Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 14 J'aime
  • 0 Commentaire

Le projet artistique

Chapitre 62

Ils sont là

Erotique
Maxime narrateurContrairement à nous, le train menant les Allemands en France avait notre ville pour destination finale. Nous étions sur le quai de la gare à trépigner d’impatience. Nous, les mecs, étions sur des charbons ardents mais les nanas étaient proches de l’hystérie. Et encore, c’était sans commune mesure avec l’état de fébrilité d’Elisa. Paul avait du mal à la calmer, c’était la première fois que Dieter et Hanna venaient en France. En plus, elle n’arrêtait pas de se demander comment le ventre de sa belle-sœur avait pousser. Notre professeure avait pu admirer celui de Graziella jusqu’à son congé maternité et elle avait même pu tenir la petite fille dans ses bras. Elisa avait abandonné toute tristesse à propos de son infertilité. Même la petite grippe ou gastro qu’elle avait eu la semaine précédente n’avait en rien entamé sa gaité.Le train eut un peu de retard. Il déboucha sur le quai et freina avec ce bruit métallique particulier. Nous ne savions pas trop dans quelle voiture ils se trouvaient. A la différence de notre voyage le leur se fit finalement de jour. Ils arrivèrent en début de soirée le dimanche. Je pensai alors qu’ils allaient être morts de fatigue en arrivant. Nous attendions en bout de quai et soudain, Sylvie vit Dieter descendre le premier d’un wagon en milieu de train. Il fut immédiatement suivi par Hanna puis par les filles. Les garçons restèrent à l’intérieur le temps de sortir tous les bagages que Jutta et ses copines entreposaient sur le quai.En moins de deux, l’efficacité allemande fit ses preuves et la petite montagne de bagages se retrouva sur le quai. Elisa s’élança vers son frère et l’enlaça tendrement. Elle se détacha pourtant vite pour admirer Hanna et la serrer contre son cœur. Ventre contre ventre, elle semblait voler sur place. Les deux groupes se retrouvèrent enfin réunis et il y eut de longues embrassades et accolades. Assez longues pour que nous soyons les derniers sur le quai. Il fallut nous diriger vers la sortie, le van du lycée était garé et allait servir à transporter tout le monde. Le trajet n’était pas très long mais trois voyages furent nécessaires pour nous acheminer tous à bon port.Nous nous retrouvâmes dans l’ancien internat, Cristian et le personnel de ménage y avaient fait un coup de propre mais on sentait bien qu’il n’avait pas été utilisé depuis plusieurs années. Mais nous n’en avions rien à faire tellement nous étions heureux d’être tous là. Le directeur passa nous voir quand il vit la lumière allumée dans cette partie de son établissement. Il parla longtemps, comme à son habitude. Peter, surtout, mais les autres aussi, piquait régulièrement du nez. Le bonhomme finit par partir en nous donnant les recommandations d’usage et en nous indiquant qu’il avait fait préparé un repas froid pour ce soir-là par la cuisine scolaire. Il avait bien fait d’y penser car nous avions tous très faim sans compter la fatigue des Allemands. Il s’en alla et nous nous rendîmes à la cantine. Le repas en question avait été bien étiqueté et il n’avait plus qu’à être servi.
Nous mangeâmes en silence quasiment, c’était dur pour nos amis de rester éveiller. A part pour les nanas qui arrivaient à papoter entre elles et pour le frère et la sœur qui discutaient dans leur coin. A la fin du repas, nous rangeâmes et fîmes la vaisselle. Quand le groupe retourna à l’internat, nous nous aperçûmes que c’était bien différent du centre de vacances allemand. Nous étions plus dans un pensionnat à l’ancienne que dans un internat moderne. En fait, deux dortoirs et deux chambres avaient été réhabilités. Les deux chambres allaient être prises par les profs et Dieter et Hanna, évidemment. Pour les dortoirs, il y avait huit lits dans chacun, en deux rangées de quatre. Il allait être aisé de les coller deux par deux pour passer la nuit avec sa chérie.
— Euh, les gars. Avec les filles, on voudrait faire un dortoir entre nous, nous avertit Liz.— Ah, bon ? Mais, je pensais qu’on allait...— Baiser ? Oui, Seb, t’inquiète pas, le rassura Sylvie.— Nous voulons aussi profiter de ce temps en France, ajouta Ida dans un français en net progrès.— Mais c’est pour début. Après peut-être nous changerons.
Svenja voulait rassurer un peu plus son copain et nous par la même occasion. Bon, pour ce soir, je n’avais pas du tout envie d’argumenter et les autres garçons non plus. Surtout Peter, Wilhelm et Stephan qui tenaient de moins en moins debout. Il fut donc fait selon les désirs de ces dames. Les deux couples nous laissèrent nous organiser et choisirent leur chambre. Chacune en face de chaque dortoir. Cela devait sans doute être les chambres des surveillants à l’époque. Tout le monde passa ensuite par la case brossage de dents. Ce fut là aussi une petite surprise pour nous. Les sanitaires étaient tous regroupés dans un même bloc.Le directeur avait bien averti qu’il faudrait que nous nous organisions mais je ne pensais pas qu’il fallut tout partager ainsi. Sur la gauche de longs lavabos étaient alignés et nous permettaient de passer six par six pour nous brosser les dents et, sur la droite, il y avait quatre toilettes. Après ces dernières il y avait une ouverture pour accéder aux douches. Ce n’était pas des douches individuelles mais des collectives comme dans un vestiaire de sport. Et encore, Germain me dit plus tard qu’il avait craint ne voir que des bidets pour faire sa toilette tant tout lui paraissait "old school".Bon, vu nos relations, prendre une douche tous ensemble n’allait sûrement pas nous gêner plus que ça. Et sur le moment cela n’effleura l’esprit de personne que ça puisse poser problème ou que c’était un peu cheap par rapport à l’accueil qu’ils nous avaient réservé à l’aller. Nous nous couchâmes rapidement. J’écoutai les bruits autour de moi. Le dortoir des nanas était juste de l’autre côté du mur contre lequel se trouvait mon lit. J’entendis quelques paroles échangées mais cela ne dura pas très longtemps. En face de moi, juste à ma gauche et près de l’entrée, les teutons ronflaient déjà. Mes copains se retournaient un peu sur leur lit mais ils cherchaient le sommeil plutôt que la discussion. Je tendis un peu l’oreille mais des chambres je ne perçus aucun bruit. Ça ne fricotait pas non plus de ce côté-là. Autant pour Dieter et Hanna, je pouvais le comprendre mais cela m’étonna plus pour Paul et Elisa. Après, ils n’avaient aucune obligation à baiser après tout. Et surtout pas pour satisfaire le voyeur auditif que j’étais.
* * *
Je me réveillai au matin grâce ou à cause de Dieter. Il sonna le tocsin dans notre dortoir. J’entendis Elisa faire de même dans celui de nos copines. Ce n’était pas très agréable mais bon, il fallait bien se lever pour aller en cours. Et puis nous aurions nos amis avec nous toute la journée, ça valait bien quelques efforts. Je remarquai que Dieter avait les cheveux mouillés. Derrière lui, Paul passa dans le couloir une serviette sur la tête en train de finir de s’essuyer. Sans doute les trois professeurs et Hanna avaient-ils pris leur douche avant. Ensemble ? C’était probable. En ayant fricotés tous les quatre ou deux par deux, c’était dans le domaine du possible mais je n’en avais aucune preuve. Vu que le petit-déjeuner et les autres repas devaient se prendre dans le réfectoire, il fallait être prêt avant de descendre pour ne pas avoir à remonter. J’entendis Elisa demander aux filles de filer aux douches.
— Vous allez ranger un peu ce bazar et faire vos lits avant de vous doucher, nous demanda Dieter.
Ils nous faisaient quoi, là ? C’était quoi cette organisation quasi militaire ? Avec ce que nous avions déjà tous fait ensemble, je ne comprenais pas pourquoi on ne pouvait pas aller à la douche comme bon nous semblait. Le timing était certes serré pour arriver à l’heure en cours, il faudrait se lever un peu plus tôt dans la semaine. Mais ce n’était pas une raison et nous n’allions pas nous débaucher n’importe comment.Et puis, la précaution prise par les profs s’avéra payante. Le directeur débarqua à l’improviste alors que nous attendions notre tour. Il allait à son bureau et passait voir si tout allait bien. Paul et Dieter le rassurèrent sur ce point pendant qu’Elisa et Hanna "montaient la garde" devant la salle de bains pour éviter que nous tentions une intrusion. Bref, notre organisation avait toutes les apparences de la bienséance et de la moralité. Certes nous étions majeurs et le directeur devait bien se douter que nous baisions régulièrement mais cela devait le rassurer de voir que les professeurs étaient là pour maintenir un minimum de tenue. Il parut satisfait, assez pour ne pas avoir à revenir ? Nous verrions sans doute le lendemain matin.

— J’espère qu’il ne va pas venir trop souvent, se plaignit Germain.— Moi non plus, approuva Felipe.— Nous aussi.
Wilhelm semblait, comme ses camarades, tendu à l’idée de ne pas pouvoir vivre ce séjour aussi librement que chez eux. Mais Olivier calma leurs inquiétudes en leur disant qu’il l’avait fait au début quand l’ancien gardien était parti en taule et que les professeurs volontaires fermaient le collège-lycée. Olivier allait poursuivre en racontant plus en détail cet épisode mais ce fut notre tour de nous rendre sous la douche. Les filles avaient un peu, beaucoup, abusé en trainant et en se pomponnant. Nous n’avions plus que quelques minutes devant nous.Elles s’excusèrent en riant alors qu’elles passaient devant nous dans le couloir, une serviette autour des seins, une sur la tête et la trousse de toilette à la main. Je les aurais bien poursuivis pour leur arracher leurs serviettes mais Paul et Dieter nous poussèrent en avant. Nous nous retrouvâmes tous les huit devant les lavabos. Il fallut se brosser les dents, se doucher et se sécher rapidement. De retour dans le dortoir nous nous habillâmes à toute vitesse pour finalement ressortir les premiers. Les filles ne pointèrent le bout de leur nez que deux minutes plus tard. Elles étaient très mignonnes mais nous n’étions pas en avance.
— Bon, mesdemoiselles, demain il faudra presser un peu plus, les avertit Elisa.— Oh, Elisa, on ne pourrait pas faire comme en Allemagne et se doucher le soir ? quémanda justement Carine.— Nous verrons, nous verrons. Allez déjeuner pour l’instant.
Je pris mon petit-déjeuner entre Amandine et Stephan. Nous aurions tous aimé avoir un peu de temps pour les roucoulades mais il fallait trop se presser. De même, je voyais bien que la plupart d’entre nous souhaitait avoir des nouvelles des autres. Mais en dix minutes le repas était plié et tout était rangé et lavé. La sonnerie de début des cours n’allait pas tarder. Elle retentit comme nous approchions de la cour principale. Svenja et Jutta se retrouvèrent avec Sylvie et moi dans notre classe. Peter, Stephan étaient avec Amandine, Olivier, Liz et Carine. Ida et Wilhelm étaient avec Marie, Germain et les jumeaux.La journée se passa tranquillement, les Allemands s’habituant difficilement à notre rythme scolaire. A la fin des cours, nous nous retrouvâmes enfin tous ensemble dans l’internat. Nous avions un peu de temps libre devant nous. Les Français travaillaient leurs devoirs et leurs cours tandis que les Allemands faisaient une pause ou lisaient ou discutaient. Puis l’heure du repas sonna enfin, mon ventre gargouillait un peu et j’avais vraiment faim. Le grand réfectoire était presque vide avec seulement notre petit groupe, cela faisait solennelle et un peu pesant. Le repas fut vite expédié et nous remontâmes dans l’internat.
— Bien, j’ai fait installer une télé et un magnétoscope. Vous allez pouvoir travailler un peu sur votre projet. Montrez donc à vos amis où vous en êtes.
Elisa avait pensé à cela. C’était parfait pour travailler mais j’aurais bien voulu faire autre chose... J’avais envie de baiser avec Amandine, de me faire sucer par une des Allemandes ou même sucer un des gars. Je voyais bien que nous n’avions qu’une partie de notre cerveau occupé au visionnage de nos travaux. L’autre partie était accaparée par le visionnage de tout autre chose. Même Hanna, Elisa, Dieter et Paul qui regardaient l’écran avec nous semblaient avoir des pensées et des regards équivoques entre eux ou sur nous.D’ailleurs, ils n’étaient pas en dehors du champ de nos fantasmes. Je me demandai à ce moment-là ce que cela faisait de baiser une femme enceinte. J’avais maté Hanna plus que de raison et j’avais remarqué que ses seins avaient poussé. J’essayais de visualiser son nouveau corps mais n’y parvenais que partiellement. Mon esprit dériva vers Amandine et je m’imaginai la baiser enceinte. Je m’aperçus que je parvenais mieux à la voir dans cet état. Je l’avais fait quand Graziella était enceinte mais le corps et l’âge d’Hanna étaient bien plus proche de ceux de ma copine. J’étais très troublé par cette possibilité. Je ne semblais pas le seul d’ailleurs. A part Dieter, évidemment, et Peter, qui avait profité des charmes d’Hanna récemment, tous les autres mecs la mataient sans vergogne. Encore que je trouvais Felipe et Esteban moins insistant que les autres. Ils me dirent ensuite que c’était la vue d’une femme après accouchement qui avait refroidi leurs fantasmes de ce point de vue-là.Mais Hanna était plus belle, ou en tout cas plus dans leurs goûts que Graziella. La cassette de notre travail prit fin assez subitement, nous sortant de nos rêveries. Il y eut une longue discussion sur ce que nous avions encore à faire, sur ce qu’il faudrait améliorer ici ou là. Wilhelm et Ida firent remarquer qu’il manquait une scène de transition entre la partie en RDA et la partie en France. Ils n’avaient pas tort, nous passions de l’un à l’autre sans explication claire. Jutta et Svenja eurent tout de suite l’idée de rajouter cette scène durant leur semaine de présence.
— Tournons ici ! s’exclama Jutta.— Dans l’internat ? demanda Marie.— Oui, oui, il est vieux, ça ira très bien.
Svenja avait raison, je regardai la pièce où nous étions, je revis notre dortoir ou la salle des douches. Tout cela collait parfaitement avec l’ambiance que nous avions mise dans notre film. Mais Elisa doucha un peu notre enthousiasme :
— Attention, on ne peut pas prendre le matériel comme ça. Normalement, vous ne devriez en disposer que vendredi. C’est votre créneau.— On peut peut-être échanger avec un autre groupe, proposa Olivier.— Il n’y aura que celui du jeudi soir.— Et pourquoi pas échanger avec le groupe de théâtre du mercredi soir ? se demanda Carine. Ils utilisent la salle mais pas le matériel...— T’emballes pas ma chérie, ils sont en dernière année, comme nous. Ils ne vont pas nous faire une fleur, lui rappela Sylvie.— Oui, ils veulent le prix autant que nous, approuvai-je.
Nous nous décidâmes pour tourner le jeudi soir. Cela allait nous laisser le mardi et le mercredi pour préparer et répéter la scène qui manquait. Nous étions assez satisfaits quand Paul nous invita à aller nous coucher. Mais Amandine se frappa le front et s’exclama :
— Mais on devait prendre notre douche ce soir !
C’était vrai que ça nous était complètement sorti de l’esprit. Nous étions passé directement du repas au visionnage du film. Paul, Elisa, Dieter et Hanna se concertèrent discrètement. Après quelques instants, ils semblèrent tomber d’accord. Ils se tournèrent vers nous, je les observai attentivement mais ne décelai aucune indication sur ce qu’ils allaient dire. Dieter nous annonça alors ce qu’ils avaient décidé. Il le fit en allemand, pour Hanna essentiellement.
Bien, Amandine a raison. Il était prévu de prendre la douche le soir. Donc nous allons prendre cette douche mais rapidement, il est assez tard. Il ne faudrait pas que votre directeur voit longtemps de la lumière dans cette partie.On passe dans quel ordre ? Les filles d’abord ?
Ida était bien gentille mais nous avions vu le résultat le matin-même. Germain objecta du temps qu’elles avaient pris avant qu’aucun autre gars n’ait le temps de le faire.
— Nous en sommes bien conscients, répondit Dieter.
Il fit une pause et je trouvai chez lui et les trois autres un peu air narquois ou conspirateur que je ne sus interpréter. Ils avaient préparé quelque chose, mais quoi ?
— Comme ce sont des douches communes, nous prendrons notre douche en commun.
Des exclamations de joie fusèrent et chacun se précipita pour aller chercher ses affaires.
Ne vous encombrez pas de vos affaires, vous risquez d’oublier ou d’échanger des choses, nous conseilla Elisa.— Ça pourrait être marrant de voir nos copains avec nos sous-vêtements, ah, ah, ah !
La boutade de Sylvie fit beaucoup rire ses copines. Les mecs se fendirent aussi d’un sourire mais je devais admettre que j’aurais bien testé au moins une fois la lingerie d’Amandine. A force d’y toucher en la déshabillant... Mais à rêvasser, je me retrouvai le dernier du dortoir, j’avais vu mes amis partir les fesses à l’air et la queue au vent vers les douches. J’arrivai et découvris que seuls les mecs étaient là. Les filles arrivèrent juste après en prenant leur temps tout en papotant. Elles avaient noué leurs serviettes autour de leurs poitrines, je trouvai cette pudeur pas trop de circonstance. Elisa et les autres se pointèrent juste après. Ils étaient habillés et n’avaient avec eux que de quoi se brosser les dents. Nous étions tous assez déçus de leur non-participation à la douche. Felipe leur fit remarquer :
— On pensait que vous alliez venir avec nous.— Non, nous préférons rester un peu en retrait. Le directeur pourrait encore se pointer, expliqua Elisa.— Oh, mais non ! objecta Carine. Il ne viendra plus...— Mais c’est votre séjour ensemble. En autonomie normalement...— Pour le projet, Elisa. Seulement pour le projet...
La remarque de Liz était juste, surtout que l’argument de notre professeure était fallacieux. Les petites Françaises commencèrent à minauder pour les convaincre de se joindre à nous. Bizarrement, les Allemandes leur emboîtèrent le pas avec une certain savoir-faire. Esteban et Germain levèrent un sourcil interrogateur vers nos copains teutons qui, d’un signe de tête, nous firent comprendre qu’ils commençaient à connaitre ce genre de manœuvre. Elles étaient vraiment faites pour s’entendre celles-là. Les mecs optèrent donc pour un retrait stratégique et laissèrent faire les pros. L’obstination dont elles firent preuve et l’admiration manifeste qu’elles portaient aux deux femmes firent le reste.Les quatre cédèrent, Dieter et Paul n’ayant pas été les plus difficiles à faire plier. Comme Peter, je les soupçonnai d’avoir voulu nous rejoindre mais qu’Hanna et Elisa n’étaient pas très chaudes. Ils repartirent chercher gel douche, shampooing ou savon et serviettes. Ils revinrent nus comme des vers et je pus plus tranquillement observer le ventre d’Hanna. Je trouvai vraiment ça très beau. Hanna restait assez mince ailleurs qu’au niveau du ventre; même si on pouvait se rendre compte qu’elle avait pris quelques rondeurs aux hanches, aux seins et aux cuisses. Elle et Elisa avaient le pubis assez poilu pour une fois. Ça les changeait pas mal et ça faisait une sorte de nouveauté. Mais bon je m’étais habitué à les voir rasées... Tout comme Amandine d’ailleurs, ça me rappela qu’elle s’était laissée aller dernièrement.Alors nos copines firent tomber leurs serviettes et découvrirent huit pubis intégralement glabres. Devant nos yeux de merlans fris, elles pouffèrent mais se montrèrent assez satisfaites de nous faire autant d’effet. Nos queues se dressaient toutes seules entre nos jambes. Quand Wilhelm et Stephan demandèrent quand elles avaient fait cela, elles avouèrent que c’était la raison du temps mis le matin même. Les dix hommes présents matèrent ce spectacle avec envie et plaisir. Cela se manifesta assez vite par des bites qui se gonflaient de désir. Hanna et Elisa s’en amusèrent mais furent vite jalouses des plus jeunes femmes.
— Dites, vous nous prêteriez de quoi nous raser ? demanda Elisa.— J’allais te proposer le nécessaire Elisa, lui répondit Sylvie.Pour moi aussi ? s’enquit Hanna.Oui, pour toi aussi, la rassura Svenja.
Sylvie et Svenja sortirent de leurs affaires de quoi se raser pour les deux femmes. Leurs maris semblèrent plus que satisfaits de la tournure des évènements. Leurs queues se raidirent un peu plus à l’idée qu’ils allaient profiter de chattes toutes lisses d’ici peu. Nous nous dirigeâmes tous vers les douches. Evidemment, il n’y en avait pas une par personne, il fallait se les partager à deux ou trois. Il y en avait deux séries de quatre qui se faisaient face. Alors que je pensai pouvoir me doucher en compagnie d’Amandine, celle-ci et ses copines se mirent toutes sous les douches de gauche. Elles avaient vraiment envie d’être entre nanas.Elisa et Hanna étaient sous la première puis Svenja, Marie et Carine, Ida et Liz puis enfin Amandine, Jutta et Sylvie. J’étais assez déçu, et je n’étais pas le seul visiblement. Les bites se ramollirent doucement alors que nous nous placions sous les douches. Je me retrouvai avec Wilhelm en face de Hanna et Elisa ensuite venait Esteban, Peter et Olivier, Paul et Dieter, enfin au fond Felipe, Stephan et Germain.C’était assez étrange, sans doute inconsciemment voulu, que les groupes de deux et de trois soient face à face. Et surtout qu’aucun de nous ne se trouve en face de son ou sa partenaire habituelle. Aux queues qui se redressèrent en parfaite synchronisation, il était clair que nous imaginions tous baiser l’une des jeunes femmes en face de nous. Les combinaisons étaient multiples et laissaient la place à l’imagination la plus folle. Mais nos chéries ne semblèrent pas dans le même état d’esprit. Elles commencèrent à se laver le plus sagement du monde. L’une après l’autre, sans même avoir besoin de frotter le dos de la copine de douche.La mort dans l’âme, il fallut nous résoudre à rester sages nous aussi. Néanmoins, en face de moi, les choses étaient un peu différentes. Elisa s’était rasée rapidement, aidée par une inspection de sa belle-sœur. Mais Hanna, enceinte jusqu’aux dents, avaient bien du mal à voir ce qu’elle faisait. Elle demanda de l’aide à notre professeure.Elisa s’agenouilla devant elle et entreprit de peaufiner le rasage de la chatte de l’Allemande. Elle faisait ça avec énormément d’attention et de délicatesse. Loin d’en ressentir une certaine gêne, Hanna s’adossa contre le mur et se laissa aller. La femme enceinte se mit même à gémir faiblement tout en passant nonchalamment une main sur ses seins. Je ne me lavais plus depuis un petit moment et me rendis compte que tous les autres s’étaient mis en arrêt. Nos yeux étaient fixés sur ce moment entre amies, belles-sœurs et femmes. Il y avait là de la sensualité, de la douceur, un érotisme latent mais bien présent. Bientôt, Elisa eut fini son œuvre. Elle se redressa et Hanna ouvrit des yeux légèrement hagards. Elle sourit à sa belle-sœur :
Mmmmh, merci, dit-elle dans un souffle.
Elisa répondit que c’était bien naturel mais Hanna semblait ne pas le considérer aussi simplement. L’Allemande prit la blonde dans ses bras et la serra tout contre elle. Elisa accueillit cette étreinte avec surprise mais aussi bonheur. Elle entoura Hanna de ses bras et serra aussi sa compatriote et amie. D’abord le regard plongé dans celui de l’autre, elles glissèrent leurs joues dans le creux du cou de l’autre. Je les trouvai plus que belles dans cette posture. Il y avait là quelque chose de fusionnel et de charnel qui me touchait. Et puis, je sursautai presque devant une vision déroutante. Avec leur étreinte, j’eus l’impression que le ventre rond appartenait plus à Elisa qu’à Hanna. Cela ne dura qu’une fraction de seconde et pourtant cela se grava profondément en moi. Je me tournai vers Paul et le vit autant troublé que moi.Non, beaucoup plus, il avait les yeux qui brillaient d’un feu étonnant et pourtant ils semblaient humides de larmes contenues. Je me rendis compte que nous avions tous l’air troublé par cette vision. Ils étaient tous figés sur place, un sourire béat gravé sur le visage. Et puis les deux femmes se séparèrent un instant. Hanna grimaça à peine, le feu du rasoir la travaillait apparemment. Elle attrapa une crème apaisante et s’en enduisit la main. Elisa prit le tube et en prit pour elle. Mais alors qu’elle allait en mettre sur son pubis, Hanna la stoppa délicatement :
Attend, je vais m’occuper de toi.
Elle glissa sa main sur le sexe d’Elisa et le massa tendrement.
— Aaaah, oui, murmura Elisa.
Je ne sus trop si ceux du fond avait entendu mais au moment où les mains des deux femmes caressèrent clairement les intimités fraichement rasées. Je vis des mains se diriger vers les queues et les chattes de leurs propriétaires. Il me fallut un instant pour prendre conscience que j’avais moi aussi la main sur la bite à me caresser doucement. Devant à droite les trois filles s’étaient rapprochées les unes des autres, jusqu’à ce que leurs peaux entrent en contact. Je les enviai un peu, j’aurais bien aimé ressentir aussi la proximité physique dont elles profitaient. Je me voyais bien me coller à Wilhelm mais je n’étais pas sûr qu’il en soit encore là. Derrière moi j’entendis des pas, je perçus des mouvements à la périphérie de ma vision.Esteban et Olivier s’étaient collés et le second avait posé une main amicale sur l’épaule du premier. Je vis Peter être tenté de venir se joindre à eux. Olivier le vit et l’invita du regard. Alors l’Allemand vint les rejoindre, leurs regards fixés sur Elisa et Hanna. Je regardai Wilhelm et comprit qu’il n’osait venir de lui-même, je posai ma main sur son épaule. Il me sourit et vint près de moi. Je sentis ses mouvements de poignets alors que je reprenais les miens en regardant les deux femmes. Elles ne se massaient plus simplement le pubis et la vulve; elles se masturbaient clairement tout en s’embrassant tendrement.Je perçus à ce moment-là des gémissements provenant du fond des douches. C’était Sylvie et Jutta qui s’embrassaient alors qu’Amandine avait la main sur la chatte de l’Allemande. Du coin de l’oeil, elles mataient toujours les deux femmes se donner du plaisir. Cela donna des idées à Paul et Dieter qui se mirent à se branler l’un l’autre tout en se roulant des pelles de temps en temps. Bientôt, toutes les filles se mirent à se caresser par groupe de deux ou trois. Sur notre ligne, Felipe, Stephan et Germain avaient déjà suivi le chemin tracé par Paul et Dieter. Je ne tardai plus et voulus poser ma main sur la queue de Wilhelm. Mais il me devança et empoigna ma bite d’une main ferme mais douce. Nous nous branlâmes lentement en regardant les deux femmes. Je voulais l’embrasser, je voulais qu’on m’embrasse. Après une petite hésitation, je lançai mes lèvres à l’assaut de celles de Wilhelm. Il ne fut pas surpris, il semblait même attendre que je vienne à lui. Notre baiser fut empreint de douceur et de sensualité, comme tout ce qui nous environnait à ce moment-là. Je n’avais pas besoin de regarder plus autour de moi, je savais d’instinct que toutes et tous nous nous touchions et nous embrassions.Les gémissements d’Hanna me firent de nouveau tourner la tête vers elle et sa comparse. Leurs caresses étaient maintenant plus rapides, elles semblaient avoir complètement occulté notre présence. Elles avaient une main sur le sexe et l’autre qui triturait légèrement les seins de la belle-sœur. Leurs plaintes emplissaient allègrement les douches alors que nous étions plutôt silencieux. A peine quelques gémissements étouffés étaient audibles. Mais nous augmentâmes le rythme de nos masturbations à mesure que les deux femmes approchaient de l’orgasme. Car il était évident qu’elles se rendaient au septième ciel à toute vitesse.
Alors nos manifestations de plaisir se firent moins discrètes, Elisa et Hanna semblèrent se rappeler que nous étions là. Elles furent à peine surprises de voir ce que nous étions en train de faire. Elles sourirent à notre vue et surtout à leurs maris, mais retournèrent bien vite dans leur bulle de plaisir. Elles intensifièrent leurs caresses et leurs baisers. Elles geignaient maintenant sans restriction, augmentant le plaisir que nous avions à les épier. La main de Wilhelm sur ma bite allait et venait de plus en plus vite. La mienne en faisait autant sur sa queue. Aux soupirs, aux plaintes qui me parvenaient comme de très loin, je savais que les autres s’activaient pour amener les partenaires de jeu à l’extase. Surtout, j’espérais voir quand même Elisa et Hanna jouirent avant moi. La beauté, la sensualité, l’amour de leur étreinte enfiévrait mes sens et mes sentiments. Rien, hormis ma première fois avec Amandine, n’avait provoqué en moi autant d’émotions et avec une telle intensité.Finalement, Elisa et Hanna se firent jouir sous nos yeux. De petits cris discrets et des tremblements dans les jambes marquèrent leurs jouissances respectives. Des râles graves me signalèrent les éjaculations simultanées de leurs maris. Bientôt, des soupirs et des râles plus ou moins étouffés emplirent les douches d’un concert érotique et sensuel. Je sentis soudainement Wilhelm se raidir puis éjaculer entre mes doigts. Je ne résistai pas plus et lâchai mon sperme moi aussi. J’en déversai une quantité dont j’étais peu accoutumé. Je sus plus tard que tous les mecs avaient expulsé une quantité significative de foutre. Quant aux filles, elles nous dirent aussi qu’elles avaient eu l’impression de jouer, à la manière de Svenja, les femmes-fontaines. J’étais encore fortement chamboulé, j’avais besoin de tendresse. Je me tournai vers Wilhelm afin de partager un profond baiser. J’eus le temps de voir que cela s’embrassait un peu partout à deux ou trois. Nous émergeâmes après un temps indéterminé. Du sperme maculait le carrelage du sol, des flaques translucides se voyaient ici ou là. De nombreux échanges de sourires eurent lieu. Je cherchai Amandine du regard. Je voyais au fond de ses yeux tout l’amour qu’elle avait pour moi. Elle paraissait aussi chamboulée que je l’étais.Les douches furent rouvertes et nous terminâmes sagement notre toilette. Tout le groupe passa à tour de rôle aux lavabos pour un rapide brossage de dents. Nous restions nus, à l’aise les uns avec les autres. Chaque fois que nous frôlions ou nous faisions effleurer par un ou une autre nous avions des frissons de plaisir qui nous électrisaient. Nous repartîmes vers les dortoirs dans un silence apaisé et bienheureux. Elisa et Hanna émirent le souhait de passer la nuit ensemble. Paul et Dieter auraient visiblement voulu retrouver leurs conjointes mais ils le leur accordèrent de bon cœur. Eux-mêmes semblaient tout de même tenté de poursuivre ce moment de proximité qu’ils avaient eu. Alors que je rangeais mes affaires de toilettes, j’entendis du bruit venant du dortoir des filles. Ça crissait et grinçait. Peter alla voir et revint en nous disant qu’elles étaient en train de coller les lits deux à deux. Il avait été renvoyé par Carine avant de savoir qui allait dormir avec qui. Soudain, avec la proximité que j’avais ressenti près de Wilhelm, je me rendis compte qu’elle allait me manquer cette nuit. Mais il n’était pas à côté de moi. Nous échangeâmes quelques regards hésitants. Nous avions envie mais n’osions rien nous dire. Nous restions moins à l’aise dans nos rapports avec le même sexe que nos copines.Et puis lorsque Felipe et Stephan rapprochèrent leurs lits, cela nous réveilla et fit sauter nos réticences. Peter et Olivier les imitèrent rapidement. Comme Wilhelm n’avait pas son lit près du mien, il se rapprocha de Germain. Naturellement, selon la disposition des lits, je me retrouvai avec Esteban. J’aurais bien voulu dormir avec un des Allemands mais je dis alors qu’on aurait bien la possibilité de changer la nuit suivante. Nous nous glissâmes sous les draps, il commençait à faire frais dans ce vieux bâtiment. Esteban se colla contre moi et après un rapide baiser nous nous enlaçâmes. Ce n’était pas si différent d’être avec un mec plutôt qu’une nana. Encore qu’il me manquait un sein à tenir en main, une rondeur de fesse dont profiter. Le cul de mon copain était plus petit et plus ferme, ça me changeait drôlement. Mais c’était assez agréable. Et puis, j’avais toujours la possibilité de lui palper la queue si je voulais avoir un truc en main. J’en avais envie alors je le fis. Esteban soupira d’aise et me déposa un baiser dans le cou.
Il plaça sa jambe entre les miennes et la remonta. Il s’arrêta avant mes couilles mais sa main descendit les empoigner délicatement. Un frisson de plaisir remonta le long de mon échine, j’eus la chair de poule et me blottis un peu plus contre lui. Je fermai rapidement les yeux, emporté par toutes les émotions de la soirée.
Diffuse en direct !
Regarder son live