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Le projet artistique

Chapitre 26

Intégration

Erotique
Le mercredi soir, ce fut le moment des confidences sur l’oreiller, chaque couple de son côté. Sylvie et Carine leur redemandèrent si ça ne leur posait pas de problème qu’elles aient eu une relation lesbienne. Ils les rassurèrent puis finirent par raconter l’épisode de la pipe mutuelle. Elles nous en firent part le lendemain. Nous étions étonnés d’une telle rapidité dans les confidences et de la confiance qu’il y avait déjà entre eux. Le vendredi, nous pûmes parler à Elisa et Paul. Ils avaient une bonne opinion des garçons du point de vue scolaire. Esteban et Felipe, parlant déjà couramment espagnol, avaient allemand en LV2. Ils semblaient participer déjà activement, se montrant intelligents, ouverts et disciplinés. Les jumeaux avaient été acceptés dans nos prépas, au vue des circonstances exceptionnelles de l’arrêt de leur scolarité. De plus ils avaient un excellent dossier et des notes du même niveau. Et enfin comme Cristian travaillait là, la décision avait été prise de leurs intégrer dans l’établissement. Esteban et Felipe avaient d’abord rouspété de perdre une année mais depuis qu’ils avaient retrouvé Carine et Sylvie, ils ne disaient plus rien.Elisa et Paul furent agréablement surpris par les différentes choses que nous avions appris d’eux. Nous leur dîmes alors que nous souhaitions leur dire plus de choses pour à terme les intégrer dans le groupe."Il faudra alors qu’ils intègrent le projet artistique, commenta Elisa.""Ça ne devrait pas être compliqué de les motiver à venir, lui dit Germain.""Oui mais normalement, vous ne pouvez être que huit dans cet atelier. Il faudra l’accord du directeur."Pour les révélations à faire, ils étaient d’accord, à condition que celles les concernant ne soient pas dites sans leur présence. Il fut donc admis de tous qu’il était nécessaire de les avoir avec nous le samedi. Elisa s’en alla voir le directeur tout de suite. Celui-ci ne fut pas étonné de sa demande, c’est elle qui le fut. Il lui expliqua qu’il connaissait assez en détail les circonstances de l’agression et le courage dont ils avaient fait preuve. Ça ne l’étonnait pas tant que ça que Sylvie et Carine les veuillent avec elles. Il était quand même content que les frères s’intègrent assez vite à un groupe plus large. En acceptant leur venue, à la demande du gardien, il avait eu des doutes à ce sujet. Mais il était rassuré maintenant. Il accepta donc la demande de notre prof.Sylvie et Carine invitèrent officiellement les frangins, ils étaient chez leur père ce week-end et comme de toute façon il continuait ses extras de videur le samedi, ça ne devrait pas poser de problèmes. Elles furent missionnées pour leur révéler en tête-à-tête et pas après une partie de jambes en l’air la fois où on les avait baisées pour les soulager. Si le samedi, ils venaient quand même à la fête et toujours amoureux des deux filles alors ça voulait dire qu’on pouvait aller encore plus loin dans leur intégration dans le groupe. Mais il faudrait faire les choses par étapes. Nous nous dîmes que nous allions d’abord leur parler que de nous, sans Paul et Elisa. S’ils ne faisaient pas de problèmes alors nous pourrions tout leur dire. Paul et Elisa ne devraient arriver que pour 14h pour nous laisser le temps de faire nos révélations."Mais, il y a le pacte entre nous. Le papier et la cassette qui nous lient, nous rappela Elisa. Eux sont en dehors.""Mais on en a encore besoin ? demanda Liz."Il y eut un blanc puis Paul nous dit :"Non. Je pense que non. Pour moi, nous sommes bien au-delà de ça."C’était une sacrée preuve de confiance qu’il nous faisait là."Bon, poursuivit-il, Esteban et Felipe ont l’air de gars bien. Mais je serais plus en confiance si on avait quelque chose pour les lier à nous. On ne les connait pas assez."Nous réfléchîmes un instant puis Olivier proposa une première chose :"Bah, il y a la soumission de Caroline à Cristian. Si la direction savait ça, il perdrait gros le gardien. Il risquerait pas la prison puisqu’elle était majeure. C’est un peu moyen d’utiliser ça pour les contraindre mais j’ai pas mieux."Ce n’était pas mal quand même. Mais c’est vrai que leur père n’avait rien fait de mal ou en tout cas n’avait peut-être pas à subir les conséquences d’un mauvais comportement de ses fils. Et puis Marie trouva la meilleure contrainte ou épée de Damoclès :"En fait, il y a mieux. Sylvie et Carine vous avez toujours les culottes de votre première fois avec eux ?""Oui.""Oui. Pourquoi ?""Bon ça va pas vous plaire mais ce serait de les utiliser comme pièce à conviction pour les accuser de viol sur vous.""Non mais ça va pas ? hurla Sylvie.""Tu rigoles j’espère !""Non, je suis sérieuse. Après, le but n’est pas d’utiliser ça. Mais de le garder en menace s’ils révéleraient nos secrets."Elles se calmèrent un peu mais restèrent tendues.
"Non mais quand même. On va pas les menacer comme ça ? Ils vont nous en vouloir, argua Carine.""Oui Kiki. En fait il faut que ce soit nous qui le fassions, leur dis-je. Ce soir parmi les révélations que vous ferez; parlez-leur des culottes gardées en souvenir de votre première fois. Samedi, s’ils sont futés comme ils en ont l’air, ils pourraient en venir à cette option par eux-mêmes."

* * *


Le samedi arriva, nous nous pointâmes un peu avant 13h : Liz, Olivier, Amadine, Sylvie, Carine et moi. Germain était déjà là depuis midi. On le vit discuter avec le père de Marie devant le barbecue. Celui-ci lui expliquait le fonctionnement de ce barbecue au gaz. C’était un homme assez corpulent, assez grand tout le contraire de Marie. On aperçut rapidement sa mère qui était plus dans le même format que sa fille. Ils virent que nous n’avions pas amené d’alcool ou autre chose et que nous avions avec nous des notes, des documents concernant l’atelier. Ils furent rassurés par notre "sérieux". Ils nous dirent en partant de prendre le temps de profiter de la piscine car c’était quand même le week-end. Nous avions apporté nos maillots de bain et des serviettes. Nous avions prévu de profiter un peu, beaucoup de la piscine. Les parents partis on allait être tranquille. Marie avait une sœur et deux frères tous plus âgés qu’elle. C’était la petite dernière, la seule qui restait à la maison, les autres travaillant déjà ou faisant des études assez loin.Vers 13h15, nous vîmes Sylvie et Carine s’inquiéter de ne pas voir arriver leurs amoureux. Elles allaient sans cesse vers le devant de la maison pour voir s’ils arrivaient. Elles semblaient perdre espoir quand la sonnette de l’interphone retentit vers 13h20. Marie alla décrocher et ouvrit le portillon. C’était eux qui arrivaient enfin. Ils étaient chargés de bouteilles de soda et de deux grosses tartes tropéziennes achetées en supermarché."Désolé du retard, on a dû donné un coup de main à notre père, dit Esteban.""Et en chemin on s’est dit qu’on allait pas arriver les mains vides."C’était super sympa de leur part. Nous ne leurs avions rien demandé en les invitant. Ils s’étaient d’eux-mêmes sentis obligés de venir avec quelque chose. Ils posèrent les victuailles sur la table avec les autres. Marie prit les gâteaux pour les mettre au frais. Une fois qu’ils eurent les mains libres Sylvie et Carine s’approchèrent d’eux. La tension venait de monter d’un cran. Comment allaient-ils réagir ? Ils étaient venus, c’étaient déjà bon signe et ils semblaient de bonne humeur. Mais bon, ça pouvait encore basculer."Tu es venu ? Tu m’aimes toujours ? demanda pleine d’espoir Sylvie."Esteban la regarda puis lui sourit :"Bien sûr."Et il l’embrassa. Carine ne disait rien, elle avait simplement planté ses yeux dans ceux de Felipe. Il lui sourit aussi et l’embrassa."je t’aime. Rassure-toi, lui dit-il."Elles se serrèrent tout contre eux comme pour être sûres qu’ils n’allaient pas s’enfuir."Mais hier, tu es parti..., commença Sylvie.""Il m’a fallu un peu de temps pour encaisser la nouvelle. C’est vrai vous avez vraiment fait ça ? nous demanda Esteban.""Oui, répondit Marie. Et je n’hésiterai pas une seconde à demander à Germain s’il voudrait bien réconforter Sylvie, Carine, Amandine ou Liz."Nous approuvâmes ses dires en hochant la tête."Mais pourquoi vous nous dites ça ? demanda Felipe.""Les filles sont tellement heureuses grâce à vous, qu’on a envie de vous intégrer complètement dans le groupe, leur confia Liz.""Oh c’est sympa. Nous qui avions peur d’avoir du mal à nous intégrer dans ce lycée.""Seb a raison, nous les petits gars de la cité, on ne pensait pas être aussi bien accueillis. Après c’est sûr que comme on est avec Sylvie et Carine ça vous incite à nous intégrer.""Oui c’est sûr, mais il n’y a pas que ça. Depuis le début de la semaine on vous observe et on trouve que vous êtes plutôt cools, gentils, intelligents et honnêtes, les complimenta Amandine."Ils rougirent un peu."Et puis, on est certain que même si vous n’aviez pas sauvé les filles. Vous auriez fini ensemble tellement vous êtes fait les uns pour les autres, lança Germain depuis le barbecue.""C’est vrai Esteban. Je t’aime, pas seulement parce que tu m’as sauvé. Je t’aime pour tout ce que tu es.""Felipe, je t’aime tout simplement et entièrement."Ils rougirent de plus belle et leurs yeux s’embuèrent un peu."Moi aussi je t’aime, dirent-ils tous les deux.""Enfin on pense que vous nous ressemblez aussi énormément. Vous vous êtes sucés l’un l’autre comme il nous est arrivé de le faire entre garçons, leur dis-je."Ils se crispèrent en apprenant que nous savions ça."Mais tu leur as dit ? s’étrangla presque Felipe.""Avant de vous fâcher contre elles. Comprenez bien qu’on veut vous intégrer dans le groupe, ici on se dit tout. Et on voudrait vous expliquer pourquoi, comment on en est venu là, leur dit Olivier.""S’il te plait Esteban. Ecoute-nous, le pria Sylvie.""Felipe, reste, écoute, comprend.""Euh, euh, Esteban ?""Oh, euh, bah. Je reste.""Moi aussi. Je veux vous écouter."Germain déposa sur la table un plat de grillades et s’assit avec nous."Va falloir être brefs, concis et efficaces. Il est déjà 13h30, nous dit-il en piquant une saucisse avec sa fourchette."Nous commençâmes notre récit. Nous parlâmes de ma rencontre avec Amandine et comment les autres nous avaient surpris à nous masturber. Nous parlâmes des couples qui s’étaient formés par la suite et du rapprochement un peu forcé des filles. Nous leur décrivîmes la punition qu’elles nous avaient fait subir, sans rentrer trop dans le détail des raisons qui y avaient mené. Nous poursuivîmes avec la punition qu’elles avaient enduré à leur tour, de l’entraînement que nous avions eu aux amours bucco-génitaux. Nous parlâmes aussi du traquenard tendu à l’ancien gardien. Nous leur révélâmes enfin la vengeance contre Caroline après la blessure de Marie. Bien sûr aucune mention ne fut faite de Paul et d’Elisa. Du coup ça faisait des trous et des incohérences."Voilà, vous nous avez écouté. Alors ? demandai-je.""Eh bien, vous nous faites vachement confiance pour nous dire tout ça.""Ouais Felipe a raison. Vous imaginez si on racontait tout ça ?""Oui. En tout cas, merci d’avoir piégé l’ancien gardien. Sans ça notre père n’aurait pas trouvé un bon taf comme celui-là. Même si pour lui ça n’a pas été simple tous les jours."Cool, ils en venaient d’eux-mêmes là."De rien, mais en quelque sorte votre père nous doit encore autre chose, leur dit Marie."Ils froncèrent des sourcils, cherchant à comprendre. Elle leur raconta alors les "excuses" de Caroline à leur père."Ah, je comprends mieux pourquoi d’un coup il semblait aller mieux, dit Esteban.""Oui. On le voyait parfois triste et morose à l’idée d’aller travailler alors qu’au départ il était super content d’avoir trouvé ce job.""Bah, on ne savait pas trop ce qui se passait. On se posait des questions. Vous vous êtes vraiment senti si outrés que vous avez décidé de lui offrir une sorte de... pas récompense. Euh, Felipe ?""Compensation ? Indemnité ? Vengeance ? Je vois pas trop le bon terme."Ils restèrent pensifs un moment puis Felipe s’exclama :"Oh, c’est pour ça ? C’est pour ça que vous avez raconté tout ça. Ils vous suffiraient de raconter l’épisode entre Caroline et le paternel pour qu’il perde la place.""C’est clair. Il risquerait pas la taule car elle est majeure et elle était consentante mais ça le fait pas de niquer une élève même majeure.""En effet, on pourrait mais on ne le fera pas. On pense que vous n’irez pas raconter nos petits secrets en dehors, leur confia Liz.""Alors, comment ça va après ces révélations ? demanda Olivier.""Euh, bah. Je sais pas trop.""Euh pareil. Merci déjà de nous faire confiance et de vouloir nous intégrer. Mais euh...""Vous inquiétez pas. On va pas vous demander de participer. On ne fera rien de bizarre devant vous si vous ne le voulez pas, les rassura Amandine."Ils se détendirent un peu. Je crois qu’ils avaient eu peur qu’on veuille les bizuter. Nous continuâmes de manger avec un bon appétit, ces révélations avaient creusé les estomacs. Nous les laissâmes ainsi digérer un peu les choses. Puis les filles posèrent une main sur leurs cuisses."Vous nous aimez toujours ?"Cela les sortit de leurs pensées comme la sonnerie d’un réveil un dimanche matin après une soirée arrosée."Ah, hein ? Oh, pardon. Oui sans nul doute. Je t’aime Carine.""Oui moi aussi je t’aime Sylvie.""Ca ne vous dérange pas ce qu’on vous a raconté, poursuivit Carine.""Ca devrait mais non. En fait, je vous envie un peu. Tout semble naturel, bienveillant et fait avec un lien d’amitié très fort.""Plus que de l’amitié Felipe. Y a de l’amour entre eux. Et ça donne envie d’en avoir une petite part aussi. Après c’est clair que pour l’instant ça me dérangerait que, enfin vous voyez quoi.""T’inquiète mon chéri. Mais ça me rassure ce que vous dites. Je vous trouvais bien renfermés sur vous-mêmes. J’avais peur que cela vous avait choqué.""Non, c’est pas pour ça. Mais j’ai repensé à votre récit. Et j’ai l’impression qu’il y a des trous ou des incohérences. Par exemple je vois pas pourquoi vous avez soudainement décidé de tendre un piège à l’ancien gardien.""Oui. Ou pour quelle raison les filles et les garçons ont été puni. Ou encore votre entraînement au cunni et à la pipe. Vous vous êtes pas lancés comme ça quand même."Ah bah, c’est qu’ils étaient futés en effet nos nouveaux amis. Il allait falloir finir de révéler des choses. Nous entendîmes quelques minutes plus tard la sonnerie de l’interphone. Marie alla décrocher :"Ah c’est vous.... Oui...oui toujours...non pas vous évidemment...bah du coup on vous attendait...je vous ouvre."On entendit la porte d’entrée s’ouvrir, on ne la voyait pas de la terrasse où nous étions. On entendit deux smacks puis des pas approcher. Marie avait fait des smacks sur la bouche ou des simples bises sur la joue à Paul et Elisa ? Felipe et Esteban étaient replongés dans leurs réflexions, ils se balançaient sur leurs chaises. Quand ils virent Paul et Elisa arriver sur la terrasse ils ouvrirent des yeux bien ronds, une bouche grande ouverture puis basculèrent en arrière dans un joli mouvement synchronisé. Heureusement pour eux ils atterrirent dans l’herbe mais cela fit rire tout le monde dès qu’on comprit qu’ils n’avaient rien."Ah, tu vois ma chérie. Toi qui ne me crois pas quand je te dis que tu es d’une beauté renversante. Ah, ah, ah, se moqua Paul.""Tu n’es pas gentil Paul. Je crois qu’ils ont eu trop d’émotions à encaisser."Sylvie et Carine les avaient aidés à se relever. Paul et Elisa nous firent la bise pour nous dire bonjour, une simple bise."Je crois que votre arrivée leur a fait un choc de révélation, commenta Germain.""Oui, je crois que là, ça les a mis KO, renchérit Olivier."On les laissa se rasseoir puis ce furent eux qui prirent la parole."En fait madame, quand on vous a vu. Il y a effectivement des choses qui nous sont apparues très clairement, commença Felipe.""Oui, c’est vous qui êtes en charge de l’atelier cinéma dans lequel ils sont tous. Mais avec monsieur T je vois pas trop le rapport.""Esteban, Felipe, je crois qu’on va maintenant vous fournir la vérité complète, leur dit Elisa."C’est ce que nous fîmes, nous reprîmes notre récit précédent en le complétant avec les fois où Paul et Elisa étaient intervenus. Ce fut Elisa qui se chargea de raconter les épisodes en RDA, avec l’aide de Paul pour leur première rencontre. Je vis que Felipe et Esteban furent touchés comme nous l’avions été la première fois par leur rencontre et leur coup de foudre. Nous n’omîmes rien mais nous ne rentrâmes pas trop dans les détails, les frasques de Gitta avec ses italiens, le détail des tournages furent zappés. Il fallut quand même presque une heure pour tout dire. Nous mangeâmes les gâteaux qu’ils avaient apporté pendant ce nouveau récit."Voilà, vous savez tout, conclus-je.""Madame T vous...""Tututut Esteban. Comme nous sommes réunis en privé ou en atelier c’est Paul et Elisa et vous nous tutoyer. D’ailleurs vous serez, si vous le voulez, intégrez à l’atelier artistique avec le groupe. Mais en cours nous reprenons notre rôle de professeur. Ici nous sommes amis. D’accord ?""Euh d’accord.""D’accord. Donc Elisa vous euh tu connais aussi ce que nous avons fait avec Felipe ? Je veux dire enfin...""Oui. Oui sauf si vous avez parlé d’autre chose depuis que vous êtes là...""Euh non. Mais mais vous nous faites quand même sacrément confiance.""Esteban a raison. Il y a ce pacte entre vous qui vous lie, cette lettre et cette vidéo je veux dire, plus en quelque sorte le piégeage de l’ancien gardien. Mais vous n’avez pas de contrainte sur nous. Enfin à part le truc sur notre père. Mais c’est pas du même niveau.""En fait vous pensez qu’il y a quelque chose qui peut nous contraindre plus que ça...""Oui, je ne serais pas venu faire toutes ces révélations sans une assurance. Vous semblez être de bons garçons mais je ne vous connais pas assez, leur dit Paul.""Mais qu’est ce qui pourrait bien avoir assez de poids ? poursuivit Felipe. Je ne vois pas. Vous allez pas nous demander de faire une vidéo aussi ? Non on serait pas sur la même donc il n’y a pas trop d’intérêt.""Non, ça doit déjà exister. Ca pourrait venir de la première fois peut-être. Pas l’agression en elle-même. Des témoins ont confirmé plus ou moins notre version et vous aussi les filles.""Oui, le seul truc que les keufs savent pas c’est... Les culottes !""Quelles culottes ? De quoi tu p... Vous pourriez utiliser les culottes que les filles ont conservé pour prétendre à un viol ou une agression sexuelle !"Vraiment, ils étaient futés et le fait qu’ils en viennent là par eux-mêmes nous évitait de passer pour des maîtres-chanteur. Bon maintenant, il fallait les rassurer vite avant qu’ils pètent un câble."On pourrait en effet. Mais on ne le fera pas, leur dit Elisa. Tenez, dit-elle en leur tendant deux cassettes vidéo qu’elle venait de tirer de son sac."Sylvie et Carine sortirent également un petit sac (genre sac de congélation) dans lequel se trouvait la fameuse culotte. Elles les donnèrent à Elisa."Vous avez maintenant une cassette comme tout le monde. Et nous nous avons les culottes. En tant que professeurs nous risquions le plus, et c’est toujours le cas, et avec ceci vous êtes au même niveau que Paul et moi."Ils tournèrent les cassettes dans leurs mains puis les posèrent devant eux. Nous étions tous tendus, qu’allaient-ils dire maintenant ? Sylvie et Carine avaient pali et attendaient désespérément un mot de leur part. Les jumeaux se regardèrent sans rien dire puis firent un petit signe de tête."On prendrait bien un café après toutes ces émotions, nous annonça tout simplement Felipe.""Oui, ça fera du bien à tout le monde, renchérit son frère.""Esteban, ça ça veut dire que...""Oui Sylvie. Je reste, je t’aime.""Fe...Felipe ?""Oui Carine. Je reste aussi. Je reste avec toi."Elles se jetèrent alors à leurs cous et les embrassèrent. Nous fûmes tous soulagés. Nous n’avions rien imaginé s’ils décidaient de partir, de tout révéler quand même. Nous avions pris un gros risque, nous étions récompensés. Les filles partirent faire le café toutes ensemble. Six pour faire du café, c’était beaucoup mais surtout le prétexte à papoter entre femmes. Les hommes nettoyèrent et débarrassèrent la table tout en discutant aussi.
* * *


Pendant le café, ils nous demandèrent plus d’information sur le projet artistique qui était en cours. Ils furent vraiment intéressés et firent quelques remarques pertinentes. Nous étions tellement dedans que nous n’avions pas vu certains moments flous ou pas assez mis en valeur. Ils apportaient un œil extérieur et neuf sur notre travail. Même Elisa n’avait pas remarqué certains défauts. Il était 15h30, il commençait à faire très chaud. Cela devenait difficile de se concentrer sur ce travail. Marie nous proposa donc :"Bon, on n’est pas venu là que pour faire des révélations tonitruantes et pour travailler. Ca vous dirait de piquer une tête ?""Ah oui, j’en peux plus, déclara Amandine.""Oui moi aussi, je me liquéfie sur place, ajouta Olivier.""Euh, on n’a pas de maillot. On savait pas qu’il y avait une piscine.""On n’y a pas pensé. Désolée. On vous a invité un peu au dernier moment alors on a zappé ça, avoua Carine.""C’est pas grave. On va vous trouver un maillot. Venez avec moi."Les jumeaux suivirent Marie. Elle les emmena dans la buanderie où étaient étendus des maillots de bain fraichement lavés."Euh par contre, je me rends compte que vous êtes quand même plus fins que mon père ou mes frères. Ça risque de tailler un peu grand.""Bah, y a des cordons à la taille, on les serrera bien. Ça devrait aller.""Cool. Je vous laisse. Traînez pas trop."Marie revint vers nous. Elle fit voler son t-shirt et son short, elle était déjà en maillot en-dessous. Nous l’étions tous d’ailleurs, les garçons étaient venus en short de bain, sauf Paul qui arborait un boxer de bain aux motifs très années 80. Les filles portaient sous leurs vêtements (short et t-shirt ou robe d’été) leurs maillots une pièce comme c’était à la mode à l’époque. Seule Elisa en était restée au bikini qui comme le maillot de son mari avait des motifs années 80. L’eau faisait du bien, elle nous rafraichissait agréablement. Puis Esteban et Felipe revinrent. Les maillots étaient visiblement trop grands pour eux. Ca leur donnaient une allure marrante. Sylvie et Carine se moquèrent un peu d’eux. Ils sautèrent dans l’eau et partirent à leur poursuite. Ils n’eurent pas de mal à les rattraper à leur faire boire la tasse. Elles ressortirent la tête de l’eau alors que les deux garçons rigolaient d’elles."Vous allez nous le payer ! rugit Sylvie avec le sourire.""Ça va vous coûter cher !"Elles se lancèrent à l’assaut des garçons mais ils étaient un peu plus rapides qu’elles. Elles n’abandonnèrent pas et continuèrent la poursuite. Néanmoins elles devaient se rendre à l’évidence, elles n’allaient pas y arriver. Tout le monde dans l’eau ou sur le bord les encourageait."Eh, les filles venez nous aider au lieu de vous marrer ! cria Carine.""Un peu de solidarité féminine. Bon sang !"Le groupe des cinq tigresses se reforma, auquel s’ajouta Elisa avec empressement. A six contre deux, ils n’avaient aucune chance. Felipe fut le premier attrapé et coulé pour de bon. Esteban tenta bien de leur échapper mais il fut coincé dans un coin et se retrouva au fond de la piscine. De notre côté, nous huâmes les jeunes femmes pour leur côté mauvaises joueuses. Elles se retournèrent alors contre nous et nous firent boire la tasse, un par un. Il fut évident que cela devait se payer et celles qui n’avait pas encore fait un tour sous l’eau furent chassées et coulées. Tout le monde riait, jouait sans retenue comme si on était tous une bande de gamins se connaissant depuis longtemps. Puis Marie nous proposa un petit jeu, chaque fille monterait sur les épaules de son copain/mari et on formerait deux équipes de trois couples. Le but étant de faire tomber tous les attelages adverses mais seules les filles auraient le droit de pousser, les garçons ne servant que de monture. Les deux équipes furent former : Carine/Felipe, Marie/Germain, Amandine/Maxime en face de Sylvie/Esteban, Liz/Olivier, Elisa/Paul. Le combat commença joyeusement. Liz et Olivier partirent rapidement à l’eau sous l’assaut de Marie. Nous ne tînmes pas beaucoup plus longtemps avec Amandine. Les jumeaux et leurs cavalières résistèrent un peu mieux mais ils durent plier sous Marie/Germain et Elisa/Paul. Les profs étaient plus vieux et un peu plus lourds; cela donnait un bon avantage dans ce jeu. Mais les sportifs comme Marie et Germain avaient la capacité de résister et de retourner plus lourds qu’eux. L’affrontement dura un moment. Chaque couple semblant prendre le dessus sur l’autre mais sans réussir à concrétiser son avantage. Puis grâce à une esquive de Germain et une bonne poussette de Marie, Elisa et Paul se retrouvèrent à l’eau. Ils nous gratifièrent alors d’une petite danse de la victoire.Nous jouâmes encore un peu puis chacun alla s’allonger sur des serviettes ou des chaises longues. Une fois sèches, les filles se passèrent de la crème solaire. Puis elles demandèrent à leur homme de leur en mettre dans le dos. On avait là, six hommes qui enduisaient de crème solaire le dos de leurs compagnes. Je ne voyais pas le visage d’Amandine, mais pour celles que je voyais elles semblaient apprécier ce moment calme et tendre. Je vis Elisa, allongé sur le ventre, défaire l’attache de son haut pour permettre à Paul de passer la crème plus facilement. Amandine releva la tête un peu pour mieux voir, je vis que Carine et Liz en firent autant."Euh, Elisa. Je peux te demander quelque chose ? s’enquit Amandine.""Mais bien sûr.""Euh je vois que tu n’as pas de marque de bronzage dans le dos. Tu détaches à chaque fois ton haut quand tu es sur le ventre ?""Oui Amandine. Et pas seulement quand je suis sur le ventre.""Oh, tu fais du topless sur la plage ? demanda Marie qui comme tout le monde avait tourné la tête vers Elisa.""Oui. J’ai horreur d’avoir des marques de bronzage. C’est pour ça que je reste fidèle au bikini déjà. Quand je ne peux ou ne veux pas faire du topless, ça me permet d’exposer plus mon corps au soleil. Et puis avec les une pièce comme vous toute une partie du corps reste toute blanche."Les filles regardèrent d’un œil nouveau leurs maillots de bain. Elisa rattacha son maillot et s’allongea sur le dos."Et aujourd’hui, tu ne veux pas faire de topless alors ? demanda Sylvie.""Eh bien, on est pas loin de chez nous, je n’ai pas envie qu’on me voit les seins. Il y a des voisins autour.""Ne t’en fait pas pour ça. Personne ne peut voir la partie piscine."En effet, les maisons étaient tournées de telle sorte qu’aucune fenêtre ne donnait par là et un mur d’enceinte bordait la propriété et empêchait quelqu’un faisant moins de deux mètres de voir. Elisa s’en aperçut mais hésitait encore un peu :"Euh, si ça vous gêne pas. Peut-être que... mais Esteban et Felipe vont peut-être se sentirent gênés.""Ne v... ne t’en fais pas pour nous. C’est comme si on était à la plage, lui dit Felipe.""Bon, euh, je ne sais pas.""Fais pas ta mijaurée ma chérie. Je sais que tu préfères te sentir libre comme ça, lui dit son mari.""Oui mais je vais être la seule à le faire...""En fait, j’essayerais bien moi aussi, nous dit Marie. Je sais qu’ici personne ne m’embêtera pour ça et c’est l’occasion, non ? Vous en dites quoi les filles ?""Euh, je sais pas trop, lui répondit Sylvie. Esteban ça te dérangerait peut-être que les autres voient mes seins.""Bah, ils en ont vu beaucoup plus. Et tu es libre de faire ce que tu as envie."Je croisai les doigts mentalement en espérant un miracle."Si vous le faites je le fais aussi.""Yes ! criai-je dans ma tête."Amandine suivait le mouvement."Bon tu as raison, approuva finalement Sylvie."Ne restaient plus que Liz et Carine qui n’avaient rien dit. Je voyais Felipe et Olivier se mordre les lèvres en espérant qu’elles participent à cette séance topless."Mais avec un une pièce on fait comment ? demanda Liz.""Bah, tu enlèves les bretelles pour celles qui en ont et tu le roules jusqu’aux hanches, lui rétorqua Sylvie.""Ah, bah je suis bête. Allez zou, je vous accompagne.""Bon, Elisa était gênée d’être la seule à faire du topless. Je vais me sentir gênée d’être la seule à garder ma poitrine couverte. Et puis pour une fois que j’ai pas les parents sur le dos."Olivier et Felipe serrèrent le poing comme s’ils venaient de marquer un but. On allait profiter de la vue de six paires de seins !"Je ne veux pas que vous vous sentiez obligées les filles, se défendit Elisa. Je vais peut-être garder mon haut après tout."Je vis le visage des hommes se décomposer, Paul y compris. Je pense que le mien était pareil à cet instant. Mais Marie la corrigea :"Tu ne nous obliges en rien. Tu es une source d’inspiration pour nous."Les filles approuvèrent énergiquement, Elisa rougit sous le compliment."Et puis ça sera sans doute la seule occasion de le faire avant des mois, rappela Sylvie.""Bon et puis zut. Allez hop !"Elisa enleva prestement son haut, laissant apparaître sa belle poitrine. Je n’en perdis pas une miette, aucun male présent n’en perdit une miette. Puis les autres jeunes femmes roulèrent leurs une pièce jusqu’à leurs hanches pour mettre à l’air libre leurs jolis seins. Je profitais régulièrement de ceux d’Amandine mais ça faisait plusieurs mois que je n’avais pas vu les autres nues. Paul, Olivier et Germain en profitaient également pour se remettre en mémoire la plastique des autres filles. Quant à Esteban et Felipe ils ouvraient grand les yeux pour profiter du spectacle offert."Par contre mesdemoiselles. Il faut bien se protéger cette partie, il ne faut pas hésiter à mettre de la crème, bien plus qu’ailleurs. Et mettez-en sur le ventre vu que vous êtes toutes blanches ici. Paul mon chéri, au lieu de mater ces demoiselles veux-tu bien me passer la crème ?""Euh, oui, euh bien sûr.""Max... Max coucou !""Oui, Am ?""Tu me mets la crème s’il te plait ?""Euh oui.""Mets-toi là s’il te plait. Tu me caches le soleil."Elle me fit changer de place, me faisant presque tourner le dos aux autres. Je jetais un coup d’œil derrière, tous les autres étaient tournés vers leurs compagnes. Et pour certains ils appliquaient déjà la crème. Je commençai également mon travail. Mais était-ce un travail ou un plaisir ? Un plaisir évidemment. Je mis de la crème dans ma main et appliquai la protection sur ses seins. Tout de suite elle ferma les yeux et entrouvrit la bouche; je bandai aussitôt tant pour le fait de toucher ses seins que pour le plaisir qu’elle manifestait. J’entendis quelques murmures dans mon dos. Je voulus me retourner mais Amandine me rappela à l’ordre :"Occupe-toi de moi."Je me résignai sans trop de frustration et continuai mon badigeonnage. Amandine avait rouvert les yeux et regardait un peu dans le vide, un peu moi, un peu les autres. Elle posa nonchalamment sa main sur ma cuisse. Elle la fit remonter jusque sous mon short de bain et vint tâter mon membre. J’émis un léger gémissement de satisfaction mais je m’inquiétai aussi :"Am, tu fais quoi ? lui murmurai-je. On va nous voir. Et puis il y a les frangins.""Tu veux que j’arrête ? me demanda-t-elle en accentuant sa caresse."Mon centre de décision passa en une fraction de seconde de mon cerveau à ma bite."Non, continue, réclamai-je."J’entendis quelques chuchotements discrets derrière moi. Je voulus me retourner mais une nouvelle fois ma copine me rappela à l’ordre :"Si tu te retournes. J’arrête et tu arrêtes aussi."Je me rendis à l’évidence, elle contrôlait la situation, elle me contrôlait aussi. Je rendis les armes et obéis. Elle esquissa un sourire puis d’un geste habile elle libéra mon sexe de la doublure intérieure pour le déployer le long de ma cuisse. C’était discret, elle seule pouvait le voir. Elle reprit sa caresse sur mon membre, une caresse lente et délicate. Elle me demanda aussi de ne pas oublier son ventre. Je dus abandonner ses seins malgré moi. La crème avait pénétré dans sa peau depuis un moment déjà mais je continuai à la caresser. Elle plongeait ses yeux dans les miens ou les tournaient de côté. Je voulus descendre ma main dans son maillot pour lui prodiguer aussi ne caresse intime mais elle m’arrêta."Non, tu es plein de crème. Contente toi du haut."Je dus me limiter à son ventre et ses seins. Cela me frustra mais augmenta aussi mon désir et mon plaisir. J’entendais de temps un murmure ou un soupir venant des autres couples. Mais sans savoir d’où il venait. Si Amandine m’avait interdit l’accès à sa chatte, elle ne se priva pas de passer une main sous son maillot. Je vis celle-ci commencer à s’agiter sous le tissu humide. Humide de la piscine ou d’autre chose ? Probablement des deux. Elle allait me faire jouir et se faire jouir secrètement alors que les autres couples étaient tout proche ? Mais en faisaient-ils autant ? J’aurais voulu me retourner et voir. Mais j’en avais l’interdiction. Elle accéléra un peu sa propre masturbation tout en laissant la mienne au ralenti. Les soupirs dans mon dos se multipliaient mais ils étaient tous féminins. Est-ce qu’elles les torturaient de la même façon ? Je commençai à le croire alors que ma propre frustration augmentait.Amandine, au bord de la jouissance, ne me regardait presque plus mais avait tourné son regard vers les autres femmes. Cherchaient-elles à jouir en même temps ? Que manigançaient-elles ? Enfin, c’étaient les questions que j’aurais dû me poser à ce moment-là si mon cerveau avait eu le contrôle de la situation. Là, je n’avais qu’un objectif en tête jouir sous ses doigts. Mais elle me maintenait dans un état d’excitation sans pour autant me faire jouir. Et puis, elle cligna des yeux, elle récupéra au bout de son doigt une goutte qui perlait à mon méat. Elle se servit de ce doigt pour me caresser le frein doucement. Elle ne me faisait plus que ça ! Alors que j’aurais voulu qu’elle me suce ou me branle franchement ou même la baiser. Dans son maillot sa main s’activait à toute vitesse, son doigt commença à se caler sur ce même rythme. Dans mon dos, il y avait toujours des soupirs et des gémissements étouffés, de plus en plus nombreux, et plus seulement féminins. Et puis je commençai à entendre des orgasmes discrets, des cris murmurés, des jouissances presque inaudibles tant masculines que féminines. Amandine se cabra discrètement et se mordit la lèvre. Elle jouissait sans un bruit. Cela déclencha mon propre orgasme et je n’émis qu’un léger soupir libérateur. Il y eut encore deux ou trois extases chuchotées puis le silence revint totalement."Va plonger une tête à la piscine, ça te nettoiera un peu mon chéri, me dit Amandine en m’embrassant fugacement.""C’est tout ?""Oui, c’est tout. Allez ouste ! rit-elle en me renvoyant."Je me rendis dans l’eau; cela rinça un peu les traces de ma jouissance et calmèrent mes dernières ardeurs. Tous les autres hommes se joignirent à moi. Je recomptai rapidement le nombre de jouissance que j’avais entendu, avec celle d’Amandine et la mienne j’arrivai à dix et pas à douze. Qui n’avait pas joui ou même pas eu d’attouchements ? Je voyais les autres se regarder et réfléchir. Tous étaient perplexes. J’interrogeai du regard Olivier et Germain. Ils me firent "Oui" de la tête. Au tour de Paul, il fit "Oui" également. Restaient Felipe et Esteban, ils étaient pensifs. Ils nous observaient également. Je me décidai à parler doucement :"Esteban, Felipe, nos copines nous ont...euh. Vous aussi ?"Ils hochèrent la tête."Ça va ? Ça vous a pas gêné alors qu’on était là..., demanda Olivier.""Non, bizarrement. Et puis on avait déjà senti quelques mains baladeuses dans la piscine toute à l’heure quand elles nous ont coulés. On a pensé que c’étaient Sylvie et Carine.""Mais maintenant je ne sais pas, ajouta Felipe. Et puis après, profiter de la vue de tous ces nichons pour ensuite caresser ceux de nos copines...""Tout s’est enchaîné parfaitement pour qu’on se sente à l’aise et qu’on oublie le contexte."Je me retournai vers les filles allongées au soleil."Dites, vous avez pas l’impression qu’on s’est fait manipuler par nos nanas ?""Ça paraît évident maintenant. J’aurais dû m’en rendre compte mais ma cervelle était en Off, se lamenta Germain.""Ouais, nos capacités étaient beaucoup plus bas, confirma Olivier.""Je crois que ces dames ont besoin d’un petit rappel à l’ordre, nous dit Paul."Nous acquiesçâmes tous, les frangins y compris. J’eus plein d’idées de punitions qui me vinrent en tête mais la plupart allaient sûrement trop loin pour les jumeaux. Paul proposa la meilleure chose à faire :"Le mieux, c’est que vous trouviez un gage à leur donner, dit-il en s’adressant aux frères."Le terme gage était bien trouvé car il couvrait toute la gamme : du gage amusant à la punition sexy."On a bien une idée si vous êtes d’accords, on voudrait..."
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