient déjà là quand nous arrivâmes en cours. Evidemment les filles se précipitèrent sur eux. Mais cette fois elles marquèrent un temps d’arrêt pour être sûres du mec qu’elles allaient embrasser. C’était le bon, elles se lancèrent. Une fois le baiser torride fini on put leur dire bonjour. Tout le monde leur fit une bise sur les joues. Ils furent un peu surpris que même les garçons leur fassent mais ils semblèrent apprécier le fait d’être aussi vite intégrés."Alors vous étiez où hier, demanda Marie.""Dis Mimi, faut te faire un dessin maintenant ? se moqua Germain."Cela fit rire tout le monde. Même Esteban et Felipe sourirent à la boutade."Je suppose que vous aviez du retard à rattraper, leur dit Liz.""Oui on peut dire ça comme ça, répondit Sylvie."Les quatre furent un peu gênés de devoir avouer à demi-mot ce qu’ils avaient fait."Et vous vous êtes parlé un peu quand même ? les taquina Amandine."Là ils rougirent franchement tous les quatre. Je vis alors Amandine, Liz et Marie plisser des yeux et les observer attentivement. Elles devinaient quelque chose ? Je regardai Olivier et Germain qui avaient l’air de se poser les mêmes questions que moi."Oui, vous vous êtes parlé... commença Marie.""Vous vous êtes dit des choses... non une chose. Ne me dites pas que..."Amandine ne put finir sa phrase, c’est Liz qui s’en chargea."Sylv, Kiki ! Vous ne leur avez pas dit que vous les aimiez quand même ?"Elles cachèrent un peu leur visage contre leur copain."Ah si. Elles ont dit "Je t’aime" ces deux idiotes, comprit Liz.""Vous êtes désespérantes... maugréa Amandine.""Mais Felipe et Esteban, vous leur avez répondu quoi du coup ? demanda Marie."Ils levèrent les yeux au ciel, se pincèrent les lèvres et serrèrent un peu plus contre eux Sylvie et Carine."Et ces idiots ont répondu qu’ils les aimaient aussi, trancha Amandine.""Note pour plus tard : ne plus rien essayer de cacher à ma copine. Ça sert à rien elle devine tout, pensai-je.""Alors c’est vrai ? demandèrent ensemble Olivier et Germain qui avaient du mal à en croire leurs oreilles.""Euh, oui, susurra Carine.""Oui, minauda Sylvie.""Elles nous l’ont avoué d’un coup, commença Felipe.""Et quand on en a reparlé ensemble le soir. Sur le moment ça nous parut éclatant que nous aussi on les aimait.""Et ce matin ? Maintenant que l’excitation des retrouvailles est retombée ? demandai-je."Sylvie et Carine fermèrent les yeux et attendirent un peu avec crainte leur réponse."Je l’aime, dit Esteban. J’ai envie de lui apporter ce qui lui manque.""Je l’aime, ajouta Felipe. Je sens qu’elle a un vide à combler et que je suis celui qui convient pour ça."On vit quelques larmes coulées des yeux des filles et un sourire éclatant se dessiner."Faut qu’on vous explique pourquoi elles sont comme ça, leur révéla Amandine.""Et vous, il faudra nous dire où vous étiez passés, les avertit Marie."Nous leur demandâmes s’ils étaient libres en début d’après-midi. Ils l’étaient donc nous nous donnâmes rendez-vous dans le parc pour parler. Les trois couples avaient déjà réfléchi à ce qu’il était possible de dire aux deux frères concernant la solitude ressentie par leurs copines. Quand elles voulurent bien les lâcher pour qu’ils aillent en cours, nous briefâmes rapidement les deux jeunes femmes. A la pause en milieu de matinée, elles se précipitèrent pour les retrouver. Et apparemment, eux étaient les premiers à sortir de cours. A midi ce fut la même chose, elles durent les laisser partir déjeuner. De toute façon, elles devaient aussi passer chez elles.Nous nous retrouvâmes dans le parc dans l’après-midi. Certains s’étaient changés pour un look plus décontracté, d’autres n’en avaient pas eu la possibilité. Esteban et Felipe arrivèrent les derniers, vêtus de leurs survêtements noir et rouge. Sylvie et Carine se collèrent à eux immédiatement."Alors qu’est-ce que vous vouliez nous dire ? demanda l’un des jumeaux."Nous leur expliquâmes que nous étions tous dans le même projet artistique et que trois couples s’étaient formés rapidement en début d’année laissant les deux filles seules. Elles s’étaient tenues compagnie mais une grande solitude affective commençait à les habiter. On avait dû les réconforter plusieurs fois. Elles avaient bien pleuré quand elles ne les avaient pas revus mais en avaient gardé un souvenir merveilleux.Bien entendu, on ne dit rien de notre pacte, de notre relation avec Elisa, de ce qu’elle racontait, de ce que nous avions vécu. A peine avions-nous fait quelques allusions pour voir s’ils allaient s’apercevoir de quelque chose. En tout cas, ils avaient serré un peu plus Sylvie et Carine et leur avaient déposé un bisou sur le front ou les cheveux quand nous en étions venus au fait qu’elles avaient bien pleuré en croyant les perdre."Bon à vous, maintenant déclara Olivier."

* * *


Esteban : En rentrant chez nous après, nous avions les mains qui lançaient bien comme il faut. Ça piquait et ça brûlait malgré toute l’attention que nous avaient porté les filles. Quand notre paternel nous vit comme ça, nous passâmes un sale quart d’heure. Il nous répéta ce qu’il nous disait souvent. Qu’il se démenait pour nous offrir une vie meilleure, que lui n’aurait jamais fait ça, que son père lui aurait mis une torgnole s’il l’avait fait.Felipe : Nous crûmes qu’il allait vraiment nous en mettre une. Nous essayâmes de lui expliquer les choses telles qu’elles s’étaient passées. Il eut beaucoup de mal à nous croire. Evidemment nous ne racontâmes pas la partie intime de notre aventure du jour. Après, voyant que nous avions été soignés comme nous le disions, il se calma mais resta plus que septique. Dans la nuit nous nous sentîmes assez mal, il dut nous emmener aux urgences. Là, les toubibs nous dirent qu’ils allaient nous garder jusqu’au samedi. Après il faudrait rester chez nous pendant quelques jours.Esteban : Restés seuls n’était pas un problème en soi mais avec les mains complètement bandées on ne pouvait rien faire par nous-mêmes. Heureusement, notre mère gardant des enfants chez elle, elle pouvait être là pour nous. Du coup, nous laissâmes tomber la prépa pendant une bonne semaine.Felipe : Et même plus au final, car les flics débarquèrent le vendredi suivant. Notre mère fut très alarmée de les voir venir. Ils la rassurèrent un peu en lui disant qu’a priori nous nous étions plutôt comporté en sauveurs qu’en agresseurs. Mais ils voulaient en avoir le cœur net. Nous fûmes convoqués au commissariat le lundi suivant.Esteban : Les flics nous montrèrent des photos des types avec qui nous nous étions battus. Nous les reconnûmes tous, moi certains et Felipe d’autres. Nous demandâmes si les filles allaient bien mais ils nous répondirent que ce n’était pas nos affaires. Ils nous indiquèrent également que nous ne devions avoir aucun contact avec les autres protagonistes tant qu’ils ne seraient pas certains du déroulé des évènements. Nous fûmes donc bon pour rester cloîtrer dans notre appartement avec notre mère.Felipe : Nous pouvions quand même retourner en prépa. Mais dans ce quartier les nouvelles allaient vite et les mecs qui avaient agressé les filles rodèrent aux alentours du lycée. Nos parents parlèrent de ce point avec le proviseur. Ils convinrent ensemble qu’entre nos mains bandées, le mois de juin presque là, notre sécurité pas assurée nous devions éviter de revenir. Nous fûmes très déçus. Nous sentions que cette affaire risquait de ruiner nos efforts scolaires.Esteban : Nous tournâmes vite en rond. Nous n’avions pas trop de visites, quelques mecs du quartier passèrent une ou deux fois mais avec les petits que gardaient notre mère nous ne faisions pas ce que nous voulions. Il y avait une infirmière qui venait tous les jours puis tous les deux jours pour changer les bandages. Elle était beaucoup moins jolie que les filles et elle s’occupait de nous de façon un peu trop mécanique, comme un travail à la chaine.Felipe : Nous repensions à chaque fois au moment où Sylvie et Carine nous avaient soigné. Ça nous émouvait à chaque fois fortement. La nana pensait que c’était elle qui nous faisait de l’effet. Faut dire que quand elle avait fini, elle pouvait voir dans nos pantalons une belle bosse se dessiner. En même temps, avec nos mains blessées nous ne pouvions pas nous soulager nous-mêmes alors nos sexes avaient tendance à partir en quart de tour.Esteban : Du coup, un jour que notre mère était sortie promener les enfants, elle nous proposa de nous soulager. Elle nous dit qu’elle était désolée de l’effet qu’elle faisait sur nous. Donc elle pouvait nous faire une branlette dans la salle de bain pour nous vider un peu. Elle nous dit qu’elle comprenait bien que nous étions dans l’impossibilité de le faire et qu’à notre âge il fallait vider le trop-plein régulièrement.Felipe : Nous acceptâmes sans trop réfléchir, enfin ce fut notre queue qui réfléchit à notre place. Elle nous emmena dans la salle de bain chacun notre tour. Elle commença avec moi. Elle mit un gant en latex. Elle sortit mon sexe, le prit entre trois doigts et commença son affaire. Elle ne me regardait pas, ne me parlait pas, à peine jetait-elle un œil à ce qu’elle faisait. Je pensai alors à Carine pour me motiver car avec ce traitement nous n’allions nulle part. Je sentis alors ma sève s’agiter un peu mais elle ne s’y prenait pas bien. Le temps passait, elle avait d’autres rendez-vous et ma mère pouvait rentrer. Et puis Esteban devait y passer ensuite. Elle se décida subitement à me sucer un peu. Mon dieu quelle déception ! Elle s’y prenait de la même façon que pour sa branlette. Mais au moins cela me fit un peu plus d’effet. Je luis dis que j’allais bientôt venir, elle arrêta là sa fellation et me finit au-dessus du lavabo. Rapidement, quelques jets blanchâtres atterrirent dedans. Elle me nettoya vite fait, médicalement.Esteban : Elle m’appela ensuite. Elle recommença le même manège qu’avec Felipe : gant en latex, trois doigts et un silence pesant. Ce n’était vraiment pas le pied. Je m’imaginai Sylvie à la place de l’infirmière. Je l’imaginai faire ça avec beaucoup de douceur, de doigter. Cela me faisait de l’effet au niveau du sexe mais pas suffisamment pour jouir. Comme pour Felipe, à ce train-là on y aurait encore été au retour de notre mère. Elle râla un peu et m’emboucha comme elle avait emboucher Felipe. Je ressentis la même déception que lui. J’avais l’impression qu’une machine mal réglée s’occupait de mon sexe. Mais ça faisait un peu plus d’effet que ses doigts. Je sentis enfin mon sperme monter le long de ma colonne de chair. Je l’avertis et elle me vida au-dessus du lavabo. Puis elle me nettoya mécaniquement.Felipe : Elle s’en alla rapidement après ça. J’avais les couilles un peu plus vides mais mon cœur aussi était vidé. J’avais eu une certaine satisfaction physique mais il me manquait quelque chose. J’en parlai le soir avec Esteban dans notre petite chambre de HLM."Dis, Seb, ça t’a plu avec l’infirmière ?""Bof, j’ai dû penser aux filles pour arriver à jouir, Fil.""Moi c’est pareil.""Dis tu crois qu’on les reverra ?"J’aimerais bien Seb. J’aimerais bien."Esteban : Quelques jours passèrent encore. A chaque fois, elle nous proposait de nous branler vite fait, mal fait. Mais maintenant nous refusions poliment. Nous nous étions laissés aller bassement à la recherche d’une satisfaction physique primaire. Mais nous n’avions pas besoin de ça. Pas que de ça. Si nous voulions avoir du plaisir nous nous masturbions nous-même du bout des doigts avec les deux mains. Nous avions un peu galéré à trouver la bonne technique. Ce n’était pas parfait mais en pensant aux filles ça nous permettait de jouir dans de meilleurs conditions émotionnelles.Felipe : Et puis un soir tard, nous nous branlions chacun sur notre lit, cachés sous nos draps."Ça fait chier ces pansements, râla Esteban.""Dans pas longtemps on les aura plus.""Ouais mais ça fait trois jours que j’y arrive plus !""Fait voir comment tu t’y prends.""Non mais je vais pas me branler devant toi.""En temps normal, je t’aurais dit de te débrouiller tout seul. Mais à circonstances exceptionnelles, moyens exceptionnels."Esteban : J’hésitai un moment, me posant pas mal de questions. Etant jumeaux nous n’avions pas trop de pudeur l’un envers l’autre. Nous nous étions regardés quand nous avions découvert la masturbation mais c’était il y a longtemps."Et puis merde ! me dis-je."La séance de branlette me permettait de revivre plus intensément le moment passé avec Sylvie. Et ça me frustrait bien depuis trois jours que je n’y arrivais plus. Je virai le drap d’un coup et offris mon sexe à la vue de mon frère."Bon alors comment tu te débrouilles frangin ?""Putain, t’es à l’aise toi !""Bah, on s’est déjà vu tout nu.""Mais pas depuis nos douze ans !""Bon, tu restes avec ta bite molle alors ?""Tu fais chier !"Mais bon il avait raison, soit je faisais ma prude soit je jouissais en pensant à Sylvie.Felipe : Quelle prise de tête encore ! Il était chiant à toujours se prendre la tête pour un oui ou un non. Bon après, j’avouai que là ce n’était pas la même chose. Il ne bougeait toujours pas. Si jamais il ne se branlait pas vite il allait devenir invivable ! Je soupirai et passai au-dessus de mon drap. Il me regarda ébahi par mon geste."Mais tu tu...""Bah oui comme toi. Bon moi je fais comme ça."Je plaçai tous mes doigts, sauf les pouces, le long de mon sexe et commençai un lent mouvement. Il me regarda sans bouger, stupéfait sembla-t-il par mon audace."Oh, je suis pas en exhibition et t’es pas censé faire le voyeur."Ça le secoua et il fit comme moi."Oui mais je faisais ça aussi.""Après j’imagine Carine, sa peau mate, ses cheveux noirs brillants, ses seins aux auréoles sombres et aux tétons bien durs.""J’y pense à chaque fois à Sylvie.""Mais dis-le à haute voix. C’est encore mieux. Alors Sylvie, elle est comment ? Tu aimes quoi ?"Il hésita puis se lança :"J’aime sa teinte un peu rousse, j’aime sa peau comme de la porcelaine, ses tâches de rousseurs au-dessus de seins parfaits, son cul ferme et rond à la fois. Oh putain c’est bon."Esteban : Décrire Sylvie à haute voix renforçait son image et mon plaisir."Elles sont canons ! C’est vrai qu’elle avait un super cul Sylvie !"Voilà que Felipe se faisait un film sur Sylvie. J’eus une pointe de jalousie mais je n’oubliai pas que j’aurais pu faire l’amour à Carine si c’est elle qui m’avait soigné. Et c’est vrai qu’elle était pas mal aussi Carine :"Ouais, Carine elle a de super formes là où il faut.""Et elle avait une chatte bien humide et accueillante. Et la tienne alors ?"Il poussait un peu le bouchon là, mais me rappeler sa chatte me fit perdre mes dernières réserves :"Oh, elle était bien serrée autour de ma bite et bien humide. J’y ai glissé comme dans du beurre.""Ouais, ça vient, me dit-il. Et pour finir je passe ma main comme ça."Il passa sa main sur son gland, faisant tourner sa paume autour et dessus. Je fis la même chose. C’est vrai que la caresse des bandages n’était pas mal. Je sentais ma semence monter doucement mais sûrement quand il poussa un cri :"Ah aïe, ouille. Merde !"Que se passait-il ? Il avait joui et en avait mis partout ou quoi ? Je me tournai vers lui. En fait, la scène était presque comique. Le bandage s’était défait en partie et s’était enroulé autour de sa queue lui faisait comme un garrot. Il essayait de se libérer de l’autre main mais dans sa panique l’autre bandage commençait à s’enrouler aussi. Je me levai, la bite encore bien raide, pour venir l’aider. C’est qu’il était bien entortillé !"Bordel comment t’as fait ça ? Attend, bouge pas."J’essayai de faire quelque chose mais avec mes mains bandées, c’était compliqué. Je n’osai pas toucher sa bite mais il restait coincé. Je me décidai alors à y aller plus franchement car plus il s’agitait plus cela serrait le bandage autour de sa queue.Felipe : Je sentis les doigts de mon frère se démener pour me libérer. Je lui laissai la place, il ne le faisait pas exprès mais ses gestes entretenaient mon érection. Cela commençait même à me faire du bien à mesure qu’il me sortait de ce mauvais pas. Cela me troubla de ressentir un certain plaisir venant des mains d’Esteban. Je fermai les yeux et préférai imaginer que c’était Carine qui me touchait le sexe."Mmmh, soufflai-je malgré moi.""Je t’ai fait mal ?""Euh non."Il tourna son regard vers moi."Ah oh. Euh j’y suis presque.""Désolé, j’ai imaginé Carine à ta place.""Ok...ok."Esteban : "Ok, Ok." Mais j’avais bien compris qu’il avait imaginé Carine parce que ce salopard continuait de bander alors que j’essayais de le libérer. Je me rendis compte que sa bite avait même laissé échapper un peu de liquide. Bon, ce n’était pas facile de le défaire ce merdier. Mais je n’avais pas trop mal avancé. Je pensais même en avoir fini quand je tombai sur un nœud bien serré."Merde, tu as fait un nœud. Tu l’as fait exprès, c’est pas possible.""Bah, non, t’es con.""Bon je vais pas y arriver, il faudrait que je sois libre de mes mouvements. Ou des ciseaux !""Euh, je préfère pas. J’ai pas envie d’être circoncis par erreur.""Bon, j’appelle maman alors.""Non, non. C’est déjà assez bizarre comme ça.""C’est vrai. Bon je vois qu’une solution."Felipe : Il se pencha vers ma bite et tenta de défaire le nœud avec ses doigts et ses dents. Du coup sa joue frottait conte mon sexe. La vache, quelle sensation ! Je replongeai alors dans mon imagination pour mettre à la place de mon frère ma douce Carine. C’était bon de penser à elle se frottant contre ma bite, prête à la prendre en bouche pour me sucer."Oh oui Carine, suce-moi la bite, pensai-je."Je sentis d’un coup dans mon sexe un afflux de sang supplémentaire."Oh oui Carine, tu me fais du bien.""Eh, je suis pas Carine ! T’étais en train de t’imaginer Carine te sucer la bite ?""Euh oui. Tous ces frottements involontaires de ta part euh ça m’a fait de l’effet. Et euh je préférais penser que c’était Carine qui me le faisait que toi.""Euh euh, bon t’es libre maintenant.""C’était trop bon de l’imaginer me sucer. Je suis sûr qu’elle le fait bien en plus.""Ouais peut-être on n’en sait rien.""Arrête. Je suis sûr que t’as imaginé Sylvie te sucer aussi."Esteban : Là, ma bite réagit d’un coup par un léger sursaut et un redressement visible. C’est vrai que j’étais persuadé qu’elle savait y faire. Je me voyais bien me faire pomper par elle et lui déverser mon foutre dans la bouche ou sur les taches de rousseur de ses seins."Oui, j’avoue, j’y pense.""Je vais pas me sortir ça de la tête comme ça. Et puis c’est pas l’autre incapable d’infirmière qui va nous dépanner.""Ouais, elle est pas prête à garder un mec elle."Je voyais sa bite palpiter à l’évocation de la fellation que pourrait lui procurer sa copine. La mienne aussi réagissait fortement à cette possibilité, elle réclamait de se faire prendre en bouche. Et je m’aperçus que mon frère me regardait droit dans les yeux.Felipe : Je cherchais une solution dans les yeux de mon frère. Il était clair qu’il fallait qu’on se fasse sucer. Mais par qui ? Nous restions plus ou moins enfermés ici. Nous aurions pu trouver une pouf de la cité pour nous soulager rapidement dans une cave. Mais c’était un peu glauque et ça aurait été fait sans attention. Et puis on était en pleine nuit, nous n’allions pas sortir maintenant. Puis je le vis soupirer :"Bon, euh, faut qu’on fasse ça nous-même. C’est pour te soulager et te rendre service. Je suis pas homo, hein ?""Euh oui mais tu veux faire quoi exactem..."Merde, il s’était penché en avant et avait commencé à donner des coups de langue sur ma bite. Il avait fermé les yeux comme quand on a peur de faire un truc au moment où on le fait."Esteban, tu tu...""Je préfère que tu dises rien. Ferme les yeux et pense à Carine. Ça m’arrangerait."Et moi aussi du coup. Je repensai à Carine, l’imaginant faire ce que faisait Esteban à ce moment-là. Il avait fini de donner des coups de langue, sans doute avait-il commencé par ça à cause de l’appréhension qu’il avait. Il redressa ma bite et me prit en bouche. Il commença à me sucer. Il faisait ça bien mieux que l’infirmière, il savait ce que j’attendais car c’est ce qui lui manquait aussi. Je remplaçai son visage par celui de Carine dans mon esprit et je me laissai aller. Dans ma tête j’encourageai Carine :"Oh oui Carine, vas-y. C’est bon ce que tu fais. Tu me donnes bien du plaisir."Techniquement, c’était sans doute pas la meilleure pipe que j’avais eu mais elle était faite avec "amour" si je puis dire. Je prenais bien mon pied. Inconsciemment je posai ma main sur sa tête pour accompagner son mouvement."Ah Carine..."Je venais de parler tout haut ! Mais Esteban passa outre et continua. Il me pompa plus vite, sans doute avait-il compris que le moment fatidique approchait. Sans avoir le temps de le prévenir ma sève monta d’un coup le long de ma bite pour sortir comme une éruption volcanique. Mais courageusement, il continua pour me vider totalement."Carine, Carine je viens dans ta bouche. Ah ah, criai-je dans un murmure."Esteban : J’étais allé beaucoup plus loin que je le pensais. J’avais imaginé le sucer un peu pour qu’il lâche la purée rapidement sur lui mais je m’étais laissé emporter pour lui faire plaisir. Surtout quand il m’appela Carine cela me décida à faire comme si j’étais elle : pour lui offrir ce dont il avait rêvé qu’elle lui fasse. Quand le premier jet arriva dans ma bouche, je fus surpris mais j’avais décidé d’aller jusqu’au bout pour lui. Alors je le pompai jusqu’à la dernière goutte.Maintenant je cherchais un truc dans lequel cracher ce que j’avais en bouche. Mais pas le moindre mouchoir en papier, pas une compresse, que dalle ! J’avais besoin de déglutir en plus. Plus qu’une solution, et puis au point où j’en étais... J’avalai son sperme en faisait une grimace. Mais au final ça allait. Le goût n’était pas infecte, la texture pas horrible non plus. Je ne comprenais pas pourquoi certaines filles en faisaient des caisses."Merci frérot.""De rien. Je ferais pas ça tous les jours."Nous sourîmes tous les deux à l’évocation de cette vieille pub."Donc je suppose que c’est à moi de jouer...""Euh si tu veux. Je te force pas hein.""Oui, oui. Et puis je suis pas homo non plus. C’est juste pour se rendre service. Ok ?""Oui, oui. T’inquiète."Felipe : Je lui demandai de se mettre allongé sur son lit. Je ne voulais pas me mettre à genoux entre ses jambes ou un truc comme ça. Alors si nous inversions juste les positions alors c’était plus acceptable. Le temps qu’il se place, je vis qu’il avait gardé une belle érection. Il avait continué à bander en me suçant ? Merde alors, je ne connaissais pas mon frère comme ça. Je m’approchai et commençai par faire parcourir mes doigts sur sa verge tendue. Il me regarda au début puis ferma les yeux. Il devait sans doute penser à Sylvie."Mmmh, Sylvie, murmura-t-il."J’étais soulagé de cet aveu. Je continuai un peu puis je me penchai. Je dardai ma langue et vint en donner de petits coups sur le frein."Oh Sylvie, que tu me fais du bien."C’était bon, il était bien parti dans son trip avec Sylvie.Esteban : J’imaginai très bien Sylvie à la place de mon frère. J’aimais la sensation de sa langue sur mon frein. Puis il stoppa et me prit en bouche comme je l’avais fait."Ah Sylvie, tu me suces enfin. C’est bon là."C’était bon en effet, je n’avais pas la meilleure pipe du monde mais celle qu’il me fallait à cet instant précis. Bizarrement, je préférai ça à l’infirmière ou à n’importe quelle pétasse de la cité, sachant que les filles bien ne nous aurait pas fait ça juste pour nous dépanner. Felipe ne m’avait pas demandé de ne pas parler et comme il avait lui-même parlé je ne me privai pas trop."Mmmmh Sylvie, vas-y continue, continue."Comme lui je posai ma main sur la tête pour lui indiquer que je voulais qu’il aille plus vite. Il comprit le message et accéléra sa fellation."Oh oh Sylvie, je je viens dans ta bouche."Felipe : Il m’avait permis de me vider dans sa bouche, je me devais d’en faire autant. Il venait de me prévenir mais je fus quand même surpris par cette première pour moi. Le liquide chaud avait frappé mon palais et le fond de ma bouche. Je le suçai encore jusqu’à épuisement de la source. C’était un peu salé, un peu amer. Ça allait en fait. Par réflexe je cherchai un truc où cracher mais comme Esteban je dus me rendre à l’évidence : il fallait avaler. Je le fis avec un peu de difficulté, la texture un peu épaisse ne facilitait pas la chose. Je me relevai et repartis dans mon lit. Je m’aperçus que je recommençai à bander. Esteban le vit aussi mais ne dit rien. Nous ne dîmes plus rien jusqu’à ce que nous nous endormions.Esteban : Les jours suivants nous n’en parlâmes pas, puis nous fûmes libérés de nos bandages mais nous dûmes encore pendant plusieurs semaines nous passer de la crème sur les mains. Nous partîmes en vacances au bord de la mer pendant deux semaines. Cela nous permit de nous sortir de la cité et des derniers évènements. A notre retour, nous fûmes convoqués par les keufs. Ils nous dirent que suite à leur enquête il semblait bien que notre version était la bonne concernant la bagarre. Par contre il cherchait encore à savoir s’il n’y avait rien eu par la suite, plus que les filles nous soignant chez elles.Felipe : Ils n’étaient pas si cons en fait. Ils semblaient flairer quelque chose. Nous leur dîmes simplement ce que nous avions déjà dit. Nous leur redîmes également que nous avions dû nous rendre aux urgences la nuit après la bagarre donc que nous n’étions déjà pas en très grande forme. Nous omîmes de dire que c’était sans doute à cause de la partie de sexe avec les filles qu’il avait fallu y aller. Ils semblèrent gober notre version. Ils nous dirent que pour l’instant nous ne pouvions toujours pas revoir les autres protagonistes.Esteban : Nous ragions un peu d’être dans l’impossibilité de les revoir. Puis mi-aout nous fûmes informés que l’interdiction était levée, concernant les filles tout du moins. Nous retournâmes dès le jour même dans le parc et devant la maison de Carine. Mais les volets étaient clos, quelques plantes devant la maison semblaient indiquées qu’elles n’avaient pas été arrosées depuis un moment. Nous nous dîmes alors que les occupants étaient partis en vacances.Felipe : Nous revînmes plusieurs fois mais c’était tout le temps fermé. Nous nous dîmes alors que peut-être elle était partie pour de bon, trop choquée pour rester vivre ici. Nous étions un peu désespérés. Du coup quand les filles nous appelèrent dans la cour, ce fut une super surprise.
* * *


Maxime narrateur
Ils étaient allés assez loin dans les confidences, mais ils n’avaient pas parlé de ce qu’ils avaient fait ensemble. Mais l’épisode avec l’infirmière s’était déjà pas mal."Vous nous en voulez pas pour l’infirmière ? demanda Esteban."Elles ne dirent rien et les embrassèrent simplement. Cela soulagea les deux jeunes hommes."Vous êtes des gars bien, déclara Amandine.""Oui, on est contentes de voir que quelqu’un s’occupe de nos copines, ajouta Marie."Bah et nous ? Décidément elles avaient tendances à décider plein de choses sans nous."Ouais, nous aussi on est content, fit remarquer Olivier."Nous parlâmes ensuite de choses et d’autres pendant quelques minutes. Puis au détour d’une phrase, Sylvie lâcha :"... et on n’allait pas continuer à se réconforter l’une l’autre ou demander à vos mecs..."Elle stoppa net, s’apercevant qu’elle en avait peut-être trop dit. Les garçons ouvrirent d’un coup de grands yeux effarés. Et merde, nous n’étions pas supposés aller aussi loin dans les confidences aujourd’hui."Euh, Sylvie, tu tu faisais... euh avec Carine, bégaya Esteban.""Euh, non euh si."Puis elle prit une profonde inspiration :"Bon, oui. C’était en vous attendant, enfin en attendant un garçon.""Et euh Carine, tu as aussi ?""Bah oui, évidemment. Euh vous êtes pas déçus ?""Euh non, je crois pas. Disons que ça surprend un peu, dit Felipe.""Beaucoup même. Enfin c’est pas grave, non c’est pas que c’est mal ou bien. Enfin ça n’a pas d’importance enfin si, si vous vous aimiez. Enfin je sais pas si vous vous aimiez. Je veux dire...""La ferme Seb, à force de t’enfoncer tu vas trouver du pétrole, se moqua Felipe."Nous rigolâmes devant la gêne d’Esteban. Puis nous vîmes son frère ouvrir les yeux et la bouche en grand. Là, il venait sûrement de percuter la suite le bougre. Enfin, il fallait voir :"Euh, Germain tu as parlé tout à l’heure que vous aviez apporté du réconfort aux filles et toi Sylvie tu as commencé à dire de demander aux mecs des autres filles quelque chose..."Là, il était temps de stopper les révélations fracassantes pour aujourd’hui. Germain fut plus prompt que moi :"Oui, elles avaient besoin d’être un peu prises dans des bras masculins. D’ailleurs on l’avait fait le lundi après les vacances de printemps. Enfin, Max et Oliv, moi je m’étais fendu d’un petit bisou dans le cou. C’est tout."C’était bien joué de sa part, car il n’y avait presque pas de mensonge dans ce qu’il disait."Mais et vos copines étaient au courant ? demanda Esteban.""Bah oui, on était là. Et on les a remerciés d’avoir aidé moralement nos copines, leur dit Amandine.""C’était très gentil et spontané de leur part de faire ça pour elles, ajouta Marie.""Ah ok. C’est... étonnant, dit Esteban.""Ouais, surprenant. Mais bon si tout le monde est content alors. Carine, ça veut dire que si Amandine ou Marie ou Liz avait besoin d’un peu de réconfort et que je la prenais dans les bras ça te gênerais pas ?""Dans l’absolu non. Mais pour l’instant ça serait trop bizarre. Nous ça fait un an qu’on se connait bien, qu’on est amis. Vous vous venez d’arriver dans le groupe.""Oui évidemment, approuva-t-il."Bon, il était temps de conclure pour aujourd’hui sinon ils allaient finir par tout savoir. Et c’était un peu tôt pour ça, on risquait de les effrayer. C’est Esteban qui donna le signal :"Yo Fil, il est moins cinq. On avait dit au paternel qu’on rentrait pour 16h.""Ouais, c’est vrai. On se retrouve vers 18h ? demanda Felipe à Carine.""Oui, bien sûr. Chez moi ? rougit-elle.""Ok.""Sylvie, même heure chez toi ?""Euh, ok, il ne devrait y avoir personne encore. Mais attendez, vous allez pas rentrer en cinq minutes dans votre quartier !""Mais on va pas chez notre mère.""Comment ça Felipe ? demanda Carine. Vos parents habitent pas ensemble. Oh ! Ils sont divorcés ?""Oui. Mais du coup, je viens de comprendre un truc, dit Esteban.""Quoi ? demanda Sylvie.""Oh putain !"Ah, Germain avait encore percuté avant tout le monde."Votre père ? C’est le nouveau gardien ?""Bah oui. On a le même nom de famille.""Eh Esteban, tu oublies que notre père préfère qu’on prononce son nom à la française et il n’emploie généralement que le premier patronyme. Alors que nous on préfère utiliser en entier le nom de famille et le prononcer à l’espagnole. On met plus en avant nos origines."J’étais, comme tout le monde, sur le cul. Quelle bande de mou du cerveau nous faisions. Par contre, c’était clair que nous aurions des choses à leur dire et que nous avions des choses en commun déjà. Ils partirent sur ces révélations. Nous nous séparâmes rapidement aussi de notre côté.
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