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Le projet artistique

Chapitre 38

Interlude 2

Hétéro
Marie et Germain étaient partis en scooter pour courir en forêt, histoire de changer un peu de leur piste d’athlétisme et des allées des parcs autour de chez eux. C’était leur entraîneur qui leur avait conseillé ce coin. Il voyait bien que les deux amoureux étaient moins assidus qu’avant. Ils avaient encore les moyens cette année-là de viser haut. Mais ils semblaient passer à autre chose. Il voulait voir quand même, si courir plus dans la nature n’allait pas mieux leur convenir, quitte à les faire passer sur le cross ou même le trail.
Ils eurent du mal à trouver le parking de départ. Ils rangèrent leurs vestes et pantalons dans le coffre du scooter et attachèrent les casques à la selle. Ils s’échauffèrent un peu puis partirent au petit trot. Ils accélérèrent le rythme à mesure qu’ils s’enfonçaient dans la forêt. Les sous-bois étaient un peu humides, il fallait faire attention à ne pas glisser sur les feuilles ou une racine d’arbre. Ils arrivèrent en vue d’un petit chalet en bois, un abri ouvert plutôt, qui marquait, d’après leur entraîneur, plus ou moins la mi-parcours. Par manque de concentration ou simple malchance, Marie posa le pied sur une racine glissante. Son pied gauche partit sur le côté et elle perdit l’équilibre. Elle réussit à se rétablir tant bien que mal et ne mit qu’un genou à terre.
— Mimi ! Ça va ? demanda Germain qui revenait sur ses pas.— Ça va. Ça va. Je suis pas tombée, mais j’ai bien glissé.— Tu peux te relever ?— Oui.
Elle se releva, mais n’osa pas poser son pied sur le sol. C’était celui qu’elle s’était blessé à cause de Caroline. Sa cheville était parfaitement rétablie d’après les médecins, mais elle avait toujours un doute, une peur quant à une supposée fragilité. Elle demanda à Germain de l’aider à s’asseoir sur le banc en bois sous l’abri. Celui-ci faisait face au chemin à un endroit où le tracé formait une longue courbe. Il était ouvert sur le devant, mais fermé sur les trois autres côtés, le banc était au fond. Quelques planches et photos présentaient la vie animale dans le coin. Germain fit asseoir Marie et lui retira sa chaussure. Il examina son pied avec attention :
— Ça a l’air d’aller. Pose le pied pour voir.— Euh, non, j’ai peur d’avoir mal.— C’est à cause de ta chute.— Mais je suis pas tombée, s’offusqua-t-elle.— C’est vrai, de ta presque chute.— Laisse-moi cinq minutes.— Comme tu veux, mais pas plus. Je sens qu’il va pleuvoir. Et j’ai pas trop envie de mettre un casque humide.— Merci. T’es chou.— Toujours.
Il lui déposa un petit baiser sur les lèvres.
— Bon, je crois que ce sera une première et une dernière de courir en forêt.— Oh. Dommage. En fait, j’ai trouvé ça agréable de courir en pleine nature.
— Mimi. Moi aussi j’ai aimé, mais si tu te fais mal à la cheville dès qu’on sort...— C’est juste pas de chance. Et nos chaussures sont plutôt faites pour courir dans des conditions idéales. Je pense qu’avec des chaussures adaptées, je ne serais pas tombée. Et j’aime être avec toi.— Moi aussi, j’aime être avec toi. Pour courir et pour tout le reste.— T’es trop mignon. Viens là.
Marie le tira à elle et l’embrassa langoureusement.
— Bon, va falloir y aller.— Euh Germain.— Quoi encore ? Tu as peur de marcher ? Je vais t’aider.— Non, c’est pas ça... Euh j’ai envie de faire pipi, finit-elle par dire d’une voix de petite fille.— Ah. Bah va derrière l’abri, tu seras tranquille.— Vous êtes marrants les mecs. Vous avez juste besoin d’un arbre pour pisser alors vous pensez qu’on peut en faire autant.— Bah, non, mais là tu seras à l’abri des regards si jamais quelqu’un vient.— OK, mais tu sais comment je suis habillée ?— Euh, oui, et donc.
Marie lui rappela qu’ils avaient tous les deux opté pour un vieux maillot du club, un intégral genre maillot de bain qui descend jusqu’aux cuisses. Avec un t-shirt et son coupe-vent, Marie devait tout enlever pour pouvoir se soulager. Et puis faire ça dehors en plein vent et avec une fine pluie qui commençait à tomber...
— Bon, bah fais ça dans la cabane.— Mais il fait froid !— Bon, si tu veux rien enlever, va falloir faire comme les coureurs du Tour.— Hein ?— Bah, des fois ils peuvent s’arrêter sur le bord de la route quand l’allure est cool ou loin de l’arrivée. Sinon, ils descendent pas du vélo.— Tu veux dire qu’ils se pissent dessus ?— Oui. Et encore, les mecs peuvent faire un arrêt rapide, j’ai jamais vu les femmes le faire...— C’est dégueulasse !— Oui, mais tu préfères quoi ?— Mais je vais m’en mettre partout. Mais...— Mais, mais, mais... J’ai l’impression que ça devient urgent.
"Oui, mais j’ose pas.
— Rooh, c’est pas la mer à boire.
Soudain, Germain écarta un peu les jambes et souleva son coupe-vent et son t-shirt. Marie vit, au niveau du sexe de son copain, une bosse se former et se dégonfler tout de suite. Une tache plus sombre se dessina sur le devant et s’étendit rapidement vers le bas. Puis au niveau des cuisses, Marie vit sortir plusieurs filets de liquide assez transparent. Elle le regarda faire, se rappelant l’expérience d’Elisa et ce qu’ils avaient fait à Caroline. Elle fut plus que troublée. En plus, elle n’en était pas sûre, mais il lui sembla que de se faire épier comme cela devait exciter un peu Germain, car son sexe avait l’air de grossir.Le jeune homme s’arrêta et dit à sa copine :
— Bon voilà. Tu vois, je suis pas mort. A la rigueur, je pue un peu.
Elle avait bien vu, mais restait réticente. Finalement, son envie la rattrapa. Elle avança ses fesses sur le bord du banc et se soulagea. Germain vit une auréole sombre apparaître entre les jambes de Marie. Là où d’habitude, c’était pour une tout autre raison qu’elle était mouillée. La tache se propagea sur les cuisses tendues de la jeune femme et ressortit du maillot comme pour lui. Il ne put détacher son regard de ce qu’elle faisait devant lui. Lui aussi se remémora les mêmes épisodes. Il avait aimé que Marie le regarde pisser. Il aimait la voir faire à son tour. De son côté, elle avait été troublée de le voir se pisser dessus. Mais se faire mater à son tour la troublait tout autant.
— Tu vois. Tu en es pas morte.
"Oui, mais quand même..."
— Bon aller. On y va, ça forcit.
Ils repartirent en trottinant. Marie n’avait plus mal, mais n’osait aller trop vite. Ils arrivèrent au scooter, bien mouillés. Les casques avaient un peu pris l’eau. Leurs affaires de rechange étaient au sec, mais ils ne se voyaient pas les remettre sur eux alors qu’ils étaient trempés et pas seulement à cause de la pluie. Germain proposa à Marie de rentrer chez lui pour prendre une douche. Il n’était qu’à dix minutes de chez lui, mais sous la pluie, les jambes à nues et le casque mouillé, le voyage ne fut pas agréable. Ils arrivèrent et jetèrent presque le scooter dans un coin. Germain entraîna Marie par-derrière et ils passèrent par le garage. Il appela, mais personne ne répondit.
— Bah, ils sont où ?— Dis, ça m’arrange quand même. T’imagines si ta mère nous voyait comme ça.— Pas faux. Surtout si elle nous sentait comme ça.— T’es bêtes. Bon j’ai froid, on se dépêche ?— Oui, oui. On va tout laver, on met tout dans le lave-linge et on file sous la douche. T’as nos rechanges ?— Merde, ils sont dans le scooter.— Fffff, bon j’y vais. La buanderie est là.
Germain ressortit sous une pluie maintenant battante. Marie avait mis ses affaires dans la machine, mais grelottait de froid à côté. Il lui donna les sacs, mit ses affaires et lança la machine. Il lui prit la main et l’entraîna dans la salle de bain. Il jeta au sol le sac et poussa Marie dans la douche. Germain ouvrit le robinet et rapidement, un jet d’eau bien chaude redonna une belle couleur à sa petite amie.
— Merci mon chéri. Je me sens mieux.
Ils profitèrent de l’eau chaude encore un peu.
— Euh, Gégé.— Oui ?— Euh, j’ai vu... quand tu as... devant moi.— Hein ? Je fais pas dans les phrases à trou.— Euh, quand tu as pissé devant moi, euh j’ai cru voir ta bite gonfler un peu. Et puis...— Et puis moi je pense avoir vu ton souffle s’accélérer. Comme maintenant d’ailleurs.
Germain passa un doigt le long du sexe de sa copine. Il le retira et le porta à son nez.
— Et là, tu es mouillée pas seulement à cause de la douche. Et je sens encore un peu de ton urine de tout à l’heure.
Il huma un peu plus son doigt et le lécha même. Marie n’en croyait pas ses yeux, mais cela l’émoustilla aussi beaucoup.
— Bien mon cochon. Ça te plaît on dirait, dit-elle en empoignant le sexe de son copain.
Celui-ci avait commencé à se mettre à l’horizontale. Elle le branla tout en le fixant dans les yeux avec une lueur lubrique dans son regard. Elle coupa l’eau et tira sur sa queue pour le mettre à genoux.
— Viens, viens à la source.
Elle le prit par les cheveux et lui plaqua le visage contre les poils de son pubis. Germain se laissa faire avec envie. Son nez s’enfouit dans les poils de Marie. Il huma le mélange de cyprine et d’urine. Il sortit sa langue et vint lécher ce mélange. Dieu, qu’il lui titillait bien le clitoris ! Puis l’image d’elle pissant sur Caroline lui revint en mémoire. Elle se concentra et libéra sa vessie. Germain fut plus que surpris de recevoir ce jet en plein visage. Il se recula, recevant la suite sur le cou et le torse. Puis il eut envie de faire autre chose. Il se rapprocha et ouvrit la bouche pour récupérer les dernières gouttes. Il se releva rapidement et embrassa Marie sans lui laisser le choix.
— Alors petite salope, on me pisse dessus ?— Oui et tu as aimé ça mon salaud !— Oui, mais fallait demander avant.
Il la força à s’agenouiller et elle lutta très peu. Le baiser plein d’urine qu’ils avaient échangé l’avait convaincue de vouloir essayer. Elle pompa un peu Germain, mais il lui retira sa friandise.
— Arrête, sinon je vais bander !— Et alors ?— Alors, si je bande, je peux pas faire ça.
Il lui lâcha alors un puissant jet d’urine sur le bas du visage. Elle ouvrit la bouche de surprise et celle-ci fut remplie de liquide odorant. Germain aspergea ensuite les seins de Marie. Elle étala la pisse sur ses seins et se les massa avec, elle étala le reste sur son ventre et même son pubis. Elle ne fit pas repartir sa main et commença à se masturber devant Germain. Celui-ci, tout aussi excité par la situation, se mit à se branler aussi. Il sentit son sexe déjà palpiter comme s’il allait jouir.A ses pieds, Marie avait abandonné la position à genoux pour s’allonger sur le dos. Elle avait les cuisses largement ouvertes ; elle se caressait la chatte d’une main et se massait les seins de l’autre. Elle criait et gémissait bruyamment. Elle accéléra sa masturbation et juste avant de jouir, elle dit à Germain :
— Aaaah, Germain, jouis sur moi.
Marie se cabra soudain alors qu’elle atteignait l’orgasme. Germain ne fit pas deux aller-retour sur sa bite avant que des jets de sperme en sortent et viennent arroser le corps de sa copine. Elle s’étala un mélange de pisse, de sperme et de cyprine sur le corps. Germain s’allongea sur elle et frotta son corps sur le sien tout en l’embrassant de façon obscène. Après un moment, ils se relevèrent et Germain rouvrit l’eau.
— On y est allé fort quand même, commenta Germain.— Oui, mais c’était bien. Bon on se dépêche sinon ta mère va finir par nous trouver comme ça.
* * *


Felipe s’impatientait encore une fois. Il avait rendez-vous avec Carine. Elle voulait le traîner à une exposition d’art, il avait fini par accepter pour lui faire plaisir et pour en finir avec son harcèlement. Et maintenant, elle était encore en retard ! Il avait même appelé chez elle, mais la mère de sa copine lui avait dit qu’elle était déjà en route. C’était toujours ça, au pire, elle serait là dans dix minutes.
— Ah, te voilà !
Il venait de voir Carine débouler du coin de la rue. Elle se dépêchait et était toute rouge. Carine se dirigea vers lui et lui colla un smack sur les lèvres et l’entraîna à l’intérieur de l’exposition. Il eut peur de s’emmerder comme un rat mort et la première salle confirma ses craintes. Les trucs, il ne trouvait pas d’autres mots, qui étaient présentés étaient vraiment trop bizarres. Il n’arrivait à projeter aucune image autre que celle des morceaux de ferraille vaguement assemblés devant lui. Carine était toute contente de lui faire les commentaires sur les œuvres exposées. Alors il fit bonne figure et ferma sa gueule. Heureusement pour lui, la deuxième partie lui plut beaucoup plus. C’était plus accessible pour lui, plus dans la réalité en quelque sorte. Carine le vit plus intéressé par la deuxième partie, elle était contente. Elle ne voulait pas l’empêcher de continuer à aimer ce qu’il aimait, mais au moins lui faire découvrir d’autres horizons.
A la sortie de l’exposition, elle lui demanda s’il avait aimé :
— Plus ou moins.— C’est-à-dire ?— Bof la première salle. La deuxième c’était mieux.— Et pourquoi tu as pas aimé la première partie ?— Je sais pas, c’était trop abstrait. Et puis...— Et puis quoi ?— J’étais un peu énervé contre toi.— Pourquoi ? s’inquiéta-t-elle.— On avait rendez-vous à quelle heure ?— Bah 15h.— Et tu es arrivée à ?— Euh, je sais pas 15h15, j’étais un peu en retard. Désolé.— Kiki, tu es arrivée à 15h50 !— Oups, je suis désolée, vraiment. T’es fâché ?— Non ça va aller. T’inquiète. Mais j’aimerais bien que tu fasses un effort là-dessus quand même.— D’accord. C’est promis.
Mais la semaine suivante, Felipe fulminait encore en attendant sa copine. En plus, il y avait du vent, il faisait vraiment froid.
— Bon, si dans cinq minutes elle est pas là, j’me casse.
Les cinq minutes passèrent, il attendit même un peu plus puis partit. Arrivé chez lui, son père lui demanda ce qu’il se passait. Felipe répondit simplement que c’était annulé et s’enferma dans la chambre qu’il partageait avec Esteban. Celui-ci n’était pas là. Lui, au moins, devait être de sortie avec Sylvie. Son père passa le voir, lui disant qu’il sortait à son tour. Depuis quand son père sortait ?
— Merde, me voilà tout seul comme un con !
Il alla dans le salon et alluma la télé. Quelques minutes plus tard, on sonna depuis la grille d’entrée du lycée. Il n’avait pas envie d’ouvrir et son père n’était pas là. On insista plusieurs fois, il finit enfin par se lever et regarder par la fenêtre. Il fut surpris de voir Carine, attendant dans le froid, visiblement inquiète de savoir si quelqu’un allait ouvrir. Elle ne l’avait pas vu, car elle ne lui fit pas signe et continua de sonner. Ça allait finir par alerter le directeur du lycée. Il actionna la serrure électrique et Carine entra. Elle se précipita en avant et courut jusqu’à la porte de la petite maison. Felipe ouvrit :
— Tu n’as pas refermé la grille, dit-il à Carine alors qu’elle allait l’embrasser.— Mais, Felipe s’il te plaît, j’ai froid.— Moi aussi j’ai eu froid en t’attendant. Allez, va fermer.
Carine repartit penaude fermer la grille. Elle revint et il la laissa entrer. Elle avait visiblement froid. Il se gronda de l’avoir laissée comme ça dehors. Il lui prit son manteau et lui proposa un truc chaud.
— Un chocolat s’il te plaît.— OK.
Felipe le prépara et revint déposer deux tasses sur la table basse.
— Je suis désolée, chéri.— De quoi ?— D’avoir été en retard.— Dis, je suis parti, tu avais déjà trente minutes de retard. Et tu m’avais promis la semaine dernière de faire des efforts.
Carine était rouge de confusion. Elle ne savait quoi dire. Elle mettait du temps à se préparer pour se faire belle pour lui.
— Je veux te plaire quand je sors avec toi alors je passe du temps à choisir mes vêtements.— Tu sais que je te trouve toujours très bien. Comme aujourd’hui.— C’est vrai ?— Mais oui, je te le dis souvent quand même.— C’est vrai. Et là aussi ? Ça te plaît mon jean et mes chaussures et mon haut ?
Carine tourna sur elle-même pour faire admirer sa tenue à Felipe. Celui-ci apprécia la façon dont le jean lui moulait bien les fesses. Et son pull simple, mais bien ajusté lui marquait bien les courbes. En faisant un autre tour sur elle-même, elle renversa une des tasses. Du chocolat chaud atterrit sur la table, le sol et les pieds de Felipe. En chaussettes, comme d’habitude, il se mit à crier :
— Oh la vache, c’est chaud !— Je suis désolée, je suis désolée. Je vais nettoyer.
Carine attrapa le rouleau d’essuie-tout de la cuisine et vint éponger ses bêtises. Elle retira les chaussettes de Felipe et essuya ses pieds. Puis elle commença à nettoyer le reste. Felipe mata le cul de sa copine qui, à quatre pattes, réparait sa bévue. Son cul rond et appétissant se tortillait devant lui. C’était qu’elle l’allumait, ce n’était pas possible autrement. Mais non, quand elle faisait ça, elle l’aguichait du regard aussi. Là, elle était concentrée sur sa tâche. Carine finissait et allait se relever quand elle fit tomber la deuxième tasse. Elle se remit au travail en multipliant les excuses. Felipe eut soudain l’impression qu’elle l’avait fait exprès. Ses fesses s’agitaient sous son nez alors qu’il était plongé dans ses réflexions.
— Dis Carine.— Oui Fil.— Tu l’as fait exprès ?— Euh, non, pas du tout, dit-elle en rougissant et en baissant la tête.
Felipe eut une petite lumière qui s’alluma au fond de son esprit.
— En retard, la grille pas fermée, les tasses, mon père m’aurait filé une bonne fessée si j’avais fait tout ça.— Oh.
Felipe aperçut entre les mèches de cheveux qui lui masquaient une partie du visage un léger sourire. Elle l’effaça, mais quand elle le regarda, poursuivant ses excuses, il vit que ses pupilles étaient dilatées.
— Et c’est d’ailleurs ce que tu vas avoir.
Felipe attrapa Carine par le poignet et la tira à lui. Il ne la força pas vraiment, histoire d’être sûr de ce qu’elle voulait. Sans qu’il ait besoin d’en faire trop, elle s’allongea d’elle-même sur les cuisses de son petit ami. Felipe passa d’abord la main sur les fesses de sa chérie avant de l’abattre dessus. Il le fit trois fois, mais s’arrêta là. D’une part, frapper un jean était un peu douloureux pour sa main, d’autre part cela la protégeait trop et elle semblait même un peu déçue. Felipe fit relever Carine. Elle sembla triste que cela s’arrête.
— Enlève ton jean. Une fessée, faut que ça claque sur les fesses.
Carine eut une montée de chaleur. Elle avait été contente qu’il veuille la fesser après toutes ces bêtises. Les tasses, ça avait été fait exprès. Elle ne se l’avouait pas vraiment, mais ses retards étaient dus à son envie d’avoir un prétexte pour recevoir une fessée. Carine enleva son jean, dévoilant la jolie culotte qu’elle avait choisie en pensant que peut-être Felipe pourrait la voir.
— J’ai dit, une fessée ça doit claquer sur les fesses. Pas sur une culotte.
Carine rougit de honte en baissant son sous-vêtement. Elle s’allongea de nouveau sur lui. Felipe caressa le cul offert avant d’abattre sa main dessus. Carine frissonna tant par la claque sur ses fesses que par le bruit que cela faisait. Elle avait été un peu émoustillée quand il l’avait mise sur ses genoux la première fois. Là, elle commençait à mouiller plus franchement. Felipe claquait ses fesses pour faire du bruit, mais sans vouloir lui faire trop mal. C’était douloureux, mais pas trop, juste assez pour qu’elle prenne un plaisir coupable à ça.
De son côté, Felipe frappait le cul de sa petite amie sans y prendre vraiment du plaisir. C’était pour elle qu’il le faisait. Elle aimait visiblement ça. Carine avait même fini par remonter un peu son cul à la rencontre de sa main. Il put alors voir l’intérieur de ses cuisses luire de mouille. Elle prenait son pied ! Il continua encore, mais Carine restait juste excitée. Felipe changea de main et fessa Carine de la main gauche. De la droite, il vint écarter ses jambes encore un peu plus. Puis il passa un doigt le long de la vulve de sa chérie. Il le ressortit et l’observa ; il était bien humide. Carine cacha un peu plus son visage, elle avait un peu honte quand même que Felipe se rende compte qu’elle prenait plaisir à cette punition. Mais Felipe ne dit rien et remit son doigt là où il était. Il le refit aller et venir puis le rentra dans le vagin humide. Il faisait des va-et-vient en même temps qu’il fessait Carine. Il rentra même deux doigts en elle. Carine se cabra un peu plus.
La jeune femme était au bord de l’orgasme, elle se faisait doigter la chatte et claquer les fesses. Ses deux doigts la rendaient folle. Elle sentit que Felipe en retirait un. Celui qui venait de quitter sa chatte vint se poser sur sa rondelle. Felipe en fit vite fait le tour et entra son doigt dans son fondement. Carine sursauta sous l’intrusion et râla :
— Oh Fil. Oh salaud.— J’arrête ?— Non, continue.
Il reprit son branlage à deux doigts et ses fessées. Carine se cabra encore, se tortilla tant elle prenait son pied. Au bout d’un moment, il abandonna les fessées pour concentrer son action sur le double doigtage de Carine. Elle ne mit pas longtemps à jouir, le visage enfoui dans un coussin du canapé. Felipe sentit ses doigts comprimés par le sphincter et le vagin de sa copine. Il les retira et lui caressa ses fesses rougies par les fessées. Carine ondula légèrement sous les caresses. Elle se redressa et l’embrassa. Elle redescendit et sortit son sexe de son pantalon. Felipe n’avait pas trop aimé fesser sa copine, mais la masturber et la faire jouir l’avait mis au garde-à-vous. Elle le pompa alors vigoureusement. D’habitude, Carine y allait d’abord doucement puis passait à la vitesse supérieure. Là, c’était comme si elle voulait le faire éjaculer tout de suite.
Felipe avait d’autres projets que de jouir dans la bouche de sa copine. Avant qu’il ne soit trop tard, il se libéra d’elle. Il la positionna et la pénétra d’un coup en levrette. Le garçon la pilonna un bon moment, elle l’encouragea tout du long :
— Vas-y. Baise-moi. Plus vite.
Felipe, emporté par une envie soudaine, commença à lui claquer à nouveau les fesses. A chaque fois que sa bite était au fond de l’antre de Carine, il abattait sa main pile au même moment. Il la bourra de plus en plus vite jusqu’à ce que sa jouissance arrive dans un flot de semence blanchâtre emplissant la chatte de Carine. Elle ne jouit pas, mais elle était plus que satisfaite de ce qu’elle venait de recevoir. La jeune fille se retourna et attira à elle son copain. Ils se roulèrent une pelle puis allèrent se rendre présentables dans la salle de bains. Son père ne risquait pas de revenir tout de suite et quant à Esteban, il en avait vu beaucoup sur eux déjà. Mais bon, ils n’avaient pas envie aujourd’hui que tout le monde sache ce qu’ils avaient fait.Carine se prépara à partir, Felipe la rattrapa et lui demanda :
— Essaye d’être à l’heure quand même.— Oui, promis. Sinon j’aurais droit à une nouvelle fessée, fit-elle avec un clin d’œil.— Peut-être, soupira-t-il. Si tu veux.
Il lui sourit, après tout, il avait aimé certaines parties de ce jeu.
* * *


Maxime regarda sa copine, Amandine était vraiment très jolie dans sa robe bleue électrique. Mais comme lui, elle s’emmerdait. Mais qu’est-ce qu’ils faisaient là ? La famille d’Amandine avait été invitée au mariage d’un cousin qu’ils ne voyaient presque jamais. Et quelle idée de faire un mariage en hiver ! Au moins en été, on pouvait prendre l’air le soir, profiter des rayons du soleil. Amandine était impatiente de voir la mariée, sa robe, sa coiffure.
— Am, je te trouve bien impatiente de la voir la marier. Va pas me faire un coup fourré, lui demanda Maxime.— Hein, mais non t’es bête. C’est juste pour voir. On a le temps.
Bon, il sentit qu’il devrait y passer tôt ou tard. L’idée ne déplaisait pas à Maxime, mais tard c’était mieux. Quand la mariée fit son entrée, il fut soulagé, car Amandine eut cette réflexion pleine d’élégance :
— Elle est tarte. On dirait une grosse meringue de fin de poche à douille.
Maxime pouffa, le père d’Amandine aussi. Sa mère lui reprocha sa remarque, mais Amandine savait qu’elle devait penser la même chose sinon pire. La cérémonie fut longue et ennuyeuse. A la sortie de l’église, on jeta sur les mariés des pétales de fleurs. Puis le père d’Amandine déclara qu’il était temps de passer aux choses sérieuses : le vin d’honneur puis le repas. Maxime approuva mentalement cette judicieuse remarque.Ils en étaient donc au vin d’honneur quand Maxime se dit qu’ils s’emmerdaient tous les deux.
— Bon, je connais personne quasiment. Ils sont où tes cousins que je connais ?— Ils ont eu l’intelligence de ne pas venir.— Et pourquoi vous, vous êtes venus ?— Dès qu’il y a à bouffer et à boire, mon père est prêt à traverser la France.— Et pourquoi moi je suis là ?— Pour me soutenir moralement.— Faut que je t’aime vraiment.— Je sais, merci.
Amandine lui fit un petit bisou sur la joue. Ils scrutèrent un peu la salle. Les familles des mariés avaient loué une sorte de grand manoir ou de grande ferme. Du coup, il y avait plein de petites pièces et de petits salons. Certains étaient ouverts, d’autres fermés. Il y en avait un réservé comme espace de jeu pour les enfants. Un autre était squatté par les fumeurs. Au détour d’un couloir, Amandine repéra deux ados qui se galochaient comme des malpropres.
— Oh regarde.— Hein, où ? Quoi ?— Là au fond du couloir, sur la banquette.
En effet, dans l’ombre du couloir, deux ados s’embrassaient. Ils devaient avoir 14 ou 15 ans.
— Tu sais qui c’est ? demanda Maxime.— Pas la moindre idée. Viens on s’approche.— Mais Am, laisse-les tranquilles.
Mais elle le tria par la manche de sa veste. Ils s’approchèrent doucement, tout doucement, sans faire de bruit. Amandine les scruta puis reconnut dans le garçon un des enfants d’un oncle éloigné. La fille devait être de la famille de la mariée, mais elle n’était pas sûre.
— Allez, on leur montre ce qu’on sait faire. Viens là.
Amandine attrapa par le col Maxime et lui roula une pelle. Ils bataillèrent à coup de langue sous les yeux des ados qui s’étaient rendu compte qu’ils étaient là. Ils les regardèrent puis partirent dégoutés. Maxime et Amandine se retrouvèrent seuls dans le couloir. Le jeune homme en profita pour passer la main sous la robe de sa copine. Il plaqua sa main sur la culotte. Amandine ne fut pas en reste et palpa la bite de son mec à travers son pantalon. Ils continuèrent quelques instants quand des parents appelèrent les enfants pour passer à table. Ils se séparèrent et se rajustèrent. Ils rejoignirent leur table. Heureusement qu’il y avait les parents et le frère d’Amandine pour avoir quelqu’un à qui parler. L’animateur de la soirée tentait bien de mettre de l’ambiance, mais ça ne venait pas trop.
En fin de repas, l’ambiance décolla enfin. Il y eut plus de bruit, de discussions, de rires. La soirée dansante commença, les deux jeunes allèrent sur la piste un moment, mais vraiment c’était de la musique pour leurs parents ou grands-parents. Ils quittèrent la piste et cherchèrent un coin tranquille. Ils retournèrent dans le couloir où ils avaient surpris les deux ados, mais il n’y avait personne. Ils s’assirent sur la banquette, mais ils avaient du mal à se parler. Ils recommencèrent leur tripotage de tout à l’heure. Amandine était dos à la salle, Maxime pouvait facilement voir si quelqu’un approchait. Il passa sa main dans le décolleté de sa copine et lui pétrit les seins. Elle, elle avait ouvert la braguette de son pantalon et lui massait la queue. La soirée avançant, il y avait plus de passage. Ils étaient moins tranquilles. Ils se levèrent et allèrent plus au fond du couloir. Ils s’aperçurent qu’il y faisait un coude à droite sur trois portes.
Celles de gauche et du fond étaient fermés, mais celle de droite était ouverte. Ils entrèrent, il n’y avait personne. C’était un local dans lequel les nappes, des tables et des chaises étaient entreposées. A peine furent-ils entrés que Maxime retourna Amandine vers lui pour l’embrasser. Elle se débattit et s’échappa en riant. Maxime partit à sa poursuite, ils tournèrent autour des tables et des chaises, des piles de nappes. Il finit par la rattraper par le bras, mais elle voulut se libérer en le tirant violemment. La prise de Maxime était trop forte, il ne lâcha pas. Mais cela leur fit perdre l’équilibre et ils tombèrent par terre entre deux rangées de chaises empilées.
— Aïe, cria Amandine.— Ouch, souffla Maxime.— Mon genou ! J’ai mal.— Ça va ?— Non !— Attends je regarde.
Maxime aida Amandine à s’asseoir au sol et inspecta ses genoux. Le droit n’avait rien, mais le gauche saignait un peu. Et le collant était bien déchiré à ce niveau-là. Ils allaient se relever pour chercher de quoi soigner ce bobo quand la porte s’ouvrit, les deux ados entrèrent dans la pièce. Ils se galochaient comme tout à l’heure, ils devaient chercher un peu d’intimité. Ils avancèrent un peu dans la pièce. Le garçon plaqua la fille contre une table et ils se roulèrent un patin. Apparemment, ils tentaient de reproduire ce qu’ils avaient vu chez Amandine et Maxime. Puis les ados prirent des libertés et tentèrent maladroitement d’accéder à de nouveaux territoires. Une main remonta sous la robe, une autre palpa la bosse du pantalon. Ils étaient partis pour aller plus loin quand le marié et sa belle-mère firent irruption. Ils allumèrent la lumière et virent les jeunes qui eurent tout juste le temps d’enlever leurs mains.
— Oh, les jeunes restez pas là. C’est pas un salon qui nous est ouvert, leur dit le marié.— Allez, ouste, rajouta sa belle-mère.
Les deux ados partirent sans demander leur reste, bien contents de ne pas s’être fait surprendre en position plus délicate.
— Je crois que nous les avons arrêtés à temps, commenta la femme.— Vous croyez ?— Mais bien sûr mon gendre. Ces jeunes...— Justement, c’est quand on est jeune qu’il faut profiter de la vie.— Parce qu’à mon âge, on ne pourrait plus ?— Mais si bien sûr que si. D’ailleurs, c’est pour ça que nous sommes là.
Le marié plaqua soudain ses mains sur les seins de sa belle-mère. C’était une femme, la cinquantaine, encore belle et svelte, élégante. Lui était plutôt pas mal aussi. Grand, athlétique, beau gosse pour résumé. Amandine s’était demandé ce qu’il faisait avec sa femme. Avec Maxime, ils avaient un début d’explication.
— Alors comment avez-vous trouvé ma fille dans sa robe ?— Elle était aussi bien qu’on pouvait l’espérer, dit-il.— Elle était tarte, vous voulez dire. Mon Dieu quelle robe !— J’ai dit aussi bien qu’on pouvait l’espérer. Je n’en attendais pas beaucoup mieux de sa part. Mais bon, les goûts vestimentaires, ça se corrige. Et ça aussi, dit-il en palpant de nouveau la poitrine de la quinqua.— Oui, ils sont réussis, n’est-ce pas ?— Oui. D’ailleurs, cela fait longtemps que je ne les ai pas goûtés.— Alors qu’attendez-vous ?
Le marié tira sur la fermeture éclair de la robe, dévoilant ses épaules puis sa poitrine. Cette vieille salope ne portait pas de soutien-gorge. Amandine mata ses seins qui étaient gros, comme ceux d’Elisa, mais qui faisaient vraiment faux et bas de gamme. Ils étaient trop ronds, trop haut perchés et trop écartés. Elle se trouva bien contente de sa poitrine naturelle. Maxime aussi n’aimait pas trop le résultat.
— Je préfère les tiens, lui chuchota-t-il à l’oreille en prenant en main l’un des seins d’Amandine.— Moi aussi. Continue.
Le jeune homme continua de lui palper le nichon tout en épiant les deux amants. Ceux-ci avaient avancé. Il tétait les nichons refaits de sa belle-mère et avait passé une main sous sa robe. Il devait lui tripoter le con. Elle, de son côté, avait extirpé la bite de son gendre et le branlait habilement.
— Alors ma fille vous branle-t-elle bien ?— Moins bien que vous, mais elle progresse. Tout n’est pas perdu pour la faire à votre image.— Quelle image ?— Mais celle d’une bonne salope.— Oh mon gendre. Que dites-vous là ? Oh oh oh oui, continuez.— Mais je dis la... la vérité.— Alors qu’attendez-vous pour baiser votre salope de belle-mère ?
Il ne répondit pas, mais retourna la femme, lui souleva la robe et descendit collant et sous-vêtement. Il se mit en position et la pénétra d’un coup sec. Puis le marié commença ses va-et-vient. Amandine et Maxime n’en perdaient pas une miette. Amandine branlait son copain qui avait sorti sa bite. Lui, il lui titillait son bouton de plaisir ou lui rentrait un doigt dans le vagin. Assis et camouflés par les rangées de chaises, ils pouvaient voir sans être vus, à condition de ne pas faire de bruit. Ils étaient très excités par la situation. Devoir être silencieux malgré la main de l’autre qui le caressait était un supplice divin. Ils ne devaient pas aller trop vite sinon ils pourraient jouir et se faire prendre.Le marié bourrait sa belle-mère et lui sortait des insanités. Comme quoi, c’était une belle salope, qu’il travaillait à faire de sa femme une salope à son tour. Qu’elle commençait à sucer correctement et qu’il pensait pouvoir la sodomiser pendant le voyage de noces.
— A ce... propos, ne... voudriez-vous pas me la mettre dans... le cul ?— Mais bien sûr ma chère.
Le marié se retira de la chatte pilonnée et plaça son gland devant la rondelle. Il poussa et força l’entrée. La quinqua râla de douleur et de plaisir, le trentenaire grogna tellement sa queue était serrée. Il s’arrêta pour laisser le temps au cul de s’habituer à sa présence puis il s’enfonça plus profondément, jusqu’à ce que son pubis soit collé aux fesses de la femme. Il la pilonna alors doucement puis de plus en plus vite, comme s’il pénétra un vagin et non un anus. Maxime faillit jouir dès que le marié entra sa queue dans le cul de sa belle-mère. Il avait dû stopper la main de sa chérie quelques instants. Amandine était quant à elle plus estomaquée que vraiment excitée par cette sodomie. Elle ne parvenait pas à s’imaginer le faire avec Maxime. Elle avait senti son chéri beaucoup plus intéressé qu’elle. Elle se dit qu’il allait sûrement le redemander. Mais pas question. Néanmoins au bout d’un moment, les cris de plaisirs de la belle-mère la touchèrent.
Le marié finit par jouir dans le cul de la femme en se plantant tout au fond d’elle. Il ressortit et essuya négligemment son gland dans la culotte de sa belle-mère. Ils se rajustèrent puis sortirent discrètement l’un après l’autre. Nos deux voyeurs n’en pouvaient plus, ils devaient atteindre l’extase tout de suite. Ils se jetèrent l’un sur l’autre et, se mettant en 69, amenèrent à l’orgasme l’autre à coups de langue bien placés. Ils sortirent de la pièce à leur tour.
— Heu, Am.— Non.— Non, quoi ? J’ai rien dit.— Je sais à quoi tu penses. C’est toujours non !
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