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Le projet artistique

Chapitre 53

Désir

Divers
Maxime narrateur
Comme depuis le début du séjour, le réveil était assuré par Paul. Nous nous levions bon gré mal gré. La routine était la même. Seulement ce matin avait ce quelque chose de différent qui planait dans l’air. Je craignais un peu la réaction des allemands. Nous les avions emmené dans des contrées qu’ils ne pensaient pas découvrir en venant dormir dans le centre de vacances. Quand j’arrivai dans le réfectoire avec Amandine, ils étaient déjà là. Ils semblaient contents. Alors que nous ne faisions la bise qu’aux français le matin, nos amis allemands s’y mettaient aussi. Décidément, ils avaient l’air d’avoir apprécié la soirée de la veille.
Elisa et Paul nous regardaient d’un œil mi amusé, mi suspicieux. Ils se demandaient clairement ce qui était arrivé. Comme tout le monde tenait sa langue, ils ne pouvaient faire que des suppositions pas forcément fausses, vu comment ils nous connaissaient. Mais moi aussi je les connaissais, ainsi que Dieter, Hanna et Gitta. J’imaginais mal qu’il ne se soit rien passé chez le frère d’Elisa. Il faudrait que j’en ai le cœur net. Amandine me titilla sur ce point alors qu’elle était aussi curieuse que moi. Je savais, en lisant dans leurs regards, que mes copains et copines français avaient le même questionnement que nous. Il faudrait que nous en ayons le cœur net d’ici la fin du séjour, le jour même si possible. Néanmoins, la conversation allait bon train quand Jutta posa une question anodine à Elisa :
— Tu n’es plus malade ?Mais je n’étais pas malade. Pourquoi me poses-tu cette question ?

— Tu prenais un médicament les jours précédents.Oh, oui, non. Enfin, le traitement est fini en fait.

Je ne comprenais pas trop de quoi elle parlait mais ma chérie me souffla la réponse à l’oreille :
— Les gouttes venaient de chez Dom.
Bien sûr, en même temps cela faisait presque cinq mois qu’elle les prenait. Elisa expliqua rapidement ses mésaventures avec sa hanche jusqu’à ce qu’elle tombe sur Dom et ses miracles de rebouteux. Elle nous dit à cette occasion qu’elle ne souffrait plus du tout. Longtemps, elle avait craint de devoir passer sur le billard mais là elle ne pensait plus en avoir besoin. Peter raconta qu’il connaissait lui aussi un rebouteux dans un coin de campagne paumé. Mais son rebouteux à lui, c’était la caricature du rebouteux : vieux, acariâtre, vivant dans une vielle maison fatiguée. Du moins, était-ce là, l’image que je m’en faisais. Peter nous dit que son père y était allé une fois pour soigner une simple entorse mais que le vieil homme lui avait trouvé un début de cancer des poumons. Le père de Peter n’avait pas voulu y croire mais avait passé des examens, dans le doute. Ceux-ci avaient révélé une tâche dans ses poumons. Elle était encore petite et assez bégnine.
Une chimiothérapie, quelques rayons et il avait été guéri en quelques mois.Il fut bientôt l’heure de partir, nous nous préparâmes et sur le chemin vers le gymnasium j’exprimai mes doutes à Paul.
— Paul. Vous n’avez pas baisé avec Elisa hier soir ?— Non, et alors ? Vous non plus.— En même temps, tu sais très bien que nous avons eu une certaine activité sexuelle pendant votre absence.— Moui, on s’en doutait.— Du coup, on en a déduit qui si vous n’aviez pas fait l’amour dans votre chambre hier soir c’est que vous aussi vous aviez eu une activité plus tôt dans la soirée. Chez Dieter par exemple.— Ah, je vois. Vous jouez les Sherlock Holmes.— Alors ?— Peut-être que oui. Peut-être que non.— OK, je vois. Je ne veux pas savoir ce que vous avez fait en détail. Juste si vous avez fait un truc.— Et rien ne m’oblige à te répondre. Ce qui se passe en dehors de notre petit cercle n’est pas sous le coup de notre accord de tout se dire.
J’enrageai un peu face à ce mur de silence. Ils nous avaient habitué à être plus loquaces. Nous arrivions dans l’établissement, je devais remettre mon interrogatoire à plus tard. C’était frustrant cette histoire. Avant de rentrer en cours, j’appris que Carine et Sylvie avaient questionné Elisa sans rien tirer non plus. Je fis le point rapidement avec les autres français, nous nous dîmes alors qu’il faudrait continuer à les travailler au corps pour qu’ils lâchent le morceau. Nous étions tous les huit persuadés qu’ils avaient fricoté dans la soirée : chez Dieter et Hanna, peut-être avec eux ou en leur présence, sinon pourquoi pas sur le chemin du retour, vu qu’ils aimaient baiser dans des endroits insolites. Evidemment, les allemands n’étant pas idiots, ils s’aperçurent qu’il y avait quelque chose qui clochait. Nous leur avouâmes ce qui nous tourmentait, en évitant toutefois de parler de la possibilité qu’Elisa ait pu faire des trucs en présence de son frère ou avec lui.
Simplement, nous leur révélâmes que nous pensions qu’ils avaient pu baiser à l’aller ou au retour, mais où ?Ce furent les jumeaux, Germain, Marie, Peter et Stephan qui, en sortant d’un cours de Maths juste avant la pause déjeuner, qui eurent le fin mot de l’histoire. Paul finit par craquer, avec l’accord de sa femme, et leur raconta rapidement un résumé de leur soirée et de leur nuit. Nous eûmes plus tard les détails de cette soirée que je vous livre maintenant par l’intermédiaire de Paul.
* * *


Paul narrateur
Nous étions en route chez Dieter et Hanna. Gitta devait nous y rejoindre aussi pour une bonne soirée en famille. J’appréhendais un peu cette soirée pour plusieurs raisons. La première était que ça parlerait uniquement allemand. Même si je me débrouillais bien, très bien d’après Elisa, je craignais de mal comprendre certaines expressions ou tournures de phrases. Je risquais de finir la soirée un peu seul dans mon coin. Mais bon, Elisa voulait profiter de son frère et de son neveu, c’était bien naturel. Le seconde tenait en la présence d’Adrian justement. La visite que nous avions fait peu de temps après sa naissance avait mis Elisa dans un état pas possible. Elle avait ressenti plus durement son infertilité que lorsqu’elle croisait un bébé ou une femme enceinte quelconque. Les autres visites avaient été moins dures mais je ne retrouvais ma femme dans son état normal qu’après quelques heures.
Dans le bus qui nous emmenait, Elisa regardait par la fenêtre son ancienne ville défiler sous ses yeux. Soudain, elle me dit que nous allions descendre au prochain arrêt. Ce n’était pas celui que Dieter nous avait indiqué pourtant :
— Ce n’est pas ici qu’on doit descendre chérie.— Je sais mais on va finir à pied.
Je ne m’étais pas rendu compte que nous étions si proche de l’appartement de Dieter. Mais je devais avouer que lors de nos visites précédentes nous étions venus de la gare ou en voiture et que ce côté-là de la ville, je n’y avais pas encore mis les pieds. Ce fut fait quand je descendis du bus, tiré par la main par ma femme. Elle m’entraîna vers ce qui semblait être un parc. Elisa fut très déçue quand elle y pénétra. Celui-ci avait un peu changé mais surtout il avait assez mal vieilli.
— Oh, c’est là que j’avais rencontré Gitta la première fois quand nous étions enfants. On jouait là-bas, m’indiqua-t-elle.
Je voyais dans le fond, l’espace de jeux pour enfants. Un bac à sable gris, un toboggan dont il manquait des barreaux à l’échelle. Des balançoires sans enfants bougeaient un peu avec le vent. Tout cela était assez triste à voir. Le reste du parc avait connu des jours meilleurs aussi. La plupart des bancs avaient des graffitis ou étaient cassés. Je supposai que les autorités locales avaient eu d’autres chats à fouetter depuis la réunification. Elisa voulut quand même faire un tour dans ce parc. Elle m’emmena par un chemin sous des arbres. Nous marchions dans les feuilles mortes quand elle se figea.
— Regarde, c’est là qu’avec Gitta on était venu s’entraîner à embrasser.
Une allée en impasse sur la gauche menait à une statue toute soviétique. De part et d’autre se trouvaient des bancs, peu visibles depuis l’allée principale. Elisa m’entraîna là. Elle m’expliqua qu’avec Gitta elles se posaient beaucoup de questions sur la façon d’embrasser un garçon. Elles ne voulaient pas paraître trop nunuches la première fois. Elles avaient donc essayé entre elles, ici à l’abri de la plupart des regards. Nous nous posâmes sur ce fameux banc. Elisa resta le regard perdu un moment puis elle me dit :
— C’est là aussi que j’ai embrassé mon premier garçon. Je ne me rappelle même plus comment il s’appelait. Je me souviens juste que c’est lui qui avait été le plus maladroit de nous deux.— Et si tu embrassais ton dernier garçon ?— Hein. Qui ? Oh toi ! Bien sûr.
Nous nous embrassâmes sur ce banc dans ce début de soirée. L’obscurité pointait déjà mais les lampadaires ne s’allumaient pas encore. J’en profitai pour explorer un peu le corps de ma femme et passai mes mains dans son manteau et sous son pull. Mais elle m’arrêta et se leva. Elle fit le tour du banc avec moi et passa sous les arbres. Elle appuya son dos contre un arbre et me regarda d’un air coquin mais un peu inquiet aussi. Elle se décala et me dévoila le tronc. Malgré la pénombre je distinguai une inscription : un cœur gravé avec "E + I" à l’intérieur.
— Elisa + Ingolf, m’expliqua ma femme.
C’était le premier garçon avec qui elle l’avait fait. Ils étaient venus là pour se galocher mais une chose en entraînant une autre ils étaient allés un peu plus loin. Elisa avait posé sa main sur la braguette d’Ingolf et lui sur ses seins. Ils étaient moins gros alors mais déjà apetissant. Ingolf l’avait entraîné sous les arbres derrière ce tronc.
Il avait découvert la poitrine d’Elisa et avait commencé à téter ses seins. Ensuite le jeune homme avait glissé sa main dans le pantalon et la culotte de la jeune femme. Elisa s’était laissée faire, un peu honteuse de faire ça là mais terriblement excitée aussi. Elle s’était enhardi et avait défait la braguette de son amoureux. Elle en avait sorti un sexe pas très grand. Mais pour une première fois cela l’avait rassuré au lieu de la décevoir. Elle l’avait branlé pour le rendre bien dur. Lui avait activé ses doigts dans sa culotte la faisant mouiller abondamment.
N’y tenant plus, ils avaient baissé tous deux leurs pantalons. Elisa avait même dû enlever un pied pour pouvoir écarter suffisamment les jambes. Ingolf avait présenté son sexe à l’entrée de celui de ma femme. Sans attendre son assentiment il avait fait entrer son gland. Elisa avait gémi de plaisir et de peur. Elle s’était serrée un peu plus contre lui et l’avait embrassé. Il avait poussé un coup sec et avait pourfendu son hymen. Elle avait grimacé sous la douleur mais celle-ci avait bien vite été remplacée par un certain plaisir. Le mec s’était activé quelques instants en elle avant de jouir.
Elisa avait ressenti aussi un début d’orgasme mais moins profond que ce qu’elle pouvait atteindre en se caressant elle-même. Ils s’étaient rattrapé les fois suivantes sur ce point-là. Elisa en gardait un souvenir ému malgré les années. Ingolf avait voulu marquer cet endroit et avait gravé leurs initiales. Ils s’étaient fâchés bêtement quelques semaines plus tard et s’étaient séparés.
Je cherchai autour de moi un objet dur et pointu. Je trouvai le manche cassé de ce qui avait dû être une fourchette ou une cuillère. Je m’en servis alors pour transformer le I en P. Elisa se colla tout contre moi me regardant faire.
— Oh Paul ! Marquons l’endroit !
Je ne compris pas trop ce qu’elle voulait dire par là avant qu’elle ne commence à déboutonner ma braguette. J’en fis autant avec son pantalon. Nous nous retrouvâmes rapidement avec le pantalon aux chevilles. Le caleçon et la culotte suivirent le même chemin. Elisa voulut se mettre dans la même position que celle dans laquelle elle s’était faite déflorer.
Je m’approchai d’elle et présentai mon sexe à l’entrée du sien. Elisa me demanda d’y aller doucement, comme si elle le demandait pour une première fois. Je poussai alors lentement mon sexe dans le sien puis donnait un petit coup plus sec comme si je devais percer sa barrière. Elle émit un petit cri puis poussa des gémissements de plaisirs comme je faisais mes va-et-vient.
Rapidement nous avons joui tous les deux dans ce lieu improbable mais chargé de souvenirs pour elle. Je me déchargeai en elle comme rarement je l’avais fait. Nous nous rhabillâmes et ressortîmes de notre cachette. Je fus surpris de trouver deux jeunes sur le banc d’en face qui s’embrassaient. Ils furent autant surpris que nous mais ils reprirent rapidement leur baiser.
— J’ai vraiment eu l’impression que je te perçais l’hymen.— Oui moi aussi. J’ai dû me contracter sans le vouloir pour reproduire cette sensation. Me rappeler cette première fois m’a beaucoup impacté niveau subconscient.— Et j’ai fait mieux que ce Ingolf ?— Oui. Sans aucun doute. Je suis heureuse que tu ais eu l’idée de remplacer son initiale par la tienne. Je t’aime mon Paul. Partons maintenant. Dieter va nous attendre. Mais ça me rend triste de voir ce parc dans cet état.— Les choses changent, parfois pas en bien. Mais souvent pas pour longtemps, regarde.
Nous avions emprunté une autre sortie. À côté de celle-ci un grand panneau indiquait que le parc allait être rénové grâce à des fonds de la région, de l’état et de l’Europe.
— Oui. Les choses peuvent changer. Tu as raison, me dit-elle.
Nous nous dirigeâmes vers l’appartement de Dieter, main dans la main. Nous arrivâmes bientôt chez Hanna et son frère. Gitta nous y attendait déjà. Ils plaisantèrent tous sur le fait que nous nous étions perdus. Nous ne relevâmes pas. Elisa fut toute heureuse de retrouver ses amies et son frère. Elle fut toute contente de passer du temps avec Adrian. Celui-ci eut le droit de rester un peu plus tard avec nous. Il fut absolument adorable avec Elisa. Elle fut sa grande chouchou pour la soirée. Ce fut Elisa et seulement elle qui fut autorisé à le coucher et à lui raconter une histoire. Nous bavardâmes une partie de la soirée et quand Dieter fut sûr qu’Adrian dormait, la conversation alla vers des sujets plus adultes.
J’avais bien sûr posé des questions sur la façon dont les tournages se passaient. Mais là j’avais Gitta, Hanna et Dieter en plus pour assouvir ma curiosité. C’était la première fois que j’avais un homme à qui poser ces questions. Surtout celle qui me brûlait les lèvres concernait l’éjaculation au bon moment.
"Comment tu faisais pour le faire au bon moment ?""Des fois cela arrivait pile de façon naturelle. Mais la plupart du temps je devais soit ralentir le rythme pour tenir encore un peu soit accélérer pour finir à temps. Il est même arrivé que je n’y arrive pas et qu’on doive utiliser la potion magique qui simule le sperme."
Cela brisait un peu le mythe des tournages pornos mais expliquait bien des choses. J’enchaînai avec plusieurs autres questions puis Dieter se rappela soudain qu’il avait récupéré quelques films le concernant dont celui dans le sauna avec Elisa. Je ne savais pas trop quoi dire, de toute façon Dieter n’attendit pas une quelconque réponse et partit chercher un projecteur et une bobine 16mm. Il installa tout et lança le film. Il démarra également une cassette audio qui faisait office de bande son. C’était un peu du bricolage mais après deux lancements trop décalés entre son et image il parvint à nous offrir une projection raccord.
Je fus incroyablement hypnotisé par ce petit film. Voir ma femme d’abord nue, avec Hanna et Gitta dans ce sauna était déjà troublant. Mais quand Thiemo, Karl et Dieter arrivèrent j’eus quand même du mal à y croire. Pourtant tout était là sous mes yeux. Elisa me prit la main comme si j’avais besoin d’être rassuré, à moins que ce ne fut pour elle. Je vis les filles sucer leurs partenaires puis ceux-ci leur lécher la chatte. C’était quand même plus qu’étrange de voir ma femme pratiquer un acte sexuel auquel je ne participais pas. J’eus besoin de la sentir physiquement et posai ma main sur sa cuisse.
Au-delà du trouble je dus m’avouer que je bandais dur dans mon pantalon. Je compris alors pourquoi Thiemo avait été si triste de voir disparaître Ursulla Wagner. On ne voyait qu’Elisa dans ce film même quand Hanna et Gitta étaient à l’image. Puis la configuration changea et Gitta se retrouva avec Karl et Thiemo, Hanna et Elisa se partageant Dieter.
"Je dois dire que ça m’avait fait très bizarre de me faire sucer par Hanna et Elisa.""Moi aussi, je ne pensais quasiment qu’à toi mon chéri.""L’excitation m’emporta à ce moment-là et j’oubliai que c’était ma sœur, nous indiqua Dieter.""Moi aussi, je me laissai déborder par l’excitation, nous confia Elisa."Elle le dit comme si elle essayait de se faire pardonner mais il n’y avait pas besoin de pardon. Et puis, à cet instant, j’étais trop dans le film et dans le plaisir qu’il me procurait. Elisa s’en rendit compte et posa sa main sur ma braguette.
— Ça t’excite de me voir dans cette situation ?— Tu m’excites tout le temps.— Cochon.
Mais elle ne retira pas sa main et me massa doucement le sexe. Du coin de l’œil je vis qu’Hanna faisait de même à Dieter. Gitta passait distraitement ses doigts sur son décolleté, ses lèvres étaient entrouvertes et sa respiration plus rapide. Puis vint le moment où Gitta se faisait prendre en double. Ma queue fit un bon dans mon pantalon. Le film revint sur Hanna qui chevauchait Dieter, elle était sacrément bandante aussi.
Puis arriva la scène où Elisa poussa sur le côté Hanna pour la remplacer sur la queue de Dieter. Je vis bien sur son visage la gêne que lui procurait cette pénétration. Mais la gêne partit vite pour laisser la place au plaisir. Le mien allait très bien alors que ma femme me caressait le sexe. Je la sentais d’ailleurs plus qu’émoustillée de revoir ce film. Hanna avait passé sa main dans le pantalon de son mari mais sans sortir son sexe à l’air libre. Gitta avait la main dans son chemisier et se pétrissait les seins allègrement.
Puis, dans le film, Franz fit son apparition pour prendre possession d’Hanna. Son sexe était un peu marrant à voir comme me l’avait décrit Elisa. J’attirai Elisa à moi et la mis sur mes genoux. Je pus alors passer mes mains sous son pull pour lui peloter les seins. Elle tortilla des fesses pour accentuer mon état d’excitation. L’image retourna vers Gitta qui jouissait fortement sous les doubles coups de Karl et Thiemo puis ceux-ci aspergèrent la copine de ma femme de nombreux jets de sperme. Celle-ci avait lâché ses seins pour passer sa main sous sa jupe. Ensuite ce fut le tour d’Hanna de recevoir son lot de foutre. Dieter embrassa sa femme au moment où dans le film elle étalait la semence de Franz sur son corps. Enfin, le film se termina sur Elisa et Dieter, ma femme recevant le sperme de son frère en plein visage et s’en délectant.
Le projecteur fit défiler le reste de la bobine, projetant sur le mur blanc une lumière vive. Hanna et Dieter avaient entamés les hostilités. Elle était montée à califourchon sur lui et se déhanchait tout en l’embrassant. Gitta se branlait toujours dans son coin mais nous observait avidement. Elisa arrêta de se tortiller sur moi pour venir entre mes jambes extraire ma queue de mon pantalon. Elle débuta une pipe magistrale pour mon plus grand plaisir. Hanna imita sa belle-sœur et extirpa le sexe de Dieter pour lui prodiguer la même chose. Gitta se mit plus à l’aise en ouvrant largement son corsage et jouant avec ses seins d’une main. L’autre était toujours enfouie sous sa jupe.
Nos femmes nous sucèrent un moment puis elles se mirent plus à l’aise en retirant pantalons et culottes. Elles remontèrent sur nous et nous chevauchèrent. Nos sexes étaient fichés dans des chattes plus que baveuses. La pénétration fut un régal tellement elle fut facile. Je soulevai le pull et le haut d’Elisa pour découvrir ses seins et me mis à les téter par-dessus la fine dentelle de son soutien-gorge. Mais je décidai bien vite de le défaire et le passer au-dessus de ses magnifiques seins. En même temps, elle montait et descendait sur ma bite avec un plaisir évident.
Un peu plus loin, Hanna avait pris la place de Dieter sur la chaise et écartait largement les cuisses, son mari l’avait déshabillée et la baisait maintenant dans cette position. Il y allait franchement le beau-frère. Hanna retenait ses cris et ses gémissements. Un enfant de l’âge de son fils a le sommeil lourd mais il valait mieux quand même maîtriser le volume sonore. Gitta avait remonter sa jupe sur son ventre et baissé collants et culotte. Elle se caressait les lèvres, le clitoris en nous regardant.
Bientôt, je signalai à Elisa que j’allais venir dans peu de temps. Elle s’activa d’autant plus sur moi. Elle était aussi au bord de la jouissance. Elle ne montait et descendait plus. Elle ondulait sur moi, frottant son clitoris sur mon ventre. Elle se fit jouir ainsi provoquant mon propre orgasme dans la foulée. J’emplis son vagin pour la deuxième fois de la soirée. Dieter souffla plus fort et la chaise grinça un peu plus. Il se ficha au fond de sa femme et inonda son antre de sa semence. Hanna tressaillit et ses yeux se révulsèrent l’espace d’un instant.
Gitta activait frénétiquement ses doigts sur ses parties intimes et elle pinçait, étirait fortement ses bouts de seins. Elle ne nous avait pas quitté des yeux pendant tout ce temps, comme si la projection avait continué pour elle. Elle rejoignit le septième ciel en râlant sourdement et en ayant des tremblements dans les jambes. Elle reprit ses esprits quelques secondes après s’apercevant que nous étions bien réels et pas un film.
"Euh, ce n’était pas prévu tout ça. Je suis désolé, je n’aurais pas dû projeter ce film, s’excusa Dieter.""C’est un peu ma faute, avec toutes les questions que j’ai posées aussi, dis-je.""Ne vous excusez pas messieurs. Je crois que nous y avons tous pris un grand plaisir, nous arrêta Hanna.""Oui, c’est vrai même moi, avoua Gitta. C’était trop beau de vous regarder.""Allons. Tout le monde est content, le sujet est clos, termina Elisa."Hanna se releva difficilement, du sperme s’écoula de son sexe."Avec ce que tu as mis, Adrian aura bientôt un petit frère ou une petite sœur, rigola-t-elle."Je vis Elisa passer instinctivement sa main sur son ventre avec cet air rêveur que je ne lui connaissais que trop bien. Mais elle esquissa un sourire et partit se rincer avec Hanna et Gitta. Nous les entendîmes rire puis revenir fraiches et pimpantes. J’allai me rafraîchir aussi avec Dieter. Puis, après un dernier café, nous repartîmes.
Sur le trajet du retour je voyais Elisa songeuse et soucieuse. Lorsque que nous arrivâmes, nous restâmes un peu avec les jeunes. L’odeur ambiante ne cachait rien d’une partie de leur activité en notre absence. Je pensai que cela aurait sorti Elisa de ses pensées mais ce ne fut que partiellement vrai. Elle resta en partie ailleurs. Une fois couchés, elle resta allongée sans essayer de dormir. J’écoutais un peu les bruits venant des chambres mais c’était le silence. Même un ou deux ronflements se faisaient entendre.
— Pas de sexe pour eux ce soir. En même temps ils ont l’air d’avoir eu leur dose, fis-je remarquer à Elisa.— Oui, oui.— Tu as l’air chamboulée encore. C’est quoi ? Le fait d’avoir passé du temps avec Adrian ou le fait qu’on ait eu du sexe en présence des autres ?— Euh, je ne suis pas chamboulée. Au contraire je me sens parfaitement sereine... Paul, je sais que je t’avais dit que je ne voulais avoir des enfants que de façon naturelle. Etre enceinte ou rien du tout. Mais maintenant je sais que je vais avoir des enfants. Je le veux quel que soit le moyen.
Je restai étourdi par cette annonce. Elle semblait décidée mais que voulait-elle faire ?
— Je veux qu’on adopte, Paul. Je ne l’avais jamais envisagé. Mais maintenant je suis certaine de moi. Un enfant, c’est le plus important pour moi. Je sais que je l’aimerai du plus profond de mon cœur, de mon corps, de mon âme. Paul, adoptons, s’il te plaît.
Sa décision était ferme et définitive. Je n’avais pas besoin de lui dire de réfléchir quelques jours pour être sûre de son choix. Je voyais bien qu’il était fait. Et moi alors ? Je pensais quoi ?
— Elisa. C’est d’accord. Comme tu le sais, j’y avais songé depuis longtemps et c’était une option réalisable de mon côté. Donc, c’est d’accord. On s’occupe de ça en rentrant.
Elisa m’embrassa passionnément puis nous nous endormîmes serrés l’un contre l’autre.
* * *


Maxime narrateur
Bien sûr Paul ne nous révéla pas tout ça d’un coup. Et puis nous évitâmes de mettre les allemands au courant de ce qui était arrivé chez Dieter. Tout au plus comprirent-ils l’escapade dans le parc en mettant bout à bout les sous-entendus, les non-dits et les allusions. Ils ne parurent pas plus étonnés que ça que les profs aient osé baiser là-bas. Ils nous dirent que ce parc était bien connu pour être le rendez-vous des jeunes en quête de tranquillité et de recoins discrets. Jutta et Wilhelm avaient perdu leurs pucelages dans ce même parc.
Il fallut leur expliquer un minimum les raisons du choix d’Elisa quant à l’adoption. Les allemandes furent d’abord peinées en apprenant ses problèmes de fertilité mais tous se réjouirent de cette nouvelle. Dieter fut enchanté d’apprendre cela :
"Par contre j’ai perdu.""Perdu quoi ? demanda sa sœur.""Hanna a senti quelque chose se passer hier soir avec Adrian et en fin de soirée. Moi je n’avais rien vu. Elle m’a parié un restaurant qu’elle avait raison."Nous leur proposâmes de venir profiter du repas que nous voulions spécialement préparer pour fêter cela. Dieter accepta de venir le lendemain soir, le temps de faire garder Adrian par les parents d’Hanna. C’était vraiment une occasion de fêter que nos amis allemands prirent comme tel. Et puis, c’était la dernière soirée que nous pourrions passer avec eux. Nous repartions le samedi dans l’après-midi pour aller prendre un nouveau train de nuit à Francfort.
Nous tournâmes les scènes manquantes ce jeudi après-midi. Toujours avec les mêmes acteurs et toujours en utilisant l’unique chambre comme vestiaire. La seule différence était l’absence de pudeur entre français et allemands. Paul et Elisa s’en étonnèrent un peu. Dieter nous jeta des regards interrogateurs. Je leur aurais bien expliqué la raison de cette aisance entre nous. Mais les allemands n’étaient pas forcément pour, je n’en savais trop rien. C’était un peu fatigant de devoir toujours filtrer les informations entre d’un côté nos profs et de l’autre les élèves de Dieter.
Comme la veille, Amandine, Germain et Felipe ressortirent de là avec le feu aux joues. Ils leurs avaient demandé quoi cette fois les teutons ? Organiser une partouze ? J’étais sidéré par toute cette lubricité ambiante. Mais elle me comblait aussi. Amandine me prit à part, elle voyait bien que je me posais des questions :
— Comme ils savent qu’on a déjà pratiqué la sodomie. Ils voudraient qu’on leur fasse une démonstration pour qu’ils essayent au moins une fois. Ils se disent qu’avec nous, cela ne risque pas de s’ébruiter vu qu’on repart dans deux jours. Et les filles surtout se sentent en confiance avec nous.— Comment veux-tu qu’on le fasse ? Elisa et Paul n’ont pas prévu de nouvelle absence. Et puis je ne me sens pas trop d’expliquer ça.— Moi non plus. Autant fellation et cunnilingus, on a suffisamment pratiqué pour être capable de l’expliquer ensuite. La sodo, on l’a fait qu’une fois.— Faudrait que ce soit Elisa et Paul qui s’en charge.— Tu te rends compte que ça veut dire mettre au parfum les allemands de notre relation avec eux ?— Et mettre clairement les profs au courant d’hier soir. Je sais.
L’idée de repratiquer la sodomie avec Amandine ne me déplaisait pas, au contraire. Mais si je me sentais suffisamment en confiance pour le refaire avec elle. Le faire faire à des gens dont c’était la première et en allemand en plus... Carine et Marie vinrent me parler de la même chose. Elles avaient donné la même réponse que moi. Elles aussi, le filtrage des informations les agaçait un peu.
— On devrait tout dire à tout le monde demain soir, proposa Carine.— C’est un peu hard quand même, lui répondit Marie. Pour Jutta, Ida et les autres.— Comme le dit Max, je ne me vois pas trop leur expliquer ça moi. Déjà si Fil m’enfile par-là, je ne vais pas être capable d’expliquer quoique ce soit.— Alors ? demandai-je.— Déjà, on voit avec les autres. On décide après.
Je parlai à Esteban et Olivier. Carine et Marie se chargèrent de Liz et Sylvie. Au final nous avions tous la même position : nous ne se sentions pas capable de les guider dans cette pratique. Un consensus se dégageait pour trouver un moyen de leur apprendre.
— Et si on mettait carte sur table avec tout le monde ce soir ? osai-je.— Oh putain ! souffla Marie. Tu déconnes Max ?— Non pas du tout. Ecoutez, on dévoile quelques trucs à Elisa et Paul. Dont la demande des allemands. S’ils sont ouverts à la chose, quitte à vouloir avoir des garanties, on met tout le monde dans le bain.— Max ! s’étouffa Carine.
Mais elle comme Marie, je les sentis tentées. Nous fîmes passer le message aux six allemands qu’il y aurait peut-être une possibilité mais qu’il faudrait garder un secret absolu sur ce qui se passerait. Ils ne semblèrent pas plus étonnés que ça de notre demande de discrétion. Sans doute, pensèrent-ils que nous ne voulions pas que le monde sache que nous faisions ça et plus ou moins en groupe. De même nous sondâmes les autres, ceux-ci furent aussi étonnés que Marie et Carine de ma proposition mais tout aussi partant d’au moins tâter le terrain.
Quand même, avec toutes ces discussions à voix basses, je me demandai comment ni Dieter, ni Elisa, ni Paul ne furent alertés. Mais ils semblaient avoir l’esprit pris par la décision d’Elisa. Nous finîmes le tournage dans le logement de fonction. Sur le chemin du retour, Sylvie, Liz et Olivier purent parler aux profs alors que Dieter nous avait quitté pour rentrer chez lui. Avec les autres nous occupâmes les allemands en leur parlant de choses et d’autres. Paul et Elisa furent d’abord amusés d’apprendre ce que nous avions fait. Par contre ils semblèrent beaucoup moins intéressés par notre proposition de faire connaître la sodomie aux élèves de Dieter. Pas que cela les rebutaient ou qu’ils ne voulaient pas aider les jeunes allemands. Seulement, ils ne les connaissaient pas assez pour leur faire confiance à ce point. Ils mirent fin à cette discussion alors que nous rentrions dans le centre.
Alors que chacun partait à ses propres occupations, je pus les prendre à part tous les deux avec ma chérie :
— Vous êtes sûrs ? demandai-je.— Maxime, ça suffit avec cette idiotie, me rétorqua Paul.— Mais, ils voudront essayer dans leur coin. Et ça risque de mal se passer. Ils font de si jolis couples, pointa Amandine.
Elle tentait de faire vibrer le côté fleur bleue d’Elisa. Celle-ci regarda passer Wilhelm et Svenja au bout du couloir et prit un air attristé. Elle se tourna vers nous et nous précisa leur position :
— Il nous manque une garantie comme pour vous au début. En plus nous repartirons bientôt, on ne saurait pas ce que deviendrait notre petit secret.
Paul avait levé les yeux au ciel devant les confidences de sa femme. Je fis le pari d’abattre ma dernière carte :
— Et si vous aviez cette garantie ? Et si on faisait une vidéo ?— Une vidéo d’accord mais pour la laisser ici ou l’emmener en France ? Non, ça ne nous va pas, répliqua Paul.— Je pensai plutôt que ce soit Dieter qui la conserve, il aurait un œil régulier sur les allemands.— Mais ça veut dire faire tout ça demain soir avec Hanna et Dieter ? comprit Elisa.— Oui, je me suis dit que ceux qui pourraient aussi le montrer étaient Dieter et Hanna. Mais ils pourraient très bien rester en dehors de ça et n’être que les gardiens d’une garantie.
Je venais de faire un pari risqué. Risqué car Elisa et Paul pouvaient s’offusquer qu’on leur force la main, car Dieter pourrait aussi refuser tout net. Mais j’imaginai, comme Amandine et mes amis, que les profs finiraient par se laisser tenter. Pour Dieter et Hanna j’avais plus de craintes. Cela faisait longtemps qu’ils étaient rangés. Mais avec ce qu’ils avaient fait la veille je me disais qu’ils étaient encore assez portés sur la chose.
Les filles passèrent à la douche, les jumeaux en profitèrent pour parler à Paul dans le même objectif. Nous détournions l’attention des allemands en parallèle, histoire d’éviter les révélations non-voulues. Paul resta sur sa position de façon ferme et définitive. Mais cela n’était qu’une position de façade, Liz et Carine remarquèrent qu’il lorgna un peu plus les culs des jeunes allemandes. Il devait s’imaginer ceux-ci pourfendus par les bites de leurs copains.
Le repas fut en apparence aussi agréable que les précédents. Néanmoins, je voyais bien Paul et Elisa épier un peu plus les nouveaux. Ces derniers avaient un peu changé de regard sur nous il me semblait. Puis ce fut au tour des hommes d’aller à la douche. En revenant, je vis Sylvie et Marie en grande discussion avec Elisa. Le reste des filles nous attendaient dans la salle de repos. Paul se rinça l’œil une nouvelle fois. Elisa revint avec mes amies, elle semblait différente. Elle posa un regard attendri sur les couples d’allemands et s’assit à côté de son mari. Ils parlèrent doucement alors que nous visualisions les images tournées dans l’après-midi.
Sur ce point-là, nous étions assez contents de nous. Le résultat était à la hauteur de nos attentes. Une scène ou deux méritaient d’être rejouées mais nous n’avions plus accès au logement de fonction. Nous décidâmes de les tourner en extérieur devant des bâtiments ou des statues qui étaient représentatives des lieux. Nous devions de toute façon faire ce genre de plan, la seule chose était que nous n’avions prévu que de faire des plans sans paroles. A la fin de la soirée nous avions défini notre travail pour le lendemain.
Vous avez encore une fois bien travaillé, nous félicita Elisa.
"Demain soir, Dieter viendra dîner avec sa femme et les français ont prévu de vous faire un plat de chez nous.""Maintenant, au lit !"Paul et Elisa ne dirent pas un mot sur le sujet qui nous intéressait le plus. Il nous fallut nous coucher ainsi.
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