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Le projet artistique

Chapitre 61

Ils arrivent

Orgie / Partouze
Maxime narrateurLes jumeaux et leurs copines furent les témoins discrets de la mise en place de ce mode de vie entre Cristian, Viviane et Graziella. Ils avaient hâte de voir enfin l’enfant naître. En attendant, ils vivaient plutôt sagement leur vie. Cristian alternant, comme une horloge suisse, entre ses deux femmes. Celles-ci se satisfaisant parfaitement d’avoir toujours un homme jovial et amoureux à leurs côtés lorsque c’était leur semaine. Elles se permirent aussi de passer une semaine sans le voir mais en sortant entre "copines". Nos amis se demandèrent si elles n’en profitèrent pas avoir des relations plus qu’amicales mais ce ne fut pas le cas. Tout comme la nuit du réveillon ne semblait pas devoir se renouveler.Du côté des Allemands, nous avions quelques nouvelles. Mais cela ne concernait que leur future venue. Nous avions négocié secs mais comme prévu nous allions tous dormir dans l’ancien internat. Nous avions attendu une nouvelle vidéo de leur part sans qu’elle n’arrive. Souhaitaient-ils s’arrêter à ce qu’ils avaient envoyé la fois d’avant ? Le sexe oral entre personnes du même sexe. Du coup, nous n’avions pas osé envoyer la deuxième partie de notre petit film, celui où les filles se fistaient et où les mecs s’enculaient. L’envie nous démangeait pourtant sérieusement. Mais ce n’était guère le moment de penser aux cochonneries, nous étions supposés avancer rapidement sur notre projet, faire nos choix de concours et travailler, travailler, travailler...Fin janvier, un mardi matin, nous eûmes la surprise de ne pas voir Cristian à l’entrée de l’établissement comme chaque matin. Esteban et Felipe arrivèrent presque en retard mais nous annoncèrent que leur père était parti en pleine nuit suite à l’appel de Graziella. Ils n’avaient pas encore de nouvelles mais il leur semblait que c’était parti pour de bon. Ce fut en fin de journée qu’ils en surent plus. Leur mère les attendait à la sortie. Elle leur annonça qu’ils étaient désormais les grands frères d’une petite sœur prénommée Barbara. Tout n’avait pas été sans mal et sans complication mais le bébé et la maman se portaient bien. Viviane nous parut presque aussi émue que si cela avait été elle qui avait accouchée. J’étais touché que Graziella ait cet enfant, je me rappelai de son état d’esprit un peu plus d’un an auparavant. Je restai rêveur un moment, perdu devant l’étrangeté de la vie et de ses bouleversements parfois rapides. Je vis que les autres avaient aussi le regard dans le vide. Cela intrigua fortement Viviane qui nous observa attentivement. Sylvie s’en aperçut aussi et éluda notre attitude par un tranchant :
— Bon, nous c’est pas pour tout de suite. Et heureusement...
Quelques autres commentaires suivirent et semblèrent faire s’envoler les interrogations de Viviane. Elle embarqua avec elle ses fils et ils se rendirent à la clinique où avait accouché notre professeure. Le lendemain, ils revinrent enchantés de leur nouvelle sœur. Ils l’avaient pris dans les bras et fait quelques photos. Les filles en furent un peu jalouses à mon avis. Elles décidèrent d’y aller après les cours. Olivier, Germain et moi n’étions pas trop chaud pour y aller. Enfin, ça ne nous intéressait pas plus que ça. Et puis, ça aurait fait beaucoup trop de monde. Elles embarquèrent Elisa avec elles après les cours. Elles zappèrent leur entrainement de danse, pour une fois. J’eu un compte-rendu de la visite par Amandine, le soir même. Graziella avait été très heureuse de les voir. Elle était toute fière de leur montrer sa fille qui était éveillée dans le couffin à côté de son lit. La petite semblait vive et alerte, curieuse de son environnement. Sa tignasse brune toute raide amusa Marie et Liz. Elles auraient bien voulu la prendre dans leurs bras mais Graziella avait trouvé que cela faisait bien trop de monde. Alors les filles avaient proposé à Elisa de la prendre un peu.Je fus étonné de ce choix. Pour moi, cela risquait de raviver la tristesse latente de notre amie quant à sa stérilité. Amandine me répondit fort justement que cette tristesse l’avait quittée depuis qu’elle avait décidé d’adopter. Et puis, elles ne savaient pas pourquoi mais les filles avaient trouvé que c’était pile le bon moment. Elle en avait parlé avec Sylvie et Carine dans le bus de retour. Cela les avait étonnés aussi mais leur avait paru tellement évident sur le coup. Et puis, toutes les femmes de la pièce, sauf Elisa, avaient eu un surplus de bien-être en observant l’Allemande pouponner le nourrisson. Amandine m’avoua que cela lui avait donné une furieuse envie de pouponner aussi. Je frémis à l’idée qu’elle m’annoncerait qu’elle aurait voulu être enceinte. Mais son envie était vite passée dans la soirée. En discutant avec les autres gars, je sus que leurs copines avaient toutes ressenti le même désir ardent de reproduction. Et qu’il s’était aussi vite calmé. Cela restait un peu flippant de notre point de vue. Si je n’avais rien contre l’idée de faire des enfants, avec Amandine tant qu’à faire, c’était bien, bien trop tôt. Elles avaient dû se raisonner mais nous supposions que le désir était juste mis de côté pour le moment.D’après ma copine, Elisa avait été d’une sérénité absolue avec Barbara dans les bras. Ni triste, ni surexcitée. Juste parfaitement sereine et bien son rôle. Marie s’était fait la réflexion qu’elle était vraiment prête pour être mère. Cet évènement dut avoir une influence étrange car dans la semaine qui suivit Paul et Elisa apprirent que leur dossier d’adoption avançait plutôt très bien. Les entretiens qu’ils avaient eu avaient été concluants. Il ne manquait plus grand-chose pour que tout soit validé. Après, il faudrait prendre son mal en patience. Ils n’étaient pas le seul couple à vouloir un petit bébé : la liste d’attente était assez longue. Les deux semaines jusqu’aux vacances furent assez longues. L’impatience nous gagnait de plus en plus. Les Allemands devaient arriver un dimanche matin. Comme nous l’avions fait quelques mois auparavant. L’atelier du vendredi juste avant leur arrivée nous réserva une petite surprise. Ce n’était pas la vidéo que nous attendions mais une lettre qui venait de Dieter et était signée par tous (Hanna et Gitta compris).
Ils avaient beaucoup aimé notre vidéo, cela leur avait donné d’autres envies. Ils les avaient concrétisées durant le réveillon de nouvelle année.
* * *
Lettre de Dieter (écrite en allemand)Bonjour à tous, amis Français.Nous vous souhaitons conjointement une très bonne année. Quelle soit synonyme de réussite dans vos études. Nous avons beaucoup aimé votre vidéo, nous nous doutons qu’il y a une autre partie. Nous sommes très curieux d’en voir le contenu. Surtout vos jeunes amis dont l’imagination débordante aurait grandement besoin d’être rassasiée. Il y a plusieurs scénarios qui se disputent leur préférence. En tout cas, si vous aviez des doutes quant à leur appétit pour les nouveautés, ils n’ont pas lieu d’être. Ils auraient bien voulu tourner une autre vidéo mais notre matériel a eu un problème avant les vacances. Nous ne sommes plus en RDA mais il semble que l’administration soit toujours sous l’ancien régime. Nous n’avons reçu les pièces de rechange que mi-janvier. Cela aurait tout juste laissé le temps de tourner quelque chose et vous l’envoyer. Ils ont préféré l’apporter eux-mêmes. Pour un visionnage avec la seconde partie de votre film, espèrent-ils.Nous savons que vous n’avez pas pu fêter en groupe le passage à la nouvelle année. De notre côté, nous en avons profité grâce à Peter car sa famille a récemment hérité de la petite maison de sa grand-mère. En attendant de savoir quoi en faire, elle est libre et à disposition. Les jeunes ont donc voulu y organiser une fête tous ensemble. Ils ont choisi de nous inviter, Gitta, Hanna et moi. Svenja a su, je ne sais comment, que nous n’avions rien prévu. Gitta pensait sortir avec quelques amis ou aller chez sa famille. La perspective que lui ont offert les jeunes était bien plus excitante. Nous avons été très tentés aussi mais il y avait Adrian à faire garder. Les parents d’Hanna ne pouvaient le prendre cette fois-là. Nous avons été bien embêtés mais finalement les parents d’un petit garçon avec lequel Adrian joue tout le temps au parc nous ont proposé de le garder. A charge de revanche pour une prochaine fois. Adrian a été tout fier de cette première et est très pressé de tout raconter à sa tante.
Nous sommes tous les trois arrivés les derniers. Les jeunes étaient déjà là depuis deux heures et ils avaient bien fait les choses. Nous nous sommes chargés des desserts et eux du reste. Ils avaient un peu décoré le séjour de la maison ainsi que la table familiale qui s’y trouvait. Nous avons tout de suite vu les plats qui finissaient de mijoter et ceux qui étaient déjà sur la table. Ils se sont même essayés à préparer un "apéritif", comme vous dites. A côté de ça, ils étaient tous très élégants, ils avaient fait un effort important et nous avions fait de même du nôtre. C’est ma femme qui a fait le plus d’effet. Sa robe moulait son ventre qui s’arrondit de jour en jour. Surtout que ce n’est pas une robe de grossesse. Du coup ses seins, qui ont pris un peu de volume, avaient tendance à vouloir se faire la malle. Peter, Wilhelm et Stephan ont eu les yeux braqués sur elle. Gitta s’est sentie un peu jalouse, je pense, et elle a arrangé son décolleté pour qu’il soit plus avantageux. Mes petites élèves ont voulu faire de même. Elles ont alors fait sauter un ou deux boutons de leurs chemisiers. Je ne savais déjà plus où regarder alors que nous venions à peine d’arriver. Les garçons étaient un peu dans le même état et finalement nous avons fait tomber la veste ou le pull car nous commencions à avoir chaud...
Le repas a débuté dans une ambiance joyeuse. Cette entame française nous a immédiatement remis en mémoire votre venue. Chacun y est allé de son anecdote, de son souvenir touchant. Cela a d’abord été très émouvant ou amusant. Mais bien sûr les souvenirs plus sexuels ont vite fait leur apparition alors que nous en étions encore à l’entrée. Surtout, Stephan et Svenja ont un fort sentiment de dette envers vous. Vous les avez bien débloqués. Mêmes les autres vous sont reconnaissant, ils ont pris leur envol depuis votre venue. Ils se sentent plus libres, plus affirmés aussi. Mais surtout plus sûr d’eux en matière de sexe. Avec Hanna et Gitta, nous nous en sommes bien rendu compte d’ailleurs. Je trouve en effet que les filles sucent bien mieux que les premières fois où je les ai vues faire. Hanna aussi, elle leur en a fait la remarque et elles se sont senties pousser des ailes au point de dire qu’elles avaient sans doute rattrapées le retard pris sur Hanna et Gitta. Je les soupçonne depuis votre départ de pratiquer assidument la fellation. Peter et Jutta ont d’ailleurs failli se faire prendre sur le fait au Gymnasium. Mais de là à dépasser ma femme et son amie...Gitta leur a vite rappelé leur propre passé d’actrices mais Ida leur a fait valoir que dernièrement elles avaient beaucoup moins pratiqué. Je ne me plains pas de la fréquence de nos rapports ni de leur qualité mais c’est vrai que la fougue de notre jeunesse est un peu passée. Gitta a été piquée au vif et leur a fait valoir qu’elle devait encore sucer bien mieux qu’elles et qu’elle était prête à le prouver sur le champ. Les jeunes femmes ont répondu qu’elles étaient prêtes à prouver leurs compétences nouvellement acquises. Stephan et moi avons voulu calmer le jeu mais un cinglant "Te mêles pas de ça ! C’est une affaire entre femmes !" d’Hanna nous cloua le bec. Peter et Wilhelm n’ont alors pas osé intervenir.Les esprits féminins se sont vite échauffés devant nos yeux éberlués. Elles ont voulu se mesurer les unes aux autres mais n’ont pas su tout de suite comment s’y prendre. C’est Stephan qui a proposé que ce soient les hommes présents qui jugent. L’idée de me faire sucer par l’une ou l’autre des jeunes femmes m’a beaucoup plu, aux autres gars aussi. Elles ont sauté sur l’idée et en quelques instants elles ont réglé les détails.Elles nous ont assis sur quatre chaises alignées et avec le pantalon déjà aux chevilles. La proximité d’une ou plusieurs fellations avait déjà réveillé nos virilités. Elles allaient entamer leur pipe quand Gitta a soulevé un problème. Nous allions savoir qui allait nous sucer et donc manquer d’objectivité, soit par amour soit par peur de se faire engueuler. Peter a donc proposé qu’elles nous bandent les yeux. Cela fut vite fait et nous nous sommes retrouvés aveugles et le sexe à l’air. Afin que chacune parte à égalité, notre compagne officielle nous a masturbé un peu pour terminer de nous mettre en condition. Une fois que tous les hommes ont été prêts, Gitta leur a demandé de se mélanger et surtout de s’attacher les cheveux. J’avais compté un peu là-dessus pour faire le tri dans les jeunes femmes. Un soupir de déception de Stephan à ma droite m’a fait dire qu’il avait espéré s’en sortir comme ça aussi.

— Et vous gardez les mains dans le dos ! Celle qui ne suce pas surveille, a annoncé Gitta.
Encore quelques mouvements et j’ai senti une bouche venir se poser sur mon sexe. J’ai senti de petits coups de langue sur mon frein et une main qui m’a malaxé les couilles doucement. Puis la bouche est venue envelopper mon gland avant de descendre assez loin sur ma hampe. C’était profond, lent, doux mais intense d’une certaine façon. C’était très plaisant mais pas au niveau de ma femme. J’en étais sûr. A ma droite j’ai entendu Stephan gémir faiblement, il avait l’air d’aimer sa suceuse. C’était Hanna ? Une autre ? La pièce a vite été remplie de bruits de succion et de gémissements masculins. Celle qui était de côté a claqué dans ses mains et ma suceuse m’a quitté pour glisser à droite.J’ai donc eu celle qui était de côté. Sa bouche est tout de suite venue gober ma queue pour l’enfoncer profondément. Elle est remontée tout aussi vite en la faisant ressortir. Elle a refait cela deux fois avant de me pomper le dard avec une belle énergie et une maitrise certaine. J’avais pensé tomber sur Gitta mais j’avais un doute. Ça pouvait même être Hanna selon moi. C’était en tout cas bien mieux que la première, suffisamment pour que je sente mon plaisir grimper dangereusement vers les sommets. Mais un claquement de main et cela a tourné de nouveau. La troisième a approché doucement de mon sexe, tellement précautionneusement que j’ai cru qu’elle en avait peur. Peut-être une de mes élèves qui rebutait de sucer son prof. Ou alors Hanna qui prenait garde à ce que je ne la reconnaisse pas de suite. Elle a fini par me lécher le sexe de haut en bas pour venir me suçoter les couilles. Elle a lentement remonté pour m’emboucher le gland. Elle est restée concentrée dessus avec ses lèvres tout en m’appliquant une souple masturbation de ses doigts agiles. M’exciter la base du gland comme elle le faisait était divin.Mais je n’ai pas eu le temps d’en profiter plus. Elles ont tourné encore une fois. Je n’ai pas eu le loisir de me reposer qu’une bouche avide m’a gobé la bite. Elle s’est tout de suite mise à aller et venir avec rapidité sur ma hampe. Une de ses mains était posée à la base de ma queue sans bouger. Dommage j’aurais bien voulu qu’elle me caresse les couilles. Elle a dû sentir mon désir et elle s’est mise à me les malaxer délicieusement. J’ai eu l’impression que j’allais exploser rapidement. Mais une dernière fois celle qui était en retrait a tapé dans ses mains et elles ont changé de sexe à sucer. J’ai alors goûter à la dernière d’entre elles. Elle a empoigné mon membre, m’a un peu branlé puis est venue me gober le gland. Elle est descendue très bas, presque une gorge profonde. Puis elle est remontée très lentement. Ensuite elle a entrepris une fellation rythmée et agréable. C’était un peu au niveau de la première.Elles se sont arrêtées et se sont reculées. Gitta nous a demandé de garder les bandeaux, le temps de réfléchir. J’ai pas mal hésité entre la deuxième et la quatrième. J’ai finalement pris la quatrième car elle avait perçu mes attentes. Gitta nous a demandé de montrer le nombre de doigts qui correspondait au numéro de passage de la fille qui nous avait le mieux sucé. Nous les avons entendu bouger. J’ai tendu le bras devant moi en dressant quatre doigts. J’ai alors ressenti un certain flottement. J’ai ôté mon bandeau. Elles étaient devant nous, alignées dans un certain ordre. Légèrement sur ma gauche Gitta, en face Ida, puis Svenja, Hanna et enfin Jutta. A mon grand soulagement j’ai compris que j’avais choisi ma femme. Les garçons à ma droite étaient moins sereins, ils comprenaient qu’ils avaient pris ou Gitta ou Hanna. C’est Gitta qui a gagné ce concours improvisé. Les jeunes ont été un peu vexées mais après quelques compliments de notre part, elles ont admis leur défaite.
Nous allions nous rhabiller quand elles nous ont dit de rester ainsi. Nous nous sommes laissé faire docilement, dans l’espoir de profiter de la vue de nos compagnes en aussi petite tenue. Mais il n’en a rien été tout de suite. Nous nous sommes remis autour de la table mais ces coquines se sont amusées à maintenir la bandaison de leur copain ou mari avec quelques caresses bien placées. Elles nous ont alors bien taquiné mais leur excitation était bien visible aussi. Peter leur a fait remarquer et elles ont avoué que tout cela les avait mis dans un état pas possible. Ida s’est sentie obligée de préciser qu’elle avait été rarement aussi mouillée alors que personne ne l’avait encore touchée. Les autres nanas se sont un peu moquées d’elle mais nous leur avons dit qu’elles étaient sûrement dans un état similaire. Elles l’ont admis et Jutta a déclaré qu’elle mouillerait encore plus sous les coups de langues de son copain. Cela nous a fait rire mais une idée lubrique a vite germé dans mon esprit. Et si nous rendions la pareille à ces demoiselles ? J’allais proposer un jeu identique quand Peter m’a devancé. Elles ont vite accepté la proposition.En moins de deux, elles se sont mises la chatte à l’air, les cuisses écartées, prêtes et impatientes de se faire bouffer la moule. La plupart mouillait déjà bien. Je me suis demandé ce que cela allait encore donner avec Svenja. Mais nous nous sommes mis au travail rapidement. J’ai commencé avec Ida. Ses poils blonds sur sa chatte me tentaient bien. J’ai jeté un œil pour voir que Stephan se présentait devant ma femme. Il a plongé entre ses cuisses et elle s’est mise à gémir tout de suite. Ma coquine à moi était bien chaude déjà. Je me suis reconcentré sur Ida et je suis allé la butiner. Je ne me suis pas jeté sur son sexe tout de suite, j’ai embrassé le creux de ses cuisses, j’ai tourné autour. Elle a un peu râlé d’impatience et je me suis lancé sur son clitoris. Ida a tout de suite émis un gémissement tendant vers l’aigu. Elle était fraiche et peu odorante, toute en subtilité. Par contre, ses muscles étaient beaucoup plus expressifs. Chaque coup de langue bien placé lui déclenchait des ondes de plaisir et des frémissements tout autour et dans le sexe.
Mais je n’ai pas eu le temps de la faire jouir, il fallait tourner. Je l’ai laissée et je suis passé à ma femme. Stephan me l’avait mis dans un sacré état. En même temps, avec sa grossesse, elle est plus sensible. Je l’ai alors léchée avec toute la délicatesse qu’il fallait pour lui donner un maximum de plaisir sans la faire jouir. J’ai retrouvé son goût bien marqué et salé. J’ai titillé son clitoris avec précision et introduit un doigt dans son vagin. Il en est ressorti trempé. Hanna a poussé une plainte plus forte et s’est cambrée un peu plus. J’étais content de moi, je réussissais ce que je voulais faire. J’étais tenté de lui planter un second doigt et de la fourrer plus intensément mais dans son état ça l’aurait fait jouir en un rien de temps. Je me suis contenté de les rentrer profondément tous les deux sans les agiter pour autant. J’ai senti et entendu tout le plaisir qu’elle en a obtenu.Mais il était temps de changer. Je suis tombé sur une Jutta déjà au bord de l’orgasme, sa chatte dégoulinait sur la chaise et elle haletait fébrilement. J’ai d’abord embrassé l’intérieur de ses cuisses, son pubis. Cela a fait baisser son excitation, je suis alors allé à la charge sur sa petite chatte. C’était très fruité, sucré : un vrai bonbon. Je ne pense pas avoir rien fait d’extraordinaire mais elle est repartie immédiatement vers des sommets d’extase. Je me suis restreint à lui lutiner le bouton pour la maintenir dans cet état. Heureusement qu’après moi, elle aurait une pause avant que Wilhelm ne termine. Je suis ensuite passé à ma chère Gitta; j’ai retrouvé sa petite chatte tonique et musquée. Je sais qu’avec elle il ne faut pas faire trop le délicat. Je lui ai planté deux doigts dans le vagin et je me suis défoulé sur son clitoris. Elisa, ton amie a alors poussé un long râle guttural, tant elle a été surprise et émoustillée par mon action. Peter et Stephan qui étaient passés avant moi l’avaient quand même bien chauffé.
J’ai cru que j’y étais allé trop fort et qu’elle allait me jouir au visage. Mais finalement j’ai pu légèrement la calmer et continuer à la maintenir dans cet état de quasi-orgasme. J’ai fini par Svenja que je sais femme-fontaine. J’étais très tenté d’en faire l’expérience mais ce n’était pas le but ce soir-là. Je me suis occupé de sa minette trempée, elle était bien odorante et presque acidulée. J’ai mis un peu de temps à trouver la bonne façon de faire avec elle mais son excitation est montée en flèche à partir de ce moment-là. J’ai alterné entre doigtage et léchage tout le temps que je suis resté sur elle.
Il a fallu arrêter au grand dam de ces demoiselles. Nous avions repris une belle bandaison et l’avons arboré fièrement en nous alignant comme elles l’avaient fait après leurs pipes. Il leur a fallu quelques instants pour reprendre leurs esprits et elles ont tendu les mains pour indiquer leur lécheur préféré. J’ai tout de suite regardé Hanna, heureusement elle a présenté le deux : moi. Gitta et Svenja ont opté aussi pour moi alors que Jutta et Ida ont choisi Peter et sa langue supersonique. Elles ont voulu se relever et rabaisser leurs jupes ou robes mais Wilhelm leur a fait remarquer qu’il était plus juste qu’elles soient comme nous. En plus elles allaient souiller leurs vêtements. Hanna et Gitta sont apparues en soutien-gorge alors que les filles étaient encore avec un chemiser. Pour être à égalité, elles les ont retirés pour finalement tout enlever. Le garder leur a semblé ridicule. Devant ces cinq femmes nues, nous n’avons eu d’autre choix que de suivre leur exemple, chose que nous avons fait de bonne grâce.
Nous avons donc poursuivi le repas de fête dans le plus simple appareil. Mes petites élèves ont maté avec une pointe d’envie évidente le ventre de ma femme. Même Gitta a été prise d’une certaine envie, jalousie amicale, quant à son état et à son bonheur apparent. Elle les a laissés lui toucher le ventre. Il commence à bien s’arrondir et elles en ont pris soin comme si elle était presque au terme. Avec les garçons nous avons cru que les palpations allaient dériver vers quelques caresses bien plus sensuelles. Le spectacle risquait d’être grandiose mais minuit allait sonner et elles ont arrêté.Nous avons été un peu déçus mais nous avions aussi besoin de manger ces desserts et de trinquer à la nouvelle année. Nous nous sommes rassis tous nus comme des vers et avons dégusté quelques plaisirs sucrés. Finalement minuit a sonné et Peter a débouché une bouteille de Sekt produit par un de ses oncles. Nous avons fait tinter nos verres les uns contre les autres et en avons bu une gorgée. Puis je suis allé embrasser Hanna et les garçons l’ont fait avec leurs copines. Nous avons vu Gitta toute seule dans son coin, j’ai été un peu embêté pour elle. Et Stephan a dû le voir aussi, il a proposé que tous les garçons présents l’embrassent pour la nouvelle année. Et parce qu’elle avait gagné le petit concours de pipe, il lui fallait bien un petit trophée. Elisa, ta copine très coquine a vite retrouvé le sourire. Nous nous sommes approchés d’elle tous les quatre. Nous l’avons embrassé tour à tour. Cette cochonne en a profité pour venir nous palper les queues. Et nous n’avons guère été mieux puisque nos mains se sont égarées sur sa poitrine, ses fesses et sa vulve. Il a fallu arrêter avant que cela n’aille trop loin, nos compagnes n’en ont pas semblé choquées.A mon grand plaisir, Ida a fait remarquer que j’avais gagné l’autre concours. Les cinq femmes se sont alors approché de moi. Elles m’ont embrassé et j’ai senti de nombreuses mains venir profiter de moi et de mon corps. Je ne suis pas resté inactif et j’ai exploré les anatomies variées qui étaient à ma portée. Nous sommes sortis de cet épisode passablement excités. Les quatre hommes bandaient durement et les cinq femmes avaient un sexe luisant de mouille. Je pensais pouvoir profiter de ma chère Hanna mais elle a eu d’autres envies.Comme Peter avait quelques points, elle a déclaré qu’il devait bien avoir un petit quelque chose. Elle s’est collée à lui, l’a embrassé et a empoigné sa bite pour la branler. J’ai bien vu qu’elle avait envie de s’amuser avec lui. J’ai été un peu vexé qu’elle ne m’en parle pas avant mais quand j’ai vu que cela avait allumé certains désirs chez les autres, je me suis dit que nous avions une bonne occasion devant nous. Stephan semblait vouloir jeter son dévolu sur Gitta. A part la couleur de cheveux, niveau morphologie, il n’a pas été trop changé par rapport à Ida. Mais il n’a pas osé se lancer tout de suite. Jutta, elle semblait vouloir croquer Wilhelm, tout comme Ida. Moi, la grande Svenja me tentait franchement.
Un gémissement de ma femme nous a sorti de notre indécision. Peter était en train de la doigter tout en lui suçant un sein. Je me suis alors dit que c’était trop bête d’hésiter. Les autres aussi car nous nous sommes tous rapprochés selon les affinités du soir. Rapidement Gitta s’est occupé de Stephan, elle est tombée à genoux devant lui et l’a gratifié d’une belle pipe. Il s’est mis à geindre comme un fou tout en posant les mains sur la tête de Gitta. Quand elle a obtenu la dureté souhaitée, elle s’est relevée et a plaqué le visage du garçon contre ses seins. Il s’en est délecté comme un mort de faim. Gitta s’en est amusé mais a beaucoup apprécié la fougue du jeune homme. Surtout qu’il n’a pas oublié de venir lui tripoter le con. Il s’est acharné quelques instants sur son clitoris avant du lui fourrer un doigt dans la chatte. Gitta a perdu son sourire pour un air extatique.Ils ont navigué dans la pièce en s’astiquant l’un l’autre pour finir par se retrouver dans un coin. Contre le mur, Gitta ne pouvait plus bouger, elle s’est accrochée à Stephan, lui a grimpé dessus même. Il s’est senti poussé des ailes et avec l’aide du mur, il s’est planté en elle. Il l’a pénétrée avec énergie. Gitta a beaucoup aimé sa vitalité et sa jeunesse. Je ne l’avais pas vu prendre autant de plaisir depuis certains films. La position étant tout de même difficile à tenir, Stephan a craqué assez vite. Mais excitée comme elle l’était cela a suffi à Gitta pour jouir aussi.De son côté, ma petite femme s’était laissée glisser au sol. Un coussin passé sous les fesses, elle s’est fait lécher la chatte. Elle m’a avoué ensuite qu’elle voulait tester à nouveau la langue hyper rapide de mon élève. Elle s’est mise à gémir, presque à crier, sous ses coups de langue. Lorsque Peter lui a en plus fourré un doigt dans le cul, elle ne s’est plus sentie. Elle s’est cambrée et a joui dans un tonnerre de cris d’extase.A peine remise de son orgasme, elle a attiré Peter à elle, elle a goûté à sa propre cyprine sur les lèvres du jeune homme. Nous l’avons entendu lui demander : "Baise-moi fort !". Peter ne s’est pas fait prier. Il a planté sa queue en elle, arrachant à ma femme une nouvelle plainte de plaisir. Il l’a besogné frénétiquement pendant un petit moment, Hanna a senti un second orgasme arriver. Je l’ai vu à ses yeux qui se révulsaient. Peter a voulu changé de position mais Hanna était si proche de jouir qu’elle n’a pas voulu bouger. Elle lui a enserré la taille avec ses jambes et l’a encouragé à y aller à fond. Peter s’est déchainé et il a vite transpiré comme s’il était au sauna. Hanna lui a soudain griffé le dos alors qu’elle jouissait fortement. Peter s’est enfin déversé en elle avant de s’écrouler, épuisé et satisfait, sur le côté.Wilhelm s’est retrouvé assailli de deux furies, il n’a pas trop su quoi faire tout de suite. Cela faisait beaucoup de seins et de bouches à s’occuper. Les filles ont pris les choses en main, il s’est laissé faire avec délice. Elles l’ont poussé sur le canapé et se sont placées de part et d’autre de lui. Elles ont entamé une double fellation qui lui a fait pousser des plaintes suraigües. Ida et Jutta en ont profité pour s’embrasser tout en le suçant avidement. Mais pour le pauvre Wilhelm le supplice est vite devenu insupportable. La mort dans l’âme, il les a arrêtées avant qu’il ne soit trop tard. Ida et Jutta se sont redressées et ont voulu continuer à se rouler des pelles. Wilhelm s’est joint à elles pour un triple baiser.Puis il s’est levé et elles se sont mises à genoux sur le canapé, offrant leurs croupes à sa queue. Wilhelm s’est planté dans Jutta et l’a baisée. Il a réussi à glisser ses doigts dans la chatte d’Ida pour la maintenir au chaud. Il a changé de chatte et a baisé Ida tout en fouillant le con de Jutta de ses doigts. Les filles se sont vite embrassées l’une l’autre alors qu’elles se faisaient baiser ou doigter. Wilhelm a changé plusieurs fois pour son plus grand plaisir. Il a vite senti que les filles étaient toute proche de la jouissance. Il est sorti de Jutta et s’est mis à les branler activement toutes les deux. Le séjour s’est retrouvé rempli des gémissements des filles et des "flop, flop" de leurs chattes dégoulinantes. Elles ont fini par jouir, les lèvres soudées. Elles se sont affalées sur le sofa, épuisées. Mais Jutta a vu Wilhelm, la queue à la main. Avec Ida, elles l’ont attiré à elles et l’ont repris en bouche. En quelques secondes, il s’est déchargé sur leurs visages dans un râle libérateur. Les filles se sont léchées l’une l’autre alors que Wilhelm reprenait son souffle à côté.
Svenja a voulu aussi se faire lécher et cela tombait bien car je voulais la goûter encore un peu. Elle s’est assise sur une chaise et a écarté les cuisses. Elle était très excitée et mouillée. A peine l’ai-je butinée qu’elle a exprimé une profonde extase. En temps normal, je lui aurais juste léché la chatte pour la baiser ensuite. Mais j’avais envie de me retrouver sous son déluge de mouille. Je l’ai léchée, sucée, doigtée. Et elle a fini par jouir puissamment. Comme je m’y attendais et comme je l’espérais, je me suis retrouvé sous un geyser de cyprine. Je n’avais jamais eu autant de mouille sur le visage. C’est une drôle de sensation mais fort agréable. J’en ai bien profité, en buvant tout ce que j’ai pu, en étalant le reste sur mon visage ou mon torse.Remise de son orgasme, Svenja m’a incité à prendre sa place sur la chaise puis s’est glissée entre mes cuisses. Elle m’a sucé un peu, j’ai reconnu en elle ma dernière suceuse du concours. J’étais tout à mon plaisir me disant que j’allais bientôt lui remplir la bouche, ce qui m’aurait parfaitement contenté pour cette fois-là. Mais mon élève avait une autre idée en tête. Elle a fini par abandonner ma queue pour venir à califourchon sur moi. Avec ses grandes jambes, elle a pu garder les pieds au sol et venir s’empaler sur ma queue dressée. Dans cette position, elle a mené le rythme à sa convenance, se baisant sur mon pieu bandé. J’ai donc eu tout le loisir de m’occuper de ses seins avec mes mains et ma bouche. Cela lui a fait beaucoup monter le plaisir. Elle s’est déchainée sur ma bite encore plus fortement, claquant son cul sur mes cuisses de plus en plus vite et fort. A un moment, j’ai senti ma semence grimper le long de ma verge. Je lui ai alors pincé les tétons, elle a poussé un cri de surprise et de plaisir.
Elle s’est soudainement figée sur moi, plantant ma queue dans les tréfonds de son vagin. Je l’ai senti se contracter autour de ma bite, elle jouissait silencieusement. Je me suis alors vidé en elle de plusieurs traits de foutre bien épais et bien fournis. Svenja a posé sa tête sur mon épaule et a repris doucement son souffle. Ma queue a fini par débander et sortir de sa chatte.Après quelques minutes, nous nous sommes tous séparés. Chacun est revenu à son ou sa partenaire. Nous n’avons pas eu le courage de ranger quoi que ce soit. Les jeunes nous avaient réservé l’ancienne chambre parentale, le grand lit nous a accueilli, Hanna, Gitta et moi. Fourbus, nous nous sommes couchés nus, bien serrés tous les trois. Peter et Ida, Wilhelm et Svenja ont occupé deux lits simples dans l’autre chambre, tandis que Stephan et Jutta ont dormi sur le canapé. C’était un peu étroit mais pour des jeunes gens amoureux, cela n’avait pas grande importance. Le lendemain, nous avons un peu reparlé de cet épisode et tout le monde en a gardé un excellent souvenir. Je n’ai pas trop de détail à ce sujet mais je crois qu’ils ont renouvelé ces échanges de partenaires.Bref, nous avons passé un merveilleux réveillon. Nous avons tous hâtes d’arriver chez vous. Mes élèves et moi sommes très impatients.Bonne année à vous tous. Nous vous embrassons très fort.
DieterSvenja, Ida, Jutta, Wilhelm, Stephan, PeterHanna, GittaPS : Je rajoute cela au dernier moment avant de poster la lettre. Hanna a pu se libérer et elle viendra avec nous. Adrian sera chez ses grands-parents.
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Tout cela était excellent. Les Allemands se lâchaient de plus en plus. Leur séjour risquait d’être plus que plaisant. Quelques idées farfelues et sensuelles fleurirent dans mon esprit. A voir la tête des autres, il était clair qu’ils en avaient aussi beaucoup. Nous nous séparâmes là pour ce vendredi soir. Ils arrivaient le surlendemain, il nous fallait préparer un petit sac pour notre mini-séjour avec eux.
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