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Le projet artistique

Chapitre 28

Nuit et jour

Hétéro
Maxime narrateur
Amandine venait de s’endormir sur moi lorsque j’entendis des pas dans le couloir et des ricanements étouffés. J’entendis également des portes grincer avant que la nôtre ne soit un peu poussée à son tour. Carine et Felipe entrèrent doucement, ils étaient à la recherche d’une place libre :"Ah mince ! C’est qui là ? chuchota Carine.""C’est moi Max.""Oh pardon. Tu dormais ?""Non pas encore. Si vous cherchez une chambre. Il en reste une en haut. L’autre est prise par Sylv et Esteban.""Ok. Merci mon pote, me dit Felipe."Je fus un peu surpris par cette marque de proximité mais après tout entre le mardi et cette nuit nous nous étions bien rapprochés. Ils repartirent en tâtonnant dans le noir. Je les entendis monter par l’escalier puis ils eurent du mal à étouffer leurs rires."Mais enfin, vous n’avez même pas réussi à atteindre la chambre ! Hi hi hi, rigola Carine. Allez debout et au lit, pervers ! Hi hi hi."Apparemment Sylvie et Esteban avaient dû baiser sur le palier."Oh ça va ! rétorqua Esteban. Et vous étiez où vous ?""En bas sur le canapé. Quand on a vu que vous étiez tous partis on s’est dit que là où on était ferait très bien l’affaire.""Bref vous êtes comme nous. Vous êtes pas allé dans un lit, leur dit Sylvie.""C’est sans compter Olivier et Liz, ils ont pris le convertible du bureau mais ils se sont endormis sans le déployer. Et Elisa et Paul, ils dorment sur la moquette au pied du lit. Ils étaient pas loin pourtant.""Ok. Et les autres ?""Bah eux, ils ont réussi à baiser sur un lit. Allez, à nous d’aller au lit maintenant, leur dit Carine."J’entendis des mouvements, des portes puis plus rien. Je plongeai ensuite dans le sommeil. Mais pas pour très longtemps, vers 1h30 je fus réveillé par des grincements et un claquement métallique. Malgré mon esprit brumeux je compris que c’était le convertible en bas qui avait été ouvert. J’entendis également plus proche, sans doute au même étage que moi, des mouvements et le grincement d’un lit dans lequel il y avait des gens. Peut-être Paul et Elisa avaient fait la fin du trajet jusqu’au lit parental. Puis je commençai à entendre de petits soupirs, des gémissements étouffés. Ça ne pouvait venir que d’une des chambres à cet étage. Les profs étaient réveillés mais Marie et Germain avaient pu l’être aussi comme moi. Le volume sonore augmenta légèrement. Puis une deuxième voix se joignit à la première, celle-là venait de plus loin, rez-de-chaussée ou deuxième. Un couinement de ressort me fit dire que c’était probablement le convertible du bureau, donc Liz et Olivier. Une troisième voix venait de se révéler toujours assez loin, puis rapidement une quatrième. C’était les deux couples de l’étage qui commençaient un nouveau tour. Tous ces gémissements me firent de l’effet et ma bite se réveilla. Elle augmentait en volume tranquillement quand je sentis une main se poser dessus. Amandine l’avait posé là dans son sommeil ou bien était-elle réveillée ? J’eus la réponse lorsqu’elle se releva et revint une nouvelle fois sur moi. Sans même me demander, elle fit entrer ma queue en elle. En même temps, était-il nécessaire de demander quand mon membre parlait pour moi. Elle poussa alors de légers soupirs, elle était moins furie que toute à l’heure mais elle garda clairement le contrôle de nos ébats. Finalement, la dernière voix manquante rejoignit la chorale.Amandine se baisait toujours sur ma bite mais avec moins d’avidité, d’empressement que la première fois. Elle montait et descendait, elle roulait des fesses ou ondulait d’avant en arrière. Comme si elle voulait être sûre que chaque recoin de son vagin soit visité par ma bite. Ses légers soupirs du début étaient devenus de vraies plaintes de plaisir. Mais elle n’était pas la seule, on percevait maintenant clairement les manifestations de plaisir venant d’un peu partout. Ça baisait partout et partout c’était plus calme que la première fois. Mais j’entendais assez peu les hommes. Si comme moi, ils avaient tendance à moi s’exprimer quand leurs nanas les chevauchaient alors on devait sûrement être tous dans la même posture, plus ou moins.Les filles n’essayaient maintenant plus de camoufler leur plaisir, les soupirs s’étaient changés en gémissements, les gémissements en couinements et les couinements en râles de plaisir. Je perçus également des râles plus masculins, comme ceux que je faisais à présent. Au début, seuls les ressorts du convertible se faisaient entendre. Maintenant tous les lits grinçaient franchement, le nôtre y compris. Cela s’accéléra quelque peu, puis encore plus fort. Les filles avaient poussé encore plus loin le volume sonore. Le plaisir des six femmes montait conjointement, puis un premier long gémissement se fit entendre, rapidement suivi d’un deuxième. Un troisième assez proche s’éleva aussi. De mon côté je n’en pouvais plus, je lâchai alors ma semence en Amandine. Au premier jet, elle eut un orgasme plus discret que le premier mais que les autres pouvaient entendre quand même. Au moment où Amandine jouissait, une cinquième voix exprima sa jouissance, assez éloignée. Les bruits de ressorts cessèrent après ça. Restait un dernier couple, assez proche. Les profs ou les sportifs ? Quand un long "Jaaaa" se fit entendre finalement j’eus ma réponse.Amandine s’était couché à mes côtés et s’était rendormie rapidement. Tout était calme dans la maison. Vers 3h, je fus réveillé par un bruit d’eau. Non, quelqu’un qui pissait. Dans le silence de la nuit cela faisait un bruit assourdissant. C’était au rez-de-chaussée. Cela me donna envie mais je me refusai à me lever. Il me fallut pourtant me rendre à l’évidence, je devais y aller. Je me levai doucement et me dirigeai vers la salle de bain de cet étage. Manque de chance pour moi, quelqu’un y était déjà. En haut j’entendis également du bruit, la salle d’eau devait étre occupée aussi. Soudain, Germain se pointa dans le couloir :"Y a la queue ?""Ah bah, ça doit être Paul alors.""Alors ça va ? Elles étaient déchainées, non ?""Oui. Mais on a bien baisé."
"Euh, en fait, j’ai plutôt l’impression que Marie m’a baisé.""C’est pas faux. Am a fait pareil. Encore que la deuxième fois c’était plus calme.""Oui mais..."Germain arrêta sa phrase quand Paul sortit, il fut surpris de nous voir là."Vous faites quoi là ?""Bah on attend la place, lui répondis-je.""On se disait qu’elles étaient déchaînées.""Oui, c’est clair. Je n’ai pas souvent vu Elisa aussi avide comme ce soir.""En même temps on est peut-être allé un peu loin en terme de frustration, leur confiai-je.""Oui, j’ai eu plus le sentiment que Marie se baisait avec ma bite plutôt qu’avec moi. Et même la deuxième fois, elle gardait le contrôle des évènements et ne me laissait presque rien faire.""Il va falloir renverser un peu les rôles. Là elles ont l’air rassasiées, on verra une autre fois, nous dit Paul."Ma vessie me rappela à l’ordre, j’entrai dans la salle de bain et leur dit à demain. J’oubliai que Germain allait rester devant en attendant son tour. En ressortant, je le vis trépigner sur place. Il était temps que je lui laisse la place. Je revins dans la chambre, Amandine avait glissé sur le dos, elle m’offrait ainsi à la vue son corps magnifique. Je m’allongeai auprès d’elle tout doucement pour ne pas la réveiller.Vers 3h30, de nouveaux gémissements se firent entendre."Encore ? me dis-je. Elles en veulent encore ?"Et puis à y écouter de plus près, je me rendis compte que des ahanements masculins accompagnaient ces plaintes. Il semblait que celui qui baisait, avait décidé d’être plus actif et de reprendre les choses en main. Et aux claquements que je percevais j’en déduis que c’était probablement une levrette ou quelque chose du genre. Evidemment cela réveilla ces demoiselles, et on commença à entendre de nouveaux soupirs et grincements de literie. Amandine ne fit pas exception à la règle et elle tâtonna pour trouver ma bite. Elle l’empoigna et la branla vivement pour la faire grossir. Elle n’eut pas à beaucoup s’employer. Elle voulut de nouveau monter sur moi mais alors qu’elle positionnait ma bite à l’entrée de son antre, j’entendis Paul dire tout haut, assez pour que tous puissent l’entendre :"Alors, c’est pas bien quand c’est moi qui te baise ?""Oh oui Paul. Basie-moi. Baise-moi plus fort !""Ah oui, une bonne levrette et chacun reprend sa place !"Cela réveilla la part de macho en moi. J’attrapai par les hanches Amandine et la dégagea de ma bite. Je la fis mettre à quatre patte et m’enfonçai en elle avant qu’elle ait le temps de réagir. Je poussai alors un cri de victoire et elle un cri de surprise et de plaisir. D’un peu toutes les chambres, on entendit les garçons se manifester et reprendre le contrôle :"Ah Liz, c’est bon, là. Tu sens bien quand je te prends en levrette ?""Ah oui, mon chéri."Du deuxième étage, le même genre de commentaires descendirent les escaliers :"Oh Esteban, enfonce-toi plus loin, plus fort.""Sylv, tu aimes être à quatre pattes et te faire prendre comme ça, hein ?""Oh oui, surtout avec toi.""Aaah ! Aaaah !""Vas-y crie comme ça Carine. Que ton cul est beau quand je te prends comme ça !"De chez Marie et Germain, je n’entendis aucune parole, mais seulement des râles puissants de Germain qui criait sous l’effort des violents coups de butoir qu’il devait mettre."Rhaa, rhaa, rhaa.""Aaaah ! Oh ! Oh ! faisait Marie."Pour moi il n’était pas question que je ne participe pas à cette orgie auditive."Rhha ma chérie. Que c’est bon de te prendre en levrette. Tu la sens bien ma bite en toi ?""Aah, aah oui Max. Baise-moi.""Tiens voilà ma cochonne. Prend ça, hurlai-je presque en renforçant mes coups de reins."C’était quasiment à celui qui aurait fait gueuler sa grognasse le plus fort. Elle m’avait baisé deux fois toute à l’heure, là j’allais me rattraper en une fois. Je lui défonçais vraiment la chatte, y allant sans ménagement, presque comme une brute. Amandine avait du mal à garder la position tant elle se faisait secouer par mes coups de bite. De chez Paul et Elisa, j’entendis la fin approcher :"Aaah ! Ja ! Ja ! Paul !""Aaah ! Aaah ! Je... je viens. Raaah !"A la suite du chef de meute, tous les autres males commencèrent à jouir bruyamment. Je me joignis à la meute et criai moi aussi mon plaisir. Nos femelles feulèrent également sous nos derniers coups de reins. Amandine s’écroula sur le lit et moi sur elle. J’étais à bout de souffle et elle aussi. J’avais montré toute ma domination sur elle en compensation des deux baises précédentes. J’avais besoin d’un peu de tendresse maintenant. Je lui fis de petits bisous dans le cou et sur les épaules. Elle ronronna de plaisir puis me dit :"Qu’est que tu m’as mis. J’ai la chatte en bouillie.""Désolé.""J’ai pas dit que c’était mal. Les autres filles ont l’air d’avoir pris cher aussi.""Oui ça avait l’air.""C’est moi ou c’est quand tu as entendu Paul que tu t’es transformé en macho.""Oui et entendre les autres m’a aussi inciter à les suivre. Paul a fait office de chef de meute.""Vous nous appeliez les tigresses. Moi je vais vous appeler la meute de loups."Nous nous cajolâmes encore un peu avant de nous endormir pour de bon.
* * *


"Driiing ! Driiing ! ... Driiing ! Driiing"Voilà ce qui me réveilla en sursaut le lendemain matin. Qu’elle heure était-il ? Je regardai autour de moi. Sur le radio-réveil, posé sur la table de chevet, il était marqué 9h05. J’entendis des pieds nus courir dans le couloir. Je me levai à mon tour. Dans le lit, Amandine émergeait doucement."Kek’ya ? demanda-t-elle encore bien endormie.""Sais pas. Vais voir."Au moment où je sortais, Marie décrochait le téléphone qui était sur le palier :"Allô ?...""...""Ah papa. Oui très bien.""...""Bien sûr qu’on a été sage."J’entendis Germain pouffer dans mon dos. "Chut. T’es con ! lui dis-je en ricanant à moitié.""Oui assez tard. D’ailleurs j’ai proposé à M et Mme T de rester dormir.""...""Bah oui ils sont encore là.""...""Oui. Attend. M T s’il vous plait, mon père voudrait vous parler ! lança Marie alors que Paul n’était qu’à quelques pas."Les profs étaient également sortis dans le couloir. En fait, tout le monde se rapprochait pour voir ce qu’il se passait. Sylvie, Carine et les jumeaux descendaient l’escalier alors que Liz et Oliver montaient de l’autre. Amandine se colla à moi, sentir son corps encore tout chaud me fit sursauter."Qu’est-ce qu’il y a ?""C’est le père de Marie. Il vient aux nouvelles."Paul prit le combiné et parla avec le père de Marie."Bonjour Monsieur."...""Oui, elle a insisté pour que nous restions dormir. Elle a bien fait car nous étions assez fatigués et cela n’aurait pas été raisonnable de rentrer en voiture.""...""Non, ils n’ont pas apporté une goutte d’alcool ni n’en ont sorti de vos réserves, répondit-il en nous faisant un clin d’œil.""...""Oui, ils ont bien travaillé. Ma femme a pris beaucoup de notes. Du coup quand ils ont fini, il était plus de minuit.""...""Ah ah ah. Non ils ont pris le temps de profiter de la piscine dans l’après-midi.""...""Cette nuit ? Ils ont été aussi sages que je pouvais m’y attendre..."Elisa, Amandine, Olivier et Esteban eurent beaucoup de mal à se contenir. Paul dut alors masquer le combiné pour qu’on n’entende pas les ricanements de ces idiots."Oui, oui. Ils sont jeunes et amoureux. Ah ah ah!""..."Paul redonna le téléphone à Marie."Oui ?""...""Et vous rentrez pour quelle heure ?""...""Ah ? Vous avez raison, profitez un peu.""...""Il y a pas mal de restes.""...""Euh, oui bien sûr. Quel programme ?""...""Ok, merci. Bisous à ce soir."Elle raccrocha avec un sourire. Nous nous étions tous rapproché pour savoir ce qu’il en était."Bien. Alors mes parents ont décidé de faire un crochet touristique avant de revenir. Donc ils ne seront là que vers 19h. On va pouvoir prendre notre temps ce matin avant de nettoyer et ranger."C’était une bonne nouvelle car si ses parents avaient voulu rentrer pour midi nous aurions eu du mal à rendre la maison présentable."Paul, c’était pas la peine de faire le malin au téléphone, le gronda gentiment sa femme.""Qu’est-ce que j’ai dit ?""Tu trouves qu’on a été sage ?""Comme je l’ai dit, autant que je m’y attendais. C’est à dire pas sages du tout. Et puis regarde-nous."Nous nous regardâmes tous sans trop comprendre ce qu’il voulait dire."Nous sommes tous à poil. Et ça n’étonne personne."En effet, nous étions sortis comme ça des chambres. Et puis nos affaires devaient traîner en bas quelque part. Sa remarque nous amusa mais ne nous incita pas à nous couvrir."Euh, si on descendait. Je prendrai bien un petit déjeuner, proposa Germain."Toute la troupe descendit l’escalier, arrivé dans le salon j’avisai les shorts et les sous-vêtements masculins. Il n’y avait pas de trace des affaires des femmes, en même temps elles avaient passé plusieurs heures à poil... Personne ne songea à se couvrir. Tout le monde mit la main à la pâte pour préparer le repas : certains posèrent bols, tasses, couverts, d’autres allèrent chercher du pain, de la brioche, de la confiture, d’autres encore préparèrent du café et de l’eau chaude, etc.Nous nous retrouvâmes vite tous autour de la table, à rire, à parler, à plaisanter. Amandine assise à côté de moi était toute guillerette. Les autres femmes également alors que tous les garçons montraient des signes de fatigue évident. Je posais parfois ma main sur sa cuisse, ses fesses. Elle en faisait autant, comme nous aurions pu le faire tout habillé en terrasse d’un café. Nous n’étions pas les seuls à profiter l’un de l’autre, je voyais des mains se poser ici où là mais toujours sur le compagnon ou la compagne."Regarde les yeux de tout le monde, me dit-elle. Ils sont tous à mater les autres couples se peloter.""Ah oui tu as raison. Tu crois que les mecs pensent à vous peloter comme hier ?""Bah et toi ?""Oui, j’y pense.""Donc eux aussi.""Mais bon, vu dans quel état ça vous a mis hier soir. On est un peu plus prudent.""Et puis maintenant, il n’y a pas de raison qu’on soit puni."Je réfléchis un instant à son sous-entendu."Dis donc, tu voudrais pas pouvoir tâter les mecs aussi ?""Euh... J’avoue que oui. Et puis regarde les filles, elles matent vos entrejambes et vos culs. Alors je me dis...""Et bien propose le aux autres.""Mais je vais passer pour quoi moi ?""Eh dis. On est entre nous."Elle rougit puis se lança."Euh, tout le monde, dit-elle doucement.""Hep les gens, Amandine a quelque chose à dire, les appelai-je."Tout le monde tourna la tête vers nous. Ma copine me lança un regard noir du genre "De quoi tu te mêles ?" mais elle inspira un bon coup et se jeta à l’eau :"Bon voilà, avec Max, on vous voit depuis toute à l’heure. Et euh, on sent bien que vous repensez tous à hier soir quand les mecs nous ont peloter toute la soirée. Donc euh, on s’est dit qu’on pouvait recommencer. Mais euh cette fois, les filles aussi ont le droit de toucher."Je vis des sourcils se lever, des sourires se dessiner, des têtes se pencher pour évaluer la chose."Mais tu penses à quoi ? Je veux dire jusqu’où ? demanda Olivier.""On s’arrête aux nichons et aux culs ou on fait dans le touche-pipi ? Sylvie avait dit les choses crument mais clairement."Cela fit rire l’assemblée et rougir Amandine."Eh bien, c’est à voir. Et puis d’abord est ce que vous êtes d’accord sur le principe ? demanda-t-elle."Ils répondirent tous assez vite pour donner leur accord. Quelle bande de cochons nous faisions ! Restait la limite qu’on se fixait. Nous convînmes alors que nous aurions le droit à tout mais sans aller jusqu’à mettre un doigt dans une chatte ou faire une branlette à une bite. On ne pouvait qu’effleurer, que caresser. Ça allait être une torture pour tout le monde. Nous terminâmes le petit-déjeuner ainsi, mais en limitant les caresses au sein du couple. Quand Marie nous rappela que nous avions un peu de rangement et de nettoyage à faire, elle fut un peu huée. Mais elle nous dit aussi que si nous travaillions vite ce matin, nous pourrions reprofiter de la piscine en début d’après-midi. C’était une bonne motivation, nous nous répartîmes alors les tâches. Nous nous levâmes de table, j’avais la queue qui commençait à gonfler un peu après les quelques caresses de ma chérie. Je vis que les autres mecs avaient aussi un début de gaule. Pour les nanas, c’était difficile à voir au niveau de l’entrejambes mais il me sembla que les tétons dardaient légèrement.Je vis Sylvie hésiter un instant devant le cul de Paul qui passait par là, elle regarda Esteban qui lui fit un petit signe de tête. Quand Paul repassa dans l’autre sens elle n’hésita pas et lui caressa le cul rapidement. Paul se retrouva un peu surpris pour voir qui avait fait ça. Il vit que c’était Sylvie, il lui mit une main aux fesses en retour. Pour ne pas être en reste Elisa effleura d’une main délicate le sexe du chéri de Sylvie qui lui-même soupesa un sein de la prof. Les "hostilités" étaient donc déclenchées mais ce ne fut pas la ruée non plus. On ne cherchait pas en permanence à toucher quelqu’un. Les mecs allèrent dans les chambres pour enlever les draps et en remettre d’autres tandis que les filles allaient débarrasser la table, faire la vaisselle. Chaque mec était seul à sa tâche tandis que les filles travaillaient ensemble.Les draps furent changés assez rapidement même si nous n’avions pas l’habitude de le faire. En descendant les draps sales, nous vîmes Olivier qui était débout au bout du petit couloir menant de l’escalier au séjour. Il se tenait là, les bras chargés des draps venant du convertible du bureau. Qu’est ce qui l’avait arrêté comme ça ? Je passai la tête par-dessus son épaule et je compris pourquoi. Ces petites cochonnes travaillaient mais se caressaient, les seins, le cul voire aussi la chatte en même temps ! Olivier et moi laissâmes la place aux autres pour qu’ils constatent d’eux-mêmes.Nous entrâmes tous les six d’un coup dans le séjour, Paul les interpella :"Dites mesdames, on n’avait pas dit que les caresses pouvaient être faites entre femmes."Elles sursautèrent en l’entendant et en nous voyant tous."Mais on n’avait pas dit qu’on pouvait pas, lui rétorqua malicieusement sa femme."Elle n’avait pas tort. Et puis après tout, moi je m’en fichais un peu qu’elles fassent ça entre elles. Et même c’était plaisant à regarder. Je ne devais pas être le seul à trouver ça bien car les autres recommençaient à bander légèrement."Et puis, vous pouvez toujours faire la même chose entre vous, rétorqua Amandine."Devant nos mines déconfites elles rigolèrent bien. J’avais bien touché le sexe de Germain et Oliver une fois mais nous avions été un peu contraints par notre punition et puis la fois où nous nous étions sucés c’était plutôt Elisa qui nous avait un peu tendu un piège on pouvait dire. Au final, je n’avais pas trouvé ça choquant ou désagréable mais ça ne me venait pas à l’esprit de recommencer. Encore que rendre service à l’un des autres comme les jumeaux l’avaient fait ne me paraissait pas impossible."Mais on va pas faire ça ! répondit frontalement Germain.""Ah bah, pour nous mater nous caresser y a du monde ! Mais peut-être que nous aussi on aimerait vous voir ! se fâcha un peu Marie.""Excuse-moi Mimi. Je voulais pas dire...""Pas dire quoi ?""Bah euh...""Pfff. Et bien on touche plus ! Na !"Elle croisa les bras et nous fixa fièrement dans les yeux. Et ce qui devait arriver, arriva, les autres filles en firent de même. Il était clair, que là nous pouvions faire une croix sur les petites caresses que nous avions prévues. De plus la fin du week-end semblait compromise à ce rythme. Il fallait calmer un peu ces dames."Gégé a parlé un peu vite. Et puis je vous rappelle que vous nous avez déjà vu nous toucher, leur dis-je.""Et même nous sucer, compléta Olivier.""Euh, et vous savez aussi qu’avec Esteban on s’est sucé une fois."J’étais content d’avoir un peu de soutien car à un contre six j’étais mal parti. Mais elles ne semblaient s’adoucir pour autant."Oui, mais à chaque il faut vous forcer la main alors que pour nous c’est plus naturel.""Oui mais vous aimez beaucoup ça d’après ce que j’ai pu en voir hier soir, répondit Esteban.""Oui c’est vrai. Mais il faudrait peut-être vous avouer que vous y avez pris du plaisir aussi quand vous l’avez fait, nous fit remarquer Elisa."Nous nous regardâmes un peu honteux, un peu gênés, un peu surpris qu’elle s’en soit rendu compte. En y repensant, c’était vrai que j’avais aimé quand Germain et Olivier m’avaient sucé, je n’avais pas trouvé désagréable qu’ils me branlent la première fois. Les frangins aussi avaient bien pris leurs pieds grâce à l’autre. Et puis nous avions tous gardé une belle érection en suçant les autres. Je me rappelai soudain les premières réflexions que je m’étais faites sur Olivier. Il semblait bien moins gêné que Germain ou moi. Pour nous cinq, je savais du coup à quoi m’en tenir. Mais et Paul alors ? Bon mais on faisait quoi maintenant ?"Mais, qu’est-ce que voulez en fait ? demanda intelligemment Felipe."Elles se concertèrent rapidement puis nous exposèrent leurs demandes :"Tout d’abord, les remarques comme Paul a fait, il va falloir oublier, commença Liz.""Oui, c’était pas très malin de ma part. Excusez-moi.""On le refera plus, promit-on.""Bien, ensuite, il va falloir avouer que vous avez aimé sucer ou vous faire sucer par un mec, poursuivit Sylvie.""Euh, là, maintenant ? demanda un peu incrédule Germain.""Oui, maintenant ! le tança Marie.""Et si on refuse ? Qu’est-ce que vous allez faire ? leur lança-t-il.""On va se rhabiller tout de suite, tonna Amandine.""Et on va rester habillées pour vous un long moment, rajouta Liz.""Et c’est quoi un long moment ? s’inquiéta Esteban.""Jusqu’aux prochaines vacances, trancha Carine."J’étais outré par de telles menaces. Un grondement se fit sentir de la part des garçons. Paul essaya de ramener un peu de sérénité :"Bon, les garçons, vous pouvez peut-être être honnêtes avec vous-mêmes si vous avez effectivement aimé ça."Mais Elisa l’entendit, bien qu’il nous ait parlé à voix basse."Et tant qu’à faire, Paul, tu pourrais aussi être honnête avec toi-même. Toi aussi tu as pu apprécier ce genre de choses !""Hein ? Quoi ?"Il était passé de sa voix grave et chaude à une voix de castra presque."Non, mais c’est quoi ces manières ! Va falloir arrêter l’inquisition là, mesdames.""Allez, avoue-le à toi même ! Avouez-le vous ! nous invectiva-t-elle."Olivier qui avait été le plus prêt à faire des révélations était maintenant aussi choqué que nous par leur façon de faire."Bon, alors, ce qu’on va faire c’est très simple les poufs ! C’est nous qui allons nous rhabiller et basta !""Eh pas d’insultes ! Crétin ! lui cracha Sylvie.""Allez les mecs, on s’habille ! nous dit Germain.""Ah non. C’est nous qui nous rhabillons ! protesta Marie. Et puis où vous avez foutu nos affaires ?""Là où est votre place ! Dans la buanderie ! gronda Paul.""Non mais on n’est pas des boniches ! s’empourpra Amandine. Allez venez on se rhabille !"Chaque groupe partit s’habiller tout en défiant l’autre du regard. L’atmosphère était électrique. Quand nous revînmes dans le séjour, la tension n’était pas retombée. Chacun effectua du rangement ou du nettoyage sans dire un mot. Nous déjeunâmes rapidement dans un silence de mort. Il n’était évidemment plus question de profiter de la piscine. Sans avoir à trop se parler, nous partîmes tous rapidement de chez Marie. En sortant avec Olivier et Germain, je vis Paul et Elisa dans leur voiture, il ne se parlaient pas, elle avait même ostensiblement tourné la tête de côté. Ils étaient bien obligés de rentrer ensemble et de se retrouver en tête-à-tête chez eux. Les filles sortirent dans la rue juste à ce moment-là. Elles partirent dans l’autre sens alors que le chemin le plus court était le même que nous avions commencé à emprunter. Les jumeaux arrivèrent enfin, ils nous dirent qu’ils avaient eu du mal à remettre la main sur les vidéos. Ils partirent de notre côté.
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