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Le projet artistique

Chapitre 30

Conflit vu des garçons

Gay
Maxime narrateur
Le soir j’étais en rage. Je ne parlai à personne durant toute la soirée. Une fois dans ma chambre j’entendis le téléphone sonner, je tendis l’oreille quand mon père décrocha :"Allô ?""...""Ah bonsoir.""...""Germain est une tombe ce soir ? Maxime aussi.""...""Probablement une fâcherie avec leurs copines. Mais et les autres ?""...""Pareil ? Mais M et Mme T n’ont rien fait pour calmer les choses ?""...""Ah ils étaient déjà repartis ? C’est dommage. Bon je vais essayer de voir avec lui.""Merde, c’est parti pour l’interrogatoire, me dis-je."En effet, mon père frappa à ma porte et entra."Bon alors Maxime. J’ai eu le père de Germain. Il y a eu un problème ?""On peut dire ça.""Tu peux m’en dire plus ?""Non.""Je ne crois pas que ce soit une façon de régler tes problèmes si tu en as avec Amandine.""Peut-être mais j’ai pas envie de parler de cette c...""Tu as bien fait de t’arrêter avant de dire un gros mot. Bon vous êtes jeunes ça va se passer.""Ça me ferait mal.""Je vois que ce soir tu es trop énervé, ça ne sert à rien de te parler."
"Oui en effet.""On verra ça un autre jour cette semaine. Mais juste une dernière question, M et Mme T sont au courant de vos bisbilles ?""Non, ils étaient déjà partis.""Bon, dommage ils auraient pu calmer les choses peut-être.""Ils auraient pu, peut-être."En moi-même je me dis qu’ils auraient dû mais ils avaient été autant partie prenante que nous dans cette histoire. Le lundi matin je retrouvai les mecs devant les portes du lycée. Esteban et Felipe étaient bien sûr arrivés les premiers. Je leur serrai la main en nous soutenant d’un échange de regard."Alors ?""Toujours sur les nerfs. On en a reparlé avec Esteban hier soir.""Elles ont complètement saboté la fin du week-end.""C’est clair. Merde on a passé toute la semaine et le week-end à dire qu’on ne forçait pas la main aux frangins, commença Olivier.""...et dès qu’elles se sont retrouvées seules elles nous ont fait du chantage comme c’est pas permis, finit Germain.""Eh regardez, elles sont toutes là, nous dit Esteban."Nous leur jetâmes un coup d’œil rapide. Mais je n’avais pas envie de les voir. Nous vîmes Elisa arriver et leur parler."Au fait, on a vu Paul toute à l’heure, nous dévoila Felipe.""Il a pas voulu venir avec elle. Il est en rogne contre elle. Comme nous avec les filles.""Ah, je pensais qu’ils se seraient réconciliés sur l’oreiller, dis-je.""Non, il nous a dit que tant qu’il n’y aurait pas d’excuses complètes de toutes les filles il nous soutiendrait.""Felipe, il est cool Paul, constata Germain.""Leur chantage a été la goutte d’eau de trop. Déjà que j’avais pas trop apprécier qu’elles manigancent des trucs dans mon dos, se lâcha Olivier.""Oui mais elles ont été punies, lui rappela Felipe.""Ok, mais on pouvait pas continuer comme ça. Manigances, punition, manigances, punition. On aurait été où comme ça ?"Olivier n’avait pas tort. Un jour elles auraient été trop loin et il y aurait eu des choses que tout le monde aurait regrettées. Mais surtout, ce chantage m’avait mis hors de moi, nous avait tous mis hors de nous. C’était à l’encontre même de l’esprit du groupe que nous avions construit.La sonnerie retentit et Elisa passa devant nous. Elle ne nous adressa aucun mot, aucun signe. Bon, après elle n’était pas mariée avec nous. Les filles la suivirent ensuite. Mais elles n’eurent aucun geste vers nous. Bordel, elles nous snobaient alors que c’était elles qui étaient en faute. Nous partîmes en classe. Je pris soin, comme les autres de m’asseoir loin de ces poufiasses. Les filles nous évitèrent toute la journée. Nous parlâmes à Paul vers 13h30. Nous lui rapportâmes le comportement des filles le matin. Il n’était pas étonné, Elisa avait fait pareil avec lui.Le lendemain nous avions EPS, les profs nous expliquèrent la nouvelle organisation. Merde, alors, nous allions nous les coltiner même là. Paul nous dit ensuite que cela avait été décidé la semaine dernière et qu’il avait alors un peu poussé pour qu’on soit tous réunis. Avec tout ça, il n’avait pas pu revoir la répartition avec Mlle G. Surtout, nous continuons d’être subjugués par la paire de loches de la nouvelle prof de sport. Mince, on y plongerait bien la tête. Et là nous pûmes admirer plus en détail son cul. Il était bien gros mais il paraissait bien ferme aussi. Germain se rendit compte que nos ex étaient en train de nous fusilier du regard. Elles avaient dit que regarder ne posait pas de problème. Et avec le coup de dimanche elles se permettaient de vouloir encore nous contrôler ?Le mercredi elles voulurent bien nous dire bonjour. Mais sans plus. A ce rythme-là, nous n’étions pas prêts d’avoir des excuses. L’après-midi, nous retrouvâmes Paul au gymnase alors qu’il surveillait les rencontres de volley. Nous lui dîmes que nous étions toujours sur les nerfs, que nous avions besoin d’évacuer tout ça. Il nous proposa de descendre dans l’autre salle dès la fin des rencontres. Il y avait là quelques équipements de boxe qui n’étaient plus utilisés en cours depuis longtemps mais que lui utilisait pour se défouler parfois. En descendant nous entendîmes de la musique. Qui pouvait bien être là ? Paul nous rejoignit juste comme nous allions entrer."Ah mince ! J’avais oublié que Graziella m’avait demandé si elle pouvait l’utiliser pour faire un peu de fitness."Nous regardâmes par le hublot de la porte. Quelles mamelles ! Elle avait passé une tenue beaucoup plus moulante et décolletée. Nous bavions tous devant le spectacle. Elle rythmait sa séance avec de la musique, de la sueur lui coulait entre les seins. Paul entra dans la salle de gym. Mlle G eut peur en le voyant débarquer à l’improviste. On n’entendit pas ce qu’il disait jusqu’à ce qu’elle coupe la musique."Je disais, je voudrais montrer aux petits gars là, les équipements de boxe qui traînent encore par ici.""Oh oui bien sûr. Ne vous dérangez pas pour moi. De toute façon je finissais."Nous entrâmes dans la salle en saluant Mlle G."Bonjour les garçons. On a besoin de se défouler un peu ? nous demanda-t-elle en riant."Puis, elle ramassa ses affaires et sortit de la salle. Paul nous montra ce qu’il y avait : des gants, des bandes, deux paires de pattes d’ours. Il nous dit qu’il dressait un tapis de réception de saut contre un mur et qu’il frappait dedans. Nous essayâmes un peu tous. C’était vrai que frapper comme ça, lâcher tout, se libérer l’esprit faisait du bien. Mais nous n’étions pas habillés pour donc nous arrêtâmes vite cet essai. Nous demandâmes à Paul si nous pouvions revenir. Il nous dit que oui et que si la situation restait la même il ferait des séances avec nous. En rangeant les affaires dans le local, nous entendîmes la douche des profs. Ça devait être Mlle G qui en prenait une. En ressortant nous aperçûmes un jeune de 25 ans attendre devant le complexe. Mlle G fit son apparition juste après nous, elle le vit et alla vers lui. Elle lui roula une pelle monumentale, comme ses nichons, puis ils partirent sans nous voir.La fin de semaine se passa sans nouveauté. La suivante débuta de la même façon. Le mercredi nous fîmes une vraie séance cette fois. Cela nous fit énormément de bien. Mlle G était là comme la fois d’avant. Elle s’était arrêtée dès que nous étions entrés. Elle nous avait souhaité une bonne séance puis était partie. Nous entendîmes de nouveau la douche. Germain aperçut une veste de survêtement qui devait être à elle. Elle avait dû l’oublier. Mais nous ne la voyions pas revenir. Germain sortit alors pour la rattraper et lui redonner. En revenant, il nous dit qu’il y avait encore un jeune qui attendait mais pas le même que la dernière fois. Elle devait changer souvent. Cette fois-là, nous prîmes une douche dans les vestiaires de la salle de gym. Même au repos la bite de Paul était visiblement plus grosse que la nôtre et continuait de nous impressionner.Le vendredi, le premier atelier fut un enfer, elles remettaient en cause tout ce sur quoi on s’était mis d’accord l’année d’avant. Elisa, qui garda un minimum de professionnalisme, mit fin à la séance. La semaine suivante, elles entrèrent en guerre froide avec nous. Ça évitait les frictions mais ça éloignait la perspective d’excuses. Le mercredi, Paul était un peu en retard, Mlle G était déjà repartie à sa douche. Il nous dit qu’un jeune encore différent attendait dehors. Nous connaissions les hommes à femmes. Là nous avions donc une femme à hommes, et jeunes de préférence. Nous fîmes notre séance sans penser au reste. Sans penser à nos ex-copines. Le vendredi l’atelier put aller à son terme. Mais il ne donna rien de bon, elles faisaient des propositions qui n’étaient plus du tout en accord avec l’esprit du projet. Nous ne s’énervâmes pas mais nous n’avançâmes pas des masses.
* * *


Cette nouvelle semaine ne commença pas dans la joie. Je ne baisais plus depuis deux semaines pleines. Depuis que j’avais rencontré Amandine ça n’était plus arrivé. Et mes branlettes en solo dans ma chambre ne me calmaient pas vraiment. Le lundi je vis les autres aussi moroses que moi, ils ressentaient la même chose ? D’habitude entre mecs on ne parlait pas de ça mais là je me décidai à m’ouvrir un peu :"Dites. Je... ça vous manque pas ?""De quoi ? demanda Esteban.""Bah de baiser...""Ah si clairement, répondit Germain.""Elles font chier quand même. Et dire qu’avec Felipe on venait tout juste de retrouver Sylvie et Carine.""Cinq jours seulement, nous laissant entrevoir de sacrés moments et puis boum...""Bah faut vous branler pour vous calmer, objecta Olivier.""Je pense qu’on le fait tous, lui répondis-je.""Mais ça vaut pas de le faire avec sa nana, lui répondit Esteban.""Tu veux renouer avec elles ? demanda Germain.""Non, non et non ! Je préfère devenir moine !""Ah oui, pas question de retoucher à Liz, fulmina Olivier.""Vous pensez partir en chasse alors ? demandai-je.""Pffff. Je sais pas, en ce moment, les nanas... Entre le comportement de nos ex et la croqueuse que semble être Mlle G..., commença Germain."Elles continuèrent leur guerre froide avec nous, du coup nous les évitions aussi. En EPS, elles parurent complètement choquées de nous voir. Qu’est ce qu’elles avaient maintenant ? Felipe surprit une réflexion alors que Liz et Carine ne le voyait pas. Apparemment, elles nous reprochaient de fantasmer sur Mlle G. Alors que non, nous ne fantasmions pas sur elle, juste les quelques mots échangés le mercredi nous donnait une vision différente d’elle. A la fin du cours nous parlâmes avec Paul."Qu’elles pensent ce qu’elles veulent.""Mais elles vont le répéter à Elisa, objecta Germain.""D’abord on a un accord de regarder qui on veut. Et puis en ce moment je m’en fiche.""Euh vous êtes toujours complètement en froid ? demandai-je.""Oui. On se reparle un peu à la maison, on est bien obligé, on vit ensemble. Par contre c’est ceinture, pas question qu’elle revoit ma bite de sitôt !""Mais euh vous êtes mariés quand même..., lui dis-je.""Elisa a pris fait et cause pour les filles. Et moi pour vous. En plus elles m’ont fait du chantage comme à vous.""Ok c’est cool. Mais euh t’es pas trop en manque ? lui demanda Esteban.""Ah carrément. Comme Elisa n’a aucune règle on baisait pratiquement tous les jours depuis son arrivée en France, donc là deux semaines...""Et donc ? Tu fais comment ?""Comment je fais Felipe ? Bah comme vous je me branle.""Oui, c’est sûr par contre c’est à peine suffisant, fis-je remarquer.""Heureusement qu’il y a la séance de boxe. Ça permet d’évacuer le trop plein d’hormones, dit Esteban.""Oui mais... commença Felipe. Il faudrait un peu plus d’intensité.""Oui, c’est vrai que là deux semaines... Ok je vous ferai augmenter l’intensité."Le mercredi, nous nous pointâmes dans la salle de gym. Comme d’habitude Mlle G finissait sa séance. Elle nous parla quelques instants. Nous commençâmes par un échauffement, sauf que Paul le poussa un peu plus. Du coup nous n’allâmes chercher le matériel dans le local qu’un peu plus tard. On entendait la douche puis soudain un cri de surprise :"Oh ! Mais ?"C’était Mlle G qui venait de crier, nous tendîmes l’oreille pour voir s’il y avait un problème."Mais qu’est ce que tu fais là ?""Bah, je suis venu te faire une surprise. Et regarde je bande déjà."Nous nous regardâmes tous. Un des amants de Mlle G venait de la rejoindre sous la douche. Dans mon short, mon sexe fit un bond. Nous ne dîmes rien, Paul désigna du regard l’endroit qui permettait de voir les douches. Nous acquiesçâmes tous d’un signe de tête. Nous nous relayâmes ensuite deux par deux pour mater ce qui se passait de l’autre côté.Mlle G et son jeune amant en étaient encore à se rouler une pelle et à se peloter sous la douche. Il massait ses énormes seins ou son cul. Elle était plus forte que toutes les femmes que je connaissais. Pour ainsi dire, elle avait le corps d’Elisa ou Liz mais avec plus de volume tout en restant assez ferme. Elle lui pétrissait les fesses puis passa devant et commença à lui branler la bite. Il fit passer une main entre les jambes de Mlle G. Il la masturba de façon un peu brusque. Mais apparemment elle aimait ça. Ils continuèrent ainsi quelques instants, elle se dégagea et plaqua le jeune contre le carrelage du mur. Elle se mit à genoux et commença à le pomper. Directement, son rythme fut hyper rapide. Ses gros seins se balançaient à la même cadence, c’était hypnotisant pour les voyeurs que nous étions. Je bandais comme un dingue ! Les autres étaient dans le même état. Tout le monde se massait discrètement le sexe quand il était au poste d’observation. Des ahanements plus prononcés nous avertirent que le jeune homme allait bientôt jouir. Elle sortit sa bite de sa bouche et lui demanda :"Alors où tu veux venir ?""Sur tes mamelles et ta bouche.""T’es un petit cochon toi.""Et toi une grosse cochonne."Elle prit ses seins entre ses mains et les malaxa de façon très érotique tout en passant sa langue sur ses lèvres. Lui se branla au-dessus d’elle."Oh oh je je viens."Elle ouvrit alors la bouche. Il lâcha plusieurs jets sur elle. Il alternait entre les seins et la bouche ouverte. Elle massait ses seins avec le sperme qui avait atterri là. Elle se délecta outrageusement de celui qu’elle avait reçue dans la bouche. Elle se remit debout, plaqua ses mains sur le mur et écarta les jambes."Allez, au boulot mon petit gars. Ça te donnera le temps de rebander."Il se mit en position et commença une bonne léchouille. Il y alla franchement fort. Elle devait aimer de la brusquerie dans ses rapports. Il avait fourré son visage entre ses fesses. Rapidement elle en voulut plus, il ajouta un doigt puis deux et carrément les quatre. Il la bourra violement comme ça, elle se massacra les tétons d’une main tandis que l’autre assurait toujours sa stabilité. Elle finit par jouir bruyamment, elle se retourna et embrassa son amant. Celui-ci avait repris de la vigueur. Il attrapa prestement une capote qu’il avait mis de côté et la mit sur son sexe. Elle le coucha au sol et se plaça sur lui. Elle le chevaucha comme une folle. On crut qu’elle allait l’écraser. Ses seins ballotaient dans tous les sens, son cul claquait fortement. Son amant ne put résister bien longtemps à ce traitement. Il se raidit et émit un long râle de jouissance. Elle sembla jouir aussi mais bien plus discrètement cette fois. Elle frotta ses seins sur le visage du gars et ondula du bassin. Mais il rendit les armes."Déjà ? Bon tant pis. Et puis on va finir par se faire surprendre.""Je croyais qu’il n’y avait personne.""Si, il y a un groupe qui fait de la boxe dans une autre partie."Nous nous rappelâmes que nous étions supposés être en séance. Nous les laissâmes se redoucher et nous remîmes les cartons devant les trous. Nous reprîmes la séance. Mais nous avions déjà perdu du temps sur le planning que Paul avait prévu. Nous n’avions pas vraiment eu le temps de frapper quand nous dûmes stopper. Nous rangeâmes tout et nous allâmes vers les douches."C’est à qui ça ? demanda Paul."La veste de survêtement n’était à personne. En y regardant de plus près, c’était à Mlle G."J’irai la ranger dans le bureau après la douche, elle la retrouvera demain."Il l’accrocha dans le couloir à une patère. Puis nous nous rendîmes dans le vestiaire. Nous parlions de tout et de rien, nous rigolions aussi. Une fois sous la douche, le sujet de Mlle G et de son amant vint inévitablement sur la table."Quel spectacle elle nous a offert quand même ! commença Germain.""Ouais, et ces seins énormes qui se balançaient dans tous les sens, renchérit Felipe.""Comme le gars, j’y aurais bien mis mon visage.""Esteban, il y avait plein de son propre sperme dessus, lui rappelai-je.""Ah ouais c’est vrai. Mais je pense que comme le gars je n’y aurais plus songé à ce moment-là.""Mmmmh, c’est vrai, approuvai-je."Nous approuvâmes tous, même Paul."On connait tous le goût du sperme. Et dans le feu de l’action..."Il faudra un jour qu’il nous raconte sa propre expérience. Mais résultat de tout ça, nous bandions tous comme des chevreuils."Bon les gars pourquoi vous bandez ? Pour Mlle G ou bien d’être avec des beaux mecs tout nus, plaisanta Paul.""Bah, me rappeler de sa baise c’est vachement bandant, commença Germain.""Et puis. Ça me gêne pas de bander devant vous, après tout ce qu’on a fait, poursuit Felipe."Sans trop s’en rendre compte nous avions commencé à nous masser le sexe."Euh, ça vous dérange pas euh si je..."Olivier ne finit pas sa phrase mais mima une masturbation."Euh, je vais pas tenir jusqu’à chez moi. Le peu de boxe fait aujourd’hui ne va pas évacuer mon trop plein et voir Mlle G..."Je comprenais très bien. Je n’étais pas contre qu’il se soulage, les autres non plus."Euh, nous on habite juste à côté mais notre père est là et c’est petit alors...""Bon, j’avoue que rentrer chez moi et me branler pendant qu’Elisa est là. Ça m’enchante pas trop.""Euh ça vous dit qu’on se fasse une branlette collective ? demanda Olivier."L’idée ne me choqua pas, j’avais vraiment besoin de me vider les couilles. Nous commençâmes à nous branler doucement. Je regardais un peu les autres parfois. Je vis les sexes de Germain et Paul, surtout, grossir. Olivier et les frangins les mataient un peu aussi. Ils les enviaient un peu comme moi je les enviais ?"Ça doit faire peur aux filles la première fois vos trucs, dit soudain Felipe.""Hein ? Ah ! Oui un peu, confirma Germain.""Oui carrément. Elles ont un mouvement de recul au départ et après elles ont vite envie de voir quel effet ça fait d’avoir ça en main. Après certaines ne s’y habituent jamais.""Moi aussi je me demande. Comment je ferai pour me branler avec un truc pareil, leur dis-je.""Y a que la taille qui change. Sinon ça marche pareil, se moqua Paul.""Max veut dire qu’en main ça doit être différent, expliqua Olivier. Je me demande quel effet ça fait quand même."En parlant de main branlant une bite, moi, j’aurais bien aimé avoir une nana me branler. Nous étions partis pour nous donner du plaisir en groupe mais chacun de son côté."Putain, j’aurais bien besoin qu’on me branle, dis-je tout haut malgré moi.""Euh Max, c’est une demande ça ?""Euh non Gégé. Enfin pas à vous.""Je comprends. Se branler c’est bien mais se faire branler c’est mieux, me rassura-t-il.""On aimerait tous avoir quelqu’un pour nous masturber, confirma Paul."Un blanc s’installa. Je crois que la même idée germa dans nos têtes : se branler mutuellement. Mais c’était difficile à assumer."Euh, si c’est comme pour Felipe et moi. C’est pour se rendre service. On est pas homos tous, hein ?""Oui, oui. Pour se rendre service, s’empressa de confirmer Germain.""Alors on le fait ? demandai-je."Nous étions d’accord. Esteban et Felipe nous dirent qu’ils ne voulaient pas se branler l’un l’autre. Déjà faire ça entre mecs c’était pas facile à assumer, mais entre frères... Esteban se tourna vers Paul, Felipe vers Germain et Olivier vers moi. Nous n’eûmes pas trop d’hésitation à prendre en main le sexe de l’autre. Nous commençâmes à nous branler. Nous faisions ça en silence. Puis quelques soupirs de plaisir se firent entendre. Je sentais mon propre plaisir augmenter. Je regardai Olivier, il me massa un peu les couilles, j’en fis autant. J’émis un nouveau soupir, il dut prendre ma bouche entrouverte pour une invitation. Il m’embrassa. Je fus surpris et me reculai."Oh pardon. Euh je ne sais pas euh avec ta bouche ouverte et tout. Désolé.""Non c’est pas grave. C’était bien, me surpris-je à avouer. Ça me manque aussi d’embrasser quelqu’un."Les autres nous regardaient un peu étonnés mais un peu troublés aussi. J’avais bien aimé d’avoir un baiser pendant que je me faisais astiquer."Euh, on recommence ? On a qu’à imaginer que c’est une fille qui nous embrasse, proposai-je.""Euh. D’accord. Ça me va.""Eh vous allez vous embrasser les gars ? demanda Germain.""Euh oui mais en imaginant que c’est une fille en face de nous, me défendis-je.""C’est mieux en effet, approuva Esteban. Comme on avait fait avec Felipe. Euh Paul, ça te dérange pas euh si on fait comme eux ?""Ah ? Oh euh. Je sais pas mais euh on pense à une nana hein ?""Oui oui, bien sûr.""Et nous on fait pareil ? demanda Felipe à Germain."Ce n’était pas gagné, Germain était le plus réfractaire à s’avouer qu’il aimait un peu ça."Bon. Mais vraiment on pense à une nana."Nous étions d’accord mais qui allait se lancer en premier ? Bizarrement, ce fut Felipe et Germain qui s’embrassèrent les premiers. Ils fermèrent les yeux et collèrent leurs lèvres. Ils s’embrassèrent d’abord sagement, puis en reprenant leur masturbation, leur baiser devint plus langoureux. Olivier se tourna vers moi me regarda et se pencha vers ma bouche. Je fermai les yeux et ouvris la bouche. Ses lèvres se joignirent aux miennes et nos langues se touchèrent. Sa main recommença à me branler et j’en fis autant. Notre petit baiser devint alors plus baveux comme nos langues jouaient l’une avec l’autre. J’ouvris un instant les yeux, Paul et Esteban avaient rejoint la troupe et se donnaient un profond baiser tout en se masturbant. Mon plaisir monta plus vite grâce à ce baiser. Je sentis la queue d’Olivier commencer à palpiter dans ma main. Il allait sûrement bientôt jouir. Nous accélérâmes notre branlette. Mais avant que nous jouissions, nous entendîmes Felipe et Germain râler de plaisir. Nous les suivîmes juste après. Olivier m’astiqua tant que des jets de sperme sortaient de ma queue. J’en fis autant pour lui. Une fois fini, je regardai où en étaient Esteban et Paul. Au même moment les premiers jets sortirent de leurs bites. Ils se branlèrent comme nous jusqu’à la dernière goutte. Nous nous lavâmes de nouveau. Nous nous rhabillâmes en échangeant quelques sourires. Pas besoin de se dire quoi que ce soit. Nous étions maintenant détendus et sereins. Ça nous avait tous fait beaucoup de bien. En sortant, Paul chercha du regard la veste."Bah, elle est là, lui dis-je.""Bizarre, je ne croyais pas l’avoir posée là. Bon, je devais penser à autre chose."Nous nous quittâmes là-dessus.
* * *


Notre séance nous avait fait du bien. L’atelier du vendredi fut moins compliqué que les autres. Mais ça n’avançait toujours pas. Le sujet de départ me plaisait toujours mais nous n’allions pas finir à temps ou bâcler le film. Ce n’était pas possible !Le samedi, mon père me prit une nouvelle fois à part. Il avait plusieurs fois tenté de me parler mais il n’avait réussi à rien avec moi. J’étais toujours trop fermé, trop en colère. Là, grâce au mercredi, j’étais plus ouvert, ce fut pour ça qu’il tenta de nouveau sa chance."Maxime. Comment ça va ?""Euh pas trop mal.""Tu en es où avec Amandine ?""Toujours pareil.""Mais tu voudrais la récupérer ou bien c’est fini ?""Euh pour l’instant je n’y ai pas réfléchi. Et puis avec les gars on leur en veut toujours.""Et euh, tu sais ce qu’ils vont faire ?""Non, mais je pense qu’ils sont comme moi. On était trop en colère pour l’instant pour y réfléchir.""Bon, si jamais vous vouliez vous rabibocher, vous devriez commencer par vous excuser.""Mais on n’est pas en tort dans cette histoire, m’offusquai-je.""Vous vous êtes mis en colère et vous avez crié il me semble.""Euh oui. Et alors ?""On a toujours tort de se mettre en colère contre l’autre comme ça. Ça bloque toute discussion et après ça peut aller trop loin.""Non mais elles ont...""Elles ont quoi ?""...""Bon, c’est ta vie privée. Mais excusez-vous en premier, ça permettrait d’ouvrir un espace de dialogue. Après vous pourrez exposer vos griefs, votre ressenti. Ça calmera les choses ou pas mais ça permettra de clore la dispute.""Ok. Je vais y penser. Au moins, si on pouvait reprendre l’atelier de façon plus constructive.""Bien. C’est une bonne approche d’adulte ça, me dit-il.""Mais ça marche au moins ?""Ça fait vingt ans que je suis marié à ta mère..., dit-il en sortant."Le lundi j’en parlais aux autres. Esteban et Felipe avaient aussi eu une discussion avec leur père. Celui-ci leur avait conseillé de ne surtout pas s’excuser vu que ce n’était pas de leur faute. Olivier et Germain notèrent quand même que mes parents étaient toujours mariés et pas ceux des frangins. Nous passâmes voir Paul vers midi."Vous voulez me parler les garçons ? On va aller dans le bureau."Mme C et Mlle G se pointèrent alors que nous allions entrer dans son bureau."Paul ? On part déjeuner. Est-ce que... est-ce que... est-ce que tu viens avec nous ? demanda Mlle G.""Euh, je dois faire un point avec ces messieurs.""Tant pis à toute à l’heure, lui dit Mme C.""Euh à toute à l’heure, bafouilla Mlle G."Une fois la porte du bureau fermée, je lui expliquai le point de vue de mon père, je fus surpris de sa réponse."Je connais, je pratique aussi. Mais là j’ai du mal à m’y résoudre quand même...""Du coup, on fait ça ? demandai-je.""Je sais pas. J’ai besoin d’y réfléchir, nous dit Germain.""Moi aussi, dit Felipe.""On se donne jusqu’à jeudi ? proposai-je."Ils étaient d’accords. Nous reparlâmes du mercredi précédent."Euh, vous croyez qu’elle va encore changer de mec ? demanda Esteban.""Pourquoi ?""Bah, euh, avec Felipe on la materait bien encore une fois."On peut bien la mater sous la douche même si elle est seule, lui répondit Germain.""Oui mais c’est moins excitant et ça nous donnerait moins envie de...""Moins envie de quoi Felipe ?""Euh bah, eh Esteban aide moi un peu là !""Bon euh, ça nous a bien soulagé ce qu’on a fait après alors...""Alors vous vous êtes dit que si on revoyait tous cette grosse cochonne on aurait tous besoin de se soulager, comprit Olivier.""Euh c’est vrai que ça nous a plus détendu qu’une simple branlette.""Bah vous pouviez pas le demander plus simplement ? se moqua Germain. Si vous changez de bord...""Non, non, mais c’est sûr que sans la voir baiser, on pense qu’aucun de nous aurait sauté le pas, se défendit Esteban.""C’est vrai que j’ai bien aimé, confia Olivier. Je veux dire, le fait d’être plus soulagé.""Bon, on verra bien mercredi. Je ne me vois pas le planifier à l’avance, conclut Paul."C’était évident que si nous ne le voyions pas comme spontané, nous risquions d’être trop mal à l’aise. Ça faisait cinq minutes que nous étions là quand on frappa à la porte."Entrez !""Euh excuse-moi, je crois que j’ai oublié mon badge de cantine dans mon sac."C’était Mlle G, elle entra et prit son sac. Elle fouilla dedans, tout en nous jetant des coups d’œil furtifs. Finalement, elle abandonna et dit :"J’ai dû l’oublier dans la voiture. Euh désolé du dérangement.""C’est pas grave, lui dit Paul."Elle repartit nous laissant seuls. Nous dîmes à Paul que nous souhaitions effectivement augmenter l’intensité. Puis Oliver sortit complètement hors contexte :"Au fait, elle a retrouvé sa veste de survêtement ?""Hein euh oui, répondit Paul."Nous allions reprendre la conversation sur notre future séance quand Germain explosa :"Oh putain, elle nous a vu !""Mais non enfin, tu racontes n’importe quoi ! répondis-je.""Mais si, sa veste avait changé de place. La porte était bien fermée quand on est reparti alors que je l’avais laissée entrouverte nous pensant seuls. Et regardez comment elle est troublée quand elle nous voit !"Nous nous moquâmes d’abord de lui. Puis sa perception des choses nous parut crédible. Nous décidâmes de faire attention à son attitude le lendemain en EPS.Le mardi, nous observâmes attentivement Mlle G. Elle nous matait clairement ! Elle voulait se faire discrète mais nous n’avions plus trop de doute. A la fin du cours, Paul nous prit à part. Il nous dit qu’il pensait également qu’elle avait changé de regard sur lui. Si elle nous avait vu une fois, elle essayerait sûrement de recommencer.Mercredi, elle finissait son entraînement quand nous entrâmes dans la salle de gym. Nous la saluâmes et elle vint nous parler un peu. Mais cette fois, elle bafouillait comme lundi et n’osait pas trop nous regarder dans les yeux. Nous enlevâmes nos t-shirts pour être tous les six torses nus devant elle. Elle rougit outrageusement en nous regardant faire. Nous avions décidé de la chauffer un peu. En partant elle laissa derrière elle sa veste de survêtement, histoire d’avoir une raison pour revenir ici. Nous attendîmes un peu avant d’entendre la douche. Paul sortit rapidement pour voir si quelqu’un l’attendait. Il n’y avait personne pour une fois. Dans le local nous dégageâmes les trous pour l’observer. Elle ne se douchait pas, elle se masturbait sous la douche. Elle se fourrait la chatte avec trois doigts en donnant de grands coups. Son autre main malaxait ses seins avec très peu de délicatesse. Elle jouit rapidement sous ses "caresses". Nous nous étions relayés au poste d’observation et nous bandions déjà tous les six.Nous fîmes un peu notre entraînement comme d’habitude, nous ne voulions pas lui mettre la puce à l’oreille. A la même heure que la semaine précédente, nous mîmes fin à la séance et nous rangeâmes. Paul redéposa la veste au même endroit. Une fois dans la douche, nous avions déjà tous la trique."Je bande déjà à l’idée que Mlle G va venir nous espionner, dit Germain.""Ouais, on bande tous bien fort, ajouta Felipe.""J’ai trop hâte qu’elle se ramène, dit Olivier tout en se caressant la bite."Nous fîmes comme lui, nous nous caressâmes à la vue de tous. Mais comme la semaine d’avant j’avais besoin de plus que d’une branlette solo."Faut qu’elle nous retrouve dans la même position, rappelai-je.""Oui, c’est vrai, confirma Paul.""On s’y met tout de suite ? demanda Germain un peu impatient."J’eus l’impression que Mlle G n’était qu’un prétexte pour qu’on s’y remette. Cette fois je fus avec Felipe, Paul avec Olivier et Germain avec Esteban. Sans hésitation chacun mit la main sur la bite de l’autre et l’embrassa également. Nous étions par contre plus attentif à notre environnement. Nous entendîmes tout juste la porte qui menait à la salle de gym. Nous avions bien fermé la porte du vestiaire, nous l’entendîmes s’ouvrir : elle approchait. Ça me plaisait bien de me faire reluquer de la sorte. Nous vîmes un œil se glisser pour nous espionner. Nous attendîmes un peu puis :"Allez ! cria Paul."En une seconde ou deux nous avions arrêté nos étreintes et nous étions sortis des douches pour encercler Mlle G."Alors Graziella. On joue les voyeuses ? demanda Paul.""Euh non, non. Ce n’est pas ce que tu crois. J’ai oublié ma veste et j’ai entendu des plaintes alors je me suis inquiétée.""Tu mens. Tu savais très bien ce qu’on faisait. Comme la semaine dernière.""Non, c’est la première fois.""Non, Mlle G. On voit bien que votre regard sur nous a changé, dit Olivier.""Oui. Vous n’avez pas remis la veste au bon endroit et la porte du vestiaire a trahi votre présence, continua Esteban.""Non, non. Vous vous trompez."Je tentai alors un coup de poker."Et lundi, vous avez tenté de nous surprendre en prétextant chercher votre badge de cantine. Alors qu’il dépassait de votre poche."Ce qui était faux mais il fallait essayer."Oui, c’est vrai, finit-elle par avouer. Euh j’ai toujours rêvé de voir des hommes baiser ensemble.""Mais on baise pas ensemble, lui rétorqua Germain.""Oui je vous ai vu juste vous branler. Cette semaine j’espérais voir plus."Elle était passée de la femme forte et un peu dominatrice à faible et soumise."Voir plus ?""Oui, Paul. Au moins vous voir vous sucer.""Vous voudriez nous voir ? demanda Felipe.""Oui.""Et on aurait quoi en échange ? poursuivit Germain."Il était prêt à sucer ou se faire sucer pour obtenir quelque chose d’elle ? L’idée me choqua puis rapidement elle fit palpiter d’envie ma bite."Euh, euh, vous pourrez me baiser si vous voulez, dit-elle sans conviction."Je pensai qu’elle croyait que nous la tourmentions un peu avant de lui mettre une raclée ou de la dénoncer. Elle oubliait qu’elle avait un moyen de défense, elle pouvait dénoncer Paul à la direction. Nous nous regardâmes, je pensai que l’absence de sexe avec nos ex nous fit un peu disjoncter. Nous nous accordâmes tous pour accéder à sa demande. A sa grande surprise Paul lui dit :"C’est d’accord Graziella. Mais à poil comme nous, sinon ce n’est pas juste.""C’est vrai ? demanda-t-elle.""Oui, à poil ! ordonna Germain."Elle se déshabilla devant nous. Nous fîmes parcourir nos mains sur son corps. C’était incroyable ces nichons et ce cul."Eh, on a dit après que vous vous soyez sucés, nous rappela-t-elle timidement."Paul, Esteban et Germain s’assirent sur les bancs. Nous nous plaçâmes devant eux à genoux. Moi avec Esteban, Olivier avec Paul et Felipe avec Germain. Nous commençâmes tout de suite à les sucer. Il ne fallait pas trop réfléchir sinon nous n’y serions jamais allés. J’avais déjà fait l’expérience une fois. Mais je ne l’avais pas fait avec Esteban. Je me demandais comment il allait réagir. Bien a priori, quand il commença à gémir. Paul et Germain aussi soupiraient de plaisir. Ils nous encouragèrent :"Oh oui c’est bon. Continue. Vas-y plus profond."Et à ma grande surprise, ils nous appelaient par nos prénoms. Clairement, ils n’imaginaient pas se faire sucer par des nanas. Derrière, je vis que Mlle G s’était assise et se paluchait en nous matant. Au départ cela me plut d’avoir une voyeuse mais elle commença à nous parler assez mal :"Allez, mes petits PDs. Sucez-vous bien. Vous m’excitez mes petites putes."Elle reprenait son tempérament dominateur qu’elle semblait avoir avec ses jeunes amants. Si nous nous comportions comme ça, je comprenais les filles d’une certaine façon. Je préférai me concentrer sur le plaisir à donner à Esteban. Nous échangeâmes nos places. Esteban me prit en bouche. Il suçait bien, même sans avoir eu de cours par Elisa. Je le complimentai comme il l’avait fait avec moi. Et je l’appelai par son prénom. L’autre grosse salope continuait à nous parler vulgairement. Esteban me suçait divinement mais je me rappelai la douceur et l’agilité de la bouche et de la langue d’Amandine. Elle suçait parfaitement bien ma queue. Après un an de relation, elle connaissait très bien mes réactions. Nous nous relevâmes et nous nous dirigeâmes vers Mlle G. Elle s’était bien tripotée de son côté. Nous la levâmes et nous remîmes les mains là où elles étaient toute à l’heure. Nous la caressions partout."Allez-y plus fort mes cochons. Je suis pas en sucre."Nous nous appliquâmes à lui faire plaisir. Nous la malaxâmes avec plus de rudesse. A tour de rôle nous vînmes mettre notre visage entre ses énormes mamelles. C’était beau des trucs aussi gros. Mais ils étaient beaucoup moins sensibles et réactifs que ceux d’Amandine. Les siens pointaient, réagissaient, frissonnaient à mes caresses fortes ou légères. Là, il fallait y aller comme une brute pour avoir des réactions. Elle sortit de son sac une boîte de capotes et nous nous en couvrîmes les queues. Mlle G fit allonger Germain, elle se positionna et le chevaucha comme une folle furieuse. Puis elle passa rapidement à Olivier. Pendant ce temps nous nous branlions les uns les autres tout en regardant. Parfois j’étais un peu brusque avec Amandine, comme la dernière fois que nous avions baisé, mais c’était exceptionnel.Ce fut mon tour, elle se mit au-dessus de moi et s’empala sur moi. Elle se baisait elle-même plutôt qu’avec moi. Elle se triturait les nichons comme une sauvage. Elle me renvoya rapidement pour passer à Esteban. Je me relevai et Germain vint me masturber et me rouler une pelle. Je ne pensais pas un jour plus apprécier les attentions d’un autre mec que celles d’une femme. Je lui rendis son baiser et le branlait à mon tour. Elle finissait avec Felipe quand je regardai de nouveau. Elle finit son tour par Paul. Je pense qu’elle avait voulu garder la plus grosse bite pour la fin. En se relevant, Paul fut attrapé par Felipe. Celui-ci l’embrassa et caressa son sexe avec douceur, tendresse presque. Je vis que Paul savourait plus cette étreinte que la précédente."Mais et moi ? A qui le tour ? demanda Mlle G."Mais nous ne lui répondîmes pas."Eh, mais vous êtes vraiment homos en fait.""Non, on préfère les filles, lui dit Esteban.""Mais on préfère encore se toucher entre nous que faire des trucs avec vous, continua Felipe."Elle devint rouge de confusion, de honte et de colère."Mais on avait dit que vous me baiseriez.""C’est fait. T’as qu’à te branler devant nous.""Mais je m’attendais pas à ça. D’habitude tous les mecs que je baise veulent se finir sur mes nichons... implora-t-elle.""Si tu veux, on peut décharger sur tes nibards, lui dit Paul."Nous retirâmes les capotes devenues inutiles et nous retournâmes à nos plaisirs gays. Du coin de l’œil je la vis se caresser, toujours avec la même rage. Amandine était bien plus belle quand elle se caressait. Elle se donnait du plaisir mais se mettait un peu en scène pour me faire plaisir aussi. Olivier et Esteban sentirent leur sperme monter, ils se tournèrent vers les mamelles de la prof et tout en continuant à s’embrasser ils se branlèrent au-dessus. Ils jouirent en même temps sur elle. Puis je sentis ma propre jouissance arrivée. Avec Germain nous nous approchâmes sans décoller nos bouches. Nos jets atterrirent sur les seins de Mlle G. Quand nous laissâmes la place, Paul et Felipe se branlèrent comme nous autres. Ils ne regardèrent presque pas la prof, préférant s’embrasser l’un l’autre.Mlle G se malaxa violement les seins tout en nous lançant des œillades appuyées. Elle ne donnait pas envie. Elle se masturba sous nos yeux et en se fourrant quatre doigts dans la chatte. Elle jouit rapidement sur le sol du vestiaire. Nous allâmes nous doucher, elle d’un côté, nous de l’autre. Elle partit rapidement sans un mot, la tête basse.La nuit suivante je rêvai que je faisais l’amour avec Amandine. J’eus l’impression de revivre notre première fois. Le matin, je me décidai à parler aux autres. Eux aussi avait de nouveau rêvé à leur ex. Je leur dis que la veille j’avais beaucoup repensé à elle dans le vestiaire. Ils avouèrent également qu’ils avaient repensé à elles aussi, comparant la folle furieuse à leurs copines. Nous dûmes également nous avouer que nous avions bien dit le nom du mec qui nous suçait et que, comme nous l’avions dit à Mlle G, nous préférions encore ça plutôt qu’elle. Nous nous étions donnés jusqu’au jeudi soir pour savoir si nous devions commencer par présenter des excuses. Nous étions tous les six d’accord pour le faire. Mais quand allions-nous être tous et toutes réunis ?Paul et Elisa n’avait pas eu de rapprochement la nuit même, ni la suivante. Le vendredi matin Paul nous avertit que sa femme lui avait demandé de venir à l’atelier du vendredi. Voilà, quelque chose allait se dénouer le vendredi soir. En bien ou en mal.
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