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Le projet artistique

Chapitre 41

Passage à l'acte

Hétéro
Maxime narrateur
L’après-midi, nous nous rendîmes à la salle de gym, un tout petit peu plus tôt que d’habitude. Nous nous excusâmes auprès de Graziella d’arriver plus tôt. Nous l’observâmes tout en faisant semblant d’aller chercher notre matériel. Elle fit ses étirements devant nous, son legging et son t-shirt qui lui moulaient parfaitement ses formes nous firent monter la pression dans notre short. Voyant qu’elle nous perturbait, elle sourit puis sortit en nous souhaitant une bonne séance.
— Peut-être arrivera-t-elle à vous détendre. Hi hi hi.
Son rire moqueur et son clin d’œil nous firent débander. Je vérifiai à l’oreille si elle était sous la douche. Paul regarda si elle n’avait rien oublié dans la salle. C’était bon, donc Germain alla faire signe aux filles de venir nous rejoindre. Elles attendaient dehors, cachées du complexe sportif, mais pouvant nous voir les appeler. Elles arrivèrent en courant, elles avaient froid à rester plantées dehors en plein air.
— La vache, ça caille aujourd’hui, déclara Sylvie.
Elle jeta son sac dans un coin de la salle. Les sacs des autres le rejoignirent rapidement. Nos copines gardèrent leurs blousons ou parkas pour se réchauffer. Cela nous laissa le temps d’étaler quelques tapis, genre tatami, au sol pour que nous puissions nous installer aussi confortablement que possible. Nous nous assîmes sur les tapis, les couples restant collés l’un à l’autre. Tout le monde se regardait en chiens de faïence.
— Bon, on est là pour se dire les choix que nous avons faits, commença Amandine.
Je fus surpris que ce soit elle qui lance le sujet. Elle n’était jamais la dernière à prendre la parole, mais jamais la première non plus.
— On est d’accord que tout le monde a pris une décision et que vous en avez parlé entre vous ? poursuivit-elle.
Tout le monde hocha la tête. Germain et Marie, Carine et Felipe se prirent par la main. Mais personne n’osa se lancer le premier. Je le faisais souvent, mais là je ne voulais pas le faire. Elisa et Paul s’échangèrent un regard puis Paul prit la parole.
— Bien, ce n’est pas facile de parler en premier. Je comprends donc nous allons commencer avec Elisa.
Mais il fit d’abord une pause, comme s’il prenait son élan, puis reprit :
— Donc, j’ai réfléchi à ce que nous avons déjà fait, ce que nous faisons, ce que nous pourrions faire. Je... je suis d’accord.

La déclaration fut plus difficile que ce qu’il avait dû croire. Elisa attrapa la main de son mari, tant pour le réconforter que pour se donner à elle du courage.
— Euh, voilà, j’ai pris la même décision que mon mari.
Elisa appuya bien sur le mot mari, histoire de montrer que le lien entre eux était très fort. Et que si elle acceptait de le partager parfois, ça restait SON mari. Paul puis Elisa avaient parlé, Sylvie qui était placée à côté d’Elisa dut se sentir obligée de prendre la parole. Ce fut Esteban qui alla chercher sa main tremblante.
— Bien, euh, voilà... Je, je vous aime tous alors je suis d’accord aussi.
Elle se relâcha puis se colla à Esteban. Elle marquait bien son territoire, elle aussi.
— Bon, je suppose que c’est à moi, souffla Esteban. Bien, j’ai pris la même décision que ma chérie.
Il ne nous regarda qu’après avoir fini sa phrase. Il était tout rouge, Sylvie se serra un peu plus contre lui et cela le soulagea visiblement. A ses côtés, Felipe n’en menait pas large, mais il prit son courage à deux mains et parla :
— Je, je ne suis pas depuis longtemps avec vous... J’ai décidé de... d’accepter.— Moi aussi, ajouta rapidement Carine. Comme mon petit ami.
Carine se dissimula un peu derrière lui et agrippa fort son t-shirt. La suivante était Amandine. Je l’avais trouvée sereine et confiante au début, là elle ne l’était plus du tout. Je sentis que sa main cherchait la mienne, je la lui donnai. Elle me serra très fort puis dévoila son choix :
— Euh, voilà, euh moi j’ai décidé de ne pas, euh je veux dire j’ai décidé d’accepter aussi.
Mon cœur avait manqué un battement quand elle avait employé le négatif. Mais cela me soulagea quand elle se reprit. Bon, c’était à mon tour :
— Euh, bien, euh, comme Am, j’ai décidé : je suis d’accord.
Elle lâcha ma main pour me tenir tout le bras. Puis à côté de moi, j’entendis Olivier souffler un bon coup et s’encourager :
— OK, alors je suis d’accord aussi.
Liz après lui commença par simplement hocher la tête, mais elle sentit que nous attendions quelque chose de plus formel. Elle serra la main d’Oliver si fort que leurs phalanges blanchirent. Cela dut l’aider un peu, elle réussit à prendre la parole :
— Je suis d’accord aussi.
Elle baissa les yeux et posa sa tête sur l’épaule d’Olivier. Ils ne restaient donc plus que Marie et Germain qui étaient ceux qui avaient eu le plus de mal à se décider. J’espérai qu’ils nous rejoignent, mais surtout qu’ils ne se sentent pas forcés parce que nous voulions tous le faire, au moins s’en donner la possibilité.
— A nous, alors j’ai mis du temps à me décider. A m’avouer ce que je voulais surtout, je veux le faire, dit Germain d’un ton plus ferme que je ne m’y attendais.— Mon chéri a raison, dit Marie en marquant bien le chéri. J’ai mis du temps à me rendre compte de ce que je voulais. Je suis d’accord aussi.
Marie était toute rouge et entrelaça ses doigts avec ceux de Germain. J’étais sidéré de voir quelle bande d’obsédés nous formions. Mais j’étais très content aussi. Ça voulait dire beaucoup sur le niveau de confiance, de liberté, d’amour qu’il y avait dans chaque couple. Mais ça ne voulait pas dire qu’on allait tout de suite se sauter dessus comme des animaux. Il me semblait que nous avions de circonstances favorables comme à la soirée du Nouvel An. Et puis, moi, je préférai comme ça aussi.
* * *

— J’ai chaud là ! dit Sylvie enlevant son blouson.
C’est vrai que les nanas avaient gardé leurs manteaux au départ. Maintenant, elles devaient suffoquer dessous. Et puis partager notre décision nous avait donné de fortes émotions aussi. Elles ôtèrent leurs affaires, je vis qu’elles étaient prêtes à danser. Elles allaient sans doute partir rapidement vers leur salle de danse. Nous parlâmes un peu du pourquoi nous avions pris cette décision. Il se révéla que nous avions tous fait des rêves où nous couchions avec un ou une autre partenaire et que le ou la nôtre en faisait autant. Cela nous avait tous procuré énormément de plaisir, quelques mecs souillèrent leurs draps comme moi et certaines filles eurent leurs dessous encore très humides au petit matin. Ces histoires me firent bander, elles firent bander les autres mecs. Je voyais également les tétons pointer chez certaines filles, pour les autres, j’étais persuadé qu’elles étaient excitées aussi, mais que leurs t-shirts plus amples me cachaient leur état.
Carine proposa à ses copines de partir s’entraîner. Elles voulaient toutes danser, mais n’avaient pas trop envie de repartir dans le froid. Paul leur dit qu’il y avait assez de place dans la salle de gym pour elles. C’était vrai que nous n’en prenions qu’une petite partie.
— Mais pour la musique ? s’enquit Carine. J’ai ma cassette avec moi, mais j’ai rien pour la passer.— Il y a la petite chaîne hi-fi qui est dans mon bureau. C’est celle qu’utilise Graziella pour s’entraîner en musique ici. Je monte la chercher si vous voulez.— Oui, oui, on veut bien, s’empressa de dire Sylve.— Oui, chéri s’il te plaît. Et comme ça, on rentrera ensemble après, lui dit sa femme.
Paul fit l’aller-retour en deux minutes. Les garçons commençaient à s’échauffer et les filles à faire des assouplissements. Paul se joignit à nous ensuite. Je ne sais pas si c’était parce que nos chéries étaient là, mais nous n’avions jamais mis autant d’intensité dans notre entraînement. Ça faisait un peu concours de coqs.
Elles souriaient et riaient en nous regardant alors qu’elles finissaient de s’étirer. Elles ne semblaient pas être dupes de la parade amoureuse que nous leur faisions. J’entendis Carine leur parler, mais sans tout saisir. Je compris juste qu’elle avait de nouveaux mouvements à leur proposer. La musique se lança "Still loving you" de Scorpions. C’était un peu passé de mode je trouvai, mais au moins ça mettait un fond sonore pas désagréable. Nous nous concentrâmes sur les exercices que Paul nous faisait faire. La chanson se répéta plusieurs fois, parfois le même passage quatre ou cinq fois.
Nous fîmes une pause pour boire. Nous observâmes nos poulettes. Je crois bien qu’elles étaient parfaitement conscientes que nous les observions. Ça me plaisait bien de voir leurs formes moulées dans des brassières, des t-shirts serrés, des shorts courts, de leggings moulants.
— Dis, Oliv, elles en rajoutent pas un peu là ? demanda Felipe derrière moi.— Euh maintenant que tu le dis. Peut-être, surtout qu’elles vérifient qu’on les mate.— Oui, je suis d’accord avec vous, les gars, confirma Esteban.— En même temps, je crois qu’on en a rajouté un peu aussi nous, non ? leur dis-je.— Oui, c’est clair, approuva Paul.— Mais ça leur a plu on dirait, conclut Germain.
Etait-ce à cause de l’intensité que nous avions mise, de cette discussion ou de voir les filles se déhancher devant nous ? Toujours était-il que j’avais très chaud. J’enlevai mon t-shirt sans arrière-pensée. Amandine et Liz esquissèrent un sourire en me voyant faire. Il me sembla que les gars furent un peu jaloux, ils retirèrent aussi leurs hauts. Toutes les nanas eurent un sourire en coin. Je pensai qu’elles croyaient nous avoir chauffés assez pour faire ça. Mais ce n’était qu’en partie vrai.
Nous reprîmes notre entraînement. Puis ce furent les danseuses qui firent une pause. Elles nous mataient sans vergogne. Carine enleva son t-shirt ample pour ne rester qu’en brassière de fitness et leggings longs. Elle était vraiment bien roulée. Je vis que les jumeaux et Paul firent un bref arrêt pour la regarder. Les autres filles durent se sentir délaissées ou je ne sais quoi. Celles qui le pouvaient se mirent dans la même tenue qu’elle, avec des leggings courts ou longs. Liz releva simplement son t-shirt pour le nouer sous ses seins et faire apparaître son ventre. Elisa baissa son pantalon de jogging pour se mettre en legging assez court, mais encore très décent.
Puis elles reprirent leur chorégraphie, enchaînant des pas et des mouvements dynamiques, mais souvent lents et sensuels, la chanson s’y prêtant bien. J’avais un peu de mal à me concentrer dorénavant et mon sexe avait assez grossi dans mon short pour me gêner. Mes copains avaient visiblement le même problème que moi. Je les voyais remettre en place leur paquet ou tirer un peu sur leur short. De leur côté, ces dames tortillaient des fesses comme si leur entrejambe les gênait.
Puis ce fut l’heure de ranger. Le matériel de boxe fut remisé rapidement. Mais nos copines furent un peu plus rapides que nous et allèrent à leur vestiaire en premier. Elles se déshabillèrent rapidement et partirent sous les douches. Nous allions entrer dans les nôtres lorsqu’on entendit un cri venant de l’autre côté :
— Ah, c’est brûlant !
C’était Elisa qui venait de crier ainsi. Je le sus grâce aux deux jurons en allemand qui suivirent cette phrase.
— Qu’est-ce qu’il y a ? demanda Paul.— C’est brûlant chéri, lui répondit-elle.
Paul pressa le bouton d’une douche, l’eau arriva et un nuage de vapeur se forma immédiatement. Il retira vivement sa main de sous l’eau.
— Oh putain c’est chaud.— Ah, tu vois ! le gronda sa femme.
Je vis Paul regarder le plafond, au niveau du mur de séparation entre les deux douches, il y avait une sorte de gros robinet. Il était placé juste au-dessus du mur, celui-ci s’arrêtant une vingtaine de centimètres avant le plafond.
— OK, c’est le robinet de réglage de l’eau qui est mal réglé. Germain aide-moi. Fais-moi la courte échelle.
Paul grimpa sur les mains jointes de Germain, celui-ci se retrouva avec la bite à moitié bandée de Paul sous le nez. C’était un peu comique, mais un peu bandant aussi. Déjà que nous avions été excités par ces demoiselles, là j’enviais presque Germain. Mais Paul n’était pas léger, heureusement il manipula rapidement le robinet :
— Esteban, tu peux essayer ?
Esteban pressa le bouton et testa l’eau.
— Mmmh, ça va.
Germain redescendit Paul sans qu’on lui demande. Il n’en pouvait plus.
— C’est bon les filles, cria Paul.
On entendit l’eau de l’autre côté et des soupirs de satisfaction.
— Et même pas un merci ? maugréa Paul.— Rooh, merci. Mais tu as juste tourné un bouton, répliqua Elisa.— Mais il a fallu qu’on intervienne quand même, râla Germain.— Qu’est-ce que vous feriez sans nous ? ajoutai-je.— Plein de choses, répondit Sylvie.— On s’en doute. On vous connaît.— Et Oliv, mon chéri, je suppose que tu es en train d’imaginer ce que nous pourrions faire sans vous ?— On vous connaît, mais vous nous connaissez aussi.
C’était vrai que les imaginer toutes les six ensemble activait un peu plus ma queue. Elle avait presque atteint sa pleine mesure. Je les entendis rire de nous et se moquer de notre incapacité à nous contrôler. Nous nous étions lavés et nos profitions de l’eau chaude pour nous relaxer. Nos nanas continuaient de ricaner comme des gamines. Elles chuchotaient, pouffaient, chuchotaient encore. De vraies gamines !Mais d’un coup, de l’eau glacée s’abattit sur nous. Nos sexes se recroquevillèrent comme de misérables escargots apeurés.
— C’est froid, c’est froid, c’est froid ! criai-je avec une voix suraigüe.— Aaaah, oh merde ! geignit Felipe.— Ah les salopes ! C’est vous ça ! ragea Paul.— Mais c’est juste pour vous aider à vous contrôler, ah ah ah.
C’était Carine qui était morte de rire. Les autres nanas éclatèrent de rire à leur tour. Ces petites salopes avaient manipulé le robinet pour ne mettre pratiquement que de l’eau froide ! Elles allaient me le payer !
— Ça va se payer ça ! lança Germain. Venez !
Il partit en courant, nous entraînant à sa suite. Nous fîmes irruption dans le vestiaire fille en hurlant comme des sauvages, nous voulûmes les attraper, mais elles étaient vives et nos pieds mouillés glissaient sur le carrelage. Elles réussirent à s’échapper en gloussant comme des folles. Nous partîmes à leur poursuite.
* * *


Je sortis en troisième position, devant moi, Germain et Esteban étaient partis à gauche, je choisis d’aller à droite. Derrière moi, il y avait Felipe. Paul et Olivier rentraient dans la salle de gym. J’entendis du bruit au niveau des toilettes filles.
— Suis-moi Fil. Là ! indiquai-je en chuchotant l’endroit d’où venait le bruit.
Il me fit un signe de tête me montrant qu’il avait entendu lui aussi. Nous approchâmes à pas de loup puis nous plongeâmes en avant, Liz et Marie s’étaient réfugiées là. Marie plus vive et plus rapide m’échappa, Felipe partit à sa poursuite. Je réussis à attraper le bras de Liz, je la tirai à moi.
— Je te tiens !— Hi hi hi. Pas sûr !
Elle m’agrippa les testicules et je couinai. Mais je ne la lâchai pas. Je la tirai un peu plus vers moi, ses gros seins se pressèrent contre mon torse. Le contact était doux et chaud. Mon sexe repartit à la hausse. Je pris un de ses seins en main et le malaxai. Liz changea sa prise sur mes couilles et me les caressa au lieu de les serrer. Je la trouvai belle, les yeux mi-clos, les lèvres légèrement ouvertes. Je lui déposai un baiser, qu’elle me rendit. J’osai aventurer ma langue vers la sienne. Je découvris qu’elle me cherchait aussi. Nous échangeâmes un bon patin.
— Mmmmh, désolé si je t’ai fait mal. Mais on dira qu’y a pas de casse.— Non, comme tu le sens.— Je vois je vois. Je vais vérifier.
Liz se mit à genoux devant moi et commença à me pomper. Elle suçait bien, trop bien. Je me penchai en avant et lui triturai les tétons pour la déconcentrer un peu. Elle lâcha sa friandise pour émettre un soupir de satisfaction. Je la relevai et posai ma bouche sur ses seins. J’enfouis même mon visage entre ses deux montgolfières. Je descendis ma main vers son sexe. Mes doigts fouillèrent son antre qui était déjà bien trempé.
— Oh Max, continue.— Branle-moi aussi Liz.
Elle s’empressa de m’astiquer le bâton. Nous restâmes ainsi un moment puis elle se dégagea soudain, prenant appui au long lavabo derrière elle. Elle me regardait l’air de dire : "Passons à la suite. » Je lui répondis avec un sourire avide. Je m’approchai de Liz la queue à la main. Elle écarta ses jambes et je frottai mon gland à l’entrée de sa grotte humide. Liz ferma les yeux et pencha la tête en arrière. Je me positionnai et poussai en même temps qu’elle avança son bassin vers moi. Une fois bien calé au fond, je commençai de lents va-et-vient.
— Plus vite, souffla-t-elle.
J’accédai à sa demande et accélérai ma pénétration. Elle poussa alors de petits cris étouffés. Ses seins balançaient à droite et à gauche. Je plaçai une main au niveau de ses reins et une autre sur ses seins. Je la besognai quelques instants et lui embrassai le cou. J’allais bientôt jouir, mais elle fut plus rapide que moi. Je la sentis se tendre comme un arc et feuler doucement et longuement. Je donnai encore deux coups de reins et me vidai en elle. Liz reprit vite ses esprits et me dit :
— Merci, c’était bien.— Merci aussi, j’ai bien aimé.
Elle me fit un smack. Après une hésitation, je le lui rendis en ouvrant un peu la bouche. Quand nos langues s’effleurèrent, nous nous embrassâmes goulûment.
* * *


Felipe narrateur
Avec Max, nous avions retrouvé Marie et Liz, il passa devant moi pour les attraper. Marie plus petite et vive que Liz réussit à lui échapper. Et à moi aussi par la même occasion. Je me lançai à sa suite. Elle était vraiment rapide, mais un petit cri de sa part m’avertit qu’elle était juste passée dans les toilettes garçon. Je me précipitai et la trouvai assise par terre. Elle avait dû glisser et tomber sur les fesses.
— Ça va Mimi ? lui demandai-je.— Oui, ça va. Aide-moi s’il te plaît.
Elle me tendit la main et je la tirai vers le haut. Marie grimaça un peu en se mettant debout.
— Tu as mal où ?— A la fesse, je vais avoir un bleu.— Fais voir.
Je la tournai et regardai son petit cul musclé. Ça me changeait du cul plus gros et rond de Carine. Je posai ma main sur sa fesse et lui demandai :
— C’est là que tu as mal ?— Un peu plus bas. Aïe ! Oui, là.
Je lui massai la fesse sans arrière-pensée, au début. Mais ma main était très proche de son sexe et je l’avais toute nue devant moi. Marie avait fermé les yeux et semblait apprécier plus que de raison mon massage.
— Ça va ? Ça te fait du bien ?— Mmmh, oui. Toi aussi ça a l’air de te plaire comme massage.
Je ne compris ce qu’elle disait que lorsque je suivis son regard. Il était fixé sur mon sexe qui bandait. Elle tendit la main et le caressa :
— Je vais te masser un peu aussi, murmura-t-elle.— Merci. Tu as mal encore ?— Oui. Mais plus là.— Où ça ?— Là, me dit-elle en écartant bien les jambes.
Je glissai ma main vers ses lèvres, je trouvai une fente déjà un peu humide. Je la massai là tout en douceur de ma main droite, avec l’index de la main gauche, je lui titillai le clitoris. Marie gémit et chancela. Elle se raccrocha à mon cou. Son visage se rapprocha du mien et sa bouche entrouverte me donna envie. Je déposai un léger baiser sur ses lèvres. Elle sourit, pencha la tête de côté puis revint à la charge et fouilla ma bouche avec sa langue. Son bras gauche autour de mon cou la maintenait et avec sa main droite, elle me branla au même rythme que ma main sur sa chatte. Elle était habile de sa main, parfois elle passait son pouce sur mon gland, sur le méat pour bien étaler le liquide qui suintait.Nos bouches se détachèrent, elle bougea et posa les mains sur le mur en écartant bien les jambes. Je me mis derrière elle et caressai son con de ma bite. Autant pour la lubrifier un peu plus que pour la faire languir.
— Allez, viens, me dit-elle.
Je ne tardai pas plus et la pénétrai. Je fus serré dans son fourreau, des six nanas, c’était la plus serrée. Je fis mes va-et-vient avec une énergie folle. Elle criait et je grognais sous l’effort. Nous étions tous les deux très excités par ce changement de partenaire. Je sentis mon foutre grimper le long de ma hampe. J’essayai de me retenir encore un peu, mais ma jouissance fut la plus forte. D’autant plus que Marie criait et m’encourageait. Je me déchargeai en elle. Au premier jet, elle jouit à son tour. Son vagin serra et pressa ma queue comme si elle voulait me traire jusqu’à la dernière goutte. Je me collai à elle, elle tourna sa tête vers et nous nous embrassâmes de nouveau.

* * *


Paul narrateur
J’avais vu les quatre premiers partir à gauche ou à droite, je choisis, avec Olivier, de retourner dans la salle de gym juste en face. La porte à tambour bougeait encore, j’étais sûr qu’il y avait l’une des filles par là. En entrant, je vis Carine et Sylvie chercher un endroit où se cacher. Elles gloussaient comme des gamines délurées. Elles nous virent et crièrent de peur, de surprise et d’excitation. Je partis sur la droite et Olivier sur la gauche. Sylvie voulut repartir par la porte, mais je réussis à la bloquer, elle fit demi-tour vers les tapis de réception. Elle était à moi, elle ne pouvait s’échapper. Des mouvements en périphérie de mon champ de vision me firent tourner la tête un instant. Le temps de voir Carine vouloir se cacher dans le local des équipements. Cela fut suffisant pour que Sylvie tente de nouveau sa chance.
Elle se précipita en avant, mais je fis barrage avec mon bras, je l’attrapai au niveau du ventre. Sylvie avait de la puissance dans les jambes, je dus m’employer pour la bloquer. Je la soulevai et la fis tomber sur le tapis de réception. Mais elle m’agrippa et je tombai avec elle. Je me retrouvai alors allongée sur elle, une main tenant toujours son poignet et l’autre posée sur un sein. Sylvie avait donc un bras bloqué et l’autre coincé entre nous deux. Je ne pus m’empêcher de tâter de ce magnifique sein. Sylvie me fit un sourire en coin, elle bougea son bras coincé entre nous et avança sa main jusqu’à mon sexe. Elle le prit en main et essaya de le caresser, mais collés comme nous l’étions, c’était impossible. Je m’appuyai sur le coude de la main qui lui massait le sein et me tournai légèrement. Sa main put aller et venir sur mon membre. Je lâchai alors son poignet et avec ma main libre, j’allai lui tripoter la chatte. Je tombai sur un con déjà humide.
Mon doigt allant et venant le long de sa vulve accentua cette lubrification. Elle écarta largement les cuisses puis les passa autour de ma taille. Je pensai qu’elle voulait que je la prenne. Mais cette petite maligne profita de mon manque de vigilance pour me retourner sur le dos et essayer de s’enfuir. Son mouvement fut brusque et efficace, je me retrouvai sur le dos en une fraction de seconde. Mais elle calcula mal son coup et son pied gauche resta coincé sous moi. Elle fut alors projetée sur moi, son visage se retrouva à deux centimètres du mien et elle s’empala sur ma bite. Seul le gland rentra en elle, mais elle émit un cri de surprise.
Ses grands yeux étonnés, sa bouche entrouverte, je ne résistai pas au désir de la galocher. Elle me rendit immédiatement mon baiser et nos langues jouèrent ensemble. Et au lieu de se dégager de ma pénétration, elle la rendit plus profonde, faisant entrer ma bite doucement en elle jusqu’au bout. Puis Sylvie bougea et ondula son bassin sur mon sexe, se donnant du plaisir et m’en procurant au passage. J’attrapai ses tétons et les fis tourner entre mes doigts, je les pinçai aussi un peu. Elle réagit en gémissant et en se baisant plus vite sur mon sexe. Rapidement, je la sentis proche de l’orgasme. Je pinçai ses tétons plus fort alors qu’elle couinait. Elle se crispa et je rendis les armes à ce moment-là. Elle s’allongea sur mon torse.
— Mmmm, c’était bon, susurra-t-elle.— Oui, très bon.
Elle me regarda puis me roula une pelle.
* * *


Olivier narrateur
J’avais été le moins rapide des six. Sans trop réfléchir, je suivis Paul dans la salle de gym. Je vis que Sylvie et Carine étaient là. Je pris la gauche et Paul la droite. Je vis Sylvie essayer de s’enfuir, mais Paul la bloquer. Carine était moins combative, il me sembla. Mais c’était une ruse, elle profita de mon inattention pour vouloir se réfugier dans le local des équipements. Elle y entra et voulut refermer derrière elle, mais je fus assez rapide pour bloquer la porte. Elle poussa un petit cri quand je pénétrai dans la pièce.
— Tu croyais m’échapper ?— Oui. C’était juste une petite blague, se défendit-elle.— Vous vouliez calmer nos ardeurs. C’était un peu radical.— Oh, c’était pas si terrible. Et puis on dirait que ça va mieux.
Elle montra du doigt mon entrejambe. En effet, ma queue recommençait à bander. Poursuivre des femmes nues avait réveillé mon côté homme des cavernes, je supposai.
— Et laquelle te met dans cet état ?— Liz bien sûr. Et toi qui es devant moi.— Moi aussi ? Je suis pourtant loin des autres.— Pour moi, Liz est loin devant vous. Mais tu n’as rien à envier aux autres.— C’est vrai ? dit-elle ne me croyant qu’à moitié.
Durant cet échange, je m’étais approché, presque à la toucher.
— Mais oui, tu as de belles formes, dis-je en passant ma main sur ses hanches.
Je la sentis frémir à mon contact.
— Tu as de jolis seins aussi.
Je les soupesai de mes mains. Puis je les descendis pour lui peloter le cul.
— Et un bon cul bien rond.— Merci. Tu es très bien aussi avec cette boxe. Des belles épaules, un ventre plus tendu et des petites fesses musclées.
Elle avait fait parcourir ses mains sur les endroits qu’elle décrivait.
— Et une belle bite aussi.
Elle l’empoigna et me branla. Puis elle se mit à genoux et voulut me sucer. Mais je ne trouvai pas ça juste. Je la retins et la fis s’allonger sur le dos. Je me plaçai au-dessus d’elle pour qu’on se fasse un petit 69. Elle me pompa pendant que je lui bouffai la chatte. J’appréciai presque autant sa fellation que si c’était Liz qui me la faisait. Et je crois que je devais lui donner presque autant de plaisir que si Felipe la léchait. Carine arrêta de me pomper pour me parler :
— Mmmh, oui. Merci, mmmmh pour tes compliments...— Je le crois. Les autres aussi je suis sûr. Sssans parler de Fiiiil.— C’est tellement gentiiil. Viens làààà.
Elle me poussa les fesses sur le côté et me tira vers elle. Elle m’embrassa et ouvrit le compas de ses cuisses. Je me déhanchai pour bien me placer et la pénétrai d’un seul coup.
— Aaah. Ouiii, gémit-elle.— Oooh, tu es bien serrée.
J’entamai mes va-et-vient dans son antre. Elle s’exprima librement sous mes coups de boutoir. Nos préliminaires nous avaient bien chauffés. Il ne fallut pas longtemps avant que je ne sente mon extase arriver. J’essayai de me relâcher et de penser à autre chose, mais cela ne me permit que de tenir une vingtaine de secondes de plus. Ce fut néanmoins suffisant pour que Carine ait le temps de rejoindre le septième ciel. Elle jouit en m’enfonçant ses ongles dans le dos. Cela eut pour effet de me faire jouir aussi. Je donnai encore deux coups de reins et sortis de son vagin. Elle haletait et moi aussi. Je voulus lui rendre son baiser. Nos bouches se collèrent dans un échange de salives énergique.
* * *


Germain narrateur
Le premier à sortir du vestiaire, je vis les filles partir dans différentes directions. Mais il me fut impossible de savoir où était partie Marie. Je me décidai pour aller à droite, Esteban sur les talons. La porte du petit vestiaire arbitre se referma au fond du couloir. Je me décidai à aller là. Esteban entendit du bruit venant de notre vestiaire, il tourna là. J’approchai doucement puis ouvris la porte en grand.
— Hiii, cria Elisa.— Ah, tu vas voir.
Elisa me tira la langue et me nargua comme une gamine. Elle se réfugia derrière une table au centre du vestiaire. Quand je partais d’un côté, elle allait de l’autre. Si je faisais complètement le tour, je libérais la sortie. Sa grosse poitrine ballotait en tous sens devant mes yeux. C’était hypnotisant. Et son joli cul me faisait de l’œil aussi. Ma bite ne put faire autrement que de se mettre au garde à vous.
— Tu crois que tu vas m’attraper dans cet état ? se moqua-t-elle.— Oh oui Elisa. Tu es à moi.— Alors tu attends quoi ?
Je me lançai d’un côté de la table, mais repartis de l’autre tout de suite. Elisa n’eut que le temps de s’apercevoir de ma ruse. Je réussis à lui saisir le poignet et à la tirer vers moi. Mais comme elle repartait dans l’autre sens, elle se retrouva allongée sur la table.
— Je t’ai eu.— Mince. Oh !
Elle venait de recevoir un coup de bite, involontaire, sur le nez.
— Pardon.— Ce n’est rien. Mmmhh et si...
Elle ne finit pas sa phrase et me prit en bouche. Elle me suça divinement bien. Je me penchai un peu en avant et lui caressai les fesses. Elle me gobait littéralement la tige. Je sortis de sa bouche et fis le tour de la table. Une main sur son dos la dissuada de se relever. Je me baissai et vins lui brouter le minou.
— Ahh ja. Ja.
Elle parlait allemand, c’était bon signe. Je continuai un peu puis je me relevai. J’agrippai ma prof préférée par les hanches et la pourfendis d’un long coup de bite.
— Jaaa.
Je la bourrai un moment dans cette position. C’était bien, mais je voulais la voir et voir ses seins secoués par mes coups de bite. Je l’incitai à se mettre sur le dos. Je réussis, avec une once de fierté, à ne pas sortir de son fourreau. J’attrapai les cuisses d’Elisa et les relevai bien haut. Je repris alors mon travail. Elisa me regardait visiblement satisfaite de son traitement. Elle se massait les seins ou les pressait l’un contre l’autre. Je n’en pus bientôt plus. Je donnai des coups plus forts et plus profonds, lui arrachant quelques gémissements supplémentaires. Puis je me calai au fond de son vagin et me vidai en elle. Elle poussa un long soupir et je perçus des contractions dans son sexe. Essoufflé, je me penchai en avant pour appuyer mes mains sur la tables. Elisa se redressa un peu chancelante. Nos visages se rapprochèrent et elle me déposa un doux baiser sur les lèvres. Je lui en fis à mon tour un peu plus long et avec la langue.
* * *


Esteban narrateur
Je suivais Gégé vers nos vestiaires. Il vit quelque chose dans le fond du couloir et y alla. Moi j’entendis un bruit venant de chez nous. Je me décidai à aller par là. Dans le vestiaire, il n’y avait personne. Mais une respiration essoufflée venant des douches m’alerta. J’approchai à pas de loup et passai la tête. Dans un coin, Amandine se tenait debout, essayant de se faire toute petite, le sourire aux lèvres et se mordant le pouce. Elle ne m’avait pas encore vu. Je me retirai et dis tout haut :
— Merde y a personne.
Je fis quelques pas bruyants et claquai la porte du vestiaire. Je revins en silence à la sortie des douches et j’attendis. Amandine ne tarda pas à sortir de là. Je la saisis par la taille et la soulevai du sol. Ses jambes battirent l’air, mais ma prise était trop bonne.
— Je te tiens Am.— Et alors ? Tu vas faire quoi ?
C’était vrai que je n’avais pas d’idée pour la suite. Et puis Amandine n’était pas légère, légère. A force de se débattre, elle glissa un peu. Le bas de ses fesses vint frôler mon sexe qui se redressa. Il se souleva tellement qu’il se retrouva à frotter contre son sexe.
— Hé, mais dis donc !— Bah, à force de te frotter à elle. Elle se dit qu’on a besoin d’elle.— Ouh !
Mon gland venait de taper à l’entrée du con d’Amandine. Je la laissai descendre, d’une part parce que je fatiguais et d’autre part parce que je ne voulais pas qu’elle croit que je la forçais à quelque chose. Mais ses fesses restèrent collées à mon sexe. Elle se frotta ainsi puis passa sa main derrière elle. Elle me masturba gentiment. Je ne voulus pas être en reste. J’allai chercher son clitoris de la main droite, tandis que la gauche alla s’occuper de son sein. Je dus lui faire du bien, elle pencha la tête en arrière et sur le côté et soupira. Je posai alors mes lèvres sur les siennes. Elle me répondit en allant chercher ma langue de la sienne. Puis elle se pencha un peu en avant, m’offrant ainsi un accès à son sexe. J’écartai un peu ses fesses et enfournai mon membre dans sa grotte. J’y entrai facilement avec la cyprine qui en sortait. Elle tortilla des fesses m’arrachant un gémissement :
— Oooh. Mmmmh.
Cette simple ondulation avait failli me faire tout lâcher. Mais je me contrôlai et lui bourrai la chatte.
— Ah ah ah, soupirait-elle à chaque coup de reins.— Rah, rah rah, faisais-je en même temps.
Je mis mes mains sur ses seins et les pressai l’un contre l’autre. Je n’allai pas tarder à éjaculer, la position restait difficile à tenir. Je préférai alors m’accrocher à sa taille. Elle remplaça mes mains par les siennes sur sa poitrine. Quelques coups encore et je me figeai au fond de son vagin, libérant ma semence.
— Aaaarrggghh, fis-je dans un cri libérateur.— Aaaaaah, gémit-elle doucement son corps parcouru de frissons.
Je sortis d’elle et elle se tourna vers moi. Nous nous embrassâmes à nouveau :
— Mmmh, c’était bien.— Max a de la chance.
* * *


Maxime narrateur
Nous nous retrouvâmes dans le vestiaire des garçons. Je vis que du sperme coulait des sexes de toutes les filles. Chacune étant suivi de près d’un garçon qui n’était pas le sien. Je ne pensais pas mettre en pratique si vite la possibilité de changer de partenaire. Mais cela s’était fait naturellement dans un jeu d’abord innocent. Amandine me déposa un petit smack. Les autres couples se firent de petits bisous aussi.
— Allez, à la douche, ça va être l’heure de fermer. Le directeur pourrait s’étonner de voir de la lumière, nous avertit Paul.
Avec l’aide de Felipe, il régla à nouveau l’eau et tout le monde fit une douche express. Je me séchai rapidement et me rhabillai. Les garçons furent les premiers à sortir dans le couloir. Quand les filles furent prêtes, Paul éteignit les lumières et ferma toutes les portes. Puis lorsque nous fûmes dehors, il ferma la porte d’entrée à cette partie du complexe. Le groupe se souhaita une bonne soirée et chaque couple partit de son côté en se tenant la main.
— Tu crois que tout le monde a aimé ? me demanda Amandine.— Ça a l’air, on verra demain et vendredi s’il n’y en a pas qui ont des remords ou des regrets. Mais je ne crois pas.— Moi non plus. Tu sais Seb m’a dit que tu avais de la chance de m’avoir.— C’est vrai je suis le plus chanceux.— Moi aussi j’ai de la chance. Nous en avons tous d’avoir trouvé quelqu’un qui nous va si bien.
Elle fit une pause puis dit :
— Max, tu sais j’ai bien aimé avec Seb. Mais c’était moins fort qu’avec toi. Et je crois aussi que pour lui c’était moins puissant qu’avec Sylv.— Moi c’est pareil. C’est mieux avec toi qu’avec Liz. J’ai bien senti aussi qu’elle avait pris un plaisir moins intense que ce qu’elle a avec Oliv.
Ça voulait dire quelque chose. Ça voulait dire que nous pouvions baiser avec une autre personne du groupe, mais que nous ne faisions l’amour qu’avec notre copain ou copine, en conclus-je. Je partageai mon hypothèse avec Amandine.
— Oui, je crois que c’est ça. Allez, je suis arrivée. A demain mon chéri.
Nous nous embrassâmes discrètement puis elle rentra chez elle.
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