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Le projet artistique

Chapitre 51

Classes

Voyeur / Exhibition
Maxime narrateur
Je fus réveillé par Paul qui frappait à notre porte.
— Debout là-dedans ! Maxime, Amandine !
Puis il passa à la chambre d’à côté et réveilla Sylvie et Esteban. En tendant l’oreille, je me rendis compte que nous étions les derniers encore au lit.
— Allez ma chérie. Debout !— Mmmm, ça va. J’arrive, maman.— Am !— Hein ? Oh Max, t’es là ?— ...— Ah oui, c’est vrai. Embrasse-moi.— Am, on est les derniers.— Un bisou et je me dépêche.
Je cédai et l’embrassai. Elle s’activa alors et s’habilla. Nous rejoignîmes les autres qui étaient déjà en train de petit-déjeuner. Marie et Germain finissaient et nous laissèrent leur place. Tout le monde avait dormi d’une traite, satisfaits de passer une nuit tranquille et reposante dans les bras de son ou sa chérie. Nous parlâmes de nos futurs colocataires. Comment les sonder sur le fait de faire des chambres de couple ? Ou au moins que nous, nous puissions rester ainsi. Déjà, il fallait voir s’ils pouvaient venir avec nous. En tout cas, les filles parleraient aux filles et les garçons aux garçons. Nous déciderions ensuite. Paul et Elisa nous activèrent, nous n’étions pas en avance.
Nous nous rendîmes devant l’entrée du Gymnasium. Nous étions, au final, pile à l’heure. Quand nous vîmes arriver au fur et à mesure les six Allemands avec une petite valise ou un sac de voyage, nous fûmes extrêmement heureux. Un peu avant le début des cours, Dieter nous rejoignit, pour le directeur il n’y avait pas de problèmes pour que ses élèves partagent le séjour avec nous. Donc tout se goupillait, encore une fois, parfaitement. Ou presque, puisqu’il fallait voir pour la répartition des chambres.
A la pause de milieu de matinée, on s’arrangea pour se retrouver entre mecs. Esteban engagea la conversation :
— Nous sommes contents que vous dormiez avec nous.

— Oui, nous aussi, répondit Peter.— Nos copines ont vu hier que toi et Ida étiez ensemble, dit Olivier à Stephan.— Ensemble ? Ah ! En couple. Oui, amoureux. Vous avez vu ?— Nos copines voient tout. Elles pensent aussi que Peter et Jutta sont amoureux, avertit Germain.— Nous pensons être secrets, se lamenta celui-ci.— Discret pas secret. ,Mais vous fabriquez un joli couple, le rassurai-je.— Formez pas fabriquez, me corrigea-t-il. Merci.— Elles pensent aussi qu’entre Wilhelm et Svenja, il pourrait se passer quelque chose, non ? risqua Felipe.— J’aimerai bien. Mais je n’ose pas, elle ne doit pas s’intéresser à moi.— Nos copines pensent le contraire. En fait, vous pourriez être tous en couple comme nous.

— Oui Olivier. Ça serait drôle, approuva Stephan.— Dites. Nous avons fait nos chambres en couple. Ça vous dirait de faire comme nous ? proposa Esteban.— Mais vos professeurs ne disent rien ? s’étonna Wilhelm.— Ils sont trop contents de revenir ici. Et tant que nous nous comportons bien...

J’éludai un peu la question, nous n’allions pas aller trop vite dans les révélations.
— Moi, ça me plaît bien. Je pense Ida sera d’accord, s’enthousiasma Stephan.— J’aimerai bien qu’avec Jutta on passe du temps ensemble sans se cacher.
Peter était plein d’espoir, seul Wilhelm resterait dans une chambre seule, pour l’instant pensions-nous. Et c’était ce qu’il espérait, j’en étais convaincu.Nous apprîmes des filles que les trois Allemandes avaient été moins surprises que les garçons que nos copines en sachent autant. Jutta se montra un peu soulagée quand elle découvrit qu’elle était percée à jour. En fait, elle avait envie de crier au monde qu’elle était avec Peter. Ida s’en amusa disant qu’elle en était déjà là avec Stephan depuis un moment. Comme Wilhelm, Svenja n’osait pas l’aborder alors qu’elle en pinçait clairement pour lui. Elle fut un peu surprise d’apprendre que lui aussi semblait être intéressé. Quand nos copines leur avouèrent que nous faisions des chambres de couple, Ida et Jutta sautèrent de joie à l’idée de faire pareil. Svenja était plus réservée, mais elle dit que peut-être cette semaine déboucherait sur quelque chose.
Nous finissions les cours à 12h pour une courte pause déjeuner. En fait de cantine, c’est plutôt une pause casse-croute. Et nous avions un peu l’impression d’être l’attraction, les bêtes de foires, du gymnasium. Les cours reprirent jusqu’à 14h, laissant les élèves libres pour le reste de la journée. C’était un rythme intensif le matin, mais permettant d’avoir des activités l’après-midi. Cela allait nous permettre de travailler sur notre projet. Nous restâmes dans l’établissement pour accéder au matériel vidéo. Paul, Elisa et Dieter nous y rejoignirent. Mais ils ne furent là qu’en surveillance, nous laissant en autonomie, comme cela était prévu dans le déroulé du projet artistique. Nous nous mîmes d’accord sur le planning de la semaine. Il fallut nous familiariser avec la caméra, nous jouâmes quelques scénettes que nous avions déjà faites et d’autres que nous devions tourner. Carine et Sylvie eurent l’idée particulièrement retorde de faire jouer une scène de couple à Wilhelm et Svenja.
Ils devaient se tenir la main, se dire des mots doux, jouer les amoureux en somme. Ils n’en sortirent pas inchangés, car ils ne se lâchèrent plus la main pendant un long moment. Cela avait déclenché quelque chose chez eux, c’était certain. Alors que nous allions faire des interviews à la gare de banlieue pas loin de là nous nous aperçûmes qu’ils n’étaient plus avec nous. On se dit qu’ils étaient sans doute aux toilettes, comme certains y étaient passés avant. Nous sortîmes dans le couloir, des ahanements s’élevèrent des toilettes. Nous nous approchâmes, nous entendîmes alors leurs voix :
— Ah oui, oui, Wilhelm, continue, continue.

"Svenja, ah ah ah, ta chatte me serre bien la queue."Et autres dialogues tout aussi joyeux. Puis un râle de Wilhelm et une série de petits cris aigus de Svenja nous indiquèrent qu’ils avaient fini. Ils ressortirent et furent surpris et gênés de nous voir là. ,Mais Dieter les rassura tout de suite :
— Bon, normalement je devrais dire quelque chose, mais bon, ce n’est pas grave. Vu qu’il n’y avait que nous ici.— Pas besoin de vous demander si c’était bien, les taquina Sylvie.— Sylvie ! Laisse-les tranquilles ! lui reprocha Elisa.— ,Mais ils ont raison. Je veux pas les embêter.

Et la voilà qui faisait un résumé de sa rencontre avec Esteban et de leurs retrouvailles inespérées et torrides. Les Allemands regardèrent les quatre protagonistes avec étonnement.Enfin, le matériel et les bagages sous le bras nous nous dirigeâmes tous vers la gare. C’était l’heure de sortie des usines et des bureaux donc beaucoup de monde gravitait autour de la gare. Nous avions deux caméras donc nous nous repartîmes en deux groupes pour les deux entrées de la gare. Svenja, Wilhelm, Ida, Germain, Marie, Esteban, Felipe, Carine d’un côté, Jutta, Peter, Stephan, Sylvie, Liz, Olivier, Amandine et moi de l’autre. Dieter, Elisa et Paul passaient d’un groupe à l’autre pour voir si tout allait bien. Nous nous étions organisés pour que des rabatteurs (un allemand et un français) partent à la recherche de personnes, si possibles dans des âges moyens (40 ans ou plus) qui avaient suffisamment bien connu la période des années 70 que nous visions. Vers 19h, les gens commencèrent à nous ignorer, préférant presser le pas pour rentrer chez eux.
— Repartons. Vous ne pourrez plus rien faire ce soir, nous dit Dieter.
Nous rentrâmes fourbus par cette longue journée. Dieter nous laissa à l’entrée du centre de vacances et repartit retrouver sa femme et son fils.
* * *


Les Allemands s’installèrent rapidement. Ida et Stephan, Jutta et Peter n’hésitèrent pas à prendre une chambre commune. Ils prirent un bloc de deux chambres et commencèrent à coller les lits ensemble. Wilhelm et Svenja se retrouvèrent devant le bloc de deux chambres restant. Ils ne savaient que faire : prendre chacun une chambre, prendre la même en laissant les lits séparés ou en les collant ? D’accord, ils avaient baisé et ils s’étaient pas mal bécotés durant le reste de l’après-midi. Mais partager le même lit toute la semaine, c’était autre chose.
— Ne vous sentez pas forcés à quoi que ce soit leur dit Elisa. Nous avons laissé une certaine liberté à nos élèves, mais cela fait déjà deux ans pour certains qu’ils sont en couples. Vous pouvez choisir la même chambre puis changer d’avis ensuite.

"On peut faire ça ? s’étonna Svenja."
— Alors on fait quoi ?

"Je ne sais pas. T’as envie de quoi ?""Euh, on prend la même chambre, mais lits séparés..."Wilhelm avait rougi en faisant cette proposition à Svenja. Ça se voyait qu’il était tenté par plus, mais qu’il ne voulait pas la brusquer. Elle se mordit les lèvres et sourit.
— D’accord, faisons comme ça. Installons-nous.

— Bien, retrouvons-nous dans 15 minutes en bas pour le dîner, indiqua Paul.
Je repassai avec Amandine dans notre chambre.
— Ils ont été vite les deux-là, dis-je.— Bah, on n’avait pas traîné non plus nous.— Tu crois qu’ils vont rester longtemps lits séparés ?— Non, demain soir ils vont vouloir se coller.— Demain soir ? Cette nuit tu veux dire !— Noooon, quand même pas. Max, ils ne sont pas si affamés...— Oh que si. Et puis, les deux autres couples sont au taquet aussi. J’ai vu une lueur d’excitation dans leurs yeux quand ils ont vu les chambres.— Bref, pour toi, ça va baiser dans leurs chambres cette nuit ?— Oui, mais pas que dans leurs chambres...
Je me collai contre son dos en disant ces mots. Après le voyage et la première nuit ici, je n’avais toujours pas fait l’amour à ma chérie ni même eu le temps d’une petite branlette pour me soulager. Je passai ma main autour de sa taille et la remontai pour caresser ses seins. Je l’embrassai dans le cou alors qu’elle passa sa main sur la bosse de mon pantalon.
— Mmmmh, je crois qu’il va falloir que je m’occupe de toi. Et puis moi aussi, j’ai envie de crier comme Svenja cet après-midi. Ah oui, mordille mon oreille... J’ai papoté avec les autres filles, les entendre baiser nous a donné des envies à toutes.— Toutes les filles ? Elisa, Jutta et Ida aussi ?— Oui... Continue... Elisa a besoin d’évacuer son trop-plein d’émotion. Jutta et Ida semblent avoir autant le feu au cul que nous...— Mmmm, ça promet pour cette semaine.
Je voulus passer ma main dans son pantalon pour lui palper le mont de Vénus, mais elle m’arrêta :
— Il est temps d’y aller.— Dommage.— Ce n’est que partie remise. Et je te promets que tu ne regretteras pas l’attente.— Avec toi je ne regrette jamais rien.
Nous nous séparâmes et nous rendîmes au réfectoire. La plupart des filles avaient le souffle court, les pupilles dilatées et pour certaines on voyait leurs tétons pointer. Quant aux mecs, nous avions tous une belle bosse à l’entrejambe. Une partie d’entre nous prépara le repas, pendant que d’autres mettaient la table, les derniers branchant le matériel vidéo à la télé de la salle de repos. Les menus prévus étaient affichés près des frigos, il n’y avait plus qu’à suivre les instructions. C’était très "allemand" comme plats. Il faudrait qu’on innove un peu dans la semaine. Et ça ferait sûrement plaisir à nos nouveaux amis.Le dîner fut vite expédié afin de nous laisser du temps pour visionner nos premières images. Sur la quinzaine d’interviews que nous avions pu faire, la moitié était utilisable. Il faudrait refaire une séance dans un autre endroit.
— Demain, nous allons vers parc. Il y aura familles et enfants, d’autres types de gens, nous dit Peter.— Parfait. Nous aurons des points de vue différents supposa Amandine.— Peut-être que non. C’est, je crois, les idées de tout le monde, tempéra Stephan.— Nous verrons bien. Il n’est pas tard, nous pouvons répéter quelques scènes suggéra Olivier.— Oui, génial, s’emporta Svenja.
Cela nous fit sourire, elle voulait rejouer les amoureuses avec Wilhelm. Mais ils n’avaient plus besoin de cela. Nous refîmes quelques scènes devant la caméra, changeant certains dialogues, validant d’autres. Nous aurions à disposition le mercredi et le jeudi après-midi le logement de fonction du directeur. Cela faisait pas mal à faire en peu de temps donc nous devions bien répéter avant afin d’être efficaces. Vers 23h, tout le monde commençait à bâiller. Elisa mit fin aux répétitions et nous enjoignit de nous coucher. Nous nous exécutâmes avec plaisir sachant ce qui nous attendait probablement.Après un passage par la case brossage de dent, je me retrouvai avec Amandine. Elle se déshabilla devant moi et commença à enfiler une courte chemise de nuit, laissant entrevoir le bas de ses fesses. Je glissai ma main sous celle-ci et vins lui caresser le popotin.
— Tu es bien pressé, me dit-elle.
Mais elle me laissa faire, riant de voir un chapiteau se former dans mon caleçon. Amandine se baissa et sortit ma bite pour me branler doucement. Je changeai la position de ma main pour venir lui flatter la vulve. Elle monta sur le lit à côté de moi, laissant ses jambes assez écartées pour que je puisse continuer. Elle m’enleva mon t-shirt et fit glisser mon caleçon. Je lui ôtai sa chemise de nuit. Amandine entreprit alors de me sucer le dard. Mais comme je ne voulais pas que recevoir, j’attirai son arrière-train à moi pour l’inviter à un 69 :
— Mmmh, bonne idée, ça faisait longtemps, approuva-t-elle.
Je calai un oreiller derrière ma tête pour me faciliter la tâche et entamai mon léchage. Amandine me parut plus pressée que d’habitude. En temps normal, elle aimait qu’on prenne notre temps. Là elle voulait visiblement m’amener rapidement tout près de la jouissance. Je compris qu’il fallait que je la chauffe le plus vite possible si nous voulions jouir ensemble. Je pensai alors que ça ne serait pas difficile, elle mouillait déjà abondamment. Elle arrêta sa pipe et se tourna vers moi. Nos bouches fusionnèrent dans un long baiser. Elle s’empala sur mon sexe et commença à onduler du bassin tout en se pressant les seins. Ma chérie poussa alors de petits gémissements bien audibles. Elle voulait qu’on l’entende cette cochonne !
— Et puis pourquoi pas ! me dis-je.
Je me laissai aller moi aussi à m’exprimer bruyamment. Elle parut satisfaite que je suive son exemple. Elle montait et descendait maintenant sur mon vit. Soudain, je perçus d’autres voix sans les identifier. Mais ça baisait pas loin. Cela accentua l’excitation d’Amandine qui se rapprocha d’un coup de l’extase. Il ne lui fallut plus que quelques va-et-vient pour pousser un dernier cri libérateur. Son vagin eut des contractions qui déclenchèrent mon propre orgasme. Elle s’allongea sur moi et me chuchota :
— C’était bien. Merci Max.— Merci Am. Mais tu étais pressée toi aussi.— Oui. Je voulais pouvoir écouter après. D’ailleurs, ça a commencé.— Vous avez encore manigancé un truc ?— Non pas vraiment, mais on a bien vu que toutes nous avions envie de baiser.— On fait dans le voyeurisme auditif maintenant ?— Oui, Chut. C’est qui ?— Sylvie et Esteban, c’est vraiment tout près.
Effectivement, c’était si proche que cela ne pouvait être qu’eux qui étaient dans le même bloc de chambre. Sylvie semblait d’ailleurs encourager Esteban à ne pas la ménager. Amandine se leva et entrouvrit la porte de notre chambre pour mieux entendre. Je m’approchai et me collai à elle. Du bloc suivant nous perçûmes d’autres sons. Les voix étaient jeunes donc ça ne pouvait être les profs. C’étaient donc les sportifs. Ils s’en donnaient à cœur joie également. Bientôt, Sylvie et Esteban poussèrent un long râle commun.
On n’entendit que Marie et Germain pendant un moment avant que du bloc qui était en face du leur ne montent d’autres voix. Je n’étais pas sûr qui c’était puis quand j’entendis "Liz, doucement !" je sus qui c’était. Après du bloc de Wilhelm et Svenja on entendit des petits cris aigus. Ils s’y mettaient eux aussi. Et ils ne perdaient pas de temps. Il y eut quelques mots échangés, mais il était difficile de les comprendre. Marie et Germain augmentèrent soudain le volume de leurs ébats et finirent par jouir ensemble. Le brouhaha se calma un peu avant que Carine et Felipe rejoignent les baiseurs. Ils eurent assez vite quelques envolées lyriques. Je pensai alors qu’ils baisaient depuis un moment, mais en silence. Là, ils allaient atteindre le septième ciel et ils se lâchaient. J’eus raison, car ils crièrent franchement tous les deux puis se turent. Les Allemands devinrent silencieux quelques secondes après. Avaient-ils eu un orgasme silencieux ? Ou bien Wilhelm n’avait pu se retenir assez ?
En tout cas, il n’y avait plus que Liz et Olivier qui jouaient encore leur partition. Mais ils ne restèrent pas seuls longtemps. Peter et Jutta, Stephan et Ida se firent entendre également. Ils étaient synchronisés, du coup on ne savait pas trop qui faisait quel bruit. Liz et Olivier terminèrent leur partie de jambes en l’air sur un long râle d’Olivier. Nous nous concentrâmes sur les Allemands. Ça parlait pas mal chez un des couples. J’entendis "Ida" plusieurs fois dans cette conversation. Je pus alors mieux différencier les bruits et les voix. Qui en était où en somme ? En tout cas ça baisait avec entrain. Peter et Jutta finirent les premiers sur le même niveau sonore qu’ils étaient partis. Ida et Stephan continuèrent un peu, mais jouirent assez rapidement.
Finalement, il n’y avait que Paul et Elisa qui n’avaient pas baisé. Je savais que s’ils l’avaient fait, nous les aurions entendus. J’allais me coucher avec Amandine quand enfin ils devinrent audibles. Ils avaient dû attendre la fin de tous nos ébats pour se lancer à leur tour. Et cela y alla fort tout de suite. On entendait bien leurs voix et leur dialogue. Elisa demandait à Paul de la lécher, d’aller plus bas ou plus haut. Puis Paul demanda qu’elle s’occupe de lui, il l’encouragea, la félicita de sa pipe. Puis ils passèrent aux choses sérieuses. Je compris que Paul prenait Elisa en levrette. Ça claquait fort sur les fesses de notre prof d’allemand.
— Merde. Ils ont laissé la porte ouverte, ou quoi ?— C’est possible Max. Chut !
Et puis d’un coup, Elisa commença à lancer des mots en allemand. C’était le signe qu’elle approchait du moment fatidique. Ils continuèrent encore un peu puis à ma grande surprise :
— Oh mon salop tu veux m’enculer. Et bien, vas-y ! Ah oui.
Elle couina un peu puis elle ne se contrôla plus :
— Encule-moi. Encore, plus fort, plus fort. Ces petits cochons t’ont bien chauffé hein ?

"Elisa, tu vas voir ce que tu vas voir."Paul baisa sa femme dans le cul encore plus fort, lui arrachant des hurlements de plaisir. Ils faisaient le spectacle, l’air de dire : voyez qui sont les pros. Cela dura encore un peu, mais bientôt ils poussèrent un cri plus fort et firent silence. J’aurais dû bander à nouveau, mais j’avais un peu froid. Tout était redevenu calme et paisible. J’entendis un peu bouger et un lit fut déplacé ; sûrement celui de Wilhelm et Svenja. Amandine repassa son vêtement de nuit et se glissa sous les couvertures. Je fis de même et me collai à elle.
— Bonne nuit ma chérie.— Bonne nuit Max... Dis, tu crois que Paul et Elisa avaient prévu d’aller jusque-là ?— Jusqu’à la sodomie. Certainement pas. D’ailleurs je ne pense pas qu’ils avaient envisagé de baiser après nous, ou alors en silence. Mais ils ont dû être trop excités par tous nos cris.— Je le pense aussi. J’espère juste que les Allemands ne vont pas se sentir gênés demain matin. Je les aime bien.— Moi aussi. Je ne crois pas qu’ils seront gênés demain. Je pense qu’ils nous ressemblent. Et c’est bizarre d’être tombés sur eux.— Oui. Bon allez on dort maintenant.
Amandine s’endormit très vite et je ne tardai pas trop non plus.
* * *


Au petit matin, Paul vint frapper à toutes les portes.
— Il est 7h00, debout. Il est 7h00, debout.

Je me levai difficilement et Amandine aussi. Nous nous dirigeâmes vers le réfectoire. Elisa, Paul, Germain, Marie, Wilhelm et Svenja étaient là. Les profs montraient l’exemple, et pour les autres, ils étaient tous les quatre des athlètes et étaient sortis sur les pistes toutes proches pour courir "à la fraiche" comme disait Germain. Mais ils avaient les traits un peu tirés par leurs ébats de la nuit. Svenja, Ida, Jutta, Wilhelm, Peter et Stephan ne paraissaient pas trop mal à l’aise même s’ils jetaient des coups à droite et à gauche comme pour mettre un visage sur les bruits et les cris qu’ils avaient entendus. Surtout ils fixèrent les profs plus que les autres. Ils le virent et choisir de percer l’abcès tout de suite :
— Vous nous avez entendus cette nuit, à ce que je vois, commença Elisa.
Comment aurions-nous pour ne pas les entendre ?
— Comme nous qui vous avons entendu. Avec notre rôle nous ne souhaitions pas prendre part aux effusions sonores de cette nuit. Mais il y a eu huit couples qui ont exprimé leur plaisir. Nous n’avons finalement pas résisté à toute cette débauche d’amour.

— Nous comprenons Mme T...— Elisa et Paul, Peter. Nous ne sommes pas vos professeurs. Et surtout après ce que chacun a entendu, les corrigea Paul. D’accord ?— D’accord. Paul. Mais c’est un peu étrange quand même.— Oui, je suis en accord avec Peter, ajouta Ida.— Cela veut dire que cela vous a gêné ? Ou seulement de nous entendre, nous ? demanda Elisa.— Non, non. En fait j’ai aimé entendre les autres élèves, nous dévoila Jutta. C’est surprise pour nous d’avoir entendu les professeurs.— Mais, pas gênant seulement surprenant, précisa Stephan. C’est que vous étiez plus impressionnant que nous.— Merci du compliment, plaisanta Paul.
Le ton employé par Paul fit rire tout le monde. Du coup, il n’y eut personne de mal à l’aise à table et c’était cool. Ça voulait dire que l’on pourrait s’adonner au sexe sans restriction avec nos chéries. Le rythme du petit-déjeuner fut assez lent, nous étions bien plus nombreux et donc il y avait plus de possibilités de bavardage. Paul et Elisa nous alertèrent plusieurs fois de l’heure, mais nous n’y prêtâmes pas attention. Et puis il fallut encore aller sous la douche. Il y avait une cabine pour quatre et même en nous dépêchant, cela prit du temps.
Il fallut presser le pas vers le gymnasium pour arriver à l’heure. Nous convînmes que le mieux serait de prendre les douches le soir et non le matin. Les quatre sportifs auraient eu envie de continuer à courir le matin, mais ils décidèrent de ne pas être en décalage avec le reste de la troupe. Ils firent une croix sur leur footing pour cette semaine. Il y aurait sûrement d’autres occasions pour eux de se dépenser physiquement.
La matinée fut studieuse et fatigante comme la veille. Nous n’étions pas habitués à ce rythme alors qu’il y avait moins d’heures dans la journée que chez nous. Mais nous tenions le coup, bien aidés en cela par nos amis allemands. Il fallut enchaîner dans l’après-midi avec le tournage du film. Ils nous emmenèrent dans un parc. Il y avait là des mères de famille, mais aussi des retraités qui prenaient l’air. C’était un peu les deux catégories qui nous manquaient, c’était parfait. Nous nous répartîmes en deux groupes comme la veille, mais en essayant de nous mélanger un peu plus.
Nous fîmes une récolte un peu meilleure a priori. Il y avait plus en quantité, nous verrions après le repas si la qualité était au rendez-vous. Le temps devenait maussade alors Dieter donna le signal du départ. Il fallut presser le pas quand les premières gouttes tombèrent. Mais la pluie n’était pas trop forte, ce qui nous permit de ne pas être trempés. Nous rangeâmes le matériel pendant que les profs s’isolèrent pour parler. Felipe et Esteban virent que nos six collègues s’étaient mis de côté pour parler entre eux. Ça discutait sec apparemment. Finalement, la situation d’hier soir les avait peut-être embarrassés. Ils semblèrent désigner Stephan qui nous demanda de les rejoindre. Une fois que nous fûmes tous les seize réunis, il s’expliqua :
— Nous avons entendu cette nuit tout le monde faire sexe. Même les professeurs.— Oui. Cela vous gêne maintenant ? Si c’est ça, il n’y a pas de problème. Tout le monde sera plus discret voulut les rassurer Liz.— Non, pas de problème pour ça. Hemm.
Stephan réfléchissait aux mots à employer puis se lança.
— Nous avons entendu Elisa dire que Paul enculait elle. Elle a dit en français et en allemand. C’est bien ce que nous comprenons ?— Mmmh, oui. C’est bien ça. Après nous ne sommes pas sûrs du mot allemand pour ça, leur dit Esteban.— Oui, elle a dit c’est sûr.
Stephan voulut passer le relais, il trouvait qu’il en avait assez fait. Jutta prit la suite :
— Mais, elle a juste dit ou elle a fait vraiment ? Vous croyez quoi ?
Je regardais les autres ne sachant trop quoi leur dire. Nous étions tous dans l’expectative avant que Sylvie ne réponde pour nous.
— Nous pensons qu’ils l’ont fait.

C’était une bonne réponse, simple, sans risque.
— Vous croyez elle a aimé ? Et Paul aussi ?— D’après les bruits, c’est sûr.

",Mais, Carine. Tu crois, c’est possible d’aimer par-là ? s’enquit Ida."
— Bien sûr que c’est possible.

La façon de répondre de Carine ne laissa pas planer le doute sur le fait qu’elle l’avait fait. Elle se rendit compte de sa bévue et plaqua sa main sur sa bouche. Mais le mal était fait. Les Allemands ouvrirent de grands yeux et retinrent un cri de surprise.
— Tu as fait ? Avec Felipe ? demanda Wilhelm.— Non, je, non... Oui, bon, j’ai fait.

Je ris intérieurement de Carine qui s’était fait griller bêtement. J’échangeai des regards complices avec Amandine, Olivier ou Germain. Mais nous n’étions pas aussi discrets que nous le pensions, car Svenja nous interpella :
— Mais, vous n’êtes pas surpris. Vous savez qu’ils font ça ?— Oui, nous savons, avoua simplement Germain.— Vous savez ou vous avez fait aussi ? demanda, perspicace, Svenja.— C’est qu’ils sont aussi futés que nous nos copains teutons, pensai-je.
Et puis ils avaient l’air plus intéressés que choqués. Alors je leur dis la vérité, en partie :
— Oui, nous avons tout fait.

Certains me lancèrent des regards noirs, car je dévoilais leur intimité sans leur avoir demandé avant. Mais je ne pensai pas prendre de risque avec les Allemands.
— Oh ! Et, hem, les filles, vous avez aimé ? les interrogea Jutta.— Cette conversation reste entre nous ! D’accord ? exigea Marie.
Les six approuvèrent vivement, tout impatients d’avoir des réponses.
— Bon. Oui, nous avons toutes eu du plaisir. Ça demande de la préparation et d’écouter.

— Ecouter ? Ecouter, quoi ?— Ecouter ce que sent la fille. Si elle a mal ou pas, du plaisir ou pas, précisa Sylvie.— Et vous avez aimé. C’est vrai ?
Jutta avait du mal à y croire. Amandine et Liz durent le répéter deux fois pour qu’elle commence à se faire à cette idée.
— ,Mais, il faut faire si tu as envie. Pas seulement pour faire cadeau à Peter.

Ma petite femme avait raison de rappeler ce point. Germain me fit un signe de tête pour me montrer les garçons. Ils trépignaient sur place, la conversation leur plaisait. Nous étions en train de dire que oui la sodomie pouvait donner du plaisir à la fille. Ils avaient dû fantasmer un max en entendant Elisa et Paul. Ils avaient même sûrement demandé à leurs copines si elles voudraient le faire. Du coup elles devaient chercher à savoir comment prendre des infos là-dessus. Carine leur posa alors une question un peu intime. Mais c’était équitable vu ce que nous avions dit.
— Vous avez pas fait ça. Mais au moins vous faites fellation et cunnilingus ?
Carine ne connaissait pas les termes allemands pour ça donc elle mima ces deux pratiques. Les Allemands se marrèrent devant Carine.
— Oui, un peu, avoua Jutta.
Ils hésitèrent tous à dire franchement qu’ils le faisaient un peu, mais qu’ils ne se sentaient pas à l’aise à le faire ou même à le recevoir pour Svenja et Stephan. Tous deux à cause d’une mauvaise expérience qu’ils avaient vécue. C’était un peu dommage pour eux surtout que Wilhelm et Ida semblaient avoir envie de leur faire ce plaisir. Nous allions poursuivre dans les révélations quand les profs revinrent. Nos copains se fermèrent et cela mit fin à la discussion, pour l’instant. Dieter nous salua et partit.
— Demain soir, nous irons dîner chez Dieter, nous annonça Elisa. Si nous voyons que vous vous comportez bien ! Cela vous donnera une sorte de quartier libre.

— Mais nous pouvons encore changer d’avis, nous prévint Paul.— Nous allons être sages. Cette soirée est importante pour vous. Nous n’allons pas la gâcher minauda Amandine.
Paul et Elisa levèrent un sourcil interrogateur, se demandant si ma copine n’avait pas une idée derrière la tête. C’était sûrement le cas, mais moi non plus je ne savais pas ce qu’elle mijotait. Paul me regarda, mais je haussai les épaules pour toute réponse.
— Vous auriez pu passer à la douche avant le dîner. Au moins une partie d’entre vous, nous fit remarquer Paul.
C’était vrai que nous aurions pu, mais pris dans la discussion nous n’y avions pas pensé. La plupart des filles avaient envie de se doucher tout de suite. Il fut donc décidé que ces dames iraient se doucher pendant que nous préparerions le repas. On intervertirait le lendemain. Nos copines partirent à la douche, mais Paul s’exclama soudain :
— On a dit toutes les filles ! Allez, hop, à la douche !
Et il mit une petite fessée à sa femme en rigolant.
— Paul ! Que vont-ils penser de nous ? Nous devons donner l’exemple !

Mais au lieu d’être fâchée, elle riait, elle aussi. Les jeunes Allemands s’étaient figés un instant, mais devant les rires de tous ils se détendirent et s’amusèrent de la situation. Elisa suivit les filles, elles gloussaient comme des gamines. Paul nous demanda de nous répartir les tâches entre la préparation du repas, la table à mettre et la préparation des vidéos à regarder. Nous les attendîmes quelques instants avant de les voir revenir. Elles arrivèrent prêtes pour la nuit : en chemise comme Amandine ou Svenja, en t-shirt et ou caraco, pyjama court ou long. Finalement chacune, sans peut-être en avoir conscience, mettait en valeur ses atouts. Liz, Elisa et Ida leurs belles poitrines, Amandine, Sylvie et Svenja leurs jolies jambes, Marie, Carine et Jutta la forme de leur silhouette. J’étais subjugué par la beauté de ces jeunes femmes. Je n’avais pas trop eu le temps de les détailler le matin. Là j’eus tout le repas pour le faire.
Et je n’étais pas le seul à me rincer l’œil, les autres garçons en faisaient autant.
— Je crois que ces messieurs apprécient le spectacle. Attention, à ne pas baver dans vos assiettes ! nous nargua Elisa.
D’habitude, cela n’engendrait pas de remarque, mais là avec les Allemands, nous ne pouvions pas être aussi libérés. C’était vrai que nous n’étions pas assez intimes avec eux pour nous permettre ce genre de familiarité. Et eux se sentirent pris en faute également. Mais les filles, Françaises comme allemandes, éclatèrent de rire devant nos visages tout rouges.
— Et Paul ! Tu aurais pu mieux te comporter !

"Oh... Elisa. C’est agréable d’être admirée, lui dit Ida."
— Oui, nous savons comme ça qu’ils nous trouvent belles.— Jutta a raison. Ne les embêtons pas pour ça. Tant qu’ils se content de regarder ça va, décréta Sylvie.
Nous nous détendîmes un peu, mais nous restions un peu ennuyés quand même.
— A la douche ! Ça va vous calmer un peu ! nous lança Carine.
Nous y allâmes sous les moqueries des filles. A notre retour, elles étaient devant la télé, la première cassette de nos interviews prête à être visionnée. Nous étions tous les huit tous plus ou moins avec un caleçon et un t-shirt (court ou long). Je vis que nos copines jetèrent un regard aux différents attributs qui se laissaient deviner à leurs yeux. Cela m’amusa de les voir aussi sans gêne que nous. Paul en profita pour leur en faire la remarque :
— Eh bien, vous êtes comme nous en fait ! Vous ne vous gênez pas pour regarder !
Ida, Jutta et Svenja devinrent cramoisies, mais Olivier vint à leur secours :
— Si ce n’est pas grave que nous regardions un peu. Ce n’est pas grave pour vous non plus.

"Et nous aussi, nous aimons être regardé... dans les yeux, persiffla gentiment Wilhelm."
— Si tout le monde est content, mettez-vous au travail nous pressa Elisa. Vous avez récolté plus d’interviews et il est déjà 21h.

Nous nous mîmes au travail rapidement. En effet, les gens avaient été plus réceptifs à nos demandes. Nous regardions autant l’écran que nos voisins/voisines. Au bout d’un moment, Amandine me chuchota :
— Les Allemandes ont l’air très intéressées par Paul et Germain. Je me demande pourquoi, hi hi hi.— Tu sais très bien pourquoi. Et vous ne vous privez pas de jauger Wilhelm.— Oui, j’avoue. Je me demande si elle est aussi grosse que celle de Germain. Et puis vous matez bien les lolos d’Ida, comme les Allemands matent ceux de Liz et Elisa.— Oui, c’est vrai. Mais nous, on peut se faire une meilleure idée de la chose. Pour vous, il va falloir plus faire marcher l’imagination.— Oh, mais on a des moyens de vérifier...
Elle n’en dit pas plus et posa sa main sur ma cuisse. Elle se mit à me caresser nonchalamment. Mon sexe ne tarda pas à réagir tellement elle pouvait monter haut vers mon entrejambe. Sylvie et Carine virent son petit manège et se mirent à en faire autant à Esteban et Felipe. Tout en continuant à commenter les vidéos, je passai une main dans le dos d’Amandine et lui flattai les reins et le haut des fesses. Liz et Marie s’aperçurent de la manœuvre des autres. Elles les interrogèrent du regard. Amandine désigna d’un coup de tête Germain puis Wilhelm. Elles comprirent le but poursuivi et firent comme leurs copines. Les autres n’avaient rien remarqué ou faisaient semblant de ne rien voir. Marie posa une question anodine, mais suffisante pour que tout le monde la regarde un instant. Svenja, Ida et Jutta découvrirent son petit jeu et celui des autres filles. Leurs yeux s’agrandirent, mais elles ne dirent rien. Elles esquissèrent même un sourire d’envie.
Elles hésitèrent un peu avant de simplement poser leurs mains sur les cuisses de leurs mecs. Puis doucement elles commencèrent à faire parcourir leurs mains dessus. Elles remontèrent finalement assez haut pour provoquer une réaction des sexes de leurs copains.
Ceux-ci parurent gênés par leur émoi. Ils se tournèrent vers nous pour voir si nous les regardions. Mais quand ils virent que nos copines faisaient la même chose, nous mettant dans le même état, ils furent soulagés et laissèrent faire. Ils osèrent même caresser les reins et le haut des fesses de leurs chéris comme nous le faisions. Bientôt Elisa se rendit compte du petit jeu de tout le monde. Et sans paraître l’avoir remarqué, elle flatta aussi son mari. Bien évidemment le sexe de Paul gonfla rapidement. Il voulut cacher son début d’érection, mais Elisa lui murmura à l’oreille quelque chose. Il se tourna vers nous et vit l’état dans lequel nous nous trouvions. Il se rassura et profita de la main de sa femme sur sa cuisse. Son sexe tendit le tissu de son bas laissant deviner les proportions de son engin. Ida, Svenja et Jutta n’en perdirent pas une miette. Même leurs copains furent subjugués.
Donc, toutes les filles caressaient la cuisse (voir un peu plus haut, si elles pouvaient le faire discrètement) de leurs copains. Et ceux-ci avaient la main au creux des reins, et plus sûrement sur le haut des fesses de celles-ci. Cela entraîna une érection de tétons en chaîne. Pour la plupart, elles avaient des hauts qui leur moulaient suffisamment les seins pour qu’on puisse apercevoir leur excitation. Sauf Amandine, Sylvie et Svenja, qui avec leurs chemises de nuits, n’avaient pas les tétons visibles. Je tendis par inadvertance celle-ci, pour voir dans quelle situation se trouvait Amandine. Ses tétons pointèrent sous le fin tissu de coton. Esteban et Wilhelm me virent et firent de même. Sylvie avait une belle poitrine, ce fut facile de voir. Mais Svenja avait de petits seins, Wilhelm dut vraiment plaquer le tissu pour que l’on puisse voir ses tétons.
Il fallut pourtant rester un minimum concentré sur notre travail. Amandine joua avec mes nerfs plusieurs fois quand un de ses doigts vint frôler mes bourses. A chaque fois je me vengeais en glissant un doigt vers son sillon interfessier. Cela nous maintenait dans un léger état d’excitation sexuelle quand même contrôlable. Puis, le travail fut terminé pour ce soir-là, toutes les interviews avaient été visionnées, nous avions sélectionné celles qui nous plaisaient. Et nous en avions assez par rapport à nos besoins. Elisa donna alors le signal de se coucher :
— Vous avez bien travaillé. Maintenant, au lit, les jeunes !

Mais personne ne bougea trop, les garçons n’étaient pas très chauds pour dévoiler leur érection à la vue de tous. Autant, assis on laissait deviner plus qu’on ne montrait. Là, debout, il n’y aurait plus moyen de cacher quoi que ce soit. Quant aux filles, je croyais surtout qu’elles attendaient le spectacle avant de bouger. Paul prit l’initiative d’agir comme si de rien n’était, son mat se serait mis à l’horizontale sans son bas de pyjama. Toutes ces demoiselles furent sous le charme de ce bâton d’amour. Même les Françaises pour qui ce n’était pourtant pas la première fois qu’elles le voyaient.
— Allez, allez. Au lit !

Nous nous décidâmes à nous lever, ces petites cochonnes en profitèrent pour en prendre plein la vue. Les Allemandes ne furent pas moins voyeuses que les Françaises. Même Elisa participa à cette séance de zyeutage. Il y eut des sourires avides, des lèvres pincées de désir. Mais il fallut qu’elles se lèvent aussi. Et quelle ne fut pas ma surprise de distinguer chez Marie, Carine et Ida une légère auréole plus foncée entre leurs cuisses. Je ne fus pas le seul à le remarquer, mais comme personne n’avait ostensiblement relevé nos érections, personne ne pointa le fait qu’elles avaient mouillé. Et puis je sentais bien qu’elles n’étaient pas les seules. Sur le chemin des chambres, je glissai discrètement un doigt dans la culotte d’Amandine pour y tester l’humidité de son intimité.
— Dis donc, tu as mouillé.— Oui, comme toi qui as bandé.— J’ai vu une auréole chez Marie, Carine et Ida. Avec toi ça fait quatre.— Moi je pense l’avoir vu chez Jutta et Elisa. Mais connaissant Liz et Sylvie je me doute qu’elles doivent être trempées aussi.— Et Svenja ? Tu crois aussi qu’elle est comme vous ?— Ça ne m’étonnerait pas.
J’entrai derrière Amandine dans notre chambre. Tous semblèrent d’ailleurs y aller directement. Je me précipitai sur elle, lui arrachant presque son vêtement de nuit. Elle ne se refusa pas à mes assauts, au contraire. Elle voulut me déshabiller rapidement pour prendre ma queue en main. Nos langues se joignirent dans un puissant baiser. Nous ne nous embrassâmes pas de préliminaires après nous être mis nus l’un l’autre. J’allongeai Amandine sur le lit, je relevai ses jambes et les bloquai avec mes bras puis je la pénétrai d’un coup. Elle émit un couinement de satisfaction et elle accrocha ses mains à mes reins. Elle me poussa pour que je suive un rythme rapide. Elle ne voulait pas perdre de temps ! Je la bourrai alors à un rythme effréné, mais ni elle ni moi n’étions dans la démonstration sonore de la veille. En fait, si je percevais divers gémissements et bruits de literie, tout le monde était beaucoup plus discret. De notre côté nous nous activions comme des damnés.
Bientôt je sentis la jouissance arriver, je me plantai au fond du vagin de ma copine et lui emplis de quelques jets puissants. Elle jouit dans un feulement assourdi, mais bien réel. Je me collai à elle et vins la cajoler un moment. Nous entendîmes encore quelques bruits, mais toujours étouffés.
Nous renfilâmes nos affaires pour dormir et nous serrâmes l’un contre l’autre. Amandine baillait déjà de toutes les émotions et les activités de la journée. Je mis quelques minutes à m’endormir que j’employai à imaginer les corps des Allemandes plus en détail : la forme de seins, des tétons, l’épilation totale ou absente, la couleur des poils. Je me surpris à imaginer aussi les garçons : taille et forme des bites, volume des testicules. Je sombrai ensuite dans le sommeil où un rêve me permit de mélanger tous ces corps, français et allemands, dans une farandole sexuelle débridée.
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