Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 95 J'aime
  • 0 Commentaire

Le projet artistique

Chapitre 67

Fin du séjour

Orgie / Partouze
Maxime narrateur
Après la jolie démonstration de double pénétration que nous avaient offert les copains allemands, je me demandais ce qu’ils avaient bien pu nous réserver en final. Dans la salle que nous occupions pour visionner les vidéos, la tension sexuelle était bien palpable. Et même un peu plus que ça. Tous les Français étaient penchés en avant, dans l’attente de ce qui allait suivre. Les Allemands nous regardaient avec un petit air triomphal que je devais bien leur accordé. Ils m’avaient soufflé sur ce coup-là, surtout les nanas d’ailleurs.
Je cessai de les observer quand l’écran de télé se ralluma. Le visage de Gitta apparut en gros plan et elle nous y expliqua qu’elle avait été appelé pour donner des conseils mais qu’elle se retrouvait bien plus excitée que ce qu’elle avait pensé au départ. Elle nous avouait, au passage, qu’elle s’était pas mal caressée et masturbée pendant que les seconds trios passaient devant l’objectif mais que cela ne l’avait pas calmé. Elle avait donc demandé un coup de main :
— Un coup de bite, comme vous dites, dit-elle dans un français hésitant et avec un fort accent.
Sur ce, elle y ajouta un clin d’œil complice et la caméra dézooma lentement. On vit apparaitre deux sexes devant le visage de la copine d’Elisa. Elle s’empressa de les prendre en main pour les masturber lentement. Je me rendis compte, comme l’angle s’élargissait toujours, qu’il y avait un autre gars derrière elle. Peter et Wilhelm, devant, commencèrent à se faire sucer par Gitta qui semblait secouée. Je compris que Stephan, derrière elle, devait être en train de la culbuter. Mais à mesure que la caméra s’éloignait toujours, je vis que Dieter était allongé au sol sous Gitta.
— Oh, la salope..., commenta Elisa avec envie.
Je ne compris pas tout de suite, bien que d’autres exclamations partaient à gauche et à droite autour de moi. Et puis, d’un coup, cela devint évident. Dieter allait et venait dans son vagin, Stephan la sodomisait et les deux derniers se faisaient sucer tout en malaxant les seins de Gitta. Quatre mecs pour une seule nana, elle avait la forme l’Allemande, et un sacré appétit pour la chose. Elle ne faisait pas que de se laisser faire, elle participait activement. Ses mains et sa bouche pompaient et branlaient les deux queues qu’elle avait devant elle.
On voyait aussi très clairement que ses jambes et son bassin bougeaient et ondulaient indépendamment des coups de reins venant de Dieter et de Stephan. C’était assez impressionnant de la voir maitriser autant les débats et les ébats. Gitta tenait le rôle de chef d’orchestre de ce quintet sexuel. Je vis pas mal de nanas complètement ébahies de la voir agir ainsi. Elles avaient dans le regard un petit quelque chose d’admiratif qui était assez bluffant. Sans doute, ne se voyaient-elle pas capable d’en faire autant. Déjà, j’avais compris qu’Amandine avait aimé voir les doubles pénétrations mais qu’elle ne se sentait pas forcément le courage de s’y risquer.
Là, Gitta allait plus loin, en ne faisant pas que la subir mais en allant aussi au-devant des deux bites qui la pénétraient. Ma chérie n’était pas la seule à être subjuguée. Les autres Françaises étaient autant sur le cul. Même Elisa avait du mal à y croire. Quant aux Allemandes, elles l’avaient vu en vrai mais semblaient encore surprises en le redécouvrant sur l’écran. Moi, je me branlais lentement presque mollement, tellement mon attention était focalisée sur ce que je voyais.
Gitta avait les deux bites en bouche et les pompaient avidement, Peter et Wilhelm râlaient et soufflaient fortement. Derrière, Stephan commençait à fatiguer sous l’effort fourni. En-dessous, Dieter semblait en avoir encore un peu sous la pédale mais paraissait proche de son maximum. Il choisit alors de tout donner et on entendit Gitta hurler de plaisir alors même qu’elle avait la bouche prise et bien remplie. Les va-et-vient s’accélérèrent dans son vagin, dans son cul et entre ses lèvres. Elle dut s’approcher rapidement de l’orgasme car l’Allemande sembla se laisser faire par les quatre mâles.
Peter et Wilhelm la soutenaient un peu tout en s’enfonçant dans sa gorge. Stephan avait changé de position pour la sodomiser plus profondément et Dieter l’avait légèrement soulevée pour pouvoir la bourrer de coups puissants. Ce fut Stephan qui craqua le premier, on le vit se crisper et se tendre en poussant un long râle. Il fut suivi très vite par les deux sucés qui se vidèrent dans la bouche et sur le visage de Gitta. Elle poussa alors un long cri de jouissance, le visage maculé de sperme et la bouche pleine. Elle jouissait fortement alors que Dieter lui donnait les derniers coups de reins. Il finit par jouir aussi et se vida dans le vagin de la jeune femme. Gitta retomba sur Dieter et la caméra fit un gros plan de ses trous d’où s’écoulaient un peu de semence. Celle qui tenait la caméra fit le tour et vint zoomer sur le visage, épanoui mais épuisé, de l’Allemande.
La vidéo des copains se termina sur ce plan et on eut un écran plein de neige. Un silence ébahi régnait dans la salle. Mon sexe était très sensible, à peine je le touchais que j’avais des frissons qui parcouraient tout mon corps. Je ne savais pas si je devais juste me finir à la main ou si une nana, Hanna si possible, voulait bien jouer avec moi. Carine et Felipe se rapprochèrent et commencèrent à se caresser mutuellement. Ida et Stephan roulèrent au sol pour entamer un soixante-neuf débridé. C’était parti tout en restant avec son ou sa partenaire habituelle. Mais cela changea quand ma chérie se dirigea vers Wilhelm.
Celui-ci fut un peu étonné mais ravi de la voir arriver. Svenja lui sourit et embrassa son copain avant de se diriger vers Paul. A l’autre bout de la pièce, Sylvie, Esteban, Jutta et Peter s’étaient rejoint. Les couples s’étaient échangés et les duos commençaient déjà à se masturber. Moi je ne perdis pas plus de temps et j’allai vers Hanna qui fut surprise de me voir arriver. Elle ne refusa pas mon approche et me tira même un peu vers elle en m’agrippant le sexe. Liz dut se sentir pousser des ailes car elle fit signe à Dieter de venir donner un coup de main à Olivier. Le professeur allemand ne se fit pas prier et se retrouva pomper en même temps qu’Olivier par la plantureuse Liz. Ne resta alors plus que Marie et Germain qui allaient se faire plaisir à deux avant de voir qu’Elisa était encore seule. Ils lui firent signe et elle les rejoignit. Elle embrassa Marie et lui murmura quelque chose à l’oreille, elles s’agenouillèrent et débutèrent une double fellation sur le chanceux Germain.

Je cessai de regarder ce que faisait les autres pour me concentrer sur la splendide Hanna. Ses seins alourdis, par rapport à ceux que j’avais vu en Allemagne, et son ventre rond me plaisaient énormément. Elle me branlait habilement et je me mis à lui caresser le corps, le ventre, les seins, l’entrejambe. Nous nous embrassâmes longuement avant qu’elle ne me demande :
Je suis moins à l’aise. Ça te dérange si je reste assise ?Pas de problème. Je m’occupe de toi, répondis-je.
Elle me sourit et me pompa le membre quelques secondes. J’en profitai pour jeter un œil aux alentours. Carine et Felipe avaient changés pour, eux aussi, passer en soixante-neuf. Ils s’étaient d’ailleurs rapprochés de Stephan et Ida. Amandine était assise sur une chaise et Wilhelm se délectait de son fruit juteux. Et vu l’excitation que j’avais senti chez elle, il devait être particulièrement juteux. Svenja s’était mise à genoux devant Paul et avait entrepris de le sucer. Celui-ci caressait et titillait les seins de la grande perche. Le quatuor en était toujours aux papouilles manuelles mais ils gémissaient plus fort. Dieter et Olivier avaient fait allonger Liz et étaient en train de la lécher et l’embrasser un peu partout sur le corps et le sexe. Enfin, Germain avait fait asseoir ses partenaires et faisait passer sa bouche de la chatte de l’une à l’autre régulièrement. Le sexe esseulé ne le restait pas trop car le sportif y laissait trainer une main.
Elisa et Marie s’occupaient l’une de l’autre en s’embrassant et en se caressant la poitrine.Je me dis que je devais aller faire un peu de bien à la femme enceinte. Je sortis de sa bouche pour me placer entre ses cuisses. Je vis son sexe, aux lèvres gonflées d’excitation, d’où s’écoulait un bon filet de cyprine. Le clitoris était sorti de son capuchon et appelait à ce qu’on s’occupe de lui. Je m’y attelai dans l’instant en y posant le bout de ma langue. Je la fis frétiller et Hanna poussa de petits gémissements, comme une petite souris. Je trouvai ça amusant et continuai de la stimuler. Les petits gémissements se muèrent en plaintes plus langoureuses après quelques instants. Je caressai longuement son ventre tendu pour bien profiter d’elle. C’était étonnant, presque perturbant, de se dire qu’il y avait un être vivant de l’autre côté de sa peau. Je le sentis même bougé un peu. Par réflexe, je retirai mes mains :
Ne t’inquiètes pas. Ça ne risque rien, me rassura-t-elle.
Je remis les mains sur son ventre et cherchai aussi à atteindre ses seins. Hanna gémit de plus belle tandis que je me démenai sur son sexe. Celui-ci coulait abondamment sous ma langue. A chaque fois qu’elle passait sur le clitoris, Hanna lâchait un petit râle et un jet de cyprine. Dans mes oreilles, il n’y avait pas que les gémissements de ma partenaire. J’entendais pas mal de voix. En fait de voix, c’était plutôt des soupirs, des râles, des ahanements. Parmi eux, je reconnaissais parfois Carine ou Olivier ou Elisa. Surtout j’entendais ma chérie prendre du bon temps avec Wilhelm. Il commença à y avoir des claquements, signe évident que plusieurs couples en étaient venus à la pénétration. Cela me donna des envies, ainsi qu’à Hanna qui me souffla :
Maxime. J’ai bien envie que tu me la mettes.Moi aussi, Hanna.
Je me relevai et voulus la prendre alors qu’elle était encore assise sur la chaise. Mais je m’aperçus vite que son ventre faisait obstacle. Je dus alors changer de position, elle me sourit en me voyant dubitatif. Elle se leva et s’appuya des mains sur la chaise tout en me présentant son fessier. Evidemment, comme cela son ventre n’allait pas me gêner. Néanmoins, j’aurais les autres dans le dos et j’avais bien envie de voir.
On peut se tourner dans l’autre sens ?Tu veux les mater, hein ?Oui...Bonne idée.
Hanna fit le tour de la chaise et s’appuya sur le dossier. Je la suivis et pus admirer toute la scène. Ça bougeait, ça allait et venait un peu partout. Je pris en main mon organe et le présentai devant l’entrée brûlante de l’Allemande. Hanna me facilita la tâche en écartant les jambes et je pus l’enfiler d’un coup. Elle lâcha un très long "Oui" dans sa langue natale. Elle était finalement relativement étroite et son vagin était vraiment accueillant. Je débutai de lents va-et-vient pour bien savourer ce moment. Cela me permit, et à elle aussi, je le voyais, de profiter de la vue sur les différents couples, trios et quatuors qui s’étaient formés.
Carine, Felipe, Ida et Stephan qui étaient partis en soixante-neuf avaient bougés. Les nanas étaient sur le dos et se faisaient prendre par leur copain. Mais les deux couples étaient collés l’un à l’autre et il était possible à chacun d’embrasser qui bon lui semblait. Entre filles et garçons, entre filles et entre garçons. Wilhelm s’était rassis sur sa chaise et mon Amandine montait et descendait sur son chibre vigoureux. Ma coquine était dos à lui et en profitait, comme moi, pour mater les autres. Wilhelm ne semblait pas malheureux car il avait les mains libres pour peloter amoureusement les seins de ma copine. Paul était au sol et Svenja s’était empalé le mat de chair du prof de sport. Elle se déhanchait fiévreusement dessus tandis que Paul l’aidait en ayant ses mains sur son cul. Il en profitait d’ailleurs pour bien le malaxer. Je crus même le voir aller titiller la rondelle de l’Allemande qui appréciait visiblement la chose.
Sylvie et Jutta se faisaient prendre en levrette par Peter et Esteban. Elles s’embrassaient presque en continu alors qu’elles étaient secouées par les coups de bites des deux gars. Ceux-ci joignaient parfois leurs lèvres ou se caressaient le cul selon leur envie. Liz suçait Olivier et se faisait prendre en levrette par Dieter. Peut-être avait-elle penser à la double pénétration mais avait abandonné l’idée en cours de route. Olivier se penchait régulièrement vers Dieter pour échanger avec lui des baisers passionnés. Dans le dernier trio, Germain était au sol. Elisa montait et descendait sur sa queue pendant que Marie avait posé sa vulve sur la bouche de son copain. Les deux femmes, se faisant face, s’embrassaient et se caressaient intensément.
Tout cela augmenta mon excitation, je me mis à pilonner Hanna plus vite et plus fort. Je craignis un instant d’y mettre trop de fougue mais elle commença à gémir et à m’encourager à continuer. Je laissai une main sur sa hanche et lançai l’autre à l’assaut de son sein gauche. Hanna commença à se pétrir furieusement l’autre tout en s’accrochant comme elle pouvait au dossier de la chaise. Cela commença à jouir tout autour de nous. Ce fut d’abord Marie qui jouit sur le visage de Germain, Olivier qui juta dans la bouche de Liz. Peter et Esteban partirent presque en même et remplirent les vagins de Sylvie et Jutta. Je vis vaguement les filles aller se triturer le bouton pour jouir rapidement.
Paul se raidit et se vida dans le con de Svenja qui partit dans un long râle plein de jouissance. Elisa atteignit le septième ciel dans de grands cris plaintifs et Germain explosa en elle quelques secondes après. Je ne pus me retenir plus et je me lâchai dans le vagin de ma partenaire. Je sentis la main d’Hanna venir se stimuler le clitoris et elle eut son orgasme en quelques secondes à peine. Dieter craqua quand Liz eut son orgasme. Sylvie et Jutta poussèrent de petits cris jouissifs quand elles eurent leur extase. Carine, Felipe, Ida et Peter jouirent dans cet ordre; la première déclenchant la jouissance des autres par effet domino. Ce fut finalement Amandine et Wilhelm qui terminèrent le bal en ayant un orgasme simultané et puissant.
La salle retomba dans un silence post-orgasmique. J’aidai Hanna à se rasseoir et son mari revint vers elle pour voir comment elle allait. Elle avait pas mal crié et Dieter devait s’inquiéter pour le bébé. Mais je compris qu’en fait il venait pour savoir si je m’étais bien occuper d’elle. Hanna le rassura sur ce point en lui disant que grâce à moi elle avait bien pris son pied. Mais que je m’étais montré un peu trop précautionneux ou craintif vis-à-vis de son état. Dieter me regarda et me confia :
C’est gentil. Mais Hanna n’est pas en sucre quand même. Et le bébé ne risque rien si elle est un peu secouée.Je l’ai compris en cours de route.Tu t’en souviendras pour Amandine, me taquina Hanna.Nous avons le temps.
Je regardai où étais ma chérie et l’imaginai un instant avec le ventre rond. La vision me plut mais pour plus tard. Nous avions bien le temps pour cela et avions bien d’autres choses à vivre avant. Elisa et Paul vinrent parler avec Dieter et Hanna. Des groupes s’étaient formés et cela discutait tranquillement. Je m’incrustai dans celui de Wilhelm, Svenja et Amandine. Ils nous demandèrent des informations sur ce que nous avions fait dans notre vidéo. Pourquoi nous en étions arrivés à vouloir tenter la chose ? Quelles préparations fallait-il faire avant ? Quelles sensations cela procurait ? Les Allemands, des autres groupes aussi, se montrèrent assez curieux et probablement plus que tenté de le faire. En contrepartie, les Français posèrent plus ou moins les mêmes questions aux Allemands. Ce n’était pas trop dur pour les nanas ? Est-ce qu’on sentait le sexe de l’autre gars ? Ils furent assez francs sur tout ce qu’ils avaient ressenti.
Cela ne fit que confirmer l’envie que j’avais eu en visionnant la cassette : m’y essayer aussi. J’avais compris que ma chère et tendre était plutôt réticente à l’idée. Finalement, ce que lui confia Svenja sembla la convaincre qu’elle pouvait y prendre du plaisir. De même, l’Allemande avait eu des frissons d’horreur en découvrant ce qu’Amandine avait fait. Après discussion avec ma copine, Svenja paraissait plus encline à tenter la chose, même si le chemin paraissait encore bien long. Wilhelm s’était, quant à lui, montré assez intéressé par le fait de se faire prendre le cul par un de ses potes. Il m’avoua à demi-mot que l’idée lui avait plusieurs fois traversé l’esprit et qu’il n’avait pas encore osé en parler aux autres. Mais avec les réactions qu’il avait vu chez eux, il se disait qu’à leur retour ils s’y essaieraient sûrement.
Une chose m’avait tracassé durant le visionnage, comment avaient-ils fait pour enchainer les séquences ? Wilhelm me dit qu’ils y avaient passé pas mal de temps. Les séquences avaient été tournées sans coupure mais il avait fallu une heure et demi pour que les gars soient à nouveau d’attaque entre la première et la deuxième. Presque deux heures entre la deuxième et le show de Gitta avaient été indispensables.
Ça ne m’étonnait guère, enchainer trois fois de cette manière, je trouvais la performance de premier plan. Je réfléchis quelques instants et me demandai si j’en aurais été capable. J’étais aussi jeune qu’eux, peut-être plus en forme physiquement que Peter ou Stephan. Mais après, est-ce que le physique jouait un rôle aussi important dans l’affaire ? Peut-être que non. Peut-être que oui. Les conversations continuèrent ainsi de longues minutes, jusqu’à ce que Paul et Dieter reviennent dans la salle :
— Bien, les jeunes. Je vous conseille d’aller prendre une douche de rinçage et d’aller au lit ensuite.
Dieter traduisit à peu près la même chose à ses élèves. Il était très tard et nos amis repartaient dans la matinée. Nous ne devions pas trop trainer s’ils ne voulaient pas se retrouver en retard pour leur train. Nous nous dirigeâmes vers les douches où personne ne resta plus que quelques secondes. En revenant vers les dortoirs, je vis que Dieter et Paul avaient rapatriés les lits que les filles avaient déplacés dans la nuit. Je vis que Hanna et Elisa étaient reparties dans leurs chambres respectives et qu’elles devaient attendre leurs maris. Ceux-ci nous demandaient de nous presser un peu pour aller au lit. Une fois devant nos dortoirs, il y eut comme une hésitation. Comment devions-nous nous répartir ?
— On fait comment ? demanda Jutta.— Comme bon vous semble, lui répondit Paul.Faites ce que vous voulez tant que vous êtes prêts pour 8h demain matin, trancha Dieter.— Nous, nous allons nous coucher. Sur ce, bonne nuit.
Les deux hommes rejoignirent leurs femmes et fermèrent les portes derrière eux.
— Alors ? redemanda Jutta.
* * *


Finalement, nous n’avions pas vraiment envie de dormir. Nous avions besoin de profiter des uns et des autres encore un moment. Nous nous installâmes dans le dortoir des filles et discutâmes tard dans la nuit. Nous n’avions même pas pris la peine de nous habiller et nous étions restés dans le plus simple appareil avec naturel. Toute cette nuit fut également propice à de nombreux rapprochement affectifs. Par exemple, Amandine se blottit dans mes bras pendant un moment avant d’aller dans ceux de Marie ou Olivier. Je posai ma tête sur les cuisses de Jutta pour me faire dorloter ou j’allai aussi vers Felipe pour me plonger entre ses bras. Chacun alla ainsi de bras en bras, de corps en corps sans qu’aucun n’y trouve à redire ou qu’il y eut la moindre jalousie.
Il fallut tout de même aller se pieuter mais nous rechignions à nous séparer. Carine proposa alors que nous dormions tous ici. Pour le peu d’heures qu’il restait, nous pouvions bien nous serrer sur les lits d’une personne. Ce n’était pas faux mais ça allait être juste. Stephan fit remarquer que si nous recollions les lits deux à deux cela ferait des lits plus grands. Même à quatre dessus, nous aurions sans doute plus de marge de manœuvre pour éviter de finir la nuit par terre. Et puis j’y voyais un autre avantage, que s’empressa de noter Liz. Elle avait envie de retrouver un peu Olivier mais voulait aussi prolonger cette nuit où elle avait pu passer dans les bras et prendre dans les siens pas mal de monde. J’avais la même envie, le même désir de garder un contact physique étroit avec un autre couple que le mien.
Tout le monde réagit comme si Liz avait mis des mots sur les sentiments qu’ils éprouvaient mais qu’ils n’arrivaient pas à exprimer. Nous allâmes donc nous coucher dans la paire de lit la plus proche. Je n’avais pas de préférence quant au couple qui viendrait avec Amandine et moi. Je m’allongeai près de ma chérie et je vis arriver Ida et Stephan. Dans le double lit d’à-côté, Carine, Felipe, Sylvie et Esteban s’installèrent ensemble. En face, Wilhelm et Svenja se retrouvèrent avec Liz et Olivier. Jutta, Peter, Marie et Germain formèrent le dernier quatuor de la petite nuit qu’il nous restait.
Il y eut quelques murmures échangés ici et là. Mais eux comme nous étions remplis de fatigue. J’eus tout de même la présence d’esprit de regarder comment les autres s’étaient installés. Dans tous les lits, le nôtre y compris, les filles étaient au centre et les mecs sur l’extérieur. Je l’avais fait pour éviter à Amandine de se retrouver sans couverture. Je sentais déjà que j’allais probablement finir sans rien d’ici au matin. Derrière moi, je voyais Felipe tenter de se couvrir au mieux mais on voyait facilement que la couverture était tout juste assez longue. J’avais un filet d’air frais qui me chatouillait les jambes et les fesses. Je compris que Stephan était aussi embêté que moi. Je le sentis se coller plus près d’Ida et j’en fis de même contre Amandine.
— Ça va ? Tu as assez de place ? me demanda-t-elle.— Oui, ne t’inquiètes pas. Je veux juste te sentir tout contre moi.— Mmmh, du calme quand même. La fatigue me rattrape.— Oui, oui... Bonne nuit.
Les respirations dans le dortoir devinrent régulières et profondes, cela s’endormait petit à petit. Je finis par les rejoindre dans les bras de Morphée alors qu’Amandine tirait mon bras devant et le serrait contre elle comme un doudou. Je fus réveillé plusieurs fois par le froid. Souvent, Ida ou Amandine bougeaient et le peu de couverture qui me couvrait s’échappait. Je devais la replacer mais il m’arrivait alors de la tirer trop et de réveiller Stephan. Ou bien c’était lui qui était réveillé le premier et qui tirait un peu trop la couverture à lui. Dans ces phases où j’étais réveillé, je pus voir que certains mecs étaient aussi en train de batailler discrètement avec un manque de couverture.Au matin, je fus réveillé par des mouvements d’Amandine et des chuchotements. Encore endormi je perçus ceux d’Ida. Elles papotaient discrètement, mais de quoi ?
— Alors ?Oui, le mien aussi. Stephan a retrouvé la forme.— Ils sont insatiables.C’est quoi insatiable ?— Ils sont prêts à nous baiser encore une fois. Ils ne pensent qu’à ça, même quand ils dorment.Et tu n’y penses pas, toi ? Ce n’est pas un mal, non ?— Je n’ai pas dit ça.— Am, Ida, vous parlez de quoi ? demanda Marie.— Des bites de nos mecs qui sont prêtes à l’emploi.— Ah, les vôtres aussi ? Jutta, Jutta...Quoi ? demanda l’Allemande en se réveillant, sans doute un peu secouée par Marie.— Peter est comment ?Comment quoi ?— Dur ou pas dur ?Mmmh, dur, bien sûr.— Ah, vous voyez, je vous l’avais dit, souffla Sylvie.
Je pensais que les filles dans mon lit étaient les premières levées mais ça devait être Carine et Sylvie dont les voix me parvenaient enfin. Elles avaient dû réveiller Amandine ou Ida. Carine et Jutta appelèrent doucement les deux dernières qui finirent par leur répondre. Sans grande surprise, Wilhelm et Olivier étaient "prêts à l’emploi", dixit Sylvie. Elles pouffèrent doucement pour ne pas nous réveiller. Mais Jutta, puis Carine juste derrière, poussèrent un petit cri de surprise suivi d’un long gémissement.
— Si, on leur montrait que nous sommes bien en forme ? proposa Felipe.Oui, elles veulent sûrement nous employer, ajouta Peter.— Oh, mais depuis quand vous êtes rév.... Oooh, ouiii, gémit Sylvie.— Assez longtemps, confirma Esteban.
Vu le soupir des trois filles, il était évident qu’elles venaient de se faire pénétrer par leurs mecs ou plus simplement ils avaient glissé leurs sexes entre leurs cuisses. Ida soupira et je me faufilai entre les cuisses d’Amandine. Si moi je bandais, elle était déjà relativement humide et "prête à l’emploi" si je reprenais les termes de Sylvie. J’entendis des grincements de literie, signe que certains mecs, sinon tous, étaient en train de faire aller et venir leurs sexes le long des lèvres de leurs copines.
Ida et Amandine tournèrent leurs visages vers nous et nous embrassèrent. Il me fallut me tordre un peu pour cela et je me retrouvai la joue contre celle de Stephan. Lui comme moi eûmes envie de nous embrasser à notre tour. Nous laissâmes les filles pour joindre nos lèvres et je les sentis entamer un baiser de leur côté. Nous commençâmes à nous embrasser indifféremment tous les quatre. Un coup j’avais les lèvres d’Amandine sur les miennes, un coup celles de Stephan ou encore celles d’Ida. J’étais dos au reste du dortoir mais je me tournais régulièrement pour satisfaire mon côté voyeur.
Ça s’embrassait et ça se caressait à tout va sur les lits. Ils faisaient ce que nous faisions, nos mains avaient entrepris depuis quelques instants de parcourir les corps à disposition. J’avais parfois la main de ma copine sur les fesses, celle d’Ida ou de Stephan dans le dos ou sur la joue. J’avais eu froid en me réveillant; là, je commençais à avoir bien chaud. Je retirai la couverture et pus admirer les corps de mes partenaires. Nos mains allèrent naturellement vers des zones bien plus érogènes. La mienne fut rejointe par celle d’Amandine entre les cuisses d’Ida. Entre nos doigts se retrouvèrent les lèvres et le clitoris de la fille, le membre turgescent du garçon. Leurs mains vinrent sur nos intimités pour nous caresser et nous masser avec habileté.
Les râles et les soupirs du dortoir devinrent de plus en plus présents. Cela augmentait mon plaisir aussi sûrement que les mains de mes amis. Celles-ci poussèrent délicatement mon membre à l’intérieur du vagin d’Amandine, nous en fîmes de même avec Ida et Stephan. Son sexe glissa facilement dans l’antre humide de l’Allemande. Nous soupirâmes tous les quatre sous les effets délicieux de cette pénétration. Amadine et Ida laissèrent leurs doigts où ils étaient mais Stephan et moi allâmes caresser les seins de la copine de l’autre. Nous débutâmes de lents et profonds va-et-vient. Au vu des grincements de lit que j’entendais, il était certain que les autres baisaient aussi. Je n’avais pas perçu de grands mouvements, je pensai donc que chacun allait et venait dans le vagin de sa copine.
Tout le monde avait viré les couvertures, je vis alors des corps entremêlés bouger et onduler érotiquement. Les mains caressantes allaient vers les parties intimes, les seins des uns et des autres pour donner plaisir et sensations. Nous nous contentions des mains, des lèvres des autres pour agrémenter et pimenter nos ébats. Les choses évoluèrent du côté des jumeaux qui commencèrent à augmenter la cadence. Stephan alla plus vite et plus fort dans Ida et j’en fis de même dans le vagin d’Amadine. Les filles ne restèrent pas inactives et ondulèrent adroitement du bassin pour parfaire ces pénétrations. Elles gémissaient et soufflaient plus intensément et nous en faisions de même.
Les grincements, les gémissements s’amplifièrent dans le dortoir. Le rythme continua de s’accroitre, ma jouissance approchait très rapidement. Je voulais me retenir le plus longtemps possible mais les doigts d’Ida qui me titillait autant la hampe qu’ils agaçaient le clitoris d’Amandine eurent raison de moi. J’explosai dans le vagin de ma copine qui partit aussi grâce aux efforts d’Ida. Le couple allemand craqua juste après nous et Ida eut également droit à son orgasme grâce aux doigts d’Amandine.
Je jetai un œil rapide pour voir où en étaient les autres et je fus surpris de voir que nous n’étions pas les premiers à avoir joui. Les jumeaux et leurs copines avaient déjà fini. Les caresses et les doux baisers de ceux qui étaient avec moi me détournèrent des autres lits. Je pus néanmoins rester attentif à ce qui se passait dans mon dos. Il me fallut tendre l’oreille pour percevoir les orgasmes discrets des uns et des autres. Nous restâmes encore quelques minutes ainsi avant que Germain ne nous indique qu’il était temps de se lever.
— Eh, les profs ne sont pas venus nous réveiller ! s’étonna Stephan.Ils dorment encore ? se demanda Carine.
Nous devions prendre une bonne et vraie douche, nous en aurions le cœur net en passant devant leurs chambres. Quelle ne fut pas notre surprise quand, dans le couloir, nous nous aperçûmes qu’une des chambres était vide. La porte de l’autre était entrouverte et à l’intérieur les deux couples baisaient dans le même lit. Hanna et Elisa étaient sur le côté et se faisaient face. Elles s’embrassaient et se caressaient l’entrejambe avec passion. Derrière elles, Dieter et Paul allaient et venaient lentement et profondément en elles.
Comme nous, ils avaient choisi de pénétrer leur femme mais ne se privaient pas d’aller embrasser et masser celle de l’autre. D’ailleurs, les deux hommes n’hésitaient pas à s’embrasser entre eux également. La tension et le rythme augmenta petit-à-petit, les corps bougèrent plus vite. Les souffles devinrent plus haletants, les gémissements se transformèrent en longues plaintes de plaisir. Puis les deux femmes se tendirent et jouirent à quelques secondes d’intervalle. Leurs maris firent encore quelques va-et-vient mais finirent par se décharger en elles avec un grognement retenu. Ils s’aperçurent que nous étions tous là à les regarder se caresser et se cajoler, Paul nous en fit la remarque :
— Ça va, les voyeurs ? On ne vous gêne pas ?— Non, pas du tout, rétorqua Sylvie. Et puis, je vous ai vu toi et Dieter passer une tête dans le dortoir avant de rameuter Hanna et Elisa. Je crois qu’on vous a donné quelques idées, non ?— C’est vrai. Nous sommes donc à égalité.Paul, Dieter, nous ne sommes pas en avance. Il va falloir se dépêcher un peu, leur fit remarquer Elisa.
Hanna et les deux hommes hochèrent la tête. Nous en profitâmes pour nous rendre aux douches avant d’être rejoints par eux. Il fallut ensuite ranger nos affaires, remettre en place les lits, enlever les draps, etc. Il ne fallait pas trop perdre de temps. Leur train était dans deux heures mais il fallait encore prendre le dernier petit-déjeuner ensemble et se rendre à la gare. La mélancolie nous gagna petit à petit, je devins morose et taciturne. Je n’étais pas le seul dans ce cas, chacun éprouvait une pointe de tristesse au fond de lui. Dieter, Hanna, Paul et Elisa étaient moins enclin à la tristesse, ils étaient certains de se revoir. Pour nos copains allemands nous n’avions pas la même certitude.
Lorsqu’il fut l’heure des adieux sur le quai de la gare, il y eut de nombreuses larmes à sécher. Des accolades et des embrassades à n’en plus finir faillirent leur faire rater leur train. Nous fîmes attention aux regards des autres passagers et passants mais nous ne pûmes nous quitter sans tous nous embrasser furtivement sur les lèvres. Lorsque les wagons s’ébranlèrent mon cœur trembla de la même façon. Amandine se serra contre moi alors que nos larmes inondaient nos joues. Nous leur fîmes tous de grands signes d’au revoir tant que le train resta en vue.
* * *

— Alors ? Tu en penses quoi, ma chérie ?— Mmmh, c’est très émouvant et excitant, Max. Mais tu viens enfin d’avouer que vous aviez fait exprès de nous laisser la couverture.— Ah, c’est vrai ça.— Vous êtes plusieurs à avoir été malades ensuite, je te rappelle.— Ça valait le coup.— Pour se faire dorloter ensuite ?— Pour prendre soin de vous... Alors l’épisode t’a plu ?— Oui, évidement. Comme d’habitude. Même plus que d’habitude. Tu sais très bien que de repenser à eux me fait toujours chavirer le cœur.— Oui, moi aussi, je dois dire. Bon, je vais attaquer le prochain chapitre.— Dis, je te signale que la date approche. Tu comptes encore en faire beaucoup ? Car au rythme où tu avances, tu risques d’être juste.— Je sais, je vais me dépêcher.— Tu devrais aller au plus court. Rappelle-toi ce qui s’est passé ensuite et pourquoi tu t’es lancé dans ce projet, Max.— Je sais mon cœur. Je sais. Mais je rechigne à zapper un quelconque moment de notre vie de l’époque.— Ecoute. Je dois bien dire que de relire ce qui concerne Demetra me comblerait de joie et d’excitation. Alors tu feras un spin-off juste pour ceux qui sont concernés. Mais n’oublie pas que c’est pour elle que tu fais tout ça. Et pour quelle raison tu t’es lancé maintenant dans ce projet.— Tu as raison, mais je peux quand même faire le chapitre sur la venue de Gitta ?— Oui, bien sûr... Et puis, c’est un évènement important.— Alors je m’y mets tout de suite.— Dis-moi, avant que tu t’y attaques il y aurait une chose qu’il faudrait faire avant...— Au ton de ta voix j’ai comme dans l’idée que mon petit récit t’a bien émoustillée...— Tu as bien raison, et la bosse que je vois me fait dire que tu es dans le même état. Alors ?— Je ferme l’ordinateur.— C’est quand même bien pratique que Daphné et Marco ne soient plus à la maison...— A qui le dis-tu... Hep, viens par-là...— Hi, hi, hi, attrape-moi si tu peux...
Diffuse en direct !
Regarder son live