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Le projet artistique

Chapitre 52

Apprentissage allemand

Erotique
Maxime narrateur
Le réveil du matin fut encore plus rude que la veille ; et Paul ne nous ménagea pas :
— Debout ! Il est 7h15 ! Debout ! Il est 7h15 !

Amandine s’étira près de moi comme une chatte.
— Tu es belle Am.— Mmmh. Merci Max. Qu’est-ce qui me vaut ce compliment de si bon matin ?— Juste l’envie de te le dire.— T’es un amour. Allez. Debout !
Comme nous avions pris notre douche la veille, nous pensions pouvoir nous habiller directement au lever. Mais avec la partie de "bête à deux dos" de la veille, nous avions besoin a minima d’un bon rinçage. Je voulus y passer rapidement, mais la cabine de douche était occupée par Esteban ou Sylvie. L’eau s’arrêta rapidement et je vis sortir Sylvie. Elle était emmitouflée dans une serviette.
— Oh Max. Vas-y, Esteban est déjà passé.
J’y entrai le temps d’admirer les gambettes de Sylvie. J’entendis un autre loquet et une porte s’ouvrir. C’était en face sur la gauche, Svenja sortait également de la cabine de douche.
Salut Svenja.

— Bonjour Maxime.
Elle tenait une serviette autour d’elle, mais avec sa taille le linge, avait du mal à couvrir sa poitrine et son pubis. Elle se précipita dans sa chambre, mais je pus voir le bas de son fessier. Je pris ma douche avec cette pensée. Je passai sous l’eau claire rapidement et laissai la place à Amandine. Nous allâmes ensuite rejoindre les autres. Carine et Ida arrivèrent les dernières. Tout le monde avait les cheveux humides. Cela ne nous avait pas mis en retard donc le petit-déjeuner fut plus agréable. Mais nous dûmes quand même couper court à nos discussions au bout d’un moment.
C’était un peu bizarre, car nous faisions des choses avec nos copines et copains, tout le monde le savait, mais nous évitions le sujet soigneusement ensuite. C’était un peu dommage. Et tel que je connaissais Sylvie, elle devait fulminer. Mais il valait mieux que ce soit Liz ou Olivier qui amène le sujet. Ils avaient tous deux une façon de faire plus douce, moins frontale, mais qui amenait au même résultat. Pour l’instant, ils n’étaient pas décidés à le faire donc il faudrait remettre cela à plus tard. Il était bientôt l’heure de partir.
La matinée se passa comme les précédentes et à partir de 15h, nous étions libres. Une fois qu’on s’y était fait, c’était un rythme plutôt confortable, je trouvais. Pour ce jour-là, nous n’avions pas à aller loin, car nous tournions des scènes dans l’appartement de fonction du directeur du gymnasium. Nos amis allemands avaient d’ailleurs prévu des vêtements qu’ils avaient empruntés à leurs parents et qui mettraient le tournage parfaitement dans l’ambiance. En outre, quand nous découvrîmes l’intérieur du logement, nous comprîmes que l’impression d’être dans les années 70 serait idéalement retranscrite. Carine, Esteban, Olivier et moi installâmes les caméras et les micros. Amandine, Stephan, Ida et Peter allèrent se changer dans la chambre. Je fus un peu étonné qu’ils y aillent tous les quatre ensemble. Je savais qu’il n’y aurait pas de geste déplacé ; nous étions tous beaucoup plus à l’aise les uns avec les autres. Ils ressortirent et Amandine avait les joues toutes rouges.
Finalement, il s’était passé un truc. Je ne pus lui demander avant qu’ils commencent à jouer leurs textes. Ils tournèrent plusieurs scènes dans la cuisine. Ils avaient tous bien appris leurs textes donc il n’y eut pas de trou de mémoire. Cela n’empêcha pas quelques fous rires. Ils demandèrent à faire une pause, car ils fatiguaient un peu. Nous pensions leur faire tourner toutes leurs scènes d’un coup, mais jouer pompait de l’énergie.
Nous changeâmes alors nos plans pour que l’autre famille allemande tourne aussi : Svenja, Wilhelm, Jutta, Germain, Felipe. Ils se changèrent aussi, mes potes en ressortirent avec un petit sourire en coin.
— Putain, il se passe quoi là-dedans ? me demandai-je.
Je pus prendre à part ma copine pour lui demander alors que les autres commençaient dans le salon leur première scène.
— Il se passe quoi ? Toi, Fil et Gégé, vous ressortez tout bizarres de là.— T’inquiète pas. Je te dirai après. Mais ça devrait te plaire.
Amandine me laissa planté comme un couillon me demandant ce qu’il se tramait. Liz et Carine s’étaient aussi intéressées à la tronche bizarre de leurs copains. Elles me parurent aussi perdues que moi. Néanmoins, nous fîmes bonne figure et travaillâmes comme les autres. Eux aussi s’étaient bien préparés, il n’y avait aucune erreur de texte, mais aussi quelques scènes qui finiraient sûrement dans le bêtisier. Vers 19h, le directeur passa nous voir. Il nous demanda si tout se passait bien, s’il nous fallait quelque chose. Elisa lui répondit que non, nous n’avions besoin de rien. Il en avait déjà fait beaucoup de son côté. Il parut aimer qu’on ait remarqué ses efforts. Paul lui demanda juste une chose quand même :
Nos élèves voudraient préparer un repas français pour la fin du séjour.

"Vous avez besoin de nourriture en plus ?""Non, juste, sauriez-vous où nous pourrions trouver du vin ?""Vous allez faire boire du vin à mes élèves ? s’étrangla-t-il."
Ah, ah, ah. Non, c’est pour le plat, ça mijote longtemps dans le vin. Il n’y a plus une goutte d’alcool à la fin.

"Ah, je vois, je vois. Je crois que je connais : bœuf bourignon ?"
Bourguignon. Mais oui c’est bien ça. Vous connaissez bien en effet.

"Merci. Je vous écris une adresse où vous pourrez trouver un choix d’alcool varié."Le directeur écrit l’adresse sur un bout de papier et le donna à Paul. Nous sortîmes de son appartement et retournâmes dans notre logement. Arrivés là, Paul et Elisa nous dirent qu’ils partaient bien voir Dieter. Celui-ci n’avait pu être avec nous l’après-midi. Ils nous rappelèrent qu’ils nous faisaient confiance et qu’ils espéraient qu’ils ne se trompaient pas en nous l’accordant. Les filles réussirent à lever leurs dernières inquiétudes. Ils prirent une douche tous les deux pendant que les garçons prirent la leur avant le dîner. Les filles rangèrent le matériel, préparèrent le repas et mirent la table, comme nous l’avions fait la veille. Paul et Elisa firent une fois encore des recommandations puis nous laissèrent.Une fois parti, je pris Amandine à part :
— Alors ? Tu vas enfin me dire ce qu’il se passe ?— Après le dîner, promis.
Je levai les yeux au ciel, mais cédai à ma copine. Mais je me consolai en voyant Liz et Carine trépigner d’impatience aussi. Qu’est-ce qu’ils avaient bien pu se dire dans ce vestiaire improvisé ? La question tourna dans ma tête tout le repas. Les filles partirent à la douche, nous laissant tout ranger et nettoyer. Quand elles revinrent, nous nous installâmes dans la salle de repos, comme si nous allions visionner les séquences tournées l’après-midi. Par contre, je savais que cela n’allait pas être la première de nos tâches du soir. Je voulais mon explication !
Heum, les copains allemands nous ont parlé, Olivier, Felipe et moi. Voilà, euh, ils ont compris que nous avions reçu de l’aide pour améliorer nos pratiques. Surtout quand on a parlé de la sodomie.

"Ils ont plus ou moins un blocage au niveau cunnilingus et fellation, ou peu de pratique poursuivit Olivier."
Ils voudraient des conseils ou une démonstration.

Les six Allemands regardaient leurs pieds qui avaient gagné une attirance soudaine. Le rose leur était monté aux joues également. En même temps, je pouvais les comprendre. Faire cette demande à des gens qu’on ne connaissait pas depuis longtemps était difficile. Personnellement, je ne voyais pas le problème de donner des explications et des conseils. Après, faire une démo... Mais ma bite tressauta entre mes jambes pour me signifier que l’idée lui plaisait.
— C’est pas toi qui commandes, pensai-je.Je ne vois pas de problème pour donner des conseils dit Marie. Avec Germain, nous l’avons fait cet été.

Marie raconta leur aventure estivale.
Oui, nous pouvons donner des conseils, c’est sûr approuva Sylvie. Par contre la démonstration, je ne sais pas.

"Commençons pas des conseils, nous verrons ensuite, décréta Felipe."En fait, ce n’était pas simple du tout à faire. Nous avions un bon ou très bon niveau d’allemand et eux parlaient assez bien le français, mais il nous manquait à tous les bonnes expressions, les mots imagés qui auraient permis de faire passer les idées d’une langue à une autre. C’était Elisa qui aurait dû faire cette explication ! Nous, nous galérions comme pas possible. Chacun y mettait de la bonne volonté, mais ça ne matchait pas. Je voyais Stephan et Svenja perdre espoir de se débloquer malgré le désir de Wilhelm et d’Ida de leur faire plaisir.
Bon, euh, il va falloir faire des démonstrations, dit doucement Carine.— J’ai bien entendu ? s’exclama Felipe.— Oui, on ne va pas les laisser comme ça. Ils ont demandé de l’aide. Et puis depuis quand tu rechignes à avoir une pipe ?— Je n’ai pas dit que je refusai. Mais euh, je serai plus à l’aise si on n’était pas les seuls.— Sylvie, on accompagne mon frère et Carine ?— Heu, je ne sais pas... Je vais avoir trop l’impression de me donner en spectacle.— Faudrait que tout le monde soit au même niveau, pensa Marie.— Même niveau ? Tu veux qu’on le fasse tous ? Mais s’ils le font, on ne va pas pouvoir beaucoup les aider, rétorqua Germain.— Heu, même niveau, je pensais tout le monde tout nu déjà.— Du coup, on fait, quoi ? demandai-je.— Moi je serais d’avis de le faire. J’bande un peu déjà, avoua Olivier.— Moi aussi, un peu, ajouta Germain.— J’avoue que je mouille un peu aussi, nous dit Sylvie.— On leur propose alors ?— Oui, Mimi, répondit Amandine.
Les Allemands nous regardaient les sourcils froncés, nous parlions en français, nous parlions vite et pas forcément dans un langage soutenu. Ils n’avaient rien compris et se disaient sans doute que cela allait en rester là.
Bien, hem, nous voulons bien faire une démonstration.

Des sourires apparurent sur leurs visages, mais ils disparurent un peu quand Marie leur dit la suite :
,Mais nous ne sommes pas là en spectacle. Nous allons montrer et vous allez faire aussi ensuite. Et tout le monde tout nu dès le début.

Ils se mirent à parler entre eux en allemand, à toute vitesse et en utilisant sûrement de l’argot ou des raccourcis, car nous n’y comprenions rien. Mais ça discutait sec. Finalement, ils arrivèrent à une position commune aux hochements de tête que je voyais. Peter prit la parole :
— Nous sommes d’accord. Mais pas les Français d’un côté et les Allemands de l’autre.
C’était honnête comme demande alors nous acceptâmes. Il y aurait un groupe avec Jutta/Peter, Sylvie/Esteban, Marie/Germain, Liz/Olivier et l’autre avec Svenja/Wilhelm, Ida/Stephan, Carine/Felipe, Amandine/Maxime. Cela satisfaisait le groupe, mais personne ne bougea pour se dévêtir en premier. Germain et Peter enlevèrent leur haut et les autres garçons les imitèrent. Je pensai que cela allait débloquer la situation, mais personne n’alla plus loin. Sylvie et Amandine retirèrent leurs chemises de nuit, les laissant en petite culotte et les seins à l’air. Les autres filles hésitèrent un peu, mais finirent par se mettre dans la même tenue.
Je restai en arrêt un moment à admirer les seins de ces demoiselles. Les Allemandes avaient commencé par cacher leurs seins avec leurs mains, mais devant le naturel de nos copines, elles les avaient laissés visibles. Svenja avait de petits seins tout ronds avec une aréole assez foncée. Ida avait des seins assez gros, presque comme ceux de Liz et légèrement tombant. Enfin, Jutta avait des seins, on aurait dit les jumeaux de ceux d’Amandine. Le temps resta suspendu un instant, personne ne bougeait ni ne respirait. Olivier, Esteban, Felipe, Stephan mirent leurs mains sur l’élastique de leurs bas puis commencèrent à le baisser. Le reste des garçons leur emboîtèrent le pas. Nous découvrîmes nos verges aux yeux des filles. Elles regardèrent toutes l’état dans lequel nous étions, du coin de l’œil et discrètement, mais elles regardèrent bien. Aucun de nous ne bandait vraiment alors. Néanmoins, nous n’avions pas de petits escargots rabougris non plus.
Cela me permit de jauger Wilhelm par rapport à Germain : les deux semblaient de taille comparables. Je regardai ensuite Stephan et Peter, ils me paraissaient avoir des sexes de taille normale, comme moi ou Olivier. Nos copines n’en perdirent pas une miette. Toutefois, il fallait bien qu’elles se dénudent aussi. Amandine, Sylvie, Ida posèrent leurs doigts sur leurs culottes. Elles s’encouragèrent et motivèrent les autres d’un petit :
— Allez les filles ! On y va !
Amandine et Sylvie poussèrent leurs culottes vers le bas. Ida, Carine et Liz les suivirent de près. Marie attendit Svenja et lui sourit pour lui donner du courage et lui signifier qu’elles étaient toutes là avec elle. En fin de compte, elles enlevèrent toutes les huit leurs dernières barrières de pudeur. Je n’avais plus vu les filles nues depuis le week-end de l’Ascension. Amandine avait laissé pousser ses poils depuis la fin de l’été, mais son pubis restait bien taillé. Sylvie et Liz avaient conservé leur épilation intégrale. Marie et Carine avaient repris des poils, mais semblaient se faire épiler le maillot et gardaient les poils assez courts. Ida avait les poils aussi blonds que ses cheveux. Elle devait les tailler aux ciseaux, car c’était court, mais cela allait vers son aine. Jutta avait une toison fournie, mais peu étendue. Ça lui faisait comme une pelote au niveau du sexe. Enfin, pour Svenja, la grande brune, c’était la forêt vierge.
Il fallait dire que les salons d’esthétique ne couraient pas les rues et que ce n’était pas rentré dans les mœurs est-allemandes.
— Oh, c’est joli comme cela, dit Svenja en regardant Sylvie.Tu pourras essayer une autre fois.
De voir tous ces corps nus avait réveillé Popaul. Mon sexe commença à se gorger de sang et à se redresser. Peter et Stephan furent plus rapides que moi ; ils bandèrent les premiers, affichant des sexes de taille tout à fait respectable. Le mien et celui d’Olivier suivirent peu après. Les jumeaux furent en érection pile au même moment. Germain et Wilhelm mirent un peu plus de temps, il y avait plus de volume à remplir de sang.
Je crois que nous plaisons à ces messieurs, commenta Marie.— Oui, vous êtes toutes très jolies, confirma Peter.— Bien, ne perdons pas trop de temps. Commençons ! nous pressa Amandine.
* * *


Felipe, Peter, Germain et Olivier s’installèrent sur des chaises. Leurs copines se placèrent à genoux devant eux. Jutta avait le feu sur les joues tellement elles étaient rouges. A côté d’elle, Marie et Liz lui parlèrent doucement.
Regarde, nous commençons. Tu feras après nous.

Marie et Liz empoignèrent les sexes de Germain et d’Olivier. Elles firent coulisser leurs mains sur les colonnes de chair tout en douceur. Elles regardèrent Jutta, attendant qu’elle fasse de même.
Aller Jutta. Faisons-le toutes les deux, lui proposa Carine.
Jutta accepta, elles prirent possession des bites de Felipe et de Peter. Elles les masturbèrent doucement. Ensuite, Liz malaxa les couilles d’Olivier pendant que Marie ajoutait son autre main autour de l’imposant mate.
Là, elles commencent déjà à adapter ce qu’elles font au garçon. Essaye différentes choses et regarde comment réagit Peter, expliqua Amandine.
Jutta essaya les trois tout en regardant Peter, il réagit le mieux à la caresse sur les couilles.
Peter, tu peux lui dire plus directement si tu aimes ou pas.

"D’accord Felipe."Jutta branlait bien son copain, faisant bien coulisser le prépuce autour du gland. Bien qu’il devait trouver cela fort agréable, le but de l’exercice n’était pas la branlette. Liz et Carine prirent en bouche la queue de leurs chéris. Elles suçotèrent le gland, firent tourner leurs langues autour puis avalèrent le chibre sur une bonne longueur. Jutta les regardait faire, envoûtée par ce qu’il se passait autour d’elle. Marie la ramena sur Terre et lui dit :
— A toi. Ensemble si tu veux.
Jutta se plaça au-dessus de la bite de Peter, elle inspira un coup puis se lança. Elle goba un peu brusquement la verge, ce qui fit sursauter Peter. Sylvie s’approcha et lui dit :
Doucement. C’est fragile.

"Je sens tes dents Jutta.""Regarde, mets bien ta bouche comme ça, lui montra Marie qui commença sa pipe sur Germain."Elle changea sa position et un air satisfait apparut chez Peter. Jutta allait déjà assez vite dans sa fellation, Sylvie lui conseilla de ralentir, il n’y avait rien qui pressait.
Oh, c’est mieux, souffla Peter.— Et tu as une langue aussi, rappela Carine à côté.
Elle la fit tournoyer autour du sexe de Felipe lui arrachant quelques gémissements. Jutta imita sa voisine, ce qui déclencha aussitôt les mêmes gémissements chez Peter. A ce rythme, il n’allait pas tarder à tout lâcher.
Peter, respire lentement, écarte bien les jambes et pense à autre chose, lui dis-je. Les gars, montrez-lui.
Olivier, Germain et Felipe firent la démonstration de cette technique. En même temps, Sylvie prodigua de nouveaux conseils :
Quand c’est comme ça. Fais autre chose pour baisser son excitation. Le reste de ça, de son truc est moins sensible. Ses boules aussi. Tu peux même faire une petite pause.

Jutta s’exécuta en allant léchouiller les couilles de Peter. Celui-ci respirait profondément depuis une vingtaine de secondes. La tension de son visage disparut peu à peu. Jutta reprit alors sa fellation. Par contre, nous n’avions pas toute la soirée. Je leur rappelai le temps que nous avions devant nous. Les quatre filles reprirent de plus belle leur suçage de bite.
Tu n’en as pas besoin aujourd’hui. Mais quand ça a du mal à venir, tu peux lui mettre le bout du doigt dans le... Ça fait venir plus vite les garçons. Et certains aiment bien ça en plus.

Je vis de l’étonnement chez les Allemands. Ils comprenaient bien que nos copines nous mettaient une petite olive de temps en temps. D’ailleurs, je pris le temps de regarder les autres. Ils étaient plus qu’attentifs à la leçon. Wilhelm et Stephan bandaient durs, Svenja et Ida avaient les poils de chatte un peu humides aussi. Esteban matait le spectacle en se branlant doucement. J’avais moi-même ma main sur mon sexe. A mes côtés, Amandine frottait ses cuisses l’une contre l’autre. Sylvie tout à côté des filles leur aurait bien passé une main entre les jambes. Mais elle se retenait visiblement de peur, sans doute, d’aller un peu trop loin pour les Allemands. Mais c’était vrai que ces quatre croupes étaient tentantes.Bientôt, nous entendîmes des râles plus forts venir des garçons. Ils n’allaient pas tarder à jouir. Sylvie donna un dernier conseil sous forme de question :
Tu sais ce que tu vas faire quand il va tout lâcher ?

Jutta fit non de la tête.
Peter, préviens-la bien avant. Et toi Jutta, ne te force pas à faire un truc que tu ne veux pas faire. Avaler si tu veux, prendre en bouche puis cracher après, le finir à la main... Fais ce que tu veux. C’est toi qui décides.

Sur ce, Sylvie se recula et vint se serrer contre Esteban. Nous nous attendions à ce que Peter vienne le premier, mais ce fut Germain qui se vida d’abord. Marie le pompa jusqu’à la dernière goutte et se pourlécha les babines en avalant sa récolte. Puis ce fut Olivier qui, dans la bouche de Liz, déversa un flot plus abondant que d’habitude chez lui. Elle fut surprise, un peu de sperme déborda. Mais elle le rattrapa d’un coup de langue. Puis Peter avertit sa copine que le moment fatidique arrivait. Mais elle ne se démonta pas et continua son travail jusqu’au bout. Elle eut un mouvement de recul quand le premier jet frappa son palais, mais elle se reprit et garda la bouche bien fermée autour du membre éjaculateur. Elle se demanda ce qu’elle allait faire de tout ça puis se décida à l’avaler avec une grimace. Celle-ci disparut pour un air étonné : "En fait ça va." Felipe se lâcha enfin et Carine put se délecter de son nectar.
Les quatre filles nettoyèrent les sexes de quelques coups de langue puis se relevèrent. Mes potes attirèrent leurs copines à eux pour un baiser passionné. Peter fit comme eux et fit une drôle de tête quand sa langue entra dans la bouche de Jutta. Il devait y avoir encore le goût de son sperme dans l’orifice de sa copine. Néanmoins, tout à son excitation, il n’en poursuivit pas moins son baiser.
Après quelques secondes ainsi, ils échangèrent leurs places. Les filles écartèrent largement leurs cuisses. On voyait bien toute l’humidité qui s’en échappait. Les garçons s’approchèrent de leur gourmandise et vinrent laper le jus qui en suintait. Elles réagirent tout de suite en émettant de légers couinements. Peter semblait bien se débrouiller, pas aussi bien que les Français, mais pas mal quand même. Avec Esteban, nous ne lui donnâmes qu’un conseil, écouter plus les réactions de sa copine et varier le rythme. En plus, il avait les bras assez longs par rapport au corps de Jutta pour lui pincer un peu les tétons. Elle apprécia cela, mais elle préférait visiblement se le faire elle-même. Et elle n’y allait pas de main morte. Pinçant et étirant ses seins à les faire rougir. A ses côtés, Carine, Liz et Marie étaient aussi en plein ravissement. Là, je connaissais l’habileté de leurs copains et n’en fut pas étonné. Puis Amandine me fit remarquer la chose suivante :
— Regarde la vitesse de sa langue.
Je me déplaçai un peu et vis qu’en effet, la langue de Peter virevoltait à une vitesse vertigineuse. Je fus impressionné par son talent en la matière. Cela devait être terrible pour Jutta, terriblement bon. Les filles qui avaient vu cela, toutes bien sûr, durent envier Jutta à ce moment-là. D’ailleurs, fut-ce à cause de cela ? Ce fut Jutta qui jouit la première en s’arquant fortement sur sa chaise. Elle faillit glisser avant d’être rattrapée par Peter. Puis Carine et Liz se lâchèrent sous les assauts de Felipe et d’Olivier. Marie fut un peu plus longue à venir. Germain employa aussi ses doigts pour parvenir à ses fins. Liz et Carine embrassèrent leurs copains. Jutta hésitait à goûter à sa propre mouille, mais comme Peter avait eu le goût de son sperme elle se décida et lui roula une pelle d’enfer. Marie et Germain se bécotèrent gentiment dans leur coin.
* * *


C’était à notre tour à présent. Et j’avais hâte de me faire sucer, je devais dire. Les ébats des autres m’avaient mis dans un sacré état. Je m’installais sur la gauche, Wilhelm à côté de moi, puis Stephan et Esteban. Nos petites femmes se placèrent entre nos jambes. Stephan stressait, c’était clair.
Ça va aller Stephan, lui dit Olivier.Oui mon amour. Ça va aller. Et regarde comme tu es excité.

Ida avait raison, le sexe de Stephan bandait aussi fort que les autres. Liz vint près d’Ida et lui dit de d’abord caresser le haut des cuisses de Stephan en remontant jusqu’à l’aine. Celui-ci se détendit sous ce massage. Pendant ce temps, les autres nanas avaient pris en main les chibres de leurs copains et les branlaient tranquillement. Elles attendaient Stephan et Ida. Celle-ci finit par empoigner la queue de son chéri. Il gémit de plaisir quand les doigts fins se refermèrent sur son vit. Elle le masturba lentement et avec délicatesse. Il s’agissait de ne pas le brusquer. Elle tenta de s’occuper de ses couilles, il se raidit puis se relâcha quand il ressentit la douceur du geste. Je pensai que le faire passer dans le deuxième groupe était vraiment la bonne solution. Voir les autres avant l’avait sûrement mis dans un état d’excitation avancé. Il serait plus réceptif aux caresses d’Ida. Amandine et Sylvie commencèrent à nous sucer doucettement, rapidement imitées par Svenja.
Les bruits de succion attirèrent le regard de Stephan, il se focalisa un moment sur ses voisins. Ida en profita pour venir le pomper.
Reste calme Stephan, lui dit Germain. Profite des sensations.

Stephan ferma les yeux un instant, les rouvrit pour regarder les autres puis les laissa fermés.
Ah oui. Ida.
Stephan se libérait un peu. Néanmoins, il restait toujours sur la réserve. Ida avait encore du travail à faire pour le libérer complètement.
C’est bien Ida. Tu fais ça très bien.

Marie avait raison de lui faire ce compliment. Elle aurait pu douter de ses qualités. Les filles entamèrent la phase suivante de leur pipe. Elles augmentèrent le rythme petit à petit. Moi je prenais mon pied comme d’habitude, même mieux que d’habitude. Vraiment, j’aimais faire des trucs avec mes copains et copines autour de moi. Et qu’eux participent aussi. Esteban aussi était en pleine extase, pour avoir testé les compétences de Sylvie, je savais ce qu’il pouvait ressentir. Quant à Wilhelm, il ne disait pas grand-chose. Je l’observai un peu et compris qu’il était en train d’essayer de faire baisser la pression. Svenja lui léchait la hampe en évitait le gland trop sensible. Quand il réussit à se contrôler, il posa doucement sa main sur la tête de sa copine et elle reprit son œuvre.
Ida allait maintenant aussi vite que nos copines. Stephan encourageait sa copine à poursuivre. Il avait mis du temps, mais il semblait maintenant complètement dedans. Soudain, il parut redevenir inquiet, Liz le rassura :
Stephan laisse Ida faire. Ne t’inquiète pas. Elle sait quoi faire.

Liz lui posa affectueusement une main sur le cœur, Stephan s’apaisa. Ida continua alors sa fellation pour l’amener à son terme.
Stephan, n’oublie pas de prévenir Ida.

Liz lui parlait doucement pour ne pas le sortir de son état. Sur un signe de Stephan, Ida sut que cela allait venir. Elle le pompa avec plus d’ardeur. Bientôt, il se cabra et se vida sur la langue d’Ida. Celle-ci réussit à tout garder en bouche. Elle avala en faisant une tête bizarre. Tout cela m’avait fortement excité, je me lâchai à mon tour. Amandine reçut sa friandise avec plaisir. Tout comme Sylvie à l’autre bout. Esteban râlait sous les derniers coups de langue de sa copine. Enfin, Wilhelm se laissa aller en Svenja. Elle ne rechigna pas à garder le jus de son copain dans son orifice buccal. Elle semblait le savourer avant de l’avaler. Elles se redressèrent et nous embrassèrent. Même Stephan se laissa faire, il était un peu KO par sa jouissance.
Je suis vachement salé en fait ! s’exclama-t-il.
Il nous dit plus tard que la première fois qu’une fille l’avait sucé, il n’avait pu la prévenir à temps. Elle avait fort peu apprécié cette surprise, surtout que le goût était très particulier. Elle l’avait un peu pourri ensuite. Depuis, il ne se laissait plus sucer jusqu’au bout de peur d’avoir la même réaction. Mais Ida lui répondit avec humour :
Je vais devoir commencer un régime sans sel. Je ne compte pas m’arrêter là.

Nous échangeâmes nos places. J’avais hâte de faire plaisir à ma chérie. Elle le méritait bien. Je plongeai rapidement entre ses cuisses et lui titillai le clitoris. Mais elle me retint un peu, avec le blocage de Svenja, il valait mieux que j’évite de me comporter en sauvage. Wilhelm déposa de petits bisous sur les cuisses de Svenja, en remontant vers son antre d’amour, sur les conseils d’Olivier. Stephan avait à cœur de remercier Ida de ses efforts, Esteban broutait délicatement Sylvie. Wilhelm en arrivant sur le Mont de Vénus de Svenja, choisit d’en faire le tour et d’embrasser le bas de son ventre, juste au-dessus du pubis. Svenja aimait, mais était un peu sur la défensive. Liz l’incita à se titiller les seins.
,Mais ils sont si petits.

"Je suis sûre qu’ils sont bien sensibles quand même."Liz n’hésita pas à faire rouler un téton de Svenja entre ses doigts. Celle-ci émit un profond gémissement. Et entreprit de le faire elle-même. Wilhelm en profita pour venir déposer ses lèvres sur les lèvres vaginales de Svenja. Elle tressaillit un peu, mais se laissa faire. Wilhelm était tout doux avec elle, il avait vraiment envie de lui faire ce plaisir. De mon côté, je pus m’employer un peu plus librement sur la chatte d’Amandine. Elle me posa les mains sur la tête et me plaqua contre son sexe. C’était qu’elle voulait aller vite, il me sembla. Je préférai la faire languir un peu.
— Oh oui, Seb, plus haut. Ouiiii.N’oubliez pas que si les garçons peuvent indiquer ce qu’ils veulent. Vous pouvez et devez le faire aussi, leur rappela Marie.Stephan, plus vite. Oui, oui.

Svenja ne dit rien, mais incita Wilhelm à descendre un peu. Il s’exécuta et elle râla de plaisir. Nos copines semblaient pressées d’en finir, elles étaient les dernières à passer. Voir tout le monde jouir et pas elles les avaient mis dans un terrible état de frustration. Amandine et Sylvie ne tardèrent à s’arc-bouter sur leurs chaises en couinant légèrement. Ida les suivit de près en ronronnant comme une chatte. Nous allâmes embrasser nos chéries, leur faisant profiter de leur propre jus. Svenja était toute proche, mais semblait se retenir. Olivier se mit derrière elle et lui murmura à l’oreille :
Laisse-toi aller. Wilhelm est là pour toi, pour ton plaisir.

Il lui massa la nuque en un geste doux et sensuel. Svenja fondit sous ses doigts et son corps se relâcha complètement. Wilhelm put alors finir son travail. Quelques secondes plus tard, le corps de sa copine se tendit pour les bonnes raisons cette fois. Nous fûmes tous surpris par l’inondation que sa jouissance provoqua. Plusieurs jets furent expulsés de sa chatte, aspergeant le visage et le haut du corps de Wilhelm. Il ne s’attendait clairement pas à cela. Svenja, une fois remise de son orgasme, était morte de honte.
Mon Dieu, je t’ai pissé dessus ! Je suis désolée.

Carine récolta du liquide sur le sol et le sentit. Puis elle le goûta :
Ce n’est pas du pipi. C’est bien de...

"Cyprine ? traduisit Jutta."
Oui. Tu es une femme fontaine, expliqua Carine.
Nous eûmes un peu de mal à trouver la traduction "officielle". Eux ne savaient pas que les femmes pouvaient faire cela.
,Mais tu ne fais pas ça quand on baise ?!

"Je jouis, mais moins fort. Mon premier copain s’était emporté contre moi, m’accusant de lui avoir pissé dessus."Bien sûr, elle n’avait pu expliquer le pourquoi du comment de la chose. Alors elle s’était elle-même bloquée par rapport au cunnilingus.
Bah, la prochaine fois, je préparerai une serpillère, plaisanta Wilhelm.
Ils s’embrassèrent tendrement puis nous firent face. Les Allemands nous remercièrent de notre aide et de nos conseils.Chacun alla se débarbouiller un peu et se rhabilla. Nous nous mîmes ensuite au travail, il n’était pas si tard en fait. Nous étions en train de visionner les scènes tournées ce jour-là quand Paul et Elisa arrivèrent. Ils nous demandèrent si tout s’était bien passé.
— Oui, tout s’est bien passé, leur répondit Svenja.
Ils firent quand même une drôle de tête. Je compris que la pièce puait le sexe à plein nez. Ils n’étaient pas dupes d’une partie de l’activité que nous avions eue dans la soirée, mais choisirent de ne rien dire. Ils se posèrent avec nous et regardèrent les vidéos. Vers 23h, ils nous enjoignirent de nous mettre au lit.Je me couchai près d’Amandine. Il n’y avait pas un bruit, personne ne semblait vouloir remettre le couvert. Pas même Paul et Elisa. Avaient-ils fait des choses chez Dieter ? Je m’endormis avec cette idée en tête. J’en rêvai la nuit, les imaginant forniquer tous les quatre ensemble, s’échangeant leurs partenaires au gré des envies.
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