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Le projet artistique

Chapitre 63

S'amuser avec les Allemands - 1

Orgie / Partouze
Maxime narrateurJe me réveillai le lendemain matin la queue bien raide tout contre celle, toute aussi dure, d’Esteban. C’était marrant, ça faisait un peu duel à l’épée. Nous avions pris nos précautions, en mettant à sonner nos montres, histoire de ne pas se faire réveiller en fanfare par Dieter. Les huit mecs s’éveillèrent donc tranquillement. J’avais passé une excellente nuit en compagnie de mon ami. C’était vraiment plus que satisfaisant d’avoir quelqu’un qu’on aime ou qu’on apprécie fortement avec soi, quel que soit son sexe. Nous nous levâmes avec une verge bien dressée et prête à l’emploi. Je n’aurais certainement pas dit non si l’un d’eux aurait eu envie de me branler ou de me sucer. Je n’aurais probablement pas dédaigné lui rendre la pareille. Mais j’avais plutôt envie de retrouver ma chère et tendre Amandine. Nous nous regardions bêtement depuis deux minutes quand Stephan brisa le silence :
— Euh, c’était sympa hier soir et cette nuit. Mais, euh, je voudrais aller voir Ida ce matin. Ça ne vous dérange pas ?Non, non, je voulais aussi aller voir Amandine, dis-je rapidement.— Moi aussi. Et c’est vrai que j’ai bien aimé cette nuit... Même si je préfère être avec Marie, s’excusa presque Germain.Ne t’en fait pas, moi aussi, je préfère passer ma nuit avec Svenja. Et euh, ce n’est pas parce que t’es un mec que je dis ça. Mais c’est Svenja, c’est...— Celle que tu aimes... Comme moi avec Liz. Comme nous tous avec nos copines.Vous croyez pas que si on avait passé la nuit avec une autre fille on n’aurait pas eu plus de plaisir qu’entre nous, ni moins d’ailleurs.
Je comprenais la réflexion de Felipe. Il me parut assez évident que j’aurais pris plaisir à partager mon lit avec lui, Sylvie, Liz ou Ida. Mais que ce plaisir aurait été multiplié par dix ou vingt si Amandine avait été avec moi. Tout à mes pensées, ma queue se rappela à mon bon souvenir en sursautant d’impatience. Il était grand temps d’aller les voir. En sortant dans le couloir, silencieux comme des chats en chasse, nous tombâmes nez à nez avec Paul et Dieter. J’aurais pu dire queue à queue tant les leurs étaient aussi rigides que les nôtres. Ils nous demandèrent ce que nous faisions-là et quand ils surent ce que nous comptions faire, ils eurent un large sourire eux aussi. Ils nous laissèrent pour aller retrouver leurs femmes, tout en nous rappelant qu’il fallait être prêts pour 7h30. Ça nous laissait une vingtaine de minutes, largement assez pour faire ce que nous voulions faire.J’entendis la porte de la chambre où dormaient Elisa et Hanna s’ouvrir et se refermer doucement au moment où Esteban ouvrait celle du dortoir des nanas. J’entrai en quatrième dans le dortoir, la faible lumière que laissaient passer les lourds rideaux du dortoir était suffisante pour distinguer qui était qui. Esteban se tenait déjà au-dessus du premier lit à gauche. Je reconnus Jutta avec Sylvie, Peter aussi qui, derrière moi, dirigeait déjà ses pas vers elle. Devant moi, Olivier et Stephan allaient plus vers le fond, leurs copines semblaient occuper le même lit double à droite. A ma droite, je vis Carine et Marie, ma chérie était donc avec Svenja au fond à gauche. Je m’approchai et fis le tour du lit. Je m’arrêtai un instant pour admirer les corps des deux jeunes femmes, entremêlés dans une tendre étreinte. Les premiers arrivés n’avaient pas attendus que nous ayons tous trouvés nos copines : ils étaient restés en admiration devant les tableaux qui s’offraient à eux.D’assez loin, je perçus quelques rires de surprises qui se muèrent vite en soupirs de plaisir. Cela nous réveilla d’un coup et nous glissâmes tous les huit auprès de nos chéries. Le corps d’Amandine était chaud, cela me fit beaucoup de bien. Je commençais à avoir un peu froid, à poil comme ça. A mon contact elle frissonna et se colla d’abord un peu plus contre Svenja. Celle-ci ouvrit des yeux plein de surprise. Nos regards se croisèrent un instant avant que Wilhelm ne fasse plus distinctement sentir sa présence derrière elle. Ma queue encore bien raide vint taper les fesses d’Amandine qui décida d’ouvrir un œil. Elle se raidit d’un coup en apercevant sa compagne de nuit déjà le sein dans la main de Wilhelm. Elle tourna la tête vers moi et se détendit en me voyant. Dans le dortoir, quelques murmures étonnés, des chuchotements avaient suivi le réveil de ces demoiselles. Ils se transformaient en gémissements et plaintes étouffées au fur et à mesure des caresses et des baisers qui devaient s’échanger.
Avec ma marmotte d’amour, nous étions encore les derniers. Car dans le lit, Svenja et Wilhelm en étaient déjà à s’embrasser intensément. Amandine se tourna enfin vers moi et colla ses lèvres aux miennes.
— Mmmh, tu es tout dur mon chéri...— Oui, pour toi, j’avais besoin de te retrouver.— Je sens ça, susurra-t-elle en prenant entre ses doigts ma virilité.— Et toi alors ? demandai-je.
Mes doigts se faufilèrent entre ses cuisses et trouvèrent un sexe déjà humide. Etait-ce ma simple présence, les conséquences d’un rêve coquin ou d’un jeu avec Svenja ? Ou plus probablement les effets des grincements de literie qui provenaient de la chambre d’Elisa et d’Hanna ? Dans notre dortoir, les mêmes bruits métalliques commencèrent à s’élever tranquillement. Dans ma position je pouvais avoir une vue d’ensemble, vers l’entrée Sylvie se faisait prendre en levrette par Esteban alors qu’à côté Peter et Jutta se faisaient un petit missionnaire tranquille. En face d’eux, Marie était resté sur le ventre et Germain s’activait sur elle, tandis que Carine avait choisi de chevaucher Felipe. En face de notre quatuor, Oliver et Liz étaient en missionnaire alors qu’à côté d’eux Ida et Stephan avaient opté pour une variante du lotus. Tout à côté de nous Svenja s’était tournée sur le ventre pour que Wilhelm la prenne ainsi. Notre côté voyeur nous reprit et nous nous tournâmes tous deux pour voir les autres baiser.
Je me plaçai donc pour prendre Amandine en cuillère, elle se cambra pour me faciliter la tâche et je parvins à l’enfiler rapidement. Ma copine prit ma main, entrelaça nos doigts ensemble et vint la poser sur son sein. Je bougeai un peu pour mieux voir et vis qu’elle avait déjà le regard fixé sur nos compagnons de chambrée. Cela baisait tranquillement de tous les côtés.Ça ne ressemblait pas à une grosse partouze débridée entre échangistes. Les couples ne se mélangeaient ni ne se touchaient. Ça aurait pu ressembler à la fois où nous avions baiser les uns à côté des autres après nos périodes de brouille. Mais cette fois-là, nous avions tous la pleine conscience de la présence des autres autour de nous. Si Amandine et moi étions les plus assidus dans le matage des camarades, ceux-ci n’hésitaient pas à jeter un coup d’œil régulier pour voir ce qu’il se passait. Chacun semblait en retirer un surcroit de plaisir et d’énergie avant de se reconcentrer sur son partenaire. Le plaisir ressenti par chacun augmentait de façon évidente, nous n’étions pas parfaitement synchronisés dans nos ébats mais c’était plus qu’émoustillant et nous amenait rapidement vers l’extase. Sans surprise, les premières jouissances audibles sortirent de la chambre des professeurs. Comme une lente mais puissance onde de choc, leur extase se propagea dans le dortoir. Elle atteignit d’abord les couples proches de l’entrée.

Esteban, Jutta, Germain et Carine jouirent les premiers, entrainant à leur suite leurs partenaires, plus ou moins rapidement. La vague nous atteignit ensuite, Wilhelm et Svenja flanchèrent sous nos yeux et nous firent craquer dans la foulée. Je me vidai alors dans le vagin d’Amandine qui s’était tendu comme un arc dans un orgasme silencieux mais bien présent. Les derniers à prendre leur pied furent ceux d’en face, Olivier et Ida se crispant soudain et entrainant Liz et Stephan à leur suite. La vague retomba comme elle était venue. Les profs étaient de nouveau silencieux et dans le dortoir nous nous recouchions sur les lits au fur et à mesure. Un silence radieux se fit dans le dortoir. Seuls de faibles murmures se faisaient entendre : des mots échangés, des soupirs et des rires.Puis, dans le couloir, on entendit les professeurs sortir de la chambre. Il était bien temps de se lever, ce fut très difficile de s’arracher de cette douce torpeur pour affronter l’air frais et la perspective des longues heures de cours de la journée. La troupe réussit à se bouger rapidement pour une toilette sommaire et un habillage efficace. Le petit-déjeuner fut vite avalé avant de partir pour nos cours respectifs.
* * *
Amandine narratriceLe réveil du matin avec Maxime qui était venu dans mon lit avait été parfait. Je passai la matinée à revire ces instants, la sensation du sexe de mon chéri en moi, la vue des autres qui baisaient sous nos yeux. J’avais tendance à rêvasser plutôt qu’à travailler. J’avais été reprise par certains profs ce qui n’était pas dans mes habitudes. Dans ma classe, Olivier, Liz et Carine avaient aussi eu droit à quelques remarques. Peter et Stephan avaient été plutôt épargnés quant à eux. Leur manque d’attention pouvait passer pour des difficultés à suivre les cours en français. Moi, je savais quelle était la raison profonde de leur inattention. Nous déjeunâmes avec le reste du groupe assez tôt car certains reprenaient dès treize heures. Par contre nous, nous ne reprenions qu’à quinze à cause du professeur d’économie qui était absent. Nous ne savions pas trop quoi faire de notre peau. Carine qui habitait tout près nous proposa de patienter chez elle. Elle voulait en profiter pour récupérer deux ou trois affaires pour finir la semaine.
Arrivés chez elle, Carine partit dans sa chambre et redescendit assez vite avec quelques bricoles. Nous avions pas mal de temps devant nous, nous étions aussi bien là à patienter qu’à l’internat. Et puis Carine nous proposa de prendre quelques boissons ou encas si nous le désirions. Le canapé et les fauteuils furent pris d’assaut et nous discutâmes un peu. Peter et Stephan s’étonnèrent de quelques points et façons de faire de nos professeurs du matin. Niveau mathématiques, ils avaient été un peu perdu. Olivier ressortit ses cours et se proposa de leur apporter quelques éclaircissements. Carine lui donna un coup de main.Liz et moi nous n’avions pas de difficultés particulières dans cette matière mais pas assez de facilités pour jouer les professeurs. Je profitai des explications des deux autres pour peaufiner ma compréhension du dernier cours. Mais la somnolence du début d’après-midi me rattrapa et j’eus beaucoup de mal à suivre. A côté, je voyais bien Liz dans les mêmes difficultés. Encore qu’elle semblait afficher un petit air béat et idiot. Affalée dans un fauteuil, elle écoutait son copain tout en se passant négligemment les doigts sur la poitrine. Elle devait repenser à notre petite séance du matin. Je me levai et allai dans la cuisine pour me servir à boire. En revenant, Liz était toujours aussi lubriquement songeuse. J’allai la taquiner discrètement :
— Alors, cochonne ? On repense à ce matin ?— Hein ? Oui, non.— Oui ou non ?— Oui un peu mais c’est surtout la fois où nous avions révisé ici tous les quatre qui m’est revenu en mémoire.
Je me rappelais bien de cet épisode. Je me sentis troublée comme des images de nos ébats de ce jour-là me revenaient en mémoire. Je m’assis sur l’accoudoir du fauteuil et laissai mon esprit divaguer. Liz s’aperçut que je la rejoignais dans cette rêverie et commença à me parler tout bas. Je lui répondis en corrigeant ou affirmant ses propos sur qui avait fait quoi et avec qui. Malgré nos précautions, nos messes-basses attirèrent l’attention des autres :
— Bon, les filles si vous ne suivez pas vous pouvez être plus discrètes au moins ? nous invectiva gentiment Olivier.
Lui, Carine et les Allemands avaient redressé les yeux vers nous. Ils passèrent vite d’un regard noir à un air étonné. Liz et moi avions la main sur le sein et l’autre entre les cuisses mais pas encore sous la jupe. Cela ne laissait pourtant pas trop de doute sur ce qu’elles faisaient là.
— Ça va ? Tranquilles les filles ? se moqua Carine. C’est encore ce qu’on a fait ce matin qui vous met dans cet état ?— Non, non, répondit Liz en rougissant.
Olivier parut déçu de ne pas avoir marquer l’esprit de sa copine plus que cela. Peter et Stephan ricanèrent devant nos mines de coupables.
— Alors c’est quoi qui vous fait cet effet ? demanda Olivier.— Nous nous rappelions de ce qui était arrivé ici il y a un an, avouai-je.— Quoi donc Am ? Oh, ah, bien sûr.
Un sourire gourmand se dessina sur les lèvres de Carine qui avait compris. Olivier percuta quelques secondes plus tard, laissant les Allemands dans le brouillard. Ils nous rappelèrent à la réalité en nous demandant quelques explications. Apparemment très fier de sa performance, Olivier se lança dans le récit détaillé, très détaillé, de cet après-midi-là. Peter et Stephan se penchèrent en avant et burent littéralement ses paroles. Ils se murmuraient des trucs en allemand, se donnaient des coups de coude et souriaient. Ils nous mataient, Liz et moi, qui étions en face d’eux. Carine, à leurs côtés, s’était enfoncée dans le canapé et se caressait tranquillement au récit d’Olivier. Celui-ci, emporté par son enthousiasme, transpirait quelque peu. C’est qu’il la racontait bien cette histoire.Liz et moi avions repris nos propres attouchements et c’était même les cuisses de l’autre que nous caressions plutôt que les nôtres. Peter et Stephan devinrent tendus, ils portaient régulièrement la main à leur entrejambe. Il était clair qu’une érection plus que prononcée devait les gêner. Je voyais bien Liz et Carine avoir de plus en plus chaud également. Je n’étais d’ailleurs pas mieux qu’elles et je m’en félicitais. C’était quand même très agréable à revivre. Olivier était tellement pris dans l’histoire qu’il ne s’aperçut pas trop que nos amis teutons essayaient de mater sous nos jupes. Liz le vit aussi et me susurra :
— Et si nous les laissions voir un peu plus ?— Oui, Liz, oui.
J’avais difficilement soufflé cette réponse à ma voisine. Nos cuisses s’écartèrent et nos doigts remontèrent vers l’entrejambe de l’autre. Le collant et la culotte nous gênaient mais cela semblait intéresser au plus haut point nos deux voyeurs. Olivier aurait quand même dû se douter de ce qu’il se passait mais je compris pourquoi quand je suivis son regard. Il semblait tourné vers les Allemands alors qu’en fait il regardait Carine. Il s’était tourné de trois-quarts par rapport à nous pour raconter son histoire à Peter et Stephan. Du coup Carine se trouvait quasiment dans l’axe de son champ de vision. La coquine brunette avait sûrement capté les premiers coups d’œil d’Olivier. Elle jouait maintenant avec lui en se mordant les lèvres, en soupirant, en passant ostensiblement sa main sous sa jupe. Soudain elle s’avisa que Liz la regardait, elle rougit et referma ses cuisses. Mais Liz dut la rassurer d’une quelconque façon car Carine sembla se détendre pour reprendre son petit jeu.Liz paraissait la plus excitée de nous, elle glissa plus franchement sa main dans son corsage et se tripota clairement le sein. En regardant attentivement, je vis qu’elle avait sorti un téton de son soutien-gorge et jouait avec. Elle planta ses yeux dans ceux de Peter qui devint un peu plus rouge. Olivier s’aperçut enfin que les Allemands ne l’écoutait plus que d’une oreille. Il tourna un peu la tête pour nous regarder. Je le vis sourire légèrement en découvrant le manège de sa copine. A qui avait-il souri, Peter ou Liz ? Ou les deux ? En tout cas, ma voisine de fauteuil se lâcha un peu plus et sortit un sein à l’air libre pour le caresser plus facilement. Peter ouvrit de grands yeux ravis tout en plaquant sa main sur la bosse de son entrejambe. Carine avait vu notre amie faire et elle prenait le même chemin qu’elle. Elle alla un peu plus loin en sortant ses deux seins et en jouant avec devant les yeux plein de convoitise d’Olivier. De mon côté, je m’aperçus que Stephan me regardait avec insistance, avec surtout l’air de quémander une faveur. J’aurais pu le faire languir mais mon excitation avait bien grimpé. Tellement que sortir mes nichons à l’air libre et les tripoter allait se révéler insuffisant.Je décidai de soulever mes fesses de l’accoudoir où j’étais assise pour faire glisser mon collant et ma culotte. J’écartai suffisamment les cuisses pour pouvoir me toucher; pas trop pour ne pas tout dévoiler trop vite. Mais à peine avais-je posé les doigts sur mon sexe humide que mes bonnes résolutions s’évanouirent. Je poussai un soupir de contentement et ouvris en grand mes jambes, m’offrant à la vue de Stephan. A côté de moi, Liz avait franchi une étape supplémentaire, ses deux seins étaient maintenant sortis et elle jouait avec d’une main. L’autre était partie sous sa jupe pour se donner du plaisir par-là aussi. Son collant était à mi-cuisse mais sa culotte encore cachée sous sa jupe. Peter ne pouvait donc pas voir ce qui se tramait en-dessous mais il ne semblait pas en être déçu.A sa gauche, complètement affalée dans le fond du canapé, Carine était déjà dans une attitude pleine de lascivité. Non seulement ses seins étaient libérés de son soutien-gorge mais en plus sa jupe était remontée à sa taille. Son collant et sa culotte étaient à ses chevilles et elle se doigtait allégrement. Peut-être plus habitué que les autres à ce genre de jeu échangiste, Olivier extirpa son sexe et débuta une branlette toute en douceur. Liz et moi suivîmes rapidement l’exemple de Carine pour nous donner du plaisir sans contrainte. Voyant la tournure des évènements, les Allemands sortirent leurs queues et imitèrent Olivier.
Nous nous masturbions tous les six tout en écoutant la fin de notre débauche de l’année précédente. Je soupçonnai Olivier de faire trainer en longueur son histoire afin de bien profiter de ce qui se passait présentement. Finalement, il termina en nous laissant dans un état pas possible. Les queues des trois gars luisaient de liquide et leurs glands étaient gonflés d’excitation. Quant à nous, nos seins étaient durs comme du roc et nos chattes dégoulinaient de cyprine. Peter se leva et s’approcha de Liz, elle venait de lui faire signe de venir à elle. La queue raide se vit diriger vers les mamelles de mon amie. Elle les pressa et enserra le membre de Peter entre elles. Il commença alors à donner de petits coups de reins afin de baiser cette superbe paire de nichons. Liz léchait le gland ou crachait un peu dessus afin de faciliter le glissement. Peter n’en oublia pas pour autant Liz car d’une main il vint lui caresser la chatte. Olivier avait déjà sauté sur Carine; ils s’embrassaient tout en se masturbant mutuellement. Ils y allaient franchement, tellement que je me demandai s’ils ne voulaient pas se contenter d’une branlette.Stephan n’osait trop venir à moi, il se pignolait comme un fou en matant ma vulve. Il en était presque à baver d’envie. Si tel semblait être son désir, je n’allais sûrement pas le freiner. Je lui fis signe de venir tout en écartant largement les jambes et en avançant mon bassin jusqu’au bord de l’accoudoir. Stephan comprit parfaitement le message et en moins de deux, il était en train de me lécher la chatte avec dévotion. Il faisait ça parfaitement bien, il me rentra rapidement un doigt dans le con pour me procurer plus de sensations. J’avais beaucoup de mal à tenir en équilibre sur l’accoudoir tellement je prenais de plaisir. Je me pétrissais les seins comme une folle en regardant les autres duos.A côté de moi, Liz avait relevé un peu Peter pour lui tailler une belle pipe. Celui-ci continuait de doigter Liz du mieux qu’il pouvait. Mais la position et, surtout, la pipe que lui prodiguait Liz, ne l’aidaient en rien. Il râlait et marmonnait en allemand tout à son plaisir. Sur le canapé, les choses avaient bien avancé également. Carine était montée à califourchon sur Olivier. Elle se contentait pour l’instant de frotter ses lèvres vaginales contre la queue d’Olivier. Lui en profitait pour téter ses seins comme un bébé privé de lait depuis trop longtemps. J’étais aux anges avec ce cunnilingus mais je voulais plus, je voulais sentir sa queue. Mais alors que j’allais le relever pour le sucer ou le branler, je ne savais pas trop encore, il me mordilla presque le clitoris, me provoquant une violente décharge de plaisir au creux des reins. Je perdis l’équilibre et glissai du fauteuil. Stephan tenta bien de me retenir mais il ne put que m’accompagner au sol. Je me retrouvai sur le côté avec mon ami à moitié sur moi. J’avais un peu mal au coude mais ça allait. J’entendis, entre deux complaintes de plaisir, quelques ricanements venant des autres.
— Ça va ? me demanda Stephan.— Oui. Et toi ?— Oui, oui.
Je sentis tout à coup sa queue frotter contre ma cuisse. Tant pis pour la branlette ou la pipe, je la voulais en moi. S’il voulait bien. Après tout, les Allemands n’avaient, à ma connaissance, eu qu’une fois des relations "extra-conjugales". Encore que nous avions bien fricoté sous les douches avec d’autres que nos officiels. Même si c’était des personnes de même sexe.
— Oh et puis j’ai trop envie, me dis-je.— Stephan, tu veux me baiser ?— Oh, oui, oui, bien sûr, répondit-il plein d’enthousiasme.
Il remonta le long de mon corps et je sentis son gland humide ramper contre ma cuisse. Il se retrouva vite à l’entrée de ma grotte brûlante de désir. Sans hésitation, il se planta en moi, me provoquant un spasme quasi orgasmique. Après coup cela ne m’étonna pas plus que ça, nous nous étions bien chauffés avec l’histoire racontée par Olivier, nos premières caresses et le cunnilingus que j’avais eu de Stephan.Devant mes yeux dont la vision était troublée par mon excitation, je perçus des mouvements caractéristiques. Carine montait et descendait à bon rythme sur Olivier, lui l’aidait dans ses mouvements avec ses mains sous ou sur ses seins, je ne savais pas trop. Au-dessus de moi, la jambe gauche de Liz était sur l’accoudoir. La droite devait avoir la même position de l’autre côté, laissant un large espace à Peter pour opérer. Dans mon flou, c’était surtout le claquement du pubis de Peter contre celui de Liz que je percevais. Elle couinait plus ou moins fort selon que l’Allemand la bourrait plus ou moins sauvagement. Il savait y faire notre ami. Et je n’avais pas à me plaindre aussi. Stephan alternait divinement le rythme me faisant faire des montagnes russes. Mes encouragements, tout en râles et onomatopées, semblèrent lui donner du cœur à l’ouvrage. En tout cas j’espérai pour Maxime qu’il pourrait profiter de l’une ou l’autre des Allemandes si jamais elles étaient aussi douées que leurs copains.
Mon plaisir grimpait rapidement vers des sommets quand j’entendis Olivier et Carine avoir des cris plus aigus et plus forts. Je pus les voir jouir par-dessus l’épaule de Stephan. Cela dut lui donner un coup de fouet car il se déchaîna comme un beau diable sur moi. J’imaginai sans peine mon Maxime défoncer une des Allemandes avec la même énergie. Cela provoqua en moins un bon petit orgasme qui me cueillit par surprise. Je me raidis soudain, mon vagin se contractant sur la queue de Stephan. Il se ficha au fond de ma grotte et commença à se vider en moi.Alors que je poussai de petits cris jouissifs, j’entendis ceux plus gutturaux de Peter. Il s’arcbouta sur Liz et, dans un dernier mouvement, se planta en elle en la soulevant légèrement. Liz sombra dans son extase quelques secondes après cela. Elle se cambra fortement, allant jusqu’à coller ses seins contre le torse de Peter. Après ces jouissances multiples, un silence apaisé régna dans le séjour. Nous nous remettions tranquillement de nos émotions fortes. En parlant un peu entre nous, nous comprîmes que nous avions tous plus ou moins imaginé notre copain ou copine dans les bras d’une personne de l’autre nationalité. Cela nous avait tous permis de jouir plus rapidement. Et heureusement d’ailleurs car il était plus que temps de retourner en cours après un passage rapide par la salle de bain. Je m’arrangeai pour retrouver mon Maxime entre deux cours pour lui raconter tout cela; il fut plus que friand de mes aventures.
— Je te souhaite de vivre le même genre de moment avec une Allemande.— Merci Am. On verra bien.
Le soir même nous eûmes la surprise de découvrir que nous n’avions pas été les seuls à profiter de nos amis...
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