Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 61 J'aime
  • 1 Commentaire

Le projet artistique

Chapitre 42

Révisions

Divers
Maxime narrateur
Nous reprîmes le cours normal de notre vie. Personne ne sembla regretter les évènements du vestiaire. Tout le monde semblait toujours autant amoureux. Voire même plus amoureux. Cristian et Graziella continuaient de se voir. Cristian avait même "présenté" officiellement Graziella à ses enfants. Il leur demanda de rester discrets, ils ne voulaient pas que tout le lycée soit au courant. Dans cette étrange entrevue, Graziella, Felipe et Esteban firent preuve d’une grande aptitude pour jouer leur rôle. Cristian ne se douta de rien, trop content de voir que la première rencontre entre Graziella et ses enfants se passait bien.
Côté projet artistique, nous avions fini les scènes devant se dérouler dans la famille en France. Nous voulions avoir le point de vue de personnes dans la rue. Savoir ce qu’ils imaginaient de la vie en RDA et comment ils croyaient que ceux de là-bas imaginaient la vie ici. Nous nous répartîmes en deux groupes, l’un restait pour monter les morceaux que nous avions tandis que l’autre irait en ville pour faire des interviews de passants. Il s’avéra bien vite que les passants n’étaient pas très réceptifs lorsqu’une bande de jeunes hommes s’approchaient d’eux. Il arriva un vendredi soir que nous ne récoltions aucun témoignage. Les filles avaient plus de succès, mais ça restait compliqué. Nous décidâmes donc de laisser les filles et Elisa faire les interviews et les garçons faire du montage.
En parallèle, nous travaillions sur notre futur Concours Blanc. Nous étions tous globalement de bons élèves, mais nos parents et l’établissement nous mettaient gentiment la pression. Du coup, nous nous forcions à travailler un peu plus nos cours.
* * *


D’habitude, je n’avais pas trop de mal à comprendre une œuvre, un essai, un texte. Mais là, ce texte extrait de "Vendredi ou les Limbes du Pacifique" de Michel Tournier, je ne le captais pas du tout. En même temps, depuis que je m’étais farci "Les rois mages" au collège, je faisais un blocage avec cet auteur. Du coup, Sylvie m’avait proposé de venir le travailler chez elle un samedi après-midi. Ceux en économie et en scientifique suivirent notre exemple et se donnèrent rendez-vous chez les uns et les autres. J’aurais préféré travailler avec Amandine, mais d’une part, nous n’avions pas le même programme et d’autre part, nous savions tous les deux que nous risquions trop de dériver.Je me présentai chez Sylvie en début d’après-midi. Elle m’ouvrit la porte, elle me fit la bise et me fit entrer. Je saluai sa mère et je suivis Sylvie dans sa chambre. Nous nous posâmes cinq minutes pour parler de tout et de rien.
— Oh, au fait, on a fait installer un sauna.— Un sauna ?! Mais d’où vous vient cette idée ?— Bah, mes parents ont travaillé plusieurs années en Finlande pour des compagnies du bois. Du coup, ils en avaient pris l’habitude. Une fois ma mère enceinte de ma sœur, ils ont arrêté et sont rentrés en France. Depuis, ça leur manquait. Alors à Noël, ils se sont offert ça.— OK, je vois. Bon aller, on a du travail. Je comprends rien.
Je travaillai avec Sylvie. Elle, elle avait la chance d’avoir bien saisi le thème de ce texte, sa technique d’écriture, les images utilisées. Mais bon, moi, tout ça me passait bien au-dessus de la tête. Elle m’expliqua avec patience plusieurs fois les points sur lesquels je bloquais. J’étais admiratif de son obstination à me faire comprendre ce texte de merde.
— Non, mais ça sert à rien. Je comprends rien.— Max, calme-toi, tu fais juste un blocage. Je suis sûre que tu es capable de comprendre ce texte. Il n’est pas plus difficile que les autres qu’on a vu cette année.— Peut-être, mais moi là, ça me gonfle ! J’ai plus qu’à espérer ne pas tomber sur ça à l’oral.— Tu es trop stressé. Il faut que tu te détendes. Attends-moi, j’ai une idée !

Sylvie sortit de sa chambre. Je l’entendis appeler sa mère, mais je ne compris pas la conversation qu’elles eurent. Puis mon amie revint dans sa chambre.
— Bon, ça te dirait un sauna ? Ça va te faire du bien, et après, tu seras plus apte à apprendre, je suis sûre.— Euh, mais j’ai jamais fait ça moi.— T’inquiète, faut juste s’asseoir et se détendre. Ma mère le lance, ça nous laisse le temps de nous préparer.— Faut se préparer ?— Juste prendre une douche à l’eau claire et mettre une serviette autour de la taille ou des..., me dit-elle en me montrant ses seins.— Ah, euh, bah pourquoi pas ? Ça peut pas me faire du mal.— Super, je vais dire à ma mère que c’est OK. Telle que je la connais, elle va vouloir en profiter aussi. Donc on reste sage, me fit-elle avec un clin d’œil.
Il était clair que je n’allais pas tenter quoi que ce soit dans ces conditions. Elle s’absenta quelques minutes puis me dit de venir avec elle. Je la suivis au sous-sol, une partie avait été aménagée pour cet espace sauna. Nous entrâmes dans un vestiaire, elle me tendit une serviette et m’invita à entrer dans la douche et à rester en serviette. J’entrai et pris une douche, il n’était pas possible d’avoir de l’eau très chaude comme j’aimais. Je me rinçai rapidement, m’essuyai bien et ressortis avec la serviette autour de la taille.
— A mon tour, tu peux entrer si tu veux. Assieds-toi, j’arrive dans une minute.
Je ne savais pas si je devais y aller tout seul quand même. Mais par la porte vitrée, je vis une forme, je me dis alors que sa mère devait déjà être là. J’entrai et découvris une femme allongée dans un coin. Ce n’était pas la mère de Sylvie, on aurait dit Sylvie, mais avec quelques années de plus. Sa serviette était nouée autour de ses seins et elle en avait une petite posée sur les yeux. Je restai scotché devant sa ressemblance avec Sylvie. Je crois qu’elle n’avait pas perçu ma présence, car elle fredonnait. Puis Sylvie fit son entrée :
— Ah, t’es là Psylvia ?
Sylvie et Psylvia, quelle imagination ses parents...
— Ah Sissi. T’es là ? C’est toi qui as demandé à maman de lancer le sauna ?— Oui.— Cool, alors j’en profite aussi, hein ?
Avant que Sylvie ne lui dise que j’étais là, sa sœur dénoua sa serviette et l’ouvrit en grand. Je découvris un corps proche de celui de ma camarade de classe, mais avec un peu plus de formes. Et ce qui me frappa le plus, c’était son sexe complètement épilé.
— Psy ! J’ai un invité !— Hein ? Quoi ? dit-elle en se relevant brusquement.
Cela fit tomber complètement sa serviette, je n’eus plus aucune partie de son anatomie qui me fut cachée. Dans son mouvement, elle avait un bref instant ouvert les jambes, me laissant entrevoir ses lèvres vaginales.
— Bonjour, dis-je bêtement.
Elle reprit vivement sa serviette et se couvrit.
— Sissi ! Tu aurais pu me prévenir !— Mais j’ai pas eu le temps !— Oh la honte. Bon, moi c’est Psylvia.— Maxime. Enchanté.
Nous nous assîmes tous les trois à une place. Quelques instants plus tard, la mère de Sylvie et de Psylvia entra à son tour. J’avais trois versions de Sylvie devant moi : l’actuelle, celle dans quelques années et celle avec 30 ans de plus. Esteban avait de la chance. Nous restâmes un moment puis Psylvia sortit, j’entendis la douche et elle revint. Je m’étonnai qu’il faille prendre une douche en plein milieu.
— Il faut sortir prendre une douche froide de temps en temps, me dit Sylvie. C’est pour ça qu’il y a un petit sablier là.— Et encore, en Finlande, on allait se rouler dans la neige dehors, nous dit sa mère.
Sylvie me dit que c’était à nous. Nous sortîmes du sauna et elle passa la première. Elle vérifia que personne ne venait et elle se rinça devant moi.
— C’est pour te rappeler les autres partenaires auxquels tu as le droit. Pas touche à ma sœur, hein ?— Oui, oui. Je sais, j’ai juste regardé et sans le vouloir.
Elle me céda la place, mais resta à me mater. L’eau froide calma mes ardeurs et nous retournâmes au sauna. La mère de Sylvie alla sous la douche à son tour. Quelques minutes plus tard, Psylvia nous dit qu’elle devait aller se préparer pour sortir le soir. Avec Sylvie, nous refîmes un tour sous la douche, toujours en se reluquant l’un l’autre. La mère de Sylvie nous demanda de ne pas rester plus de 15 minutes supplémentaires. Elle sortit, elle avait des tâches ménagères à faire.Sylvie écouta le bruit de la douche puis les pas de sa mère s’éloigner. Elle se leva et regarda par la porte vitrée. Elle se rassit et ouvrit complètement sa serviette.
— Ça te dérange pas ? Je préfère être comme ça.— Non, non.— Fais pareil. Tu vas voir, c’est bien mieux.
Je n’hésitai pas et ouvris ma serviette. Sylvie avait replié une jambe, je pouvais bien voir son sexe. Il était entretenu, mais pas complètement glabre. Elle se caressait les jambes, le ventre, les seins du bout des doigts. Avec la sueur qui perlait sa peau, c’était très érotique. Ma queue grossit sensiblement, je ne pus m’empêcher de l’effleurer. Sylvie me vit et me sourit. Elle passa ses doigts sur sa vulve en écartant bien les jambes pour que je puisse tout voir. J’empoignai alors ma queue plus franchement pour me branler devant elle. Sylvie se titilla le clitoris en me fixant. Soudain, elle se redressa et me dit :
— Faut pas faire ça. Viens !
Elle sortit du sauna et je la suivis la queue à l’air et dressée.
— On est sorti maman !
J’entendis vaguement qu’on lui répondait. J’étais un peu déçu de devoir arrêter nos jeux. Sylvie me vit penaud et me dit :
— C’est dangereux de faire des trucs dans un sauna. Tu te rappelles de ce qu’avait dit Elisa ?
D’un coup, ça me revint en mémoire.
— Mais ça veut pas dire qu’on va s’arrêter là.
Elle se colla contre moi et m’embrassa, elle prit aussi ma bite dans sa main. Je pelotai son sein et son cul. Puis je fis glisser mes doigts le long de son mont de Vénus.
— Viens, on a pas beaucoup de temps.
Elle me tira vers la douche et nous recommençâmes notre manège. Je la tournai et la penchai en avant, je m’accroupis et vins lui brouter le minou.
— Oh Max, vas-y. C’est bon.
Je m’activai sur son sexe de façon un peu brusque, le temps limité que nous avions m’obligeait à aller à l’essentiel. Sylvie se redressa, elle chancelait un peu. Elle se tourna vers moi et se mit accroupie pour me pomper. Elle s’arrangea pour me donner une bandaison maximale en très peu de temps. Quand elle fut satisfaite, elle se releva et posa les mains au mur en se penchant. Je me plaçai derrière elle et plantai ma bite dans son con. Sylvie râla de plaisir, mais elle évita de faire trop de bruits. J’entamai des va-et-vient en elle. Je la tenais par les hanches et la pilonnais. Je devais éviter aussi de m’exprimer trop bruyamment. L’excitation d’avoir des gens pas loin qui pourraient nous surprendre me fit rapidement prendre mon pied. Sylvie n’avait laissé qu’une main sur le mur. De l’autre, elle s’activait sur son clitoris pour se faire venir plus vite. Cela marcha, elle se crispa et se tendit comme un arc. Je me plantai au fond de son vagin et lâchai la sauce.
Je la retournai et l’embrassai.
— Allez, prends ta douche. Ma mère va se poser des questions.
Je me lavai rapidement. Je laissai la place à Sylvie alors que je me séchai et me rhabillai. Je montai à la cuisine pour montrer que nous avions fini et que nous ne prenions pas notre douche ensemble. Sylvie fit son apparition moins de cinq minutes plus tard. Elle me révéla ensuite qu’elle avait un peu attendu avant de monter.Nous retournâmes dans sa chambre pour travailler. J’étais plus détendu grâce au sauna et aussi à la baise rapide avec elle. Cela m’aida un peu pour comprendre ce texte, mais ça restait compliqué pour moi. Néanmoins grâce à la persévérance de Sylvie, je finis par comprendre à peu près tout. Avant de partir, je lui posai une question :
— Euh, Sylv, ta sœur elle s’épile comme ça tout le temps ?— Hein ? Complètement tu veux dire ? Oui je crois. On dirait que tu as aimé, hi hi hi.— Oui, enfin je sais pas. Elle est plus âgée que toi ou Am. Ça lui va bien. Mais sur vous, je sais pas.— Oui, je pense. Je préfère un joli triangle. Mais... tu crois qu’il aimerait quoi Seb ?— Faudrait voir avec lui.— Mais et toi ?— Je sais pas. Faudrait qu’Am essaye. Pour voir si ça lui plaît et si ça me plaît.
En partant, je dis au revoir à sa mère. Psylvia pestait dans l’entrée, car ses amies étaient en retard. Je lui dis au revoir. Elle rougit comme une pivoine. Je partis prendre mon bus. Sur le chemin, je me décidai à parler de cette épilation à Amandine.
* * *


Amandine narratrice
J’arrivai chez Carine pour réviser nos cours de français en vue du Concours Blanc. Olivier et Liz devaient être là aussi. J’aurais préféré travailler avec mon chéri, mais je l’avais vu en stress à propos d’un texte qu’il avait à étudier. Alors quand il me dit qu’il allait travailler chez Sylvie, c’est qu’il avait vraiment besoin de bosser de son côté. Et je préférais qu’il soit avec Sylvie plutôt qu’avec une autre greluche de sa classe.Devant la porte de chez Carine, je sonnai. Elle vint m’ouvrir, me fit la bise et me fit entrer. Liz et Olivier étaient déjà là. Ils buvaient un truc dans la cuisine. Ils me virent et vinrent me faire la bise aussi. Nous nous installâmes dans le salon et nous sortîmes nos cours. Nous révisâmes chacun de notre côté pendant un moment. Puis Liz posa des questions sur un des livres que nous avions au programme :
— Mais je comprends pas trop comment il peut faire passer son propos là. Je vois pas le rapport avec ce qu’il y a avant et après.— Mmmh, regarde mes notes, lui dit Olivier.
Pour moi également, ce passage était un peu obscur. Carine avait aussi un peu mieux compris. Ils nous expliquèrent ce qu’ils savaient. Avec leur aide, Liz et moi comprîmes un peu mieux le sens de ce passage.
— Merci chéri. Ça mérite un bisou.
Liz se pencha vers son copain et lui déposa un petit bisou sur les lèvres.
— Bah et moi, on me remercie pas ? plaisanta Carine.— Mais si, viens là.
Je me penchai vers elle et lui déposai le même petit bisou sur les lèvres. Nous rîmes tous puis nous retournâmes à nos révisions. Cinq ou dix minutes plus tard, ce fut Olivier et Liz qui demandèrent de l’aide. Avec Carine, nous leur donnâmes les explications nécessaires. Ils eurent un peu de mal à nous comprendre et nous dûmes nous répéter plusieurs fois. Ils comprirent enfin et nous remercièrent.
— Merci les filles, dit Olivier.— Juste un merci, après tout ce qu’on vient d’expliquer ? râla Carine.— Merci Kiki.
Olivier se rapprocha d’elle et lui déposa un petit bisou sur les lèvres. Carine parut déçue.
— Vu le temps qu’on y a passé, c’est pas cher payé...— Jamais contente, hein ?
Oliver embrassa alors plus franchement Carine. Je les regardai avec envie. Liz s’en aperçut :
— Toi aussi tu veux ton bisou ?— Bien sûr, lui répondis-je.
Liz vint alors m’embrasser de la même façon.
— Bon allez. On a du travail, nous rappela Carine ensuite.
Un peu plus tard, ce fut le tour de Carine et Olivier. Avec Liz, nous passâmes un peu de temps à leur montrer. Nous réclamâmes notre bisou de remerciement. A ma grande surprise, ce fut Olivier qui vint m’embrasser, Carine se chargeant de Liz. J’étais un peu troublée par la tournure des évènements. Carine nous proposa de faire une pause. Elle nous emmena dans la cuisine pour grignoter et boire un truc. Nous fîmes un aller et retour aux toilettes à tour de rôle. Je fus la dernière à passer. A mon retour, les trois étaient revenus dans le salon. Si Carine avait repris ses notes en main, Liz et Olivier se galochaient sur le canapé. Carine avait bien du mal à se concentrer.
— Ah, Am est revenu. Au travail les pervers, les rouspéta Carine.
Arrivant de derrière, je ne l’avais pas vu tout de suite, mais leurs mains étaient parties en exploration. Celle de Liz sur la braguette de son copain et celle d’Olivier sur le sein de sa chérie. Ils eurent des difficultés à se remettre au travail. Je chuchotai quelque chose à l’oreille de Carine. Elle me fit oui de la tête.
— Dites, on comprend pas trop ce truc-là, dis-je à l’attention des amoureux.— Oui, là, on voit pas trop, renchérit Carine.
Liz et Olivier se résolurent à arrêter de se dévorer du regard. Nous n’aurions pas été là, ils auraient abandonné les révisions depuis longtemps. Ils prirent leurs notes et nous donnèrent les explications. Avec Carine, je fis semblant d’avoir du mal à comprendre. Ils ne virent pas notre manège et prirent le temps de nous expliquer. Nous mîmes fin à leur calvaire au bout d’un moment.
— Pfff, c’était pas si compliqué pourtant, souffla Olivier.— Oui quand même, ajouta Liz.— Merci, dis-je.— Merci, dit Carine.— Un tout petit merci, et c’est tout ? se lamenta Liz.
Après un clin d’œil à Carine, je m’approchai de Liz et elle d’Olivier. J’embrassai langoureusement Liz et Carine en fit autant à Olivier. Nous poussâmes même le vice jusqu’à leur caresser l’entrejambe. Liz fut très réceptive à ma caresse, elle écarta bien les cuisses et ouvrit plus grand la bouche. A côté, Olivier accentua son baiser avec Carine quand elle lui massa la bosse du pantalon. Une fois bien chauffés, nous les laissâmes en plan.
— Ooooh. C’est tout ? se plaignit Liz.— Dommage, lâcha Olivier.— Dites, on révise là, leur dit Carine.
L’œuvre que nous avions vue en classe était un peu trop fraiche pour moi. Je me concentrai plus sur celle-ci. Carine et Liz aussi. Olivier semblait ne pas s’en soucier plus que ça.
— Bah, tu travailles plus ?— Hein, non. En fait, je l’avais déjà lu. Et j’avais bien aimé alors bon voilà quoi.— Dis, chéri, tu peux nous en parler alors ?— Oh, je suis pas prof moi. Et puis je peux me tromper dans l’interprétation de certains passages.— Allez, steuplait, steuplait, le supplia sa copine.— Allez, Oliv, sois sympa avec nous. Ça nous fera prendre de l’avance, ajoutai-je en papillonnant des yeux.— Bon, c’est d’accord.
Olivier parla alors une bonne trentaine de minutes du roman. Il nous dévoila l’histoire et parla plus précisément de certains passages qu’il avait trouvé plus intéressants que d’autres. Il était passionnant et il était assez fier d’être le centre de l’attention. Une fois qu’il eut fini, il se rassit sur le canapé.
— Bordel, je sais pas comment font les profs pour faire ça toute la journée...— Merci mon chéri. Tu as été formidable.— Oui, merci Oliv. C’était vachement bien, lui dit Carine.— Oui et super sympa de ta part.— D’ailleurs, ça mérite un petit remerciement, lui dit Liz.
Elle monta à califourchon sur lui et lui roula une pelle. Leur excitation de tout à l’heure n’était pas beaucoup retombée. Liz se tourna vers nous :
— Dites, vous pensez pas que vous devriez le remercier aussi.
Liz nous invitait à venir embrasser son copain. Nous ne nous fîmes pas plus prier que ça et vînmes de part et d’autre du couple. Liz s’écarta un peu et Carine embrassa Olivier. Puis je l’embrassai à mon tour. Je m’étais arrangé pour chauffer un peu Liz et Olivier, mais je m’aperçus que cela m’avait excité aussi. J’eus beaucoup de mal à me détacher des lèvres de mon camarade. Je fermai les yeux ; en les rouvrant, je vis Liz qui était de nouveau en train de rouler une pelle à son copain. Elle ondulait du bassin et frottait son cul sur la bosse d’Olivier. Il lui prit les seins en main et les malaxa. J’allais me retirer pour les laisser tranquilles quand Olivier me fit remarquer :
— J’ai passé du temps à vous expliquer tout le bouquin et je n’ai eu en retour qu’un bisou de toi et de Carine.— Dis donc chéri, tu ne profiterais pas de la situation par hasard ?— Il rougit on dirait bien que oui, hi hi hi, se moqua Carine.
C’était amusant de le voir rougir. J’étais certaine qu’il avait une idée derrière la tête. Je n’avais rien contre le gratifier d’un petit quelque chose, mais je voulais savoir si Liz était d’accord ou pas.
— Liz, tu crois qu’il mérite un peu plus qu’un bisou ?— Mmmmh, je ne sais pas...
Je vis Olivier l’implorer du regard.
— Allez, pourquoi pas. Que voudrais-tu mon chéri ?— Euh, est-ce que vous pourriez toutes les trois euh me sucer en même temps.
L’émotion l’avait fait bafouiller. C’était mignon.
— Une pipe à trois bouches ? Petit cochon, lui dit Liz. Alors on lui accorde les filles ?— Mmmh, je n’ai rien contre.— Moi non plus, dis-je.— C’est d’accord, mais je te demanderai quelque chose ensuite.— Tout ce que tu veux Liz. Euh je pourrais vous toucher les seins en même temps ?— Ça veut dire qu’on soit toutes les trois les seins à l’air. Oliv tu n’es qu’un vilain garnement.— Oh Liz, soit gentille avec lui. On peut faire ça non ? Et en contrepartie, on le met tout nu ? proposai-je.— Oh oui, excellente idée, se réjouit-elle.
Elle se jeta sur lui et lui arracha à moitié son pull et son polo, Carine et moi nous jetâmes sur le pantalon et les chaussures. Il ne fallut que quelques secondes pour qu’Olivier se retrouve nu comme un vers. Nous enlevâmes nos hauts et nos soutiens-gorges. Liz se mit entre ses jambes, Carine et moi à quatre pattes sur le canapé de part et d’autre. Il nous fallut quelques essais pour trouver comment faire à trois. Liz se concentrait sur les couilles et la base de la bite. Pour Carine et moi, quand une léchait la hampe, l’autre suçait le gland. Nous nous rejoignions parfois sur celui-ci. Olivier avait la tête en arrière, il était visiblement aux anges. Il ne perdit pas totalement le contrôle, je sentis sa main gauche me peloter la poitrine. Sa droite devait être sur celle de Carine. Il se pencha une fois ou deux pour atteindre les nichons de sa copine, mais ils étaient trop loin. Au bout d’un moment, il nous avertit :
— Oh, les filles, je je je vais...
Liz eut le temps de nous retrouver sur le gland quand la première giclée fut expulsée. Chacune reçut sa part du gâteau. Nous nettoyâmes le sexe du chéri de Liz. Nos langues se touchaient et ça accentuait mon excitation. Olivier eut du mal à s’en remettre.
— Alors content ? lui demanda Liz.— Plus que ça.— Bien, je te rappelle que tu m’as promis d’accéder à ma demande.— Oui. J’espère ne pas le regretter.— Oh, c’est facile. Viens t’occuper de nous avec tes mains et ta langue.
Liz demandait à Olivier de nous lécher et de nous doigter. J’en mouillai ma culotte d’avance. Nous nous déshabillâmes et nous installâmes sur le canapé. Carine, Liz et moi. Olivier se mit à genoux devant Liz. Il lui lécha la chatte avec envie. Ses mains vinrent nous caresser la vulve. J’entendais Liz et Carine gémir et soupirer. J’en faisais autant. Olivier alterna entre nous, j’eus droit, comme Carine, de profiter de sa langue. Quand il léchait Carine ou moi, il fallait que l’autre se fasse plaisir elle-même. Liz profitait toujours de la langue ou de la main de son chéri. Liz lui demanda de la baiser vu que sa bite était de nouveau en forme. Olivier se redressa un peu et pénétra sa copine. Après quelques va-et-vient, il se retira et alla perforer Carine. Liz n’avait rien demandé à Olivier, mais cela ne choqua personne. Je me penchai pour voir, Liz se tourna vers moi et m’embrassa. Je lui rendis son baiser et je lui caressai le sexe et elle fit de même.
Olivier sortit de Carine et se plaça devant moi. Il me pénétra avec vigueur. Liz et Carine se tripotèrent pendant ce temps. Tout ça, c’était très bien, mais il fallait arrêter de changer de position.Olivier dut se le dire aussi. Il s’allongea sur le canapé. Liz s’empala sur lui, il fit venir Carine au-dessus de sa tête pour lui lécher la chatte. Je me mis au bout du canapé, les jambes grandes ouvertes, et Carine se pencha en avant pour me faire minette. Notre attelage commença alors à gémir, à soupirer, à crier. Liz se déchaînait sur son copain. Celui-ci faisait virevolter sa langue sur la vulve de Carine qui me broutait comme une folle. Liz et moi nous nous regardions en nous aguichant par des jeux de langues et par des mains malaxant nos seins. Je ne tardai plus à jouir, tout cela m’avait trop excitée. Je lâchai quelques petits jets sur le visage de Carine. Celle-ci, libérée de sa tâche, se concentra sur son plaisir qui arriva juste après. Elle jouit sur le visage d’Olivier avec un long râle. Olivier qui n’avait plus que sa chérie à s’occuper la pistonna comme un damné, Liz rendit les armes sous les coups de boutoir.
Elle se tendit, gémit et s’effondra sur Olivier qui lâcha un deuxième flot de sperme en peu de temps.Nous étions tous KO par tout ça. Nous n’avions pas trop le temps pour une douche en bonne et due forme, mais un passage rapide dans la salle de bain nous permit de redevenir présentables. Liz et Olivier partirent rapidement, je ne m’attardai pas plus et partis moi aussi.
* * *


Marie narratrice
Juchée derrière Germain sur son scooter, je vis le lycée approcher. Ça faisait bizarre de venir le samedi. Mais nous étions là pour réviser les épreuves de français. Nous étions en prépa scientifique, donc ça ne comptait pas trop en coefficient, mais il valait mieux éviter une trop mauvaise note, qui pour certains concours pouvait être éliminatoire. Germain gara le scooter devant les grilles et j’allai sonner. La grille d’entrée s’ouvrit et nous entrâmes, je refermai derrière moi. Esteban nous attendait à la porte. Il nous fit entrer. Je fis la bise aux garçons et Germain aussi.
— Votre père est là ? demandai-je.— Vous seriez arrivés 10 minutes plus tôt, vous l’auriez vu. Mais il est parti voir Graziella, nous dit Felipe.— Ça fait pas trop bizarre ? demanda Germain.— Euh, des fois quand on a des images de ce qu’on a fait avec elle ou vous les filles avec elle, c’est un peu compliqué. Sinon ça va, nous dévoila Esteban.— Oui, Carine et Sylvie, qu’ils l’ont vue une fois en tant que copine de papa, ça leur a fait tout drôle aussi.— Bon on s’y met ?
Esteban voulait visiblement changer de sujet. Nous ouvrîmes nos cours sans vraiment être concentrés. Nous nous levions pour passer aux toilettes, aller dans la cuisine pour boire, etc. Je proposai alors que chacun notre tour nous exposions ce que nous savions sur un des textes que nous avions étudiés en classe. Les garçons furent d’accord, plus pour me faire plaisir que par vrai intérêt pour le travail à faire. Je me lançai la première. Je pris le texte sur lequel j’avais le plus de notes. Les garçons au début ne m’écoutèrent que d’une oreille distraite, mais à la fin, ils étaient plus attentifs.
— Alors, j’étais comment ?— Très bien Mimi.— Oui, on se serait cru à l’oral, me dit Felipe.— Merci. A qui le tour ?
Personne n’osa faire comme moi.
— Allez les poltrons !— Bon, j’y vais, déclara Germain.
Je crois qu’il avait été piqué par ma remarque. Mon chéri chercha un peu dans ses notes et prit un des premiers textes de l’année. Il parla devant nous, on sentait qu’il n’était pas trop à l’aise avec les épreuves orales. Mais il se débrouilla pas si mal de mon point de vue.
— Pfff, pas terrible, se lamenta-t-il.— Mais si chouchou, c’était bien. Hein ?— Mais oui chouchou, se moqua Esteban.
Felipe et lui étaient morts de rire. Germain les fusilla du regard et je volai au secours de mon chéri.
— Bon Fipouille et Tibouille, à qui maintenant ?
Leur surnom de gamin et la perspective de passer les firent arrêter de rire. Felipe se décida. Il prit le dernier texte étudié en classe. Ce n’était pas si mal, mais moins bien que Germain. Puis il dit à son frère :
— Bon allez, à toi.— Grrr, vous avez pris les textes les plus faciles. Heum, bon allez celui-là.
Esteban parla quelques minutes, mais il n’était pas du tout à l’aise sur ce texte. Ce n’était pas le plus simple que nous avions, mais pas le plus compliqué non plus. Au milieu de son explication, il sembla lâcher l’affaire et bâcla un peu la fin de son exposé. C’était dommage, il avait la matière pour faire mieux.
— Bon nul, comme d’habitude.— Mais non, tu pouvais faire mieux. Tu étais pas trop mal parti, lui dis-je.— Ouais, Mimi a raison. Persévère et ça sera très bien, ajouta Germain.
Esteban ne parut pas convaincu. Nous fîmes une pause pour manger et se détendre un peu. Dans la cuisine, nous parlâmes de tout et de rien. Germain en profita pour me peloter les fesses. Je me laissai faire avec plaisir. Je lui palpai son petit cul musclé en retour. Les jumeaux nous regardaient, amusés. Je les voyais, en train de s’imaginer me toucher le postérieur à la place de mon chéri. Germain me colla à lui et me roula une pelle d’enfer. Les jumeaux choisirent de nous laisser tranquilles et repartirent dans le séjour. Une fois-là, Felipe mit de la musique. Nous nous tripotâmes encore un peu avec Germain puis il repartit voir les autres. Je finis mon verre en écoutant ce qu’avait choisi Felipe. A force de danser avec mes copines, maintenant dès que j’entendais une musique un peu sympa, j’esquissais quelques pas de danse. C’est ce que je fis à ce moment-là en revenant dans le séjour.
Je tournai sur moi-même, fis un petit pas de côté et une ondulation du dos pour remonter mes fesses bien haut en posant les mains sur les genoux. D’un coup, je vis les trois mecs qui me regardaient. Je les avais un peu oubliés. Ils étaient là, la bouche ouverte à me fixer bêtement.
— Eh, les mecs, on se réveille !— Ah euh, oui, me répondit mon chéri.
Les jumeaux sortirent de leur rêverie également. Mais les trois gardaient le regard un peu dans le vague.
— Oh oh, qu’est-ce qu’il y a ? C’est mon petit pas de danse qui vous met dans cet état ?— Euh, oui en partie, me dit Felipe.— Mimi, on voit tes tétons qui pointent de sous ton t-shirt, me révéla Germain.
Plus tôt, j’avais enlevé mon pull, car il faisait un peu chaud. Avec mon soutien-gorge assez fin et mon t-shirt tendu sur ma poitrine, on pouvait effectivement les voir. Et avec ce que nous avions fait avec Germain, ça ne m’étonnait guère. Je pensais d’ailleurs qu’il devait bander un peu. Mais avec son jean, ce n’était pas simple à voir. En le fixant, je m’aperçus que Felipe et Esteban avaient une petite bosse sur le devant de leur pantalon de survêtement. J’étais assez flattée de leur faire cet effet, mais je changeai de sujet, un peu honteuse quand même.
— Bon on recommence ? On refait pareil ?— Bof, fit Esteban. Je vois pas l’intérêt.— Si, si. Ecoute. On passe dans l’ordre inverse cette fois, proposa son frère. Tu choisis en premier. Et Marie la dernière.— OK, mais c’est pas motivant, râla mon Germain. Faudrait être évalué comme en concours.— Euh, je sais pas, fit Felipe. Faudrait qu’on se note entre nous ?— Bah oui, lui répondit Germain.— On peut essayer.
Esteban renâcla pour la forme, mais il se plia au principe. Je trouvai aussi l’idée bonne. Germain proposa de pimenter la chose en cachant les notes qu’on allait donner pour ne les révéler qu’à la fin.
— Et un gage au dernier ! lâchai-je.— Ah non, ça va être pour ma pomme, se fâcha Esteban.— Mais non, et puis tu peux choisir en premier, ça te donne un avantage, lui rappela son frère.
Je me rendis compte que mon idée de gage pouvait se retourner contre moi puisque j’étais la dernière à passer. Je n’osai rien dire de peur de passer pour une poule mouillée. Esteban commença, il prit plus de soin à choisir le texte dont il allait parler. C’était du coup bien mieux. Je notai sur un coin de feuille 10/20. Puis ce fut au tour de Felipe, il prit un texte court dont il tira bien parti malgré tout. Je lui mis 11/20. Je m’inquiétai soudain des œuvres qu’il restait : un texte de Sénèque et un autre de Simone de Beauvoir. Je craignais le premier, moins le second. Pour mon malheur, Germain prit le second. Il se débrouilla très bien. En toute honnêteté, j’aurais dû lui mettre 12/20, mais je ne lui mis que 10. J’avais vraiment peu de notes sur le dernier texte. Le résultat fut à la hauteur : assez pauvre. Je me rassis, un peu stressée. Nous découvrîmes les notes et nous fîmes la moyenne. 9,5 pour Esteban, 11 pour Felipe, 10,66 pour Germain et un petit 9,33 pour moi.
— Merde, j’ai perdu, pestai-je.
Je ne dis rien de plus espérant qu’ils allaient oublier le gage. Mais Germain avait une bonne mémoire.
— Alors Mimi, prête pour ton gage ?— Allez, vas-y, en plus c’est mon idée. Quelle gourde !
Les trois garçons se concertèrent.
— Alors Mimi, on t’a vu danser tout à l’heure, on aimerait que tu danses pour nous, me dit Felipe.— Ça va, c’est soft, me dis-je.— En fait, on aimerait un petit strip-tease, précisa Germain.— Ah ben bravo les pervers ! A la moindre occasion, on essaye de me foutre à poil !
Je jouais l’offusquée pour la forme. D’une part, l’idée de gage venait de moi et d’autre part, j’avais bel et bien perdu.
— Bon c’est d’accord.
Esteban se leva et choisit une musique de circonstance. Il revint vite s’asseoir comme la chanson démarrait. Je commençai à danser de façon lascive, passant mes mains sur mon corps. J’ondulai, je me déhanchai langoureusement. J’ôtai facilement mon t-shirt dans un geste à peu près gracieux. Pour le jean, ce fut beaucoup plus compliqué et moins élégant. Je repris tant bien que mal ma danse. Je pris le temps de regarder mes spectateurs. Ces trois cochons avaient les yeux grands ouverts, un sourire béat et la main sur la braguette. Je fus flattée de leur procurer autant de plaisir. Je me mis tout juste devant eux et bougeai mes fesses sous leurs nez. Des mains se tendirent pour me les toucher et je laissai faire. Je repartis et ôtai mon soutien-gorge. Je le leur lançai, Felipe fut le plus rapide. Je jouai un peu avec mes seins et revins une nouvelle fois vers eux. Ils tendirent les mains tous les trois, mais cette fois, je me retirai avant qu’ils me touchent.
Je me tournai dos à eux et fis glisser ma culotte au sol, en gardant les jambes tendues. Ils eurent une vue imprenable sur mon cul et ma chatte.
— Regarde, sa chatte est mouillée, chuchota l’un d’eux.
C’était vrai, je n’y avais pas fait attention avant, mais me faire reluquer et tripoter par eux me rendait toute chose. Je lançai ma culotte en arrière.
— Je l’ai, lâcha Esteban.
Je poursuivis ma danse. Je me caressai les seins, les cuisses, le ventre et le sexe. Je poussai même le vice jusqu’à me titiller le bouton devant eux. Je me remis dos à eux et bougeai mon postérieur sous leur nez. Comme plus tôt, des mains vinrent me cajoler le cul, mais cette fois, des doigts me caressèrent l’intimité. Lorsque je me retournai, je fus surprise de voir qu’ils avaient sorti leurs bites et se branlaient tranquillement.
— Branlez-vous entre vous, leur demandai-je.
Avec un sourire de connivence, leurs mains changèrent d’outils. Germain eut les mains des jumeaux sur sa bite et lui chacune de ses mains sur celles des autres.
— Embrassez-vous.
Ils le firent, portés par leur excitation. D’abord Germain et Felipe, puis Germain et Esteban. Enfin les jumeaux entre eux. En les matant, je m’agaçais le clitoris, assise sur la table basse. En se rapprochant ainsi, les jumeaux tendirent leurs mains libres pour astiquer la queue du frangin. Ils se roulèrent une pelle à trois. C’était excitant, mais je voulais participer. Je m’agenouillai devant eux et les suçai à tour de rôle. Quand j’en suçais un, j’arrivais à branler les autres. Ils étaient aux anges, mais moi je voulais plus. J’arrêtai et grimpai sur Germain pour m’empaler sur son mat. Esteban et Felipe me caressaient le cul ou les seins tout en se branlant. D’un échange de regard avec Germain, je me décidai à changer de baiseur. Je montai alors sur Esteban, Germain et Felipe se branlant mutuellement en attendant. Je sentis mon plaisir monter dangereusement. Je me désengageai d’Esteban pour aller me faire prendre par Felipe, Germain et Esteban s’occupant l’un de l’autre.
J’allai bientôt prendre mon pied.Je revins sur Germain et demandai aux garçons de se mettre debout sur le canapé autour de nous. Pendant que je m’activais sur la bite de mon chéri, je suçais l’un ou l’autre. Mais ça faisait beaucoup pour moi. Germain le vit et prit en bouche Esteban, me laissant Felipe. Esteban fut à peine surpris et aima visiblement les talents de Germain. Les jumeaux tout à leur plaisir se lâchèrent un peu plus et se roulèrent une pelle au-dessus de nous. Cette image m’acheva. Je jouis fortement, mes cris étouffés par la queue de Felipe. Je sentis juste après le foutre de Germain m’emplir le vagin. Focalisés sur nos jouissances, nous nous occupions moins des bites ente nos lèvres. Esteban et Felipe nous prirent la tête entre leurs mains et nous baisèrent la bouche. Ils ne tardèrent pas à jouir et à se vider. Je n’avalai pas et attendis que Felipe se rassoie à côté pour lui faire partager le fruit de son éjaculation. Germain eut la même idée pour Esteban.
J’allai la première prendre une douche, suivie de près par Germain. Je me rhabillai et rangeai mes cours alors que les jumeaux partaient se laver. Quand Germain et moi fûmes prêts, nous attendîmes que les frangins ressortent. Nous leur fîmes la bise et nous partîmes.
Diffuse en direct !
Regarder son live