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Le projet artistique

Chapitre 36

Réveillon 3

Avec plusieurs femmes
Maxime narrateur
Nous nous étions couchés rapidement après ça. Nous avions collé les matelas et attaché les sacs de couchage deux par deux. Cela nous permit de nous faufiler en couple à l’intérieur. Les filles avaient prévu de quoi dormir, nuisette ou t-shirt, mais elles n’eurent que le courage de virer leurs soutiens-gorges. Nous, nous pensions dormir en sous-vêtements, mais je ne savais plus trop où il était. Et j’avais envie de sentir le corps tout chaud de ma femme contre moi, sans aucune barrière. Avant de s’endormir, Amandine me dit :
— J’ai la tête qui tourne. J’espère que je vais pas être malade.— Ça va aller. Je suis là.
Je lui déposai un baiser dans le cou et elle s’endormit. Heureusement, personne ne fut malade pendant la nuit. Personne ne se réveilla non plus pour baiser. Il me samba que nous avions notre compte et plus que largement. Il devait être au moins trois heures du matin quand nous nous endormîmes.Au petit matin, je fus réveillé par Esteban et Felipe qui se levaient pour aller aux toilettes. Je me rendis compte que j’avais envie de pisser aussi. Je sortis doucement du sac de couchage et les suivis.
— Salut. Ça va ?— Oh, on t’a réveillé, se désola Esteban.— Non, j’avais besoin de pisser aussi.
Felipe sortit des toilettes et Esteban prit sa place.
— Alors, on a passé une sacrée soirée, me dit-il.— Oui carrément. Mais euh, je me demande comment les filles vont réagir au réveil.— Comment ça ?— Bah, on les a baisées quand même. Et hier soir, il y avait l’excitation de la soirée et le champagne qui ont fait sauter quelques barrières.— Oui, va falloir être irréprochable ce matin.— Plus qu’irréprochable, lui dis-je.— Pourquoi on devrait être irréprochables ? demanda soudain Germain.
Il était arrivé sans faire de bruit. Il me fit sursauter. Nous lui expliquâmes alors qu’Esteban sortait des toilettes. J’y entrai à mon tour et me vidai la vessie. En ressortant, je vis que Paul et Olivier étaient là aussi. C’étaient les jumeaux qui les avaient réveillés. Germain alla pisser et nous expliquâmes notre dilemme aux deux derniers. Nous réfléchîmes à ce que nous pouvions bien faire pour elles pendant que Paul et Olivier passèrent aux stands. En ressortant, Paul nous rappela quelque chose :

— Au fait, on a commandé des viennoiseries à la boulangerie pas loin hier. C’est payé, il n’y a plus qu’à aller les chercher.— Elles seront contentes, mais il faudrait au moins autre chose, lui répondit Germain.— Mmmmh, on débarrasse la table et on la prépare pour le petit-déj.— Oui Seb, mais faut qu’on prépare le café. Carine m’a dit qu’il y avait une cafetière dans le bureau de la prof de danse et quelques tasses en plastique.— Y a du café au moins ? demandai-je.— Je vais voir.— OK donc café, croissants, rangement. On est pas mal, là, se félicita Olivier.— Des fleurs. Il nous faut des fleurs, objecta Paul. Les femmes adorent ça. Dans le doute ou pour vous faire pardonner ou pour annoncer une mauvaise nouvelle, offrez toujours un bouquet à votre chérie.— Il y a un fleuriste pas loin, je l’ai vu en arrivant, dit Olivier. Mais on prend quoi, j’avais pas prévu de prendre trop d’argent.— Nous non plus, ajouta Esteban.— Juste une rose, ça suffira, trancha Paul.
Sur ces mots, Felipe revint, nous disant qu’il y avait bien du café et même du sucre. Nous nous cotisâmes pour acheter six roses. Les jumeaux Olivier et Germain furent volontaires pour aller chercher les viennoiseries. Paul et les jumeaux resteraient pour préparer le café et la table. J’étais désigné pour les fleurs. Je m’habillai et sortis dans le petit matin gris et froid. Mais petit matin, il était déjà 9h30 ! Il était temps de se bouger. Le traiteur devait revenir vers 11h30 pour reprendre ses containers. Je trouvai facilement le magasin. Il venait tout juste d’ouvrir, comme c’était dimanche, j’avais eu peur qu’il soit fermé. La fleuriste s’approcha de moi et me demanda ce que je voulais :
— Euh des roses, six. Avec ça, ça ira ?— Mmmh, oui même pour dix si vous voulez.— Ah non ça n’ira pas, il faut qu’elles en aient le même nombre.— C’est pour qui ?— Nos copines. Elles sont six.— Et pour quelle occasion ?
Je lui expliquai rapidement la soirée d’hier, sans la partie sexe bien sûr. Elle trouva charmant notre cadeau et regretta que son mari n’y ait jamais songé.
— Bon, je vous fais un prix, vous en aurez douze comme ça.— Ah cool, merci.— Donc il va falloir une rose rouge pour la passion et une blanche pour la sincérité et la pureté de vos sentiments.— Ah ? La couleur a son importance.— Bien sûr jeune homme.
Elle choisit les fleurs et les emballa succinctement pour le transport. Elle me donna en plus six petites cartes sur lesquelles elle me conseilla de mettre un mot. Je la remerciai et repartis vers la salle de danse. Germain et Olivier revenaient les bras chargés. Nous entrâmes doucement sans faire trop de bruit. Apparemment, elles dormaient toujours. La table était prête, le café presque. Olivier et Germain déposèrent les croissants et pains au chocolat (ou chocolatine si vous préférez ;)). Je briefai les gars sur la signification des roses. Paul et Olivier connaissaient. Les autres n’en avaient aucune idée comme moi. Nous prîmes le temps d’écrire un petit mot. Ceux qui étaient sortis s’étaient habillés, les autres étaient restés à poil. Nos poulettes allaient se réveiller nues, nous décidâmes de nous mettre au diapason de la troupe. Je pris deux roses et ma carte. A pas de loup, nous nous approchâmes de nos amours. Nous leur déposâmes un chaste baiser sur la joue et nous leur dîmes :
— Bonjour ma chérie. C’est l’heure de se lever.
Elles ouvrirent les yeux plus ou moins facilement. Amandine n’en ouvrit qu’un et marmonna :
— Kek’ya ?— C’est l’heure du petit-déj.
Elle ouvrit un peu plus les yeux et vit les roses et le mot à côté d’elle.
— C’est quoi ? Mais d’où tu sors ça ?
Elle prit le mot et le lut. Elle sourit et me dit :
— Je t’aime. Plus que tout aussi. Et ne t’inquiète pas pour hier soir. Je ne regrette pas.— Merci. On s’est un peu inquiété ce matin. Avec l’alcool et l’excitation de la soirée. On a eu peur que vous vous soyez laissé emporter et qu’au matin, vous regrettiez tout ça.— Non, je suis contente de m’être laissée emporter.
Elle m’embrassa. À côté de moi, les couples parlaient à voix basse ou s’embrassaient. Mais tout le monde avait l’air de ne pas regretter la fin de soirée. Elles se levèrent et se révélèrent dans toute leur magnifique nudité.
— Mais vous avez tout préparé ? s’étonna Sylvie.— Oui, ça fait un moment qu’on est levé, lui répondit Esteban.— Oh, vous êtes adorables. Des fleurs, un mot d’amour et des croissants. Il ne manque plus que le café, se réjouit Elisa.— Ah mais il arrive, dit Felipe en allant le chercher.— Oh, et nous qui avons dormi pendant que vous travailliez, se désola Carine.— On a cherché à vous faire plaisir. C’est tout, annonça Germain. A table maintenant.
Nous dévorâmes le petit-déjeuner avec appétit. Puis nous revînmes un peu sur la soirée d’hier.
— Alors il n’y a aucun regret, c’est vrai, leur redemandai-je.— Non, rassure-toi Max, me dit Sylvie.— On s’est douté de quelque chose quand on vous a senti sortir de nous et rentrer. La bite était visiblement différente pour certaines et d’autres n’en étaient pas sûres, nous dit Elisa.— Et quand vous nous avez enlevé le bandeau et qu’on en a eu la confirmation, on prenait trop notre pied pour vous arrêter, poursuit Carine.— Il n’y aurait pas eu le jeu et le début de soirée, tout ça. Nous n’aurions probablement pas accepté ça.— Oui Am a raison. Mais on se sentait libérées, rassurées et aimées, alors, nous avons laissé libre cours à notre désir et au vôtre.— Merci Mimi, de nous rassurer sur vos sentiments, lui dit Germain.— Et nous avons surtout aimé quand vous nous avez regardés dans les yeux en jouissant et en faisant jouir la nana que vous baisiez alors qu’on avait notre propre orgasme en face de vous, nous dévoila Liz.— C’est cool, donc tout le monde va en garder un super souvenir, en déduit Olivier.— Oui, c’est sûr, dit pensivement Liz.
Elles avaient toutes l’esprit ailleurs. Elles repensaient à hier soir avec plaisir et regret. Mais pourquoi un regret, elles disaient qu’elles n’en avaient pas de s’être laissé aller. Mais je me rendis compte que les mecs aussi avaient une pointe de déception, d’espoir déçu dans leurs yeux. Il me vint à l’esprit que j’avais le même regret en moi. Je me décidai à ne rien dire pour l’instant pour laisser mûrir les réflexions de tout le monde. Puis, après un silence, Amandine reprit la parole :
— Dis donc Elisa, c’est top d’avoir à disposition un engin de cette taille. J’en avais jamais pris d’aussi gros.— Remarque, Marie est bien servie aussi, répliqua Sylvie.— Merci pour nous, lui lança Esteban.
Cela fit rire tout le monde.
— Non ne t’inquiète pas. Ta taille me va très bien. Mais je pense que Paul, ça serait le plus gros que je puisse prendre.
Les autres filles approuvèrent les déclarations de Sylvie. Elisa ne dit rien jusqu’à cette révélation :
— Oh, mais si tu pourrais prendre plus gros. Beaucoup plus. Et y prendre plaisir quand même.— Comment ça ? s’exclama Liz. Gros comment ?— Et quand surtout ? Oh un tournage. Raconte s’il te plaît, la supplia Carine.— Quelle heure est-il ?— 10h30, et les containers sont déjà prêts. On a le temps, lui dit son mari.— D’accord pour une histoire.
* * *


Elisa narratrice
Après le tournage chez Madame K, Thiemo avait fait appel à moi principalement en tant que camerawoman. Je vis surtout des scènes classiques, mais aussi quelques trucs plus particuliers. Thiemo donnait souvent de sa personne lorsqu’il s’agissait de faire des films un peu gays, mais sans jamais dévoiler son visage. Je vis aussi des trucs carrément scato. Je ne le fis qu’une fois, ça me dégoutait trop rien que de le voir. Mais la plupart du temps, ça se limitait au genre de films que j’avais tournés. Mais il ne m’avait pas fait passer devant la caméra depuis un moment. Gitta et Dieter tournaient moins aussi. Du coup, mon pécule ne progressait pas beaucoup. Et puis un jour, je reçus un appel de Thiemo :
— Salut Elisa. C’est Thiemo.— Ah Thiemo. Comment ça va ?— Ça va bien. Et toi ?— Ça va. Tu m’appelles pour que je prenne de nouveau la caméra ?— Non, je voudrais que tu sois devant.— Ah très bien. C’est quel genre ?— Classique. Un gars et deux filles.— La deuxième fille ?— C’est Gitta. Je viens tout juste de l’appeler. Mais elle se limitera sûrement à la fellation.— Ah bon ? Pourquoi ? C’est qui le garçon ?
Je craignais que ce ne soit Dieter mon frère.
— Vous n’avez jamais tourné avec lui. C’est Roberto, c’est un étudiant cubain. Il tourne pas souvent, car les filles ont un peu peur.— Peur de quoi ? Il est méchant ou violent ?— Non, non, il est très gentil. Mais il a un sexe hors norme.— C’est-à-dire ?— 28 centimètres de long par 8 centimètres de large.— Ouh la vache.
Je savais que le sexe de Paul était déjà gros, mais celui-là était encore une taille au-dessus.
— Bien sûr, je paye plus, me dit-il rapidement.— Euh, attends je réfléchis.
J’avais besoin d’accumuler de l’argent, c’en était un bon moyen.
— Euh, c’est d’accord.— Cool. Par contre, sois sûre de toi. Je ne peux pas me permettre de ne pas faire le film ou de foutre en l’air de la pellicule.
Il me mettait un peu la pression. Mais j’étais décidée au-delà de ce qu’il pouvait imaginer.
— Non, non, c’est d’accord.— Très bien. Euh, je ne me rappelle plus. Mais euh tu as déjà fait une sodomie pour moi ?— Non.— Ah dommage. Sinon je t’aurais proposé de le prendre dans le cul aussi. Je paye quatre fois le tarif parce que c’est avec lui.
Ça faisait beaucoup d’argent alors je lui mentis :
— Mais je l’ai déjà fait en privé. Si on peut voir sur place comment se passe la pénétration classique. Pourquoi pas.— Ah parfait, parfait. Oui, on peut faire comme ça. On se retrouve chez moi comme d’habitude.— Oui d’accord.
Puis il raccrocha. Je me dis alors que j’avais peut-être dit oui trop vite. J’appelai Gitta pour lui dire que nous serions ensemble et lui dire ce que j’avais accepté :
— Mais tu es folle ! Déjà dans la chatte c’est énorme. Mais dans le cul ! En plus, tu es vierge de ce côté-là !— Bon pour ça j’ai une échappatoire encore. Mais ça fait beaucoup d’argent.— Oui, mais bon. Moi je le fais avec bites de taille normale. Toi tu l’as jamais fait et tu commences par un truc monstrueux. Euh, tu devrais euh non.— Je devrais quoi ?— Euh en parler avec Dieter. Je sais qu’il l’a fait avec Hanna.— T’es bête. Il va pas m’enculer quand même.— Non, mais au moins te dire à quoi ça ressemble. Moi je le ferais bien, mais je dois y aller.— Bon, merci en tout cas.
Elle raccrocha. Je repensais à son conseil d’en parler à Dieter. Il rentra peu après ; nos parents n’arriveraient qu’un peu plus tard encore. Je frappai à la porte de sa chambre.
— Entre.
J’entrai, il lisait une revue quelconque. Je lui exposai rapidement ma décision pour le lendemain.
— C’est dommage que Hanna ne soit pas disponible, elle t’aurait mieux expliqué que moi.— Oui, Gitta c’est pareil. Elle était pressée.— Bon, alors que veux-tu savoir ?— Bah comment vous avez fait avec Hanna ?
Dieter m’expliqua ce que lui faisait pour préparer Hanna et augmenter la lubrification de son propre sexe. Il me dit ce qu’il savait pour Hanna. Mais ça restait très flou pour moi. J’allais me lancer dans l’inconnu avec une bite monstrueuse.
— Euh, tu risques vraiment d’avoir plus que mal. Il faudrait que...— Que quoi ?— Que bah euh. Qu’au moins je te prépare pour que tu saches le faire pour demain.— Mais t’es mon frère !— Oui, mais d’une part on a fait pire. Et je te rappelle quel est ton objectif ou pas ?— Non évidemment... Bon allez, avant que je ne change d’avis.— Alors, déshabille-toi.
J’enlevai ma jupe, mes collants et mon slip. Dieter m’expliqua que d’habitude avec Hanna ils se chauffaient bien avant d’en arriver là et qu’elle était déjà bien humide. Disant cela il commença à me masturber pour me faire mouiller. J’eus du mal à me mettre dedans.
— Si tu mouilles pas, ça va être compliqué.
Je me détendis et pensai à Paul, à notre nuit d’amour. Mais inexorablement, mes pensées en vinrent au sauna dans lequel Dieter m’avait baisée pour les besoins du film. Cela me fit mouiller autant que l’action de ses doigts.
— Ah, c’est mieux. Tu penses à ton Paul ?— Euh oui oui.— Ah je vois.
Il ne fut pas dupe devant ma réponse hésitante. Il n’en arrêta pas néanmoins sa masturbation. Je vis d’ailleurs une bosse gonfler sans son pantalon. Il devait aussi repenser au sauna.
— Et elle fait quoi Hanna pendant ce temps-là ?— Euh, généralement, elle me lubrifie aussi. Euh avec sa bouche.
Il hésitait à me le demander, mais il voulait une pipe. J’extirpai adroitement sa tige de son pantalon et l’approchai de moi pour le sucer. Je fis en sorte de bien baver dessus pour que le gland au moins soit correctement lubrifié.
— Oh, tu suces bien grande sœur. Continue.— Et toi tu me fais du bien aussi. Là je crois que je commence à bien mouiller.— Pas encore tout à fait.
Il sortit sa queue de ma bouche et vint de brouter le minou. Sa langue ne se contenta pas des lèvres vaginales. Elle descendait vers mon petit trou pour y étaler de la cyprine. Je fus surprise d’aimer qu’on me titille l’anus.
— Oh oui, c’est bon ça.— Tu aimes ? C’est un bon point déjà, me répondit-il.
Il se remit à la tâche. Puis il étala aussi ma mouille et sa salive avec ses doigts, agaçant de son index ma rondelle. Il faisait tourner son doigt autour pour l’assouplir. Je tortillais des fesses tellement j’aimais ça. Je le masturbais un peu en même temps pour le garder en forme. Puis il dut juger que mon trou était suffisamment prêt, il entra son doigt à l’intérieur et le fit aller et venir doucement. Cette petite pénétration n’était pas désagréable au final. Puis il me fit mettre en levrette.
— Il faut que je mouille ma bite dans euh, tu vois quoi...— Vas-y. Défonce-moi, rigolai-je à moitié.
A moitié seulement, car tout ça m’avait bien chauffée et je voulais une bite dans ma chatte. Il commença alors quelques va-et-vient dans mon antre tout en continuant à me doigter le cul de son index. Puis il y ajouta son majeur. C’était plus gros, mais ça restait agréable encore. Il les fit aller et venir un peu plus vite, parfois l’un à côté de l’autre, parfois l’un au-dessus de l’autre. Quand il fut satisfait, il sortit sa bite de mon vagin et mit son gland devant mon trou du cul.
— Détends-toi au maximum. Plus tu es relâchée, mieux je vais rentrer et moins tu auras mal. Prête ?
Je soufflai et me détendis au mieux et levai le pouce. Je sentis son gland vouloir forcer mon sphincter. Celui-ci résistait et je dus me concentrer pour le relâcher. J’y réussis et Dieter put faire pénétrer son gland en moi. Je grimaçai fortement et soufflai encore plus. Il attendit un peu que je m’habitue puis il poursuivit son intromission. C’était un peu douloureux, mais me donnait un peu de plaisir aussi. Une fois son manche entré en entier, il se figea une nouvelle fois. Il laissait mon cul s’habituer à sa bite. Puis il la fit aller et venir en moi. D’abord doucement, me laissait prendre la mesure de cette nouvelle expérience.
— Hanna m’a dit que c’était mieux si tu te tripotais le clitoris en même temps.
Je suivis son conseil et vins me titiller le bouton d’amour. Le plaisir que cela me procura effaça quelque peu la douleur venant de mon cul. J’activai alors un peu plus ma masturbation. Dieter commença alors à me bourrer plus franchement, m’arrachant des cris mêlant douleur et plaisir. Puis le plaisir finit par l’emporter, je fis entrer deux doigts dans mon con et le fourrais vivement. Un orgasme libérateur partit de mon vagin et se propagea à mon cul. Je sentis celui-ci avoir des spasmes autour de la bite de Dieter. Celui-ci éjacula alors au fond de mon cul. C’était la première fois qu’on se vidait ainsi dans mon fondement. Je m’affalai sur le lit de mon frère et celui-ci vint à mes côtés reprendre son souffle.
— Bon, je crois que maintenant tu sais où tu mets les pieds. Ou le cul. Ah ah ah.— T’es bête. Merci en tout cas.— C’est normal de s’aider entre frère et sœur.— Oui, mais tous les frères et sœurs ne vont pas jusque-là.— Oui, mais j’en connais pas qui ont une sœur qui rêve de passer à l’Ouest. Ça vaut bien un sacrifice de ma part.— Tu parles d’un sacrifice. Tu as pris ton pied mon salaud.— Et toi aussi ma salope.
Je luis fis un petit smack et partis me doucher. Il me laissa la salle de bain et attendit que je finisse pour y aller ensuite. Comme un frère le ferait normalement avec sa sœur.
* * *


Le samedi, je retrouvai Gitta devant l’immeuble de Thiemo. Je dus lui raconter ce que j’avais fait avec Dieter. Elle n’en croyait pas ses oreilles :
— Mais tu es incroyable et vraiment prête à tout pour le rejoindre, me dit-elle mi-choquée, mi-admirative.— Oui. Je suis prête à beaucoup, mais pas à tout. Je pourrais très bien renoncer à la sodomie avec ce Roberto si déjà la baise normale est de trop.— Oui, tu fais bien. Mais quand Thiemo m’a annoncé les dimensions, pfff. J’ai préféré jeter l’éponge tout de suite.— Je comprends. Allez, on y va.
Nous entrâmes et saluâmes le concierge. Il nous sourit et nous souhaita bon courage. Il avait dû voir passer Roberto et savoir ce qui nous attendait. Thiemo vint nous ouvrir, nous fit son smack habituel puis nous le suivîmes dans le salon. Un jeune homme plutôt basané et brun se leva et se présenta :
— Hola, je m’appelle Roberto, dit-il avec un fort accent.— Gitta.— Elisa.
Nous lui serrâmes simplement la main.
— Bien, ne perdons pas de temps, mon père rentre assez tôt ce soir.
Thiemo ne s’était pas embarrassé de scénario. Il nous dit simplement qu’il commencerait le film alors que nous serions en train d’embrasser Roberto. Il n’y aurait pas de dialogue. L’accent du Cubain n’était pas trop apprécié des producteurs. Moi, je savais ce qu’ils devaient aimer chez lui. Sans plus perdre de temps, Thiemo alla chercher la caméra. Avec Gitta, nous eûmes juste le temps de parler un peu à Roberto. Il était étudiant à l’université. Il était là, car son père, militaire haut gradé cubain, était attaché militaire dans la région pour les pilotes venant en formation chez nous. Thiemo revint avec la caméra et nous nous mîmes tous en place. Il donna le top départ et Gitta commença à embrasser le Cubain. Je les regardai puis vins remplacer Gitta sur les lèvres de Roberto. Celui-ci nous ôta nos hauts et nos soutiens-gorge. Il palpa nos seins d’une main ferme, mais douce. Il titilla nos tétons de ses pouces pour les faire pointer.
J’embrassai Gitta et passai ma main sur son sein libre. Elle en fit autant. Puis j’enlevai le t-shirt de Roberto. Il n’était pas très épais de corps. Son sexe devait être d’autant plus impressionnant. Puis il nous fit enlever nos pantalons et nos culottes. Il nous caressa les lèvres vaginales d’une main experte. Je mouillai rapidement, tout comme Gitta.
Puis nous nous mîmes à genoux devant lui et retirâmes son pantalon. Son slip était déjà prêt à craquer. Nous le baissâmes aussi et une trompe d’éléphant se déploya sous nos yeux ébahis. Et encore ne bandait-il pas encore vraiment. Gitta le branla d’une main, mais dut ajouter la deuxième pour parvenir à quelque chose de satisfaisant. Moi, j’étais retourné vers Roberto pour l’embrasser et lui offrir mes seins à téter. Sa langue me fit un bel effet, je mouillai un peu plus encore. J’aurais besoin de beaucoup de cyprine pour que son machin entre en moi. Quand Gitta parvint à lui faire atteindre sa taille maximale, je fus subjuguée par la "chose". Gitta aussi resta figée de stupéfaction. Thiemo nous fit signe d’enchaîner.
Gitta commença par lécher le membre turgescent sur toute la longueur puis suçota le gland gonflé de sang. Elle devait se demander comment prendre ça en bouche. Puis elle inspira un bon coup et ouvrit aussi grand que possible sa bouche. Elle réussit tout de même à faire entrer le gland et une partie de la hampe. Elle le pompa alors comme elle put, branlant le reste de l’énorme membre. Moi, je me penchai également vers ce phénomène et vins gober les testicules de Roberto. Elles étaient proportionnées au manche. Deux mandarines bien pleines et lourdes de sperme à faire sortir. Puis je joignis ma bouche à celle de Gitta. L’une se chargeait du haut et l’autre du bas du mat du Cubain avant d’échanger nos places. Nous aurions pu être trois sans nous gêner. Thiemo nous arrêta, il nous fit mettre, Gitta et moi, sur le canapé, les jambes largement ouvertes. Roberto se plaça devant nous, il nous lécha la chatte alternativement pendant que Thiemo nous filmait en plan serré.
Avec Gitta, nous nous embrassions et caressions nos seins. Parfois, je sentais la langue vive et agile de Roberto, parfois je n’avais que ses doigts quand il était sur la chatte de Gitta. Thiemo nous stoppa une nouvelle fois, c’était dommage, car j’étais bien partie. Gitta parut déçue aussi.
— Bien, passons aux choses sérieuses, nous dit-il.— Euh Thiemo, finalement je veux bien essayer, lui dit Gitta.— Hein ah, euh oui. D’accord Gitta, mais je te rappelle que si Roberto commence, il te baise vraiment. J’ai pas les moyens de gâcher de la pellicule.— Oui, oui. Pas de soucis.
Je restais sur le canapé pour que Gitta se mette à quatre pattes et vienne me brouter le con. Roberto se mit derrière elle. Thiemo lui passa un tube de gel. Il s’en enduisit le gland.
— C’est quoi ?— Du gel pour faciliter la pénétration, nous dit le Cubain. Je suis pas là pour vous faire mal.— Prêts ?
Nous dîmes à Thiemo que nous étions prêts. Gitta posa ses lèvres sur mes lèvres vaginales et je me malaxai les seins. Je vis Roberto se positionner un peu mieux puis Gitta haussa fortement les sourcils et émit un râle animal.
— Oh merde. Et y a que le gland qui est rentré, souffla-t-elle de façon à peine audible.
Puis elle grimaça un peu plus quand il rentra complètement. Enfin, pas complètement, jusqu’au fond du vagin de Gitta. Car il lui restait au moins 5 centimètres ou 6 centimètres à l’extérieur. Il ne bougea pas tout de suite, laissant l’antre de ma copine s’adapter au morceau de chair entré en elle. Puis il commença des va-et-vient pas trop rapides au début avant d’accélérer. Gitta avait bien du mal à me lécher la chatte, je devais plaquer sa tête contre ma vulve pour qu’au moins à la caméra on ait l’illusion d’un cunnilingus. Elle laissa tomber et me fourra trois doigts dans le vagin. Les coups de reins de Roberto les faisaient entrer et sortir. Gitta criait de plaisir et de douleur. Mais surtout de plaisir à ce que j’en jugeai.
Thiemo nous stoppa encore une fois pour inverser les places entre Gitta et moi. Roberto se remit du gel sur le gland. Je me plaçai devant la chatte de Gitta. Elle était encore largement ouverte après le passage du tronc d’arbre. Thiemo en fit un gros plan d’ailleurs. J’essuyai rapidement les traces du gel autour des grandes lèvres puis vins coller ma bouche à celles-ci. Thiemo relança la caméra et je sentis tout de suite le gland du Cubain frotter contre ma chatte. Il devait sûrement étaler le gel avec son gland. Puis il le positionna à l’entrée de ma chatte. Je me détendis et me relâchai. Il poussa et le gland entra. Je soufflai légèrement. Paul était déjà un bon calibre donc j’avais une idée de ce que cela pouvait donner. Mais là, on était une taille au-dessus encore. Roberto attendit un peu puis enfonça plus avant sa bite. Il l’enfonça jusqu’à toucher le fond de mon vagin. Je laissai de côté le cunnilingus de Gitta tellement cela accaparait mon esprit et mon corps.
Tout mon vagin était rempli, distendu par cet élément gigantesque. Je repris mon activité sur la chatte de Gitta, ce fut le signal pour Roberto pour entamer son pilonnage. D’abord lent, il se fit vite beaucoup plus rapide. Mes cris étaient étouffés par le sexe de mon amie. Elle me caressait la tête et me chuchotait des encouragements.
Le Cubain me mit un doigt dans le cul, Thiemo avait dû lui dire que j’étais prête à tenter la sodomie. Je sentis un truc froid autour de mon anus, il avait dû enduire son doigt de gel. Un deuxième doigt fit son apparition dans mon cul. Il me préparait comme l’avait fait Dieter. Je voulus me détendre, mais avec la bite qui me baisait, c’était compliqué. Il la fit ressortir, me facilitant la tâche. Et je devais toujours lécher Gitta. Roberto me mit même un troisième doigt dans le cul. Il les faisait tourner pour m’assouplir au maximum. Il les ressortit et posa son gland devant l’entrée interdite. Roberto poussa sur mon sphincter. Je crus que son gland allait le déchirer. Je serrai les dents et grimaçai de douleur. Il attendit que je m’habitue. Je me relâchai autant que je le pus. La douleur s’apaisa un peu. Il reprit alors sa pénétration anale. Il avança un peu puis recula. Encore une fois, mais un peu plus loin. Une troisième et une bonne partie de son sexe furent rentrées.
Je levai la main discrètement pour dire que je ne pouvais en prendre plus. Roberto le vit et n’alla pas plus loin. Il me baisa alors le cul en se limitant à ce que je pouvais faire. Comme Gitta tout à l’heure, je me contentai de mettre trois doigts dans sa chatte. Je pus même y mettre le quatrième tellement elle était ouverte.
J’avais l’impression que Roberto allait me déchirer les entrailles. Ma main libre alla bien exciter mon clitoris, mais cela me fit beaucoup moins d’effets qu’avec Dieter. Je ne prenais aucun plaisir, je n’avais que de la douleur. A un moment, je levai la main pour tout stopper. Roberto sortit tout de suite de moi. J’eus peur que Thiemo soit fâché :
— Désolé Thiemo. Je n’en peux plus.— Euh ça va ?— Oui. Mais j’avais trop mal. Et désolé pour ton film.— Ne t’inquiète pas. Tu as tenu assez longtemps pour que ce soit exploitable. Euh par contre, il faudrait finir...
Je le regardai sans comprendre avant de percuter. Il me laissa deux minutes pour me remettre. Pendant ce temps, Gitta branlait et suçait Roberto pour le maintenir dur. Quand je fus mieux, je rejoignis Gitta. Thiemo relança le film et nous astiquâmes Roberto. Il ne tarda pas à jouir en abondance sur nos poitrines offertes, je n’en avais jamais eu autant. Avec Gitta, nous nous l’étalâmes sur les seins de l’autre tout en nous roulant une pelle. Thiemo finit le film sur un gros plan de la bite de Roberto qui recommençait déjà à bander.Une fois tous les trois passés par la salle de bain, Thiemo nous paya comme convenu. Il ajouta un bonus à Gitta qui avait bien voulu se faire baiser par Roberto. Avant de partir, Thiemo nous demanda :
— Les filles, seriez-vous prêtes à refaire un film avec Roberto ? Je n’ai pas beaucoup de nanas qui veulent bien alors si vous deux...— Euh oui, mais plus de sodomie. C’est vraiment pas possible, lui dis-je.— D’accord pour moi aussi, mais la sodomie, c’est pas question.— Merci les filles. Je comprends pour la sodomie, c’est pas facile. C’est un gros calibre.— Enfin, je suis pas sûre que tu comprennes vraiment. Tu n’es pas à notre place, lui rétorqua Gitta.— Mais si, il sait. Je fais aussi les tournages gays, nous confia Roberto.
Comme Thiemo faisait l’acteur parfois dans ces tournages, cela voulait dire qu’il l’avait sûrement pris dans le cul. Je fus admirative de Thiemo qui ne nous faisait rien faire de ce qu’il ne faisait lui aussi. Je partis avec Gitta sous le bras. Dans le train de retour vers chez nous, je parlais de notre expérience avec elle.
— Quel morceau ! J’ai mal au cul.— T’es folle aussi de prendre un tel truc dans le cul.— Mais et toi, qu’est-ce qui t’a fait changer d’avis ?— Toi. Et ça me fait penser. Tiens.
Gitta me tendit la moitié de l’argent qu’elle avait touché. Elle ne l’avait donc fait que pour me le donner ensuite. Je la remerciai et l’embrassai. Certains passagers nous regardèrent bizarrement, d’autres sourirent, la plupart n’en eurent rien à faire.
* * *


Maxime narrateur
Le récit d’Elisa m’avait fait bander, les bites que je voyais de mon côté de la table étaient dures aussi. Les tétons de ces dames pointaient également. Je palpai rapidement l’intimité d’Amandine, elle était humide sans être trempée.
— Donc, tout ça pour dire que vous pourriez prendre plus gros encore dans le vagin, conclut Elisa.— Oui, mais euh dans le cul, ça doit faire super mal, dit Sylvie.— Surtout avec un mandrin de la taille de ce Roberto, ajouta Marie.— Oui, le vagin est plus souple, je trouve, pour ce genre d’acrobaties, nous dit Elisa.— Du coup, cela a dû te dégouter de la sodomie, surtout que Paul, c’est pas la taille standard non plus, demanda Amandine.— Non, je n’en ai pas été dégoutée. Et Paul n’est qu’un peu plus épais que les garçons. La longueur dans la sodomie importe moins que la largeur, nous dévoila-t-elle.— Euh ça veut dire qu’avec Paul vous pratiquez la sodo, demanda Germain.— De temps en temps, Elisa m’autorise à entrer par-derrière, répondit-il simplement.
Je rêvai de tenter la chose avec Amandine. Germain, Olivier, Esteban et Felipe parurent aussi pensifs que moi. Ils devaient sans doute fantasmer sur la chose.
— Oh les mecs, arrêtez de rêver, nous interpella Sylvie.— Vous êtes pas prêts de rentrer par-là, ajouta Carine.— Non, non, non. C’est vraiment pas possible, dit Liz.— Pas question Germain. Même pas en rêve.— Max, n’y compte pas non plus.
Bon, c’était clair au moins, je rangeai ça dans les fantasmes impossibles à assouvir. C’était une nouvelle case dans mon esprit. Car, nous avions fait beaucoup de choses ensemble depuis plus d’un an. Soudain, Paul s’avisa de l’heure. Les filles partirent se laver dans l’unique douche située derrière le bureau de la professeure de danse. Nous nous habillâmes seulement pour être présentables pour le mec du traiteur. Il arriva peu après. Il vérifia rapidement que rien n’avait été cassé et nous rendit le chèque de caution. Avec les gars, nous rangeâmes la salle, roulâmes les matelas et les sacs de couchage. Les chaises et la table furent pliées et rangées dans un coin. Les filles firent leur réapparition à ce moment-là. Elles portaient des vêtements bien moins sexy que la veille, mais bien plus pratique pour nettoyer. Nous allâmes à notre tour sous la douche. Nous fîmes vite, car il allait déjà être l’heure de rentrer chez nous. Pendant notre absence, elles avaient aussi bien travaillé que nous. Tout était propre et en ordre. Nous aidâmes Paul à charger sa voiture puis de retour à l’intérieur, nous nous dîmes au revoir et nous souhaitâmes une bonne année.
Nous échangeâmes des smacks, dernier signe de notre proximité avant de reprendre une vie normale.
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