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Le projet artistique

Chapitre 60

En attendant les Allemands

Divers
Maxime narrateurNous venions de passer des vacances de Noël assez parfaites avec Amandine. Nous retournions donc en cours plus amoureux que jamais. Amandine avait reçu sa perle et je savais que les autres nanas avaient reçu la leur. Il ne fut pas possible de nous réunir tous dans notre petit café habituel avant la reprise des cours. Cela nous manquait à tous de pouvoir se poser quelques instants pour se raconter les derniers évènements. Durant les heures de cours Marie et Liz nous proposèrent de se retrouver autour d’un verre en centre-ville. L’idée était attrayante et elle fut facilement acceptée par tous les élèves.
— Max, tu ne crois pas qu’on devrait aussi inviter Paul et Elisa ? me demanda Sylvie entre deux cours.— Oui, tu as raison. On laissera un mot dans leur casier ou on essaiera de les voir.
Le mot d’ordre fut passé et ce fut Germain et Marie qui croisèrent Elisa. D’abord un peu réticente à s’afficher trop ouvertement avec des élèves de son atelier, elle accepta finalement quand elle sut que cela devait se faire en centre-ville ; suffisamment loin de l’établissement pour être tranquille. Nous nous retrouvâmes donc dans un bar du centre. Quelques effusions eurent lieu mais bien vite, l’impatience de se donner des nouvelles l’emporta. Après avoir commandé nos boissons, Marie et Germain souhaitèrent commencer. Ils nous racontèrent qu’ils avaient trouvé tous les deux l’école qu’ils souhaitaient faire ensuite, s’ils étaient admis. Comme ces deux écoles se trouvaient toutes deux dans la même ville, ils y avaient fait un court séjour en amoureux afin de découvrir la ville, l’université, ces deux écoles. Si au départ, ils avaient prévu de profiter aussi de la vie nocturne de cette ville étudiante, ils avaient fini par baiser à longueur de temps dès la nuit tombée dans leur chambre d’hôtel.
La seconde nuit, alors qu’ils étaient en plein ébat, et assez démonstratifs, ils avaient entendu des coups contre le mur mitoyen. Ils avaient d’abord cru à des clients mécontents mais les coups étaient rythmés et assez espacés. Ils avaient compris que c’était un couple qui avait décidé de leur emboiter le pas. Mais les coups avaient ralenti puis s’étaient arrêtés comme Marie et Germain écoutaient. Comme ils avaient été rassurés, ils avaient repris leur baise en se lâchant un peu plus. Attentifs à l’autre couple, ils s’étaient rendus compte que celui-ci reprenait également avec un certain décalage. Marie et Germain avaient compris assez vite que c’étaient leurs propres ébats qui motivaient ceux du couple. Ils s’arrêtaient et reprenaient à deux reprises pour en être certains. A chaque fois le couple stoppait une minute après eux et repartait avec le même décalage.Cela les avait amusés et nos amis s’étaient sentis presque honorés d’engendrer de telles ardeurs. Ils avaient fini par baiser comme des damnés en écoutant attentivement leurs voisins. Ceux-ci d’abord silencieux avaient exprimé de plus en plus fort leurs émois. Quand Marie et Germain avaient fini leur affaire, en accompagnant leurs orgasmes de cris un peu exagérés, ils avaient tendu l’oreille pour épier le couple. L’homme et la femme avaient ahané de plus belle pendant deux ou trois minutes. Apparemment, ils avaient eu besoin d’un peu plus de temps. Marie et Germain avaient pu distinguer deux prénoms : Charles et Isabelle. Enfin le couple avait atteint le septième ciel dans un fracas de cris et de coups contre le mur. Nos amis n’avaient pu s’empêcher de rire à temps d’enthousiasme.Au matin, ils avaient remis le couvert avant de descendre prendre le petit-déjeuner, mais le couple était déjà parti pour déjeuner ou avait quitté l’hôtel ou ne voulait pas recommencer. Dans la salle du petit-déjeuner, il y avait quelques personnes. Une famille avec deux jeunes enfants, trois personnes seules et trois couples. Le premier avait moins de trente ans, le second la petite cinquantaine et le dernier dépassait les soixante ans. Ils n’avaient pas échangé de prénom entre eux donc nos amis ne pouvaient dire si c’était bien un de ces couples. Et puis l’hôtel était censé être plein donc il devait y avoir d’autres candidats. En repartant, le couple de quinquagénaire était monté dans l’ascenseur avec eux mais était descendu à l’étage d’avant. Dans la chambre, ils avaient entendu l’eau couler à travers les murs. Le couple venait de se lever ou de retourner dans sa chambre. En sortant, ils avaient croisé deux autres couples d’environ quarante ans près de l’accueil, l’un des hommes avait été appelé par sa femme mais le prénom n’était pas le bon.
Le soir, de retour dans leur chambre après un petit fast-food, ils avaient d’abord écouté leurs voisins. Ils avaient perçu les bruits de la télévision ; ils étaient bien là et étaient sages. Marie et Germain avaient voulu savoir si refaire l’amour aurait pu produire les mêmes effets. Ils s’étaient alors rappelé le couple de belges croisés par Elisa et Paul en Irlande et s’étaient mis à commenter tout ce qui se passait. La pipe de Marie, le cunnilingus de Germain, avec tous les détails et les encouragements qui allaient avec. La télé était rapidement devenue inaudible, sûrement éteinte ou le son coupé. Entre deux phrases, ils tendaient l’oreille et entendaient de faibles échanges juste de l’autre côté. C’était surtout des soupirs et des râles, le peu de paroles échangées étaient plus chastes que les leurs. Mais il était assez clair que le couple passait par les mêmes étapes.
Alors quand Germain avait commencé à pénétrer Marie, ils avaient entendu les mêmes coups que la veille avec le même décalage. Les sportifs s’étaient déchainés comme rarement ils l’avaient fait, ajoutant toujours des effets sonores dont ils n’étaient pourtant pas coutumiers. Ils avaient fini étrangement rapidement et avaient écouté avec attention leurs voisins. Ceux-ci avaient mis quelques minutes à terminer leurs ébats sans plus avoir besoin de la motivation donnée par nos amis. Au petit matin, ils avaient entendu le couple en question remettre le couvert sans qu’ils n’aient eu à déclencher quoique ce fut.Dans la salle, ils avaient retrouvé les mêmes protagonistes mais sans pouvoir deviner si l’un des couples était leur voisin. Avant de quitter l’hôtel, ils étaient passés payer la chambre et ils avaient été surpris qu’on leur donne une enveloppe. Marie l’avait ouvert alors que Germain réglait la note."Jeunes gens. Nous vous remercions pour tout. Nous étions venus trouver du repos mais ce n’était pas cela qu’il nous fallait. Il fallait la fougue de la jeunesse pour rallumer un feu trop longtemps mis en veille."Marie avait montré le mot et avait demandé au concierge si les gens qui avaient laissé cela étaient déjà partis. C’était le cas malheureusement. Alors ils avaient demandé à quoi ressemblaient ces personnes et ils avaient été plus que surpris d’apprendre qu’il s’agissait d’un couple d’une soixantaine d’années et dont la description physique collait à celui du petit-déjeuner.Cela nous amusa un peu de savoir qu’après avoir aidé des jeunes, ils avaient donné un coup de main à des vieux. Paul et Elisa nous racontèrent ensuite leurs vacances et elles furent assez sages. Certes, ils avaient bien profité du temps libre pour baiser mais ils n’avaient pas fait de frasques particulières. Cela nous étonna quelque peu et en les poussant ils finirent par nous avouer qu’ils avaient pris quelques risques. Ils s’étaient offert une séance de cinéma, le film avait attiré très peu de monde. Cela avait paru assez évident vu l’ennui qu’ils avaient éprouvé en le regardant. Deux personnes avaient déjà quitté la salle et ils étaient prêts à le faire aussi quand une scène de sexe était venue égayer la projection. Paul et Elisa en avaient profité pour se toucher. Assis plutôt dans le fond de la salle, ils avaient du monde devant et à gauche juste sur la rangé précédente. Les spectateurs qui étaient derrière eux étaient partis.D’abord discrètement, ils s’étaient caressés par-dessus leurs vêtements. Puis ils avaient glissé leurs mains dans le pantalon de l’autre. Ils y avaient trouvé un sexe dur et un sexe humide. Ils se tripotaient depuis quelques minutes et Elisa avait émis un soupir d’agacement. Paul l’avait reconnu tout de suite alors, avec quelques précautions, il avait glissé entre les jambes de sa femme et avait tiré sur son jean. Elle s’était retrouvée la chatte à l’air et il lui avait brouté le minou avec ardeur. Elisa avait dû déployer des trésors de self-control pour ne pas gémir ou se faire repérer. Elle avait pris un plaisir fou et en quelques minutes, elle jouissait sur le visage de son mari.
Emergeant de son extase, Elisa s’était aperçue que le spectateur de la rangée d’avant tournait son regard vers eux. Mais il avait vite retourné son regard vers l’écran comme s’il n’avait rien vu. Emoustillés par la situation Paul et Elisa avaient échangé leurs places et notre professeure entamait une fellation digne de ce nom. Du coin de l’œil Elisa voyait le spectateur tourner régulièrement la tête vers eux. Ne semblant plus y tenir, il avait migré vers leur rangée, tout en restant assez loin. En fait de spectateur, il s’agissait d’une spectatrice, le volume de sa poitrine ne laissait pas planer le doute. Sa coupe courte et son visage pas très féminin avaient trompé Elisa. La femme avait plongé sa main dans son pantalon et se masturbait en les regardant. Paul avait fini par la voir et s’était senti gêné, il avait voulu arrêter mais le regard plein de désir de sa femme l’en avait dissuadé. Il s’était laissé aller tout en sachant que la femme au visage ingrat devait fantasmer sur sa queue. Il avait néanmoins préféré se concentrer sur la bouche d’Elisa. Il ne lui avait pas fallu longtemps pour arroser son palais de sperme.Alors qu’elle récoltait le jus de son mari, Elisa avait entendu la femme gémir. Elle s’était tendue de plus en plus et avait fini par jouir en ayant le regard fixé sur la queue de Paul. Elisa s’était levée et s’était avancée vers elle, comme si elle partait aux toilettes. Elle était passée devant la femme qui avait les yeux dans le vide et la main dans le pantalon. Celle-ci avait sursauté comme Elisa avait approché. Notre professeure lui avait fait un petit sourire et avait ouvert la bouche. Le sperme de son mari y était encore présent. La femme avait ouvert la bouche, comme affamée. Mais Elisa avait dégluti devant elle et avait rouvert une bouche vidée de son contenu. La femme avait été plus que déçue mais Elisa n’en avait eu cure et était retournée s’asseoir aux côtés de Paul. La femme s’en était allé peu après.Le groupe rit beaucoup à cette situation, Elisa fit remarquer qu’elle pouvait se laisser aller mais qu’elle ne supportait pas quand quelqu’un, inconnu de surcroit, jouait les voyeurs sans y être invité. Je voulus savoir ce qu’il en était des jumeaux et de leurs copines mais ils insistèrent pour passer les derniers. Cela présageait probablement d’évènements plein de lubricité ou de surprise. Alors Amandine se lança et dévoila nos petites escapades. Nous étions partis dans ma famille et nous devions passer la soirée du nouvel an dans un cabaret de province. Mes oncles et tantes étaient là, certains de mes cousins et cousines plus jeunes ou du même âge aussi. Le spectacle mêlant numéros de danse pas trop déshabillée, humoriste et magicien, avait été assez plaisant tout comme le repas. Le cabaret s’était transformé en piste de danse après le champagne et les cotillons. De nombreuses personnes de ma famille étaient rapidement parties se coucher, car trop vieilles ou trop jeunes. Les danseuses, danseurs, artistes avaient rejoint discrètement les derniers fêtards.
Amandine et moi avions découvert qu’un danseur et une danseuse étaient en couple. Ils dansaient collés-serrés tout en nous observant. Il était assez vite devenu clair que nous étions à leur goût et eux au nôtre. Ils devaient avoir vingt-cinq ans, très bruns tous les deux et le teint mat, sans doute typés méditerranéens. Ils étaient assez plaisants à regarder.Nos deux couples s’étaient cherchés du regard un long moment. Avec Amandine nous étions tentés de faire plus ample connaissance et eux aussi mais cela paraissait sans doute dangereux pour eux de sympathiser avec des clients. La soirée avait pris fin, le couple était déjà parti à ce qu’il semblait. Mais une fois dehors nous l’avions retrouvé en train de fumer une clope qu’ils se partageaient. Amandine m’avait surpris en engageant la conversation. Leur accent espagnol ou sud-américain était exotique et charmant, ils s’étaient révélés lui argentin et elle brésilienne. Le courant passant vite entre nous, ils nous avaient proposé de poursuivre dans un bar pas loin. Nous les avions suivi et la soirée s’était poursuivi ainsi. Ils avaient tenté de multiples approches sensuelles auxquelles nous n’étions pas fermés, nos couples avaient dansé un peu tout en changeant de partenaire. Ils avaient eu les mains baladeuses et nous avaient incités à en faire autant. Il était devenu clair qu’ils nous chauffaient pour une partie carré ou un échange.
Cela s’était confirmé un peu plus tard quand ils nous avaient invités à venir chez eux. Nous étions assez tentés de découvrir d’autres partenaires que ceux du groupe mais en même temps nous étions réticents. Nous nous étions pourtant laissés guider vers leur véhicule. Garé à l’arrière du cabaret, leur voiture était la dernière du petit parking. Finalement nous avions décliné leur offre, ils s’étaient faits persuasifs et câlins : lui avec Amandine et elle avec moi. Ils avaient été très convaincants car nous nous étions retrouvés tous les quatre dans leur voiture. Sur la banquette arrière, Amandine s’était fait bouffer la chatte tandis que moi, assis côté conducteur je m’étais fait sucer par la danseuse. Elle savait y faire et aux gémissements de ma copine j’avais compris que lui aussi avait une bonne technique.
Ils nous avaient doucement incités à échanger nos rôles. Je m’étais donc retrouvé à lécher une chatte inconnue et Amandine à sucer une nouvelle bite. Notre maitrise avait semblé parfaitement les satisfaire. Ils avaient ahané et râlé de bonheur sous nos coups de langue. Lorsqu’ils avaient voulu passer à l’étape suivante, ils n’avaient pas réussi à nous convaincre et nous nous étions retrouvé tous les quatre à baiser notre copine habituelle sur la banquette arrière. L’habitacle avait vite été envahi de cris et de gémissements, ainsi que d’odeurs caractéristiques. Il n’avait pas fallu longtemps pour que les filles, nous chevauchant en amazone, nous fassent jouir en elles. Elles n’avaient pas semblé avoir d’orgasme mais elles avaient été très satisfaites de cette partie fine. Ils nous avaient ramené gentiment devant notre hôtel et avaient voulu nous laisser leurs coordonnées. Mais comme nos amis avec les belges, nous ne souhaitions pas forcément garder de contact.Notre petite escapade fit son effet. Germain et Marie déclarèrent qu’ils auraient sans doute fait l’échange si le feeling avait été là, Olivier et Liz ne savaient pas trop. Paul et Elisa, je savais qu’ils pouvaient le faire à l’occasion. Quant aux jumeaux et leurs copines, je me demandais s’ils n’avaient pas déjà l’habitude d’échanger leur partenaire entre eux... Olivier et Liz se lancèrent à leur tour. Ce ne fut pas eux qui avaient vécu un évènement sensuel ou érotique. Ils en avaient été témoins et en étaient restés troublés un petit moment. Leurs deux familles étaient parties en Martinique. Il fallait fêter l’obtention d’un énorme contrat auquel leurs deux paternels avaient dû travailler en commun et d’arrache-pied. La prime qu’ils avaient décrochée à cette occasion avait en partie été investie pour emmener les deux familles en voyage. Un jour que les plus jeunes étaient dans un club pour un stage de planche à voile, Olivier et Liz devaient quant à eux aller profiter d’une excursion à la montagne Pelée et récupérer les plus jeunes à la fin de leur stage, offrant ainsi une journée de tranquillité aux parents. Mais lorsqu’ils étaient arrivés à l’agence, il leur avait été signifié que la sortie était annulée car il n’y avait pas assez de monde, il leur avait été proposé un autre créneau le lendemain.Olivier et Liz étaient rentrés à la villa pour récupérer leurs affaires de plage et laisser les parents en paix. La location était vide, ils étaient sûrement de sortie. Ils étaient en train de passer un maillot de bain quand nos amis avaient entendu du bruit. Ils avaient ouvert la porte de leur chambre qui se trouvait à l’étage pour jeter un œil depuis la mezzanine. C’étaient les parents qui rentraient, les femmes chargées de sacs. Il y avait eu une séance shopping intensive apparemment. Leurs mères avaient derechef commencé à déballer leurs achats. Alors sans aucune gêne entre elles ni envers le mari de l’autre, elles avaient fait voler leurs petites robes pour apparaitre en sous-vêtements. Elles avaient fait quelques essayages sous l’œil et les compliments admiratifs de ces messieurs.Liz et Olivier se doutaient que les relations avaient évolué entre eux depuis l’épisode de la piscine durant l’été. Ils en avaient eu la confirmation. Mais ils ne se doutaient pas de la suite. Les deux femmes étaient ensuite passé à un essayage de maillot, d’abord porté par-dessus leur lingerie. Le résultat était mitigé, évidemment, alors le père de Liz leur avait conseillé de se mettre à l’aise. Liz et Olivier avaient cru à une blague mais un "T’as raison, on est entre nous" de la mère d’Olivier les avait laissés pantois. Ni une ni deux, elles s’étaient mises nues et avaient renfilé les maillots sans trop se presser. Elles en avaient essayé un second qui ne cachait pas grand-chose de leur anatomie. Les maris s’étaient levés et étaient venus regarder de près le résultat. Ils avaient maté l’une et l’autre sans vergogne et ils n’avaient pas touché qu’avec les yeux.Loin de s’offusquer les deux quadras s’étaient volontiers laissées amadouer. Les caresses initiales s’étaient faites plus précises et les deux mères de famille s’étaient retrouvées vite nues, tout en se faisant embrasser. Déshabillée par son conjoint, chaque femme s’était ensuite tournée vers l’autre homme pour le mettre nu. Elles en avaient profité pour partager un baiser avec ce nouveau partenaire. Loin de s’arrêter là, les mains des maris étaient venues caresser et masturber les sexes féminins sans exclusivité. Un concert de plaintes discrètes mais indéniables s’était fait entendre. Olivier et Liz avaient été tétanisés, pris entre une certaine nausée et une attirance obscène. Les couples s’étaient correctement reformés alors qu’ils s’installaient sur le grand canapé.
Là, les maris avaient pris en levrette leur compagne officielle. Les ventres avaient claqué sur les culs, des gémissements de plaisirs, des râles d’effort avaient été émis. Assez vite, les deux mères de famille avaient réclamé plus d’ardeur, elles avaient été entendues et les pères de famille s’étaient déchainés. Liz s’était aperçue qu’elles se titillaient le clito tout en se faisant prendre. Elles avaient assez vite joui, la mère de Liz en premier. Leurs hommes s’étaient vidés en elles juste après. Ils s’étaient ensuite affalés sur le sofa dans un enchevêtrement de bras et de jambes. Ils étaient passés à la salle de bain, nos amis avaient juste eu le temps de se planquer dans leur chambre. Ils en avaient alors profité pour s’enfuir de la villa et ne revenir que bien plus tard.Je devais bien admettre que si j’avais surpris mes parents avec ceux d’Amandine, ça m’aurait fait très bizarre. C’était d’ailleurs un peu dégoûtant à imaginer, alors à voir en réel... Je n’étais pas un ange, je savais bien qu’ils avaient pu avoir une vie sexuelle plus ou moins débridée. Mais de là à les prendre sur le fait, c’était trop pour moi. Je comprenais bien le malaise de mes amis.
* * *
Après un instant de flottement, les quatre derniers s’empressèrent de nous relater leur aventure. Ils avaient effectivement fait de multiples galipettes pendant les vacances. Cela n’avait rien de bien palpitant, jusqu’à ce qu’ils en arrivent au réveillon. Ils l’avaient fêté tranquillement chez Carine alors que ses parents étaient à une fête de leur côté. Ils avaient été très sages finalement, ou presque puisqu’ils avaient baissé en présence de l’autre couple mais sans échange ni contact. Ils passèrent assez vite sur cette soirée pour en venir au lendemain. Ils devaient rejoindre la mère des garçons chez elle. Cristian et Graziella devaient y être déjà, car ils avaient dû réveillonner ensemble. Comme nos amis n’avaient pas fait trop de folies, ils avaient été assez tôt là-bas. Ils étaient arrivés à l’appartement et Esteban avait ouvert avec sa clé. Ils étaient entrés et avaient découvert un appartement silencieux et désordonné. Il était clair qu’ils avaient veillé peut-être plus tard qu’eux.
Ils étaient allés vers la partie nuit pour voir s’ils étaient bien là. Dans la chambre des garçons, il n’y avait personne. Christian et Graziella étaient-ils finalement rentrés ? Ou alors, il se pouvait qu’ils soient sortis tous les trois faire un tour. A moins qu’il n’y avait eu un souci avec le bébé. Graziella n’était plus si loin du terme après tout. Ils étaient allés voir dans la chambre de Viviane, leur mère. Là, les jumeaux s’étaient arrêté de parler, de respirer.Esteban et Felipe semblaient encore choqués de se remémorer ce qu’ils avaient vu. Sylvie et Carine continuèrent leur récit sans eux. Là, dans la pénombre de la pièce, ils avaient vaguement distingué trois formes humaines dans le lit. Et surtout une atmosphère moite flottait dans la pièce. Le temps de s’accoutumer à la faible luminosité, l’odeur s’était précisée, les figeant sur place devant la scène qu’ils allaient découvrir. Elle avait été telle qu’ils le craignaient ou l’imaginaient. Cristian, Viviane et Graziella étaient dans le lit et nus comme des vers. Cristian, au milieu, ronflait doucement, un bras posé sur chaque femme. Celles-ci étaient collées à lui et avaient entremêlées leurs doigts, les mains posées sur le ventre du gardien. Graziella avait légèrement bougé les sortant de leur paralysie. Nos amis avaient rebroussé chemin et étaient sortis en silence de l’appartement. Ils étaient allés à une cabine téléphonique et Carine avait appelé l’appartement. Il avait fallu quatre sonneries pour que Viviane vienne décrocher. Notre amie avait fait croire qu’elle prévenait juste pour dire qu’ils partaient de chez elle. La voix ensommeillée de la mère des garçons avait menti aussi en indiquant qu’ils étaient déjà levés.
Ils avaient attendu dehors le temps nécessaire à un trajet depuis chez Carine. Lorsqu’ils s’étaient présentés, les trois étaient en train de finir leur petit-déjeuner. Les jeunes avaient aidé à ranger le bazar et à préparer le repas du midi pendant que les plus vieux étaient allés se laver. Le repas avait été très bizarre pour nos amis, ils avaient vu une chose qu’ils n’auraient pas dû voir. Quant aux quadragénaires, ils faisaient semblant de rien, tout en ayant des gestes et des attitudes un peu équivoques. Dans l’après-midi, ils étaient sortis faire une petite balade à pied. Graziella n’avait pu faire tout le trajet voulu et s’était posée sur un banc. Carine et Sylvie étaient restées avec elle tandis que les jumeaux et leurs parents avaient fait un tour plus long. Après quelques mots sur l’état du bébé, Sylvie et Carine étaient directement entrées dans le vif du sujet. Elles avaient avoué à la prof de sport ce qu’ils avaient découvert. D’abord inquiète, Graziella avait été soulagée quand nos amies lui avaient dit qu’elles et leurs copains ne diraient rien. Alors Graziella avait révélé un peu de la vie qu’elle avait depuis quelques temps.Avec Cristian, ils filaient le parfait amour. Sauf que de temps en temps, celui-ci avait besoin d’air. Au début, elle avait pris cela pour un rejet, une fin d’histoire. Elle avait fini par en parler à Viviane alors qu’elle l’accompagnait à un rendez-vous de suivi de grossesse. La mère des jumeaux lui avait avoué que cela finissait toujours par arriver avec Cristian. Elle lui avait révélé qu’elle l’aimait toujours beaucoup mais qu’elle ne pouvait plus supporter ce comportement. Graziella avait compris les sentiments de sa nouvelle amie. Elle avait observé Cristian et lui avait posé quelques questions sur son ex-femme. Il lui avait paru évident que lui aussi nourrissait des sentiments pour son ex mais qu’il en avait aussi de très forts pour elle-même.Graziella n’avait pas donné trop de détails mais ils s’étaient parlés à trois à plusieurs reprises. Ou deux par deux, selon les cas. Ils avaient réussi à cacher leurs problèmes aux jumeaux qui étaient soit en Allemagne soit trop occupés à autre chose. Les discussions avaient semblé porter leur fruit jusqu’à un clash entre Cristian et Graziella. Viviane était allé parler avec Cristian, la prof de sport n’avait pu donner tous les détails de leur entrevue mais Cristian était revenu voir son ex-femme plusieurs fois. Début novembre, ils avaient fini par coucher ensemble, comme avant. Graziella en avait voulu à Viviane et à Cristian. Pourtant, Cristian semblait toujours garder un lien avec elle et le bébé. Et puis au bout de trois semaines, Cristian avait fait le chemin inverse alors que les mêmes tensions étaient apparues entre lui et son ex-femme. Viviane et Graziella s’étaient rencontrées sans prévenir Cristian, elles en avaient parlé et avaient décidé de le voir ensemble. Sylvie et Carine avaient cru un moment deviner que des relations plus intimes s’étaient nouées entre Viviane et Graziella, elles n’avaient pas osé fouiller plus et avaient attendu la suite du récit.
Cristian avait cru tomber dans un piège mais elles lui avaient dit qu’elles l’aimaient toutes les deux et qu’elles croyaient qu’il les aimait aussi. Elles voyaient bien qu’avec une autre femme à aimer les besoins d’air de Cristian refaisaient beaucoup plus vite surface. Elles lui avaient proposé donc un mode de vie originale. Viviane et elle s’étaient habituées à être amoureuses de lui, à aimer recevoir de petites attentions, à se sentir désirées, tant affectivement que sexuellement. Mais elles souffraient, comme Cristian, de cet état de fait. Elles avaient voulu qu’il change de femme toutes les semaines, pour qu’aucune ne se sente longtemps délaissée et que lui n’ait pas l’impression d’étouffer ou de devoir changer d’air. Depuis début décembre ils appliquaient ce rythme de vie et cela se passait très bien. Viviane et Graziella se voyaient même très souvent en dehors, se racontant ce que faisait Cristian avec chacune. D’abord de façon chaste, elles étaient rentrées de plus en plus dans les détails intimes. Ce qu’avaient pressenti Sylvie et Carine s’était révélé fondé, elles avaient couché ensemble au moins une fois, excitées par le récit d’une nuit torride entre Graziella et Cristian alors que Viviane massait les jambes lourdes de la femme enceinte.
Etait enfin arrivé ce réveillon, où elles avaient voulu organiser quelque chose en commun. Comme ils étaient tous les trois seuls pour le réveillon, elles s’étaient décidées pour le fêter tous les trois. Le repas avait d’abord été un peu étrange : le mari, l’ex-femme et l’amante actuelle. Ils avaient déjà été réuni tous les trois mais jamais pour un moment qui était généralement dévolu aux festivités familiales. L’ambiance s’était détendu petit à petit. Bien sûr Graziella ne buvait pas de vin, à peine avait-elle tremper les lèvres dans une coupe de champagne. Viviane n’était pas trop portée sur la boisson non plus. Cristian avait donc été le seul, ce soir-là, à boire un peu. Cela avait sans doute été ce qui lui avait délié la langue. Avant de passer au dessert, ils s’étaient posés sur le canapé pour regarder un des programmes télé spécial réveillon. Ils avaient évité le trop vu bêtisier et avaient choisi un divertissement. A un moment, des danseuses du Crazy Horse étaient venues faire un numéro.
Cristian avait dû se pencher en avant ou être plus attentif car Graziella et Viviane l’avaient taquiné là-dessus. Il les avait rassurées sur leur physique mais Viviane avait insisté un peu plus et Cristian lui avait répondu :
— D’accord, elles sont bien foutues mais c’est pas elles que j’aime, c’est vous.
Alors que la musique du numéro se faisait entendre, dans le séjour un silence pesant s’était installé. Sonnée, Viviane était devenue toute blanche. Graziella était passée au cramoisi et le bébé donnait de violents coups de pied. Cristian était resté le regard fixé sur l’écran comme si de rien n’était. Graziella avait avoué à nos amies que sur le coup elle avait cru rêvé. Cristian n’avait jamais dit ça, jamais aussi franchement et clairement. Et la prof connaissait assez Viviane pour savoir qu’elle n’avait pas eu ce genre de déclaration depuis que les jumeaux étaient tout petit. Alors, lentement, Graziella avait demandé :
— Ai-je bien entendu ? Tu nous aimes ?
Le gardien avait baissé la tête et ses épaules s’étaient affaissées.
— Cristian, c’est vrai ? avait demandé Viviane.— Oui. Maintenant que je le dis, je sais que c’est le cas. Depuis que nous vivons comme ça, je n’ai jamais été aussi heureux. Je me demandais si vous souhaitez que je fasse un choix définitif entre vous mais c’est impossible. Viviane, je revis nos premières années de bonheur. Graziella, je vis avec toi ce même début de vie en commun passionné. Même si on ne peut pas dire que ce soit une vie en commun.
De ce que Graziella leur avait dit, elles étaient toutes deux en pleurs après cette déclaration. C’était des larmes de joie, elles s’étaient serrées contre lui et étaient restées ainsi un long moment. Minuit approchant, Cristian était allé prendre la demi bouteille de champagne qu’ils avaient prévu. Cristian l’avait ouverte et était revenu avec trois coupes, juste à temps pour trinquer au "Bonne année" souhaité à la télé. Ils avaient fait tinter leurs verres et s’étaient souhaités eux aussi une bonne année. Cristian avait embrassé Graziella puis Viviane avec des baisers appuyés mais chastes. Puis Viviane et Graziella allaient se faire la bise quand le moment intime qu’elles avaient connu leur était revenu en mémoire. Elles avaient hésité puis finalement elles s’étaient embrassées furtivement sur les lèvres. Elles s’étaient rappelées que Cristian était là et avaient craint sa réaction. En fait il avait été mi-amusé, mi-étonné. Il avait levé son verre à la santé de ses "deux femmes" et l’avait vidé d’un trait.
— Pour ce soir tu as tes deux femmes avec toi. Embrasse-nous encore, tu t’es peu occupé de nous pour l’instant, s’était gentiment plainte Viviane.
Cristian les avait embrassés tour à tour. Il avait passé ses bras à leurs tailles et les avait collées contre lui. Graziella s’était sentie bien à ce moment-là, contre le père de son futur enfant et, toute proche, de sa nouvelle amie. Elle avait vu les yeux de Viviane briller de bonheur mais d’un peu d’envie aussi.
— Cristian, c’est ma semaine normalement mais ce soir est un soir spécial. Si tu passais la nuit avec nous deux ?— Avec vous ? En même temps ? s’était-il écrié, pris de panique.— Non, l’une après l’autre...
Avoir un moment intime à trois n’aurait pas déplu à notre professeure mais elle n’avait pas pensé que Viviane et Cristian le veuille.
— Oh, merci, Graziella, avait dit Viviane.
La mère des jumeaux avait embrassé la femme enceinte de façon plus marquée.
— Eh bien, c’est d’accord. Faisons comme ça. Avec qui je vais en premier ?— Va avec Graziella.
Cristian avait accédé à la demande de Viviane. Graziella et lui s’étaient dirigés vers la chambre des jumeaux. Viviane avait prévu leur venue et avait collé les lits l’un à l’autre. Ils s’étaient couchés d’abord sagement mais, bien vite, Graziella avait eu envie de faire l’amour à son compagnon. Elle l’avait embrassé dans le cou, glissant sa main vers son bas-ventre et tombant sur un sexe endormi. Mais il s’était vite réveillé sous les doux doigts de la femme enceinte. Alors, Cristian avait passé ses mains sur le corps de Graziella, son ventre rond, ses seins qui avaient encore pris en volume. Puis il avait dirigé ses doigts vers son sexe humide. Graziella avait avoué à Sylvie et Carine que c’était l’image de se retrouver tous les trois dans le même lit qui avait éveillé ses pulsions. Cristian avait pris cela pour lui et son sexe avait terminé de se gonfler en un instant. Graziella aurait aimé sucer cette queue bien connue mais elle avait bien du mal à se mouvoir une fois coucher. Alors ils s’étaient contentés de se masturber l’un l’autre.
Quand ils s’étaient sentis près, elle avait roulé sur le côté et Cristian était venu la pénétrer en cuillères. Il avait eu son visage enfoui dans ses cheveux, une main sur son sein et donnant de profonds coups de bite dans la chatte de la femme enceinte. Alors que Graziella savourait pleinement ce moment, elle avait perçu une présence. Elle n’avait pas été sûre mais elle avait eu l’impression qu’on les observait depuis l’obscurité du couloir. Viviane les avait-elle épiés ? Elle n’avait pu en être certaine tant le plaisir qu’elle éprouvait avec Cristian était intense. Encore quelques coups et le gardien avait fini par se vider en elle. Elle n’avait pas joui mais avait trouvé ces ébats beaucoup plus fort affectivement. Ils s’étaient assoupis une bonne heure mais un mouvement brusque du bébé avait réveillé Graziella. Elle s’était rendue compte que Cristian était toujours là. Elle l’avait secoué et il avait ouvert un œil. Elle lui avait intimé l’ordre d’aller voir Viviane.Cristian était allé dans l’autre chambre ; notre professeure l’avait entendu appeler son ex-femme. Elle lui avait répondu et ils avaient un peu parlé. Puis Graziella n’avait plus entendu de paroles, seulement quelques chuchotements, se transformant en soupirs. Ensuite quelques grincements de literie avaient confirmé à Graziella qu’ils devaient faire l’amour. Prise d’une envie subite de voyeurisme, elle était allée voir ce qu’il se passait. Une lampe de chevet restée allumée lui avait permis de voir dans la chambre. Viviane était sur Cristian en cowgirl inversée. Le visage tourné vers la porte elle avait semblé chercher une présence. Elle avait dû percevoir celle de Graziella et avait souri à l’obscurité du couloir.Notre professeure n’avait pas tardé à voir l’assistante maternelle prendre de plus en plus de plaisir alors que Cristian grognait sous elle. Comme avec Graziella, le gardien avait fini par se vider en elle sans lui faire atteindre un orgasme physique. Mais dans son regard, Graziella avait perçu le même bien-être profond qu’elle-même avait ressenti. Cristian avait attiré Viviane à lui et ils s’étaient pris dans les bras. Graziella était retournée dans sa chambre les laissant à leur plaisir. Mais quelques minutes plus tard, elle avait entendu des pas. Cristian revenait-il vers elle ? Non, elle avait eu la surprise de voir Viviane s’approcher. Elle était toujours nue, comme Graziella, le chauffage collectif assurait une température élevée, presque trop. Elle s’était glissée vers notre professeure :
— Graziella. Merci.— De rien Viviane. Je t’apprécie tu sais.— Moi aussi.
Comme deux adolescentes gênées, elles n’avaient pu se résoudre à se parler plus ouvertement. Mais leurs corps avaient parlé pour elles, elles s’étaient penchées l’une vers l’autre et s’étaient embrassées. Leurs doigts s’étaient égarés sur leurs poitrines leur arrachant quelques gémissements. Les mains avaient glissé vers leurs sexes pour les fouiller tendrement. Elles en avaient ressorti des doigts enduis de mouille et du sperme de Cristian. Viviane et Graziella avaient fait lécher leurs doigts à l’autre et elles s’étaient mises à les sucer goulument. Une fois propre ils étaient repartis sur la chatte de l’autre. Entre baisers baveux et sexes dégoulinant, elles s’étaient faites jouir rapidement. Haletantes, elles s’étaient enlacées et s’étaient câlinées. Puis Viviane s’était détaché :
— Je n’étais pas venue pour ça.— Alors pourquoi ?— Pour te faire venir avec nous. Viens dormir avec nous.— Avec vous mais...— Juste dormir, Cristian sera content... et moi aussi.— D’accord. J’enfile une chemise de nuit.— Non, reste comme ça.
Graziella s’était laissée convaincre. Elles s’étaient glissées toutes deux dans le lit, contre le gardien. Il s’était réveillé et avait senti ces deux corps nus contre lui. Il avait voulu dire quelque chose mais elles avaient posé leurs lèvres sur les siennes. Cela l’avait fait taire pour de bon et il s’était rendormi en les serrant contre lui. C’était ainsi que les jumeaux et les filles les avaient découvert au matin. Carine et Sylvie n’avaient pas eu le temps de questionner Graziella sur ses sentiments, les autres revenant enfin. Les jumeaux étaient restés chez leur mère, les filles étaient reparties chez elles, Graziella et Christian chez la professeure.Les filles purent parler avec les jumeaux par la suite. Ceux-ci furent choqués mais aussi heureux pour eux. S’ils étaient heureux comme cela, après tout. Leurs propres amours étaient déjà très libérés, ils n’allaient pas faire d’esclandre. Mais il y avait un petit quelque chose de difficile à avaler tout de même. Il s’agissait de leurs parents et d’une femme avec laquelle ils avaient eu des relations sexuelles. Je comprenais un peu leur malaise. Tout comme j’avais compris celui de Liz et Olivier. Ils formaient donc un trouple comme on disait, je me rappelai que Sartre et Zola avait bien vécu ainsi, alors pourquoi pas eux. L’heure avançant, nous nous quittâmes sur ces révélations fracassantes; le cœur et la tête remplis de nos histoires réciproques.
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