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Le projet artistique

Chapitre 65

S'amuser avec les Allemands - 3

Orgie / Partouze
Paul narrateurNous avions laissé repartir Maxime vers l’internat où les trois jeunes femmes devaient l’y retrouver pour "travailler". Ils le feraient certainement et, connaissant bien notre petit groupe, je ne me faisais pas d’illusions sur le fait qu’ils allaient faire bien autre chose. Avec Hanna, Dieter et Elisa, nous avions fait le choix de ne pas participer à leurs parties fines. Nous nous étions quand même laissés aller dans les douches, mais devant la beauté de nos femmes, Dieter et moi n’avions pu résister. Se joindre à ces jeunes adultes ne nous auraient pas déplu mais nous avions toujours la crainte, quoique fortement atténuée, de voir le directeur débarquer à l’improviste. Nous pouvions toujours nous arranger pour dire que nous n’étions pas au courant qu’ils baisaient dans l’internat. Mais nous trouver avec eux aurait été bien plus problématique.De notre côté, nous n’étions tout de même pas en reste car, comme les gars, nous avions coquinement réveillé nos femmes au matin le jour précédent. J’avais beaucoup aimé baiser Elisa à côté de Dieter et Hanna. Ma chère femme avait aussi fortement apprécié tout comme son frère et sa belle-sœur. Mais depuis la veille nous n’avions plus eu le temps de faire l’amour à nouveau. Cela commençait à me manquer et me frustrer. Surtout que nous avions appris, avec pas mal de détails, ce que certains avaient fait.Nous venions de retrouver les jeunes femmes à la sortie de leur séance de danse. Quand les jeunes voulurent faire une longue visite de la ville, Hanna déclara forfait. Elisa lui proposa de faire un petit tour près de notre appartement, faire quelques boutiques pour être clair. Ma belle-sœur accepta la proposition et pour ma part je me dis que ça pouvait être l’occasion de relever notre courrier et éventuellement prendre quelques affaires supplémentaires. Je décidai donc de les accompagner et Dieter ne voulut pas laisser sa femme.Il y eut donc deux groupes qui se formèrent. Je donnai quelques recommandations aux jeunes et une heure pour rentrer à l’internat, histoire d’être tous là pour le dîner. Elisa traina Hanna dans une de ses rues favorites. Je la connaissais bien celle-là, au moment des soldes je me retrouvais parfois à faire le porteur pour madame. Après quelques boutiques de vêtements et de chaussures somme toute assez classique, nos pas se dirigèrent vers cette petite boutique de lingerie qu’Elisa affectionnait tant. Et je devais bien dire que ce qu’elle rapportait me ravissait à chaque fois. Dieter commençait à en avoir marre de faire du shopping et voulait abréger rapidement.
Non, laissons-les faire cette dernière boutique.Pourquoi donc ?— Tu verras c’est un magasin de lingerie. Elisa en ramène toujours des trucs super.C’est quoi lingerie ? me demanda-t-il
Je ne connaissais pas de traduction pour ce mot et Elisa était en pleine discussion avec Hanna. Elles semblaient même avoir pressé le pas pour y arriver plus vite.
— Heum, des sous-vêtements, des dessous.— Ah, oui, Dessous.
Il m’expliqua rapidement que "Dessous" qualifiait la lingerie fine, en tout cas celle plus recherchée que d’ordinaire. Dieter sembla tout à coup plus motivé. Nous entrâmes dans la boutique quelques secondes après nos femmes. Mon beau-frère eut le temps de tomber en admiration devant la multitude et la beauté de tout ce qui était présenté. Il m’expliqua ensuite que certains magasins commençaient à vendre ce genre de choses chez lui mais que pour l’instant cela restait hors de prix pour eux. La vendeuse nous regarda bizarrement avant de me reconnaitre et de me dire bonjour. Elisa et Hanna étaient déjà devant un rayon et l’Allemande touchait et regardait tout frénétiquement.
— Chéri, je crois qu’on va rester un petit moment, me prévint Elisa.— D’accord, rejoignez-nous à l’appartement dans ce cas.— Oui, oui, dit-elle distraitement.— On y va, Dieter ?— Mmmh ? Oui, oui...
Il eut du mal à se détacher de la vision de toute cette lingerie. Il devait imaginer sa femme porter tel ou tel ensemble. A moins qu’il ne porta aussi son imagination vers sa sœur. Je le tirai presque par le bras et nous allâmes à mon appartement. Sur le court chemin il resta pensif, rêveur. Et moi aussi d’ailleurs. Je visualisais bien ce que cela pouvait donner sur Elisa mais mon imagination travaillait dur pour calquer cette lingerie sur le corps de femme enceinte d’Hanna. Après avoir pris le courrier et vérifier qu’il n’y avait rien d’urgent je proposai à mon beau-frère de prendre une bière.

Une bière française ? demanda-t-il avec crainte.Non, une allemande. Rassure-toi. Là-dessus, je préfère les allemandes aux françaises.Et pas que sur les bières...— Ha, ha, ha, oui. Sur les femmes aussi.— La mienne aussi ?— Elle est très jolie.— Même enceinte ?— Oui, oui. Ça me plait pas mal. Enfin ça m’intéresse. Je ne le verrai jamais avec Elisa alors... voilà quoi.— Je comprends.Euh, je t’ai vu rêveur dans le magasin. Et il me semble que tu regardais ta sœur.Ah, oui. Oui. Hanna m’avait parlé d’un type de soutien-gorge que ma sœur aime beaucoup. Et il m’a semblé en voir et je me suis demandé comment ça faisait sur elle.— Je vois bien de quoi tu parles. J’aime beaucoup aussi. Et ta sœur le porte très bien. Mais ta femme serait pas mal avec aussi.— Je ne sais pas si ça lui plairait.— Je crois qui si Elisa lui fait essayer, elle craquera.— J’aimerais bien la voir avec.— Moi aussi.Ah ces français. C’est ma femme, quand même.
Un bruit de clé dans la porte nous fit dire que nos femmes rentraient. Elles pénétrèrent dans l’appartement accompagnées d’un bruissement de sacs. Nous passâmes la tête dans le couloir pour voir ce qu’elles avaient. Le nom de la boutique était bien visible sur un sac que tenait Elisa.
— Alors, tu as acheté quoi ? demandai-je.— Oh, un rouge, avec des broderies noires.— Et le string, je suppose ?— Tu supposes bien. Mais je n’ai pas pris que pour moi.
Là, Hanna se mit à rougir comme un drapeau communiste.
C’est Elisa qui a insisté. Je ne voulais pas trop car je suis enceinte. Mais la vendeuse et Elisa m’ont demandé ma taille habituelle et j’ai craqué. Ça me motivera pour retrouver vite ma ligne je me dis.Ah, merveilleux. Et je peux voir ce que tu as ? s’empressa de demander Dieter.
Elisa sortit triomphalement un ensemble similaire à ce qu’elle avait pris pour elle mais en rose pâle et non rouge. Ma femme extirpa son propre achat pour l’exposer à côté de celui de sa belle-sœur. C’était en effet le même ensemble mais dans une couleur différente.
Oh, c’est beau ! souffla Dieter. On te doit combien, sœurette ?Rien, c’est cadeau. Ça me fait plaisir.Ah, euh, merci.Ça te plait mon chéri ? demanda Hanna.Ça a l’air très bien. Ça va être long d’attendre. J’aurais bien voulu voir ce que ça donne.Euh, je dois pouvoir mettre le haut si tu veux.Oui, oui.
J’étais presque aussi content que Dieter. Assez pour commencer à bander. J’avais déjà vu Hanna nue, bien sûr, mais la lingerie donnait un petit côté érotique supplémentaire qui m’avait toujours plu. Elisa l’avait compris depuis longtemps et elle s’amusait de voir l’effet que ses achats fréquents provoquaient en moi. Elle dut croire que j’étais aussi impatient de la voir avec cet ensemble car elle voulut accompagner Hanna. Cela sembla aussi du goût de Dieter car il remit discrètement en place son sexe dans son pantalon. Gardant sa jupe sur elle, Elisa se retrouva vite en soutien-gorge. Elle se tourna pour l’enlever et mettre à la place sa nouveauté. Hanna, elle, allait bien plus lentement. Elle avait enlevé son gilet mais ne parvenait pas à baisser la fermeture éclair de sa robe qui se trouvait dans son dos. Elle y parvint enfin et la robe tomba à ses pieds. Je me trouvai alors les yeux au niveau de son ventre rond et ne pus m’en détacher jusqu’à ce qu’elle se tourne et que ma femme l’aide à mettre son cadeau.
Ça va, là ? s’inquiéta Hanna.Oui. Juste sort un peu ton sein gauche. Là, oui, c’est bien.Comme ça ? Oh la, la...— Vous êtes prêts les mecs ?
Ça, c’était sûr, nous étions plus que prêts. Elles se retournèrent d’un coup. Je regardai rapidement Elisa, ça lui allait toujours aussi bien. Sa belle poitrine était très bien mise en valeur encore une fois. Mais je fus rapidement attiré par le ventre rond et la plus petite poitrine d’Hanna. Elle avait pris un peu de seins et ils débordaient un peu du soutien-gorge. Ça amplifiait l’érotisme de sa silhouette. A ma droite, Dieter ne cessait d’envoyer des compliments à sa femme. Hanna était un peu gênée mais appréciait quand même tout ça. Elisa râla un peu et je dus lui en faire aussi avant de me prendre une baffe.
Et la culotte ?Ah ça, Dieter mon chéri, il faudra attendre.Dommage, je n’ai jamais vu de string.Attend, je vais mettre le mien, proposa spontanément Elisa.
En un tournemain, elle se retrouva en slip, face à nous. Elle vira un dessous pour rapidement le remplacer par l’autre. Ce fut quand même suffisant pour nous permettre d’admirer son sexe nouvellement rasé. Elisa et Hanna changèrent de place pour que ma femme se trouve bien en face de son frère. Dieter avait les yeux qui brillaient. Etait-ce qu’il pensait à ce que cela donnerait sur sa femme ou bien il se contentait d’admirer la mienne ?
Il a l’air d’aimer sur Elisa. Elle est belle, ça le change bien de moi, me chuchota Hanna.Oui mais tu es très belle aussi.Avec mon gros ventre et mes vergetures ?
Je bloquai sur "vergetures"; elle s’en aperçut et baissa son espèce de collant de grossesse qui lui couvrait une partie du ventre. Sur le côté se voyaient des lignes blanches. Je ne les avais pas remarquées quand nous étions sous la douche.
Et puis, mon cul est devenu tout mou.
Elle me tourna le dos et baissa sa culotte. En effet, son fessier était moins tonique que dans mon souvenir quand je l’avais vu à Erfurt. Malgré cela je la trouvais très belle. Plutôt grâce à cela, j’en étais persuadé.
Non, tu es très jolie. J’aime beaucoup ton ventre. Peut-être parce que je n’aurais jamais la chance de voir Elisa avec un comme ça.Ah, tu veux le toucher ?Euh, oui.
Hanna m’avait déjà permis de le faire quand son bébé avait bougé mais elle était habillée cette fois-là. Là, je pouvais poser directement ma main sur sa peau. Le frère et la sœur ne s’occupaient pas trop de nous. Dieter faisait tourner Elisa sur elle-même qui se plaisait à se faire admirer en riant. Quand mes doigts touchèrent la peau d’Hanna, elle eut un frisson et moi aussi. Je crus sentir un mouvement du bébé et plaquai ma paume contre son ventre. Mais il devait dormir, en tout cas il était tranquille. Mes deux mains se mirent à parcourir ce ventre qui portait la vie. Elles allaient et venaient avec délicatesse. Hanna soupirait de temps en temps, elle semblait aimer ce massage. Sa culotte avait suffisamment descendu pour je puisse voir le haut de son pubis glabre. Mes yeux y étaient allés car j’avais suivi du regard la ligne brune qui partait de son nombril.
Ça te fait vraiment un beau cul, Elisa, dit Dieter.Hi, hi, hi, qui t’a permis de toucher ?
Mais elle ne retira pas la main de son frère de ses fesses. Cette coquine savourait chaque remarque et flatterie de Dieter. Il était dans la découverte pure de la nouveauté. Je me rappelai que les premières fois où Elisa m’avait ramené de belles lingeries j’avais été aussi admiratif. Je la trouvais toujours aussi attirante mais étais sans doute moins expressif que lui. Je me reconcentrai sur Hanna et j’eus une pulsion. Je plaquai ma joue contre son ventre et passai mes mains dans son dos. Une s’arrêta sur ses reins et l’autre sur ses fesses. Je l’attirail un peu plus contre moi et me blottis contre elle. Hanna me caressa les cheveux tendrement sans rien dire.
Dis donc, tu aimes les femmes enceintes, me dit Dieter.
Je me réveillai et je me sentis un peu honteux. Je voulus me détacher de ma belle-sœur mais elle me retint.
Reste, je vois que ça te fait plaisir, me dit-elle.
Alors je tournai simplement mon regard vers le frère et la sœur. Si Dieter me regardait simplement en souriant, Elisa avait les yeux embués de larmes sans être triste pour autant.
— Tu aimes vraiment ça ? me demanda-t-elle.— Euh, oui, avouai-je honteusement.— Alors savoure tant que tu le veux.
Je me fis plaisir et pelotai le cul d’Hanna tout en frottant mon visage sur son ventre.
Mmmh, eh bien. C’est agréable de se sentir aussi adorée, commenta Hanna. Dis-moi, tu n’aurais pas envie de baiser une femme enceinte des fois ?A sa tête, je crois bien que oui, se moqua gentiment Dieter.J’avoue que l’expérience me tente beaucoup.Alors, je suis toute à toi. Je te dois bien ça, sans ta venue en RDA, je n’aurais jamais eu à occuper Dieter. Et je ne serais pas enceinte.
Elisa me fit un signe de tête et je continuai plus librement mon petit jeu. Je descendis complètement son collant et sa culotte et commençai à lui caresser le sexe. Hanna gémit quelque peu et je la sentis frémir sous mes doigts. Ceux-ci devenaient de plus en plus mouillés par les sécrétions de ma belle-sœur. J’embrassai et léchai abondamment son ventre, j’en tirai un extraordinaire plaisir. Hanna me releva du canapé pour m’embrasser, je lui massai les seins, pinçant ses tétons pour lui arracher quelques soupirs. Mais elle se détacha vite pour s’asseoir à ma place.
— Tu permets ? Si tu as envie de te taper une femme enceinte; j’ai bien envie de tâter de ton engin depuis que tu es venu nous voir...
Ni une, ni deux, Hanna sortit ma queue, qui commençait à être bien à l’étroit, et se mit à la pomper avec une belle vigueur. Je grognai et dus poser ma main sur sa tête pour calmer ses ardeurs, sans quoi elle m’aurait fait jouir en quelques instants. Elle ralentit et je pus savourer la douceur de sa langue et de ses lèvres. J’en profitai pour lui caresser les seins. Je pus tourner mon attention vers Dieter et Elisa. Ma femme s’était assise sur la table basse et se caressait les seins. Dieter s’était bien calé au fond du canapé et nous regardait. Il devait remettre souvent sa queue en place tant elle devait être à l’étroit.
Met-toi à l’aise, Dieter, lui conseillai-je.Oui, branle-toi, je vois que tu en as envie, approuva Elisa. D’ailleurs, je vais m’y mettre aussi. Ils m’excitent ces deux cochons.
Sans attendre Elisa décala son string sur le côté et commença à s’astiquer le bouton. Dieter se mit au diapason et sortit sa queue pour se branler. Si le mari ne se privait pas pour regarder sa femme me sucer, il avait les yeux tout autant attirés par mon épouse avec son corps mis en valeur par cette lingerie magnifique et qui était un émerveillement pour Dieter. D’ailleurs Elisa ne manquait pas de lancer des regards gourmands vers la queue à disposition en face d’elle. Je savais qu’ils avaient baisé pour certains films et au moins une fois en dehors quand Dieter l’avait enculée. Ils en avaient tous deux tirés un certain plaisir malgré l’étrangeté de la situation. Je voyais bien que l’un et l’autre étaient tentés de remettre ça. Je me demandais comment les libérer quand Hanna fut bien plus directe :
Elisa, veux-tu bien te charger de mon mari ? Il aurait bien besoin d’une bouche accueillante.Humm, oui, je crois qu’il en a besoin effectivement, répondit-elle.
Elle allait retirer ses sous-vêtements mais Dieter l’arrêta :
Non, garde-les. Ça m’excite beaucoup.Cochon. Aller, viens-là.
Elle le tira à lui et débuta une longue et profonde fellation. Connaissant Elisa, Dieter devait subir un supplice délicieux. Quant à moi, je prenais mon pied entre les lèvres de ma belle-sœur. Mais je voulais goûter à son fruit et voir si une femme enceinte avait une saveur particulière. Je me dégageai d’elle et l’invitai à se reculer dans le fond du canapé.
Oh, oui. Avec plaisir, mais plutôt comme ça.
Elle préféra s’allonger sur le côté et écarter la jambe en glissant son pied presque sous ses fesses. Ce n’était pas très pratique pour moi, même si elle avait les fesses près du bout du canapé mais ça devait être moins rude pour elle. Je m’attelai à la tâche et découvris le goût de la liqueur d’Hanna. Elle avait sa propre saveur sans avoir rien de particulier qui aurait pu avoir un lien avec sa maternité. Après il aurait fallu que je compare dans son état normal. Ma langue frétillait sur son clitoris mais mes doigts restaient bien à l’extérieur de son vagin. Cela fut insuffisant pour Hanna qui m’en demanda plus :
N’ai pas peur Paul. Vas-y franchement avec tes doigts. Ça ne risque rien.
Je lui obéis dans l’instant et lui plantai deux doigts dans la chatte. Elle râla de bonheur et se cambra un peu plus.
Mmmh, oui, oui... Dieter, veux-tu bien t’occuper d’Elisa ? Regarde-là, elle a trois doigts dans la chatte.
Je levai les yeux vers l’autre duo et vis qu’en effet ma femme suçait Dieter en s’aidant d’une main mais que l’autre était enfouie entre ses cuisses. Mon beau-frère avait les mains sur les deux mamelles d’Elisa et les pelotait avec vigueur. Il s’excusa presque en s’agenouillant devant elle. Il voulut tout de suite plonger sur la chatte d’Elisa mais je savais qu’elle allait d’abord se relever, se tourner, poser les mains sur la table basse pour enfin présenter sa croupe à son frère. Cette position était bien plus pratique et agréable pour le lécheur tout en restant jouissive pour Elisa.
Enlève-moi mon string si tu veux.Je peux le laisser ?Oui, ça te plait vraiment on dirait.Elisa, il faudra que j’en mette souvent je crois, souffla Hanna alors que je la bouffais avec délectation.
Dieter rougit un peu plus mais il se contenta d’écarter le string pour aller lécher le con de ma femme. Sa bouche s’acharna sur son clitoris tandis qu’il lui ficha rapidement un doigt dans le vagin. Elisa gémit fortement sous l’action de son frère; elle nous regardait parfois par en-dessous et je voyais dans son regard le plaisir qu’elle ressentait. Une autre qui prenait son pied, c’était Hanna. Elle gémissait et se trémoussait de plus en plus. Si je continuais comme ça, j’allais la faire jouir rapidement. Je voulais baiser une femme enceinte, pas juste la lécher.Je me redressai et voulus la prendre directement. Hanna me retint un instant pour rabaisser sa jambe. Je pus alors placer mon gland à l’entrée de sa grotte, d’une bonne poussée j’entrai en elle en geignant de satisfaction. Hanna poussa un petit râle bien guttural, cela devait faire un moment qu’elle n’avait pas eu d’engin de cette taille dans la chatte. Je la limai d’abord lentement sans trop y aller profondément. Mais elle m’incita à y aller plus franchement et je débutai un bourrage de chatte dans les règles. Elle couina tant qu’elle put sous mes coups de reins.
Aller, à moi, aussi, s’exclama Elisa.T’es sûre ? s’étonna Dieter.Ah oui, tu m’as trop bien léché et les deux, là, ils me chauffent trop. Et puis j’ai besoin d’être remplie. Aller, au boulot !Eh bien, si c’est ce que tu veux, commenta-t-il goguenard.
Dieter écarta un peu plus le string sur le cul de ma femme et l’attrapa par les hanches. D’un mouvement de bassin, il se plaça bien puis il pourfendit sa sœur d’un coup sec. Elisa gueula littéralement alors que la queue de son frère lui tapait dans le fond du vagin. Sans attendre, il se mit à faire des va-et-vient énergiques qui arrachaient des cris et des plaintes à ma femme. La connaissant, je savais qu’elle prenait son pied. Elle n’en perdait quand même pas de vue que j’étais en train de fourrer Hanna avec la même énergie que Dieter.La jeune femme émettait de longs râles et ses yeux étaient hagards. Je pus me pencher assez pour venir lui téter ses petits seins. Je fus surpris de recevoir une giclée de lait dans la bouche, ce n’était pas mauvais, un peu étrange en goût tout de même. Hanna s’en rendit compte, elle me tira par la nuque et m’offrit un nouveau baiser pour goûter à son propre lait maternel. Dieter avait attrapé les cheveux d’Elisa et lui tirait la tête en arrière comme s’il la tenait par des rênes. Il lui fit tourner le visage vers nous et il se contorsionna pour l’embrasser. Ils échangèrent un baiser baveux et quasiment obscène qui m’excita encore plus.Je me démenai comme un furieux encore quelques instants avant de sentir mon sperme prêt à jaillir de ma hampe. Je fus soudainement surpris par l’orgasme d’Hanna qui, sans crier gare, se mit à déverser un flot d’insanité. Sa chatte se contracta sur ma queue et je ne tardai pas à lui remplir le vagin de mon foutre. J’accompagnai mon éjaculation d’un cri libérateur. Dieter avait abandonné les lèvres d’Elisa pour reprendre ses va-et-vient puissants. Ma femme ne se tenait plus que d’une main, l’autre s’activant frénétiquement sur son clitoris. Dieter donna encore quelques coups de reins puis se planta bien au fond d’elle, déversant dans la matrice stérile de ma femme tout son sperme. Elisa se masturba encore pendant l’orgasme de Dieter et parvint au sien rapidement. Elle cria et éructa, reprenant sa langue maternelle. Dieter et moi nous retirâmes de la femme de l’autre en laissant échapper un peu de notre sperme de leurs chattes. D’un doigt, elles en récupérèrent un peu. Et au lieu de le goûter, elles se levèrent et tendirent leurs doigts à l’autre :
Tiens, je crois que c’est à toi, ricanèrent-elles en suçant le doigt tendu.
Elles se firent un smack et partirent joyeusement, main dans la main, à la salle de bain. L’eau de la douche coula bien vite et je crus entendre quelques soupirs supplémentaires. Dieter y crut aussi un instant mais il nous apparut vite que ce n’était que notre imagination. Ce fut ensuite notre tour de nous laver. Ce fut rapidement fait, cela nous éviterait d’en prendre une le soir même. En parlant de soir, il était bien temps de rentrer à l’internat.En arrivant, nous entendîmes les jeunes parler du fait d’embrasser un ou une autre. Nous nous sourîmes tous les quatre en les entendant se faire des nœuds au cerveau. Puis il y eut un silence qui nous intrigua. Notre petit groupe entra dans le dortoir où ils se trouvaient pour découvrir qu’ils s’embrassaient tous. Marie embrassait Wilhelm et Felipe, Ida s’occupait de Germain et Esteban. Les garçons s’embrassant parfois entre eux. Olivier embrassait Carine, tandis que Peter était avec Liz et Stephan avec Amandine. Enfin Maxime était fortement occupé avec Sylvie, Jutta et Svenja. Ils se galochèrent un moment avant de voir que nous étions là. Ils nous expliquèrent pourquoi ils avaient formé ces couples et ces trios.Je regardai Dieter et d’un regard nous convînmes de faire comme les plus jeunes. Chacun attrapa la femme de l’autre et l’attira à lui pour poser ses lèvres sur les siennes. D’abord surprises, elles se laissèrent faire avec délice et participèrent même très activement à ce baiser. Les jeunes rirent un peu et poussèrent quelques exclamations. Ils voulurent avoir quelques précisions sur nos activités de l’après-midi. J’aurais bien voulu garder cela pour moi mais Elisa et Hanna en décidèrent autrement. La suite de la soirée fut plutôt studieuse et les jeunes gens se couchèrent assez sagement. Nous avions su ce qu’il s’était passé pour Maxime et les trois filles. Hanna me fit un autre cadeau en me proposant de dormir avec elle, sans sexe cette fois. Je m’allongeai près d’elle et posai ma main sur son ventre rond pour sentir le bébé bouger comme un beau diable. Il finit par se calmer et nous nous endormîmes rapidement.
* * *
Maxime narrateur
Nous avions dormi un peu avec qui bon nous semblait et les profs avaient interverti les couples, ce qui nous avait tout de même étonné de la part de Dieter et d’Elisa. Mais apparemment, c’était surtout Hanna qui avait proposé à Paul de dormir avec une femme enceinte. Cela cogita un long moment dans ma tête avant que je ne trouve le sommeil. Etait-ce si spécial de dormir avec elle ? Ou bien n’était-ce que le cas particulier de Paul qui influençait la situation ? Je me rapprochais un peu plus du sommeil et de Liz qui s’était endormie depuis un moment. Elle avait tenté de me stimuler mais après les sollicitations des filles dans l’après-midi je n’avais pas été très réceptif. Elle avait conclu ses efforts en me rassurant :
— Fatigué, hein ? Pas grave, je comprends, moi c’était hier.
Un peu plus loin, je vis Amandine avec Sylvie. Elles dormaient toutes les deux, Sylvie était protégée par les doux bras de ma bien-aimée. Tout était calme, personne ne fricotait. Nous avions une apparence sage alors que nous dormions tous nus comme des vers et pas avec notre partenaire habituel, voire même avec quelqu’un du même sexe.Le lendemain matin, ma queue s’était réveillée avant moi et avait décidé de se faufiler entre les fesses de Liz. Celle-ci, dans un demi-sommeil ondulait du postérieur pour profiter de cette sensation. En émergeant, je me rendis compte qu’une de mes mains était posé sur le sein de Liz et le massait doucement. C’était plus gros que ce que m’offrait Amandine et bien sympathique. Mais la poitrine d’Amandine me convenait très bien, assez grosse, bien ferme et plus haut perchée. Je commençai à entendre quelques soupirs s’élever ici ou là. Du double lit où se trouvaient Amandine et Sylvie, dans le fond à droite.Au fond également, Svenja et Esteban gémissaient faiblement et près de la porte, en face de nous, Ida et Marie étaient plutôt silencieuses mais les mouvements des draps ne laissaient que peu de place au doute. Je savais que de l’autre côté, dortoir garçon, Germain était avec Wilhelm et Olivier avec Jutta. Après Felipe était-il avec Stephan et Carine avec Peter ? Je ne savais pas trop mais globalement toutes les combinaisons étaient possibles, même si les couples franco-allemands étaient les plus probables. J’entendis quelques grincements de literie mais peu de son de voix. J’imaginai facilement les causes de ces bruits de ressorts. Et puis finalement je perçus de faibles, très faibles soupirs. Et ils ne venaient pas de l’autre dortoir. Ils s’échappaient d’au moins une des chambres de nos chaperons. Et pour des chaperons censés surveiller nos écarts de moralité, ils n’étaient guère exemplaires. Le frère et la sœur avaient partagé le même lit tandis que le mari et la femme de ceux-ci en avaient fait autant et tout le monde dans le plus simple appareil. Surtout, les soupirs de plaisir que je percevais venaient des deux chambres.Globalement, ça se caressait, ça se massait et se tripotait doucement un peu partout. Sous les draps et les couvertures, nous étions bien au chaud, nous faisant tous du bien et rendant le levé de plus en plus difficile. Ma main avait abandonné le sein de Liz pour aller lui titiller l’entrejambe, son antre s’humidifiait tranquillement sous mes doigts. La jeune femme qui avait partagé ma nuit n’était pas inactive. Elle s’était un peu retournée pour aller empoigner mon membre et l’astiquer de longs et lents mouvements. Liz me tendit ses lèvres et j’y déposai les miennes. Et nous n’étions pas les premiers à échanger un baiser. Mais je ne sus dire qui en était déjà là. Je ne pus me rendre compte que du fait que les quatre couples se roulaient des pelles. L’autre dortoir s’était mis à être plus démonstratif et il me parvenait le même genre de sons que nous faisions de notre côté. Et pour les profs ? Cela restait discret et plus ou moins sur le même rythme.
Liz finit par se retourner complètement sur moi et à faire glisser sa vulve le long de mon sexe. Du coin de l’œil, je vis aussi plus de mouvements tout autour de moi. Amandine était passée sur Sylvie et semblait se frotter franchement à elle tout en l’embrassant. L’autre couple hétéro du dortoir bougeait pas mal mais cela ne ressemblait pas des va-et-vient classiques. Ils donnaient plutôt l’impression d’avoir laissé leurs mains sur les parties intimes de l’autre et de s’exciter ainsi. En face, les deux filles s’embrassaient savamment et Marie commença à descendre ses lèvres le long du corps d’Ida. Se faisant, elle semblait se retourner petit à petit pour, sans doute, finir tête bèche avec l’Allemande.Du dortoir homme, les grincements de literies étaient bien plus présents mais toujours dans un rythme qui ne me faisait pas penser à de la baise pure et dure. De même que dans les chambres des professeurs, ça s’agitait maintenant un peu plus mais toujours sans débauche d’énergie. Tout le monde faisait monter la température lentement. Lentement mais sûrement, il devenait urgent que j’entre mon sexe dans celui de Liz. Ma partenaire du matin sembla lire dans mes pensées car elle descendit sa main et attrapa ma queue. Elle se pencha en avant et positionna mon gland à l’entrée de son vagin. Sans plus attendre je poussai mon ventre en avant et l’empalai lentement. Liz ferma les yeux et savoura cette pénétration. Pour moi aussi, elle fut délicieuse tant les moments précédents de caresses avaient fait monter la tension.
Merde ! Merde !— Merde ! Merde !
Je reconnus tout de suite les voix de Peter et Felipe. Le timbre de leurs voix aurait pu me faire rire mais ce que Felipe rajouta dans la foulée me glaça d’effroi :
— Bordel, on est à la bourre !
Peter dut probablement lancer la même alerte en allemand mais j’étais trop pétrifié pour comprendre. Liz et moi étions figés comme des statues. Tout à coup, j’entendis des pas précipités d’un peu partout, cela nous réveilla et je sautai hors du lit et hors de Liz. Esteban fila devant moi, la queue raide au vent, telle une lance de chevalier en pleine joute. Je n’eus qu’un quart de seconde pour voir que les pubis des nanas luisaient de mouille avant de partir moi aussi. Dans le couloir, je faillis me faire écraser par Jutta et Carine; je me plaquai dos au mur pour les laisser passer et l’une d’elle cogna mon sexe tendu à l’horizontale.Ce délai me permit de voir Dieter et Paul sortir des chambres pour retourner dans la leur. Tous deux arboraient une fière et non négligeable érection. Il me sembla les voir briller sur toute la longueur grâce à l’éclairage du couloir. Je ne pris pas le temps d’analyser la chose et filai m’habiller. Il ne me fallut que cinq à dix secondes pour rentrer dans mon dortoir où les autres gars s’y agitaient déjà. Ils avaient tous la bite bien dure et raide des préliminaires, voire un peu plus, qu’ils avaient eu juste avant. Mais nos érections rendirent vite les armes devant notre empressement à nous habiller. Assez rapidement, tout le monde se retrouva dans le couloir pas rasé, pas coiffé et un peu débraillé. Mais nous filâmes tout même à la cantine pour notre petit-déjeuner qui fut avaler en quatrième vitesse.Toute la journée qui suivit j’eus l’impression de courir après le temps qui nous avait manqué le matin même. Celui que nous aurions pris pour nous préparer tranquillement et surtout celui que nous n’avions pas eu pour finir ce que nous avions commencé. Tout le groupe resta ainsi un peu sur les nerfs toute la journée, même Hanna qui n’avait pourtant pas à suivre les cours, eut des accès d’impatience et de mauvaise humeur.Je pus parler aux nanas de ma classe et je compris qu’elles avaient toutes les trois entamé les choses sérieuses avant de s’interrompre. Je pus aussi parler à quelques gars et ils me dirent la même chose. Je n’osai poser la question aux profs, je trouvai gênant de demander à Elisa si elle avait commencé à baiser avec son frère. Amandine et Jutta eurent moins de pudeur et leur posèrent la question. Un peu embêtés, ils avouèrent que si l’heure n’était pas venue de se lever, ils ne savaient pas ce qui aurait pu se passer. Paul et Hanna furent moins gênés de dévoiler qu’ils en étaient à se placer pour commencer la pénétration. Nous restâmes donc tous avec cette frustration toute la journée et avec l’impression de devoir se presser, de ne pas avoir le temps.La soirée resta sur le même rythme. Nous devions tourner nos scènes manquantes et nous n’avions que cette soirée-là pour le faire. Et au contraire des autres fois, cela se passa assez mal. Tous ceux qui étaient devant la caméra avaient l’impression d’oublier leur texte. Ceux qui étaient derrière étaient insatisfaits de l’éclairage, de l’angle de vue, du son... Nous réussîmes tout de même à finir notre tournage et à aboutir à un résultat convenable. Elisa et Paul nous demandèrent de passer rapidement par les douches. Il se faisait tout de même relativement tard. Nous nous retrouvâmes tous les vingt sous les jets d’eau chaude.
Mon sexe palpitait et était gonflé. Il avait débuté quelque chose le matin et ne comprenait pas qu’il ne soit toujours pas arrivé au bout. Les autres bites que je voyais étaient plus ou moins dans le même état. Et les regards que jetaient les mecs (Paul et Dieter compris) vers les seins, culs et chattes alentour étaient proches d’un état de manque. Ces dames et demoiselles arboraient des poitrines tendues et aux tétons érigés vers l’avant. Les chattes imberbes avaient été rincées par l’eau chaude mais on y voyait de nombreuses traces translucides. Et les regards qu’elles posaient sur nous n’étaient pas moins empreint de manque que les nôtres.Dans la vapeur dégagée par l’eau bien plus chaude que les jours précédents, l’ambiance, et notre état d’esprit, frisait la surchauffe. J’avais besoin de baiser, de me vider les couilles. Dans n’importe qu’elle chatte : Amandine à côté de moi mais aussi Carine en face ou Jutta juste à sa droite. A moins que je ne repartis vers Liz avec qui j’avais débuté quelque chose le matin même. Et puis tout se déclencha soudainement, d’un côté des douches Germain colla Marie contre le mur, à moins que ce ne fut elle qui l’attira à elle, et de l’autre Hanna sauta sur son mari ou l’inverse. En un rien de temps, ils s’embrassèrent et posèrent leurs mains sur les parties intimes de l’autre. Et puis ce fut une explosion, tous les couples s’unirent avec le même empressement. Amandine et moi nous nous collâmes l’un à l’autre. Je l’attirai à moi ou elle me plaqua contre le mur; je ne sus, et ne sais toujours pas, qui fit quoi. Mais immédiatement nos lèvres se joignirent, nos mains allèrent branler l’autre avec rage. J’avais presque l’impression de batailler avec Amandine que d’avoir des préliminaires sensuels avec elle. On était très loin de la douceur et de la suavité du matin.Quelques secondes après ces débuts tonitruants, les premiers couples se mirent à baiser. Amandine et moi étions parmi ceux-là. Elle se retourna et se planta quasiment d’elle-même sur ma queue. J’attrapai ses hanches et commençai à la bourrer de coups de reins qu’elle accentuait en avançant et reculant dans le bon tempo. Dans cette position, je pus voir que tout autour de nous ça baisait avec une certaine brusquerie, sauvagerie. Carine et Jutta étaient collées au mur et se faisaient à moitié soulever par Felipe et Peter à chaque coup de bite. Hanna et Sylvie étaient penchées vers l’avant et s’appuyaient des mains sur le mur, Dieter et Esteban les enfilaient comme s’ils tentaient de les pourfendre de part en part. Germain et Stephan étaient allongés sur le sol; Marie et Ida les chevauchaient comme des damnées. Olivier et Wilhelm prenaient Liz et Svenja en levrette à quatre pattes au sol, encore que j’eus plutôt l’impression que c’était elles qui se baisaient sur leurs queues. Enfin Paul avait le dos au mur et s’en servait pour baiser sauvagement Elisa qui avait grimpé sur lui.
A peine quelques instants après avoir commencé, les premiers couples terminèrent. Je me vidai dans Amandine avec un râle de soulagement et ma copine accueillit mon sperme avec une certaine libération. La même décharge émotionnelle se renouvela de couple en couple, jusqu’à Hanna et Dieter qui finalisèrent ce concert particulier. Je me sentis immédiatement plus détendu, essoufflé mais libéré. Amandine avait perdu cette lueur affamée qu’elle avait eu toute la journée au fond des yeux. Nous paraissions tous moins tendus. Mais je ne venais que de calmer une fringale passagère. J’avais éjaculé mais pas vraiment joui et c’était sans doute pire pour Amandine.Après s’être rincés la queue les mecs furent éjectés des douches par les femmes. Elles avaient besoin d’un peu plus de temps pour effacer les traces de nos ébats. L’accès à leur minette était moins aisé sans douchette, elles s’en étaient déjà plaintes plusieurs fois. Je me demandai avec qui j’allais dormir quand elles refirent leur apparition. Elles nous dirent qu’elles souhaitaient séparer garçons et filles, Elisa et Hanna aussi d’ailleurs. Penauds et déçus, nous acceptâmes cet état de fait. Je me couchai près de Peter et m’endormis assez vite. J’entendis de drôles de bruits dans mon rêve. J’avais l’impression de déménager mes affaires pour les mettre dans un appart avec Amandine. L’idée me plut beaucoup et apaisa la fin de ma nuit.
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