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Le projet artistique

Chapitre 69

Gitta, François, Bertrand

Avec plusieurs hommes
Gitta narratrice
Le samedi matin, Elisa me sentit impatiente et apeurée. Elle m’interrogea longuement et je finis par avouer mes craintes et mes espoirs :
— Alors, il faut que tu sois éblouissante ! Viens, je t’emmène. Paul, on sort !— Ok !
Elisa m’entraina chez son coiffeur pour me faire une coupe "digne de ce nom". C’est vrai que j’étais plus élégante ainsi. Quitte à me faire relooker, j’osai lui demander conseil quant à ma lingerie. Je ne m’étais jamais dit que cela pouvait être un atout de séduction. Mais la venue d’Elisa, et des autres jeunes Françaises, m’avait fait découvrir d’autres choses que la lingerie basique héritée de mes années de jeunesse sous l’ancien régime. Elisa sauta sur l’occasion pour m’emmener dans un magasin de lingerie. J’avais aussi vu ce qu’Hanna avait ramené et j’en parlai à Elisa qui me répondit :
— Oui, je l’ai offert à Hanna. Et je vais le faire pour toi aussi.— Mais...— Pas de mais ! Alors, de mémoire François aime bien le bleu et Bertrand la dentelle...— Comment tu le sais ?— En discutant avec certaines de leurs anciennes copines...
Elisa dénicha vite ce qu’il fallait : un ensemble bleu avec des dentelles blanches. Je fus légèrement choquée par le peu de tissu qu’il y avait. Certes, j’avais compris que cela devait laisser libres les seins et les fesses mais par forcément à ce point. Mon amie me poussa dans une cabine et me fit essayer la lingerie. D’abord, très gênée, je me sentis relativement nue et peu à l’aise. Mais Elisa entra, sentant sans doute mon désarroi :
— Ça va ?— Heu, je ne sais pas...— Tu es parfaite.— Ça serait mieux sur toi. Tu as toujours été la plus belle.
Je ne m’étais pas rendu compte tout de suite que j’étais revenue à ma langue natale en disant cela. Elisa répondit alors, en reprenant l’allemand :
— Tu as toujours été très jolie. Ton popotin m’a toujours plu, plus que le mien.
— C’est gentil.— C’est vrai, surtout.
Elle m’embrassa tendrement et se serra contre moi. Cela me réchauffa le cœur et je me trouvai rassurée sur ma propre beauté. Finalement, je trouvais que cette lingerie me mettait parfaitement en valeur. Par contre, il restait un problème qu’Elisa pointa gentiment :
— Il faudrait soigner ta foufoune, c’est une forêt.— Ah... C’est vrai que ça sort du... Comment tu dis ?— Du string. On va rentrer et s’en occuper.
De retour chez Elisa, elle m’entraîna dans sa salle de bain et me demanda de me déshabiller :
— Alors, on taille ou on rase ?— Heu...— Tu avais essayé quand nous étions venus ?— Non, mais Hanna m’a dit qu’elle l’avait fait ici... J’ai un peu vu sur elle et les élèves quand nous avons fait la vidéo mais les poils revenaient déjà...
Elisa se mit nue en deux secondes et se proposa de me montrer ce que cela donnait. En quelques minutes, elle se rasa le sexe, qui n’avait déjà pas grand-chose, et me laissa admirer le résultat sous toutes les coutures.
— Mais, Bertrand et François ?— Ah, ça je ne sais pas s’ils aiment.
Je restai indécise et Elisa me proposa de tailler ma broussaille pour commencer. J’aurais dû en prendre plus soin mais j’avais été trop prise par mon travail avant de partir. Elisa m’aida et j’appréciai la douceur de ses mains sur mon pubis et mon sexe. Une fois fini, Elisa me laissa juger s’il fallait continuer ou pas. Je comparai mon sexe avec le sien. Le sien paraissait doux au toucher, je tendis instinctivement la main et mon amie me laissa faire avec un sourire. C’était en effet assez doux, je pensai tout de suite que c’était le genre de surprise qui serait agréable pour un homme : François et/ou Bertrand y compris.
— Allez, je fais comme toi ! Mais...— Je te rase, hein ?— Oui, j’ai peur de couper moi.
Elisa se pencha sur mon sexe avec son rasoir et sa mousse dont elle m’enduisit les parties intimes. C’était fait doucement, lentement et plus sensuellement qu’un simple étalement de mousse à raser. Je me sentis fébrile et emportée avant de me tendre soudainement quand Elisa posa la lame sur ma peau. Elle se concentra et entreprit de me raser. Je me détendis petit-à-petit et fermai les yeux, imaginant François ou Bertrand passer leurs doigts sur ma vulve fraichement rasée.
— Voilà, fini !
Je rouvris les yeux pour me découvrir sans un poil. C’était assez beau, très nouveau. Je n’étais pas certaine que cela devienne une habitude, cela dépendrait peut-être des réactions de mes deux Français. Mais ça grattait et chauffait :
— Il faut mettre un peu de crème apaisante. Moi aussi, ça brûle un peu.
Elisa s’en mit dans la paume de la main et en versa dans la mienne. Elisa lorgna sur mon entrejambe et je ne pus m’empêcher de convoiter la sienne. Je voulais me préserver pour mes deux amis, peut-être futurs amants :
— Elisa, j’ai envie de te toucher mais... Tu sais.— Oui, je sais ce que tu veux. Mais si tu ne relâches pas la pression tu vas exploser !
Elle n’avait pas tort, peut-être que quelques caresses me permettraient d’arriver plus sereine et détendue au rendez-vous. Je posai alors ma main sur son sexe et le massai doucement. Elisa en fit de même avec le mien. Je me mis à gémir et à soupirer follement ; mon sexe se mouillait à toute vitesse. Sous mes doigts, celui de mon amie prenait le même chemin. D’ailleurs le souffle d’Elisa se raccourcissait et s’accélérait de plus en plus.
La connaissant, je compris qu’elle avait déjà dû s’échauffer les sens en me voyant en lingerie. S’occuper de mon intimité n’avait fait qu’augmenter son excitation. Peut-être aussi que notre première scène lesbienne lui était revenu en mémoire quand nous avions terminé dans la salle de bain de Thiemo. Ce souvenir enflamma un peu plus mon esprit et je sentis l’orgasme arriver rapidement. Je concentrai mon action sur le clitoris d’Elisa qui intensifia ses caresses sur le mien.
J’agaçai son clitoris comme une furieuse et elle rattrapa son retard sur moi. Elle le rattrapa tellement qu’elle jouit avant moi. Elle inonda mes doigts de sa mouille et les siens se crispèrent sur mon sexe. Cela me fit tressaillir et je me mis à trembler. Je jouis comme une fontaine sur la main de mon amie. Je me jetai sur sa bouche et vins l’embrasser langoureusement. Elisa ne se refusa pas à moi et sa langue joua rapidement avec la mienne. Après quelques secondes, un bruit attira mon attention. Sur ma gauche, sur le pas de la porte, Paul se branlait en nous regardant.
— Dis donc, chéri, tu joues les voyeurs ?— Pardon, vous étiez trop belles toutes les deux..., dit-il sans cesser sa masturbation.— Elisa, ça ne te rappelle pas comment Thiemo nous avait trouvé dans sa salle de bain ?— Si, bien sûr... Je me rappelle ce que nous avions fait...— Alors, à deux sur Paul ?— Si tu veux ma chérie.
Elisa se déplaça à quatre pattes devant son mari et je la suivis de la même manière. Nos bouches se retrouvèrent sur le mat de Paul qui enleva sa main pour nous laisser la place. Nos lèvres et nos langues parcoururent ce superbe pieu, nous octroyant de temps en temps un baiser. Paul se mit à soupirer et à souffler de plus en plus fort. La petite séance que nous lui avions offert, l’avait particulièrement excité. Il n’allait pas tarder à jouir. Je sortais du coiffeur et je préférais sauvegarder la belle coupe qu’on m’avait faite.
— Elisa, si nous finissons avec nos seins ?— Mmmh, oui... Pourquoi pas...
Nous nous redressâmes et nos poitrines emprisonnèrent délicieusement son sexe. Paul commença à donner quelques coups de reins et à râler plus franchement. Les yeux d’Elisa pétillaient de plaisir et de coquinerie devant moi. Je l’embrassai à nouveau et cela eut sans doute pour effet de déclencher l’orgasme de son homme. Il arrosa copieusement nos seins qui firent barrière et protégèrent ma coiffure. Nous continuâmes à le branler ainsi jusqu’à ce qu’il se vide complètement, étalant le sperme sur nos seins et les massant les uns contre les autres. Paul se pencha vers nous et embrassa sa femme ; il pensa à moi et posa ses lèvres sur les miennes.
Cette séance me fit beaucoup de bien, je me sentais bien plus reposée et détendue. En passant rapidement sous la douche pour me rincer le corps, je n’avais plus autant d’appréhension pour le rendez-vous du soir, ni autant d’impatience. Encore que je savais que cela reviendrait à mesure que l’heure approcherait. Cela ne manqua pas et ma fébrilité réémergea au cours de l’après-midi.
* * *


Je me retrouvai à attendre devant le restaurant avec Elisa et Paul. Le couple discutait tranquillement alors que moi... Mon dieu, mes jambes tremblaient, mon ventre se tordait, mon cœur palpitait, ma gorge était sèche, j’avais froid et chaud en même temps. Ces deux garçons, que je n’avais connu qu’une nuit, me mettaient dans un état pas possible. Paul m’avait certifié qu’ils étaient toujours très impatients de me revoir. Mais, debout dans la rue à les attendre, je commençais à me poser des questions. Voilà que je perdais toute l’assurance qui me caractérisait d’habitude. Allaient-ils vraiment venir ?
— Ah, les voilà ! entendis-je de Paul.
Mon cœur s’arrêta et je me tournai lentement dans la direction où regardait Paul. Parmi les passants, je reconnus immédiatement les deux hommes. Ils avaient un peu changé, un peu vieilli mais ils étaient reconnaissables. Comme j’étais en France, je fis cette analogie : comme avec un bon vin, ils s’étaient bonifiés avec le temps. Je me sentis soudainement toute timide et me cachai un peu derrière Elisa. Je n’osais croire qu’ils arrivaient vraiment.
— Salut les gars !— Hey, Paul.— Salut !
Je reconnus leurs voix, je souris dans le dos d’Elisa. Ces voix chaudes, latines, douces et masculines qui m’avaient tant plu à l’époque. Plus que celles de ces Italiens avec qui j’avais pris pas mal de bon temps.
— Bonsoir, François. Bertrand. Ça va, les garçons ? demanda Elisa.
Ils répondirent quelques banalités et ils approchèrent enfin assez pour m’apercevoir derrière mon amie.
— Gitta ? tenta François.
Je me décidai à sortir de ma cachette mais je n’eus pas le courage de les regarder droit dans les yeux.
— Gitta ! s’exclamèrent-ils tous les deux.
Ce fut plus une explosion de joie qu’une simple exclamation. Cela me rassura et je relevai les yeux vers eux. Je fus accueilli par de larges sourires, des yeux qui étincelaient de plaisir. Ils ignorèrent Elisa et Paul pour venir tous les deux me poser une bise sur la joue. Celles-ci durèrent bien plus longtemps qu’une bise française traditionnelle. Ils restèrent quelques secondes les lèvres sur ma peau. Ils humèrent même mon odeur, mon parfum.Moi, je savourai ce contact que j’avais tant espéré. Leur odeur me parvint aussi aux narines, je n’enivrai de leurs parfums, de leurs senteurs masculines. Ils cessèrent tout de même et me regardèrent avec des étoiles plein les yeux. Je voulus leur parler mais je bafouillai lamentablement, je respirai un bon coup et repris :
— Bonsoir, François et Bertrand. Je suis très heureux de revoir vous... De vous revoir, me repris-je.— Gitta a fait un gros effort pour apprendre le français avant de venir, dévoila Elisa.— Je suis très content de te voir aussi.— Moi aussi. Cela me fait beaucoup plaisir.
Bertrand et François venaient de me dire quelques mots dans ma langue. J’étais très étonnée, et plutôt ravie de l’attention. Elisa sembla tout aussi surprise que moi, Paul nous expliqua alors que nous rentrions dans le restaurant :
— Quand ils ont été certains que tu venais, Gitta. Ils m’ont demandé de leur donné quelques cours rapides... Pas à toi Elisa, ils voulaient être sûrs que cela resterait une surprise.— Parce que tu crois que j’aurais tout raconté à Gitta ?
Paul leva un sourcil et Elisa rougit fortement. Je la connaissais encore assez pour être certaine qu’elle ne savait pas tenir sa langue. J’étais d’ailleurs étonnée qu’elle ait réussi à le faire à propos de leur petit groupe de cochons. Certes, il y avait leur vidéo qui les liait depuis longtemps et mes amis risquaient gros.
Après, Dieter, Hanna et moi étions au courant mais nous participions également donc cela ne comptait pas vraiment. Et puis, je me demandai si François et Bertrand n’étaient pas dans la confidence. Après tout, j’avais été mise au courant de la façon dont Paul et eux s’étaient "réconfortés" à l’occasion. Tout comme les élèves d’Elisa et de Paul qui savaient beaucoup de choses, y compris sur moi.
Je réfléchis un moment à cela en regardant le menu d’un œil distrait. Je me reconcentrai sur la conversation et m’aperçus qu’on parlait de moi. François et Bertrand semblaient dire à quel point chacun était ravi de me revoir. Ils s’étaient assis de part et d’autre de moi, Elisa et Paul étaient en face. Je me sentais si bien entre eux... Durant le début du repas, mes mains touchèrent "par hasard" celles de mes voisins. A chaque fois, cela me provoqua des frissons de plaisir. A chaque fois, je regardai de côté pour vérifier la réaction de mon voisin. Immanquablement, un sourire se dessinait sur ses lèvres et il regardait vers moi, les yeux remplis de... Je ne savais dire ce qu’ils avaient dans le regard mes petits Français. Du simple plaisir, de la complicité, du désir ?
— François, Bertrand, je suis vraiment heureuse de vous revoir. Vous êtes aussi beaux que dans mon souvenir, lâchai-je malgré moi.
Je ne savais plus où me mettre. C’était sorti comme ça, d’un coup. Surtout que le souvenir dont je parlais était assez précis. Je n’en avais vraiment qu’un avec eux : un délicieux et très excitant souvenir. Il y eut un flottement que je crus d’abord être de gêne. Mais en observant mes voisins je lus sur leurs visages une nostalgie bienheureuse. En face, cette même nuit ramenait inévitablement Elisa et Paul à leur première nuit ensemble, celle qu’ils avaient cru être la dernière à l’époque.
— Tu es, toi aussi, toujours aussi belle, dit enfin Bertrand.— Oui, vraiment. Toujours très jolie. Plus femme aujourd’hui qu’avant.
Le compliment, en allemand, de François me toucha profondément. Je me collai un instant contre son épaule pour le remercier. Puis je partis de l’autre pour faire de même avec Bertrand. Il en profita pour poser furtivement ses lèvres sur mon front :
— Encore plus belle ce soir, me souffla-t-il.
Je me redressai et leur dis :
— Vous êtes très gentils et... adorables.— Adorables, traduisit Elisa.
Ils rougirent comme des jouvenceaux et je pensai en avoir trop dit d’un coup mais leurs mains se rapprochèrent des miennes, centimètre par centimètre. Je posai mes couverts et les laissai me prendre les doigts dans les leurs. Ils se serrèrent et s’entremêlèrent tendrement, me faisant complètement fondre. Nous restâmes comme cela quelques longs instants mais Paul finit par nous sortir de ce moment si parfait :
— Les gars. Laissez Gitta manger. Elle ne vit pas encore d’amour et d’eau fraîche !
Ils me lâchèrent avec un soupir de déception et je pus continuer mon repas. Mais, de temps en temps, la main de l’un ou de l’autre vint prendre une des miennes. Avant de passer au dessert, il y eut une petite attente, j’en profitai pour leur demander plus précisément ce qu’ils étaient devenus. Ils avaient été avides d’informations me concernant et je n’avais pas eu l’occasion d’en savoir plus sur eux.
Je n’avais rien caché, sauf mes récentes relations avec Dieter et ses élèves, ainsi que celles avec les Français. J’appris les déboires amoureux de l’un et de l’autre, les courtes relations, le mariage insatisfaisant... Et surtout, leur absence de relation à ce moment-là. Ils dirent cela avec une pointe d’espoir ou de désir que je pris pour moi. En tout cas, le désir que j’éprouvais pour eux le prit comme cela.
Je me décidai à passer mes mains sous la table quand je vis qu’Elisa avait l’une des siennes déjà dessous. Mes mains vinrent sur leurs cuisses et s’y posèrent délicatement. Je ne bougeai pas et observai leurs réactions. Ils étaient en arrêt, rouges de confusion, me sembla-t-il. Et puis, chez François d’abord, un sourire apparut, il se tourna un peu et me fit un clin d’œil approbateur. Bertrand fut moins subtile et je sentis sa main venir d’abord caresser la mienne puis venir sur ma jambe. Cette fois, c’est moi qui rougis.
François vit peut-être son manège et sans doute mon air ravi. La sienne se posa rapidement sur ma cuisse et il commença à me caresser doucement. Bertrand le sentit probablement faire et l’imita rapidement. Je lâchai un soupir de plaisir qui venait des tréfonds de mon ventre. Le coup d’œil complice que j’échangeai avec Elisa me fit dire qu’elle avait deviné ce qui se tramait sous la table.
Mes propres mains entamèrent des va-et-vient sur leurs cuisses. Soudain, le regard d’Elisa se figea. Je compris que Paul avait sans doute posé ses doigts sur ou entre les cuisses de sa femme. Je vis rapidement les tétons de mon amie se dresser sous son haut. Ce soutien-gorge ne cachait rien de son émoi. Je me rappelai que je portais justement le même genre de lingerie ! je baissai les yeux pour voir que mes tétons étaient tout aussi visibles sous mon chemisier !
Je regardai François et Bertrand, prise entre la panique et l’envie. Bertrand braquait son regard sur ma poitrine et se pinçait discrètement les lèvres. François naviguait d’un sein à l’autre et vers mes yeux puis redescendait. Je voulus aller vérifier leurs émotions à un endroit qui ne me laisserait aucun doute mais le serveur apporta nos desserts. Une fois qu’il fut reparti, je me demandai si je devais retourner là où j’étais juste avant. En face de moi, Paul et Elisa mangeaient à une main et l’autre, je devinais son occupation. C’était facile pour eux, ils étaient mariés. Et moi, je n’avais vu mes voisins qu’une fois !
— Oui ! m’exclamai-je intérieurement.
Mes Français prirent les devants et revinrent me caresser. Mon dessert attendrait et j’allai à nouveau sur leurs cuisses. Après quelques caresses, je me décidai et remontai lentement vers leurs braguettes, je n’y fis qu’un bref passage, presque involontaire. Ils bandaient ! Ils bandaient pour moi ! Pour la petite Allemande qu’ils avaient connu de nombreuses années avant. Certes, c’était une bandaison encore modeste mais j’espérais que la soirée ne faisait que commencer.
Néanmoins, il restait un sacré chemin avant d’en arriver là où je voulais aller. Je n’avais jamais su aguicher un homme, malgré mon passé, et heureusement qu’en face de moi, Elisa avait été stimuler son mari. Je me demandai soudainement si elle l’avait fait à dessein, connaissant mes envies.
Je lâchai les organes de ces messieurs et ils grognèrent discrètement de déception. Je m’enfilai rapidement mon dessert pour revenir le plus vite possible sur leurs braguettes. Ils continuèrent à me caresser les cuisses d’une main et ils remontèrent aussi entre mes jambes. J’avais choisi un pantalon, vue la fraîcheur de la soirée, mais je le regrettais un peu. Ils n’eurent aucun réflexe de retrait quand ils se touchèrent et me massèrent subrepticement le sexe. Je n’eus pas le temps d’écarter les jambes pour leur faciliter la chose, que le serveur revenait avec l’addition. Ils retirèrent brusquement leurs mains me faisant lancer un regard de tueuse à ce pauvre garçon.
En sortant dans la rue, je n’avais plus qu’une envie : les sentir tout contre moi. Surtout, je rêvais de les embrasser. Pas une de ces étranges bises françaises, non, je voulais de vrais baisers. Mais je ne me voyais pas me jeter sur leurs lèvres tout de go. Elisa et Paul se roulèrent une pelle juste devant nous, avec un naturel et une fougue évidents. Je les enviai follement et vis mes cavaliers les regarder avec la même tentation. Mais une tentation dirigée vers moi, en tout cas je le souhaitais.
— Puis-je t’embrasser ? me demanda François.— Un vrai baiser ?— Oui.— Oui, je le veux bien. J’en ai envie. Et à Bertrand aussi, dis-je à l’intention de ce dernier.— Je n’osai demander...
François se pencha vers moi et nos lèvres se scellèrent. Je fondis complètement sous ce tendre baiser. Cette tendresse me plut mais elle céda rapidement la place à plus de fougue et de passion. Nos lèvres et nos langues jouèrent ensemble, je frissonnai de désir et de plaisir. Je rompis tout de même ce baiser et je me tournai vers Bertrand. Plus direct, plus macho que François, il passa son bras à ma taille et m’attira à lui. Il m’embrassa passionnément et je répondis à son désir avec le même empressement.
Le baiser fut plus torride qu’avec François mais l’un et l’autre me rendirent complètement folle d’eux. Je me détachai de Bertrand et attrapai François par la manche. Je les obligeai à m’enlacer à deux et je me blottis entre leurs torses. Je serais bien restée indéfiniment ainsi mais Elisa nous proposa de poursuivre la soirée en allant danser et nous amuser.
Elisa et Paul nous trouvèrent un endroit sympa à quelques pas du restaurant. François et Bertrand restèrent près de moi toute la soirée et je ne pouvais plus me passer d’eux. Ils me faisaient rire, me faisaient danser, m’embrassaient à tour de rôle. Quelques morceaux de musique plus douce se firent entendre. François m’invita le premier et je me serrai contre lui avec bonheur. Il me fit tourner lentement, m’entourant de bras forts et apaisants. Ses mains ne se privèrent pas de descendre sur mon postérieur pour le masser. J’en profitai pour aller lui palper le paquet. La modeste érection du début de soirée était passée et j’avais dans la paume une érection tout à fait convenable.
— Ah, Gitta...— François.
Il m’embrassa fougueusement et j’en fus presque gênée par rapport aux autres couples. Sa main droite lâcha ma fesse et vint empoigner mon sein. Il le pressa et le malaxa pour me faire gémir longuement. Le morceau se termina et je sentis la présence de Bertrand.
— A moi, proposa celui-ci.
François céda sa place et je me retrouvai entre les bras plus puissants de son ami. Sans attendre, il me pelota les fesses d’une main et le sein de l’autre. Mes tétons devaient parfaitement se dessiner sous le fin tissu de mon chemisier. J’allai tâter son intimité et y trouvai une belle érection. J’en fus ravie et je me jetai sur sa bouche. Il répondit à mon baiser avec la même ardeur et la même puissance. Je me liquéfiai complètement et je gémis :
— Bertrand...— Gitta.
A côté de nous, Elisa et Paul se caressaient, dans les limites de la bienséance, tout en dansant et en s’embrassant. Je les avais vu faire et c’est ce qui m’avait donné assez de courage pour me "rapprocher" de mes Français. Je fis signe à François et il revint vers nous. Bertrand crut que je voulais à nouveau changer et commença à partir. Je le retins et je me mis à danser un dernier slow avec ces deux hommes.
La chanson se termina et Paul nous proposa de rentrer chez eux pour un café, un dernier verre. Sur le trajet j’étais accrochée aux bras de mes cavaliers. De temps en temps, j’en embrassais un et l’autre se lamentait d’être oublié. Je devais alors l’embrasser et le premier se plaignait à son tour. Ce petit jeu me plut énormément ; je pouvais ainsi les bécoter sans cesse.
Nous arrivâmes chez Paul et Elisa, ils nous laissèrent dans le salon pour préparer du café en cuisine. Assise sur le canapé entre François et Bertrand, je me faisais noyer de baisers sur les joues et dans le cou. Mes amis revinrent avec des tasses et du café qu’ils nous servirent. Paul s’assit sur un fauteuil et Elisa décida de se mettre sur ses genoux. Ils burent une gorgée de café puis Elisa embrassa longuement son mari. Celui-ci se laissa faire avec plaisir et alla caresser sa femme en retour. Ses mains allaient et venaient sur les flancs, le ventre et les seins d’Elisa. Avec ce soutien-gorge, elle devait particulièrement bien ressentir les caresses sur ses seins. Ils me le confirmèrent en pointant à nouveau fortement sous le haut de la belle blonde.
J’eus le courage de repartir à l’assaut de mes deux beaux mâles. Peut-être aussi incités que moi par le couple, ils se penchèrent vers ma bouche et voulurent m’embrasser. Il y eut embouteillage et ils s’arrêtèrent tous deux. Bertrand céda la place à François qui me roula une profonde galoche. Il avait abandonné la tendresse du début de soirée pour rester sur un registre bien plus passionné. Je sentis des mains venir sur moi, elles parcoururent mon corps et s’intéressèrent particulièrement à mes seins.
— Oh, c’est quoi ça ? se demanda Bertrand.
Cela interpella François qui se détacha de moi, son ami en profita pour prendre sa place sur mes lèvres. Sa langue alla tout de suite fouiller ma bouche avec une ardeur toujours aussi importante. Les mains de François vinrent sur mes seins et il prononça quelques onomatopées révélatrices. Ils échangèrent ainsi leurs places encore deux fois pour mon plaisir et le leur quand de la musique démarra. C’était une musique d’ambiance assez douce, je rouvris les yeux pour voir Elisa revenir vers son mari et l’embrasser. Mais elle resta debout et se tourna vers nous :
— Bertrand, François, je ne vous ai jamais vraiment remerciés pour ce que vous avez fait pour moi et pour Paul.— Cette nuit-là, nous n’avons pas du tout regretté notre choix, répondit François.— Mais il y a ce que vous avez fait ensuite pour m’obtenir des papiers. L’aide que vous nous avez apporté durant les premiers mois...— C’était normal.— Plus que normal Bertrand. Alors, ce soir, vu que Gitta est là, je me dis que je pourrais vous faire profiter d’un petit strip-tease, comme celui qu’elle vous avait offert.
Je vis mes voisins de canapé devenir tout rouge, j’en voulus quelque peu à Elisa de vouloir prendre toute la lumière et "me piquer" mes Français. Elle avait le sien, bon sang ! Surtout qu’elle savait ce que je souhaitais.
— Gitta, tu m’accompagnes ? Je suis sûre qu’ils rêvent tous les deux de te voir te déshabiller à nouveau. Et tu en meurs d’envie, non ?
Il y a plus de dix, j’étais jeune, un peu folle, je ne risquais pas de les revoir ; je pouvais m’amuser un peu. Là, malgré le désir qui me tenaillait, j’hésitais pourtant à le faire, je me sentais moins attirante tout à coup, même avec ma lingerie. C’était pourtant un bon moyen pour qu’ils me redécouvrent tous les deux en même temps. Je les regardai et vis qu’ils avaient tourné leur regard vers moi. Au fond de leurs yeux brûlait un désir fou, pour moi. La proposition d’Elisa leur avait fait plaisir mais la possibilité de me revoir nue les enflammait complètement. Cela me décida et je me levai pour rejoindre Elisa.
Elle commença à se déhancher langoureusement et je l’imitai. D’un côté, Paul nous regardait mais profitait plus de sa femme que de moi. De l’autre, Bertrand et François n’avaient d’yeux que pour moi, ou presque. Car Elisa fut la première de nous deux à exposer ses seins. Ils étaient plus gros, plus beaux que les miens. Pourtant quand je retirai mon chemisier, mes deux hommes lorgnèrent ma poitrine avec appétit. Notre strip-tease commun continua et nous descendîmes notre pantalon. Le mien tomba à mes pieds en premier; je fus surprise et ravie d’attirer le regard de Paul. François et Bertrand semblèrent à peine remarquer qu’Elisa se retrouva en sous-vêtement juste après moi.
Mes sens étaient en feu, mes seins pointaient fièrement vers l’avant, mon sexe s’humidifiait. J’éprouvais un plaisir incommensurable à m’exposer devant eux. Surtout, l’effet que provoquait ma nouvelle lingerie sur eux me comblait. Elisa retira lentement son soutien-gorge et le jeta à son mari, je fis de même avec le mien et l’envoyait vers le canapé. François et Bertrand se chamaillèrent un peu pour le récupérer :
— Attendez, vous aurez chacun une chose, leur dis-je.
François fut plus surpris et lâcha mon soutien-gorge. Bertrand le prit et le toucha longuement ; il le sentit et revint à moi. A ce moment-là, j’étais en train de baisser mon string, ce que faisait aussi Elisa. Elle était dos à son mari et se penchait en avant, jambes tendues, pour retirer son string. J’avais fait de même et mes Français avaient une vue imprenable sur mes fesses. En regardant par dessous mon épaule, je les vis subjugués par ce qu’ils voyaient. Ils jetaient de temps à autre un oeil aux courbes parfaites d’Elisa mais restaient le plus souvent sur moi. En regardant de l’autre côté, je vis Paul admirer sa femme et n’avoir pour moi que de rares regards gourmands.
Nous nous retrouvâmes intégralement nues et je jetai mon string à François qui le huma longuement. Paul joua un peu avec celui d’Elisa et fit un signe de tête à sa femme. Elisa écarta les jambes et se pencha à nouveau. Je vis dans le regard de Bertrand le même désir de me voir faire. Mes propres envies m’incitaient déjà à le réaliser et ce fut sans problème que je m’exécutai. Je fis glisser un doigt le long de ma vulve et écartai mes lèvres. Ils n’en perdirent pas une miette et se touchèrent le sexe par-dessus leurs pantalons.
A ma gauche, Paul faisait de même tant le show de sa femme l’excitait. Elisa lui fit face et, tout en continuant à danser sensuellement, elle se caressa un peu partout. Je me dis que je devais en faire autant et je retournai vers le canapé. Les yeux de François et de Bertrand s’enflammèrent de tentation et d’excitation en découvrant mon épilation intégrale. Je me déhanchai aussi langoureusement que possible devant eux, mes mains parcoururent tout mon corps. Elles caressèrent mon ventre, mes cuisses mais surtout mes seins et mon sexe.
Celui-ci était maintenant trempé de cyprine. L’espoir que j’avais dans cette soirée semblait vouloir se concrétiser. Encore fallait-il qu’eux aussi soient dans les mêmes dispositions. Si j’étais à leur goût, allaient-ils vouloir de moi, ici ? Tous les deux ? C’était très probable mais pas certain. Le risque me fit trembler de peur. Elisa se rapprocha de son mari et le releva, elle l’embrassa tout en commençant à retirer sa chemise.
Elle avait raison, si je voulais quelque chose, je pouvais aussi le provoquer. Bertrand et François comprirent mon intention quand je m’approchai d’eux. Ils se levèrent et m’embrassèrent à tour de rôle. J’en profitai pour déboutonner leurs chemises, du moins je tentai de le faire. Je reçus leur aide et je pus enfin passer mes doigts sur ces torses tant convoités. Derrière moi, un cliquetis de ceinture sonna dans mon esprit comme le signal que j’attendais pour m’attaquer à celles de mes amants.
Fébrilement, j’allai d’abord sur celle de Bertrand dont la boucle me posa quelques soucis, j’eus l’aide surprise de François alors que son ami massait mes seins tout en me mordillant dans le cou. Je passai ensuite à François dont la ceinture fut plus simple à déboucler. Pendant ce temps, Bertrand me palpait les fesses tandis que François suçotait un de mes tétons. Je perdis pied un instant et soupirai longuement. Il me fallut l’aide de Bertrand pour déboutonner le pantalon de son ami.
Mes cavaliers se retrouvèrent avec le pantalon aux chevilles. J’avais leurs sexes à portée de main mais j’hésitai un instant. J’entendis Paul grogner et vit qu’Elisa avait glisser sa main dans son boxer. Je ne perdis plus de temps et plongeai la mienne dans les sous-vêtements de ces messieurs. J’y trouvai deux belles bites bien dures, de taille moyenne mais palpitantes de désir pour moi. Il me sembla même qu’elles tressautèrent particulièrement quand mes doigts se posèrent dessus. Les coquines étaient contentes de me revoir.
Ce dernier rempart me fit un peu peur, j’entendis Paul soupirer longuement et je vis qu’il était nu. Elisa le branlait amoureusement d’une main, tout en le caressant de l’autre. Ses lèvres se collèrent aux siennes et ils s’embrassèrent longuement. Paul ne resta pas inactif et lança ses mains à l’assaut du corps de sa femme. Cela me décida et je tirai sur les sous-vêtements des deux Français. Ils comprirent mon intention et baissèrent eux-mêmes leurs caleçons. Mes dernières réticences s’envolèrent quand je revis ces deux belles bites que j’empoignai immédiatement.
Mes amants se mirent à me masser et me palper les seins avec un plaisir et une envie de m’en donner très importants. Je fondis complètement, surtout quand ils m’embrassèrent un peu partout : le cou, les épaules, les seins, les joues, les lèvres. Mes fesses ne furent pas oubliées mais leurs mains migrèrent rapidement vers mon sexe. Parfois les doigts des deux hommes me stimulaient le clitoris ou le vagin en même temps. Mes mains, elles, étaient occupées sur les chibres de François et de Bertrand. J’allais aussi masser leurs couilles mais me concentrais surtout sur leurs membres.
Je perçus du mouvement derrière moi, Paul et Elisa sortaient du séjour. Ils nous laissaient seuls et allaient probablement finir leurs ébats dans leur chambre. Je n’avais, de toute façon, plus besoin de coup de pouce. Je les fis assoir sur le canapé et me mis à genoux entre eux. Je les masturbai encore un peu avant de commencer à les pomper tour à tour. Je réussis tout de suite à les faire souffler et gémir intensément. Je mouillais d’excitation et de perversion. Je retrouvais un peu la jeune femme insouciante et libérée que j’avais été avec eux. Ils pensèrent à moi en me pelotant habilement les seins. J’allai pomper plus spécifiquement Bertrand et demandai à François :
— François, cunnilingus ?— Avec plaisir.
Il descendit du canapé et vint derrière moi, sa bouche se colla à mon sexe et il me butina délicieusement. Je dus me secouer pour aller sucer Bertrand tant j’aimais ce que François faisait. Nos voix et nos plaintes envahirent le séjour.
— Ersatz ? proposa Bertrand.
Il se rappelait du mot que j’avais utilisé ! J’acquiesçai et ils échangèrent leurs places. J’eus devant moi la queue de François et allai le pomper immédiatement. Bertrand vint sur ma vulve et s’attaqua à mon clitoris. Je râlai profondément, la bite de François enfoncée dans la gorge. Nous restâmes ainsi quelques instants puis je me redressai pour me mettre à califourchon sur François. Je m’empalai lentement sur sa queue, savourant infiniment de la sentir en moi. Bertrand voulut se représenter devant mon visage pour reprendre la fellation mais je lui fis non de la tête. Je vis ses yeux s’exorbiter, signe qu’il avait compris.
— Mais je n’ai pas de gel ! se lamenta-t-il.
Je n’avais pas pensé à cela ! J’allai lui proposer d’y aller quand même mais le sort en décida autrement. Bertrand s’exclama :
— C’est quoi ça ?
Je me retournai et le vis prendre sur la table basse un tube. Il n’était pas là quelques minutes plus tôt... Elisa ! Elle savait ce que je voulais faire. Non seulement elle m’avait légèrement poussée en avant mais en plus elle avait pensé à tout. Sur le visage de Bertrand se lut une joie un peu lubrique. Sous moi, François sembla se demander ce qu’il se passait, ses allers et venues dans mon vagin ralentissaient, son regard interrogateur me fit sourire.
— Qu’est ce qui se passe ?— Rien, c’est bon, lui répondit Bertrand. On va pouvoir entrer tous les deux.— Oh, putain...
L’idée semblait plaire fortement à François, à moi aussi. Il se mit à me dévorer les seins, ce qui me fit gémir comme une folle. Pendant ce temps, Bertrand s’enduisit le sexe de gel et je sentis ses doigts venir me lubrifier l’anus. J’eus un frisson à cause de la froideur du gel mais mon cul brûlant me réchauffa vite. Excitée comme une dingue, Bertrand n’eut aucun mal à me préparer. Ses doigts rentrèrent facilement en moi, François dut les sentir car il gémit faiblement en même temps que moi. Bertrand, me sentant prête, se présenta devant mon sphincter. Il poussa et entra sans soucis, ses mains agrippant mes hanches. Bertrand grogna, François me mordit presque le sein qu’il avait en bouche et je criai mon plaisir.
Les deux hommes commencèrent à faire leurs va-et-vient; bien synchronisés, l’un entrait quand l’autre sortait. Mon plaisir grimpa en flèche, les deux me comblant divinement. Leurs queues me remplissaient bien les trous mais leurs bouches restaient très actives. François était toujours sur mes seins à les sucer, les mordiller. Bertrand m’embrassait les épaules, le cou, le dos. Notre trio commença à geindre de façon beaucoup plus importante, je n’entendais plus Paul et Elisa. Peut-être avaient-ils fini. Peut-être faisions-nous trop de bruit.
Toujours était-il que mon orgasme pointait le bout de son nez. J’allais exploser quand Bertrand craqua le premier, je sentis son sperme inonder mes intestins, sa queue prise de nombreux tremblements. Quelques coups de reins plus tard, François atteignit aussi le septième ciel. Il se déchargea abondamment dans mon vagin dans un grand râle libérateur. Je jouis après avoir bien frotté mon clitoris sur le ventre de François. Je criai, hurlai presque tellement c’était fort.
Bertrand sortit de moi et s’assit sur le canapé, je m’effondrai sur François puis roulai entre eux. Ils me serrèrent et m’embrassèrent tour à tour. Encore un peu comateuse, j’entendis de l’eau couler dans la salle de bain. François et Bertrand me caressaient le corps avec une certaine douceur. J’étais bien, mais je n’en avais pas fini avec eux...
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