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Le projet artistique

Chapitre 47

Dernière année

Divers
Nous allions rentrer le lendemain pour notre dernière année. Je savais qu’après les concours, nous pourrions garder contact, mais que nous risquerions de beaucoup moins nous voir. J’avais donc envie de profiter à fond de mes amis. J’avais hâte de les revoir. Cet été-là, ce fut moi qui partis avec la famille d’Amandine. Nous avions pu nous isoler plusieurs fois pour batifoler ensemble. En plus, elle avait gardé son épilation intégrale et je trouvais que ça lui allait très bien au final. Et puis elle profitait de la fin de journée sur la plage, sans ses parents et son frère, pour faire un peu de topless. Bref des vacances au top.
Nous avions tous partagé des nouvelles les uns des autres, mais surtout le fil rouge de ces deux mois avait été la relation entre Graziella et Cristian. Fin juillet, début aout, elle avait eu sa première échographie. Elle y avait été seule, mais Cristian qui était parti dans sa famille en Espagne avec les jumeaux lui avait demandé comment ça allait. Tout était normal, mais avec son âge, 42 ans, sa grossesse nécessitait un suivi attentif. Quant à Cristian, il n’avait toujours pas donné de réponse définitive à Graziella. Du point de vue des jumeaux, il ne voulait pas perdre le lien avec Graziella, mais ne se sentait plus d’élever un enfant. A 45 ans, il pensait avoir largement dépassé l’âge, surtout avec deux grands garçons. En plus, il avait dû avertir son ex-femme de ce qui arrivait. Elle avait pris ça étonnamment bien. Elle savait qu’il voyait quelqu’un depuis un moment, mais ne s’attendait pas à ça quand même. Elle lui avait simplement conseillé de prendre le temps de faire son choix.
Viviane avait aussi sondé les garçons, ceux-ci lui avaient répondu ce qu’ils nous avaient dit.Mais tout ça datait déjà de deux semaines, comme une commère, j’étais impatient d’avoir les dernières nouvelles. J’arrivai devant notre repère, j’étais le premier. Je m’installai dans notre coin habituel. Moins de deux minutes plus tard, les jumeaux se pointèrent. Nous nous fîmes la bise et ils se posèrent. Puis Germain et Olivier arrivèrent à leur tour. Nous nous fîmes la bise et attendîmes les filles. Finalement, elles arrivèrent toutes ensemble, nous pensâmes immanquablement qu’elles s’étaient donné rendez-vous pour manigancer quelque chose, mais non. C’était juste le hasard qui les avait fait se retrouver à la même heure en direction du café. Elles vinrent s’asseoir sur nos genoux, le café étant bien rempli par d’autres élèves.
Nous nous fîmes un résumé rapide de nos vacances. Carine et Sylvie étaient allées quelques jours en Espagne au moment où Cristian et les jumeaux y étaient. Leurs parents souhaitaient un peu connaître Cristian et sa famille en général. Les ascendances nobles des Espagnols avaient plutôt impressionné les Français. La fuite de la guerre civile et les différentes mésaventures des parents de Cristian leur furent racontées.
Marie et Germain n’avaient pu partir en vacances dans la famille de l’un ou de l’autre, mais avaient participé tous les deux au même camp d’athlétisme. Ils en avaient profité pour passer du temps ensemble loin des yeux parentaux.
— C’était très sympa, on s’était trouvé un coin tranquille où on pouvait faire l’amour sans être dérangé, nous dévoila Marie.— Sauf qu’un jour, on a cru entendre du bruit. Mais on a rien vu. Et puis plus tard dans la journée, un mec est venu me voir. Il m’a avoué qu’il nous avait vus, car il cherchait lui aussi un coin tranquille avec une fille qu’il s’était trouvé au stage. Ils avaient été tous les deux très intéressés de nous voir faire. Ils étaient tous deux vierges. Il m’a demandé si je pouvais lui donner des conseils. Je lui ai dit ce que je savais et l’instruisis au mieux.— De son côté, la fille est venue me voir de la même façon. Et m’a posé la même question. Je lui ai dit comment cela allait se passer la première fois pour elle, son hymen et tout quoi. Elle m’a remercié et est partie pas plus rassurée que ça.— Du coup, ils sont revenus à la charge après le repas du soir alors que nous avions quartier libre. Ils avaient peur tous les deux de mal faire, nous dit Germain. Je les voyais tourner autour du pot et je leur ai demandé d’être francs et de nous dire ce qu’ils voulaient.— Rouges de honte, ils nous ont demandé de les aider, de les guider. J’étais flattée de leur demande, ils nous voyaient comme des maîtres en la matière. Je les trouvais très mignons et ils allaient bien ensemble alors j’ai accepté.— On leur a demandé ce qu’ils avaient fait entre eux déjà et aussi avec d’autres avant. Ils n’osèrent pas répondre tout de suite. Mais ils avouèrent quand même qu’ils s’étaient branlés l’un l’autre et qu’ils avaient déjà essayé les plaisirs oraux, mais qu’ils ne se sentaient pas à l’aise de le faire même s’ils aimaient le recevoir.— On les a donc emmenés dans notre repère. On leur dit de faire comme si on n’était pas là, ils hésitèrent puis s’embrassèrent. Leurs mains parcouraient le corps de l’autre. Je dis au garçon d’être plus doux avec les seins de la fille. Et elle de faire des gestes plus amples. Ils se déshabillèrent et se branlèrent devant nous. Pour ça, ils le faisaient bien. Je dis juste à la fille de ne pas avoir peur du liquide pré-séminal et au garçon de ne pas hésiter à mouiller ses doigts de salive.— Puis elle s’est mise à genoux devant lui et a commencé à le pomper. Je lui ai dit qu’elle pouvait un peu jouer avec avant. Faire des bisous sur la hampe, suçoter les couilles, lécher le gland avant les grandes manœuvres. Et surtout d’être attentive à ce qu’il aimait ou pas. Et je dis au garçon de ne pas avoir peur de dire ce qu’il ressentait et de surtout prévenir s’il sentait qu’il allait jouir. Il ne tarda pas d’ailleurs à indiquer qu’il allait venir. Mais la fille ne s’est pas démontée et a continué jusqu’à ce qu’il lui remplisse la bouche. Elle avala en faisant la grimace, dit Germain en reproduisant celle-ci.— Je lui ai dit qu’elle n’était pas obligée d’avaler. Juste les garçons n’aiment pas trop quand on marque trop notre dégoût. On peut ne pas du tout recevoir en bouche et le finir à la main ou alors recracher discrètement. Elle me dit qu’elle croyait que c’était obligé, de ce que lui avait dit un précédent copain. Mais le garçon la rassura, lui disant que je disais vrai. Puis c’est lui qui s’est mis accroupi devant elle, il a voulu lui lécher la chatte. Mais leur position n’était pas idéale pour des débutants. Je les ai fait se mettre autrement, il était bien plus à l’aise pour le faire.— Du coup, il s’y prenait mieux et donnait déjà du plaisir à la fille. Mais il se focalisait sur la vulve, les lèvres vaginales et l’orifice du vagin. Le clitoris, c’est le plus important, le grondai-je, dit Germain.— Il s’est excusé et a fait comme Gégé lui disait. La fille a vite monté d’un cran dans le plaisir. Puis il a eu l’idée tout seul d’y mettre un doigt qu’il a fait tourner en elle. Elle a râlé de plaisir. Il avait des aptitudes le garçon, elle prit son pied rapidement dans un orgasme silencieux.— Il avait repris de la vigueur, je leur ai demandé s’ils voulaient aller au bout, ils ont dit oui. Pour la première, je leur dis de se mettre en missionnaire, elle s’est allongée sur le dos et a ouvert ses cuisses, on voyait bien sa moule trempée. Le garçon s’est approché et a placé son sexe devant. Je lui ai dit de le lubrifier un peu plus avec de la salive ou de la mouille de sa copine. Il a fait les deux, arrachant quelques couinements à celle-ci. Puis il a posé son gland à l’entrée du vagin.— Il a regardé sa copine pour avoir son accord puis a poussé un peu et est rentré. Il n’y avait que le gland à l’intérieur, mais on voyait qu’il était déjà content. La fille appréhendait la suite, je lui ai dit de se détendre et de souffler quand il irait au-delà de sa barrière. Le garçon a poussé plus fort et elle a soufflé et eu un léger rictus. Puis il a voulu faire des va-et-vient en elle.— Mais avant qu’il ne commence, je lui ai dit de faire lentement au départ, le temps que la gêne ou la douleur de la fille parte. Il a fait ainsi puis quand elle a commencé à faire des

Oui, oui" il a accéléré. Ils étaient bien partis tous les deux, on les a donc laissés finir tranquillement, nous dit Germain."
— On est resté devant la porte pour pas qu’ils soient interrompus et un peu pour écouter aussi. Les ahanements et les gémissements s’intensifiaient puis il y eut deux râles plus forts. Puis, plus rien, si ce n’est quelques mots doux, chuchotés et échangés. Ils sortirent enfin et nous remercièrent pour notre aide. Ils partirent main dans la main. Ils sont restés ensemble tout le reste du stage. Ils sont revenus deux fois nous poser des questions sur comment faire un 69 et ce qu’ils pouvaient faire à part le missionnaire ou la levrette. Mais sur le coup, j’étais bien excitée, j’ai poussé Germain dans le local et on a fait l’amour passionnément.
C’était marrant de voir certains d’entre nous prendre le rôle de Paul et Elisa. Les familles de Liz et Olivier avaient décidé de passer quelques jours ensemble avant de finir les vacances chacun de son côté :
— La compétition entre nos pères est toujours là, mais elle est devenue plus amicale, plus bon enfant, commenta Liz.— Un peu trop amicale même. Au détour d’une conversation, près de la piscine de la villa qu’ils avaient louée, on leur raconta le jeu que nous avions fait dans celle de Marie.— Evidemment, nos pères se sont chambrés et défiés l’un l’autre. Chacun étant sûr qu’il aurait facilement battu l’autre au jeu avec une femme sur les épaules.— Alors forcément au bout d’un moment, nos mères leur fait la remarque qu’ils parlaient beaucoup et ne faisaient pas grand-chose. Nous en étions à l’apéritif, l’ambiance était assez joyeuse et frivole en quelque sorte. Du coup, elles ne se sont pas rendu compte qu’elles risquaient d’être embarquées dans ce jeu.— Nos pères ont alors décidé de jouer l’un contre l’autre. Ils ont dit à nos mères qu’ils n’avaient pas que des mots à faire valoir et leur demandèrent de venir avec eux pour ce petit combat amical. Elles se firent prier, mais finirent par accepter en traitant leurs maris de grands gamins.— Mon petit frère, les sœurs de Liz et nous avons regardé ces grands gamins se défier, continua Olivier. Une fois dans la piscine, avec leurs femmes sur les épaules, ils se sont rendu compte de la difficulté de la chose. Nos mères sont plutôt sveltes, mais moins que des jeunes femmes et ils sont loin d’être de grands sportifs.— Enfin, ils ont lancé le duel tout en riant. Nos mères se sont vite prises au jeu. Dans un geste involontaire, la mère d’Olivier a fait sauter les bretelles du maillot de la mienne et ses seins sont apparus aux yeux de tous. Ma mère ne s’en était pas rendu compte ; alors que celle d’Oliver allait s’excuser, elle tenta de profiter de ce qu’elle croyait être une ouverture.— Et elle a agrippé le maillot de ma mère qui s’est elle aussi retrouvé les seins à l’air. Se rendant compte que l’autre était dénudée, elles crurent tirer avantage de la gêne de leur adversaire. Mais le duel reprit de plus belle. En dessous nos paternels les encourageaient à gagner. On a vite remarqué qu’ils en profitaient aussi pour mater la femme de l’autre, ces gros cochons.— Ils ont fini par tomber à l’eau tous en même temps. En sortant de la piscine, on a bien vu avec Oliv que les maillots des maris étaient gonflés. Nos petits frère et sœurs ne l’ont pas remarqué. Nos mères ont voulu se couvrir, mais chacun des maris a complimenté la beauté de la femme de l’autre. Et comme quoi il serait dommage de couvrir de si beaux charmes, etc.— Et elles se sont laissées convaincre. Les sœurs de Liz ont voulu faire comme les femmes, mais elles se sont fait réprimander, donc Liz évita de faire du topless aussi. L’apéro s’est transformé en apéro dinatoire autour de la piscine. Au bout d’un moment, nos mères ont dit aux plus jeunes d’aller se coucher. Nous aurions pu rester encore un peu, mais on s’est dit que comme ils étaient partis pour rester dehors encore un long moment, nous allions avoir un peu d’intimité avec Oliv. Alors nous leur avons dit que nous allions nous coucher aussi. Moi j’avais une chambre seule, enfin une chambre un cagibi aménagé. Mes sœurs étaient dans une chambre et Olvier dans une autre avec son frère. Les deux couples avaient chacun la leur.— On est allé dans la chambre de Liz pour baiser tranquillement, après avoir vérifié que nos frère et sœurs dormaient. On a fait ça vite fait, mais bien fait. On avait un peu peur de se faire surprendre par les parents. On est adultes, ils se doutent sûrement que nous avons une activité sexuelle, mais c’n’est quand même pas la peine qu’ils le voient en vrai, justifia Olivier.— En sortant pour retourner dans sa chambre, Olivier a entendu les parents dehors, son père ou le mien a crié.
Bain de minuit !". Déclenchant des rires puis des ploufs dans l’eau."
— Un bain de minuit ça se prend tout nu normalement, là j’ai pas osé imaginer nos parents batifoler dans l’eau à poil. J’aurais pu les espionner, mais après tout, ils faisaient bien ce qu’ils voulaient. J’aurais été mal placé pour leur faire un reproche.— Dans la nuit, je me suis relevée pour aller aux toilettes, et ça gémissait dans les chambres des parents. Le matin au petit-déjeuner, j’ai vu des regards complices, amusés et gênés s’échanger entre les quatre. Je ne sais pas jusqu’où ils se sont laissé aller à s’amuser et je ne veux pas le savoir. Mais depuis, l’ambiance est définitivement bonne entre eux.
Incroyable, il y avait donc une possibilité que les parents de Liz et Olvier aient fricoté ensemble ! Après les chats ne font pas des chiens comme on dit.
* * *


Vers 9h30, Paul et Elisa arrivèrent pour prendre un café. Ils nous virent et se joignirent à nous. Ils évitèrent de nous faire la bise devant les autres élèves et certains professeurs. Mais j’étais content qu’ils viennent avec nous. Ils nous demandèrent rapidement où en était le feuilleton de l’été. C’était bien plus passionnant que les conneries de la télé. Elisa prit les nouvelles de Graziella et de son échographie avec sérénité et bonheur pour sa collègue quand elle sut que tout allait bien. Nous leur résumâmes ensuite nos derniers échanges. Ils étaient choqués et amusés du laisser-aller des parents de Liz et Olivier.
— Mais et vous alors, quoi de neuf ? demanda Sylvie.— Rien de spécial, nous sommes partis en vacances en Irlande, nous avons beaucoup aimé, nous dit Paul.— Tu peux leur dire ce qui nous est arrivé aussi, susurra malicieuse Elisa.— Oui, tu as raison. En fait, nous voyagions par train ou car et dormions dans des Bed & Breakfast. Nous avions décidé de rester 3 nuits à Dublin. Nous sommes arrivés vers 16h et la propriétaire nous a accueillis. Alors que nous réglions les formalités, un couple de Belges est arrivé pour la seconde chambre. La propriétaire a donc fait la visite des lieux pour les deux couples en même temps. Elle nous a indiqué l’heure du petit-déjeuner, comment revenir tard le soir si nous voulions sortir, etc. Puis elle nous fit monter à l’étage. Il y avait donc deux chambres, mais une seule salle de bain sur le palier. Pour les Belges comme pour nous, c’était le seul niveau de confort que nous pouvions nous payer.— Mais les chambres, la salle de bain et toute la maison étaient très charmantes. Et nos voisins belges venant de Wallonie semblaient assez sympas aussi. Nous sommes sortis le soir, à la recherche d’un petit resto ou snack où dîner. Et nous sommes tombés sur eux. On se dit que de dîner avec des francophones nous ferait du bien alors on s’installa à quatre. Par chance, Stéphanie et Niels étaient profs aussi en lycée. Donc on a pu échanger sur la différence du boulot entre la France et la Belgique.— Nous sommes ensuite rentrés, eux comme nous étions épuisés de notre journée de voyage. Ils passèrent tous les deux les premiers à la salle de bain et toquèrent à notre porte dès qu’ils la laissèrent libre. Nous y allâmes et de retour dans notre chambre, nous avons parlé de ce que nous ferions le lendemain. Mais nous avions du mal à nous concentrer sur le plan touristique alors nous nous sommes couchés. Cela faisait dix minutes que nous étions au lit, tout prêt à nous endormir quand on commença à entendre des voix, nous raconta Paul.
Elisa prit la suite du récit pour un moment :
— C’était Stéphanie qui parlait, elle était en train de commenter ce que lui faisait Niels :
Oh oui suce-moi les tétons, mordille-les", "Oui, oui, caresse-moi la chatte", etc. Nous avions une description pas à pas de leurs ébats, puis pendant un moment plus rien. Nous n’entendions plus que des halètements masculins. Il nous sembla assez évident qu’elle devait le sucer. Puis, sa voix s’éleva de nouveau : "Ah, ah, lèche-moi bien là, oui, vas-y, vas-y.", etc. Mais Niels ne l’emmena pas au bout, elle réclama de sentir son sexe en elle. Et encore, je vous dis ça de manière soft. Inutile de dire qu’entre sa description et leurs gémissements, nous étions tous les deux bien réveillés et bien excités. Paul passa sa main dans ma nuisette et me palpa les seins, je glissai la mienne vers sa queue. Elle était déjà assez raide et je savais que mon sexe était bien humide. Puis on s’est branlé gentiment en les écoutant, Stéphanie finit par jouir bruyamment comme on s’y attendait."
— On a entendu du bruit dans la salle de bain puis ils sont retournés dans leur chambre. Tout ça nous avait bien excités, il n’était plus question de dormir. Alors on a joué notre partition à notre tour. Et Elisa ne voulant pas être en reste, niveau sonore, elle a laissé s’exprimer son plaisir alors que d’habitude, dans un endroit nouveau, elle aurait retenu ses cris. Au petit-déjeuner, Niels et Stéphanie étaient déjà là quand on se présenta. On se salua, quelques sourires s’échangèrent. Je crois qu’ils ne s’étaient pas rendu compte qu’on pouvait aussi bien les entendre jusqu’à ce qu’ils nous entendent nous. Ils nous dirent qu’ils étaient désolés pour la gêne, mais qu’ils étaient depuis quatre nuits dans des dortoirs dans des auberges de jeunesse.— Paul leur a dit qu’il n’y avait pas de soucis. Nous comprenions bien, leur tracas. Et j’ajoutai espiègle que cela nous avait plus motivé que gêné. Nous nous séparâmes pour la journée, eux avaient des places pour un concert de chants celtiques. Nous, nous avions prévu de visiter Trinity College, St Stephen Green et la Cathédrale Saint Patrick. Le soir, nous rentrâmes fourbus, nous avions dîné dans un petit snack avant de rentrer. Durant la nuit, la même chanson se fit entendre, eux toujours les premiers et nous les suivons de près. En allant à la salle de bain, nous eûmes la surprise de les trouver encore là.— Ils se bécotaient là alors que nous les pensions repartis dans leur chambre. On s’excusa platement et eux furent très gênés. On put quand même les mater assez pour se faire une idée de leurs attributs. Comme je m’en doutais, Stéphanie ressemblait beaucoup à Gitta de corps, mais avec une petite brioche en plus. Lui était assez maigrichon avec une queue longue et fine comme lui, commenta Paul.— Comme nous étions nus aussi, ils purent nous regarder. La nuit prochaine, nous pourrions plus facilement mettre des images sur ce qu’on entendrait. Il ne faisait pas trop de doute que ça allait baiser une nouvelle fois. Le lendemain matin, ce fut à notre tour de nous excuser. Ils ne nous en tenaient pas rigueur. On s’amusa ensuite de voir que la propriétaire rougissait en nous voyant. Sa propre chambre au rez-de-chaussée devait lui permettre d’entendre nos ébats. On fit chacun de notre côté des visites avant de se croiser par hasard au Guiness Storehouse. Nous allions tous ensuite vers Temple Bar pour finir la soirée.— Nous avions dégusté une Guiness, puis la tournée de pubs et de bars nous permit de fêter la St Patrick avec un peu de décalage. Stéphanie et Niels étaient drôles et intéressants. On passa une excellente soirée en leur compagnie. Nous écoutions une chanteuse dans un pub quand je vis Stéphanie chuchoter quelque chose à Niels. Je crus qu’elle lui demandait de rentrer pour baiser. J’avais presque raison, mais pas tout à fait.
"Paul me donna un coup de coude pour me montrer ce qui se passait. Je vis Stéphanie rosir et Niels prendre une longue lampée de bière, les yeux exorbités. Il nous regarda et nous dit :
Euh, Stéphanie aimerait savoir une chose. Heum, voilà, ça fait un moment qu’elle voudrait qu’on fasse l’amour à côté d’un autre couple qui en ferait autant. Alors on voudrait savoir si vous voudriez bien.

Chacun de son côté avait bien précisé Stéphanie toute rouge. Je regardai Paul, les entendre nous faisait de l’effet à tous les deux mais voulions-nous les voir et nous faire voir ? Il leur avait fallu quelques bières pour oser nous le demander, celles-là mêmes qui nous firent accepter."
— Nous sommes retournés au Bed & Breakfast, ils stressaient un peu, nous nous chargeâmes de maintenir une ambiance insouciante. En arrivant, la propriétaire nous demanda si nous avions passé une bonne journée et nous proposa un thé et quelques gâteaux. On refusa poliment disant que nous étions bien fatigués. On est monté, une fois sur le palier, nous ne savions pas où aller. Leur chambre, la nôtre ? A moins qu’ils n’aient changé d’avis ? Ils ouvrirent leur porte et nous invitèrent à entrer. Ils se figèrent néanmoins, ne sachant comment lancer les choses. Nous nous embrassâmes devant eux, ils en firent autant. J’ai ôté le pull d’Elisa, découvrant son soutien-gorge. Les Belges nous suivaient pas à pas. Les filles étaient en soutif, elles enlevèrent nos pulls et nos t-shirts. Elles nous embrassèrent la poitrine, il fallait y aller en douceur.— Quand Paul retira mon soutien-gorge, Niels passa ses mains dans le dos de sa compagne. Il le dégrafa, elle le retint un instant sur ses seins puis, entendant mes soupirs alors que Paul me palpait la poitrine, elle le laissa aller. Niels lui massa les seins. Pour une fois, elle était silencieuse, cela me fit sourire de la voir si timide. J’ai débouclé la ceinture et le pantalon de Paul pour le faire descendre à ses pieds. Son boxer était déjà bien tendu par sa bite dressée. Niels n’était pas en reste, sa longue et fine bite dépassait de son slip. Les hommes nous enlevèrent à leur tour nos pantalons. Nous étions toutes les deux en culotte. Malgré la pénombre, je pus voir une auréole plus sombre sur le devant de son sous-vêtement, au moins elle était excitée, mais allait-elle oser continuer ?— Je fis alors glisser la culotte d’Elisa, les Belges prirent quelques secondes pour nous regarder faire. J’ai alors doigté un peu ma femme. Nous les regardions, attendant qu’ils se lancent. Niels caressa Stéphanie à travers sa culotte. Puis il passa ses doigts sous l’élastique. Il tira doucement dessus pour le faire descendre, elle le laissa faire en fermant les yeux. Mais cette dernière barrière dut la libérer un peu, car elle prit l’initiative de lui baisser son slip. La longue tige de son copain se mit à l’horizontale.— Je déployai à mon tour le mat de Paul. Stéphanie écarquilla les yeux en voyant son engin. Je me baissai et pris son sexe en bouche. Stéphanie en fit autant à Niels, elle le pompa fiévreusement. Ils s’étaient tournés de telle sorte qu’ils pouvaient bien nous voir. J’avais envie qu’ils voient les talents de Paul dans le léchage de minou. Je m’allongeai sur le tapis de la chambre et il vint me brouter. Stéphanie n’hésita pas trop et se mit en position aussi pour recevoir un cunnilingus.— Elisa et Stéphanie étaient allongées l’une à côté de l’autre à un mètre de distance, mais têtes bêches. Nous pouvions alors tous assez bien regarder ce qu’il se passait. Les filles s’exprimèrent assez bruyamment, se pressant les seins et appuyant sur nos têtes. A un moment, elles s’arquèrent toutes les deux en écartant les bras, leurs doigts se sont touchés. Elles se sont alors prises par la main. Nous avons laissé là le cunnilingus pour venir les pénétrer dans cette position. Nous les avons pistonnées un moment puis alors qu’elles ne se lâchaient plus des yeux, elles ont serré leurs mains encore plus fort et ont joui toutes les deux dans un grand cri, surtout pour la Belge. Je lâchai tout dans le ventre de ma femme et Niels s’est crispé en même temps que moi. Une fois cela fait, nous avons embrassé nos femmes. Avec Elisa, nous nous sommes relevés et avons été dans la salle de bain. Nous avons pris une douche et sommes rentrés dans notre chambre. Nous avons alors pensé que le mieux était qu’ils retrouvent une certaine intimité. On les a entendus passer sous la douche. En sortant, ils sont passés devant notre chambre et on a entendu un.
Merci"."
— Au matin, quand nous sommes descendus, ils étaient déjà partis. Mais la propriétaire nous donna un mot qu’ils avaient laissé pour nous, elle était rouge cramoisi en nous le tendant. Elle a sûrement entendu nos ébats de la veille, mais imaginé un peu plus que ce que nous avons fait. Dans la lettre, Stéphanie nous remerciait d’avoir accepté de faire ce que nous avions fait. Ils avaient terriblement aimé. Le faire avec des quasi-inconnus leur avait paru le mieux. Car personne chez eux ne le saurait et ils ne risquaient pas de nous recroiser si cela se passait mal. Après cela, on a fini notre séjour en terre celte de façon plus classique, conclut Elisa.
* * *


Ils avaient passé eux aussi de bons moments cet été-là. Nous n’avions pas eu le temps de parler plus. Il était l’heure d’aller au lycée. Nous fîmes notre rentrée sans problème. Nous évitâmes le discours du directeur avec joie. La répartition dans les classes resta la même, c’était l’année où il fallait concrétiser nos précédentes réussites par l’obtention d’un concours dans une grande école ou l’entrée dans une université réputée.
Avant la fin de semaine, le groupe fut convoqué par le directeur. Cela nous inquiéta un peu, mais finalement c’était pour de bonnes nouvelles. Il nous expliqua qu’au cas où nous ne le savions pas, Mme T était originaire d’ex-RDA et que comme elle, son frère était professeur de français là-bas. Son homologue avait entendu parler de notre projet et était donc très intéressé pour nous faire venir. On sentait que le directeur y mettait les formes et qu’il voulait nous amener doucement à nous convaincre de partir. Donc il poursuivit en nous disant, que le Gymnasium souhaitait organiser un voyage scolaire là-bas, avec nous en invités. Tous étaient impatients de pouvoir nous rencontrer. Nous savions déjà tout ça, mais nous jouâmes les étonnés et les flattés. Les familles des élèves de la classe de français avaient dégoté un centre de vacances ou quelque chose du genre pour nous loger.
Le directeur était bien conscient que l’année des concours était vitale pour notre avenir, je craignis qu’il nous fasse son couplet habituel sur l’avenir des jeunes de notre âge, mais il passa vite à la suite. Donc il pouvait comprendre que nous ne souhaitions pas manquer des cours. Il avait alors cherché une solution, la meilleure possible.
Il nous proposa alors de partir pendant les vacances de la Toussaint, sachant que côté allemand, il y avait cours cette semaine-là. Sylvie, Felipe et Germain firent judicieusement remarquer que cela nous évitait de manquer ici, mais nous privait d’une semaine de repos fort utile. Le directeur abonda dans leur sens, il promit d’y réfléchir. En attendant, il avait un courrier à nous donner avec pour mission d’en parler avec nos parents. Pour finir, il nous indiqua que de son point de vue, ce voyage pouvait nous apporter beaucoup en contrepartie de "petits inconvénients" temporaires.
En sortant tous les dix de là, nous étions morts de rire : le directeur nous imposait presque ce voyage ! Nous en avions eu l’idée au départ, mais il était vrai que de l’autre côté, ils avaient montré un intérêt non feint pour notre projet. Il fallut présenter la lettre aux parents. Le directeur y exposait ce dont il nous avait parlé. Nous fîmes les jeunes pas motivés à l’idée. Les parents tombèrent dans le panneau et nous sortirent des "les jeunes vraiment, vous voyez pas les opportunités qui vous sont offertes", "et ne soupire par comme ça !", "j’aurais été fou de joie de partir moi à ta place"... Ce petit coup de psychologie inversée faisait un bel effet, nos parents nous poussaient à y aller eux aussi. Devant tant d’insistance, nous "cédâmes pour leur faire plaisir".
Seul Cristian avait des doutes quant à ce projet. Il craignait de devoir sortir pas mal d’argent de sa poche. Il le signifia aux jumeaux. Il en parlerait à leur mère pour voir ce qu’elle en disait. Et puis, il y avait ce futur bébé qui allait "sûrement creuser mes finances" avait-il sorti en se parlant à lui-même. Esteban et Felipe ne dirent rien, mais notèrent que l’idée de paternité faisait son chemin dans la caboche de leur père. Mais comme au final, il n’y avait que le billet de train à prendre en charge côté français et que l’établissement prenait en charge une partie de voyage, la note finale était raisonnable vis-à-vis du voyage entrepris. En raclant un peu les fonds de tiroirs, Cristian et Viviane pouvaient réunir l’argent nécessaire.
De fait, le voyage fut acté par la direction aux conditions déjà définies. Le directeur passa sous silence le fait qu’il avait promis de réfléchir à un aménagement pour nous. Mais, bon, nous avions voulu ce voyage alors il valait mieux laisser couler ce point-là.
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