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Le projet artistique

Chapitre 48

Préparatifs

Divers
Maxime narrateur
Nous étions en pleins préparatifs de notre voyage depuis la rentrée. Le trajet en lui-même était géré par l’établissement. Nous savions juste que le voyage se ferait en train jusqu’à Francfort, puis un car nous conduirait ensuite à Erfurt, enfin dans sa banlieue. Nous nous consentirons sur les aspects propres au projet : les scènes à tourner, la recherche de lieux, l’intégration des élèves de Dieter. Car évidemment, on nous avait demandé de leur faire prendre une part active dans le documentaire. C’était une classe de français, donc nous allions les faire tourner en français. Nous échangeâmes des lettres et des photos de groupe. Nous dix et eux six. Parmi cette petite classe, il y avait :
— Wilhelm : un garçon assez grand a priori, blond, fin, mais musclé.— Stephan : plus petit que le premier mais plus costaud aussi, brun avec des yeux très sombres.— Peter : même taille que Stephan, plus clair de cheveux et d’yeux, un peu rond.— Svenja : grande perche brune, assez plate, mais avec un joli visage.— Ida : petite blondinette avec une belle paire de nichons et un bon popotin.— Jutta : taille moyenne, cheveux châtains, yeux verts perçants.
Ils s’étaient présentés en quelques mots de français maladroits. Cela nous fit rire, nous nous moquâmes un peu, mais Elisa nous rappela :
— Soyez indulgents. Cela ne fait que deux ans qu’ils font du français. Avant ils étaient limités au russe, au polonais, au hongrois, etc. Maintenant, ils doivent tous se mettre à l’anglais alors prendre une autre langue nouvelle, c’est assez courageux de leur part.
Elle n’avait pas tort, c’était clair. Alors nous leur écrivions en les félicitant de leur niveau, de leurs efforts. Il fallait les encourager en somme. Il fallut leur envoyer une cassette avec un résumé du projet, quelques images de ce que nous avions fait. C’était la première fois que quelqu’un extérieur à l’atelier voyait nos images. Nous stressions en attendant les commentaires qu’ils allaient faire. En fait, ils furent assez bienveillants avec nous. Ils étaient assez emballés par notre projet et firent quelques propositions intéressantes pour des lieux de tournages et des endroits où interviewer des passants.Un lundi matin, les jumeaux étaient tiraillés entre le fou rire et l’incrédulité. Ils nous expliquèrent leur état :
— Alors dimanche, Graziella est venue déjeuner à la maison. Notre père et elle ont trouvé un mode de vie, un arrangement, je sais pas trop comment on peut appeler ça, commença Felipe.— Donc ils voulaient nous en parler. Mais surprise, notre mère était invitée aussi. Après tout, ça nous parut normal qu’elle soit tenue au courant quand même.— Avec Graziella, elles ne s’étaient jamais rencontrées. Et ça a tout de suite matché entre elles. A la fin du repas, on aurait dit deux vieilles copines.— Bref, tout ça pour dire que Graziella et papa ont décidé qu’il allait reconnaître l’enfant, être là pour l’accouchement, le suivi de la grossesse, mais qu’ils n’envisageaient pas de vivre ensemble. Pour l’instant, précisa Esteban.
Ce n’était pas banal comme organisation de famille, mais bon pourquoi pas ?
— Le plus drôle, bizarre, c’est que maman a décidé d’accompagner Graziella à sa deuxième échographie, mercredi, là.— Donc mercredi, le médecin verra arriver, la mère, le père et l’ex-femme.
A la fin de la semaine, nous eûmes des nouvelles par les garçons. C’était une petite sœur qu’ils allaient avoir. Ils étaient tout contents ces grands idiots. Les filles voulurent voir les photos de l’échographie. Elles allèrent voir Graziella dans son bureau pour lui demander si elle pouvait les amener pour qu’elles voient. Elle les convoqua à la fin d’un cours pour leur montrer. Elles en ressortirent plus convaincues que jamais qu’elles voulaient avoir des enfants. Nous étions, nous garçons, un peu sur le qui-vive. Elles prenaient toutes la pilule, la même pour toutes depuis plusieurs mois déjà. Il faudrait s’assurer qu’elles n’allaient pas l’oublier malencontreusement. On ne pensait pas à un oubli volontaire pour nous faire un gamin dans le dos, mais plutôt à un vrai geste inconscient.Un mercredi, deux semaines avant de partir, nous en étions à prendre notre douche, quand Paul fit une réflexion :
— Bertrand et François ont appris que nous allions à Erfurt. Ils m’ont demandé de leur donner des nouvelles de Gitta. Ils ne l’ont jamais oublié la petite allemande.
Oui, Paul venait, il fallait un deuxième prof pour nous encadrer. Cela avait paru naturel pour tout le monde que Paul veuille suivre sa femme.
— Déjà, ils ont presque autant déprimé que moi au retour en France. C’est d’ailleurs pour ça que...
Paul s’arrêta comme s’il allait révéler un secret d’État. Puis il sourit et nous dévoila la fin de sa phrase :
— C’est d’ailleurs pour ça qu’on s’était consolés tous les trois pas très longtemps après notre retour.
Immanquablement, nous le persuadâmes de nous raconter ça. Pour une fois que ce n’était pas Elisa qui nous narrait ses aventures, il fallait en profiter.
* * *


Paul narrateur
Nous étions de retour en France depuis moins d’un mois. François nous avait invités à venir dans son studio pour regarder un match de foot à la télé. J’avais ramené un bon pack de bière, car je me doutais que mes potes allaient encore oublier. Mais surprise pour moi, ils avaient tous les deux pensé à en prendre.
— Ben, pour une fois que vous y pensez, me moquai-je.— Oh, ça va, les réflexions ! me rétorqua François. Si t’es pas content, tu peux retourner chez papa et maman, ah ah ah.— Bon allez, on s’installe. Ça va commencer, nous pressa Bertrand.
Nous nous sommes installés et nous avons regardé la première mi-temps tout en sifflant quelques bières. Le match était bien, mais frustrant.
— Pfff, vraiment c’est pas possible de pas en mettre une au fond, râla Bertrand.— Dis, t’as l’habitude de vendanger pas mal, lui rappela François.— Ils vont finir par en mettre un, je suis sûr, les rassurai-je.— Oui, probablement, acquiesça François.— Faut espérer qu’ils fassent comme moi au final.— Tout rater pour finir par en mettre un au fond par hasard ? se moqua François.
Bertrand fronça des sourcils, je crus qu’il allait se fâcher, mais il lâcha :
— En RDA, je crois pas qu’il m’ait fallu beaucoup d’essais pour la mettre au fond, non ?
Nous comprîmes tout de suite qu’il ne parlait pas des matchs, mais bien de Gitta. A l’évocation de cette semaine, nous devenions rêveurs comme à chaque fois.
— Ah ! Gitta, se lamenta François. Quelle fille quand même !— Tu l’as dit mon François, renchérit Bertrand. Je ne l’oublierai jamais. Et toi Paul, toujours fou d’Elisa ?— Plus que jamais, j’ai vu qu’elle est entrée dans l’association. J’espère que c’est pour me donner de nouvelles par un moyen détourné. Faudra que j’en fasse autant. Mais je sais pas comment pour l’instant.— Quelle nuit on a passée tous les trois ! se souvint François avec mélancolie.
Alors que le match avait repris, mon esprit, et le leur sûrement, divagua vers les contrées allemandes. Je pensais à Elisa, me sentant déjà en couple avec elle. Soudain des cris retentirent, nous venions de marquer :
— Eh, mais on a marqué ! s’écria François.— Ouais, ouais, ouais ! rajouta Bertrand.
En effet, je voyais le ralenti de l’action. Un beau mouvement en triangle avait enfin permis de trouver la voie vers le but. Mais je me rendis compte que les deux autres avaient réagi avec un bon temps de retard. Ils devaient rêvasser à ce moment-là.
— Bah alors tu dormais ? me taquina François.— Comme vous, je crois, lui répondis-je.— Oui, j’avoue que j’ai vu que la toute fin de l’action.— Euh, je pensai à autre chose, dit Bertrand tout en remettant son sexe en place.— Je vois très bien à quoi, à qui tu penses. Moi aussi, avoua François. Et toi Paul tu pensais à elle ?— Oui, c’est pour ça que j’ai raté le but.— J’espère qu’ils vont plus marquer sinon on va pas voir grand-chose. Quand je repense à Gitta, j’ai du mal à me concentrer, nous confia Bertrand.— Tu attends combien de temps avant que ça passe ? demandai-je.
Moi j’avais besoin de me soulager pour que les images d’Elisa s’estompent.
— Euh, euh, ça passe pas comme ça. Faut... faut que je me branle.— Ah ? Toi aussi ? s’étonna à voix haute François. Ça me rassure, je pensais être un gros pervers.— L’un n’empêche pas l’autre. Et puis moi aussi, je le fais, leur dis-je.
Je venais d’annoncer que nous étions des pervers. Ma main se posa automatiquement sur mon sexe pour le masser par-dessus mon pantalon. Du coin de l’œil, je vis Bertrand et François faire de même. Et je savais qu’ils avaient vu les autres aussi. Le match fini, nous ne pûmes parler que de la première mi-temps, nous n’avions rien vu de la deuxième. Je n’avais qu’une idée en tête : me branler en pensant à Elisa. Je voulus me lever pour partir, mais ma tête tournait et je ne tenais que difficilement debout. Je ne me voyais pas rentrer dans cet état. Bertrand dut se dire la même chose :
— Oh la vache. Ça tourne. Francky, je peux dormir ici ?— Hein ? Euh ouais ouais Bébert. Toi aussi Paulo ? T’as pas l’air bien frais.— Euh, non. Pas frais en effet.— Je dois avoir deux couvertures en plus, mais faudra dormir par terre.
François étala les couvertures. Il faisait bon chez lui, donc je pris le parti de m’en servir comme matelas.
— Elle tenait mieux la bière que nous, la petite Gitta, se rappela François.— Ouais, elle avait un peu la tête qui tournait quand elle nous a fait ce super strip-tease.
Je voyais à peu près à quoi pouvait ressembler le corps de Gitta, mais invariablement, c’était celui d’Elisa qui s’imposait devant mes yeux. Mon sexe bandait dur, je le changeai de place pour qu’il puisse au moins s’étaler le long de mon ventre.
— Tu veux te branler Paulo ? me demanda Bertrand.— Heu, non, j’avais besoin de me mettre à l’aise, chuchotai-je.— Pas la peine de chuchoter, je suis juste à côté, intervint François. Parce que t’aurais envie de te palucher mon Bébert ?— Bah, là, je vais pas dormir sur une béquille comme celle-là.
Il plaqua son pantalon sur son pubis, on put voir son sexe allongé le long de sa cuisse.
— Ah, ben, j’ai la même, dit François en nous montrant son entrejambe.
Nous n’en pouvions plus tous les trois. Les bières bues levèrent quelques inhibitions et je proposai aux gars de se branler pour pouvoir dormir. Ce fut François qui sortit sa bite en premier et se palucha devant nous, allongé sur son matelas posé à même le sol. Je me joignis à lui et extirpai mon sexe de sa prison, il se déploya à la verticale. Je commençai alors à me faire du bien. Les yeux fermés, j’entendis Bertrand maugréer un peu puis libérer sa queue lui aussi. Je sentais le plaisir monter tranquillement quand je perçus des murmures :
— Je vous entends. Je pensais pas que vous alliez rester en arrêt devant ma queue. D’habitude, c’est les poulettes qui ont cette réaction.— Bah, on voit pas ce genre d’engin en pleine action tous les jours, me répondit François. Mais au fait, elle a pas eu peur Elisa ?— Non, pas du tout. Elle a été surprise par la taille, mais plutôt agréablement, il me semble.— Sacré tempérament, jugea Bertrand.— Bah, votre Gitta est pas mal non plus.
Je leur racontai les frasques de l’Allemande avec ses Italiens. Ils ne connaissaient pas cette partie de l’histoire. Ils bandèrent et se branlèrent encore plus.
— Je comprends mieux pourquoi j’avais trouvé sa pipe si bonne, se souvint François.— Ouais, une vraie experte. Et toi, Elisa, elle t’a sucé ou pas ?— Non, mais je crois qu’elle ne rechignerait pas à le faire. Et si sa langue est aussi agile quand elle embrasse que quand elle suce...— Je me ferai bien pomper le dard, moi, se plaignit Bertrand.— Ouais moi aussi. Dommage qu’on soit qu’entre mecs. Il nous manque une gonzesse.
Dans un moment d’inconscience, je lançai alors :
— Bon c’est qui qui fait la fille ?
Il y eut un blanc gêné. Ma connerie me gênait aussi. J’allai en sortir une autre pour oublier la précédente quand Bertrand me devança :
— Heu, on pourrait se sucer les uns les autres. Comme ça, il n’y en aurait pas un qui ferait la fille.
Merde. Voilà que Bertrand nous proposait qu’on se taille une pipe tous ensemble. J’aurais dû débander, au lieu de ça, ma queue était toujours aussi dure et je m’astiquai avec autant d’ardeur, sinon plus.
— T’es sérieux ? demanda François. Tu veux faire comment à trois ?— Faudrait qu’on soit en triangle, genre moi je suce Bertrand, qui te suce et toi tu me suces François.
Je me surprenais à essayer de mettre en place la proposition de Bertrand, je n’en revenais pas moi-même. Sans nous en rendre compte, nous nous étions mis dans la position que je venais d’indiquer, tous les trois allongés sur les couvertures. J’avais devant les yeux la queue de Bertrand. Je le masturbais alors lentement comme si j’avais besoin de vérifier qu’il fonctionnait comme moi. Je sentis la main de François s’activer sur ma colonne de chair et probablement que celle de Bertrand coulissait le long de celle de François. Nous nous taillâmes rapidement des pipes les uns aux autres tellement nous en avions besoin.
— Dites, on change ? Le suceur devient sucé, proposa François.
Nous échangeâmes nos places et reprîmes de plus belle nos fellations. Mais après un moment, une question me vint à l’esprit :
— Dites, on va jusqu’au bout ?— Euh, je sais pas. Oui. François ?— Va bien falloir qu’on se vide, non ? OK.
Au lieu de reprendre sa fellation, je vis François se lever et aller dans sa petite salle de bain. Il en revint avec un tube dans les mains. C’était un tube de vaseline tout neuf ! Il voulait qu’on s’encule ! Quand je parlais d’aller jusqu’au bout, c’était pour savoir si on allait se faire éjaculer et où. Pas de savoir si on allait se sodomiser. Mais l’idée que ma bite se retrouve dans un cul la fit tressauter d’impatience. J’en oubliai presque la possibilité que moi aussi j’en aie une entre les fesses.
— D’où tu sors ça ? lui demanda Bertrand.— Bah, je l’ai acheté en prévision de le faire avec une nana. Après y avoir goûté avec Gitta, j’ai bien envie de recommencer.— Euh, o... k, dis-je.— Mais euh, je veux pas qu’on soit plus enculeur qu’enculé hein ? Chacun doit y passer autant que les autres, prévint Bertrand.— Oui, oui. Euh, on fait comment Paul ?
Merde, ils me demandaient d’organiser la sodomie générale. La tête me tournait, ma bite prit le relais pour trouver une solution :
— Chacun encule les deux autres et se finit dans un cul. Et on tourne, chacun prend sa dose.
François ayant le tube en main nous fit nous mettre à quatre pattes. Il enduisit ses doigts et ma rondelle. Il fit entrer un doigt, ce qui me rappela les quelques fois où une ex-copine me l’avait fait. Puis il y mit un second, c’était plus gros, mais pas désagréable si je l’accompagnais d’une branlette. François plaça ensuite sa queue contre mon trou et poussa. Il entra assez facilement et attendit un peu. Puis il s’enfonça jusqu’au bout. Je grimaçai un peu, mais ça allait. Il me bourra ensuite le cul à coups de reins lents puis plus rapides.
François s’arrêta et changea de partenaire. Il fit les mêmes opérations à Bertrand. Pour lui aussi, se faire branler atténuait la gêne, la douleur de la sodomie. J’étais stupéfait de voir ce spectacle, alors même que j’y avais pris part quelques secondes avant. François bourrait franchement Bertrand maintenant. Il allait et venait avec entrain puis je vis son visage se crisper et il se cala dans le fondement de Bertrand. Il se vida en lui avec quelques râles sonores et gutturaux. Après un moment, Bertrand annonça :
— A moi maintenant !
Il fit mettre François à quatre pattes. Il prit le tube en mit sur ses doigts et le cul de François. Il le fourra tout de suite avec deux doigts. Bertrand dut être vite satisfait de la souplesse du sphincter, car il présenta sa queue à l’entrée. Il l’enfila en une fois, faisant grimacer François. Il l’encula avec entrain pendant un moment. Puis Bertrand passa à moi. Il vérifia des doigts que j’étais toujours ouvert puis me pénétra de sa bite. Il s’activa en moi avec la même fougue. Je trouvai ça assez plaisant finalement. Bertrand finit par jouir et à me remplir le cul de son sperme.
A mon tour, je commençai par Bertrand, je renduisis son orifice de vaseline et l’assouplissais avec un troisième doigt. La souplesse de son cul me paraissait bonne, je me décidai alors à tenter la sodomie. Je me mis en position et posai mon gland à l’entrée de son cul. Je poussai et le sphincter céda facilement ; il fallait dire que François avait déjà préparé le terrain. Je poussai plus pour faire entrer ma queue en entier. Une fois au fond, j’entamai mes va-et-vient dans le cul de Bertrand. Il ahanait sous mes coups de reins tandis que je soufflais sous l’effort. Mon rythme d’abord lent prit de la vitesse pour atteindre la même cadence que si j’avais fourré une chatte. Avant d’atteindre le point de non-retour, je me retirai. Je changeai de cul pour visiter celui de François. Je refis la même manœuvre avec trois doigts. Puis je le pénétrai de ma grosse queue. Je l’attrapai par les hanches et le sodomisai sans trop de retenue. J’avais une furieuse envie de me vider après tout ça.
Du coup, je sentis rapidement monter en moi la jouissance. Je m’enfonçai bien au fond du cul de François et lâchai plusieurs jets de sperme dans son fondement.Je m’assis au sol, essoufflé et étonné. Je n’osai relever les yeux vers mes potes qu’après une bonne minute.
— Faut prendre une douche rapide, nous proposa François.
Chacun y passa à son tour. Nous nous réinstallâmes pour dormir et cela ne fut pas long à venir pour tous les trois, entre les bières et les autres choses, cela nous avait un peu assommés. Au matin, l’ambiance était spéciale. Nous en parlâmes et nous en conclûmes que c’était le manque et les bières qui nous avaient fait chavirer ainsi. Il ne fallait plus en parler et oublier cette histoire.Sauf que cela se reproduisit de temps à autre lorsque l’un de nous se faisait larguer ou si nous étions seuls trop longtemps. Nous passâmes un cap en nous embrassant aussi durant ces ébats que nous trouvions honteux et dont nous nous persuadions qu’ils n’étaient que le fruit d’un manque de sexe, d’une rupture et d’un trop-plein d’alcool.
* * *


Maxime narrateur
Les aveux de Paul nous avaient quelque peu chamboulés et excités. Nous bandions tous d’une belle trique bien raide. Et l’idée d’enculer ou de me faire enculer par mes potes me disait bien. Au moins une fois pour essayer et ne pas mourir idiot. Je mis tout de suite les pieds dans le plat :
— Ça vous dirait pas d’essayer ?— Euh, là maintenant ? s’étrangla Germain.— Non, il est tard. Mais dans le principe, ça vous dirait ou pas ? Vu que tout le monde bande comme un âne...
J’avais ajouté ce dernier commentaire pour leur ouvrir les yeux sur leur état.
— Bah, je dis pas non, pourquoi pas, dit Olivier.
Cela ne m’étonna pas de lui, d’être le premier à se révéler intéressé.
— Bon, euh, ouais, on pourrait essayer, hein Fil ?— Heu, ouais, euh, je sais pas, euh... Oh et puis oui.— Et toi Germain ? relançai-je, le sportif devant son mutisme.— Bah, oui, comme ça je saurais aussi ce que ressent Mimi.— C’est pas faux. Le faire vous-même facilite le fait de le demander à vos copines ensuite.
Nous en restions là pour cette fois-là. Autant, car il était temps de rentrer, autant, car nous voulions nous laisser un temps de réflexion.
* * *


Amandine narratrice
Nos mecs nous en avaient parlé chacun de leur côté. J’avais été sidérée par ce que m’avait dit Maxime. Pas vraiment les tribulations de Paul avec ses potes, il y avait plusieurs années. Mais plutôt l’idée qui avait germé dans les petites têtes de nos mecs : s’enculer les uns les autres ! Nous avions convenu d’en parler toutes ensemble à tête reposée au dernier cours de danse avant de partir en Allemagne.
— Dites, vous y croyez ? demandai-je.— Bah, pourquoi ils nous pipeauteraient ? me répondit Marie.— Je sais pas. Pour nous inciter à leur accorder plus souvent notre cul ?— Ça pourrait être ça Am, pensa Sylvie. Mais...— Mais quoi ?— Si on en croit Paul, ils bandaient tous après ses révélations, nous rappela Liz.— Et je ne vois pas Paul entrer dans ce jeu, n’est-ce pas Elisa ?— Oui, Sylvie. Paul n’aime pas trop les stratagèmes, il préfère les choses directes.— Du coup, ils vont le faire, vous croyez ? s’enquit Carine.
Elle se pinçait les lèvres d’envie. D’envie de les voir faire ? Je devais dire que si je pouvais assister à ça... Mince, j’en mouillais presque déjà d’avance.
— Tout ça devient un peu... extrême, non ?— Qu’entends-tu par extrême Mimi ?— Bah, Am. Je veux dire, vous voyez ce qu’on fait déjà entre nous. Ils veulent aller un peu plus loin encore...— Oui, c’est pas faux. Mais on fait tout ça en pleine liberté et tout. Et ça ne pose problème à personne, lui répondit Liz.— Ça t’en poserait un, qu’ils le fassent entre eux ? demandai-je.— Euh, non, je crois pas. Et puis ça reste en famille, si je puis dire. Mais avouez que c’est... je sais pas quel mot choisir.— Spécial, étonnant, bizarre, inquiétant, proposa Sylvie.— Quelque chose entre l’étonnant et le spécial.— Tu en penses quoi Elisa ? dis-je, me tournant vers elle.— Pas grand-chose en tant que tel. Paul ne l’avait plus fait depuis longtemps. Ses copains ayant eu des relations pendant quelques années. François avait même été marié, jusqu’à divorcer il y a un an. Mais maintenant, ils sont de nouveau célibataires. Si ça se trouve, ils ont repris ça les deux autres.
Nous imaginâmes la scène entre les deux hommes pendant quelques instants. Puis les images dérivèrent vers nos mecs le faisant à leur tour.
— Pour ce qui est de l’extrémisme de nos pratiques. Nous en sommes loin.— C’est-à-dire Elisa ? l’interrogea Marie.— Il y a plein de choses que vous ne faites pas. Vous limitez votre échangisme entre vous, aucune de vous n’a tenté de double pénétration ou de fist. Nous n’avons rien eu de scatologique non plus ou du masochisme plus poussé.
Elisa avait raison, nous avions goûté à plein de choses, mais encore beaucoup nous restaient étrangères. Puis Sylvie poussa un petit cri de surprise :
— Oh ! Mais ! Elisa !— Oui Sylvie ?— Tu as dit vous au début puis nous à la fin. Ça veut dire que les premiers trucs tu les as faits ?— Concernant l’échangisme, on peut dire que oui. Vous vous rappelez que je vous avais dit qu’on ne touchait pas à mon homme sans ma permission ? C’est arrivé deux fois. A chaque fois lors de vacances, avec des couples rencontrés et avec qui nous avions de forts atomes crochus.— Vous avez gardé des contacts avec eux ? demandai-je.— Non, ni eux ni nous ne le souhaitions vraiment.— D’accord, mais pour la double pénétration et le fist alors, s’impatienta Sylvie.— C’est quoi le fist ? demanda Carine.
Elisa mima la pratique en fermant son poing et en le faisant passer au travers de son autre main. Les yeux grands ouverts de Carine nous montrèrent qu’elle avait saisi.
— Donc, oui, j’ai fait. Pas souvent, mais j’ai fait.— Et tu as aimé ? questionna sans y croire Liz.— Oui, mais cela demande du doigté. Beaucoup de doigté de la part du ou des partenaires.
Le terme de doigté nous fit rire.
— La double, je veux bien y croire. Je prends mon pied en pénétration classique et l’anale c’est pas si mal. Donc la double, pourquoi pas, mais le fist ! Mince !
Sylvie était dubitative. Je la comprenais bien, l’idée d’essayer la double au moins une fois m’avait traversé l’esprit. Mais toute une main !
— Mais comment t’es venue l’idée de faire... ça ? s’offusqua Marie.
* * *


Elisa narratrice
Cela s’est déroulé lors du dernier tournage que j’ai fait pour Thiemo. Pas que cette pratique m’ait dégouté de tourner, mais parce que j’ai réussi à passer peu de temps après. Bref un jour, Thiemo m’a appelé pour me proposer un nouveau tournage :
— Elisa, je t’appelai pour voir avec toi si tu serais disponible samedi.— Heu oui. Devant ou derrière la caméra ?— Devant, tournage entre filles seulement.— OK, qui ?— Gitta et Hanna.— Oh, à trois filles. C’est cool !— Oui, mais euh, là j’ai une demande particulière.— Ah ? Et c’est quoi cette fois ?— C’est une commande spéciale des producteurs. Ils ont besoin d’un film de fist-fucking.— De quoi ?
Thiemo m’expliqua ce que c’était. J’étais choquée qu’on puisse faire cela. Encore plus de savoir que Gitta avait accepté. Mais cela était plus que bien payé, alors j’acceptai moi aussi. J’avais réussi à me procurer de faux papiers, un faux visa, mais ma cagnotte était presque vide. Il me fallait à tout prix la renflouer pour parer à d’éventuels imprévus. Il me faudrait peut-être soudoyer un garde-frontière si mes papiers n’étaient pas aussi bons que je l’espérais. Et puis j’étais assez en confiance, je le ferai avec Gitta et Hanna.
Le samedi, je me retrouvai chez Thiemo. Gitta et Hanna arrivèrent tout juste après moi. Thiemo nous expliqua le dérouler qu’il avait prévu. Je détaillai alors les mains de Hanna, car c’était elle qui allait nous fister, Gitta et moi. Hanna était un petit format, comme je vous l’avais dit. Et ses mains étaient à la mesure du reste de son corps : petites et fines. Mais cela restait plus gros qu’un sexe d’homme, même celui de Roberto. Surtout j’appris que Gitta et moi devions ensuite prendre Hanna par les deux trous, en même temps !
Hanna semblait une spécialiste de la chose. Elle nous donna énormément d’informations sur comment elle allait procéder, sur ce que nous allions ressentir, sur ce que nous devrions faire... Je me demandai si dans l’intimité avec Dieter, elle faisait ça aussi.
— Hanna, tu fais ça aussi dans le privé ? demanda Gitta.— Non, enfin si. Une fois quand les mecs avec qui je couche apprennent que je le fais dans certains films. Mais après, ils préfèrent tous me mettre leur bite dans la chatte ou le cul plutôt que leur main.— Et avec Dieter ? Il a déjà testé ?— Non, et ça ne l’intéresse pas d’essayer.
Hanna accompagna sa réponse d’un clin d’œil. A force de sortir avec Dieter, il avait bien fallu lui dire qu’on était frère et sœur. Mais elle ne savait pas quelle était la finalité de ma participation aux films. Et pourquoi j’avais accepté de baiser avec Dieter face caméra. C’était d’ailleurs arrivé trois fois au final en comptant celle dans le sauna. Hanna n’avait pas fait plus de commentaires qu’un simple "Ah bon ?". Thiemo nous rappela au moment présent :
— Hanna tu t’es préparée ?— Oui. C’est bon.— Préparée à quoi ? m’interrogeai-je.
Hanna me vit pensive et m’expliqua qu’elle s’était fait un lavement. Car quand l’une de nous allait y mettre la main, il ne faudrait la ressortir pleine de matière fécale. L’image me donna un haut-le-cœur. En effet, c’était préférable de prendre ce genre de précaution.
Le scénario était toute bête, trois copines qui regarderaient un magazine cochon commenceraient à être échauffées par les images. Elles se caresseraient elles-mêmes un moment avant de tomber sur une image où une femme se prend la main d’une autre dans le vagin. Tout cela sous les yeux d’un mec qui tient sa bite dans la main et semble prêt à l’enfourner dans la bouche de la femme. Cette image serait le prétexte à ce qu’Hanna nous initie à la pratique. Thiemo nous demanda de nous mettre en place. Il lança l’action alors que nous étions déjà en train de feuilleter le magazine. Les images étaient pas mal, mieux en tout cas que beaucoup de revue bas de gamme qu’il était possible de se procurer. Thiemo nous demanda de commencer à nous caresser. Je passai ma main sous mon haut pour me palper les seins. Gitta fit comme moi alors qu’Hanna dirigeait déjà sa main dans sa culotte. Encore deux pages et Gitta et moi étions torse nu en train de nous triturer les seins, Hanna ayant viré sa culotte.
Deux nouvelles pages et nous étions toutes les trois toutes nues en train de nous faire du bien. Puis arriva la fameuse photo. Les premières photos et mes caresses avaient éveillé mon désir, cette nouvelle photo la propulsa vers des sommets. Je voulais le faire ! Là tout de suite ! Maintenant !
Mais Thiemo coupa la caméra. Hanna nous enduisit le sexe d’une grosse dose d’un gel lubrifiant avant de s’en mettre abondamment sur les mains. Avec Gitta, nous nous mîmes assises, les jambes écartées et les genoux relevés. Hanna nous demanda de poser les mains en arrière et de laisser tomber la tête en arrière également. Cela exposait bien nos poitrines, Thiemo relança la caméra en filmant en gros plan nos seins puis en descendant vers nos sexes sur lesquels les mains de Hanna faisaient déjà leur œuvre. Elle nous branla le clitoris avec les doigts de façon tout à fait classique. Puis elle entra deux doigts en nous. Elle nous branla vivement, nous arrachant de petits cris de plaisirs. Elle inséra ensuite un troisième doigt puis un quatrième. C’était déjà assez gros, plus que la plupart des bites que nous avions connues. Mais encore moins que celle de Roberto. Avec Gitta, nous continuions à prendre un plaisir non simulé devant la caméra.
Alors Hanna joignit son pouce à ses autres doigts. Je soufflai fort devant la taille déjà conséquente de ce qui me pénétrait. Gitta émit un couinement puis un soupir. J’activai mon doigt sur mon clitoris pour me procurer un maximum de plaisir en guise de diversion. Cela marcha bien un temps, mais quand Hanna poussa plus franchement pour faire entrer la main en moi, je me sentis me déchirer. Mais elle se retira puis recommença en allant un peu plus loin. A la troisième fois, elle réussit à entrer totalement sa main en moi. A ma droite, Gitta avait elle aussi la main d’Hanna complètement dans son vagin. J’étais remplie, plus que remplie, par le poing de mon amie. De la douleur intense se mêlait à un certain plaisir. Elle laissa un peu de temps à nos vagins pour s’habituer à la taille inhabituelle du membre qui les pénétrait puis reprit son va-et-vient. C’était mieux, j’avais un peu plus de plaisir à faire la chose.
En reprenant ma caresse sur mon clitoris, je réussis à faire passer les restes de douleur que j’avais. J’entendais Gitta couiner, mais de plaisir à présent. Elle commençait à prendre son pied la cochonne. Je ne voulus pas être en reste et me lâchai complètement. Rapidement, Thiemo nous demanda de jouir, au moins pour la caméra. Mais je sentais déjà des vagues de plaisir envahir mon vagin. Je finis par avoir un orgasme plus que satisfaisant sous les assauts d’Hanna. A mes premiers cris, un peu exagérés pour les besoins du film, Gitta se joignit à moi. Je reconnus le surplus qu’elle mettait parfois, mais aussi une vraie jouissance sous l’abondance de cris. Thiemo stoppa la caméra et nous félicita de notre performance.
Il nous laissa quelques minutes pour nous remettre. Pendant ce temps, Hanna se badigeonnait le sexe et le cul de lubrifiant. Elle nous demanda d’en faire autant sur la main qui nous servirait à la fister. Une fois prête, Thiemo redémarra la caméra. Hanna, à quatre pattes, nous encourageait à la pénétrer. Je pris le cul et Gitta la chatte. Nous caressâmes d’abord de façon classique ses orifices. Puis nous rentrâmes deux doigts pour la masturber par les deux trous. Hanna soupira d’aise et nous dit rapidement de mettre un troisième doigt. Son sphincter était vraiment souple. Cela se voyait qu’elle pratiquait régulièrement la sodomie. Le quatrième doigt ne posa pas plus de difficulté que ça. Nous rentrions nos doigts en alternance avec Gitta. Quand elle entrait, je sortais...
Il fallut ensuite passer aux choses vraiment sérieuses. Nous insérâmes notre pouce avec les autres doigts. Hanna poussa de petits cris de douleurs. Gitta lui caressa le clitoris pendant que je lui massai les seins de nos mains libres. Puis il fallut vraiment pousser. Gitta se lança la première. Elle rentra le début de la main puis se retira. Je poussai mon poing à mon tour puis le ressortis. Gitta poussa une nouvelle fois et cela rentra tout entier. A mon tour, je retentai de tout rentrer et à ma grande surprise, je parvins à le faire alors que Gitta me libérait de l’espace de l’autre côté. C’était impressionnant pour moi de voir cela. Ma main, jusqu’au poignet, était fichée dans le cul d’Hanna, la copine de mon frère. Nous commençâmes, sous les ordres discrets de Thiemo, à pénétrer Hanna en rythme. Le vagin, le cul, le vagin, le cul...
Hanna criait à gorge déployée, tant de plaisir que de douleur. Mais qu’elle était la part de chaque ? Qu’elle était la part de simulation pour le film ? Je ne savais le dire. Moi-même je l’encourageais, je m’extasiais devant sa performance pour les besoins du film. Mais au fond, je me demandais surtout si je ne la faisais pas trop souffrir.
— C’est quand tu veux Hanna, indiqua Thiemo.
Il devait avoir suffisamment de films pour que ce soit monté convenablement. Hanna se mit alors à crier si fort que j’en eus mal aux oreilles. Elle se déhancha en tous sens, nous expulsant de ses orifices. Thiemo termina son film par un gros plan sur les deux trous que se refermaient doucement.
— Coupé. Ça va Hanna ?— Pffff. Oui... ça va.— Tu vas bien ? m’inquiétai-je.— Oui. Heureusement que je ne fais ce genre de folie qu’une fois par an.— Et, euh, tu prends du plaisir ou pas du tout, l’interrogea Gitta.— En double comme ça, non, aucun. En simple, oui je peux. Bon, à la douche les filles. Faut que je rentre chez moi.
Nous la suivîmes dans la salle de bain. Nous prîmes notre douche ensemble. Je me sentais bizarre. Je n’avais pas l’impression d’avoir un vagin, mais un hall de gare tellement c’était ouvert.
— T’inquiète. Tu vas vite perdre cette sensation. Tout redevient à la normale. Dis-toi qu’un bébé passe par là aussi. C’est beaucoup plus gros que ta main. Et après, tout se remet en place.
Je ne dis rien, mais au fond de moi, je me dis que je n’aurais jamais cette sensation à cause d’un accouchement. Hanna n’était pas au courant de mes problèmes de fécondité donc je ne pouvais lui en vouloir. Néanmoins, elle vit mon trouble, ma tristesse :
— J’ai dit quelque chose Elisa ?
Je lui expliquai rapidement pour qu’elle comprenne. Elle sembla compatir franchement à mon état, elle me serra dans ses bras et me dit :
— Moi je n’aurais pas d’enfants, car c’est mon choix. Toi tu n’en auras pas contre ton gré. Je suis désolée.— Oh, tu n’en veux pas ? Mais Dieter ? s’étonna Gitta.— Je sais qu’il en souhaite. Mais comme de toute façon nous n’avons pas dans nos plans de finir notre vie ensemble. On s’amuse bien et c’est tout. On s’aime bien, mais ni lui ni moi ne voyons un avenir commun pour nous. En tout cas, la vie est parfois injuste. Désolé encore Elisa.
Je partis ensuite avec Gitta, comme d’habitude, elle me donna une partie de son gain. Je pouvais maintenant tenter de passer. Mais il fallait que je trouve le bon moment.
— Ils sont pas honnêtes.— Qui ça ? demandai-je.— Hanna et Dieter.— Comment ça ?— Regarde, ça fait combien de mois qu’ils fricotent ensemble ?
Je fis le compte et m’aperçus de la longueur de leur relation.
— Mais pour deux jeunes qui ne font que s’amuser... C’est très long ! Et puis maintenant que j’y pense, ils sortent maintenant ensemble de façon très classique. Comme deux amoureux normaux.— Oui, tu vois ce que je veux dire. Il faudra qu’on leur mette le nez dans la vérité...
Gitta avait raison, il fallait parler à Dieter et Hanna. Ils risquaient de passer à côté de quelque chose. Je savais, moi, ce que cela faisait d’avoir le sentiment de ne pas être avec l’être aimé. Je ne voulais pas qu’ils s’en rendent compte quelques années trop tard.
* * *


Amandine narratrice
Ce récit m’avait troublée. Je m’étais vue un moment à la place de Gitta ou d’Elisa. Mais la description du double fistage d’Hanna m’avait un peu calmée. Néanmoins, mes tétons restaient durs et mon sexe humide. Je voyais bien mes copines aussi émoustillées que moi. Je regardai leurs mains, imaginant laquelle je pourrai prendre dans le con. Nous nous regardions toutes les mains en fait ! Nous étions en train d’imaginer la chose.
— Dites, si les mecs tentent de s’enculer entre eux ; on pourrait pas essayer ça entre nous ? proposa Sylvie.— Oui, il n’y a pas de raison qu’ils soient les seuls à essayer des trucs, approuva Carine.— Euh, on va pas faire ça maintenant ? s’inquiéta Marie.— Non, il est tard. Faut libérer la salle.— Mais dans l’idée, vous êtes partantes les filles ? demandai-je. Moi oui.— Moi aussi, dit Sylvie.— Elisa, tu le ferais avec nous et tu nous guiderais ? quémanda Marie.— Oui bien sûr. Et avec vous, ça me dit bien de le refaire.— Donc Sylv, Elisa et moi, ça fait trois. Kiki, Mimi, Liz, vous dites quoi ?— Pourquoi pas, j’ai envie de tenter le coup, mais j’ai un peu peur, répondit Marie.— Moi je suis partante, révéla Carine.— Euh, euh, je sais pas, peut-être... Allez en avant ! finit par lancer Liz.
Nous étions toutes partantes, mais à des degrés divers. Nous devions laisser la chose murir un peu.
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