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Le projet artistique

Chapitre 35

Réveillon 2

Orgie / Partouze
Maxime narrateur
Je repris difficilement mes esprits. Ma main voulut explorer l’intimité d’Amandine, mais elle m’arrêta et se releva. Elle se tourna vers moi et m’embrassa. Tous les couples en faisaient autant. Elle se détacha de moi et me demanda :
— Tu as aimé notre show ?— Oui. Beaucoup. Mais la deuxième partie était improvisée non ?— Après votre déclaration, il fallait bien qu’on fasse quelque chose en plus.— En tout cas, j’ai beaucoup apprécié cette partie aussi.— Je vois ça, me dit-elle en passant sa main sur la protubérance de mon boxer.— Ça m’a donné chaud tout ça. Si on allait boire un coup ? proposa Olivier.— Oui, nous aussi on a chaud, mais pour une raison bien moins coquine, rit Marie.
Nous avions un peu chaud, mais nous remîmes nos chemises, les filles enfilèrent nos vestes. Elles étaient vraiment hyper-sexy avec leurs talons hauts, leurs bas et leur lingerie. En plus, porter nos vestes leur donnait un petit air de femme fatale. Paul ouvrit une nouvelle bouteille et nous servit comme la première fois. Du coup, il dut en entamer une autre pour servir tout le monde. Je vis que ce nouveau verre avait tendance à faire monter le rose aux joues de ces dames. J’avouai que de mon côté, je sentais les effets de l’alcool. Carine brancha sur la sono de la salle la radio et prit une station au hasard. L’important était qu’il y ait de la musique.
Le présentateur à la radio proposa à ses auditeurs de jouer avec lui et deux personnes présentes dans les studios. Ces personnes allaient participer à un quiz musical, il allait passer les morceaux 15 secondes, et chacune devrait écrire sur une ardoise le nom de la chanson. Il laissait ces 15 secondes pour les auditeurs qui voulaient jouer de chez eux. Le jeu commença alors que nous parlions du projet artistique. Le quiz n’était pas trop dur, je trouvais. Mais je séchai sur un morceau :
— C’est quoi ça ? me demandai-je tout haut.— Hein ? Quoi ?— Ecoute Am, la chanson là.
Elle tendit l’oreille, me répondit tout de suite. Effectivement avec le nom, je reconnus la chanson d’un chanteur à minette.
— Pff, en même temps. Qui écoute ça ?— C’est pas une question d’écouter ou pas. C’est une question de culture musicale, me rétorqua Carine qui nous avait écoutés.— Oh ça va, on a tous de la culture musicale, lui répondit son chéri.
— Oui Fil a raison. On a de la culture musicale comme vous, ajouta son frère.— On dit pas que vous n’en avez pas, on dit juste que nous sommes plus ouvertes musicalement que les mecs. Comme pour beaucoup de choses d’ailleurs, dit de façon sibylline Sylvie.— Chiche, lançai-je.— Chiche quoi ? me répondirent les filles.— On fait garçons contre filles et on voit qui sont les meilleurs à ce jeu.
Nous installâmes rapidement les matelas par terre et les sacs de couchage pas loin. C’était plus confortable comme ça et plus pratique pour se concerter avant de répondre. La partie avait déjà bien commencé à la radio, on prit le train au milieu de la première manche. Nous commençâmes à notre tour, rapidement je me rendis compte que nos femmes allaient être difficiles à battre. Elles durent se dire la même chose. Nous en étions à égalité quand il y eut une coupure pub. Germain et Olivier en profitèrent pour ramener les verres et nous servir une nouvelle fois en fines bulles. Il ne restait plus que deux bouteilles. Je n’aurais pas pensé qu’on en boive autant. Mais tout le monde s’amusait et nous dormions tous ici... L’ambiance festive, l’excitation du jeu et l’alcool nous donnaient chaud, les mecs enlevèrent leurs chemises et les filles ôtèrent nos vestes.
Les filles voulurent pimenter un peu le jeu en soumettant à un gage l’équipe perdante. Il ne fut pas dur de convaincre tout le monde de participer. Le jeu reprit avant que nous nous décidions sur le gage à donner aux filles. La lutte fut acharnée, mais sur un truc des années 70 connu que de Paul nous remportâmes la manche. Nous nous concertâmes rapidement entre nous, quel genre de gage on pouvait leur donner.
— J’ai pas d’idée, vous en avez ? demandai-je.— Heu, moi j’aimerais bien savoir qui m’a embrassé. Vous savez la fois où on a fermé les yeux, proposa Olivier.— On leur demande juste ça ? maugréa Felipe.— Bah, autant qu’elles embrassent à nouveau le même mec, suggéra Germain.
Ça me convenait parfaitement. J’avais hâte de savoir qui m’avait roulé une pelle ce soir-là.
— Bien, mesdames. Nous nous posions la question de savoir qui nous avait embrassés le soir où vous nous aviez demandé de fermer les yeux. Et le mieux, pour être sûrs de votre réponse, est que vous nous embrassiez de nouveau, leur dit Paul.
Elles pouffèrent toutes et s’offusquèrent en riant. Mais elles acceptèrent à une condition : que nous fermions les yeux au début du baiser. Elles attendirent que nos yeux soient clos avant de bouger. J’entendis rire et glousser puis je sentis quelqu’un s’asseoir devant moi. Son visage s’approcha du mien et nos lèvres se touchèrent. Je reconnus sur-le-champ, le même goût, la même odeur, la même façon de faire. Ses lèvres se détachèrent des miennes et j’ouvris les yeux. C’était Marie qui était en face de moi. C’était donc elle ! Je n’aurais jamais pensé que ça puisse être elle. Je regardai autour de moi pour voir qui d’autre avait changé. Ces petites cochonnes avaient toutes échangé leurs mecs : Elisa avec Germain, Amandine avec Felipe, Sylvie avec Paul, Liz avec Esteban et Carine avec Olivier.
A la radio, la deuxième manche avait repris. Les filles voulurent leur revanche. Nous acceptâmes avec plaisir. La bataille fut de nouveau acharnée entre les deux équipes. Mais elles se détachèrent inexorablement et gagnèrent finalement avec un petit écart. Elles nous demandèrent de leur faire un show sur la musique de Rocky comme elles. Carine coupa la radio et lança la musique. Nous étions montés sur la petite scène. Nous essayâmes de faire au mieux, sachant que nous ne savions pas danser comme elles et que nous n’avions rien préparé. Mais comme c’était "Eye of the tiger", nous prîmes des poses et nous fîmes des mouvements de boxes pour agrémenter notre show. Les nanas étaient tout excitées de nous voir nous donner en spectacle. Elles sifflaient, elles criaient, elles nous encourageaient. Nous nous prîmes au jeu et nous dansâmes comme nous pûmes. Puis l’une d’entre elles cria :
— Un strip-tease, un strip-tease !
Ses copines reprirent ce refrain en chœur :
— Un strip-tease, un strip-tease ! A poil, à poil !
J’étais un peu chaud suite au baiser avec Marie et à les mater discrètement dans leur lingerie de fou. En plus, les quelques verres bus nous avaient mis dans un état légèrement euphorique. Du coup, je bandais à moitié, ça me gênait un peu de me montrer comme ça. Et puis je vis des bosses dans les caleçons et boxers de mes amis, je me rassurai de ne pas être seul à avoir une demi gaule. Esteban et Felipe passèrent les pouces sous l’élastique de leurs caleçons, jouant un peu avec. Cela surexcita encore plus nos copines. Je fis comme eux en faisant semblant de le descendre avant de le remonter. Elles avaient crié des "Oui, oui, oui." Mais m’avaient hué ensuite. Olivier et Germain montrèrent le début de leurs fesses tandis que Paul passait sa main sur sa bosse, elles applaudirent :
— Encore, encore. On veut tout voir.
La chanson se terminait, Germain nous demanda :
— On leur fait plaisir ?
Nous nous mîmes de dos, nous fîmes descendre d’un geste vif nos sous-vêtements à nos pieds, nous les lançâmes en arrière. J’entendis nos copines se battre pour avoir chacune le sien. Puis nous nous remîmes face à elles sur la dernière note de la chanson. Elles se pâmèrent un peu en nous admirant, apparemment nos corps musclés par les séances de boxe et nos sexes à moitié bandés faisaient leur petit effet. Je n’avais pas trop fait attention, mais c’était vrai que nos corps avaient pris du muscle. Même Olivier avait perdu sa petite bedaine.
— On a vraiment de beaux mecs, lança Sylvie.— Il va falloir qu’on fasse attention, on va se les faire piquer, ajouta hilare Marie.— Oh, mais j’ai l’habitude d’être sur mes gardes, rit Elisa. Mais là, je vais devoir redoubler de surveillance.— Des vrais chippendales, ajouta Amandine.
Elles ne se moquaient pas de nous, je voyais bien qu’elles avaient envie de nous croquer tout cru. Liz semblait avoir pris conscience du changement chez Olivier. Elle se mordillait la lèvre de désir. Nous descendîmes pour récupérer nos sous-vêtements. Je cherchai le mien du regard, c’était Liz qui l’avait. Je ne savais pas si elles l’avaient fait exprès, mais aucune n’avait le caleçon de son copain. Comme Esteban se penchait pour reprendre son caleçon à Marie, celle-ci lui répondit en l’agrippant :
— Ah non, il est à moi.— C’est vrai, vous nous les avez lancés. Ils sont à nous maintenant, argua Amandine.— Vous avez perdu la manche. Alors on les garde.— Hé Sylv, on devait juste danser. C’était ça le gage.— Seb a raison, repris-je. On vous a fait plaisir en nous foutant à poil. C’est un bonus, faut pas abuser quand même.— Fallait pas nous les lancer, me répondit Liz.— Alors vous nous donnez vos strings en échange, les défia Felipe.
Je pensai que ça allait les calmer et les inciter à nous rendre nos sous-vêtements. Mais elles rirent et rosirent à cette idée.
— Et puis quoi encore, s’offusqua faussement Amandine.
Je saisis l’occasion et lui lançai un petit défi :
— De toute façon, vous ne seriez pas capables d’être aussi à l’aise que nous d’être à poil.— Vous nous prenez pour qui ? rétorqua-t-elle tout de suite.— Pour des nanas qui oseraient pas, les piqua Paul.— Vous allez voir, lui répondit sa femme.
Mais aucune ne bougea vraiment. Et puis Amandine se décida la première, rapidement suivie par Sylvie. Ma copine me tendit son string et Sylvie le sien à Esteban, mais celui-ci lui dit :
— C’est gentil, mais ce n’est pas toi qui as mon caleçon. C’est Marie...— Pareil Am, c’est Liz qui a mon boxer...— Bon, les filles, vous allez pas nous laisser toutes seules quand même, implora Amandine.
Avec un regard malicieux, les quatre autres nanas enlevèrent leurs strings et les tendirent aux garçons à qui elles avaient pris le sous-vêtement. Amandine à Felipe, Marie à Esteban, Liz à moi, Elisa à Olivier, Carine à Paul et Sylvie à Germain. Je gardai comme un trophée ce morceau d’étoffe. J’y respirai rapidement les odeurs, je reconnus bien celles de Liz. Il était même légèrement humide. La situation l’émoustillait un peu. En voyant les autres hommes sentir comme moi les strings reçus, je compris qu’il en était de même pour toutes les femmes.Carine repartit remettre la radio. Le jeu avait continué sans nous. La troisième manche était presque finie. Nous nous rassîmes par équipe et nous attendîmes la manche suivante. En fait, nous comprîmes que la station de radio avait prévu que le jeu dure assez longtemps. Il n’avait pas été nécessaire de demander si tous voulaient continuer, moi je voulais ma revanche sur les filles, les mecs aussi. Et les filles voulaient nous clouer le bec.
* * *


La partie reprit et nous étions dans de sales draps. Est-ce que nos chéries avaient vraiment une meilleure culture musicale que nous ? Ou bien était-on simplement mal tombé dans le choix des chansons ? En tout cas à la moitié de la manche, elles avaient plusieurs points d’avance. Et puis petit à petit, nous commençâmes à rattraper notre retard. Cela allait se jouer au finish. A la dernière chanson de la manche, elles avaient encore un point d’avance. La musique ne me disait rien du tout, mais à elles non plus. Tout le monde sécha. Elles gagnèrent la manche un peu par défaut, nous étions sur les nerfs. Elles se réunirent en messes basses. J’entendis que plusieurs propositions étaient faites, mais qu’aucune ne remportait l’adhésion de nos salopes de copines. Et puis comme souvent, Carine qui n’avait pas dit grand-chose sembla avoir une idée qui plut aux autres.
— Y a Kiki qui a encore une idée, me souffla Germain.— J’ai vu. Qu’est-ce qu’elle va nous trouver encore comme truc pervers ?— Ça t’inquiète ?
Je mis deux ou trois secondes avant de répondre.
— Euh, non, ça m’excite un peu en fait.— Hi hi, moi aussi. J’ai la bite qui tressaute.
Je le regardai, il avait la verge qui s’agitait un peu en prévision de ce qui nous attendait. Je regardai la mienne, elle s’impatientait aussi. Un coup d’œil sur les bites des mecs, soit elles remuaient soit du liquide suintait du méat.
— Nous avons décidé de votre gage, commença Sylvie.— On a un peu cherché pour trouver quelque chose d’un peu plaisant pour tout le monde, poursuivit Marie.
Je me dis alors qu’elles allaient nous demander de leur bouffer la chatte. Ça allait surtout être plaisant pour elles, bien que je ne rechignais jamais à la tâche.
— Je vois à quoi vous pensez et on y a songé, nous expliqua Amandine.— Et finalement, on s’est dit, sous les bons conseils de Carine, qu’on pourrait vous demander ce que vous nous avez demandé aussi.
Je ne voyais pas trop de quoi elle parlait. Nous ne leur avions rien demandé de spécial ce soir-là.
— Vous nous avez imposé de nous gouiner entre filles devant vous. Alors on vous demande de vous sucer entre vous pour notre plaisir.
Liz finit sa phrase toute rouge.
— Et euh, on voudrait que vous fassiez ça en 69. Et que vous jouissiez dans la bouche du gars avec vous, termina Carine.
Elles étaient rouges de honte et d’excitation de nous demander ça. Quelles salopes quand même ! Aussi perverses que nous ! Loin de me choquer, cela chauffait mes sens de me mettre en scène devant elles. Je pensai que le champagne bu dans la soirée nous désinhibait. Elles se mordaient les lèvres ou se tordaient les doigts en attendant notre réponse.
— Eh, les gars on fait quoi ? chuchota Olivier.— Euh, je sais pas, répondit Germain.— En un sens, on a joué et on a perdu, rappela Paul. Mais bon quand même.— Pas faux, répondit Esteban.— Mais bon, vous avez vu comment elles se sont donné du mal pour leur numéro et tout ?— Et puis vu le nombre de fois qu’on leur a demandé ça. Peut-être qu’on pourrait...
Je venais de proposer de nous sucer devant nos chéries. Ils acceptèrent tous bien vite. Je pensai alors que leurs interrogations n’étaient que de façade.
— Alors messieurs ? nous interrogea Elisa.
En les observant, on pouvait voir qu’elles stressaient un peu quant à notre réaction. Il n’était pas besoin de mots pour leur montrer que nous étions d’accord pour le faire. J’attrapai délicatement la bite d’Olivier à ma droite et commençai à le branler. Il fit de même avec la mienne et me roula une pelle. Je vis rapidement que Germain et Esteban d’un côté, Paul et Felipe de l’autre avaient aussi débuter par une branlette et un patin. J’entendis les filles réagirent :
— Ils vont le faire ! Ils vont le faire !— Oh la la, j’y crois pas.
Plusieurs autres commentaires sortirent de leurs bouches sans que je puisse clairement identifier qui les disait. Rapidement, j’allongeai Olivier sur le dos et vins me mettre au-dessus de lui. Je l’astiquai encore un peu. Un coup d’œil aux autres me permit de voir que Germain et Esteban avaient déjà commencé à se sucer. Germain dessous et Esteban dessus. Paul et Felipe étaient tout juste en train de s’allonger. Felipe vint sur le prof et enfourna tout de suite son épais morceau de chair bandée dans sa bouche. Paul en fit autant avec la queue du jumeau. Je ne perdis pas plus de temps, car j’étais le dernier à ne pas sucer la verge de mon partenaire, Olivier s’activant déjà joyeusement sur mon membre. Je me mis à la tâche, il réagit tout de suite en émettant de petits gémissements. Il s’activa un peu plus pour me faire gémir aussi. Des deux paires de 69 me parvenaient aussi quelques plaintes et soupirs. J’entendis clairement nos petites cochonnes commenter nos ébats :
— Incroyable. J’aurais pas pensé qu’ils le feraient.— Dingue, regarde comment ils se sucent à fond. Ils ont plus peur.— Je comprends maintenant pourquoi ils aimaient bien nous mater. Ça me fait mouiller comme une fontaine.— On a vu, regarde tes cuisses.— Oh oui. Mais les tiennes sont pareilles.— On mouille toutes devant ça. J’en peux plus...
Elles chuchotaient, du coup, il était impossible de bien identifier qui disait quoi. En plus, il y avait le bruit des mecs se suçant, et mon propre plaisir pris grâce à la bouche d’Olivier. Je sentais d’ailleurs que je n’allais pas tarder à tout lâcher. Je l’avertis discrètement :
— Hmm, hmm, ça vient.— Mmmh, mmmh, moi auchi.
J’accélérai alors ma fellation et lui aussi. Esteban et Germain gémirent et soufflèrent particulièrement fort. Est-ce qu’ils jutaient dans la bouche l’un de l’autre ? Impossible à savoir aux simples bruits qu’ils faisaient. Mais les nanas et leurs commentaires me donnèrent la réponse :
— Ils avalent ! Ils avalent !— Ah les cochons. Les cochons.— C’est hyper-excitant.
Soudain, les mains d’Olivier se crispèrent un peu sur mes fesses. Il allait jouir, j’eus hâte qu’il m’emplisse la bouche de son foutre. Il me suça aussi vite qu’il le pouvait tout en me massant les couilles. Cela m’acheva et je libérai mon sperme le premier. A peine avais-je commencé qu’il éjacula lui aussi. J’avalai tout au fur et à mesure des saccades que je recevais. Son sperme avait plutôt bon goût, je trouvai. Ou alors je m’habituais à en avaler. Olivier but jusqu’à la dernière goutte que je libérai sur sa langue et son palais. Je ne laissai rien perdre non plus.
Je ne m’en étais pas rendu compte, mais les deux derniers étaient en train de jouir aussi. Paul et Felipe étaient en train de finir de se vider les couilles dans la bouche de leur partenaire. Tandis que nos coquines continuaient leurs commentaires admiratifs. Je me focalisai un peu sur elles. Elles se tripotaient la chatte ou les nichons en nous matant ! Paul et Felipe finirent par se désemboîter l’un de l’autre. Nous nous relevâmes tous les six. Je pris le temps d’embrasser de nouveau Olivier pour le remercier de ce moment. Il me rendit mon baiser avec entrain. Les quatre autres en firent autant, il me semblait que nous commencions à nous aimer entre garçons comme les filles s’aimaient entre elles. Elles eurent un peu de mal à stopper leurs mains. Mais elles finirent par redescendre sur Terre.
— Ouh lala, quel spectacle, nous dit Sylvie.— Vous nous avez excités comme c’est pas permis, renchérit Marie.— Pfiou, j’aurais jamais pensé voir ça un jour, commenta Liz.— Aucune de nous, surtout si on repense au week-end chez Mimi, dit Amandine.— Bon, ça m’a donné chaud et soif tout ça, nous dit Elisa.
Je n’étais pas contre un verre : avaler ne me posait pas de problème, mais à la longue, garder le goût en bouche devenait désagréable. Paul ouvrit une bouteille et commença le service. Il ouvrit la dernière pour remplir les verres encore vides puis dit :
— Bon, vu ce qu’il reste, on va pas gâcher.
Et il vida cette bouteille pour remplir les verres un peu plus. Les filles vinrent trinquer avec nous. Elles nous félicitèrent pour notre performance et nous promirent de ne plus jamais râler si nous leur demandions de nouveau de se donner en spectacle pour nous. Nous leur dîmes qu’à l’occasion, nous voulions bien le refaire pour elles.
* * *


A la radio, le jeu avait bien avancé, ils débutaient la dernière manche. Moi j’avais envie de prendre ma revanche, cela faisait deux défaites de suite. Il fallait au moins revenir à égalité avec elles :
— Bon allez, dernière manche.— Vous voulez encore perdre ? se moqua Sylvie.— Non, on va gagner cette fois, lui répondit Germain.— Vous êtes sûrs, vous voulez qu’on vous laisse deux points d’avance, ah ah ah.
Liz nous taquinait franchement, ça piquait un peu notre orgueil.
— Non pas besoin. On va vous mettre une raclée, se targua Olivier.
Nous nous rassîmes sur les matelas et nous prîmes le jeu de la radio en route. En fait de raclée, c’était très serré. Si serré qu’à la fin de la manche, nous étions à égalité. Mais les participants dans le studio n’avaient pu se départager non plus. Le présentateur annonça alors une série de dix chansons où il faudrait être le plus rapide. S’ils étaient plus rapides que nous, nous ne pourrions marquer des points.
La première chanson partit. Amandine trouva tout de suite "3 nuits par semaines." La deuxième je trouvai "1990". Les deux suivantes furent trouvées par les filles. Puis la cinquième par nous. Pour la sixième, un des joueurs en studio fut le plus rapide. Nous avions toujours un point de retard. Esteban trouva ensuite le morceau de rap qui passait. La huitième fut trouvée par Liz, un chanteur à minettes, inconnu de moi. Nous étions très mal, il ne leur manquait qu’une bonne réponse. Après un instant de flottement, Esteban trouva "Porque te vas". La dernière chanson allait être lancée, nous étions au taquet. Dans le studio, le présentateur faisait monter la tension, car les deux joueurs étaient à égalité.
Nous nous défiions du regard entre garçons et filles. J’imaginais déjà ce qu’elles auraient été capables de nous faire faire si elles trouvaient la réponse avant nous. Le présentateur dit :
— Prêt, 3, 2, 1.
Il lança la chanson, mais à peine avions-nous entendu deux notes que Paul s’exclama :
— Stairway to heaven !
Je fus ébahi par sa rapidité sur ce coup-là. Mais il avait raison, nous venions de gagner la dernière manche. Alors qu’à la radio, on était en train de féliciter le gagnant, nous, nous avions entamé une petite danse de la victoire. Cela devait être comique de nous voir nous déhancher avec nos bites à l’air. Les filles firent la moue et parurent mauvaises perdantes. Elles nous tirèrent la langue et prétendirent qu’elles nous avaient laissés gagner. Mais elles riaient de nous voir danser comme des idiots. Il fallait choisir le gage que nous allions leur imposer. J’avais eu plusieurs idées, les autres aussi évidement. Ce fut Olivier qui proposa quelque chose de juste.
— Fil et Seb n’ont jamais profité d’une pipe d’autres nanas que les leurs alors qu’on a tous essayé les talents de Kiki et Sylv.— Ah ouais, ça serait cool pour vous, approuvai-je.— Euh, d’accord, mais euh vous allez pas juste regarder quand même, s’inquiéta Felipe.— Vous voudriez pas que Sylv et Kiki s’occupent de vous en attendant ? suggéra Esteban.— C’est gentil de penser à nous, les remercia Paul. On est d’accord alors ? Amandine, Marie, Liz et ma femme pour les jumeaux, Sylvie et Carine pour nous quatre ?
Nous approuvâmes le gage et nous annonçâmes la couleur :
— Alors, mes coquines, un peu de calme, leur lança Paul.
Elles se calmèrent un peu et nous écoutèrent.
— Vous avez perdu quoique vous en dites, leur rappelai-je. Donc vous aurez votre gage.— Il nous a semblé logique de rétablir un certain retard ou déséquilibre.
Je les vis froncer des sourcils, ne comprenant pas où nous voulions aller.
— Pour être plus clair que Gégé, Seb et Fil ne sont arrivés que bien après dans le groupe, poursuivit Olivier.— Pour remettre les choses à égalité, ils nous ont proposé que vous nous suciez toutes les quatre : Liz, Marie, Amandine et Elisa.— Et comme Seb et moi ne voulons pas voir nos potes s’ennuyer, on se disait que Sylv et Kiki pourraient leur faire plaisir pendant ce temps.
Après quelques instants où je crus qu’elles allaient refuser, je vis des sourires gourmands se dessiner sur leurs visages.
— On est d’accord, mais pas d’éjaculation, OK ? demanda Carine.— On n’a pas demandé ça. On veut juste être en forme, lui répondit son copain.
Elles s’approchèrent alors de nous qui étions restés debout, suite à notre petite danse. Je me rapprochai de Paul et Carine se mit à genoux devant nous, par conséquent, Sylvie allait sucer Olivier et Germain. Amandine et Liz étaient sur Felipe tandis que Marie et Elisa étaient sur Esteban. J’enviais carrément les jumeaux d’avoir deux bouches pour s’occuper de leurs bites. Germain avait déjà eu ce plaisir ; peut-être Paul aussi, qui sait ? J’espérais profiter de cette expérience un jour.
Carine commença par nous branler un peu, histoire de faire grossir un minimum nos verges. Sylvie adopta la même technique. Les quatre filles se répartirent les tâches dans chaque trio, l’une masturbait doucement la bite du mec pendant que l’autre suçotait les couilles. Nous reprîmes tous assez de vigueur pour qu’elles entament vraiment leur pipe. Carine suçait l’un tout en branlant l’autre d’une main et elle changeait. Je vis que Sylvie faisait un peu la même chose. Elles ne savaient pas trop quoi faire avec deux bites dans les mains. Les trios s’en sortaient mieux, les filles n’avaient qu’à s’échanger leur place entre manche et couilles ou bien lécher la bite du garçon en même temps. Les jumeaux étaient visiblement aux anges. Elisa vit que Sylvie et Carine étaient un peu empétrées par les deux bites dont elles avaient la charge.
— Vous pouvez essayer de les prendre en bouche en même temps, leur dit-elle avant de reprendre en bouche Esteban et sa queue.
Je vis Carine prendre un peu de recul et jauger un peu nos membres. Elle devait sans doute se demander comment elle pourrait bien faire rentrer les deux en une fois. Elle nous fit nous serrer l’un contre l’autre et colla nos deux sexes. Elle les lécha tous les deux en même temps. Ça faisait bizarre de sentir contre ma tige celle d’un autre gars. Mais comme Carine nous léchait, ça passa tout seul. A ma gauche, Sylvie s’y essayait déjà. Mais avec la grosse bite de Paul, elle avait du mal à trouver une petite place pour Olivier. Elle réussit tout de même à faire rentrer les deux glands.
— Kiki, regarde comment fait Sylv, lui souffla Germain.
Elle se tourna pour voir et revint à la charge. Elle souffla un coup puis mit nos bites comme Sylvie et tenta le coup. Elle réussit à nous faire entrer un peu plus que Sylvie avec Paul et Olivier, mais pas beaucoup plus. C’était même limite désagréable d’être aussi serré dans sa bouche, je sentais ses dents râper contre la peau du prépuce ou sur le gland. Elle laissa tomber, voyant que nos sexes commençaient à faiblir. Sylvie aussi avait abandonné sa tentative et alternait de nouveau entre les deux hommes. Carine en fit de même et rapidement, je retrouvais la pleine mesure de mon sexe. Les filles s’arrêtèrent un peu après, satisfaites du résultat de leur travail.
— Ah la vache, c’était top, s’exclama Esteban.— Ah carrément frangin. Sentir deux langues, deux paires de lèvres sur son bâton. Quel pied !
Nous ne disions rien et Carine et Sylvie se plaignirent de ne pas avoir de compliments :
— Et on ne nous dit rien à nous ?— Euh, oui, c’était bien. Mais je préfère être seul dans votre bouche, dit Olivier.— Oui, oui, vous savez très bien nous faire plaisir, mais une bite à la fois, ajoutai-je maladroitement.— Bref, on est nulles, ragea Sylvie.— Non, non, mais vraiment on est plus à l’aise seul. Vous sucez toujours très bien, les rassura comme il put Paul.
Elles se calmèrent un peu.
— Mes chéries, c’était pas mal pour une première. Mais ça aurait été plus simple avec deux calibres standards.
Elisa maîtrisait donc la double fellation. J’espérai qu’elle pourrait enseigner ça aux filles.
— Vous savez toutes très bien sucer. On ne se plaint jamais de vous, on vous aime, leur dit Esteban.
Chacune avec vos petits trucs perso, vous nous sucez divinement bien, leur dis-je aussi."
— Parce que tu pourrais faire la différence entre nous ? s’étonna Liz.— Euh, peut-être. Je ne sais pas. Mais vous devriez être capable de savoir si c’est votre copain qui vous lèche, non ?— Pas faux. Mais c’est hyper-intime quand même, ça facilite les choses, me répondit Carine.— Oui, c’est sûr, mais rien que ton corps, je pourrais le reconnaitre les yeux fermés, lui dit Felipe.— Vraiment ?— Oui.— Moi aussi je pourrais, se vanta Esteban.
Je pensais aussi pouvoir identifier Amandine, les yeux fermés.
— Nous, nous pourrions vous retrouver. Les filles sont plus sensibles, plus délicates, lui répondit Sylvie.— Ah ça c’est clair. Nous ne sommes pas des gros bourrins de mecs, pouffa Amandine.— Je crois que tu as tort ma chérie.— Non Max, j’ai raison.— Un dernier pari pour finir la soirée ? lui lançai-je.— Euh t’es sûr de toi, Max ? me chuchota Olivier.— Qu’est-ce qu’on risque ? lui demandai-je.— Qu’elles nous demandent de nous enculer.
Germain et Paul tout près explosèrent de rire. Il me sembla qu’elles le prirent mal. Car elles ne paraissaient pas chaudes pour un dernier tour, mais croyant qu’on se moquait d’elles, elles finirent par accepter.
— OK, mais on fait quoi pour se départager ? demanda Carine.— On a dit que les yeux fermés, on pouvait retrouver copain ou copine, donc c’est ce qu’on va faire, avança Esteban.— Ça, on avait deviné, lui répondit sèchement Sylvie.— Euh, oui, mais je veux dire, euh on va se bander les yeux et tout.— Et ?— Les deux groupes jouent à tour de rôle. Le but euh : retrouver son copain ou sa copine dans l’alignement que l’autre équipe fera.— Euh Fil, je visualise pas trop là, lui dit Amandine.
Il fit mettre en rang les garçons et expliqua que les filles, yeux bandés, toucheraient les gars et se mettraient chacune devant l’un d’eux et on verrait à la fin combien elles auraient de bonnes réponses.
— Par contre, on ne touche ni le visage ni les cheveux, imposa Marie.— Pourquoi ? lui demanda Germain.— Parce que ça serait trop facile pour vous, certaines ont les cheveux courts d’autres longs.— Ah oui, évidemment.— Mais on se bande les yeux avec quoi ? On va pas simplement fermer les yeux, s’inquiéta Olivier.— Bah, on a qu’à utiliser nos bas.— Tu as raison Liz. Et nous allons aussi enlever nos porte-jarretelles. Si tout le monde est entièrement nu, tout le monde est à égalité, ajouta Elisa.
Tout le monde tomba d’accord sur le principe du jeu. Mais il restait un point à régler. Le lot des gagnants ou gagnantes.
— Et on gagne quoi à la fin ? demanda Paul.
Tout le monde réfléchit, mais ce fut encore une fois Carine qui eut l’idée la plus coquine ou perverse.
— Puisqu’on va jouer les yeux bandés, les perdants auront les yeux bandés pendant que les gagnants feront ce qu’ils ou elles veulent.— Euh ce qu’ils veulent, ce qu’ils veulent. Faudrait mettre des limites quand même, suggéra Esteban.— Quoi, tu as peur de perdre ? se moqua Sylvie. Ce que vous voulez, nous ça ne nous fait pas peur.— Carrément, on a peur les mecs finalement ? renchérit Marie.— Non, on s’inquiétait pour vous, on est pas sûrs que vous ayez le courage d’accepter ce, tout ce qu’ils veulent", dis-je en regardant dans les yeux ma chérie."
Je la mettais au défi d’accepter, elles jouaient les bravaches, mais elles n’avaient pas encore accepté l’absence de limites. Je n’étais pas sûr que nous allions gagner, mais je voulais jouer à fond. Sans doute, les quelques verres de la soirée nous avaient quand même montés à la tête, levant nos inhibitions. Je sentais mes amis derrière moi, défiant également leurs compagnes.
— Mais je n’ai pas peur mon chéri, me dit-elle calmement. Pas peur du tout.
Son calme me fit perdre un peu mes moyens. Elles semblaient bien plus confiantes que nous. Dans quoi nous étions-nous fourrés ? Mais nous avions accepté le jeu et le prix de la victoire ou de la défaite. Nous ne pouvions plus reculer. Je repris confiance en moi petit à petit. Elles ôtèrent leurs bas et le porte-jarretelles. Elles enlevèrent aussi leurs soutiens-gorge. Nous leur bandâmes les yeux avec un de leurs bas et nous les positionnâmes en rang en leur indiquant dans quel ordre elles se trouvaient. Puis nous nous plaçâmes devant sans dire un mot. Elles tendirent les mains devant elles et trouvèrent nos torses. Leurs doigts les parcoururent, tâtant le ventre, les bras, les épaules, le sexe aussi. Je n’avais pas pensé à interdire de toucher ça. Ça allait être facile de trouver Paul et Germain. Elles passèrent sur chacun de nous, rapidement, Elisa et Marie s’arrêtèrent devant leurs compagnons. Carine hésita quelque peu entre moi et Felipe puis se décida pour lui.
Pour l’instant, elles faisaient un sans-faute. Liz avait du mal à trouver Olivier, Amandine aussi avait du mal à me trouver. Quant à Sylvie, elle avait fortement douté entre Esteban et Felipe, mais comme Carine avait fait son choix, elle en prit un par défaut. Si elles avaient tout bon, nous étions très mal. Heureusement, Liz et Amandine inversèrent entre Olivier et moi. Elles enlevèrent leurs bas et découvrirent le résultat. Amandine et Liz furent très déçues de s’être trompées.
— En même temps avec vos séances de boxe, c’est vous qui avez le plus changé, se défendit Amandine.— Oui, bêtement, j’ai cherché le ventre d’Oliv, oubliant qu’il avait disparu, se lamenta Liz.— C’est ça, c’est ça, à nous maintenant, dis-je faussement confiant.
Elles nous bandèrent les yeux et nous placèrent en rang puis se mirent en face de nous. Je tendis les mains devant moi, la peau était douce au niveau des bras. Je remontai aux épaules pour juger la taille. Trop petite, c’était sûrement Marie. Je descendis vers son ventre et sentis des abdominaux, cela confirma mon impression. Je passai à la fille de droite, plus grande, mais des seins trop gros, c’était probablement Liz ou Elisa. Fille suivante, la taille correspondait, la grosseur des seins aussi, les fesses me paraissaient différentes. Sylvie ou Amandine presque à coup sûr. Je repartis vers la gauche et trouvai une autre paire de seins imposants, Elisa c’était sûr. A gauche encore, la fille était moins grande que les autres, mais plus que Marie, je sentis un corps avec une taille plus marquée, Carine certainement. Dernière fille, bonne taille, bonne forme des seins, fesses bien fermes, sexe mouillé. Ces salopes aimaient se faire tripoter !
Du coup, j’hésitai entre elle et la troisième. Je revins sur la troisième, Esteban était là aussi, il me semblait qu’il hésitait aussi entre les deux même. Ca bougeait beaucoup moins autour de moi. Je pensai que les autres avaient trouvé leurs copines ou croyaient l’avoir trouvée. Je me rappelai soudain une minuscule cicatrice qu’Amandine avait sur une cuisse. Elle était à peine visible, mais on pouvait la sentir un peu au toucher. Ma main chercha à tâtons cette marque, mais je ne trouvai rien sinon des cuisses bien musclées. Peut-être trop pour être celles de ma copine. Je repartis sur la dernière fille. J’espérai qu’Esteban n’ait pas choisi la dernière. Il soufflait un peu, dubitatif, puis émit un claquement de langue et repartit. Je touchai les cuisses, elles étaient plus fines. Je cherchais toujours la marque, puis je crus sentir quelque chose. Je n’étais vraiment pas sûr de moi, mais je me décidai pour cette fille. Esteban avait arrêté son choix aussi.
Nous retirâmes les bas qui masquaient nos yeux. Je vis le visage d’Amandine, elle faisait la gueule, je me tournai à droite pour voir ce qu’il en était. Nous avions 6 sur 6 ! Elles tiraient vraiment la tronche. Mais c’était le jeu. Nous entamâmes une nouvelle danse de la victoire. Cela les fit rire de nouveau et les détendit. Je me concertai rapidement avec les autres, avant de commencer, je voulais quelque chose.
— Dites, j’aimerais bien qu’elles remettent leurs soutifs. Ça leur fait de trop belles poitrines.
Ils étaient d’accord avec moi et Paul leur demanda de les remettre, mais de rester nue à part ça. Puis on leur banda les yeux de nouveau. Je fis parcourir mes doigts sur le corps d’Amandine. Je me reculais un peu pour admirer nos femmes soumises à nos désirs. Je ne me privai pas pour profiter des charmes des autres nanas. Nous en profitâmes tous, caressant les seins, les ventres, les sexes offerts à nos envies. Je rebandais à fond de nouveau. Nous nous permîmes également de dévorer les bouches à disposition. Elles ne refusèrent aucun des baisers que nous leur prodiguâmes. Je pensai qu’être ainsi les yeux bandés les émoustillait beaucoup. D’elles-mêmes, elles attrapèrent nos sexes pour les branler. C’était très agréable, mais pas suffisant. Nous les fîmes mettre à genoux en cercle et tournées vers l’extérieur. Elles n’eurent pas de mal à comprendre ce que nous voulions. Elles ouvrirent la bouche et attendirent qu’un sexe vienne la remplir.
Je fis entrer ma bite dans la bouche d’Amandine et tous les mecs dans celle de leurs copines. Puis nous tournâmes dans le sens des aiguilles d’une montre. Cela ne les surprit pas et elles continuèrent à nous pomper avec application. Quand nous fûmes revenus à nos chères femmes, nous les mîmes à quatre pattes. Elles étaient toujours en cercle, leurs visages se touchant presque au centre de celui-ci. Nous nous positionnâmes derrière elles puis nous les pénétrâmes d’un coup sec. Elles gémirent ou soufflèrent un peu sous l’assaut puis ahanèrent.
C’était bien, très bien, de les entendre toutes ensemble. Mais je voulais un peu plus et bien profiter de notre victoire. Je fis un signe aux gars. Ils me regardèrent étonnés, mais me firent oui de la tête rapidement. Nous nous retirâmes de la chatte de notre copine et nous décalâmes vers la gauche. Je me retrouvai devant le cul de Liz. Paul était derrière Amandine. Nous les pénétrâmes de nouveau, certaines réagirent plus que les autres, la taille du sexe devait les interpeller. Mais nous les pilonnâmes vigoureusement pour leur faire prendre leur pied. Nous attrapâmes alors le nœud du bas et nous tirâmes dessus pour les laisser voir ce qu’il se passait. Elles ouvrirent de grands yeux, surpris de voir que nous avions décidé de baiser une autre femme que la nôtre. Mais elles ne dirent rien ou plutôt elles ne purent rien dire tant la situation les avait excitées et semblait le faire encore plus.
Nous tournâmes de nouveau et je baisai Sylvie. Sa chatte, je la connaissais déjà un peu, j’y étais aussi bien que dans celle d’Amandine. Celle-ci se faisait bourrer par Felipe. Elle prenait son pied la cochonne. Nous tournâmes de nouveau et j’entrais ma bite dans Marie. Qu’elle était serrée ! Comment pouvait-elle l’être alors qu’elle baisait avec Germain, mais son sport intensif devait jouer. Je vis Amandine grimacer un peu sous les coups de butoir du gros sexe de Germain tout en prenant plaisir à cette intrusion. Nous tournâmes encore une fois et je baisai un temps Carine pendant que ma petite femme se faisait prendre par Esteban. Elle ne grimaçait plus, il n’y avait plus que du plaisir sur son joli minois. Encore un changement et je pénétrai Elisa. Quel panard ! Baiser sa prof préférée. Amandine à côté de moi était fourrée par Olivier. Ma chère et tendre couinait au rythme des coups de reins de mon pote. Nous tournâmes encore plusieurs fois.
Sans nous concerter spécialement, nous décidâmes de finir dans la fille en face de la nôtre.Je retournais dans la chatte de Marie et ne retins plus mes va-et-vient en elle. Germain se lâchait complètement aussi. Amandine ne grimaçait plus, elle criait franchement. Tout comme Sylvie qui se faisait mettre par la grosse bite de Paul. Les cris de celles-ci durent motiver les autres, car elles se mirent toutes à gueuler comme pas possible. Je les vis alors tendre leurs têtes en avant et chercher à s’embrasser toutes les six en mêmes temps. Ce n’était pas facile alors que nous les baisions énergiquement. Puis je sentis le vagin de Marie commencer à se contracter. Elle jouit la première, entraînant à sa suite ses copines. Je ne tins pas plus et me vidai à grands jets de foutre dans sa chatte serrée. Les gars rendirent les armes comme moi dans les vagins des filles. Pendant que je jouissais dans Marie, je plantais mes yeux dans ceux d’Amandine pour l’admirer jouir de son côté. Elle me fixa un moment aussi avant de finir par s’écrouler au sol, terrassée par sa jouissance.
En reparlant de ça avec les gars, je sus que les autres couples avaient fait comme nous.Les filles reprenaient leurs esprits, allongées au sol, nous nous penchâmes et roulâmes une pelle à celle que nous venions d’honorer avant de retourner à nos nanas respectives.
— Ah mes salauds, me dit Amandine. Vous nous avez joué un sacré tour.— Mais c’est le jeu ma pauvre Lucette.— Oh, mais on se plaint pas, me répondit-elle. On ne se plaint pas du tout. Viens là.
Elle me roula une pelle pour finir en beauté la soirée.
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